Fête déjantée Ep02 Musique entêtante
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Fête déjantée Ep02 Musique entêtante
Fête déjantée Ep02
Musique entêtante
Je me sentais bien finalement, enfin je ne me sentais pas trop mal. J'avais comme des acouphènes dans les oreilles mais c'était normal, en fait c'était la musique. L'estomac un peu retourné, mais c'était normal j'avais picolé la veille jusqu'à … aucune idée de l'heure …
D'ailleurs je n'avais aucune idée de l'heure qu'il était, il y avait du monde qui bougeait, qui dansait, certains étaient à poil, c'était mon cas mais je ne m'en rendais pas vraiment compte, j'avais toujours mon collier et donc mon pass. C'est avec ça qu'on payait les bières ou les sandwichs.
Je décidais de prendre mon petit déjeuner. Un sandwich, une bière feraient très bien l'affaire. Je me sentais mieux, une deuxième bière puis quelques autres et je pétais la forme.
Des mains se promenaient sur mon corps dès que j'approchais d'un groupe, dès qu'il y avait un peu de monde à côté de moi.
Sans prévenir une fille tombait à genoux devant moi et me prenait la queue dans la bouche. Elle me la suçait avec délectation, oui, elle semblait apprécier, je préférais la laisser faire plutôt que de lui expliquer …
Et lui expliqué quoi d'abord .
Je me retrouvais là comme un parfait abruti à bouffer mon sandwich et avaler ma bière, je ne devais pas avoir l'air bien dégourdi, une fille me suçait la bite, je bandais bien mais bon déjà la veille je bandais. Et je ne savais pas vraiment quoi faire avec cette fille, donc je la laissais faire.
Ma bière était vide, sans m'occuper de la fille je me retournais et allais au distributeur, j'en demandais deux. Je revenais, la fille était toujours là, je lui donnais une des deux bière et entamais l'autre.
Elle l'avalait en une gorgée puis reprenait son activité. Elle continuait à me sucer la queue. Au bout d'un moment je remarquais que la fille avait disparu. Je me retrouvais seul, debout au milieu de rien, avec des passants, certains étaient nus d'autre pas, j'avais toujours une très belle érection, c'était cool, la musique tambourinait toujours dans mes oreilles, je commençais à danser sur place, certainement pas avec un air futé.
Je déambulais tout en remuant sur la musique, je me faisais remarquer. Ma queue se balançait lourdement devant moi de droite à gauche, je bandais. Rapidement je me prenais au jeu et je dansais plus vite, je remuais mon cul en regardant dans le vide et c'est là qu'il est réapparu.
Nous étions déjà l'après midi, le soleil commençait juste à descendre et il faisait très chaud. J'avais bu quelques bières pour me rafraîchir mais comme ça ne marchait pas je recommençait régulièrement. J'étais ivre, encore, et je me souvenais pas vraiment avoir dessaoulé depuis la veille.
Je le regardais, il avait toujours son pantalon trop grand, maintenant il avait un chapeau de paille et il dansait toujours avec de grands gestes, il faisait toujours des mouvement avec ses bras un peu comme s'il voulait faire des nœuds avec !
Je le regardais faire et me demandais s'il ne finirait pas par y arriver !
Je n'arrivais pas à réagir normalement. Je me sentais bien mais j'étais comme dans une sorte de torpeur. Je regardais le mec rencontré la veille et je le trouvais encore plus sexy, il me plaisait et je bandais encore plus. Rapidement je bandait au maximum de mes capacité, ma bite venait se coller contre mon ventre.
Il dansait devant moi, je ne voyais plus personne d'autre, il dansait pour moi. Son pantalon cachait toutes ses formes. On ne devinait rien de son sexe et un instant encore je me posais la question. ' Était-ce bien un homme ? ' . S'il avait été une femme il n'avait pas la cicatrice de l'ablation de ses seins.
Il s'approchait me prenait dans les bras et se serrait contre moi, je sentais quelque chose en haut de ses cuisses, j'étais rassuré. Il avait une bite, je l'avais sentie contre ma cuisse, et je me disais que d'ici peu je pourrais la voir.
