FICTION - La bénévole de la paroisse.
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-04-2016 dans la catégorie Plus on est
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FICTION - La bénévole de la paroisse.
En ce dimanche d’été, le soleil était brulant. Jeanne MARTIN aurait préféré ne pas être en extérieur avec ce temps-là. Mais il était de son devoir de bonne catholique de faire du porte à porte après la messe pour aider les gens. Elle lissa sa jupe sur ses hanches en se regardant dans la glace de son dressing… Elle était parée pour la tournée dominicale de distribution des périodes catholiques et des gâteaux qu’elle avait confectionnés.
Aujourd’hui, on lui avait déjà claqué trois portes au nez dès qu’elle s’était présentée. Désormais, elle était nerveuse et découragée par le manque de savoir-vivre de ces personnes. Léa, sa seule amie à la paroisse lui avait recommandé de faire des gâteaux :
• Les gens sont plus aimables et plus réceptifs si tu leur offres des gâteaux.
Mais, à la deuxième maison, le locataire lui avait arraché la boite de gâteaux avant même qu’elle ouvre la bouche. Elle hésitait à aller frapper à une quatrième maison. Elle se disait en elle-même qu’elle n’était pas douée pour le porte à porte. Elle aurait aimé que Léa soit là pour l’aider. Alors qu’elle approchait de la maison voisine, Jeanne pensa qu’avec cette chaleur moite, elle n’était pas à l’aise avec ses talons, sa jupe noire et son chemisier blanc.
En partant de la maison ce matin, elle s’était habillée de façon stricte. Mais la chaleur torride l’avait obligée à retirer sa veste et à ouvrir quelques boutons de son chemisier, révélant plus de peau qu’elle n’aurait voulu.
Naïve, elle ne se rendait pas compte que ses gros seins pales enfermés dans un petit-soutien-gorge qui avait du mal à les soutenir étaient visibles et luisants de sueur. Sa jupe était un peu trop courte et elle collait ses jambes. Elle était à peine suffisante pour couvrir le haut de ses bas et les lignes de sa culotte étaient marquées sur ses fesses. Ses talons galbaient ses jambes. Avec ses lunettes et ses longs cheveux bruns tenus en chignon, elle était l’incarnation d’une femme d’affaire sexy. De plus en plus mal à l’aise, elle se disait qu’elle ferait mieux d’abandonner.
Mais elle monta les marches de la maison suivante, une bâtisse assez ancienne quelque peu décrépite. Des chiffres rouillés indiquaient « 45 » mais il y avait une marque qui montrait qu’il manquait un « 6 ». Elle pensa en elle-même qu’elle n’était peut-être pas dans le bon quartier.
La paroisse avait divisé la ville pour ses bénévoles. Jeanne avait choisi un des quartiers dans les plus vieux où ses collègues ne voulaient pas aller. Elle était désolée que personne ne se soit inscrit pour l’accompagner, mais elle ne pouvait les blâmer. Le quartier était vieux et la population d’approche difficile.
D’ailleurs, ce quartier était évité par les autres bénévoles depuis qu’Agathe, une jeune fille de 18 ans, en été revenue enceinte. Ses parents affirmaient qu’elle avait été violée. Et bien qu’Agathe n’ait jamais raconté ce qui lui était arrivée, elle avait nié avoir été violée. Personne n’était revenu dans le quartier depuis. Un an avait passé… et Jeanne était la première à y revenir.
Elle frissonna en essayant d’imaginer ce qu’Agathe avait pu subir, surtout qu’elle avait le même âge que sa fille Amandine. Quand elles étaient ensemble en public, les hommes de tous âges les observaient. Elle avait laissé sa fille à la maison ce matin alors qu’elle allait à la messe.
