Fermeture du bar
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-07-2013 dans la catégorie A dormir debout
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Fermeture du bar
J’ai de la chance cette nuit, je ferme le bar comme d’habitude à 2 heures du matin. Il ne reste que les amies sur lesquels je peux compter. Je me trouve seul avec quatre filles du genre excitées comme tous les jours. Elles savent que je ne vais pas les déranger, alors je les laisse tranquilles dans leur débauche que je partage souvent quand je peux. J’ai un casier comme dans les restaurants d’antan où les clients réguliers mettaient leur serviette après les repas, sauf que je ne garde pas de serviette, je règne sur le royaume du gode. Dans la journée quand je le regarde, j’ai envie de les sortir pour les sentir: s’ils n’ont pas été lavés, ils portent encore les odeurs intimes des sexes qu’ils ont pénétrés.
Enfin seules les filles se déchaînent presque d’un seul coup. Je vois bien la première passer un main sous la jupe de sa voisine. Je vois cette dernière ouvrir les jambes sans pudeur: elle se donne au plaisir qui va venir.
Je vais essayer de vous les présenter: d’abord honneur aux plus âgées: d’abord Françoise, pas loin de 30 ans, joli minois, belle poitrine qui tient bien dans la main d’un honnête homme, c’est la spécialiste des aventures bi sexuelles. Rien de lui fait peur, pas même une bouteille de coca dans la chatte.
- Ensuite Elodie, vieux prénom, par contre un besoin constant de jouissance, comme Françoise elle aime les deux sexe.
- La suivant, Pascale est tout terrain, elle aime les amours épicés, surtout si l’épice est muni d’une belle queue. Elle aime la sodomie.
- La dernière, Florence, dite Flo préfère souvent la masturbation. Et moi, le seul homme au milieu.
Je ne suis pas à plaindre, je peux souvent participer à leur fêtes ou commémorations comme elle nomment leurs saturnales ou bacchanales comme vous voudrez. Pour elles tout est prétexte à faire l’amour chez moi. Heureusement que je ferme les rideaux et la porte: j’aurais la police aux fesses sans arrêt.
Ce soir elles me semblent particulièrement en forme. Ce n’est pourtant pas ce qu’elles ont bu. Les sodas n’ont jamais démoli une femmes sinon leur intestin.
Donc Flo a commencé à passé une main entre les jambes de sa voisine Françoise qui la laisse faire évidemment. La bouche suit pour se poser sur celle qu’elle branle. Françoise aime bien la bouche de Flo. Je l’ai vérifié moi-même: Flo a du apprendre dans une école spécialisée les différentes façons d’embrasser que se soit une bouche, une chatte ou même une bite.
C’est le départ d’une partie où je sais qu’elles aurons besoin de mes services, de mon service trois pièces plus exactement. Les chaises ne suffisent pas, ni les tables. Quel endroit est meilleur qu’un comptoir de bar, assise une fille les jambes ouvertes est à la portée d’un bouche. Elles le savent toutes.
Pascale la première a besoin d’un petit service. Elodie est prête à le lui rendre. Il lui faut quand même les deux instruments indispensables: les godes de chacune; Elodie se met en tenue de combat: nue comme Eve, le sexe bien mouillé, les mains sur les seins. Pascale l’attends patiemment, elle aussi nue.
Même si je suis bien habitué à voir leur corps, je ne suis qu’un homme: je commence à bander en sachant ce qu’elles vont faire.
Pascale est assise au bord du bar, le corps vers la salle. Elodie est elle sur un tabouret, les jambe aussi ouverte, le gode planté dans la chatte, elle est penchée légèrement sur le ventre de notre amie. Je vois sa langue sortir de sa bouche et darder vers le clitoris bien gonflé. Pour le moment elle ne fait que le lécher du bout de la langue. Elle passe sa langue dans toute la fente de son amie, s’arrête un bon moment sur l’anus, dans l’intention évidente d’y entrer. Elle ne le fait pas, sa langue largement ouverte est sur le clitoris. Elle la lèche comme ferai un chien à une chienne en chaleur. Pascale gémit, se tortille dans tous les sens, se penche en arrière, le corps retenu seulement par ses bras. Elle est à peine surprise quand son amante entre le gode dans son anus. Les vas et viens du gode lui arrachent des soupirs comme si elle était privé de jouissance depuis des mois.
Je m’intéresse au couple Flo/Françoise. J’avais laissé Françoise avec la main de Flo qui la branlait. Elles ont dépassé ce stade depuis un bon moment. C’est Flo qui est nue, la proie de son amie. La bouche de Françoise est posé sur un sein. Flo peut et ne s’en prive pas de la masturber. La jupe de Françoise est remontée par devant, laissant le champ libre à son amie. Je suis attiré par ce couple qui s’aime devant moi. En plus je sais qu’elle auront besoin de ma bite pour la sodomie de Françoise. Je suis tout près du couple de gouine. Je relève la jupe de Françoise par derrière, je caresse les fesses longuement, aidée pas Flo. C’est elle qui écarte les fesses, me donnant ainsi accès à cet anus qui me plait bien: je l’ai pratiquer plusieurs fois déjà comme celui des autres. Pour moi Françoise est la meilleurs à enculer. Connaissant bien ma morphologie, Flo fait monter le plus haut possible mon prépuce. Elle me permet ainsi d’enculer sa compagne sans l’enduire de salive.
