Femmes seules... mais pas esseulées (3/5)
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femmes seules... mais pas esseulées (3/5)
MYLENE ET LE LIVREUR DE SUSHI
A première vue, Mylène avait tout pour être heureuse. Mariée à un chirurgien, débarrassée des soucis éducatifs, vivant dans un quartier bourgeois, toujours impeccablement coiffée (magnifiques cheveux blond vénitien) et habillée (des meilleures marques), jouissant d'un corps harmonieux, sans défaut apparent, elle abordait la cinquantaine avec toutes les possibilités de profiter pleinement de sa maturité.
Et pourtant, quelque chose clochait. Son mari avait obtenu un poste élevé dans un grand groupe médical et devait exercer dans la région parisienne tandis qu'elle devait demeurer dans une métropole provinciale en raison d'un engagement au sein de la municipalité locale en tant qu'élue. Pas question de renoncer à cette satisfaction personnelle pour rejoindre celui qui lui offrait un appréciable confort financier, à commencer par son logement. D'un commun accord, le couple avait donc décidé de vivre séparément, sans pour autant rompre le lien conjugal. Ils se retrouvaient simplement pour les vacances au cours desquelles ils renouaient avec la vie maritale, sous toutes ses formes.
Pour autant, avec ses amies intimes, Mylène reconnaissait une insatisfaction, et il ne fallait pas la pousser beaucoup pour qu'elle avoue une certaine frustration sexuelle. La nature n'avait pas été injuste avec elle et sa classe naturelle la rendait toujours attrayante auprès des hommes. Elle se refusait pourtant à commettre l'adultère et à mener une double vie, dont elle percevait le danger pour son confort matériel. Et puis, elle avait toujours de l'affection pour son mari, même s'il ne la faisait plus vraiment jouir au lit.
Les circonstances allaient cependant modifier quelque peu son état d'esprit, sans pour autant entrainer un chamboulement. Un soir qu'elle était rentrée tard du conseil municipal, elle commanda à une boutique de sushi voisine un plat tout prêt à consommer. Quelques minutes plus tard déboula un jeune homme de type asiatique qu'elle trouva charmant et même très beau. Elle lui donna un beau pourboire après avoir tenté d'entamer une conversation mais l'intéressé prétexta une livraison urgente pour s'échapper, ce qu'elle regretta. Elle lui demanda juste son prénom. Il s'appelait Tao.
Les mêmes circonstances se produisirent le lendemain et elle demanda expressément d'être livrée par Tao. Elle avait beaucoup pensé à lui entre temps et même rêvé qu'elle lui faisait l'amour. Elle avait toujours été attirée par les Asiatiques, en ayant même "consommé" un dans sa jeunesse et conservé un souvenir ému. Elle l'accueillit dans une tenue nettement différente de la veille. Un très léger déshabillé dévoilant par transparence un mini slip blanc et masquait à peine les aréoles brunes de ses seins en poire, libres sous l'étoffe. Elle entendait ainsi montrer au jeune asiatique qu'elle restait une femme sexuellement attirante, sans autre objectif immédiat. Mais l'intéressé prit ce changement comme une invite. Il la quitta après un baise main très civil qui remonta jusqu'au creux du bras. Ce toucher délicat embrasa le corps délaissé de Mylène et elle fut à deux doigts de le retenir par le pantalon. Ce soir là, elle se masturba frénétiquement en pensant à Tao. Il avait déclenché chez elle quelque chose qu'elle savait irrésistible mais qu'elle se refusait à considérer comme un adultère potentiel. Juste un besoin corporel, naturel, hygiénique, de s'unir à un corps d'homme.
Il va sans dire qu'elle ne tarda pas à recommander des sushis. Mais cette fois, elle ne mit pas de slip sous son déshabillé. Il ne pourrait pas manquer son triangle des Bermudes. Ni se dérober à son invite implicite. Il arriva plus tard que prévu, ce qui la fit bouillir. C'était en fait pour liquider d'autres livraisons pour de son point de vue prendre le temps de sauter cette cliente chaude comme un brasero.
Quand il arriva, Mylène prit la boite des mains du livreur, la porta à la cuisine en se cambrant sous son déshabillé, lui offrant ainsi le spectacle de la raie de ses fesses nues à peine voilées, revint le regard brillant et la bouche humide, le prit par la main et le tira vers sa chambre. Sans un mot. Mais tout son corps parlait pour elle. Il l'embrassa, elle fit glisser les bretelles de son déshabillé, l'entraina vers le lit préalablement défait et le laissa parcourir ses seins, son ventre, son sexe dans un préliminaire de touchers qui la mit en ébullition. Elle tenta plusieurs fois de lui enlever son pantalon mais il se déroba avec une certaine perversité. Il lui exposa juste son torse glabre qu'elle caressa avant de revenir à la braguette. En vain. Il voulait qu'elle l'implore. Ce qu'elle fit :
- S'il te plait. Montre-la moi.