Elle aurait voulu que son mari et sa fille soient plus pratiquants. Elle se sentirait plus confiante s’il était à ses côtés Mais, dès le début de leur relation, il lui avait fait comprendre que la religion ne l’intéressait pas. Elle aurait quand même bien aimé qu’il joue les gardes du corps…
Jeanne ajusta ses lunettes avant de frapper sur la porte. Elle attendit une minute mais personne ne vint. Elle pensa : Je devrais abandonner….
Avec ses yeux bleus, elle examina la maison. La peinture blanche s’effritait et les fenêtres étaient couvertes de draps. La peinture verte de la porte était défraîchie. Le jardin était délaissé et les escaliers menant à la porte étaient abimés. Il était étonnant qu’elle ne se soit pas tordu la cheville en montant.
Elle frappa de nouveau, plus fort. Le soleil tapait dans son dos. Son front devenait collant et ses cheveux gras. Son mascara ne coulait pas encore mais elle s’inquiéta que bientôt il le fasse. Jeanne n’était pas beaucoup maquillée, juste assez pour être belle, un peu de blush rose sur les joues et un rouge à lèvres rouge. Sa sueur n’abimerait pas son maquillage. Mais elle ne l’arrangerait pas. Enfin elle entendit du mouvement de l’autre côté de la porte.
Un homme dit au travers de cette porte :
• Juste un instant…
Les bruits continuèrent derrière la porte puis elle s’ouvrit en grinçant. Un jeune homme s’avança rapidement déséquilibrant Jeanne alors que la porte se refermait. Il attrapa la femme pour lui éviter de tomber :
• Désolé Madame, mais ils stockent tellement de choses derrière la porte qu’elle est presque impossible à ouvrir. Que puis-je pour vous ?
Jeanne se dégagea et se redressa. Elle remit ses lunettes en place et regarda le jeune homme de bas en haut. Il était torse nu et très beau. Sa poitrine et ses abdominaux semblaient sculptés. Il ne portait qu’un caleçon, visiblement enfilé à la hâte. Ses bras et ses jambes montraient qu’il était un adepte de la salle de musculation. Il portait une barbe d’un jour et des cheveux indisciplinés.
Elle restait sans voix…
Voyant les brochures sous le bras de la femme il soupira :
• Oh vous êtes témoin de Jéhovah…
Jeanne corrigea :
• Non pas du tout, je suis juste bénévole à la paroisse catholique. Je suis ici pour aider et répandre la bonne parole !
Le jeune homme la regardait fixement. Ses yeux étaient intimidants. Jeanne détourna son regard et demanda :
• Pourrai-je vous parler un moment ?
Le garçon se gratta la barbe naissante et dit :
• Pourquoi pas ! Je vais réveiller mes colocataires. Pierre aime bien les gens pieux. Voulez-vous entrer ?
Il poussa la porte puis entra. Jeanne le suivit. Un empilage de cartons se trouvait derrière la porte qui se referma automatiquement. Il dit :
• Je m’appelle Thierry…
• Oh je ne me suis même pas présentée, mon prénom est Jeanne.
Ils se serrèrent la main en échangeant des sourires. Elle le suivit jusqu’à une pièce faiblement éclairée qui semblait être la salle de séjour.
• Asseyez-vous, je vais chercher les autres.
Il la laissa prendre place sur un des trois canapés défraîchis placés sur chaque côté avec un grand écran plat en face. Elle s’assit et attendit sur le moins déchiré en face de la porte et de la télé. Elle entendit la voix du jeune homme à l’étage :
• Levez-vous, nous avons de la visite…
Puis il ajouta :
• Non, je m’en fous que vous mettiez un pantalon. Levez-vous juste.
Jeanne triait ses brochures.
Les hommes descendirent l’escalier avec grand bruit. Thierry fut le premier à entrer, un grand sourire sur son visage. Il s’assit à côté d’elle. Il était suivi par un homme aussi musclé que lui, un autre complètement nu et aussi baraqué et un troisième enveloppé dans une couverture qui se jeta sur le canapé le plus proche. Les deux autres s’assirent sur le canapé restant.