Je pousse à peine ma bite dans l’anus qu’elle est dedans, à sec; Pour nous deux le plaisir est plus fort, plus violent pour elle, surtout allié à la branlette que lui fait Flo. Nous jouissons ensemble. Je reste dans son cul: je ne débande pas pour son plaisir: elle aime trop la sodomie pour ça. Flo nous abandonne pour participer au plaisir de Pascale. Pour elle c’est simple, elle l’embrasse sur la bouche, la pelote, et caresse les seins de sa compagne. Elle participe à l’orgasme de Pascale sans rien en retirer.
Elle me demande son gode, je sors du cul de Françoise, lui donne ce qu’elle veut. Françoise se satisfait seule pendant que Flo me remercie en prenant ma bite dans la bouche. Elle me lèche à peu près partout sur la bite, des couilles au gland. Elle me mordille légèrement. Ma bite se transforme en un terrain de jeux pour bouches féminines. Je ne m’en pleins pas du tout, d’autant plus que j’inaugure une nouvelle position avec ma bite dans sa bouche j’ajoute un orteil dans son ouverture du bas, la plus grande.
J’ai baisé Françoise, sucé Flo, reste à faire jouir les deux autres; Je suis attiré par Elodie qui a l’entre jambe libre d’occupation humaine: un gode ne compte pas. Je suis derrière elle. Je sort son amant du moment pour le remplacer par ma bite bien vivante, même si elle n’est pas de première fraicheur après le séjour dans le bouche de Flo. Je bande quand même assez pour entre dans son cul que je ne ménage pas. J’adore les mouvement de son bassin pendant la sodomie: elle accompagne sous les mouvements comme pour jouer au houlahop. Inutile de dire que son orgasme est particulièrement prononcé. Elle est même obligée d ’abandonner la chatte de Pascale. Ca m’est égal, je la remplace à ma façon, si je la lèche et la suce, j’aspire son clitoris pour le relâcher et recommencer jusqu’au moment où Pascale jouit.
Cet exercice est le premier que je fait depuis plusieurs jours, essayer de contenter plusieurs femmes en chaleur.
Pour les filles ce n’est pas la fin elles continent leur amusements longuement. C’est ma femme qui au petit matin en venant ouvrir pour les lève tôt les voit encore jouir. Bien sur elle lui donne envie de jouir elle aussi. Elle ne se gène pas, sachant bien que vers le petit matin j’ai bien baisé les quatre nanas. Alors elle aussi se fait reluire la chatte deux fois par deux filles différentes. Elle me le dit plus tard. Tant mieux elle en a profité comme il faut.
Enfin seules les filles se déchaînent presque d’un seul coup. Je vois bien la première passer un main sous la jupe de sa voisine. Je vois cette dernière ouvrir les jambes sans pudeur: elle se donne au plaisir qui va venir.
Je vais essayer de vous les présenter: d’abord honneur aux plus âgées: d’abord Françoise, pas loin de 30 ans, joli minois, belle poitrine qui tient bien dans la main d’un honnête homme, c’est la spécialiste des aventures bi sexuelles. Rien de lui fait peur, pas même une bouteille de coca dans la chatte.
- Ensuite Elodie, vieux prénom, par contre un besoin constant de jouissance, comme Françoise elle aime les deux sexe.
- La suivant, Pascale est tout terrain, elle aime les amours épicés, surtout si l’épice est muni d’une belle queue. Elle aime la sodomie.
- La dernière, Florence, dite Flo préfère souvent la masturbation. Et moi, le seul homme au milieu.
Je ne suis pas à plaindre, je peux souvent participer à leur fêtes ou commémorations comme elle nomment leurs saturnales ou bacchanales comme vous voudrez. Pour elles tout est prétexte à faire l’amour chez moi. Heureusement que je ferme les rideaux et la porte: j’aurais la police aux fesses sans arrêt.
Ce soir elles me semblent particulièrement en forme. Ce n’est pourtant pas ce qu’elles ont bu. Les sodas n’ont jamais démoli une femmes sinon leur intestin.
Donc Flo a commencé à passé une main entre les jambes de sa voisine Françoise qui la laisse faire évidemment. La bouche suit pour se poser sur celle qu’elle branle. Françoise aime bien la bouche de Flo. Je l’ai vérifié moi-même: Flo a du apprendre dans une école spécialisée les différentes façons d’embrasser que se soit une bouche, une chatte ou même une bite.
C’est le départ d’une partie où je sais qu’elles aurons besoin de mes services, de mon service trois pièces plus exactement. Les chaises ne suffisent pas, ni les tables. Quel endroit est meilleur qu’un comptoir de bar, assise une fille les jambes ouvertes est à la portée d’un bouche. Elles le savent toutes.