Il défit lentement sa ceinture et se glissa hors de son pantalon. La pine émergeait du slip. Tendue, fine, impatiente. Elle la dégagea avec fébrilité et l'engloutit avec voracité, à genoux sur le lit. Le gland toucha l'intérieur de ses joues, leur faisant une sorte de bosse avant d'être pris en charge par la langue et les lèvres. Elle la dégustait comme un mets fin, les yeux clos ou dirigés vers les siens pour guetter ses réactions. Mais lui voulait voir son cul, la partie de son corps qui l'intéressait le plus. Comme elle avait hâte d'être pénétrée, elle ne fit aucune difficulté pour se mettre à quatre pattes, en attente. Il avait tiré de son pantalon un préservatif, signe qu'il savait où il allait. Avant de l'enfiler, il considéra les fesses joufflues de la quinquagénaire, à raie longue, bien éloignée des petites croupes asiatiques qui faisaient son ordinaire. Il les mordilla, les lécha jusqu'à l'anus, la mit au supplice :
- Viens, je t'en supplie, viens !
Quand il la pénétra en levrette, elle poussa un cri rauque qui l'étonna dans cette bouche distinguée. La bourgeoise devenait femelle et il l'honora avec vigueur. La tige longue et fine du livreur atteignit Mylène dans des profondeurs quasi inédites et de la chair de poule parcourut son corps incendié. Elle venait le chercher à grands coups de hanches, tournait la tête par-dessus son épaule pour l'observer et l'encourager en même temps à poursuivre et surtout à se retenir. Mais le jeune homme, très maître de lui, avait de la ressource.
Par la suite, ils multiplièrent les positions, s'offrirent même un 69, le premier de Mylène depuis plusieurs années. Pendant qu'elle le chevauchait ou l'encerclait de ses mollets, elle lui montrait le visage rayonnant de la femme bien baisée, ou tout simplement baisée. Entre deux râles ou soupirs, elle vantait son endurance, sa virilité, sa beauté. Il ne lui serait pas venu à l'esprit qu'elle commettait l'adultère. C'était dans son esprit un épisode sexuel pour la faire redevenir femme. Ce petit mec supérieurement membré pouvait tout lui faire du moment qu'il la baisait comme une chienne en chaleur. C'est pourquoi elle ne fit aucune objection lorsqu'il la positionna pour la sodomiser. Il entra dans son rectum avec une telle facilité qu'elle en fut la première surprise. La jouissance inédite qu'elle en retira se manifesta par une série de couinements stridents qui agirent sur les couilles du livreur, lequel fut cette fois incapable de retenir son sperme. Il s'effondra sur elle comme un clébard en saillie et elle bava sur le drap, ses cheveux blond vénitien étalés dessus.
Elle voulut le garder dans son lit mais après avoir repris ses esprits, il se rhabilla, l'embrassa légèrement sur la bouche et s'échappa en souplesse. Elle se retrouva seule, une fois de plus, à la différence majeure que tout son corps conservait la mémoire des multiples assauts du livreur. Plus apaisée que frustrée, elle prit une douche, se regarda dans la glace, se tâta les seins qu'il avait abondamment pétris, inspecta ses fesses qu'il avait si bien léchées et écartées, constata ses rides qu'il avait ignorés et se coucha nue. Longue à trouver le sommeil parce qu'elle refaisait dans la tête sa séance de baise, elle finit par s'y plonger. Demain serait un autre jour, pas forcément avec des sushis au menu du soir car elle avait plutôt envie d'une bonne pizza; Avec livreur jeune si possible.
CORALIE ET LE NOTABLE
Lorsqu'elle sortit de sa voiture sur le parking du stade avec son amie Rachel, Coralie tomba nez à nez avec M. X. , une sommité politique de sa région. Il était venu comme elle assister à un grand match de rugby. Il la salua comme s'il la connaissait, elle répondit à son salut, et le trio prit de conserve la direction de l'entrée du stade. Sur le trajet pédestre, M. X. montra un intérêt poli pour Rachel mais très marqué pour Coralie qui la stupéfia en même temps qu'il la flatta. Il lui fit compliment pour sa tenue -blouson de cuir écarlate, pantalon corsaire moulant- et sa coiffure -coupe au carré avec raie sur le côté-, la félicita pour s'intéresser au rugby, le tout en ayant ralenti sa marche pour prolonger l'entrevue. "Mais ma parole, il me drague !" se dit in petto Coralie. Elle était d'autant plus surprise que Rachel, son accompagnatrice, petit format mais vrai canon, était bien plus attrayante qu'elle.
Pourtant, l'impression qu'elle était bel et bien l'objet d'une drague soutenue fut confirmée lorsqu'après l'entrée, au moment où M.X. allait gagner la tribune officielle, il lui laissa sa carte de visite agrémentée de son numéro de portable personnel :
- Si vous avez besoin de quoi que ce soit, appelez-moi. Et même si vous n'avez besoin de rien d'ailleurs, lui dit-il dans un sourire.
