Femme riche, mais généreuse

- Par l'auteur HDS linsee -
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Récit libertin : Femme riche, mais généreuse Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-02-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme riche, mais généreuse
Hortense est une vieille femme richissime, qui descend souvent dans le même palace, ou elle loue une suite. Elle à beaucoup d'exigences, mais elle est très généreuse. Les employés sont ravis lorsqu'elle séjourne à l'hôtel, car le pour-boire est exceptionnels.

Elle demande d'avoir en permanence deux employés à sa disposition. La direction lui octroie, Armand, et Cloé. Armand est un grand gaillard athlétique. Il porte un pantalon noire, une chemise blanche col ouvert et pardessus un gilet rouge boutonné. C'est la tenue des hommes employés par l'hôtel. Egalement, Cloé porte la tenue imposée par la direction. Elle porte une jupe courte grise, avec un petit tablier blanc noué autour de sa taille, qui recouvre une petite partie de la jupe. Son chemisier blanc lui met en valeur sa poitrine. La vieille femme, exige que dans sa suite
soit placer un banc sans dossier mais bien matelassé.

Hortense à quelque fois des lubies un peu bizarres, voire perverse. Elle exige qu'Armand, ne porte que sur son torse le gilet ouvert. Elle veut voir en permanence les pectoraux saillants et les abdominaux bien dessinés du jeune employé. Pour Cloé, elle lui demande de laisser son corsage entre ouvert et de ne pas porter de soutien gorge. Elle leur donne quelques billets pour les récompenser de l'effort qu'elle leur demande. Il est l'heure du repas, mais avant de diner, Hortense veut prendre un bain.

Avant qu'elle ne déshabille, Armand lui fait couler le bain. Il veut sortir mais elle lui dit :

Non restez, j'aurai besoin de vos services mon brave !

Elle retire ses vêtements, Armand contemple le corps au larges hanches et fesses bien rebondies. les seins lourds pendent lamentablement, sur son torse.

Elle entre dans la baignoire. Elle demande à Armand de la savonner. Il verse sur les épaules de la vieille femme du gel parfumé et commence à les lui frotter. Ses mains passent devant le torse, et glissent sur les seins d'Hortense. Ils les frotte délicatement, ses mains passent sous les seins comme pour les soupeser, elles tournent sur les seins en les pressant doucement. Hortense pousse d'innombrables soupirs, en fermant les yeux.
Les mains habiles, glissent enfin sur les mamelons très épais, les bougre plantés au centre des aréoles brunes trônent fièrement, les frottement délicats, les font enfler davantage. Une main descend sur le ventre plat le frotte, et ensuite continue sa progression.



Elle passe de nombreuses fois sur la toison bien fournie. Deux doigts s'insèrent entre les grandes lèvres, voyagent un court instant dans le sillon avant de remonter vers le clito hyper développé, pour le frotter doucement. les doigts passent plusieurs fois dessus en appuyant, Hortense serre les dents pour ne pas gémir. La main descend encore, les doigts touchent l'anus horriblement boursouflé. Le coquin, appuie plusieurs fois sur le muscle rectal, il entend souffler Hortense. Armant en bon serviteur termine la toilette d'Hortense. Après l'avoir essuyé longuement sans omet un endroit, il quitte la salle de bain. Hortense enfile un peignoir, elle semble troublée. Sans croiser le regard d'Armand, elle prend place à table.


Le diner est pris dans la chambre, en compagnie des deux employés. Cloé, en servant les plats se penche légèrement. Hortense, sans dire un mot, plonge ses yeux dans le corsage, pour se rincer l'œil. Cloé croise son regard, instinctivement elle veut refermer son chemisier. Hortense, fait un petit claquement de langue en secouant la tête négativement et dit :

-Cloé, pourquoi cacher un si beau trésor, dégrafez entièrement votre chemisier je vous en serai reconnaissante !

Cloé un peu gênée, obtempère. Elle sait qu'elle ne perdra rien au change. Elle ouvre entièrement le corsage, et exhibe sa poitrine généreuse. Hortense sourit en regardant les seins de la jeune femme. Armand à les yeux qui pétillent comme du champagne, à chaque mouvement de Cloé la poitrine balance. Hortense cesse de manger et dit :

-Ils sont magnifiques, comme j'aimerai avoir les mêmes !

La vieille femme se lève, et va prendre dans le tiroir une liasse de billets. Elle les pose sur une petite table, et en regardant ses employés dit :

-Ses billets sont à vous, si vous faites l'amour devant moi !

