Fête de voisinage scabreuse .... 1/3
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Fête de voisinage scabreuse .... 1/3
Agnès, ma femme encore en activité pour cinq ans, et moi Paul, jeune retraité avons achetés il y a cinq ans une maison dans une petite cité à la campagne, Aucuns problèmes de voisinage, la plupart de nos voisins travaillent et malgré la proximité de cette rue en impasse nous ne les côtoyons pas beaucoup
Ce que je sais c’est que la maison que nous avons acheté appartenait à un couple qui a divorcé suite a une relation extraconjugale avec des voisins d’une maison deux numéros plus loin
Notre charmante voisine, car il faut bien le reconnaitre est tout à fait…. ‘vergeable’ a ‘fricoté’ avec son voisin, leur couple a l’inverse de l’autre a résisté a la tempête, je suppose que le mari plus ou moins alcoolique s’en est fait une raison, mais, était-il alcoolique avant d’être cocu ou l’inverse ?
J’adresse la parole très peu souvent a cette femme, je ne me rappelle même pas son prénom… Lydie ou Élodie ??? Ils ont une fille de dix huit ans qui va au lycée pour la dernière année, et qui a mon avis fera autant de ravage que sa maman ! Elle est canon cette petite Zora
Voilà pour le ‘décors’, maintenant nous arrivons au sujet principal, un ‘repas des voisins’ a été programmé afin de pouvoir faire connaissance, ce qui est une très bonne idée
La configuration de l’impasse permet d’aligner des tables sans gêner la circulation, ce dimanche là il fait beau et chaud, qui dit chaleur dit soif et le rosé coule à flot !
Sans le vouloir je me retrouve à table face a cette belle créature qui finalement s’appelle Lydie et à trente huit ans, Agnès est deux ou trois chaises plus loin ce qui me permet de loucher en toute tranquillité dans le décolleté vertigineux de la belle qui baisse sa garde et ne voit pas, ou fait comme si, les regards de convoitise qu’elle suscite
Dans l’après midi c’est l’inévitable concours de boules auquel je réussi à échapper, quelques personnes restent a table, nous parlons de tout et de rien…le vin aidant, Lydie est très loquace
- Vous n’avez jamais vu mon bassin à poissons derrière la maison Paul ?
- Ma foi non, nous somme les derniers arrivés dans la cité
- Hé bien prenez quelques plats vide afin de commencer à débarrasser et suivez moi
- Tu veux que je t’aide maman ?
- Non Zora, reste a table nous en avons pour une minute, surveille plutôt ton père qui commence à délirer !
- Arrête de boire papa !
- Foutez-moi la paix les gonzesses…
Ma femme bavarde et ne s’aperçoit même pas de ma disparition, en marchant je ne peux détacher le regard de cet adorable derrière qui se dandine devant moi … string ou culotte ‘ordinaire’ ? Paul, calme toi, c’est ta voisine ….
- Posez ça ici et venez dans le jardin c’est mon endroit préféré !
Effectivement un bac agrémenté d’une cascade qui gazouille orne le jardin et il n’y a pas que ça, sur le fil a linge une panoplie de strings tous aussi affriolants les uns que les autres sèchent ou font décoration... Lydie a un sourire malicieux lorsqu’elle voit mon regard se poser sur cet étendage érotique
- C’est par ici que ça se passe Paul ! ils ne sont pas tous à moi Zora à les siens aussi ! baissez vous et vous allez voir les poissons s’approcher, si vous trempez votre main dans l’eau ils vont venir la toucher, faites comme moi
Faire comme elle, c’est facile, c’est de continuer à regarder les poissons qui l’est moins, Lydie est accroupie de l’autre coté du bassin … c’est plutôt attrayant de voir ses cuisses pleines qui cachent a peine le triangle intime, dommage …mais lorsqu’elle pose un genou sur les dalles un paradis se dévoile…. Un tulle vert pomme recouvre un renflement qui laisse supposer qu’un bel abricot juteux se cache dessous, elle sait pertinemment que je vois son entrecuisse mais elle ne fait rien pour y remédier, au contraire elle balance son genou vers l’extérieur, a tel point que je distingue quelques poils follets bruns qui s’échappent sur les cotés
- Vous voyez ? Ils tètent vos doigts ! ça chatouille !
