Fête déjantée Ep01 On commence tout doucement

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Fête déjantée Ep01 On commence tout doucement Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Fête déjantée Ep01 On commence tout doucement
Fête déjantée Ep01
On commence tout doucement



Il était gros comme un moustique, tout en longueur mais pourtant pas très grand. On avait l'impression qu'il n'avait que la peau sur les os. Pas de muscle, pas de graisse non plus. Il était mince et très actif, il remuait dans tous les sens. Il était torse nue et portait un pantalon trop large, bien trop large, on aurait pu en mettre deux comme lui dedans.

Moi j'étais plus costaud que lui, épaules larges, torse musclé et poilu, lui n'avait pas un poil sur le corps. Il avait les cheveux mi-long, moi je les avais courts. J'étais musclé, genre athlète, lui comme je vous disais il était gros comme une crevette. J'étais torse nue également mais mon pantalon me moulait un peu plus que le sien, c'était étudié, je ne voulais pas cacher mes formes et ma queue de dix huit centimètre se devinait au travers du tissus.

Mais il bougeait bien, il dansait les yeux fermés, au milieu de la foule. C'était une méga fête en extérieur, un festival. Vous connaissez peut être le 'Arde Roque à la campagne'. C'est très libre, tant qu'on ne fait de mal à personne on peut faire ce qu'on veut, c'est un peu délire.

On était aux premières heures de la fête. La musique tonnait déjà à fond et ne se tairait que quelques jours plus tard. Nous étions là devant la scène, il gigotait comme un fou, il remuait ses bras et me donnait l'impression qu'il voulait faire des nœuds avec. Il me faisait rire. Il a fini par me remarquer.

IL me regardait en dansant et en remuant comme un fou. Je me remuais bien aussi, mais pas avec autant de souplesse. Il me regardait, il me regardait dans les yeux et s'approchait de moi. Il s'approchait tout contre moi, je devinais la douceur de sa peau, je devinais la douceur de sa main …

En fait non, c'est sa main que je sentais contre moi, il me caressait avec une infinie douceur, il ne bougeait presque plus, j'écartais les bras, il l'a interprété d'une manière inattendue et se jetais dans mes bras.

Surpris mais pas embarrassé, je refermais mes bras sur lui, il m'embrassait, je lui rendais ses baiser et alors que le rock sonnait dans nos oreilles avec un rythme hystérique nous tournions l'un sur l'autre, nous partagions un slow qui lui ne résonnait que dans notre tête.

C'était amusant, sont corps était tout menu, il était musclé mais ses muscles aussi étaient menus, fermes mais menus. Sa peau était douce et ses baisers très chauds.

On est resté comme ça pendant un long moment, à se câliner, à se caresser, à s'embrasser. Il n'hésitait pas à glisser sa jambe entre mes cuisses et à m'écraser le sexe contre la sienne. Déjà je commençait à bander.

Je me disais que c'est ce qui l'avait attiré chez moi. C'est vrai que le reste n'est pas mal non plus. Mais ma queue, j'en suis très fier, dix huit centimètres vous savez ? Et vous faites combien vous ?

Je devinais que lui devait en avoir une toute petite, mais ça ne me dérangeait pas, je suis actif et je devinais bien qu'avant la fin de la journée je lui aurais pété le cul.

On dansait, on finissait par reprendre le rythme normal. Les mouvements de slow câlin alors que résonnait dans nos oreilles un rock qui déchire, c'était fini. Mais on se touchait, tout comme lui j'étais torse nue. Personne ne faisait attention à ce détail.

Même quand on se prenait dans les bras pour s'embrasser ou se faire un câlin, personne ne faisait attention. La bière coulait à flot un peu plus loin et certains semblaient pressés d'oublier la réalité.

Il m'entraînait vers un recoin, juste sous la scène, on en prenait plein les oreilles. Il me faisait face, me souriait, me tirait vers lui et sans prévenir se mettait à genoux, m'ouvrait mon pantalon, me sortait ma bite et me la suçait.

Il était rapide, j'ai à peine eu le temps de réagir. Au moins, il savait ce qu'il voulait et j'étais d'accord pour le lui donner.

