FEMME OFFERTE
Récit érotique écrit par ANAÏS SOUMISE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 2 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de ANAÏS SOUMISE ont reçu un total de 16 777 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-08-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 4 960 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
FEMME OFFERTE
Je suis une femme libertine, bisexuelle de cinquante ans bien entretenue, encore jolie et sexy, un mètre soixante cinq, cinquante cinq kilos, mince, totalement épilée et j’aime le sexe.
Mon mari m’organise des « surprises ». Il prend contact avec des gens sur des sites libertins sans rien me dire. Des hommes, des femmes, des couples …
Récemment, nous allons au restaurant, tenue très sexy de rigueur. Le bas de ma robe rouge découvre la dentelle du haut des bas, le décolleté descend au nombril devant et en haut des fesses derrière, ce qui expose l’arrière de mon string du même rouge que la robe. Un joli petit nœud sur ce dernier le met en valeur. Mon mari dit : « tenue de salope ».
L’entrée dans le restaurant et le chemin jusqu’à la table ne manque pas d’attirer tous les regards (j’ai retiré ma veste dès la porte franchie). En diagonale, il y a un couple un peu chic d’une cinquantaine d’années. Une fois assise, c’est la femme qui me fait presque face. Ma robe est tellement courte qu’elle doit voir le devant de mon string, je n’ai pas le droit de croiser les jambes et si je pose les coudes sur la table ou que je me penche un peu en avant, mes seins sont visibles par les côtés de ma robe.
Je trouve le serveur très attentionné, il est très souvent penché vers moi pour commenter le menu. En clair, il plonge son regard dans mon décolleté plus que nécessaire. Comme je suis seins nus sous ma robe, je sais qu’il voit mes tétons et l’effet est immédiat, ces derniers se dressent et menacent de percer le fin tissu. Je suis excitée et ne peut le cacher.
La femme en face ne me quitte pas des yeux. Elle chuchote à son compagnon en me regardant. Ce dernier se retourne un peu pour fouiller dans sa veste et me jette un regard rapide. Sur qu’elle lui parle de moi. Je dis çà à mon mari qui me répond « montre-lui tes seins »
Je me place un peu de profil et tend le bras pour attraper lentement mon verre. Mon sein doit être bien visible. La femme me fait un petit rictus de la bouche, comme un bisou. Mon mari en rajoute « mieux que çà ». Je regarde que personne ne prête attention, que le serveur est loin et je passe sensuellement les mains sur ma poitrine puis j’écarte carrément mon décolleté et montre carrément mes seins deux ou trois secondes sans la regarder, comme si je les montrais à mon mari.
Je jette à nouveau un regard vers elle, elle me fait le signe « cœur » avec ses mains. Je sens que je mouille mon string. Son compagnon me regarde de plus en plus souvent, il ne fait même plus semblant. Mon mari me dit de leur monter mon string. Je regarde la femme dans les yeux et j’écarte lentement mes cuisses, elle regarde et parle à son homme. Il se retourne et mate aussi entre mes cuisses. Je reprends une position correcte. Tout le reste du repas je montre de temps à autre mes seins ou ma culotte, mine de rien. Je suis trempée et j’ai peur que çà se voit sur ma robe quand je devrais me lever.
Au dessert, la femme se lève et s’approche de moi. Elle me remet un petit papier, je lis … « Je vous attends aux toilettes ». Elle tourne les talons et disparait. Mon mari, qui n’a même pas lu le petit mot me dit « vas-y, suis la ». C’est là que j’ai compris que c’était un coup monté, qu’ils étaient de connivence.
A peine passée la porte des toilettes, coté femmes, j’ai été plaquée au mur et ses lèvres ont pris les miennes. Sa main est venue directement se plaquer entre mes cuisses.
- Oh, la salope, tu es trempée. On dirait que çà t’excite de te montrer. Avoue !
- J’avoue, mais c’était pour mon mari. Arrêtez te me toucher, je, je vais, je vais jouir !