- C’est marrant ! heureusement que ce n’est pas des piranhas, sinon adieu mon doigt !
- Vous savez, il existe des endroits ou l'on peut mettre ses doigts sans se faire mordre ! ….
Je n’ose répondre à cette blague douteuse … alors elle trouve un autre prétexte pour revenir a la charge sur le sexe
- A chaque fois ça me fait la même chose, ce bruit de fontaine me donne envie de faire pipi !
- Ne vous gênez pas pour moi Lydie !
- Si je ne vais pas de suite aux WC c’est ce qui va arriver ! venez vite
La femme se dirige précipitamment a l’entrée du couloir, ouvre la porte des cabinets et, sans la refermer s’assied sur la lunette, par décence je reste a l’écart, si je venais en face me repousserait-elle ??? Une seconde plus tard le chuintement spécifique de l’urine qui sépare les lèvres avant de tomber en pluie au fond de la cuvette enchante mes oreilles, j’imagine sa minuscule culotte tirée à ses genoux écartés
- Il était temps ! ça fait du bien
- Si j’osais je demanderais bien la permission de faire pipi aussi, après vous bien entendu !
- Je m’essuie et vous laisse la place, je ne tire pas la chasse d’eau
J’entends tout : le bruit du rouleau de papier qui se dévide, le frottement du bouchon de feuilles ouatées sur les lèvres afin d’en éponger les dernières goutes, un bruissement de vêtement et …elle sort dans le couloir avec la jupe encore autour de la taille, je peux détailler à loisir la forme du string étroit qui habille ses hanches alors que sans se presser, avec ses deux pouces elle le remet bien en place sur sa motte
- Voilà ! La place est chaude, soulagez vous a votre tour Paul …
Je suis obligé de la frôler en passant, elle soutient mon regard, je me suis retenu pour ne pas la prendre par la taille et lui rouler un patin d’enfer et le reste…comme elle, sans fermer la porte je me poste devant la cuvette, relève la lunette, extrait difficilement mon membre qui commence à prendre de l’embonpoint, du coup il me faut quelques secondes avant que mon urine veuille bien sortir
Soudain son corps brulant se colle a mon dos, sa tête posée entre mes épaules un bras enserre ma taille tandis que l’autre main cherche ma queue, surpris je la laisse empoigner ma bitte qui durcit a la vitesse de l’éclair
- Arrêtez Lydie j’en mets partout
- Ne vous inquiétez pas c’est moi qui nettoie… huuuummm qu’elle est dure et grosse
- Si dure que je ne peux plus pisser, lâchez moi et laissez moi tranquille, quelqu’un peut arriver !
- Aucune chance, tourne-toi vers moi Paul, ta bouche dit non mais ta queue dit oui …
Elle tire sans ménagement que mon membre afin de me faire faire demi-tour, obligé de m’exécuter si je ne veux pas qu’elle estropie ma bite, Lydie est déjà a genoux la bouche ouverte , que feriez vous a ma place ? Je ne suis pas de bois …
- Avale salope !
- MMUUUUUUUUUMMMM !!!!!
- Doucement vorace
Ses lèvres vont et viennent sur ma hampe aussi vite qu’elle le peut, une main suit le mouvement pour m’inciter à décharger rapidement, l’autre malaxe mes couilles, les yeux fermés j’apprécie le traitement quand une voix perçante nous ramènent a la réalité
- AH NON ! Ça ne va pas recommencer maman, tu veux foutre un autre couple en l’air ???
