Fermeture mouvementée - histoire érotique

17H30, j'éteins les lumières, pour une fois je finis la journée seule, mon esprit vagabonde, mon corps est en ébullition permanente, le laboratoire est vide et je m'imagine allongé sur la table de gyneco, baisée avec ardeur.
Le bruit de la porte me sort de mes fantasmes et sans même me retourner je dis "je suis désolée mais nous sommes fermées".
"Je pensais pourtant que ta porte m'était toujours ouverte"
La voix est calme et sans hésitation et je n'ai pas besoin de me retourner pour savoir a qui elle appartient, mon entrejambe s'humidifie immédiatement, je sais à quel sauce je vais être manger.
Je me retourne et il est la dans son costume impeccable, il m'observe, mes yeux dérivent sur le bas de son corps, sa ceinture est ajustée, je l'imagine déjà la retirer... Mon ventre se tord dans un mélange de désir et d'appréhension.
"Tu devrais aller fermer les portes"
Son ton n'admet aucune contradiction, c'est plutôt un ordre qu'une demande.
"Oui Monsieur"
Ma voix n'est pas très assurée mais je reprends mon souffle et me dirige vers la porte, 2 tours de clé et le piège est refermé.
Je reviens près de lui, il passe derrière mon dos, m'attrape la gorge, se plaque contre moi, je peux sentir sa queue contre mes fesses, son souffle contre mon oreille, mon cerveau se déconnecte et j'attends les ordres
"Emmène moi dans une salle".
Quel phrase pleine de promesse...
Je m'avance dans le couloir et choisis la 3eme salle, celle des prélèvements gynécologiques, Cette table me fait envie depuis le moment ou je suis arrivé et c'est le jour pour en profiter. Il s'assoit dans le fauteuil
"Maintenant que nous sommes tranquilles, accueille moi comme il se doit"
Je sais ce qu'il attend de moi et m'agenouille immédiatement les bras dans le dos, tête baissée, impatiente et bouillonnante. Les secondes passent et cette attente est tout autant délicieuse, qu'insupportable.
Un claquement de doigt et je suis déjà en train d'ouvrir la boucle de sa ceinture, je sors sa queue, elle est déjà dure, dressée, je salive rien qu'a la regarder.
Je commence par aller taquiner ses couilles, les lécher, les attraper dans ma bouche mais je ne touche pas sa queue, j'ai envie de le faire languir.
Je lèche la base de sa queue, j'ai envie de la mordiller, je remonte tout doucement, je le sens tendu, arrivé au niveau du gland je donne des petits coup de langue, je l'entends grogner de frustration, je ne devrais pas jouer avec le feu mais c'est tellement bon, cette lenteur est électrisante.
Je le sens se retenir de m'attraper les cheveux pour m'enfoncer sa queue dans la bouche, alors je le prend en entier en une seule fois, il me remplit la bouche, m'empêchant de respirer, quelle délicieuse sensation. Je commence de doux va et vient, caressant en même temps ces 2 jolies boules.
Une pulsion me prend et je mordille cette queue qui m'ai offerte, j'entends un grognement de mécontentement, il attrape mes cheveux et me redresse la tête, je n'ai pas le choix que de le regarder dans les yeux et sans un mot je sais que je le payerai plus tard.
Il me redirige vers sa queue que je m'applique à lécher, j'aspire son gland, lui lèche les couilles et fais des vas et vient avec ma bouche et mes mains, ses gémissements de plaisir sont directement relié à mon ventre et me liquéfie. Je n'ai qu'une seule envie, qu'il me baise enfin, comme une chienne, qu'il me remplisse et ne pense qu'a son plaisir.
Soudain il m'arrête, et me plaque contre la table, le cuir est froid contre mon ventre, il contraste avec la chaleur de mon corps. Je sens le poids de son corps sur mon dos et je l'entends me demander à l'oreille, presque dans un chuchotement : "Qu'est ce que tu es ?"
"Votre petite putain vide couilles Monsieur"
"Bien petite putain" et il s'insinue en moi d'une seule poussée, lentement mais implacable, je suis trempée et il me remplit. Il commence des va et vient, je gémis de plaisir, ses mains agrippent mes hanches possessivement, j'ai mal mais c'est tellement bon.
Il me pilonne, vite et fort, ses vas et vient sont puissant, je suis à sa merci. Mes cris de plaisir résonne, les siens aussi
"Tu aimes ça ma chienne ?" me demande t'il en me tirant la tête en arrière.
J'ai du mal à me concentrer pour réussir à lui répondre.
"Réponds moi salope"
"Oui Monsieur, j'aime ça" réussi-je à articuler entre deux coups de butoir.
Il accélère le rythme, sa queue me défonce et me donne tellement de plaisir, j'entends son souffle s'accélérer, la jouissance est proche et dans une dernière poussée j'entends son orgasme.
Il reste planté en moi et je savoure cette sensation.
Il se retire, je l'entends se rhabiller.
Je ne bouge pas et reste cambrée sur la table, les fesses offertes, je n'ai pas eu l'autorisation de bouger.
J'entends qu'il ramasse sa ceinture, puis je sens le cuir claqué sur mes fesses, mélange entre douleur et plaisir, les coups se suivent dans un rythme régulier, je n'en veux plus et en même temps je voudrais que cela ne s'arrête pas. Les coups tombent au dessus des précédents et le cuir me mord la peau, j'en veux toujours plus... Puis il s'arrête, mon souffle est court, je cherche à reprendre ma respiration
"Tu sais pourquoi je t'ai punis petite chienne ?"
"Oui Monsieur"
"Bien"
Il se rassoie dans le fauteuil, observant mes fesses rouges et marquées, je ne bouge toujours pas.
Un autre claquement de doigt et je viens me remettre a genoux à coté de lui, sa main attrape doucement ma tête et la pose sur son genou. Je pousse un soupir de contentement, me sentant comblée et à ma place.