Pascale la première a besoin d’un petit service. Elodie est prête à le lui rendre. Il lui faut quand même les deux instruments indispensables: les godes de chacune; Elodie se met en tenue de combat: nue comme Eve, le sexe bien mouillé, les mains sur les seins. Pascale l’attends patiemment, elle aussi nue.
Même si je suis bien habitué à voir leur corps, je ne suis qu’un homme: je commence à bander en sachant ce qu’elles vont faire.
Pascale est assise au bord du bar, le corps vers la salle. Elodie est elle sur un tabouret, les jambe aussi ouverte, le gode planté dans la chatte, elle est penchée légèrement sur le ventre de notre amie. Je vois sa langue sortir de sa bouche et darder vers le clitoris bien gonflé. Pour le moment elle ne fait que le lécher du bout de la langue. Elle passe sa langue dans toute la fente de son amie, s’arrête un bon moment sur l’anus, dans l’intention évidente d’y entrer. Elle ne le fait pas, sa langue largement ouverte est sur le clitoris. Elle la lèche comme ferai un chien à une chienne en chaleur. Pascale gémit, se tortille dans tous les sens, se penche en arrière, le corps retenu seulement par ses bras. Elle est à peine surprise quand son amante entre le gode dans son anus. Les vas et viens du gode lui arrachent des soupirs comme si elle était privé de jouissance depuis des mois.
Je m’intéresse au couple Flo/Françoise. J’avais laissé Françoise avec la main de Flo qui la branlait. Elles ont dépassé ce stade depuis un bon moment. C’est Flo qui est nue, la proie de son amie. La bouche de Françoise est posé sur un sein. Flo peut et ne s’en prive pas de la masturber. La jupe de Françoise est remontée par devant, laissant le champ libre à son amie. Je suis attiré par ce couple qui s’aime devant moi. En plus je sais qu’elle auront besoin de ma bite pour la sodomie de Françoise. Je suis tout près du couple de gouine. Je relève la jupe de Françoise par derrière, je caresse les fesses longuement, aidée pas Flo. C’est elle qui écarte les fesses, me donnant ainsi accès à cet anus qui me plait bien: je l’ai pratiquer plusieurs fois déjà comme celui des autres. Pour moi Françoise est la meilleurs à enculer. Connaissant bien ma morphologie, Flo fait monter le plus haut possible mon prépuce. Elle me permet ainsi d’enculer sa compagne sans l’enduire de salive.
Je pousse à peine ma bite dans l’anus qu’elle est dedans, à sec; Pour nous deux le plaisir est plus fort, plus violent pour elle, surtout allié à la branlette que lui fait Flo. Nous jouissons ensemble. Je reste dans son cul: je ne débande pas pour son plaisir: elle aime trop la sodomie pour ça. Flo nous abandonne pour participer au plaisir de Pascale. Pour elle c’est simple, elle l’embrasse sur la bouche, la pelote, et caresse les seins de sa compagne. Elle participe à l’orgasme de Pascale sans rien en retirer.
Elle me demande son gode, je sors du cul de Françoise, lui donne ce qu’elle veut. Françoise se satisfait seule pendant que Flo me remercie en prenant ma bite dans la bouche. Elle me lèche à peu près partout sur la bite, des couilles au gland. Elle me mordille légèrement. Ma bite se transforme en un terrain de jeux pour bouches féminines. Je ne m’en pleins pas du tout, d’autant plus que j’inaugure une nouvelle position avec ma bite dans sa bouche j’ajoute un orteil dans son ouverture du bas, la plus grande.
J’ai baisé Françoise, sucé Flo, reste à faire jouir les deux autres; Je suis attiré par Elodie qui a l’entre jambe libre d’occupation humaine: un gode ne compte pas. Je suis derrière elle. Je sort son amant du moment pour le remplacer par ma bite bien vivante, même si elle n’est pas de première fraicheur après le séjour dans le bouche de Flo. Je bande quand même assez pour entre dans son cul que je ne ménage pas. J’adore les mouvement de son bassin pendant la sodomie: elle accompagne sous les mouvements comme pour jouer au houlahop. Inutile de dire que son orgasme est particulièrement prononcé. Elle est même obligée d ’abandonner la chatte de Pascale. Ca m’est égal, je la remplace à ma façon, si je la lèche et la suce, j’aspire son clitoris pour le relâcher et recommencer jusqu’au moment où Pascale jouit.
Cet exercice est le premier que je fait depuis plusieurs jours, essayer de contenter plusieurs femmes en chaleur.
Pour les filles ce n’est pas la fin elles continent leur amusements longuement. C’est ma femme qui au petit matin en venant ouvrir pour les lève tôt les voit encore jouir. Bien sur elle lui donne envie de jouir elle aussi. Elle ne se gène pas, sachant bien que vers le petit matin j’ai bien baisé les quatre nanas. Alors elle aussi se fait reluire la chatte deux fois par deux filles différentes. Elle me le dit plus tard. Tant mieux elle en a profité comme il faut.
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