Jeanne ne put s’empêcher de remarquer la bite de l’homme nu. Elle était beaucoup plus grande et grosse que celle de son mari.
Le jeune homme saisit son membre en rigolant et en la regardant. Elle détourna les yeux en rougissant. Les autres jeunes rirent avec lui.
Thierry s’assit à côté d’elle et dit :
• Tenez-vous les gars, c’est notre invitée ! Elle est là pour nous parler de sa paroisse. Madame, le grand c’est Bruno, celui qui est nu c’est Pierre, l’autre c’est Jacques.
• Bonjour les garçons. Je suis Jeanne de la paroisse Notre-Dame de l’autre côté de la ville.
Thierry compléta alors en disant :
• Oh… nous connaissons une fille qui va à cette église.
Jeanne répondit avec enthousiasme :
• Vraiment ? Quel est son nom ? Je la connais surement.
• Oui, vous savez certainement qui est cette fille.
Thierry échangea un clin d’œil avec ses copains. Jeanne les regarda échanger des sourires avant qu’ils ne s’intéressent de nouveau à elle. Elle aurait aimé comprendre le clin d’œil et avoir des réponses à ses questions. Mais avant qu’elle ne parle, Jacques dit :
• Mais je me souviens de vous, Madame MARTIN. Vous êtes la mère d’Amandine. J’étais à l’école avec elle. Vous vous souvenez de moi ?
Jeanne regarda le garçon. Elle se souvenait de lui… Il était assis à côté de sa fille pendant son année de première. Il aimait l’embêter et Amandine s’en plaignait. Jeanne lui disait qu’il avait surement le béguin pour elle. Elle hocha la tête :
• Comment vont vos parents Jacques ?
Il haussa les épaules avant de répondre :
• Je ne leur parle pas beaucoup mais je suppose qu’ils vont bien. Comment va Amandine ?
• Elle vient de terminer sa 1ère année de fac. Mais vous, que faites-vous ?
Jacques secoua la tête :
• J’ai toujours été nul donc voilà pourquoi je vis avec ces clochards.
Jeanne ne savait pas comment réagir alors elle ne dit rien. Du coin de l’œil, elle pouvait encore voir la bite molle de Pierre. Thierry avait étiré ses bras, celui de droite reposant juste au-dessus de son dos, sur le dossier du canapé.
Pierre demanda :
• Thierry ! As-tu offert un verre à Madame Martin ?
Son copain répondit :
• Où sont mes bonnes manières ? Je vais aller chercher de l’eau, vous devez avoir soif après cette journée au soleil ?
Pierre cligna de l’œil à son ami :
• Une femme d’église a toujours soif, Thierry !
Jeanne ne compris pas le double sens de cette phrase mais elle vit les sourires sur les visages des garçons. Elle remercia Thierry quand il lui donna l’eau. Depuis son canapé, Bruno demanda :
• Donc vous vouliez nous parler ?
• Oui, j’ai des brochures à vous donner.
Jeanne tendit son verre à Thierry et se leva. En distribuant les brochures elle demanda :
• Est-ce que vous pensez venir à l’église un jour ?
Les garçons répondirent en riant. Jeanne trébucha quand elle voulut revenir s’asseoir, ses documents s’éparpillant. Thierry voulut l’attraper alors qu’elle tombait la tête première sur ses genoux. Sa main saisit sa cuisse mais l’eau du verre éclaboussa son chemisier.
• Pardon…
Thierry rigola :
• Il n’y a pas de mal…
Les yeux de Jeanne tombèrent sur l’entrejambe de Thierry. Un renflement était perceptible sous le caleçon. Le garçon vit son regard et l’aida à se redresser. Son soutien-gorge rose était maintenant bien visible sous son chemisier humide. Rougissante, elle s’assit à côté de Thierry. Elle espéra qu’il n’était pas trop évident que ses mamelons avaient durci. Mais Bruno l’avait remarqué.