Il devait avoir une toute petite bite mais c'était pas bien grave, moi j'en avais une grosse. Ça suffirait entre nous.
J'aime bien me faire enculer mais si c'est moi qui encule, ça ne me dérange pas vraiment et comme je bandais …
brusquement il se retournait me montrait son cul, baissait l'arrière de son pantalon et me regardait avec un regard un peu plus que coquin. Je m'approchais, il me lubrifiait la bite en faisait autant pour son cul. Il y avait une sorte de pancarte à cet endroit et c'est contre elle qu'il s'appuyait.
Je m'approchais et je l'enculais, sans faire plus de manières, là, devant tout le monde. Un groupe de spectateur se formait en cercle autour de nous. J'enfonçais ma bite dans son cul sans ménagement. Je n'étais pas vraiment dans mon état normal, ça devait être les sandwichs, pardon je voulais dire les bières.
Ou le soleil !
Ou la fatigue !
Ou la musique !
Rapidement je l'enculais en suivant la musique, il fallait encaisser et il encaissait. Je ne m'inquiétait pas de savoir si j'y allais trop fort. J'y allais, je ressortais et rentrais comme un fou. Je le tenais pas les hanches et quand j'enfonçais ma bite je le tirais vers moi et le repoussais quand je ressortais.
Je l'empoignais, passais mes mains autour de son ventre, le lui caressais et une main descendait vers son sexe. Il me repoussait avec une main.
Énervé je donnais des coups de bassin encore plus violents. Il m'énervait en m'écartant comme ça alors je me vengeais, je lui défonçait le cul aussi fort que je pouvais.
Rapidement je jouissais.
Il gardait une main dans son pantalon, comme pour m'empêcher d'y mettre les miennes, il se redressait et un filet de liquide blanc coulait de son cul. Autour tout le monde m'applaudissait.
Il s'essuyait le cul et remontait son pantalon, on ne voyait plus rien. Ni de dos, ni de face. Quand il se retournait pour m'embrasser je tendais une main mais de nouveau il l'écartait.
– On touche pas ! Me disait-il. Tu n'es pas de taille !
Je ne comprenais pas ce qu'il me racontait et je continuais à danser. Un peu plus loin, il y avait des douches, un truc simple, on entrait, on se douchait, il n'y avait aucune formalité, j'y entrais, je me lavais, je ressortais.
Il avait disparu quand j'en suis ressorti.
Là c'est vrai que je bandais moins, à partir de ce moment je me suis un peu calmé.
Je me sentais bien, j'ai repris de la bière. Ensuite j'ai dansé, bouffé quelques sandwichs, puis j'ai bu quelques bières, puis j'ai dansé puis, la fatigue montait. Je me sentais bien, Je ne bandais plus.
Je suis retourné à ma tente pour dormir un peu et la nuit tombait quand je me réveillais. Il y avait toujours cette musique. Elle ne devait pas s'arrêter avant le lendemain dans l'après midi. Je me levais et la première chose que je faisais c'était d'avaler quelques bières avant d'aller danser.
Je restais à poil et finalement je me sentais bien comme ça. Je m'étais calmé, je ne bandais pas vraiment, j'avais seulement une grosse molle qui se balançait et me donnait en cela un certain plaisir.
C'est là qu'il est réapparu. Il avait changé de pantalon mais son nouveau pantalon était trop grand. Il est venu vers moi et m'a pris dans ses bras.
– Si tu mets ça, je te laisse t'amuser avec ma bite.
Je ne comprenais pas ce qu'il me disait.
– Tu sais, c'est pas un jouet, j'en ai une belle mais on en sort qu'une seule. La tienne ou la mienne !
Je ne comprenais toujours pas ce qu'il racontait, je le regardais l'air probablement idiot. Il l'a compris. Il s'est jeté à mes pieds et s'est mis à me sucer la queue.
Oh mon dieu, on ne m'avait jamais sucé aussi bien, et on ne m'a jamais sucé aussi bien depuis. Il avalait mes dix huit centimètre avec une incroyable facilité. Là je le laissais faire, là je ne faisais pas l'andouille. Je me retenais de bouger, je ne lui balançais aucun coup de bassin.
