Fête des mères
Récit érotique écrit par XASS23 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Fête des mères
Demain c’est la fête des mères. Alain, mon frère g, est en voyage pour son travail, je serai donc seule pour embrasser ma mère Aline. Comme cadeau, j’ai prévu de lui offrir le repas dans un des meilleurs restaurants de Bordeaux juste complété pour l’occasion par un splendide bouquet de roses.
A mon arrivée, je la surprends en petite tenue et me vient un sentiment bizarre. A son âge, pour avoir 60 ans elle a encore un corps que beaucoup d’hommes doivent trouver excitant, particulièrement une belle poitrine que je devine ferme et arrogante.
- « J’arrive « bichette » (c’est mon surnom d’enfant. Mon prénom est Josette) je sors de la douche. Je vais m’habiller. »
En fin de soirée, le repas se passe en échanges sur la politique actuelle et sur nos activités. Moi prof d’Anglais et elle bénévole conseillère informatique dans une association caritative. Après le film de la télé, nous nous apprêtons à aller nous coucher.
- « Demain maman, j’ai réservé une table au St François, j’ai envie de t’offrir ce restau réputé pour la fête des mères. »
- « C’est gentil, effectivement, je n’ai entendu dire que du bien de cet établissement.
Bichette la chambre d’amis est en travaux, je fais refaire le sol et je te propose de coucher dans le canapé ou de partager mon lit. »
- « Je choisis de partager ton lit, cela me rappellera mon enfance. »
- « D’accord, comme tu veux d’autant que c’est pour une nuit. »
Donc, toutes les deux couchées côte à côte nous attendons que le sommeil nous emporte. C’est ma mère qui s’endort la première tandis que, sentant la chaleur de ce corps à mes côtés, me vient une pensée pour ne pas dire un désir indéfinissable car contraire à notre morale. Laissant libre cours à cette pensée, j’hasarde une caresse sur la cuisse de ma voisine. C’est chaud, c’est doux, c’est agréable. Je continue lentement mon effleurement ce qui a dû réveiller ma mère.
- « Qu’est-ce que tu fais Bichette. Tu t’égares, c’est maman que tu as à tes cotés. »
- « Oui maman Aline mais ce que j’ai aperçu sous ton déshabillé quand je suis arrivée et ton corps chaud de maintenant me donnent une irrésistible envie de te caresser. Tu n’aimes pas ? »
- « Je reconnais que c’est agréable comme toute caresse bien que celle-ci soit surprenante. Je sens que tu insistes mais ce n’est pas un jeu. Ressaisis-toi. »
Effectivement, j’insiste en remontant le long de cette cuisse chaude et à mon grand étonnement, maman me prend la main pour la diriger directement vers son entrecuisses. Le contact avec son abondante touffe m’excite à un point que je sens un jet de cyprine mouiller ma chatte.
- « Caresse moi le clito Bichette, tu me donnes envie d’avoir des sensations. Tu as forcé la nature, maintenant ne pensons qu’à notre plaisir. Viens sur moi, unissons nos corps, je sens que tu es mouillée, frotte ta chatte contre la mienne comme si tu voulais me baiser. »
Cette dernière parole dans la bouche de ma mère, non seulement me surprend mais m’excite au plus haut point. Je la chevauche comme elle me l’a demandé, en lui prenant les fesses pour mieux la coller contre moi, elle mouille abondamment et nos jus se mélangent dans un frénétique corps à corps. Ses demandent accompagnent notre étreinte.
- « C’est bon ! Traite-moi de tous les noms qui te passent par la tête j’ai envie d’être une vraie pute lesbienne comme en voit dans les vidéos de cul. Baise, baise-moi, défonce-moi le con avec ta main prend mois les seins, joue avec mes tétons et viens m’embrasser, j’ai envie de ta langue. »
Notre baiser mouillé où nos langues se lient, se délient et les attouchements de ma chatte ne tardent pas à faire monter un puissant orgasme.