Coralie prit la carte de visite, la fourra dans son sac et salua le notable avant de gagner sa place en compagnie de son amie. Celle-ci lui dit alors :
- Dis donc, il t'a fait un sacré rentre dedans, le monsieur.
- Ouais et j'en suis la première surprise alors qu'il t'a juste saluée. Il doit faire son numéro à toutes les nanas, c'est un dragueur qui use de son pouvoir.
- Sans doute, oui, mais il faut reconnaitre qu'il n'est pas mal. Elégant, racé et quelque chose me dit qu'il doit assurer au lit. Il a quel âge à ton avis ?
- Sais pas. La cinquantaine à vue de nez. Dix ou quinze ans de plus que moi, quoi. Il m'a laissé son numéro perso, regarde.
- Tu vas l'appeler, hein ? Tu n'arrêtes pas de me bassiner depuis que ton mec t'a plaquée. Au moins, tu baiseras peut-être utile.
Coralie ne répondit pas. Mais dans les tribunes, tout en regardant le match, elle repensa à la réflexion de Rachel. C'est vrai qu'il y avait un bon moment qu'elle n'avait pas vu de bite. Elle était même dégoûtée du sexe depuis que son julot l'avait quittée en lui disant qu'il allait "réfléchir". Il avait tellement bien réfléchi qu'il était resté "avec sa poule", dixit Coralie à Rachel, qui n'avait pas ce souci puisque toujours en couple. Coralie était quand même étonnée par l'intérêt du quinquagénaire. Certes, elle n'était pas laide avec son corps solidement bâti d'ancienne joueuse de rugby, 1,75m pieds nus, 70 kg, bien proportionnée, son visage un peu anguleux mais sans disgrâce barré par ses éternelles lunettes rectangulaires de myope. Mais il avait sûrement possibilité de trouver mieux, le type. N'empêche : il lui avait donné son numéro de portable. C'était une réalité. Elle y vit l'opportunité de demander une petite rallonge de subvention pour le club de rugby féminin dont elle s'occupait, si pauvre en ressources financières. Sans pour autant "coucher", bien entendu.
Elle l'appela dès le lendemain afin qu'il ne perde pas la mémoire de leur rencontre.
- Ah oui, la belle fille du parking du stade, ravi que vous me rappeliez, lui dit-il.
Elle lui exposa son désir de le rencontrer pour plaider la cause de son club, pensant ainsi éluder toute ambiguïté. Il accepta et lui donna rendez-vous à son domicile pour un dîner, ce qui la surprit. Vivait-il seul ? La sagesse commandait de refuser le lieu. Et pourtant, elle dit oui au rendez-vous, par une impulsion irréfléchie et automatique.
A tout hasard, elle soigna sa tenue, opta exceptionnellement pour une robe à boutons sur le devant, sans collants vu la température ambiante, confiante en la musculature de ses jambes fines de coureuse des terrains. Il l'accueillit en bras de chemises, sans cravate. Elle prit seulement conscience de son physique : plus grand qu'elle, sans embonpoint, calvitie effacée par le rasoir. Assez sexy en somme, fallait l'admettre. Il vivait donc seul, s'annonça séparé de son épouse et bousculé par un agenda surchargé. Il avait fait venir un traiteur pour leur dîner. Paella au menu arrosée de chianti. Au fil du repas, Coralie se détendit. Il lui avait promis sa rallonge de subvention au prochain budget et elle confia ses déboires conjugaux.
- Ainsi donc, vous êtes une femme libre. Mais êtes-vous libérée ? lui demanda-t-il, un sourire en coin.
Coralie comprit l'allusion. Elle avait deviné depuis un moment que M.X., qui avait demandé à se faire appeler par son prénom, voulait la sauter.
- En fait, vous voulez savoir si je baise, répondit-elle avec aplomb.
Il éclata de rire, se leva de table, la prit par la main et la conduisit vers le canapé. Assis à ses côtés, il lui dit, passant du vouvoiement au tutoiement :
- Je ne sais pas si tu baises, Coralie, mais moi, j'ai envie de te baiser.
Et il l'embrassa. Elle ne se déroba pas à sa bouche mais il eut alors une attitude surprenante. Plutôt que de pousser son avantage comme elle s'y attendait, car elle était déjà bien mûre sous l'effet conjugué du chianti et d'une envie de pénis longtemps refoulée, il lui dit :
- Tu sais que nous, les élus, on est souvent l'objet de procès pour harcèlement sexuel plus ou moins avéré. Moi, je veux être sûr que tu en as vraiment envie et que tu ne me feras pas d'histoire. Alors, on va se filmer en faisant l'amour. Je ne ferai bien entendu aucun usage de la vidéo et ce n'est de toute façon pas mon intérêt. C'est juste une précaution, tu me comprends ?