C'est lui qui faisait tout, les caresses de sa langue sur mon gland me donnaient envie de grimper au rideaux. Mais on était à la campagne et il n'y avait pas de rideaux.
Il me caressait les parties les plus intimes de mon corps. Il glissait ses doigt à la base de mon sexe, sous mes couilles. Il me les léchait, sa langue passait et revenait puis il aspirait avec force.
Là je me suis saisi, une couille entrait dans sa bouche. Là c'est un peu panique, un coup de dent et c'est fatal. Mais ce n'était pas son projet. Il aspirait encore un peu plus et c'est mon autre couille qui entrait dans sa bouche. Il les faisait rouler avec sa langue, c'était affolant mais c'était divin.
Je finissais par me détendre et par en profiter. Il m'a bien un peu fait peur au moment ou il écartais son visage, ça résistait, mes couilles ressortaient mais il fallait tirer, il le faisait peut être exprès pour m'affoler. Il est taquin tout de même.
Puis c'est ma queue qu'il reprenait dans sa bouche, jusque au fond de sa gorge. Sa langue me caressait et me caressait, il insistait sur mon gland en y écrasant sa langue avec force. Il ne me faisait pas mal mais la sensation devenait très vite intense.
Il me massait la base de mes couilles au moment ou mon gland s'écrasait au fond de sa gorge. C'était bon, je relevais la tête en arrière et gémissait dans le silence de la musique assourdissante.
Un groupe de spectateur nous regardait, il y avait au moins deux garçons qui se masturbaient. Les autres garçons et filles semblaient passionnés, ou absentes avec le regard dans le vide.
Je regardais un de ces garçon qui se masturbait, il était beau, nu comme moi. Il avait une belle grosse queue, remarquez je n'avais rien à lui envier. Je caressais les cheveux de mon inconnu.
Je sentais une caresse intense et douce tout autour de ma queue, il n'avait peut être pas de bite mais il n'avait pas non plus de dents. Le jeune en face de moi qui se masturbait me regardait dans les yeux, et un signe, une grimace de plaisir me faisait savoir qu'il allait jouir.
Brusquement il éjaculait avec force. J'ai ressenti comme un frisson dans mon torse et j'ai joui moi aussi. J'ai par réflexe retenu la tête de mon partenaire, il ne tentait pas de se dégage, il avalait tout goulûment.
Je le retenais encore un moment et il continuait à me sucer, je frissonnait de plaisir. Il finissait par se retirer, ma queue était toute propre, avait repris des proportions plus raisonnables. Le mec en face était reparti.
Mon inconnu me montrait de nouveau le truc dont il m'avais parlé.
– Maintenant tu mets ça et tu pourras t'amuser avec ma queue. Mais je te préviens, c'est pas un jouet, c'est du sérieux, c'est un truc pour homme !
Là je regardais bien ce qu'il me montrait dans sa mans, il y avait un anneau, un petit dispositif qui pouvait faire penser à une cage. Je rigolais.
– Alors tu es d'accord ?
– Ouai ! C'est cool ton truc. Je veux m'amuser avec ta bite !
Il me tripotait alors le sexe, faisait passer une couille dans l'anneau puis suivait l'autre. Moi je rigolais, je le regardais faire et je rigolais. Ensuite c'est ma queue qui glissait dans l'anneau, il n'était pas trop grand, ça c'est sûr et il ne fallait pas bander, surtout pas, mais là il m'avait calmé et je me sentais bien.
Je prenait mon sexe en main, il y avait cet anneau à sa base, c'était amusant. Je le secouais et je rigolais.
Il reprenais, glissait comme il pouvait ma queue dans l'autre partie du dispositif, la cage. Puis dans un mouvement rapide enclenchait la cage sur l'anneau support. Je regardais ça, et je pouffais de rire. Ma queue était en cage. Je sentais la pression tout autour de mon sexe, c'était agréable et excitant.
Il se relevait, se reculait d'un pas et me tendait le cadenas et la clé.
– Ça c'est toi qui le fait, c'est la tradition !
Pour une fois, là, j'ai tout compris. Je verrouillais le truc et lui rendais la clé.
Il me prenait alors dans ses bras, me faisait un gros câlin, m'embrassait avec passion avant de me glisser dans l'oreille un …
– A bientôt !