- « Continue maman, c’est bon, je vais partir ahhhhh c’est merveilleux. »
- « Maintenant à toi Bichette, viens me bouffer le clito, mordille-le jusqu’à ce que j’explose de plaisir. Caresse-moi aussi derrière mets moi un doigt dans mon trou jusqu’à ce que je jouisse des deux côtés »
Je me place en 69 pour également lui offrir mon entrecuisses et me délectant de son jus abondamment provoqué par mon jeu de langue. Je lui prends le cul, écarte sa rondelle, et introduits 1, 2 puis 3 doigts dans son orifice. Je ne tarde pas à lui déclencher l’explosion de plaisir demandé. Elle aussi en jouant avec mon clito, me fait jouir une deuxième fois.
Un peu épuisées, nous nous offrons un bref « repos du guerrier ».
C’est maman qui rompt le silence la première.
- « Je ne sais pas ce qui m’a prise de me laisser aller de la sorte. Tu te rends compte Bichette ce que tu m’as fait faire ? Baiser avec ma fille ! Dans mes pensées les plus lubriques, je n’aurais jamais imaginé cela. Imagine-toi que je me fasse baiser par ton frère. Quelle dépravation incestueuse ! Nous ne devrons pas recommencer. Il faut nous le promettre. »
- « A voir le plaisir que tu as pris ma petite maman comme tu dis, « en vraie salope », je pense que tu ne tiendras pas cette promesse. Laisse-moi encore te caresser. »
- « N’insiste pas. C’est non ! Soyons sages. Ce moment d’égarement aussi agréable fût-il doit rester un grand secret entre nous »
- « Tu m’as tellement excitée, maman salope, que j’ai envie de ma branler sur toi en regardant ton corps apaisé. »
- « Bichette, arrête ce langage qui n’est plus de mise. Si tu as envie de te branler, je te laisse faire mais la partie est terminée. »
A genou devant elle, je me caresse la chatte encore trempe de nos jus en écartant bien mes lèvres pour faire sortir mon clito et le lui montrer.
Je me caresse les cuisses puis remonte mes mains vers mes seins dont je sens les tétons bandés comme de petites bites. Je me retourne pour qu’elle voit bien mon arrière-train.
- « Tu aimes mon cul Aline ? »
- « Bichette je te laisse te masturber mais arrête de m’exciter je t’ai dit que la partie était terminée. Reprenons notre rôle de mère et fille et gardons notre secret. »
- « Mère et fille lubriques qui s’envoient en l’air sans retenue. Je suis sûr que je te fais à nouveau mouiller. Tu as aimé ma chatte, j’ai fouillé ton cul. J’aimerais que tu me fasses moi aussi jouir du cul. A voir ton ardeur de tout à l’heure, je ne crois pas que tu veuilles en rester là. Tu es adorable en salope de pute. Viens me bouffer. Libère toi à nouveau. »
Malgré sa réticence à reprendre un jeu saphique, je constate que sa main s’est enfouie entre ses cuisses.
- « Tu vois, tu te branles toi aussi. Ecarte bien les cuisses que je vois jaillir ta cyprine. »
Et là, à mon grand étonnement, un déclic a dû se produire dans sa tête, un frisson dans son corps, elle se jette sur moi.
- « OUI ? Recommençons, j’ai encore envie de baiser, je ne résiste pas de voir ton corps onduler et te caresser les seins. Prends-moi comme une pute, rempli moi la chatte de tous les objets à portée de ta main, c’est comme cela que je me fais jouir en solitaire. Mais je rêve aussi de me faire prendre par une vraie queue. »
- « Tu n’as donc pas de partenaire ? »
- « Si, j’ai une amie dans notre association qui m’a faite découvrir le plaisir entre femmes mais d’une manière un peu particulière. J’ai adoré notre petit jeu mais reconnait qu’il est contre nature. »
- « Mais non maman, nous étions consentantes et tu acceptes de dire que c’était merveilleux augmenté du piment d’une relation mère fille. Personne ne saura rien de notre complicité et surtout pas mon frère Alain. C’est notre grand secret. Parle-moi de ton amie. Que veux-tu dire « d’une manière particulière ». ? Vous vous adonnez au BDSM ? Tu aimes souffrir ?»