Je passais une main sur sa nuque et je le tirais vers moi, je l'obligeais à avaler ma queue, et vous savez dix huit centimètres c'est pas rien. Il y parvenait sans montrer aucun effort. J'y croyais pas.

Il était bon le mec, il faisait ça bien. Ma queue glissait sur sa langue, elle s'enfonçait dans sa gorge et s'écrasait mollement sur quelque chose de très doux. Je ne sais pas comment il faisait ça mais je vous jure que là j'ai aimé. C'était vraiment le pied.

C'est au milieu d'une agitation folle que nous partagions ce moment de tendresse et de douceur. Un autre couple arrivait juste à côté de nous, à un peu plus d'un mètre. Le mec me regardait avec un grand sourire satisfait. Lui, il était avec une fille et n'a sans doute par remarqué que moi j'étais avec un mec. Il la soulevait et la déposait sur une planche à un mètre du sol. On aurait dit que c'était prévu pour. Il lui écartait les cuisses et sans attendre commençait à la pénétrer, puis à la limer sans ménagement.

Elle braillait, elle criait, elle devait gémir aussi à en voir la tête qu'elle faisait mais on n'entendait que la musique rythmée qui nous poussait à la trans.

Moi aussi je lui défonçait la bouche en suivant la musique. Il encaissait, c'était pas croyable. Puis brusquement sans prévenir il mettait fin à tout ça. Il se relevait, faisait tomber mon pantalon sur mes chevilles, en retirait mes pieds et se relevait, il gardait mon pantalon dans la main.

Il m'entraînait ver la piste extérieure. Rapidement on allait ranger mon pantalon avec le reste de mes affaires puis on revenait. J'étais à poil. Je n'avais sur moi qu'une casquette et mes basquettes. J'en rigolais, personne ne se formalisait, même si je bandais toujours.

On dansait, on buvait régulièrement une bière et l'ivresse montait. Puis on dansait et on buvait une bière, puis …

Je ne sais pas combien de temps ça a duré.

On était plus tard, bien plus tard, la nuit tombait. Il m'invitait à manger un sandwich, j'étais toujours à poil, lui avait toujours son pantalon trop large.

On continuait à se faire des câlins, à se caresser, à s'embrasser. On était ivre, la nuit était tombé, je n'avais plus aucune idée de l'heure.

On dansait, on buvait, on se faisait un câlin puis on buvait, on dansait …

Nous étions dans une sorte de bulle de lumière. Il y avait des champs, et encore des champs et une scène et une autre bulle de lumière, et des haut parleurs très puissants qui résonnait dans nos oreille.

Plus personne sur la scène, c'était les DJ qui avaient pris le relais. Sur l'autre scène plus loin un groupe de rock mettait l'ambiance dans le champ. Là ou nous étions la musique continuait à nous assommer. Nous étions tous comme hypnotisés par les rythmes entêtants.

Autour de nous, une foule de jeunes de notre âge faisait la fête, criait, dansait. Plusieurs étaient à poil. Des mecs, des filles, il y en avait pour tous les goûts. J'étais à poil et je dansais, en face de moi, il y avait mon cavalier, je ne connaissais pas son nom. Il s'agitait toujours, il ne semblait pas souffrir de la fatigue.

Avec ses bras longs et minces il brassait l'air, il faisait des mouvements tout autour de lui. Il faisait des mouvements rapides, on aurait dit comme une mante religieuse mais en séduisant.

Excusez cette comparaison mais je commençais à fatiguer, j'étais toujours à poil, je bandais comme un fou, là je ne contrôlais plus rien. L'alcool, l'ambiance, la fatigue faisaient que je bandais sans pouvoir y faire quoi que ce soit.

Il me prenait par la main et m'entraînait. Je le suivais, il s'appuyait contre un haut-parleur ou je ne sais quoi, baissait son pantalon et me faisait signe de l'enculer.