Puis il disparaissait …
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Musique entêtante
Je me sentais bien finalement, enfin je ne me sentais pas trop mal. J'avais comme des acouphènes dans les oreilles mais c'était normal, en fait c'était la musique. L'estomac un peu retourné, mais c'était normal j'avais picolé la veille jusqu'à … aucune idée de l'heure …
D'ailleurs je n'avais aucune idée de l'heure qu'il était, il y avait du monde qui bougeait, qui dansait, certains étaient à poil, c'était mon cas mais je ne m'en rendais pas vraiment compte, j'avais toujours mon collier et donc mon pass. C'est avec ça qu'on payait les bières ou les sandwichs.
Je décidais de prendre mon petit déjeuner. Un sandwich, une bière feraient très bien l'affaire. Je me sentais mieux, une deuxième bière puis quelques autres et je pétais la forme.
Des mains se promenaient sur mon corps dès que j'approchais d'un groupe, dès qu'il y avait un peu de monde à côté de moi.
Sans prévenir une fille tombait à genoux devant moi et me prenait la queue dans la bouche. Elle me la suçait avec délectation, oui, elle semblait apprécier, je préférais la laisser faire plutôt que de lui expliquer …
Et lui expliqué quoi d'abord .
Je me retrouvais là comme un parfait abruti à bouffer mon sandwich et avaler ma bière, je ne devais pas avoir l'air bien dégourdi, une fille me suçait la bite, je bandais bien mais bon déjà la veille je bandais. Et je ne savais pas vraiment quoi faire avec cette fille, donc je la laissais faire.
Ma bière était vide, sans m'occuper de la fille je me retournais et allais au distributeur, j'en demandais deux. Je revenais, la fille était toujours là, je lui donnais une des deux bière et entamais l'autre.
Elle l'avalait en une gorgée puis reprenait son activité. Elle continuait à me sucer la queue. Au bout d'un moment je remarquais que la fille avait disparu. Je me retrouvais seul, debout au milieu de rien, avec des passants, certains étaient nus d'autre pas, j'avais toujours une très belle érection, c'était cool, la musique tambourinait toujours dans mes oreilles, je commençais à danser sur place, certainement pas avec un air futé.
Je déambulais tout en remuant sur la musique, je me faisais remarquer. Ma queue se balançait lourdement devant moi de droite à gauche, je bandais. Rapidement je me prenais au jeu et je dansais plus vite, je remuais mon cul en regardant dans le vide et c'est là qu'il est réapparu.
Nous étions déjà l'après midi, le soleil commençait juste à descendre et il faisait très chaud. J'avais bu quelques bières pour me rafraîchir mais comme ça ne marchait pas je recommençait régulièrement. J'étais ivre, encore, et je me souvenais pas vraiment avoir dessaoulé depuis la veille.
Je le regardais, il avait toujours son pantalon trop grand, maintenant il avait un chapeau de paille et il dansait toujours avec de grands gestes, il faisait toujours des mouvement avec ses bras un peu comme s'il voulait faire des nœuds avec !
Je le regardais faire et me demandais s'il ne finirait pas par y arriver !
Je n'arrivais pas à réagir normalement. Je me sentais bien mais j'étais comme dans une sorte de torpeur. Je regardais le mec rencontré la veille et je le trouvais encore plus sexy, il me plaisait et je bandais encore plus. Rapidement je bandait au maximum de mes capacité, ma bite venait se coller contre mon ventre.
Il dansait devant moi, je ne voyais plus personne d'autre, il dansait pour moi. Son pantalon cachait toutes ses formes. On ne devinait rien de son sexe et un instant encore je me posais la question. ' Était-ce bien un homme ? ' . S'il avait été une femme il n'avait pas la cicatrice de l'ablation de ses seins.
Il s'approchait me prenait dans les bras et se serrait contre moi, je sentais quelque chose en haut de ses cuisses, j'étais rassuré. Il avait une bite, je l'avais sentie contre ma cuisse, et je me disais que d'ici peu je pourrais la voir.
Il devait avoir une toute petite bite mais c'était pas bien grave, moi j'en avais une grosse. Ça suffirait entre nous.