- Vilaine menteuse. Retire ton string, donne moi-le pour mon homme et tu viendras le récupérer chez nous. Allez oust !
- Mais tout le monde va voir que je n’ai plus rien.
- Et bien tu seras une salope qui s’assume.
J’ai retiré mon string et lui ai donné. En regagnant ma place, à mon passage, il y a eu des silences et des chuchotements. L’absence du nœud derrière a été remarquée. Je n’étais pas au bout de mes surprises. A peine assise, je l’ai vue sortir des toilettes à son tour. Elle a aussi traversé la salle en faisant tourner mon string au bout de son doigt, bien visible. Beaucoup de regards se sont tournés vers moi avec des sourires moqueurs.
Autre surprise, le serveur nous a informés que le repas était offert par la maison et ce dernier m’a copieusement peloté les fesses en m’aidant à enfiler ma veste.
Une demi-heure plus tard, nous frappons à la porte de nos voisins de table. Mon mari est conduit au salon avec le sien. Moi je suis emmenée directement dans une chambre.
- Allez, à poil ! Ce sera ta tenue pour la soirée. Tu va être notre jouet.
- Oui Madame.
Je me mets nue. Aussitôt, elle s’assoie sur le bord du lit.
- Viens me grignoter l’abricot j’ai envie. Allez, à genoux !
Elle avait très très envie, en moins de deux minutes je me suis fait arroser le visage. Elle a poussé un long feulement que les hommes ont du entendre du salon. J’ai demandé à me rafraichir.
- Pas question, j’aime trop ton air vulgaire, ton maquillage défait, tes cheveux mouillés en vrac. Penses à nos hommes quand ils vont te voir arriver comme çà. Regarde ton jus coule déjà sur tes cuisses. Tu es une souillon. Quand tu auras bien sucé les garçons, je te préparerai pour t’offrir à mon mari, je te préviens, il en a une très grosse. Je m’occuperai du tien qui te regardera te faire baiser.
Je suis sortie de la chambre tirée par les cheveux avec mon string dans la bouche. Je vous passe les détails mais j’ai été conduite à genoux devant les deux hommes et j’ai du les sucer tour à tour. Puis notre hôtesse a disposé un plaid sur le table à manger et j’ai du m’allonger dessus sur le dos, les fesses au bord. Les deux hommes m’ont relevé et écarté les jambes et la bouche de Madame est venue me lécher. Je n’ai pas pu retenir un orgasme pendant cette préparation à la saillie. Puis l’homme m’a pénétrée. J’avais bien vu en le suçant qu’il était énorme mais là, au fond de moi, c’était impressionnant. Il me remplissait comme jamais. Il me traitait de salope, de catin … pendant que notre hôtesse suçait mon mari.
- On dirait qu’elle aime çà, la putain.
- Je suis peut-être une salope mais pas une putain.
- Et comment on appelle une fille qui paye son resto avec ses fesses ?
Le débat et les ébats se sont interrompus au son de la sonnette de l’entrée. Notre hôtesse est allée voir et est revenue avec … Le serveur du restaurant. Il s’est révélé que c’était en fait le patron. Que de nombreux clients, après notre départ l’avaient questionné sur moi, sur la fréquence de mes visites, sur le fait qu’ils pourraient aussi me déculotter aux toilettes etc.… Je n’étais pas vraiment passée inaperçue.
Notre hôtesse s’est installée sur la table dans la même position que moi tout à l’heure.
- Allez la putain, viens me préparer, j’ai envie de mon amant.
J’ai du lui lécher l’abricot avant que le patron du resto la baise. Je lui mordillais les seins, lui roulais des pelles pendant qu’elle criait sous les coups de boutoir. Quand elle est tombée presque inconsciente, j’ai du prendre sa place.