Coralie n'était pas en état de faire des manières. Au contraire, étant un peu exhib sur les bords, cette perspective l'excitait. Et tant mieux si ça devait un jour, qui sait, passer devant les yeux de son ex. Il avait raison de dire qu'il risquait plus qu'elle. Elle laissa son futur amant installer la caméra devant le canapé qui allait donc être le théâtre de leurs ébats. Cela tombait bien, elle adorait baiser sur un canapé, plus propice qu'un simple lit.
Il s'affaira sans hâte sur la robe à boutons, qui s'ouvrit sur ses sous-vêtements, soutif pigeonnant et mini slip. N'ayant pas envie de passer pour nunuche, elle posa franchement sa main sur sa braguette et l'examen la rassura : il bandait dur pour elle. Un à un, les vêtements volèrent dans la pièce. Coralie lui exposa ses seins pointus et son pubis taillé en triangle tandis qu'il dévoilait un torse velu, assez puissant, et surtout une bite épaisse et horizontale surgissant d'une forêt de poils, bizarrement incurvée sur le côté. Comme si elle avait beaucoup servi. Elle la titilla de la langue pendant qu'il lui caressait les seins et elle eut soudain très envie de lui. Le manque de sexe avait surgi de son être et elle le pria instamment de passer à l'acte, le tutoyant à son tour comme il l'avait fait à la sortie de table.
Tout en posant un préservatif sur son pénis tendu, il lui demanda de garder ses lunettes "parce que ça te rend vraiment très sexy", puis de rester dans le champ de la caméra. La suite fut une cavalcade effrénée. Tantôt allongée, tantôt à genoux, de dos ou face à l'objectif, Coralie cavalait sur la bite avec l'énergie d'une femelle en manque et d'une ex rugbywoman disposant de capacités physiques nettement au-dessus de la moyenne. Le notable répondait tant bien que mal à cette débordante demande qui mettait son canapé au supplice. Il suait, soufflait mais limait, à la fois anxieux de ne pas être à la hauteur mais aussi enthousiasmé d'avoir levé ce coup en or massif. Il lui rendit un hommage verbal appuyé au cours d'une courte pause qui rassura Coralie sur son potentiel sexuel, dont elle avait fini par douter après sa rupture. Elle avait complètement oublié la caméra. Elle ne pensait qu'à se faire rentrer dedans. Et quand le notable, alors qu'elle se trouvait à genoux, le museau sur le dossier, lui proposa de la sodomiser, elle lui répondit :
- Tout ce que tu veux du moment que tu continues à me baiser.
C'était plus qu'il n'en espérait, mais il était maintenant au bout de son rouleau. Après être entré assez facilement dans son rectum et fait claquer son bas-ventre contre les fesses imposantes mais musclées de Coralie, il éjacula dans un cri rauque qui la fit sursauter. Il ne fallait pas qu'il meure d'une crise cardiaque dans son cul...
Ils se revirent deux fois chez lui, dans les mêmes dispositions de sexe et de vidéo. Il tint parole pour la subvention, inscrite au budget, et Coralie commençait à s'attacher à lui. Elle s'en ouvrit à Rachel, qui ne fut pas surprise de la tournure des événements. Néanmoins, elle posa une question qui fit pâlir Coralie :
- Il t'a fait le coup de la vidéo devant son canapé pendant que vous baisiez ?
- Co... comment tu le sais ?
- Ma pauvre ! Qu'est-ce que tu crois ? On est quelques unes à y être passées avant toi. Comment crois-tu que j'ai obtenu mon job ?
Ce fut comme si le ciel était tombé sur la tête de Coralie. Elle comprenait tout désormais. Pourquoi il s'était intéressé à elle et pas à Rachel puisque M. X. l'avait déjà sautée. Elle n'était qu'une proie parmi d'autres. Elle se mit à pleurer sur son sort. Rachel la consola :
- Allons, remets-toi. Il t'a fait jouir au moins ?
Elle fit oui de la tête.
- Eh ben, c'est l'essentiel et tu as eu ton fric. Maintenant, si tu veux un conseil, passe à autre chose.
Coralie ne répondit plus aux appels de M. X. qui finit par se lasser. Mais cette aventure n'avait pas été vaine. Et pas seulement pour l'argent. Elle était redevenue "open".
A première vue, Mylène avait tout pour être heureuse. Mariée à un chirurgien, débarrassée des soucis éducatifs, vivant dans un quartier bourgeois, toujours impeccablement coiffée (magnifiques cheveux blond vénitien) et habillée (des meilleures marques), jouissant d'un corps harmonieux, sans défaut apparent, elle abordait la cinquantaine avec toutes les possibilités de profiter pleinement de sa maturité.
Et pourtant, quelque chose clochait. Son mari avait obtenu un poste élevé dans un grand groupe médical et devait exercer dans la région parisienne tandis qu'elle devait demeurer dans une métropole provinciale en raison d'un engagement au sein de la municipalité locale en tant qu'élue. Pas question de renoncer à cette satisfaction personnelle pour rejoindre celui qui lui offrait un appréciable confort financier, à commencer par son logement. D'un commun accord, le couple avait donc décidé de vivre séparément, sans pour autant rompre le lien conjugal. Ils se retrouvaient simplement pour les vacances au cours desquelles ils renouaient avec la vie maritale, sous toutes ses formes.