Armand et Cloé se regardent, surpris de cette demande. Bien qu'ils s'apprécient fortement, et qu'ils ont déjà couchés ensemble. Mais de là à se donner en spectacle, il y a une sacrée marge. En voyant l'hésitation des deux, Hortense retourne au tiroir et en sort une seconde liasse, qu'elle pose à côté de la première. la somme semble très importante, Cloé ne quitte pas du regard les billets, ils représentent plusieurs mois de salaire. Les deux se regardent, Cloé dit en marmonnant :

-Je ne suis pas une pute mais c'est vachement tentant, tu te rends compte Armand de la somme !

Hortense dit en souriant :

-Il y à cinq milles euros sur la table, il ne tient qu'à vous de les empocher !

Armand s'approche de Cloé, il l'enlace et cherche les lèvres, que le coquin connait bien. Le baiser est fougueux, Cloé soupire mais ce laisse aller. Hortense prend place dans un profond fauteuil et se poste en voyeuse. Les langues se nouent, le baiser n'est pas factice, un échange de salive se fait. Avec maestria, Armand effeuille sa complice, ses seins se dressent et pointent comme deux obus. la bouche de l'homme se plaque sur les mamelons et les suce à tour de rôle. Cloé ne peut retenir ses gémissements, Hortense écarquille les yeux et dit :

-Aller sur le banc les chéris !

Hortense remarque la bosse énorme qui déforme le pantalon d'Armand, elle jubile en salivant fortement. Cloé s'allonge sur le banc, Armand retire son pantalon, sa verge se dresse d'un coup, Hortense reste figée sur le membre du jeune homme, qui oscille sur son bas-ventre. Armand se laisse tomber sur les genoux face à Cloé, il lui ouvre les jambes et avance sa tête entre les cuisses. Il plaque sa bouche sur le fruit trop mûr qui rejette son jus. Il aspire tout se qu'il peut, Cloé geint fortement mais dès qu'il lui gobe le clito elle se cabre. Le bougre suce, et tète comme un affamé. Une jouissance fabuleuse fait hurler Cloé, son corps tremble comme une feuille au vent.

Hortense serre les cuisses, elle grimace en ne perdant pas une image, sa chatte est en ébullition, son jus coule sur ses cuisses et humidifie le fauteuil. Soudain elle ouvre son peignoir et les cuisses, sa main noueuse se pose sur sa chatte en feu. Ses doigts s'agrippent à son clito et commencent un branlage magistral. La vieille souffle comme un taureau, elle se cambre pour bien offrir à ses doigts son bouton hyper gonflé.

Armand se redresse et prend place entre les cuisses de Cloé, il lui enfonce d'un seul coup son glaive profondément dans le ventre, Cloé grogne comme une bête blessée en s'accrochant à son amant. Il ne faut pas longtemps pour qu'elle s'agite sur le pieu qui l'empale. Ses gémissements sont très bruyants. Hortense accélère le branlage, elle serre les dents, mais ne peut retenir ses gémissements. Elle branle son clito comme une bite en le pressant de temps en temps fortement. Ses râles sont ceux d'une agonisante.

Armand pilonne le ventre de Cloé qui gémit de plus en plus fort. La bite qui voyage dans sa gaine brulante, la fait délirer. Une fantastique jouissance la fait cambrer, puis elle retombe sur le banc en haletant comme une bête blessée. Armand donne des coups de bélier terribles, à chaque enfoncement de son membre dans le ventre de son amante, celle-ci glisse sur le banc. Enfin en grognant il déverse dans le ventre de Cloé sa semence épaisse. Il donne encore quelques estocades, avant de se retirer du ventre brulant.

Il se retourne vers Hortense, qui continue de se masturber énergiquement. Elle est grimaçante, elle regarde l'engin gluant, qui laisse tomber sur le plancher quelques gouttes de semence. Elle cesse de se branler, se cabre en écrasant fortement son clito. Une jouissance terrible lui secoue les entrailles. Ses yeux sont exorbités, de l'écume s'échappe de ses lèvres. Armand s'approche, les deux de regardent longuement, Hortense dit entre deux souffles :

-Aimez-moi mes chéris, je n'en peux plus !

Elle saisit la bite gluante et commence à la branler, elle appelle Cloé :

-Viens ma chérie me brouter la chatte, viens, viens vite !

Cloé se lève et s'approche de la vieille en chaleur. Elle s'agenouille entre ses cuisses et plaque sa bouche sur la chatte qui semble large et profonde. Elle suce les grandes lèvres qui pendent grossièrement, elle les aspire si fort qu'Hortense gémit :

-Oui, oui, ma chérie continue !