- « Non, c’est autre chose sois patiente je te raconterai. Fais-moi jouir une nouvelle fois. »
A mon arrivée, je la surprends en petite tenue et me vient un sentiment bizarre. A son âge, pour avoir 60 ans elle a encore un corps que beaucoup d’hommes doivent trouver excitant, particulièrement une belle poitrine que je devine ferme et arrogante.
- « J’arrive « bichette » (c’est mon surnom d’enfant. Mon prénom est Josette) je sors de la douche. Je vais m’habiller. »
En fin de soirée, le repas se passe en échanges sur la politique actuelle et sur nos activités. Moi prof d’Anglais et elle bénévole conseillère informatique dans une association caritative. Après le film de la télé, nous nous apprêtons à aller nous coucher.
- « Demain maman, j’ai réservé une table au St François, j’ai envie de t’offrir ce restau réputé pour la fête des mères. »
- « C’est gentil, effectivement, je n’ai entendu dire que du bien de cet établissement.
Bichette la chambre d’amis est en travaux, je fais refaire le sol et je te propose de coucher dans le canapé ou de partager mon lit. »
- « Je choisis de partager ton lit, cela me rappellera mon enfance. »
- « D’accord, comme tu veux d’autant que c’est pour une nuit. »
Donc, toutes les deux couchées côte à côte nous attendons que le sommeil nous emporte. C’est ma mère qui s’endort la première tandis que, sentant la chaleur de ce corps à mes côtés, me vient une pensée pour ne pas dire un désir indéfinissable car contraire à notre morale. Laissant libre cours à cette pensée, j’hasarde une caresse sur la cuisse de ma voisine. C’est chaud, c’est doux, c’est agréable. Je continue lentement mon effleurement ce qui a dû réveiller ma mère.
- « Qu’est-ce que tu fais Bichette. Tu t’égares, c’est maman que tu as à tes cotés. »
- « Oui maman Aline mais ce que j’ai aperçu sous ton déshabillé quand je suis arrivée et ton corps chaud de maintenant me donnent une irrésistible envie de te caresser. Tu n’aimes pas ? »
- « Je reconnais que c’est agréable comme toute caresse bien que celle-ci soit surprenante. Je sens que tu insistes mais ce n’est pas un jeu. Ressaisis-toi. »
Effectivement, j’insiste en remontant le long de cette cuisse chaude et à mon grand étonnement, maman me prend la main pour la diriger directement vers son entrecuisses. Le contact avec son abondante touffe m’excite à un point que je sens un jet de cyprine mouiller ma chatte.
- « Caresse moi le clito Bichette, tu me donnes envie d’avoir des sensations. Tu as forcé la nature, maintenant ne pensons qu’à notre plaisir. Viens sur moi, unissons nos corps, je sens que tu es mouillée, frotte ta chatte contre la mienne comme si tu voulais me baiser. »
Cette dernière parole dans la bouche de ma mère, non seulement me surprend mais m’excite au plus haut point. Je la chevauche comme elle me l’a demandé, en lui prenant les fesses pour mieux la coller contre moi, elle mouille abondamment et nos jus se mélangent dans un frénétique corps à corps. Ses demandent accompagnent notre étreinte.
- « C’est bon ! Traite-moi de tous les noms qui te passent par la tête j’ai envie d’être une vraie pute lesbienne comme en voit dans les vidéos de cul. Baise, baise-moi, défonce-moi le con avec ta main prend mois les seins, joue avec mes tétons et viens m’embrasser, j’ai envie de ta langue. »
Notre baiser mouillé où nos langues se lient, se délient et les attouchements de ma chatte ne tardent pas à faire monter un puissant orgasme.