- Pardon ma petite fille, je n’ai pas pus résister …ne le dit pas a ton père je t’en supplie
- Elle a raison, ne dit rien Zora, tu ferais souffrir deux couples inutilement, c’est un accident
- Il faudra qu’on parle tous les deux monsieur Paul
- Oui, quand tu voudras je t’expliquerais comment c’est arrivé
- Je vous appelle demain
Malgré la rapidité de cet échange verbal la fille n’a pas détaché son regard de ma queue qui rétrécie a vue d’œil, je la remets dans mon pantalon et quitte précipitamment la maison, Agnès ne s’est pas inquiétée de mon absence
- Alors mon chéri tu es content de ton après midi ?
- Oui, très bien, mais nous allons rentrer maintenant
- Déjà ?
- Et si je te propose un petit câlin ?
- Ah ? ça change tout, mais je préfère un GROS câlin !
Un peu rassuré par la tournure des événements il me tarde de soulager mes burnes car l’excitation brutalement stoppée remonte à la surface, je me serais bien tapé la voisine, finalement c’est ma femme qui en profite!
Le lundi matin ma femme a peine partie au boulot que le téléphone sonne …
- Monsieur Paul ? c’est Zora, auriez vous un moment à m’accorder ?
- Ah ! tu ne lâche pas le morceau sacrée têtue ! bon, je viens ou tu viens ?
- Venez, traversez la rue discrètement, je préfère que personne ne vous vois car je suis seule a la maison et les mauvaises langues pourraient jaser
- C’est d’accord, je vais raser les murs !
La porte est entrouverte sans doute pour m’éviter de sonner et de poireauter devant l’entrée
- Tu es là Zora c’est moi, Paul
- Je suis dans le salon !
Dans le salon Zora m’attend, un large sourire éclaire son visage, elle s’avance vers moi pour me faire la bise, je me penche et pose mes lèvres sur sa joue, sans crier gare elle se pend a mon cou et dévie d’un coup, nos lèvres se joignent, sa langue vivace entre dans mon palais et joue avec la mienne, j’essaie de la décrocher mais telle une sangsue elle est ventousée a ma bouche, je dois la repousser avec force pour stopper ce baiser
- Mmmmuuummmmhuummmmm ! ARETTE !! Que fais-tu Zora ? Tu es devenue folle ?
- Je ne vous plais pas ? vous préférez baiser ma mère ?
- Mais je ne veux pas baiser Lydie enfin !
- Mais oui ! si je n’étais pas arrivée vous la preniez debout dans ce couloir, je me trompe ?
- Mais oui, tu fais fausse route
- Vous avez vu son cul hein ? et ses seins ? les miens ne sont-ils pas plus beaux ? regardez ….
Elle soulève son top et le passe par-dessus sa tête, une paire de seins magnifiquement pointus sautent à mes yeux
- Et ça ? Elle ne vous fait pas d’effet cette chatounette emprisonnée dans ce string aguichant ? vous voulez l’ôter vous-même ou bien …
- Arrête Zora …
- Sinon ? vous allez me violer ? prouvez-moi que vous ne bandez pas à cet instant même et je vous laisse repartir, alors ?
- Je…je …oui je bande, quel homme n’aurait pas devant une petite dévergondée comme toi ?
- Sort ta queue Paul, je vais finir ce que maman n’as pas eu le temps de faire hier
Que faire devant une jeune fille en string qui se contorsionne comme une stripteaseuse et vous fait des avances ont ne peut plus claires? En la fixant je défais la boucle de ma ceinture, puis je tire sur la fermeture éclair afin de libérer ma queue en boule dans mon boxer, mon pantalon en tire bouchon a mes chevilles elle se précipite pour attraper mon membre par dessus le slip tendu à craquer
- Quelle belle anguille ! C’est bien ce que j’ai eu le temps d’apercevoir hier ! Tu permets Paul ? Je vais la libérer la pauvre, assied toi sur le divan …
- Suce et surtout avale tout …
- C’est bien mon intention ! huuuuuummmmmmmmmmmm qu’elle est bonne cette grosse perle sur ton gland ! tu me bouffe après ?
- Je vais te bouffer, te baiser, te sodomiser
- Et maman ? tu la laisseras tomber ?