Les trois hommes se sont succédé en moi. Quand l’un me baisait, je branlais les deux autres et notre hôtesse est venue poser sa chatte sur ma bouche. Nous n’arrêtions pas de jouir toutes les deux. Elle écartait sa chatte avec ses doigts pour mieux gicler dans ma bouche. Puis elle m’a tenue assise en se mettant derrière moi pour que nos hommes se vident sur mon visage et mes seins. Je n’ai pas pu m’empêcher de me toucher l’abricot en voyant les jets sortir de leurs verges. J’ai encore jouis avec eux.
Notre hôtesse m’a accompagnée à la salle de bain. Elle m’a lavée, séchée, encore tripotée, et encore embrassée à pleine bouche. Elle m’a dit que çà l’excitait beaucoup de me voir soumise et qu’on se revoyait dimanche prochain …au restaurant.
C’est après que le patron m’a prise à part.
- Voyez-vous chère amie, le dimanche soir, je n’ai pas la même clientèle que les autres jours. C’est des hommes seuls ou en petits groupes de deux ou trois, des couples un peu libertins qui cherchent un complément, ou quelques femmes seules qui viennent se faire draguer. Je vais aménager une petite piste de danse pour favoriser tout çà. J’aimerai que vous soyez la salope animatrice de ces soirées. Nos amis ici présents et votre mari seront vos compagnons chargés de vous mettre dans l’ambiance. A minima vous serez pelotée par qui voudra, vous serez tripotée en dansant, chacun pourra remonter votre robe et vous exhiber. Si vous voulez faire plus, libre à vous mais rien d’obligatoire. Vous toucherez cinq cents euros par soirée, plus les quatre repas. Vous commencez dimanche prochain. Vous acceptez ?
- Je suppose que mon mari est d’accord.
- Bien sur, d’ailleurs les soirées du dimanche, c’est un peu une idée à lui.
- Ah, le pervers ! Il ne va pas être déçu. J’accepte.
Toute cette semaine je ne pense qu’à çà. Que vais- mettre ? Je fouille dans mes placard, j’essaie, je change …
Finalement j’ai choisi une jupette noire composée d’une ceinture élastique et de franges de cuir. Dessous j’ai un juste un petit string rouge. Je laisse mes seins nus. Un petit gilet noir complètement transparent en haut et c’est tout.
Le dimanche est arrivé. Nous sommes passés prendre Lili et Jean, nos deux nouveaux amis, et nous sommes rendus au restaurant avant l’ouverture. J’ai commencé à mouiller dans la voiture quand Lili m’a embrassée en me pinçant les tétons. Une fois à table, les lanières de ma jupette tombaient sur les cotés découvrant très largement mes cuisses. Mes seins bien visibles sous mon haut transparent, attiraient aussi les regards. Lili m’a dit :
- Viens danser !
- Mais il n’y a personne qui danse.
- Et bien comme çà on ne regardera que nous, surtout toi. Tu es payée pour çà, non ?
Arrivés sur la piste, Lili m’a fait tourner sur moi-même ce qui a fait voler ma jupette et me dévoiler. J’ai passé les bras autour de son cou et elle m’a directement tenue par les fesses. Elle me tenait serré et on se frottait l’une contre l’autre en s’embrassant à pleine bouche. Puis elle m’a retournée et plaquée contre elle, elle me tenait par les seins, ou plutôt par les tétons. J’ai aperçu jacques, le patron qui nous regardait de loin. Il a fait un signe de satisfaction avec le pouce en l’air.
- Arrête, çà me coule sur les cuisses, si tu continues je vais jouir et en mettre partout.
- Tu es vraiment une salope hors classe.
Du coup, une dizaine de personnes gesticulaient autour de nous. Un mec, pas mal, la cinquantaine, est venu danser en face de moi. Lili lui a fait signe de s’approcher. Il s’est collé à moi. J’ai rapidement senti quelque chose de gros se frotter contre mon ventre. Ils se sont mis à parler de moi entre eux comme si je n’étais pas là.
- Passez donc la main entre ses cuisses et dites-moi si elle mouille autant qu’elle le dit.
- Je confirme, elle ne mouille pas c’est une cascade.
- Alors il va vraiment falloir que quelqu’un la baise
- A votre service, Madame.
