Fête du cinéma
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-11-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Fête du cinéma
La fête du cinéma, surtout cette année attire de nombreuses personnes. Je vais au ciné tous les lundis, alors, fête du cinéma ou non, pour moi rien de change. Je suis abonné et ne paie qu’un seul pris, celui de 20€ pour un nombre illimité de séances. La seule différence est qu’il y a beaucoup de monde aujourd’hui. Je connais fort bien la »chef ouvreuse ». Nous bavardons gentiment chaque fois que je la vois. Elle me plait bien cette nana: elle n’est pas très grande, a des atout qui la font paraître aguichante.
L’avantage de son travail est qu’elle surveille la marche des clients. Quand les premières projection commencent elle sait qu’elle est tranquille pour au moins 2 heures. Elle a un petit bureau pur traiter les affaires: abonnés, personnel etc. Aujourd’hui je ne suis pas satisfait à cause du monte et le lui dit. Elle me console en m’emmenant dans son clapier.
Et patati et patata, nous bavardons un moment. Bavarder pour ne rien dire n’est pas amusant.
- Nous savez que voue être adorable ?
- Moi ?
- Non vous, simplement adorable.
- Arrêtez de vous moquer de moi.
- Je ne me moque pas de vous. C’est vrai, en plus vous êtes désirable.
- Ne me dites pas que je suis ………..
- Oui, vous êtes baisable.
Elle rougit. Je ne doit pas être le premier à le lui dire. Qu’Est-ce que je risque, sinon une baffe: je m’approche d’elle pour l’embrasser: je sens son souffle sur mes lèvres quand je l’embrasse. Elle ouvre la bouche et nous voilà paris vers un horizon que je devine au loin.
Elle reste presque assises sur le bord de la table, je suis contre elle. Pour mieux m’accueillir elle écarte un peu les jambes. Je me trouve avec ma queue contre son pubis. Dans ces cas n’importe quel homme a une réaction pathologique: il bande. Elle sens bien que je suis excité. Elle ne fait rien pour éteindre ma flamme. Si encore elle me branlait. Rien, elle semble ne s’être aperçu de rien, étonnant.
Je m’écarte à peine pour pouvoir prendre au moins un sein dans la main. Là elle me laisse chercher, quand je trouve elle ne se défend pas. Je peux enfin me permettre des privautés. Je passe ma main sous son t-shirt, en dessous de sa blouse d’uniforme. Je trouve bien les seins: ils sont nus.
- Tu es toujours sans dessous ?
- Je n’en porte jamais, ils me mettent mal à l’aise.
- Si, par exemple je te mettais la main aux fesses, je te trouverai le cul nu.
Un petit oui s’échappe.
Je veux en avoir le cœur net: je passe ma main sous sa jupe: en effet elle ne porte rien. J’en profite pour caresser le cœur des jouissances féminines. Son clitoris est gonflés, sa chatte est mouillée. Elle me laisse faire, en mettant sa tête légèrement en arrière. Elle tient le bas de sa jupe vers sa ceinture, m’ouvrant par ce geste tout ce qui m’intéresse pour le moment en elle. J’abandonne son clitoris dès qu’elle a une première jouissance.
Cette fis c’est elle qui agit: elle sort ma bite, la regarde comme si c’était un objet d’art.
- Il y a longtemps que je n’en ai pas vu.
- Tu mens.
- Non je t’assure il y a longtemps que je n’ai pas baisé.
- Tu veux que je te la mette maintenant ?
- Non, pas encore.
Elle commence à me caresser: si il y a longtemps qu’elle n’en a pas vu, elle n’a pas perdu le mode d’emploi. Elle me masturbe un moment et n’y tenant plus, elle ouvre sa bouche en se baissant pour me sucer. Elle commence par me prendre le prépuce en entier avant de le baisser avec ses lèvres. Quand elle le remonte, elle passe la langue entre la peau et le gland, s’emprisonnant sur ma bite. Quand elle retire sa langue, je ressens une impression de nouveauté et de plaisir différent.
Elle enfonce la bite jusqu’au fond de sa bouche. C’est inévitable, je vais jouir. Elle le sait et arrête tout, heureusement.
Elle a commencé, à moi de pratiquer la suite. Elle est à nouveau au bord de sa table. Ses jambes toujours écartées. J’y passe ma tête, je lèche ses cuisses pour arriver au ciel.
Quel beau ciel elle a: des lèvres égales: une rareté, un sexe imberbe, un clitoris assez gros qui me permet de l’aspirer au lieu de le lécher, je ne parle pas de son gout: inimitable.
Ma langue vas se planter dans sa chatte. Je la tourne dans son ventre. Elle gémit de plus en plus fort, surtout quand je sens ses spasmes de l’orgasme.
- Baises moi maintenant ou alors, encules moi.
- Je la mettrai là ou tu veux, ou plutôt je te la donne et tu choisis ton trou.
Elle me prend à pleine main, m’astique un peu, la pose sur son con et me demande d’enfoncer. J’entre jusqu’au fond: elle suit et même accentue mes mouvements. Je la sens encore jouir: elle me fait sortir d’elle, se tourne, pose son torse sur la table et
- Vas-y encules mi;
Je cherche avec le bout de ma bite l’entrée secrète de son anus. J’entre doucement quand elle se force pour que j’entre à fond. Je termine au fond de son cul. En quelques mouvements nous jouissons ensemble.