- NON ! elle subira le même sort dés que possible
- Ho après tout je m’en fous ! baise là autant que tu veux, papa ne la touche plus
La tête entre mes mains je lui enfonce ma queue dans son gosier à une vitesse infernale sans me soucier de ses hauts le cœur, en deux minutes je me soulage à grands jets dans sa gorge, mon sperme ressort par gros paquets de sa bouche et tombe sur mon pubis
- Ça c’est une pipe ! Ce n’est pas la sucette que je fais à mon copain !
- Et tu vas voir la différence de ramonage de ta chatte petite salope ! vire ce maudit string et allonge-toi que je mange le minou, remonte tes genoux, écartes-les, Wooouuuah ! je vais t’éclater la craquette avec ma trique !
- Tu feras doucement hein ? elle est grosse
- Fallait pas me provoquer jeune pucelle, tu te souviendras qu’il ne faut pas réveiller un retraité qui sommeille
Je découvre une touffe de poils noirs lézardée par une faille rose et nacrée que je finis d’ouvrir de mes pouces, son parfum intime qui sent bon la femme accroit la raideur de ma queue, je plonge ma langue dans ce magma qui suinte au bas du trou pour disparaitre entre ses fesses, par réflexe elle me fait un collier de ses jambes, j’aspire avec bruit une lèvre après l’autre puis je mordille son clitoris à moitié émergé de son capuchon, je dois la maintenir avec force pour pouvoir continuer à déguster sa moule, son corps tremble , elle se tend , un hurlement va sortir d’un moment a l’autre de sa bouche , pour accélérer le processus j’enfonce un pouce dans son anus devenu très souple, Zora décolle carrément j’en prend plein le visage, c’est assez pour le broutage de minette, je me redresse et avant qu’elle n’ai eu le temps de réaliser je plante puissamment mon sexe dans ce volcan qui continue de cracher sa lave
- Oooooooohhhhh que c’est booooooonnnnnnnnn ! Baise-moi encule-moi je suis prête a tout !
- Pour aujourd’hui ce sera seulement dans la chatte, je dois me réserver pour ta mère demain
A SUIVRE ……
Ce que je sais c’est que la maison que nous avons acheté appartenait à un couple qui a divorcé suite a une relation extraconjugale avec des voisins d’une maison deux numéros plus loin
Notre charmante voisine, car il faut bien le reconnaitre est tout à fait…. ‘vergeable’ a ‘fricoté’ avec son voisin, leur couple a l’inverse de l’autre a résisté a la tempête, je suppose que le mari plus ou moins alcoolique s’en est fait une raison, mais, était-il alcoolique avant d’être cocu ou l’inverse ?
J’adresse la parole très peu souvent a cette femme, je ne me rappelle même pas son prénom… Lydie ou Élodie ??? Ils ont une fille de dix huit ans qui va au lycée pour la dernière année, et qui a mon avis fera autant de ravage que sa maman ! Elle est canon cette petite Zora
Voilà pour le ‘décors’, maintenant nous arrivons au sujet principal, un ‘repas des voisins’ a été programmé afin de pouvoir faire connaissance, ce qui est une très bonne idée
La configuration de l’impasse permet d’aligner des tables sans gêner la circulation, ce dimanche là il fait beau et chaud, qui dit chaleur dit soif et le rosé coule à flot !
Sans le vouloir je me retrouve à table face a cette belle créature qui finalement s’appelle Lydie et à trente huit ans, Agnès est deux ou trois chaises plus loin ce qui me permet de loucher en toute tranquillité dans le décolleté vertigineux de la belle qui baisse sa garde et ne voit pas, ou fait comme si, les regards de convoitise qu’elle suscite
Dans l’après midi c’est l’inévitable concours de boules auquel je réussi à échapper, quelques personnes restent a table, nous parlons de tout et de rien…le vin aidant, Lydie est très loquace
- Vous n’avez jamais vu mon bassin à poissons derrière la maison Paul ?