- Suivez-nous !
Lili m’a tirée par les cheveux jusqu’aux toilettes des hommes. Assise sur le couvercle de la cuvette, j’ai sucé le bel inconnu. La porte de la cabine est restée ouverte. Je voyais Lili se toucher en regardant. Deux ou trois hommes sont passés et ont regardé un peu.
Puis j’ai été déculottée et assise sur le bord du lavabo. La culotte dans la bouche, j’ai été baisée comme une gourgandine. Lili, adossée à la porte pour limiter les intrusions, avait relevé sa robe et se doigtait en gémissant. Je jouissais quasiment en continu. Mon mari, Jean-Paul, s’est fait entendre derrière la porte. Lili lui a bien évidemment ouvert. Elle s’est mise à genoux devant lui et s’est mise à le sucer. Lui ne me quittait pas des yeux, çà m’a rendue folle.
- Oui, oui, encore, plus fort ! Baises-moi encore comme une pute. Ahhh, salaud, tu me fais gicler.
- Tiens, salope prend tout, tu me fais jouir !
Il a rempli sa capote. Quand il est sorti, il a du se faire remarquer. Comme il n’avait baissé son pantalon qu’à mi-cuisses, il était trempé de mon jus. Cà a dû jaser. Après je suis allée dans les toilettes des dames pour me refaire une beauté. Ah, le bouche à oreilles ! Plein de femmes sont venues me peloter, me doigter, me claquer les fesses, m’insulter, me tirer les tétons,… Me rouler des pelles. L’une d’elle, une certaine Jacqueline, m’a laissé ses coordonnées en me disant que jamais personne ne l’avait excitée comme çà. A suivre.
En revenant dans la salle l’ambiance avait changée. Tout le monde se tripotait, s’embrassait. Sous notre table, une blondasse suçait mon mari et Jean. Je suis retourné encore une fois me faire sauter dans les toilettes des hommes, et un homme m’a baisée devant tous le monde sur une table dans la salle. Epuisée d’orgasmes, je me sui réfugiée dans l’arrière bar où j’ai trouvé la force de tailler une bonne pipe à Jacques, le patron. Il m’a souillé le visage et les cheveux de son foutre. J’ai du rester comme çà, devant tout le monde, jusqu’au départ de Jacqueline. Dans ses baisers d’au revoir, elle a léché toutes les souillures.
Le patron m’a donné mon salaire de la soirée, puis Lili m’a donné un autre paquet de billets. Cette perverse m’avait vendue sans rien me dire, une vraie maquerelle. Une soirée à plus de mille balles et autant de plaisir.
Nous y sommes retournés régulièrement mais les bonnes choses ont une fin. Jacques a vendu son affaire.
Il parait que les prostituées ne jouissent pas et n’embrassent pas. Moi c’est tout le contraire. Savoir que je vais me faire baiser par un inconnu pour quelques billets me met dans tous mes états. Dès que je sais que je vais « servir », je mouille ma culotte et je n’arrête pas de me toucher l’abricot. Donc je suis plus salope que putain.
Savoir que je ne pourrais rien refuser parce que j’accepte de l’argent décuple mon plaisir. La bourgeoise bien sous tous rapports va devenir « catin » et être traitée en conséquence.
Alors oui, vous me tripotez, vous me branlez, je m’exhibe à la demande. Je sens votre sexe gonfler dans ma bouche et votre bouche gouter le mien.
Je jouis en continu si votre langage est en accord avec vos gestes. « Salope, catin, vicieuse, cochonne,… » sont mes attributs.
La déchéance suprême sera quand votre verge écartera mes lèvres intimes et viendra frapper le fond de mon antre. Baisez-moi, sautez-moi comme la dernière des gourgandines ! Alors je vais encore jouir, crier mon plaisir ... Remplissez votre préservatif au fond de moi ou retirez-le pour m’arroser. La putain sera souillée de foutre et heureuse.