Elle tète les lèvres les mordilles avant d'enfoncer sa langue dans le cratère qui ne cesse de rejeter sa lave. Hortense geint en grinçant des dents. Elle agite la bite férocement, à chaque descente de son poignet, elle décalotte le gland à fond. La langue de Cloé la fait délirer, elle dit :

-Oui ma chérie, bouffe maman, vas plus profond ma chérie oui, oui, comme ça !

Cloé dévore la chatte avec férocité, cela est du gout d'Hortense qui agite son bassin en geignant, et tous cela, sans lâcher la bite épaisse d'Armand. La vieille se cabre et explose, un jet de cyprine est expulsé de sa chatte avec force. Cloé en reçoit plein la bouche, mais pour se venger elle happe le clito et le mord. Hortense jouit encore plus fort en hurlant:


-Oh oui, oui, continue mon Dieu comme c'est bon !

Une seconde jouissance la fait hurler. Cloé quitte les cuisses, c'est Armand qui prend la place. Il enfonce d'un seul coup se bite jusqu'aux couilles dans le ventre de la femme âgée. Il la saisit par les hanches et la défonce comme un malade, Hortense défaille, elle geint, en se cramponnant à son jeune amant :

-Oui, oui, tape fort mon cochon, vas-y, vas-y !

Les coups de reins sont dévastateurs, Hortense n'a jamais subit une telle violence, elle délire :

-Fais moi mourir mon chéri, je suis ta chose, tue moi avec ta grosse bite, ouvre-moi en deux !

La vieille femme puisse dans ses réserves pour jouir une nouvelle fois. Armand lui travaille le ventre comme un soudard, avec une telle brutalité qu'Hortense grogne comme une bête malade. Armand se bloque, il se raidit et remplit le ventre de son amante avec un flot de sperme. Elle s'accroche à lui en geignant :

-Finis-moi, mon chéri, finis-moi !

Armand lui relève les jambes et les pose sur ses épaules, il place sa queue contre l'anus boursoufflé et pousse, la verge s'enfonce aisément dans le rectum qui à du connaitre d'innombrables bites. Il lui fore le cul comme un sauvage; la bite être et ressort du conduit anal en prenant de la vitesse. Hortense délire :

-Oui, oui, par le cul c'est bon, oh putain, oh putain, comme tu m'encules bien mon salaud !

La verge voyage en raclant fortement les parois sensibles de la gaine, Hortense défaille, elle hurle :

-Je vais mourir, oh putain comme tu me prends !

Cloé saisit le clito hyper gonflé et le branle sauvagement. Hortense s'agite en hurlant :

-Oh mes chéris, mes chéris, je vais jouir !

Une jouissance anale exceptionnelle secoue Hortense. Armand lui remplit le cul de semence, il attend un moment avant de retirer les jambes d'Hortense de ses épaules. Il lui offre sa bite à sucer, la salope se jette dessus comme une vorace, et la suce sauvagement. La bouche de la vieille fait des merveilles sur la bite d'Armand, qui geint de plaisir. Cloé à repris entre ses doigts le clito volumineux de la femme et l'écrase le plus fort qu'elle le peut. Hortense recrache la bite, et jouit encore une fois. Armand éjacule sur le ventre de la femme, qui halète comme une bête malade. Mécaniquement, Hortense étale le liquide visqueux sur son ventre et sa chatte.

Peu à peu, Hortense reprend ses esprits, elle se lève de son fauteuil et se dirige vers le tiroir, en sort un e nouvelle liasse de billet et la pose sur la table à côte des autres, elle dit :

-Mes chéris, vous m'avez tellement fait jouir que je vous dois bien ça !

Les jours suivant, les trois évoluent dans la chambre entièrement nus. Hortense réclame plusieurs jouissances par jour. Elle est souvent basculée sur le banc pour avoir les jouissances qu'elle souhaite. les deux employés ne la ménagent pas, ils la défoncent comme jamais. Copieusement récompensés pour leurs efforts, ils redoutent le départ d'Hortense

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
C'est ce qui s'appelle " en avoir pour son argent " !
Lolo

Histoire Erotique
Magnifique comme tout tes textes, une dame âgée qui réclame des plaisirs sexuels. Daniel

Superbe, Linsee comme d'habitude

Une vieille perverse qui aime s'amuser! Une suite?

Histoire Erotique
L'orthographe s'il vous plait !
Ca gâche tout !



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