- Ma foi non, nous somme les derniers arrivés dans la cité
- Hé bien prenez quelques plats vide afin de commencer à débarrasser et suivez moi
- Tu veux que je t’aide maman ?
- Non Zora, reste a table nous en avons pour une minute, surveille plutôt ton père qui commence à délirer !
- Arrête de boire papa !
- Foutez-moi la paix les gonzesses…
Ma femme bavarde et ne s’aperçoit même pas de ma disparition, en marchant je ne peux détacher le regard de cet adorable derrière qui se dandine devant moi … string ou culotte ‘ordinaire’ ? Paul, calme toi, c’est ta voisine ….
- Posez ça ici et venez dans le jardin c’est mon endroit préféré !
Effectivement un bac agrémenté d’une cascade qui gazouille orne le jardin et il n’y a pas que ça, sur le fil a linge une panoplie de strings tous aussi affriolants les uns que les autres sèchent ou font décoration... Lydie a un sourire malicieux lorsqu’elle voit mon regard se poser sur cet étendage érotique
- C’est par ici que ça se passe Paul ! ils ne sont pas tous à moi Zora à les siens aussi ! baissez vous et vous allez voir les poissons s’approcher, si vous trempez votre main dans l’eau ils vont venir la toucher, faites comme moi
Faire comme elle, c’est facile, c’est de continuer à regarder les poissons qui l’est moins, Lydie est accroupie de l’autre coté du bassin … c’est plutôt attrayant de voir ses cuisses pleines qui cachent a peine le triangle intime, dommage …mais lorsqu’elle pose un genou sur les dalles un paradis se dévoile…. Un tulle vert pomme recouvre un renflement qui laisse supposer qu’un bel abricot juteux se cache dessous, elle sait pertinemment que je vois son entrecuisse mais elle ne fait rien pour y remédier, au contraire elle balance son genou vers l’extérieur, a tel point que je distingue quelques poils follets bruns qui s’échappent sur les cotés
- Vous voyez ? Ils tètent vos doigts ! ça chatouille !
- C’est marrant ! heureusement que ce n’est pas des piranhas, sinon adieu mon doigt !
- Vous savez, il existe des endroits ou l'on peut mettre ses doigts sans se faire mordre ! ….
Je n’ose répondre à cette blague douteuse … alors elle trouve un autre prétexte pour revenir a la charge sur le sexe
- A chaque fois ça me fait la même chose, ce bruit de fontaine me donne envie de faire pipi !
- Ne vous gênez pas pour moi Lydie !
- Si je ne vais pas de suite aux WC c’est ce qui va arriver ! venez vite
La femme se dirige précipitamment a l’entrée du couloir, ouvre la porte des cabinets et, sans la refermer s’assied sur la lunette, par décence je reste a l’écart, si je venais en face me repousserait-elle ??? Une seconde plus tard le chuintement spécifique de l’urine qui sépare les lèvres avant de tomber en pluie au fond de la cuvette enchante mes oreilles, j’imagine sa minuscule culotte tirée à ses genoux écartés
- Il était temps ! ça fait du bien
- Si j’osais je demanderais bien la permission de faire pipi aussi, après vous bien entendu !
- Je m’essuie et vous laisse la place, je ne tire pas la chasse d’eau
J’entends tout : le bruit du rouleau de papier qui se dévide, le frottement du bouchon de feuilles ouatées sur les lèvres afin d’en éponger les dernières goutes, un bruissement de vêtement et …elle sort dans le couloir avec la jupe encore autour de la taille, je peux détailler à loisir la forme du string étroit qui habille ses hanches alors que sans se presser, avec ses deux pouces elle le remet bien en place sur sa motte
- Voilà ! La place est chaude, soulagez vous a votre tour Paul …
Je suis obligé de la frôler en passant, elle soutient mon regard, je me suis retenu pour ne pas la prendre par la taille et lui rouler un patin d’enfer et le reste…comme elle, sans fermer la porte je me poste devant la cuvette, relève la lunette, extrait difficilement mon membre qui commence à prendre de l’embonpoint, du coup il me faut quelques secondes avant que mon urine veuille bien sortir
Soudain son corps brulant se colle a mon dos, sa tête posée entre mes épaules un bras enserre ma taille tandis que l’autre main cherche ma queue, surpris je la laisse empoigner ma bitte qui durcit a la vitesse de l’éclair
- Arrêtez Lydie j’en mets partout
- Ne vous inquiétez pas c’est moi qui nettoie… huuuummm qu’elle est dure et grosse
- Si dure que je ne peux plus pisser, lâchez moi et laissez moi tranquille, quelqu’un peut arriver !