Pour autant, avec ses amies intimes, Mylène reconnaissait une insatisfaction, et il ne fallait pas la pousser beaucoup pour qu'elle avoue une certaine frustration sexuelle. La nature n'avait pas été injuste avec elle et sa classe naturelle la rendait toujours attrayante auprès des hommes. Elle se refusait pourtant à commettre l'adultère et à mener une double vie, dont elle percevait le danger pour son confort matériel. Et puis, elle avait toujours de l'affection pour son mari, même s'il ne la faisait plus vraiment jouir au lit.
Les circonstances allaient cependant modifier quelque peu son état d'esprit, sans pour autant entrainer un chamboulement. Un soir qu'elle était rentrée tard du conseil municipal, elle commanda à une boutique de sushi voisine un plat tout prêt à consommer. Quelques minutes plus tard déboula un jeune homme de type asiatique qu'elle trouva charmant et même très beau. Elle lui donna un beau pourboire après avoir tenté d'entamer une conversation mais l'intéressé prétexta une livraison urgente pour s'échapper, ce qu'elle regretta. Elle lui demanda juste son prénom. Il s'appelait Tao.
Les mêmes circonstances se produisirent le lendemain et elle demanda expressément d'être livrée par Tao. Elle avait beaucoup pensé à lui entre temps et même rêvé qu'elle lui faisait l'amour. Elle avait toujours été attirée par les Asiatiques, en ayant même "consommé" un dans sa jeunesse et conservé un souvenir ému. Elle l'accueillit dans une tenue nettement différente de la veille. Un très léger déshabillé dévoilant par transparence un mini slip blanc et masquait à peine les aréoles brunes de ses seins en poire, libres sous l'étoffe. Elle entendait ainsi montrer au jeune asiatique qu'elle restait une femme sexuellement attirante, sans autre objectif immédiat. Mais l'intéressé prit ce changement comme une invite. Il la quitta après un baise main très civil qui remonta jusqu'au creux du bras. Ce toucher délicat embrasa le corps délaissé de Mylène et elle fut à deux doigts de le retenir par le pantalon. Ce soir là, elle se masturba frénétiquement en pensant à Tao. Il avait déclenché chez elle quelque chose qu'elle savait irrésistible mais qu'elle se refusait à considérer comme un adultère potentiel. Juste un besoin corporel, naturel, hygiénique, de s'unir à un corps d'homme.
Il va sans dire qu'elle ne tarda pas à recommander des sushis. Mais cette fois, elle ne mit pas de slip sous son déshabillé. Il ne pourrait pas manquer son triangle des Bermudes. Ni se dérober à son invite implicite. Il arriva plus tard que prévu, ce qui la fit bouillir. C'était en fait pour liquider d'autres livraisons pour de son point de vue prendre le temps de sauter cette cliente chaude comme un brasero.
Quand il arriva, Mylène prit la boite des mains du livreur, la porta à la cuisine en se cambrant sous son déshabillé, lui offrant ainsi le spectacle de la raie de ses fesses nues à peine voilées, revint le regard brillant et la bouche humide, le prit par la main et le tira vers sa chambre. Sans un mot. Mais tout son corps parlait pour elle. Il l'embrassa, elle fit glisser les bretelles de son déshabillé, l'entraina vers le lit préalablement défait et le laissa parcourir ses seins, son ventre, son sexe dans un préliminaire de touchers qui la mit en ébullition. Elle tenta plusieurs fois de lui enlever son pantalon mais il se déroba avec une certaine perversité. Il lui exposa juste son torse glabre qu'elle caressa avant de revenir à la braguette. En vain. Il voulait qu'elle l'implore. Ce qu'elle fit :
- S'il te plait. Montre-la moi.
Il défit lentement sa ceinture et se glissa hors de son pantalon. La pine émergeait du slip. Tendue, fine, impatiente. Elle la dégagea avec fébrilité et l'engloutit avec voracité, à genoux sur le lit. Le gland toucha l'intérieur de ses joues, leur faisant une sorte de bosse avant d'être pris en charge par la langue et les lèvres. Elle la dégustait comme un mets fin, les yeux clos ou dirigés vers les siens pour guetter ses réactions. Mais lui voulait voir son cul, la partie de son corps qui l'intéressait le plus. Comme elle avait hâte d'être pénétrée, elle ne fit aucune difficulté pour se mettre à quatre pattes, en attente. Il avait tiré de son pantalon un préservatif, signe qu'il savait où il allait. Avant de l'enfiler, il considéra les fesses joufflues de la quinquagénaire, à raie longue, bien éloignée des petites croupes asiatiques qui faisaient son ordinaire. Il les mordilla, les lécha jusqu'à l'anus, la mit au supplice :
- Viens, je t'en supplie, viens !