• Vous pouvez enlever tout ça si vous êtes mal à l’aise.
Jeanne répondit :
• Je vais bien. Je disais donc…
Pierre la coupa :
• Pour être honnête, je ne comprends pas l’église. Pourquoi y allez-vous Madame MARTIN ?
• Euhhhh…
• Est-ce pour vous habiller pour vos amis et vous sentir bien ?
• Non, je m’habille comme ça la plupart du temps et je n’ai pas beaucoup d’amis à l’église.
Thierry dit à son copain :
• Détends-toi Pierre. Désolé, j’étais ironique lorsque j’ai dit que Pierre aimait les gens pieux.
Pierre se leva :
• Non, j’aime bien les gens pieux. Surtout les salopes.
Il prit place sur l’accoudoir du canapé juste à côté de Jeanne, écartant les jambes et tenant son membre à quelques centimètres du visage de la femme. Bruno et Jacques roulèrent des yeux alors que ceux de Jeanne s’agrandirent. Elle se leva en disant :
• Je crois que je devrais y aller.
Elle commença à se déplacer vers la sortie mais Bruno fut rapide. Il bondit de dessous sa couverture et la tira vers le bas sur son canapé. Accidentellement, la main de Jeanne caressa la bite du garçon alors qu’elle tombait sur le divan.
• Les garçons…
Elle essaya de reprendre son souffle. Elle vit Thierry et Jacques se lever de leur canapé. Le caleçon de Thierry était déjà sur le sol, sa bite en érection. Pierre et Bruno étaient assis de chaque côté d’elle, tenant ses bras. Thierry et Jacques étaient en face d’elle, de grands sourires éclairant leurs visages.
• Ne vous inquiétez pas Madame MARTIN, nous savons comment bien traiter nos invités.
Thierry s’était mis à genoux devant elle. Il troussa la jupe, exposant ainsi la petite culotte de soie noire. Jeanne cria :
• Que fais-tu ?
Thierry lui sourit. Il mit son index sur le petit monticule sous la culotte. Il sentit que la chatte était déjà humide.
Jeanne essaya d’échapper à l’emprise des deux autres garçons et de fermer ses jambes. Mais ils la tenaient bien, jambes ouvertes.
Bruno commenta :
• Vous avez de beaux seins.
Son doigt fit sauter un bouton, puis un autre. Paniquée, la femme regarda les boutons sauter un par un. Elle voulait l’arrêter mais elle était paralysée. Bientôt, elle fut à moitié nue, dépoitraillée, la jupe troussée sur ses hanches rondes.
• Vous ne devriez pas me faire ça les garçons. Je suis mariée. J’ai un mari…
Pierre chuchota dans son oreille :
• Je suis sûr que ça ne dérangera pas Monsieur MARTIN de vous prêter à des beaux mâles comme nous, bien pourvus et en manque de femme !
Jeanne ferma les yeux. Thierry frottait ses doigts sur la culotte de soie. Il serait déjà à l’intérieur de sa chatte si le petit bout de tissu ne faisait barrage. Bruno et Pierre avait baissé le soutien-gorge et avait saisi un sein chacun. Ils les massaient, triturant les mamelons entre leurs doigts puissants. Elle ne savait pas où était Jacques mais elle se doutait qu’il préparait quelque chose.
Thierry la taquina :
• Vous êtes toute mouillée Madame MARTIN. Vous appréciez n’est-ce pas ?