Il est temps de nous remettre.
La prochaine baise est prévu pour ce soir, chez moi.
L’avantage de son travail est qu’elle surveille la marche des clients. Quand les premières projection commencent elle sait qu’elle est tranquille pour au moins 2 heures. Elle a un petit bureau pur traiter les affaires: abonnés, personnel etc. Aujourd’hui je ne suis pas satisfait à cause du monte et le lui dit. Elle me console en m’emmenant dans son clapier.
Et patati et patata, nous bavardons un moment. Bavarder pour ne rien dire n’est pas amusant.
- Nous savez que voue être adorable ?
- Moi ?
- Non vous, simplement adorable.
- Arrêtez de vous moquer de moi.
- Je ne me moque pas de vous. C’est vrai, en plus vous êtes désirable.
- Ne me dites pas que je suis ………..
- Oui, vous êtes baisable.
Elle rougit. Je ne doit pas être le premier à le lui dire. Qu’Est-ce que je risque, sinon une baffe: je m’approche d’elle pour l’embrasser: je sens son souffle sur mes lèvres quand je l’embrasse. Elle ouvre la bouche et nous voilà paris vers un horizon que je devine au loin.
Elle reste presque assises sur le bord de la table, je suis contre elle. Pour mieux m’accueillir elle écarte un peu les jambes. Je me trouve avec ma queue contre son pubis. Dans ces cas n’importe quel homme a une réaction pathologique: il bande. Elle sens bien que je suis excité. Elle ne fait rien pour éteindre ma flamme. Si encore elle me branlait. Rien, elle semble ne s’être aperçu de rien, étonnant.
Je m’écarte à peine pour pouvoir prendre au moins un sein dans la main. Là elle me laisse chercher, quand je trouve elle ne se défend pas. Je peux enfin me permettre des privautés. Je passe ma main sous son t-shirt, en dessous de sa blouse d’uniforme. Je trouve bien les seins: ils sont nus.
- Tu es toujours sans dessous ?
- Je n’en porte jamais, ils me mettent mal à l’aise.
- Si, par exemple je te mettais la main aux fesses, je te trouverai le cul nu.
Un petit oui s’échappe.
Je veux en avoir le cœur net: je passe ma main sous sa jupe: en effet elle ne porte rien. J’en profite pour caresser le cœur des jouissances féminines. Son clitoris est gonflés, sa chatte est mouillée. Elle me laisse faire, en mettant sa tête légèrement en arrière. Elle tient le bas de sa jupe vers sa ceinture, m’ouvrant par ce geste tout ce qui m’intéresse pour le moment en elle. J’abandonne son clitoris dès qu’elle a une première jouissance.
Cette fis c’est elle qui agit: elle sort ma bite, la regarde comme si c’était un objet d’art.
- Il y a longtemps que je n’en ai pas vu.
- Tu mens.
- Non je t’assure il y a longtemps que je n’ai pas baisé.
- Tu veux que je te la mette maintenant ?
- Non, pas encore.
Elle commence à me caresser: si il y a longtemps qu’elle n’en a pas vu, elle n’a pas perdu le mode d’emploi. Elle me masturbe un moment et n’y tenant plus, elle ouvre sa bouche en se baissant pour me sucer. Elle commence par me prendre le prépuce en entier avant de le baisser avec ses lèvres. Quand elle le remonte, elle passe la langue entre la peau et le gland, s’emprisonnant sur ma bite. Quand elle retire sa langue, je ressens une impression de nouveauté et de plaisir différent.
Elle enfonce la bite jusqu’au fond de sa bouche. C’est inévitable, je vais jouir. Elle le sait et arrête tout, heureusement.
Elle a commencé, à moi de pratiquer la suite. Elle est à nouveau au bord de sa table. Ses jambes toujours écartées. J’y passe ma tête, je lèche ses cuisses pour arriver au ciel.
Quel beau ciel elle a: des lèvres égales: une rareté, un sexe imberbe, un clitoris assez gros qui me permet de l’aspirer au lieu de le lécher, je ne parle pas de son gout: inimitable.
Ma langue vas se planter dans sa chatte. Je la tourne dans son ventre. Elle gémit de plus en plus fort, surtout quand je sens ses spasmes de l’orgasme.
- Baises moi maintenant ou alors, encules moi.
- Je la mettrai là ou tu veux, ou plutôt je te la donne et tu choisis ton trou.
Elle me prend à pleine main, m’astique un peu, la pose sur son con et me demande d’enfoncer. J’entre jusqu’au fond: elle suit et même accentue mes mouvements. Je la sens encore jouir: elle me fait sortir d’elle, se tourne, pose son torse sur la table et
- Vas-y encules mi;
Je cherche avec le bout de ma bite l’entrée secrète de son anus. J’entre doucement quand elle se force pour que j’entre à fond. Je termine au fond de son cul. En quelques mouvements nous jouissons ensemble.
Il est temps de nous remettre.
La prochaine baise est prévu pour ce soir, chez moi.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonne idée mais mal écrit dommage ...