Quand il la pénétra en levrette, elle poussa un cri rauque qui l'étonna dans cette bouche distinguée. La bourgeoise devenait femelle et il l'honora avec vigueur. La tige longue et fine du livreur atteignit Mylène dans des profondeurs quasi inédites et de la chair de poule parcourut son corps incendié. Elle venait le chercher à grands coups de hanches, tournait la tête par-dessus son épaule pour l'observer et l'encourager en même temps à poursuivre et surtout à se retenir. Mais le jeune homme, très maître de lui, avait de la ressource.
Par la suite, ils multiplièrent les positions, s'offrirent même un 69, le premier de Mylène depuis plusieurs années. Pendant qu'elle le chevauchait ou l'encerclait de ses mollets, elle lui montrait le visage rayonnant de la femme bien baisée, ou tout simplement baisée. Entre deux râles ou soupirs, elle vantait son endurance, sa virilité, sa beauté. Il ne lui serait pas venu à l'esprit qu'elle commettait l'adultère. C'était dans son esprit un épisode sexuel pour la faire redevenir femme. Ce petit mec supérieurement membré pouvait tout lui faire du moment qu'il la baisait comme une chienne en chaleur. C'est pourquoi elle ne fit aucune objection lorsqu'il la positionna pour la sodomiser. Il entra dans son rectum avec une telle facilité qu'elle en fut la première surprise. La jouissance inédite qu'elle en retira se manifesta par une série de couinements stridents qui agirent sur les couilles du livreur, lequel fut cette fois incapable de retenir son sperme. Il s'effondra sur elle comme un clébard en saillie et elle bava sur le drap, ses cheveux blond vénitien étalés dessus.
Elle voulut le garder dans son lit mais après avoir repris ses esprits, il se rhabilla, l'embrassa légèrement sur la bouche et s'échappa en souplesse. Elle se retrouva seule, une fois de plus, à la différence majeure que tout son corps conservait la mémoire des multiples assauts du livreur. Plus apaisée que frustrée, elle prit une douche, se regarda dans la glace, se tâta les seins qu'il avait abondamment pétris, inspecta ses fesses qu'il avait si bien léchées et écartées, constata ses rides qu'il avait ignorés et se coucha nue. Longue à trouver le sommeil parce qu'elle refaisait dans la tête sa séance de baise, elle finit par s'y plonger. Demain serait un autre jour, pas forcément avec des sushis au menu du soir car elle avait plutôt envie d'une bonne pizza; Avec livreur jeune si possible.
CORALIE ET LE NOTABLE
Lorsqu'elle sortit de sa voiture sur le parking du stade avec son amie Rachel, Coralie tomba nez à nez avec M. X. , une sommité politique de sa région. Il était venu comme elle assister à un grand match de rugby. Il la salua comme s'il la connaissait, elle répondit à son salut, et le trio prit de conserve la direction de l'entrée du stade. Sur le trajet pédestre, M. X. montra un intérêt poli pour Rachel mais très marqué pour Coralie qui la stupéfia en même temps qu'il la flatta. Il lui fit compliment pour sa tenue -blouson de cuir écarlate, pantalon corsaire moulant- et sa coiffure -coupe au carré avec raie sur le côté-, la félicita pour s'intéresser au rugby, le tout en ayant ralenti sa marche pour prolonger l'entrevue. "Mais ma parole, il me drague !" se dit in petto Coralie. Elle était d'autant plus surprise que Rachel, son accompagnatrice, petit format mais vrai canon, était bien plus attrayante qu'elle.
Pourtant, l'impression qu'elle était bel et bien l'objet d'une drague soutenue fut confirmée lorsqu'après l'entrée, au moment où M.X. allait gagner la tribune officielle, il lui laissa sa carte de visite agrémentée de son numéro de portable personnel :
- Si vous avez besoin de quoi que ce soit, appelez-moi. Et même si vous n'avez besoin de rien d'ailleurs, lui dit-il dans un sourire.
Coralie prit la carte de visite, la fourra dans son sac et salua le notable avant de gagner sa place en compagnie de son amie. Celle-ci lui dit alors :
- Dis donc, il t'a fait un sacré rentre dedans, le monsieur.
- Ouais et j'en suis la première surprise alors qu'il t'a juste saluée. Il doit faire son numéro à toutes les nanas, c'est un dragueur qui use de son pouvoir.
- Sans doute, oui, mais il faut reconnaitre qu'il n'est pas mal. Elégant, racé et quelque chose me dit qu'il doit assurer au lit. Il a quel âge à ton avis ?
- Sais pas. La cinquantaine à vue de nez. Dix ou quinze ans de plus que moi, quoi. Il m'a laissé son numéro perso, regarde.
- Tu vas l'appeler, hein ? Tu n'arrêtes pas de me bassiner depuis que ton mec t'a plaquée. Au moins, tu baiseras peut-être utile.