- Aucune chance, tourne-toi vers moi Paul, ta bouche dit non mais ta queue dit oui …
Elle tire sans ménagement que mon membre afin de me faire faire demi-tour, obligé de m’exécuter si je ne veux pas qu’elle estropie ma bite, Lydie est déjà a genoux la bouche ouverte , que feriez vous a ma place ? Je ne suis pas de bois …
- Avale salope !
- MMUUUUUUUUUMMMM !!!!!
- Doucement vorace
Ses lèvres vont et viennent sur ma hampe aussi vite qu’elle le peut, une main suit le mouvement pour m’inciter à décharger rapidement, l’autre malaxe mes couilles, les yeux fermés j’apprécie le traitement quand une voix perçante nous ramènent a la réalité
- AH NON ! Ça ne va pas recommencer maman, tu veux foutre un autre couple en l’air ???
- Pardon ma petite fille, je n’ai pas pus résister …ne le dit pas a ton père je t’en supplie
- Elle a raison, ne dit rien Zora, tu ferais souffrir deux couples inutilement, c’est un accident
- Il faudra qu’on parle tous les deux monsieur Paul
- Oui, quand tu voudras je t’expliquerais comment c’est arrivé
- Je vous appelle demain
Malgré la rapidité de cet échange verbal la fille n’a pas détaché son regard de ma queue qui rétrécie a vue d’œil, je la remets dans mon pantalon et quitte précipitamment la maison, Agnès ne s’est pas inquiétée de mon absence
- Alors mon chéri tu es content de ton après midi ?
- Oui, très bien, mais nous allons rentrer maintenant
- Déjà ?
- Et si je te propose un petit câlin ?
- Ah ? ça change tout, mais je préfère un GROS câlin !
Un peu rassuré par la tournure des événements il me tarde de soulager mes burnes car l’excitation brutalement stoppée remonte à la surface, je me serais bien tapé la voisine, finalement c’est ma femme qui en profite!
Le lundi matin ma femme a peine partie au boulot que le téléphone sonne …
- Monsieur Paul ? c’est Zora, auriez vous un moment à m’accorder ?
- Ah ! tu ne lâche pas le morceau sacrée têtue ! bon, je viens ou tu viens ?
- Venez, traversez la rue discrètement, je préfère que personne ne vous vois car je suis seule a la maison et les mauvaises langues pourraient jaser
- C’est d’accord, je vais raser les murs !
La porte est entrouverte sans doute pour m’éviter de sonner et de poireauter devant l’entrée
- Tu es là Zora c’est moi, Paul
- Je suis dans le salon !
Dans le salon Zora m’attend, un large sourire éclaire son visage, elle s’avance vers moi pour me faire la bise, je me penche et pose mes lèvres sur sa joue, sans crier gare elle se pend a mon cou et dévie d’un coup, nos lèvres se joignent, sa langue vivace entre dans mon palais et joue avec la mienne, j’essaie de la décrocher mais telle une sangsue elle est ventousée a ma bouche, je dois la repousser avec force pour stopper ce baiser
- Mmmmuuummmmhuummmmm ! ARETTE !! Que fais-tu Zora ? Tu es devenue folle ?
- Je ne vous plais pas ? vous préférez baiser ma mère ?
- Mais je ne veux pas baiser Lydie enfin !