J'aime bien me faire enculer mais si c'est moi qui encule, ça ne me dérange pas vraiment et comme je bandais …
brusquement il se retournait me montrait son cul, baissait l'arrière de son pantalon et me regardait avec un regard un peu plus que coquin. Je m'approchais, il me lubrifiait la bite en faisait autant pour son cul. Il y avait une sorte de pancarte à cet endroit et c'est contre elle qu'il s'appuyait.
Je m'approchais et je l'enculais, sans faire plus de manières, là, devant tout le monde. Un groupe de spectateur se formait en cercle autour de nous. J'enfonçais ma bite dans son cul sans ménagement. Je n'étais pas vraiment dans mon état normal, ça devait être les sandwichs, pardon je voulais dire les bières.
Ou le soleil !
Ou la fatigue !
Ou la musique !
Rapidement je l'enculais en suivant la musique, il fallait encaisser et il encaissait. Je ne m'inquiétait pas de savoir si j'y allais trop fort. J'y allais, je ressortais et rentrais comme un fou. Je le tenais pas les hanches et quand j'enfonçais ma bite je le tirais vers moi et le repoussais quand je ressortais.
Je l'empoignais, passais mes mains autour de son ventre, le lui caressais et une main descendait vers son sexe. Il me repoussait avec une main.
Énervé je donnais des coups de bassin encore plus violents. Il m'énervait en m'écartant comme ça alors je me vengeais, je lui défonçait le cul aussi fort que je pouvais.
Rapidement je jouissais.
Il gardait une main dans son pantalon, comme pour m'empêcher d'y mettre les miennes, il se redressait et un filet de liquide blanc coulait de son cul. Autour tout le monde m'applaudissait.
Il s'essuyait le cul et remontait son pantalon, on ne voyait plus rien. Ni de dos, ni de face. Quand il se retournait pour m'embrasser je tendais une main mais de nouveau il l'écartait.
– On touche pas ! Me disait-il. Tu n'es pas de taille !
Je ne comprenais pas ce qu'il me racontait et je continuais à danser. Un peu plus loin, il y avait des douches, un truc simple, on entrait, on se douchait, il n'y avait aucune formalité, j'y entrais, je me lavais, je ressortais.
Il avait disparu quand j'en suis ressorti.
Là c'est vrai que je bandais moins, à partir de ce moment je me suis un peu calmé.
Je me sentais bien, j'ai repris de la bière. Ensuite j'ai dansé, bouffé quelques sandwichs, puis j'ai bu quelques bières, puis j'ai dansé puis, la fatigue montait. Je me sentais bien, Je ne bandais plus.
Je suis retourné à ma tente pour dormir un peu et la nuit tombait quand je me réveillais. Il y avait toujours cette musique. Elle ne devait pas s'arrêter avant le lendemain dans l'après midi. Je me levais et la première chose que je faisais c'était d'avaler quelques bières avant d'aller danser.
Je restais à poil et finalement je me sentais bien comme ça. Je m'étais calmé, je ne bandais pas vraiment, j'avais seulement une grosse molle qui se balançait et me donnait en cela un certain plaisir.
C'est là qu'il est réapparu. Il avait changé de pantalon mais son nouveau pantalon était trop grand. Il est venu vers moi et m'a pris dans ses bras.
– Si tu mets ça, je te laisse t'amuser avec ma bite.
Je ne comprenais pas ce qu'il me disait.
– Tu sais, c'est pas un jouet, j'en ai une belle mais on en sort qu'une seule. La tienne ou la mienne !
Je ne comprenais toujours pas ce qu'il racontait, je le regardais l'air probablement idiot. Il l'a compris. Il s'est jeté à mes pieds et s'est mis à me sucer la queue.
Oh mon dieu, on ne m'avait jamais sucé aussi bien, et on ne m'a jamais sucé aussi bien depuis. Il avalait mes dix huit centimètre avec une incroyable facilité. Là je le laissais faire, là je ne faisais pas l'andouille. Je me retenais de bouger, je ne lui balançais aucun coup de bassin.
C'est lui qui faisait tout, les caresses de sa langue sur mon gland me donnaient envie de grimper au rideaux. Mais on était à la campagne et il n'y avait pas de rideaux.