Coralie ne répondit pas. Mais dans les tribunes, tout en regardant le match, elle repensa à la réflexion de Rachel. C'est vrai qu'il y avait un bon moment qu'elle n'avait pas vu de bite. Elle était même dégoûtée du sexe depuis que son julot l'avait quittée en lui disant qu'il allait "réfléchir". Il avait tellement bien réfléchi qu'il était resté "avec sa poule", dixit Coralie à Rachel, qui n'avait pas ce souci puisque toujours en couple. Coralie était quand même étonnée par l'intérêt du quinquagénaire. Certes, elle n'était pas laide avec son corps solidement bâti d'ancienne joueuse de rugby, 1,75m pieds nus, 70 kg, bien proportionnée, son visage un peu anguleux mais sans disgrâce barré par ses éternelles lunettes rectangulaires de myope. Mais il avait sûrement possibilité de trouver mieux, le type. N'empêche : il lui avait donné son numéro de portable. C'était une réalité. Elle y vit l'opportunité de demander une petite rallonge de subvention pour le club de rugby féminin dont elle s'occupait, si pauvre en ressources financières. Sans pour autant "coucher", bien entendu.
Elle l'appela dès le lendemain afin qu'il ne perde pas la mémoire de leur rencontre.
- Ah oui, la belle fille du parking du stade, ravi que vous me rappeliez, lui dit-il.
Elle lui exposa son désir de le rencontrer pour plaider la cause de son club, pensant ainsi éluder toute ambiguïté. Il accepta et lui donna rendez-vous à son domicile pour un dîner, ce qui la surprit. Vivait-il seul ? La sagesse commandait de refuser le lieu. Et pourtant, elle dit oui au rendez-vous, par une impulsion irréfléchie et automatique.
A tout hasard, elle soigna sa tenue, opta exceptionnellement pour une robe à boutons sur le devant, sans collants vu la température ambiante, confiante en la musculature de ses jambes fines de coureuse des terrains. Il l'accueillit en bras de chemises, sans cravate. Elle prit seulement conscience de son physique : plus grand qu'elle, sans embonpoint, calvitie effacée par le rasoir. Assez sexy en somme, fallait l'admettre. Il vivait donc seul, s'annonça séparé de son épouse et bousculé par un agenda surchargé. Il avait fait venir un traiteur pour leur dîner. Paella au menu arrosée de chianti. Au fil du repas, Coralie se détendit. Il lui avait promis sa rallonge de subvention au prochain budget et elle confia ses déboires conjugaux.
- Ainsi donc, vous êtes une femme libre. Mais êtes-vous libérée ? lui demanda-t-il, un sourire en coin.
Coralie comprit l'allusion. Elle avait deviné depuis un moment que M.X., qui avait demandé à se faire appeler par son prénom, voulait la sauter.
- En fait, vous voulez savoir si je baise, répondit-elle avec aplomb.
Il éclata de rire, se leva de table, la prit par la main et la conduisit vers le canapé. Assis à ses côtés, il lui dit, passant du vouvoiement au tutoiement :
- Je ne sais pas si tu baises, Coralie, mais moi, j'ai envie de te baiser.
Et il l'embrassa. Elle ne se déroba pas à sa bouche mais il eut alors une attitude surprenante. Plutôt que de pousser son avantage comme elle s'y attendait, car elle était déjà bien mûre sous l'effet conjugué du chianti et d'une envie de pénis longtemps refoulée, il lui dit :
- Tu sais que nous, les élus, on est souvent l'objet de procès pour harcèlement sexuel plus ou moins avéré. Moi, je veux être sûr que tu en as vraiment envie et que tu ne me feras pas d'histoire. Alors, on va se filmer en faisant l'amour. Je ne ferai bien entendu aucun usage de la vidéo et ce n'est de toute façon pas mon intérêt. C'est juste une précaution, tu me comprends ?
Coralie n'était pas en état de faire des manières. Au contraire, étant un peu exhib sur les bords, cette perspective l'excitait. Et tant mieux si ça devait un jour, qui sait, passer devant les yeux de son ex. Il avait raison de dire qu'il risquait plus qu'elle. Elle laissa son futur amant installer la caméra devant le canapé qui allait donc être le théâtre de leurs ébats. Cela tombait bien, elle adorait baiser sur un canapé, plus propice qu'un simple lit.
Il s'affaira sans hâte sur la robe à boutons, qui s'ouvrit sur ses sous-vêtements, soutif pigeonnant et mini slip. N'ayant pas envie de passer pour nunuche, elle posa franchement sa main sur sa braguette et l'examen la rassura : il bandait dur pour elle. Un à un, les vêtements volèrent dans la pièce. Coralie lui exposa ses seins pointus et son pubis taillé en triangle tandis qu'il dévoilait un torse velu, assez puissant, et surtout une bite épaisse et horizontale surgissant d'une forêt de poils, bizarrement incurvée sur le côté. Comme si elle avait beaucoup servi. Elle la titilla de la langue pendant qu'il lui caressait les seins et elle eut soudain très envie de lui. Le manque de sexe avait surgi de son être et elle le pria instamment de passer à l'acte, le tutoyant à son tour comme il l'avait fait à la sortie de table.