• S’il vous plait, arrêtez…
Jeanne gémit. Son corps la trahissait… Elle sentait son corps réagir malgré elle et la jouissance monter. Elle protestait de plus en plus mollement :
• J’ai un mari et une fille…
Les doigts de Thierry étaient merveilleux et pourtant ils n’avaient pas pénétré son intimité. Les deux autres garçons étaient occupés à malaxer ses seins. Ils ne tenaient plus ses bras. Pierre prit sa main et la conduisit à sa queue. Il enroula ses doigts autour de son membre dressé. Puis il l’aida à la caresser. Elle ouvrit les yeux pour voir avec horreur comment elle le masturbait. Pierre desserra son étreinte sur sa main et sourit quand elle ne lâcha pas le membre, subjuguée par la chaude sensation qu’elle éprouvait au creux de sa main. Il rit :
• Je pense qu’elle aime ça les gars !
Jeanne ne fit pas attention au commentaire. Bruno avait conduit son autre main à son sexe. Les deux bites étaient beaucoup plus grandes que celle de son mari. Elles étaient déjà raides dans ses mains mais elles n’arrêtaient pas de grossir et de s’allonger. Son cœur battait dans sa poitrine.
Jacques dit alors :
• Enlève sa culotte Thierry !
Pierre renchérit :
• Oh oui… je pense que le moment est venu !
Elle croisa le regard du jeune homme entre ses jambes. Elle réalisa qu’il attendait un signal d’elle. Il voulait savoir si elle était d’accord. Lentement, Jeanne hocha la tête négativement mais son regard disait le contraire. Mais en fin de compte, Thierry ne sembla pas s’en soucier. Il tira la culotte vers le bas, révélant sa chatte humide. Elle avait une petite tâche sombre de poils pubiens qui commençaient à repousser sur le haut de sa chatte.
Jacques lui demanda :
• Depuis combien de temps n’avez-vous pas joui Madame MARTIN ?
Elle n’entendit même pas la question. Thierry plongea sa langue profondément dans sa chatte. Elle haleta et serra les deux bites. Puis, honteuse, elle eut un orgasme. Cela faisait deux ans qu’elle n’avait plus eu de rapports sexuels et plus de quinze ans que son mari ne l’avait léchée !
Pierre rigola :
• Je pense qu’elle aime ça Thierry.
Jeanna continuait à branler les deux bites alors que Thierry mangeait son sexe. Chaque fois que la langue touchait son clitoris, elle frissonnait de plaisir. Ce garçon n’était pas un amateur. Il agita sa langue et caressa son clitoris avec son pouce. Ses genoux se mirent à trembler. Son deuxième orgasme était proche. Elle cria :
• Continue s’il te plait !
• Souriez Madame MARTIN !
Il y eut un flash lumineux. Elle leva les yeux et vit Jacques avec son téléphone. Elle ne pourrait jamais nier ce qui se passait.
Jacques demanda :
• Est-ce que Monsieur Martin et Amandine savent que vous êtes ici ?
Jeanne secoua la tête. Ils savaient qu’elle allait faire du porte à porte pour la paroisse. Elle se sentit coupable. Elle disait à son mari qu’elle faisait cela pour que les gens deviennent plus prudes. Elle était en train de trahir son mari comme son corps la trahissait elle.
Pierre lui pinça son mamelon. Elle haleta :
• Non, arrêtez…
Il ne l’écouta pas et pris le téton dans sa bouche. Bruno fit de même de son côté. Les deux garçons suçaient ses seins tandis que Thierry léchait sa chatte. Elle était trempée, son fluide combiné avec la salive noyait son entrejambe. Jacques tapota sur le dos de son ami :
• Je pense que ça suffit, il est temps pour elle de nous faire plaisir.
Thierry acquiesça. Les garçons la sortirent du canapé pour la mettre sur ses genoux. Pierre arracha le chemisier et le soutien-gorge. Les gros seins de Jeanne se balancèrent. Les jeunes regardèrent avidement cette chair tendre et pâle de cette jolie quadra. Il ne restait à la femme que sa jupe troussée et ses talons, sa culotte ayant disparu depuis longtemps.
Bien que connaissant la réponse, Jeanne demanda :
• Qu’est-ce que vous faites les garçons ? Que voulez-vous de moi maintenant ?