Il me caressait les parties les plus intimes de mon corps. Il glissait ses doigt à la base de mon sexe, sous mes couilles. Il me les léchait, sa langue passait et revenait puis il aspirait avec force.
Là je me suis saisi, une couille entrait dans sa bouche. Là c'est un peu panique, un coup de dent et c'est fatal. Mais ce n'était pas son projet. Il aspirait encore un peu plus et c'est mon autre couille qui entrait dans sa bouche. Il les faisait rouler avec sa langue, c'était affolant mais c'était divin.
Je finissais par me détendre et par en profiter. Il m'a bien un peu fait peur au moment ou il écartais son visage, ça résistait, mes couilles ressortaient mais il fallait tirer, il le faisait peut être exprès pour m'affoler. Il est taquin tout de même.
Puis c'est ma queue qu'il reprenait dans sa bouche, jusque au fond de sa gorge. Sa langue me caressait et me caressait, il insistait sur mon gland en y écrasant sa langue avec force. Il ne me faisait pas mal mais la sensation devenait très vite intense.
Il me massait la base de mes couilles au moment ou mon gland s'écrasait au fond de sa gorge. C'était bon, je relevais la tête en arrière et gémissait dans le silence de la musique assourdissante.
Un groupe de spectateur nous regardait, il y avait au moins deux garçons qui se masturbaient. Les autres garçons et filles semblaient passionnés, ou absentes avec le regard dans le vide.
Je regardais un de ces garçon qui se masturbait, il était beau, nu comme moi. Il avait une belle grosse queue, remarquez je n'avais rien à lui envier. Je caressais les cheveux de mon inconnu.
Je sentais une caresse intense et douce tout autour de ma queue, il n'avait peut être pas de bite mais il n'avait pas non plus de dents. Le jeune en face de moi qui se masturbait me regardait dans les yeux, et un signe, une grimace de plaisir me faisait savoir qu'il allait jouir.
Brusquement il éjaculait avec force. J'ai ressenti comme un frisson dans mon torse et j'ai joui moi aussi. J'ai par réflexe retenu la tête de mon partenaire, il ne tentait pas de se dégage, il avalait tout goulûment.
Je le retenais encore un moment et il continuait à me sucer, je frissonnait de plaisir. Il finissait par se retirer, ma queue était toute propre, avait repris des proportions plus raisonnables. Le mec en face était reparti.
Mon inconnu me montrait de nouveau le truc dont il m'avais parlé.
– Maintenant tu mets ça et tu pourras t'amuser avec ma queue. Mais je te préviens, c'est pas un jouet, c'est du sérieux, c'est un truc pour homme !
Là je regardais bien ce qu'il me montrait dans sa mans, il y avait un anneau, un petit dispositif qui pouvait faire penser à une cage. Je rigolais.
– Alors tu es d'accord ?
– Ouai ! C'est cool ton truc. Je veux m'amuser avec ta bite !
Il me tripotait alors le sexe, faisait passer une couille dans l'anneau puis suivait l'autre. Moi je rigolais, je le regardais faire et je rigolais. Ensuite c'est ma queue qui glissait dans l'anneau, il n'était pas trop grand, ça c'est sûr et il ne fallait pas bander, surtout pas, mais là il m'avait calmé et je me sentais bien.
Je prenait mon sexe en main, il y avait cet anneau à sa base, c'était amusant. Je le secouais et je rigolais.
Il reprenais, glissait comme il pouvait ma queue dans l'autre partie du dispositif, la cage. Puis dans un mouvement rapide enclenchait la cage sur l'anneau support. Je regardais ça, et je pouffais de rire. Ma queue était en cage. Je sentais la pression tout autour de mon sexe, c'était agréable et excitant.
Il se relevait, se reculait d'un pas et me tendait le cadenas et la clé.
– Ça c'est toi qui le fait, c'est la tradition !
Pour une fois, là, j'ai tout compris. Je verrouillais le truc et lui rendais la clé.
Il me prenait alors dans ses bras, me faisait un gros câlin, m'embrassait avec passion avant de me glisser dans l'oreille un …
– A bientôt !
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