- « Continue maman, c’est bon, je vais partir ahhhhh c’est merveilleux. »
- « Maintenant à toi Bichette, viens me bouffer le clito, mordille-le jusqu’à ce que j’explose de plaisir. Caresse-moi aussi derrière mets moi un doigt dans mon trou jusqu’à ce que je jouisse des deux côtés »
Je me place en 69 pour également lui offrir mon entrecuisses et me délectant de son jus abondamment provoqué par mon jeu de langue. Je lui prends le cul, écarte sa rondelle, et introduits 1, 2 puis 3 doigts dans son orifice. Je ne tarde pas à lui déclencher l’explosion de plaisir demandé. Elle aussi en jouant avec mon clito, me fait jouir une deuxième fois.
Un peu épuisées, nous nous offrons un bref « repos du guerrier ».
C’est maman qui rompt le silence la première.
- « Je ne sais pas ce qui m’a prise de me laisser aller de la sorte. Tu te rends compte Bichette ce que tu m’as fait faire ? Baiser avec ma fille ! Dans mes pensées les plus lubriques, je n’aurais jamais imaginé cela. Imagine-toi que je me fasse baiser par ton frère. Quelle dépravation incestueuse ! Nous ne devrons pas recommencer. Il faut nous le promettre. »
- « A voir le plaisir que tu as pris ma petite maman comme tu dis, « en vraie salope », je pense que tu ne tiendras pas cette promesse. Laisse-moi encore te caresser. »
- « N’insiste pas. C’est non ! Soyons sages. Ce moment d’égarement aussi agréable fût-il doit rester un grand secret entre nous »
- « Tu m’as tellement excitée, maman salope, que j’ai envie de ma branler sur toi en regardant ton corps apaisé. »
- « Bichette, arrête ce langage qui n’est plus de mise. Si tu as envie de te branler, je te laisse faire mais la partie est terminée. »
A genou devant elle, je me caresse la chatte encore trempe de nos jus en écartant bien mes lèvres pour faire sortir mon clito et le lui montrer.
Je me caresse les cuisses puis remonte mes mains vers mes seins dont je sens les tétons bandés comme de petites bites. Je me retourne pour qu’elle voit bien mon arrière-train.
- « Tu aimes mon cul Aline ? »
- « Bichette je te laisse te masturber mais arrête de m’exciter je t’ai dit que la partie était terminée. Reprenons notre rôle de mère et fille et gardons notre secret. »
- « Mère et fille lubriques qui s’envoient en l’air sans retenue. Je suis sûr que je te fais à nouveau mouiller. Tu as aimé ma chatte, j’ai fouillé ton cul. J’aimerais que tu me fasses moi aussi jouir du cul. A voir ton ardeur de tout à l’heure, je ne crois pas que tu veuilles en rester là. Tu es adorable en salope de pute. Viens me bouffer. Libère toi à nouveau. »
Malgré sa réticence à reprendre un jeu saphique, je constate que sa main s’est enfouie entre ses cuisses.
- « Tu vois, tu te branles toi aussi. Ecarte bien les cuisses que je vois jaillir ta cyprine. »
Et là, à mon grand étonnement, un déclic a dû se produire dans sa tête, un frisson dans son corps, elle se jette sur moi.
- « OUI ? Recommençons, j’ai encore envie de baiser, je ne résiste pas de voir ton corps onduler et te caresser les seins. Prends-moi comme une pute, rempli moi la chatte de tous les objets à portée de ta main, c’est comme cela que je me fais jouir en solitaire. Mais je rêve aussi de me faire prendre par une vraie queue. »
- « Tu n’as donc pas de partenaire ? »
- « Si, j’ai une amie dans notre association qui m’a faite découvrir le plaisir entre femmes mais d’une manière un peu particulière. J’ai adoré notre petit jeu mais reconnait qu’il est contre nature. »
- « Mais non maman, nous étions consentantes et tu acceptes de dire que c’était merveilleux augmenté du piment d’une relation mère fille. Personne ne saura rien de notre complicité et surtout pas mon frère Alain. C’est notre grand secret. Parle-moi de ton amie. Que veux-tu dire « d’une manière particulière ». ? Vous vous adonnez au BDSM ? Tu aimes souffrir ?»
- « Non, c’est autre chose sois patiente je te raconterai. Fais-moi jouir une nouvelle fois. »
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J'ai aimé, une suite si possible
Linsee
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