- Mais oui ! si je n’étais pas arrivée vous la preniez debout dans ce couloir, je me trompe ?
- Mais oui, tu fais fausse route
- Vous avez vu son cul hein ? et ses seins ? les miens ne sont-ils pas plus beaux ? regardez ….
Elle soulève son top et le passe par-dessus sa tête, une paire de seins magnifiquement pointus sautent à mes yeux
- Et ça ? Elle ne vous fait pas d’effet cette chatounette emprisonnée dans ce string aguichant ? vous voulez l’ôter vous-même ou bien …
- Arrête Zora …
- Sinon ? vous allez me violer ? prouvez-moi que vous ne bandez pas à cet instant même et je vous laisse repartir, alors ?
- Je…je …oui je bande, quel homme n’aurait pas devant une petite dévergondée comme toi ?
- Sort ta queue Paul, je vais finir ce que maman n’as pas eu le temps de faire hier
Que faire devant une jeune fille en string qui se contorsionne comme une stripteaseuse et vous fait des avances ont ne peut plus claires? En la fixant je défais la boucle de ma ceinture, puis je tire sur la fermeture éclair afin de libérer ma queue en boule dans mon boxer, mon pantalon en tire bouchon a mes chevilles elle se précipite pour attraper mon membre par dessus le slip tendu à craquer
- Quelle belle anguille ! C’est bien ce que j’ai eu le temps d’apercevoir hier ! Tu permets Paul ? Je vais la libérer la pauvre, assied toi sur le divan …
- Suce et surtout avale tout …
- C’est bien mon intention ! huuuuuummmmmmmmmmmm qu’elle est bonne cette grosse perle sur ton gland ! tu me bouffe après ?
- Je vais te bouffer, te baiser, te sodomiser
- Et maman ? tu la laisseras tomber ?
- NON ! elle subira le même sort dés que possible
- Ho après tout je m’en fous ! baise là autant que tu veux, papa ne la touche plus
La tête entre mes mains je lui enfonce ma queue dans son gosier à une vitesse infernale sans me soucier de ses hauts le cœur, en deux minutes je me soulage à grands jets dans sa gorge, mon sperme ressort par gros paquets de sa bouche et tombe sur mon pubis
- Ça c’est une pipe ! Ce n’est pas la sucette que je fais à mon copain !
- Et tu vas voir la différence de ramonage de ta chatte petite salope ! vire ce maudit string et allonge-toi que je mange le minou, remonte tes genoux, écartes-les, Wooouuuah ! je vais t’éclater la craquette avec ma trique !
- Tu feras doucement hein ? elle est grosse
- Fallait pas me provoquer jeune pucelle, tu te souviendras qu’il ne faut pas réveiller un retraité qui sommeille
Je découvre une touffe de poils noirs lézardée par une faille rose et nacrée que je finis d’ouvrir de mes pouces, son parfum intime qui sent bon la femme accroit la raideur de ma queue, je plonge ma langue dans ce magma qui suinte au bas du trou pour disparaitre entre ses fesses, par réflexe elle me fait un collier de ses jambes, j’aspire avec bruit une lèvre après l’autre puis je mordille son clitoris à moitié émergé de son capuchon, je dois la maintenir avec force pour pouvoir continuer à déguster sa moule, son corps tremble , elle se tend , un hurlement va sortir d’un moment a l’autre de sa bouche , pour accélérer le processus j’enfonce un pouce dans son anus devenu très souple, Zora décolle carrément j’en prend plein le visage, c’est assez pour le broutage de minette, je me redresse et avant qu’elle n’ai eu le temps de réaliser je plante puissamment mon sexe dans ce volcan qui continue de cracher sa lave
- Oooooooohhhhh que c’est booooooonnnnnnnnn ! Baise-moi encule-moi je suis prête a tout !
- Pour aujourd’hui ce sera seulement dans la chatte, je dois me réserver pour ta mère demain
A SUIVRE ……
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Trop top, vivement la suite.
Bien ,très bien!J'attends la suite avec Lydie!