Tout en posant un préservatif sur son pénis tendu, il lui demanda de garder ses lunettes "parce que ça te rend vraiment très sexy", puis de rester dans le champ de la caméra. La suite fut une cavalcade effrénée. Tantôt allongée, tantôt à genoux, de dos ou face à l'objectif, Coralie cavalait sur la bite avec l'énergie d'une femelle en manque et d'une ex rugbywoman disposant de capacités physiques nettement au-dessus de la moyenne. Le notable répondait tant bien que mal à cette débordante demande qui mettait son canapé au supplice. Il suait, soufflait mais limait, à la fois anxieux de ne pas être à la hauteur mais aussi enthousiasmé d'avoir levé ce coup en or massif. Il lui rendit un hommage verbal appuyé au cours d'une courte pause qui rassura Coralie sur son potentiel sexuel, dont elle avait fini par douter après sa rupture. Elle avait complètement oublié la caméra. Elle ne pensait qu'à se faire rentrer dedans. Et quand le notable, alors qu'elle se trouvait à genoux, le museau sur le dossier, lui proposa de la sodomiser, elle lui répondit :
- Tout ce que tu veux du moment que tu continues à me baiser.
C'était plus qu'il n'en espérait, mais il était maintenant au bout de son rouleau. Après être entré assez facilement dans son rectum et fait claquer son bas-ventre contre les fesses imposantes mais musclées de Coralie, il éjacula dans un cri rauque qui la fit sursauter. Il ne fallait pas qu'il meure d'une crise cardiaque dans son cul...
Ils se revirent deux fois chez lui, dans les mêmes dispositions de sexe et de vidéo. Il tint parole pour la subvention, inscrite au budget, et Coralie commençait à s'attacher à lui. Elle s'en ouvrit à Rachel, qui ne fut pas surprise de la tournure des événements. Néanmoins, elle posa une question qui fit pâlir Coralie :
- Il t'a fait le coup de la vidéo devant son canapé pendant que vous baisiez ?
- Co... comment tu le sais ?
- Ma pauvre ! Qu'est-ce que tu crois ? On est quelques unes à y être passées avant toi. Comment crois-tu que j'ai obtenu mon job ?
Ce fut comme si le ciel était tombé sur la tête de Coralie. Elle comprenait tout désormais. Pourquoi il s'était intéressé à elle et pas à Rachel puisque M. X. l'avait déjà sautée. Elle n'était qu'une proie parmi d'autres. Elle se mit à pleurer sur son sort. Rachel la consola :
- Allons, remets-toi. Il t'a fait jouir au moins ?
Elle fit oui de la tête.
- Eh ben, c'est l'essentiel et tu as eu ton fric. Maintenant, si tu veux un conseil, passe à autre chose.
Coralie ne répondit plus aux appels de M. X. qui finit par se lasser. Mais cette aventure n'avait pas été vaine. Et pas seulement pour l'argent. Elle était redevenue "open".
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Micky,
Une suite de petite histoire qui se lisent avec beaucoup de plaisirs.
Merci et surtout continues de nous régaler ainsi
Une suite de petite histoire qui se lisent avec beaucoup de plaisirs.
Merci et surtout continues de nous régaler ainsi
Pas sympa (ou très sympa au contraire, c'est selon) la Coralie qui a laissé la copine
aller au casse-pipe (oui, enfin...) sans la prévenir qu'il allait s'agir de compléter la
collection vidéo du monsieur. N'empêche qu'elle y a trouvé son compte. N'est-ce pas
l'essentiel?
Quant à Christelle souhaitons-lui un livreur de pizzas aussi coopérant et aussi bien
monté que le livreur de sushis asiatique.
J'adore vos récits.
aller au casse-pipe (oui, enfin...) sans la prévenir qu'il allait s'agir de compléter la
collection vidéo du monsieur. N'empêche qu'elle y a trouvé son compte. N'est-ce pas
l'essentiel?
Quant à Christelle souhaitons-lui un livreur de pizzas aussi coopérant et aussi bien
monté que le livreur de sushis asiatique.
J'adore vos récits.
Voilà deux femmes, qui assument dans un cadre "politique".
Mylene fait son miel avec le livreur de sushis, alors que Coralie connait le plaisir avec
un politicien libertin
Ce qui compte c'est le plaisir et ces deux femmes n'ont pas laissé passé l'occasion
Merci Micky pour ces beaux portraits et ces scènes si subliment érotiques!
Mylene fait son miel avec le livreur de sushis, alors que Coralie connait le plaisir avec
un politicien libertin
Ce qui compte c'est le plaisir et ces deux femmes n'ont pas laissé passé l'occasion
Merci Micky pour ces beaux portraits et ces scènes si subliment érotiques!