Je savais que ce ne serait pas bien long avant que je l'encule. Je me lâchait , le saisissait et l'enculait sans aucun ménagement. Autour tout le monde dansait. Certains s'approchaient de nous, quelques uns me caressaient les fesses. Une fille s'approchait et me tripotait les couilles, c'est pas ça qui me calmais, je continuais à limer vigoureusement ma victime.

Je ne connaissait toujours pas son non. C'est vrai qu'on n'avait pas beaucoup discuté. On avait dansé, on avait picolé, on avait un peu flirté ( et pas qu'un peu même ). Donc je ne connaissait pas son nom.

J'étais là devant tout le monde, les autres se mettaient en cercle autour de nous et certains se branlaient, ils criaient tous, je ne sais pas ce qu'ils disaient mais je sentais qu'ils criaient.

Je caressais je corps de mon camarade, je le saisissait bien dans mes bras et lui caressais le torse. Quand ma main arrivait en bas de son ventre il me l'écartait.

Je continuais à le limer avec force, mes dix huit centimètres passaient bien. Je faisais claquer mon ventre sur ses fesses, on n'entendait rien mais on s'en moquait. Il y avait tellement de bruit que je ne m'entendais même pas crier.

Et je sentais qu'il criait, de nouveau je tentais de lui caresser les couilles et de nouveau il m'écartait la main. J'avais droit à son cul mais pas à sa bite. On ne me l'avait jamais faite celle là !

Mais j'en profitais et c'est de toutes mes forces que je lui défonçais le cul. Il l'avait voulu, il l'aurait. Je me retirais presque entièrement puis je revenais à la charge, bien à fond dans un mouvement rapide et violent. Il gueulait, il devait forcément gueuler mais il y avait tellement de bruit que je m'entendais même pas penser, alors entendre mon partenaire gueuler …

Je ne parvenais pas à jouir, j'étais défoncé, le bruit, l'alcool, j'avais du boire plus de bière que je ne pensais. Un mec s'approchait de nous et nous tendait une bière à chacun.

Je l'avalais cul sec. J'attendais que mon camarade ait bu la sienne et je reprenais. Je le burinais de toutes mes force, les coups que je donnais étaient fort et violents. Je voulais conclure, je voulais jouir mais sans y parvenir.

Pour ce qui est de bander là je bandais. Ma queue était comme un morceau de bois, bien dur, bien ferme. Je l'enfonçais avec force et régularité, je sentais mon partenaire vibrer, je le sentais, il devenait tout mou et je tentais une nouvelle fois de lui tripoter les couilles.

De nouveau il m'écartait la main, je le tirais vers moi j'avançais mon bassin contre lui et ma queue s'enfonçait dans ses entrailles. Ça durait des heures, ça durait longtemps, ça durait peut être cinq minutes, en fait j'en sais rien.

Mais au moment ou je jouissais en lui c'est un plaisir incroyable qui m'envahissait. Je jutais, j'éjaculais et je hurlais mais personne ne m'a entendu. Je finissais par le lâcher. Une dernière tentative, ma mains allait frôler son sexe mais encore une fois il m'écartait.

Il a remonté son pantalon, quand il se retournait je n'ai pas vu son sexe. Un très court instant je me suis même demandé s'il en avait un. J'ai pensé que c'était peut être une fille, puis je n'ai plus pensé à rien.

On a mangé un sandwich, on a dansé, on a … la nuit avançait. J'en pouvais plus, on est retourné à ma tente, rien n'avait bougé, je me suis allongé, il s'est allongé à côté de moi, j'ai refermé les yeux.

Il y avait toujours autant de bruit au moment ou je les ai ouvert. J'étais dans ma tente, seul, à poil, toutes mes affaires étaient là, il y avait toujours cette musique entêtante. Je ne savais plus ou j'étais et les souvenirs de la veille me revenaient.

Je me demandais qui était ce garçon étrange que j'avais enculé la veille, je me demandais surtout ou il était. C'est que je l'aurais bien enculé de nouveau. Je bandais, je me levais, je ne remarquais pas tout de suite le détail de dis huit centimètres mais j'étais bien le seul.

Autour il y avait d'autre personnes entièrement nus. Certains garçons bandaient aussi et tout le monde s'en moquait.

A suivre


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