Femme vierge - histoire érotique

Je me fais une joie de baiser ma jeune mariée qui est vierge. Elle connaît assez le sexe pour connaître le plaisir par la masturbation. Nous nous connaissons depuis plus de 8 mois. ! Je voulais lui faire l'amour: elle refuse toujours.
J'arrive à lui mettre la main sur le pubis assez facilement. Elle sait fort bien où je veux aller. Elle prend ma main, la pose sur sa cuisse. Je commence à la caresser lentement. J'arrive à son sexe qui est tout mouillé. Je passe deux doigts sous l'élastique pour arriver à son clitoris. Je le caresse lentement rapidement sans appuyer. Le résultat ne se fait pas attendre: elle jouit au bout d'un moment. Ce n'est qu'après ce premier orgasme elle avoue en rougissant un peu qu'elle se masturbe assez souvent, enfin tous les jours. Elle est heureuse de ce que je lui ai fait, c'est bien meilleur avec une autre main.
Pendant une ou deux semaines, elle me laisse la masturber sans jamais me toucher, jusqu'au jour où je lui prends la main pour la poser sur ma queue bien bandée. Je lui demande de la sortir; elle essaye sans y arriver. Finalement je suis obligé de la sortir moi-même. Elle la regarde avec curiosité puis inquiétude: comment une chose aussi grosse pourrait rentrer en elle sans qu'elle en souffre. Je lui explique que je suis normal de ce côté-là Je dois lui montrer comment me faire jouir. Elle tâtonne au début, puis arrive fort bien à pratiquer les aller et venues. Elle est un peu étonnée de voir la quantité de sperme qui sort.
Un peu plus tard j'arrive la convaincre de nous dénuder pour être plus à l'aise pour nous caresser. Je peux voir son corps en entier: des seins hauts placés, une taille fine avec des hanches larges, sa fourrure intime me plaisent beaucoup. A partir de ce jour nous pouvons nous permettre des caresses plus variées. Je peux lui sucer le clitoris, chose qu'elle adore, lui passer la langue sur le cul, bref tout ce qu'une langue peux faire sur un sexe de femme. Elle aussi commence à me sucer. Au début, ce n'était pas mal sans plus:
Elle ne savait pas trop comment faire, quand je devais jouir, je l'avertissais: elle me finissais à la main. Maintenant je ne lui dit plus rien: la première fois que j'ai jouis dans sa bouche, elle voulait aller tout cracher. Je l'en empêchais. Depuis elle a pris goût à mon sperme.
Je l'habitue à accepter mes doigts dans son anus. Elle aime bien.
Ce soir, c'est enfin notre nuit de noce. Nous nous échappons pour aller dans un hôtel, avant de partir en voyage de noce. C'est très joli pour la mariée d'être bien habillée. Comment déshabiller une femme avec toutes ces dentelles et autre falbalas. Elle m'aide. Je l'embrasse partout, je la caresse des pieds à la tête. Nos baisers sont de plus en plus profonds. Elle me dit qu'elle a envie de moi. Je suis prêt, sauf que j'ai oublier un détail: je suis toujours habillé.
J'ai vite fait d'être nu. Je me précipite vers elle. Nous commençons par un 69, comme prévu depuis longtemps. Nos bouches travaillent en coordinations. Je lui passe le bout de ma langue sur l'anus, je n'y rentre pas, par contre je rentre un peu dans son vagin. Je lèche largement ses lèvres avant de prendre son clitoris. Je ne le touche à peine qu'elle jouit déjà mes caresse buccales sont efficaces. Je continue à m'attarder sur con bouton: elle jouit encore.
Elle m'a pris dans sa bouche en me tenant la moitié de ma queue avec une main qui me branle aussi. Elle se contente pour le moment de me lécher le gland. Elle suce de mieux en mieux: Elle le sait. Elle prend enfin toute la bite dans la bouche. Je sens à la fois sa langue et son palais. Contrairement à nos habitudes elle ne me fait pas jouir. Et pourtant qu'elle me fait du bien.