Désormais, Jean, mon mari, m’organise des scénarios dont je ne sais rien à l’avance. Des entretiens d’embauche pervers, des visites médicales, des cours particuliers ou juste des rendez-vous galants. Avis aux amateurs !
Mon mari m’organise des « surprises ». Il prend contact avec des gens sur des sites libertins sans rien me dire. Des hommes, des femmes, des couples …
Récemment, nous allons au restaurant, tenue très sexy de rigueur. Le bas de ma robe rouge découvre la dentelle du haut des bas, le décolleté descend au nombril devant et en haut des fesses derrière, ce qui expose l’arrière de mon string du même rouge que la robe. Un joli petit nœud sur ce dernier le met en valeur. Mon mari dit : « tenue de salope ».
L’entrée dans le restaurant et le chemin jusqu’à la table ne manque pas d’attirer tous les regards (j’ai retiré ma veste dès la porte franchie). En diagonale, il y a un couple un peu chic d’une cinquantaine d’années. Une fois assise, c’est la femme qui me fait presque face. Ma robe est tellement courte qu’elle doit voir le devant de mon string, je n’ai pas le droit de croiser les jambes et si je pose les coudes sur la table ou que je me penche un peu en avant, mes seins sont visibles par les côtés de ma robe.
Je trouve le serveur très attentionné, il est très souvent penché vers moi pour commenter le menu. En clair, il plonge son regard dans mon décolleté plus que nécessaire. Comme je suis seins nus sous ma robe, je sais qu’il voit mes tétons et l’effet est immédiat, ces derniers se dressent et menacent de percer le fin tissu. Je suis excitée et ne peut le cacher.
La femme en face ne me quitte pas des yeux. Elle chuchote à son compagnon en me regardant. Ce dernier se retourne un peu pour fouiller dans sa veste et me jette un regard rapide. Sur qu’elle lui parle de moi. Je dis çà à mon mari qui me répond « montre-lui tes seins »
Je me place un peu de profil et tend le bras pour attraper lentement mon verre. Mon sein doit être bien visible. La femme me fait un petit rictus de la bouche, comme un bisou. Mon mari en rajoute « mieux que çà ». Je regarde que personne ne prête attention, que le serveur est loin et je passe sensuellement les mains sur ma poitrine puis j’écarte carrément mon décolleté et montre carrément mes seins deux ou trois secondes sans la regarder, comme si je les montrais à mon mari.
Je jette à nouveau un regard vers elle, elle me fait le signe « cœur » avec ses mains. Je sens que je mouille mon string. Son compagnon me regarde de plus en plus souvent, il ne fait même plus semblant. Mon mari me dit de leur monter mon string. Je regarde la femme dans les yeux et j’écarte lentement mes cuisses, elle regarde et parle à son homme. Il se retourne et mate aussi entre mes cuisses. Je reprends une position correcte. Tout le reste du repas je montre de temps à autre mes seins ou ma culotte, mine de rien. Je suis trempée et j’ai peur que çà se voit sur ma robe quand je devrais me lever.
Au dessert, la femme se lève et s’approche de moi. Elle me remet un petit papier, je lis … « Je vous attends aux toilettes ». Elle tourne les talons et disparait. Mon mari, qui n’a même pas lu le petit mot me dit « vas-y, suis la ». C’est là que j’ai compris que c’était un coup monté, qu’ils étaient de connivence.
A peine passée la porte des toilettes, coté femmes, j’ai été plaquée au mur et ses lèvres ont pris les miennes. Sa main est venue directement se plaquer entre mes cuisses.
- Oh, la salope, tu es trempée. On dirait que çà t’excite de te montrer. Avoue !
- J’avoue, mais c’était pour mon mari. Arrêtez te me toucher, je, je vais, je vais jouir !
- Vilaine menteuse. Retire ton string, donne moi-le pour mon homme et tu viendras le récupérer chez nous. Allez oust !
- Mais tout le monde va voir que je n’ai plus rien.
- Et bien tu seras une salope qui s’assume.