• Oh… Madame MARTIN ! Vous ne devinez pas ?
Jacques caressa son membre à quelques centimètres de son visage. Elle regarda cette bite qui était la plus grosse qu’elle n’ait jamais vue. Elle savait qu’il allait grossir encore. Un peu de liquide pré éjaculatoire suintait sur le gland.
Pierre ajouta :
• Nous savons ce que vous voulez…
Les quatre garçons étaient debout avec quatre bites pour elle toute seule. Elle avait faim sexuellement même si elle ne voulait pas l’admettre. Jamais elle n’avait eu de pensées lubriques comme ça.
Jacques saisit le dos de sa tête afin de mener sa bouche vers sa queue charnue. Il l’engouffra vers le bas jusqu’à ce que ses couilles tapent le menton de la femme.
• Yeh les gars ! Nous avons touché le jackpot ! Une gorge profonde sans préparation !
Jeanne toussa, mais Jacques l’obligea à reprendre son sexe. Après quelques instants, elle avalait sa bite avec facilité. Avec ses mains libres, elle attrapa deux autres membres. Elle ne savait même pas à qui ils appartenaient. Avec ses pouces, elle enduit ces tiges avec leur propre liquide pré éjaculatoire. Puis elle les branla. Les garçons s’exclamèrent en chœur :
• Ouais super !
Instinctivement, elle changea de sexe pour en fourrer un nouveau dans sa bouche. Et elle continuait à en branler deux autres. Elle changeait avant qu’un garçon n’éjacule. Même si elle n’était pas une experte, Jeanne possédait un talent inné pour les fellations. Ce n’est pas ce que l’on pouvait croire d’une bigote comme elle. Pourtant, lorsque qu’elle avait eu des rapports avec son mari, il avait su apprécier la bouche de sa femme. Avec sa langue, elle sentait toutes les différences de peaux des sexes des garçons. Le liquide pré éjaculatoire commençait à tapisser sa gorge. Sa chatte était en feu.
• Cette femme est géniale !
Elle entendait les garçons se taper dans les mains.
• Ce sont toujours les plus culs-bénits qui sont les meilleures salopes !
• Je vous parie que cette salope va encore jouir !
• Eh les gars ! Elle est tout pour nous aujourd’hui. Elle ne voudra pas partir ce soir.
• Et demain, elle ne sera plus capable de marcher.
Jeanne entendait ces dialogues. Et bien qu’ils soient dégradants, elle adorait. Elle suça avec encore plus d’entrain.
• Je vais te remplir, ma pouliche à gros seins !
Pas encore. Jeanne ne voulait pas que quelqu’un éjacule déjà. Elle changea rapidement de bite. Une voix cria :
• Viens là ! Je vais baiser ta petite gorge de salope jusqu’à ce que je jouisse.
Une main prit sa tête et la remit sur la bite précédente. La voix mystérieuse poussa son membre jusqu’au fond de sa gorge, l’étouffant. Elle ne résista pas et l’étreinte se desserra. Elle suça en rythme le sexe.
La voix dit :
• Aaaaaaaahhhhhh… je viens !
Effectivement, le sperme remplit sa bouche. Elle avala ce qu’elle put mais elle toussa sur le reste. La bite continuait à gicler, éclaboussant ses lunettes, y laissant de longs fils gluants. Elle ferma les yeux alors que ses cheveux et ses seins recevaient leur part de foutre. Elle finit d’avaler le sperme dans sa bouche et retourna nettoyer le sexe du garçon.
Une voix demanda :
• Comment était-ce ?