Nous nous redressons: cette fois c'est la moment de la dépuceler. Je l'invite à s'installer le plus confortablement possible. Elle écarte ses cuisses. Elle attend ma queue. J'ai, dans l'immédiat, envie de la sucer encore. Elle ne refuse jamais un cunnilingus. Je la fais jouir. Je me pose enfin entre ses jambes, mon pieu bien droit pointé vers son con. Elle la prend pour me guider vers elle. Le moment délicat est proche. Elle ne semble pas avoir d'appréhension. Je rentre peut-être deux centimètres de queue quand je sens son hymen: elle me le dit. Je vais pour la dépuceler quand elle donne un cou de rein en poussant un petit cri. Je ne l'ai pas dépucelé, c'est elle qui la fait. Je la lui mets à fond. A ma grande surprise elle gémit. Ce que je lui fait n'est pas extraordinaire: je la baise tout simplement. Enfin elle accompagne mes mouvements. Elle jouit même avant moi. Je le sens quand son con a des spasmes réguliers rapides.
Je reste dans son con pour y jouir à mon tour. Elle me dit sentir les saccades de mon sperme.
Je sors de son vagin. Je regarde ma bite: à peine une goutte de sang: elle aussi n'a presque aucune traces sur elle. Par contre le drap en a quelques gouttes.
Nous nous allongeons blottis. Je lui caresse un sein. Elle me rend la même caresse. Je vais la branler un autre fois: elle ne veux pas. Ce qu'elle veux et très simple: encules moi. De la part d'une fille qui vient juste de perdre son pucelage, la demande n'est pas habituelle. Je lui demande le pourquoi de son désir: parce qu'une copine lui a dit que c'était bon.
Du moment que la copine le lui a dit….. Par contre si elle sait que c'est courant, elle n'a aucune idée de la façon dont ça ce passe. Je lui dis de bien se mouiller la rondelle avec sa cyprine. Elle en prend en quantité à tel point que son anus est aussi mouillé que son con juste avant le baise. Je la mets en levrette, je pose le bout de ma bite sur elle. Je lui demande de se décontracter complètement. Dans cette position elle me demande si elle peut se branler: c'est la première fois qu'elle va le faire devant moi, alors que tournée pomme elle est je ne me pas voir sa main.
Je commence à entrer. Elle me dit qu'elle a mal. Pourtant dès que j'ai passé son sphincter avec mon gland, le plus gros de l'affaire est terminé. Je le lui dis, juste avant de la lui mettre à fond. Je sens mes couilles contre ses fesses. Je sens également sa main qui lui donne du plaisir. Elle jouit plus fortement qu'en étant baisée. Je lâche une bonne dose de sperme. Nous nous écroulons terrassés par nos plaisirs. Elle est sous moi. J'ai peur de peser. Elle ne sent fait pas: ma queue est bloquée entre ses fesses. Nous ne nous sommes pas séparés. Elle remue de telle façon que je bande encore. Je me remets couché sur le ventre. Elle m'enjambe pour venir sur ma queue, le vagin en avant: elle veut me baiser et non pas l'inverse. Elle se rentre ma queue dans son con. Elle l'enfonce puis entreprend les vas et comme j'ai déjà jouit deux fois, je suis bien plus long à venir. Elle reste comme elle est en jouissant autour de ma bite. Comme si ça ne lui suffisait pas elle se branle. Je peux enfin voir ses doigts agir sur son clitoris. Elle a le tête en arrière, gémit dans cesse, comme si ma pine ne suffisait pas, elle met deux doigts de son autre main dans son con, accompagnant les vas et viens de ma queue. Elle jouit encore et encore. Fatiguée elle me laisse en plan. Par contre elle veut prendre une douche matinale: il est presque l'heure: 5 heures du matin. Nous entrons ensemble. Elle dirige le jet sur son con, se fait jouir, enfin elle lève le jet pour que je le reçoive sur la queue. Le débit et la force du jet me font jouir.
Nous allons nous coucher pour enfin dormir.
Je suis réveillé vers midi par une drôle de sensation: c'est sa bouche qui m'a prit le bite pour me réveiller. Ce qu'elle me veut est très simple: baiser. A ce régime je me demande si je ne vais pas être obligé de prendre pas mal de vitamines. Je ne pensais jamais qu'une fille vierge se conduise ainsi dès le premier soir. Au fond tant mieux pou moi d'avoir une femme chaude.