J’ai retiré mon string et lui ai donné. En regagnant ma place, à mon passage, il y a eu des silences et des chuchotements. L’absence du nœud derrière a été remarquée. Je n’étais pas au bout de mes surprises. A peine assise, je l’ai vue sortir des toilettes à son tour. Elle a aussi traversé la salle en faisant tourner mon string au bout de son doigt, bien visible. Beaucoup de regards se sont tournés vers moi avec des sourires moqueurs.
Autre surprise, le serveur nous a informés que le repas était offert par la maison et ce dernier m’a copieusement peloté les fesses en m’aidant à enfiler ma veste.
Une demi-heure plus tard, nous frappons à la porte de nos voisins de table. Mon mari est conduit au salon avec le sien. Moi je suis emmenée directement dans une chambre.
- Allez, à poil ! Ce sera ta tenue pour la soirée. Tu va être notre jouet.
- Oui Madame.
Je me mets nue. Aussitôt, elle s’assoie sur le bord du lit.
- Viens me grignoter l’abricot j’ai envie. Allez, à genoux !
Elle avait très très envie, en moins de deux minutes je me suis fait arroser le visage. Elle a poussé un long feulement que les hommes ont du entendre du salon. J’ai demandé à me rafraichir.
- Pas question, j’aime trop ton air vulgaire, ton maquillage défait, tes cheveux mouillés en vrac. Penses à nos hommes quand ils vont te voir arriver comme çà. Regarde ton jus coule déjà sur tes cuisses. Tu es une souillon. Quand tu auras bien sucé les garçons, je te préparerai pour t’offrir à mon mari, je te préviens, il en a une très grosse. Je m’occuperai du tien qui te regardera te faire baiser.
Je suis sortie de la chambre tirée par les cheveux avec mon string dans la bouche. Je vous passe les détails mais j’ai été conduite à genoux devant les deux hommes et j’ai du les sucer tour à tour. Puis notre hôtesse a disposé un plaid sur le table à manger et j’ai du m’allonger dessus sur le dos, les fesses au bord. Les deux hommes m’ont relevé et écarté les jambes et la bouche de Madame est venue me lécher. Je n’ai pas pu retenir un orgasme pendant cette préparation à la saillie. Puis l’homme m’a pénétrée. J’avais bien vu en le suçant qu’il était énorme mais là, au fond de moi, c’était impressionnant. Il me remplissait comme jamais. Il me traitait de salope, de catin … pendant que notre hôtesse suçait mon mari.
- On dirait qu’elle aime çà, la putain.
- Je suis peut-être une salope mais pas une putain.
- Et comment on appelle une fille qui paye son resto avec ses fesses ?
Le débat et les ébats se sont interrompus au son de la sonnette de l’entrée. Notre hôtesse est allée voir et est revenue avec … Le serveur du restaurant. Il s’est révélé que c’était en fait le patron. Que de nombreux clients, après notre départ l’avaient questionné sur moi, sur la fréquence de mes visites, sur le fait qu’ils pourraient aussi me déculotter aux toilettes etc.… Je n’étais pas vraiment passée inaperçue.
Notre hôtesse s’est installée sur la table dans la même position que moi tout à l’heure.
- Allez la putain, viens me préparer, j’ai envie de mon amant.
J’ai du lui lécher l’abricot avant que le patron du resto la baise. Je lui mordillais les seins, lui roulais des pelles pendant qu’elle criait sous les coups de boutoir. Quand elle est tombée presque inconsciente, j’ai du prendre sa place.
Les trois hommes se sont succédé en moi. Quand l’un me baisait, je branlais les deux autres et notre hôtesse est venue poser sa chatte sur ma bouche. Nous n’arrêtions pas de jouir toutes les deux. Elle écartait sa chatte avec ses doigts pour mieux gicler dans ma bouche. Puis elle m’a tenue assise en se mettant derrière moi pour que nos hommes se vident sur mon visage et mes seins. Je n’ai pas pu m’empêcher de me toucher l’abricot en voyant les jets sortir de leurs verges. J’ai encore jouis avec eux.