Elle leva les yeux. C’était jacques qui avait éjaculé le premier. Jeanne sourit et dit :
• Délicieux…
Les garçons rigolèrent alors que la femme engloutissait un autre sexe. Une petite voix dans sa tête disait : « Que suis-je en train de faire ? » Une voix plus sombre répondait : « vous vous faites plaisir. Il est temps que vous profitiez de bonnes bites. Il suffit des conneries bigotes. Ces garçons vont vous faire monter au septième ciel et en bonne salope vous allez apprécier. »
Après que Jacques eut déchargé, les autres garçons voulaient faire de même. Thierry grogna alors qu’il vidait ses couilles au fond de sa gorge. Elle pouvait entendre dans sa tête, le jet de sperme tapant le fond de sa gorge. Ensuite Bruno ajouta sa décharge sur le visage de Jeanne. Chaque jet était plus gros et plus épais que le précédent. Son mascara dégoulina le long de ses joues. Son rouge à lèvres débordait de sa bouche.
Les garçons s’assirent sur le canapé après avoir joui. Pierre était le dernier debout. Même si elle avait déjà beaucoup reçu, elle en voulait encore plus. Son cœur battait. Elle ne pouvait pas attendre de voir où il allait éjaculer. Le tapis ainsi que la chatte de Jeanne étaient trempés. Elle vit du coin de l’œil que Jacques avait repris son téléphone et qu’il filmait.
Elle suça les couilles de Pierre alors que ses mains travaillaient de haut en bas sur le pénis du garçon. Pierre gémissait :
• Quelle salope vous êtes ! Ils vous ont recouvertes de sperme et vous en voulez encore. Ne vous inquiétez pas, mes couilles sont tout autant remplies.
Les autres garçons applaudirent alors que la femme engloutit le membre profondément. Les gémissements de Pierre s’accentuèrent :
• Tu es prête Salope pour une autre bonne décharge ?
Sans attendre de réponse, il tira la tête par les cheveux et grogna alors que giclait un flot de sperme sur les lunettes. Puis il remit sa queue dans la bouche et la remplit avant de ressortir pour finir sur le visage et les seins.
Jeanne semblait sortie d’une guerre de serpentins. Des fils de matières gluantes couvraient ses cheveux, son visage et ses seins. Certains étaient tombés sur sa jupe noire.
Pierre rejoignit les autres sur les canapés. Jeanne resta à genoux, au milieu de la pièce, haletante.
Tout le monde souriait, même Jeanne.
Jacques applaudit :
• Dites quelque chose à la caméra Madame MARTIN !
La voix sombre dans sa tête résonna : « Allez Salope ! Tu es leur sac à sperme maintenant. Tu ne peux pas avoir de regrets. Donne-toi en spectacle ». Alors elle dit :
• Mon Dieu, Je n'ai jamais vu autant de sperme. Vous les jeunes, vous savez comment faire avec une femme. Et en plus il est délicieux.
Elle cligna de l’œil devant la caméra, enleva le sperme de ses joues pour le mettre dans sa bouche. Pierre tapa la main de Thierry. Elle savait que leurs bites auraient besoin de récupérer avant de pouvoir servir à nouveau.
• Voulez-vous que je joue avec ma chatte les garçons ?
Des cris d'approbation éclatèrent dans la pièce. Jeanne se mit sur me dos et enleva sa jupe. Toutefois, elle garda ses talons hauts. Ayant parfois espionné son mari sur internet, elle savait qu'une fille nue avec talons excitait les hommes. Elle pensa qu'elle n'avait jamais fait cela avec son mari.
Thierry poussa Pierre :
• Vas chercher ton vibromasseur !
Jeanne sourit :
• Oh les garçons, vous avez un jouet pour moi ? Je suis contente car je ne peux pas attendre que vous bandiez à nouveau.
Pierre revint avec l'objet et en lui tendant il dit :
• Il suffit de le poser où vous voulez.