Notre hôtesse m’a accompagnée à la salle de bain. Elle m’a lavée, séchée, encore tripotée, et encore embrassée à pleine bouche. Elle m’a dit que çà l’excitait beaucoup de me voir soumise et qu’on se revoyait dimanche prochain …au restaurant.
C’est après que le patron m’a prise à part.
- Voyez-vous chère amie, le dimanche soir, je n’ai pas la même clientèle que les autres jours. C’est des hommes seuls ou en petits groupes de deux ou trois, des couples un peu libertins qui cherchent un complément, ou quelques femmes seules qui viennent se faire draguer. Je vais aménager une petite piste de danse pour favoriser tout çà. J’aimerai que vous soyez la salope animatrice de ces soirées. Nos amis ici présents et votre mari seront vos compagnons chargés de vous mettre dans l’ambiance. A minima vous serez pelotée par qui voudra, vous serez tripotée en dansant, chacun pourra remonter votre robe et vous exhiber. Si vous voulez faire plus, libre à vous mais rien d’obligatoire. Vous toucherez cinq cents euros par soirée, plus les quatre repas. Vous commencez dimanche prochain. Vous acceptez ?
- Je suppose que mon mari est d’accord.
- Bien sur, d’ailleurs les soirées du dimanche, c’est un peu une idée à lui.
- Ah, le pervers ! Il ne va pas être déçu. J’accepte.
Toute cette semaine je ne pense qu’à çà. Que vais- mettre ? Je fouille dans mes placard, j’essaie, je change …
Finalement j’ai choisi une jupette noire composée d’une ceinture élastique et de franges de cuir. Dessous j’ai un juste un petit string rouge. Je laisse mes seins nus. Un petit gilet noir complètement transparent en haut et c’est tout.
Le dimanche est arrivé. Nous sommes passés prendre Lili et Jean, nos deux nouveaux amis, et nous sommes rendus au restaurant avant l’ouverture. J’ai commencé à mouiller dans la voiture quand Lili m’a embrassée en me pinçant les tétons. Une fois à table, les lanières de ma jupette tombaient sur les cotés découvrant très largement mes cuisses. Mes seins bien visibles sous mon haut transparent, attiraient aussi les regards. Lili m’a dit :
- Viens danser !
- Mais il n’y a personne qui danse.
- Et bien comme çà on ne regardera que nous, surtout toi. Tu es payée pour çà, non ?
Arrivés sur la piste, Lili m’a fait tourner sur moi-même ce qui a fait voler ma jupette et me dévoiler. J’ai passé les bras autour de son cou et elle m’a directement tenue par les fesses. Elle me tenait serré et on se frottait l’une contre l’autre en s’embrassant à pleine bouche. Puis elle m’a retournée et plaquée contre elle, elle me tenait par les seins, ou plutôt par les tétons. J’ai aperçu jacques, le patron qui nous regardait de loin. Il a fait un signe de satisfaction avec le pouce en l’air.
- Arrête, çà me coule sur les cuisses, si tu continues je vais jouir et en mettre partout.
- Tu es vraiment une salope hors classe.
Du coup, une dizaine de personnes gesticulaient autour de nous. Un mec, pas mal, la cinquantaine, est venu danser en face de moi. Lili lui a fait signe de s’approcher. Il s’est collé à moi. J’ai rapidement senti quelque chose de gros se frotter contre mon ventre. Ils se sont mis à parler de moi entre eux comme si je n’étais pas là.
- Passez donc la main entre ses cuisses et dites-moi si elle mouille autant qu’elle le dit.
- Je confirme, elle ne mouille pas c’est une cascade.
- Alors il va vraiment falloir que quelqu’un la baise
- A votre service, Madame.
- Suivez-nous !
Lili m’a tirée par les cheveux jusqu’aux toilettes des hommes. Assise sur le couvercle de la cuvette, j’ai sucé le bel inconnu. La porte de la cabine est restée ouverte. Je voyais Lili se toucher en regardant. Deux ou trois hommes sont passés et ont regardé un peu.
Puis j’ai été déculottée et assise sur le bord du lavabo. La culotte dans la bouche, j’ai été baisée comme une gourgandine. Lili, adossée à la porte pour limiter les intrusions, avait relevé sa robe et se doigtait en gémissant. Je jouissais quasiment en continu. Mon mari, Jean-Paul, s’est fait entendre derrière la porte. Lili lui a bien évidemment ouvert. Elle s’est mise à genoux devant lui et s’est mise à le sucer. Lui ne me quittait pas des yeux, çà m’a rendue folle.
- Oui, oui, encore, plus fort ! Baises-moi encore comme une pute. Ahhh, salaud, tu me fais gicler.
- Tiens, salope prend tout, tu me fais jouir !
Il a rempli sa capote. Quand il est sorti, il a du se faire remarquer. Comme il n’avait baissé son pantalon qu’à mi-cuisses, il était trempé de mon jus. Cà a dû jaser. Après je suis allée dans les toilettes des dames pour me refaire une beauté. Ah, le bouche à oreilles ! Plein de femmes sont venues me peloter, me doigter, me claquer les fesses, m’insulter, me tirer les tétons,… Me rouler des pelles. L’une d’elle, une certaine Jacqueline, m’a laissé ses coordonnées en me disant que jamais personne ne l’avait excitée comme çà. A suivre.
En revenant dans la salle l’ambiance avait changée. Tout le monde se tripotait, s’embrassait. Sous notre table, une blondasse suçait mon mari et Jean. Je suis retourné encore une fois me faire sauter dans les toilettes des hommes, et un homme m’a baisée devant tous le monde sur une table dans la salle. Epuisée d’orgasmes, je me sui réfugiée dans l’arrière bar où j’ai trouvé la force de tailler une bonne pipe à Jacques, le patron. Il m’a souillé le visage et les cheveux de son foutre. J’ai du rester comme çà, devant tout le monde, jusqu’au départ de Jacqueline. Dans ses baisers d’au revoir, elle a léché toutes les souillures.
Le patron m’a donné mon salaire de la soirée, puis Lili m’a donné un autre paquet de billets. Cette perverse m’avait vendue sans rien me dire, une vraie maquerelle. Une soirée à plus de mille balles et autant de plaisir.
Nous y sommes retournés régulièrement mais les bonnes choses ont une fin. Jacques a vendu son affaire.
Il parait que les prostituées ne jouissent pas et n’embrassent pas. Moi c’est tout le contraire. Savoir que je vais me faire baiser par un inconnu pour quelques billets me met dans tous mes états. Dès que je sais que je vais « servir », je mouille ma culotte et je n’arrête pas de me toucher l’abricot. Donc je suis plus salope que putain.
Savoir que je ne pourrais rien refuser parce que j’accepte de l’argent décuple mon plaisir. La bourgeoise bien sous tous rapports va devenir « catin » et être traitée en conséquence.
Alors oui, vous me tripotez, vous me branlez, je m’exhibe à la demande. Je sens votre sexe gonfler dans ma bouche et votre bouche gouter le mien.
Je jouis en continu si votre langage est en accord avec vos gestes. « Salope, catin, vicieuse, cochonne,… » sont mes attributs.
La déchéance suprême sera quand votre verge écartera mes lèvres intimes et viendra frapper le fond de mon antre. Baisez-moi, sautez-moi comme la dernière des gourgandines ! Alors je vais encore jouir, crier mon plaisir ... Remplissez votre préservatif au fond de moi ou retirez-le pour m’arroser. La putain sera souillée de foutre et heureuse.
Désormais, Jean, mon mari, m’organise des scénarios dont je ne sais rien à l’avance. Des entretiens d’embauche pervers, des visites médicales, des cours particuliers ou juste des rendez-vous galants. Avis aux amateurs !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par ANAÏS SOUMISE
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
c'est très excitant . j'espère en lire d'autres bientot