Elle alluma l'interrupteur, sentant immédiatement la puissance de l'objet. Le bourdonnement fut intimidant au début. Mais le fait que les garçons attendent, impatients, elle fut excitée à l'idée de l'essayer. Elle n’avait jamais osé en acheter un pour se satisfaire et palier les déficiences de son mari…
Jeanne frotta le vibromasseur contre l’intérieur de sa cuiise. Un picotement envahit ses jambes. Elle leva les yeux vers la caméra. Son corps brûlant la culpabilisait. Son mari était sûrement encore à la maison, regardant le match alors qu'elle se donnait à des jeunes de l'âge de sa fille. Jeanne ne pouvait imaginer que sa fille Amandine, qui devait être sexuellement active maintenant, puisse avoir le même comportement. La pensée de son enfant entourée de queues excitées la terrifiait.
Le vibro atteint finalement les lèvres de la chatte. Elle frissonna violemment à ce contact. Son dos voûté et ses hanches jetées en avant, Jeanne ferma les yeux et laissa échapper un profond gémissement de satisfaction.
L'un des garçons dit :
• Oh merde ! Regardez cette mère de famille comme elle est excitée !
• Je vous ai dit que ces salopes de catholiques sont les plus chaudes !
Jeanne reconnut la voix de Pierre mais cela ne l’empêcha pas de continuer de jouer avec le vibro qu’elle glissa entre ses lèvres débordant de cyprine puis elle l’introduisit jusqu’à la garde au fond de son vagin. Cette introduction vibrante la fit partir immédiatement dans une jouissance démente qui lui arracha une sorte de rugissement.
Pierre dit en riant :
• Vous vous rappelez de la fille qui est venue il y a quelques mois. Elle s'appelait Agathe. Elle venait nous faire son discours pour la paroisse, tout comme cette salope là.
Jeanne savait qu'ils parlaient d'Agathe TOURNIER, c'était son nom complet. Une belle jeune femme intelligente comme sa fille.
• Nous l'avons baisée tant que nous pouvions. Et vous vous rappelez qu'elle est revenue le mois dernier, enceinte.
• Oui, Oui, nous l'avons complètement défoncée à nouveau.
Jeanne les écoutait. Elle ne pouvait croire que c'était ces garçons qui avaient couché avec Agathe. Cette fille avait un avenir prometteur. C'était une jolie petite blonde qui n'avait eu que des bonnes notes depuis le cours élémentaire. Jeanne imaginait son visage strié du sperme des garçons comme le sien l'était. Elle imaginait les fils de sperme entrelacés dans les nattes blondes, sa chatte serrée sur leur bite jusqu'à ce qu'elle déborde de foutre. D'ailleurs elle était sûrement vierge avant.
Et puis elle était revenue, engrossée par un des garçons, ne pouvant savoir lequel. Et elle reviendrait encore. C'était une vraie salope avec des désirs inassouvis tout comme Jeanne allongée sur le plancher. Voilà pourquoi elle n'avait rien dit à personne. Elle ne pouvait supporter d'avouer à ses parents quelle salope elle était.
• Mais cette pute là est différente. Regardez comme elle joue avec son sexe. Elle n'est pas timide comme Agathe. Rappelez-vous qu'il a fallu presque une heure d'amusement avant que la fille ne cède. Cela a pris cinq minutes pour cette salope de mère de famille.
• Mais Thierry ! Il s'agit là d'une femme mature. Bien sûr elle se conduit comme une salope. Mais je crois qu'elle n'a jamais eu auparavant ce genre d'attentions sexuelles. Elle rêvait probablement de quatre jeunes bites la fourrant mais elle ne connaissait pas. Dites-moi Madame MARTIN, à quel point voulez-vous nos queues en ce moment ?
Le vibromasseur était toujours pressé au fond de la chatte de Jeanne. Elle en tremblait tout en écoutant leur conversation. Elle les voulait en elle. Elle ne pouvait plus attendre et elle ne voulait pas que sucer des bites. Elle supplia :
• S'il vous plaît ! Prenez-moi en... sandwich ? Est-ce bien le terme ?
Elle voulait sentir leur sperme chaud à l'intérieur d'elle. Elle était encore fertile mais ce n'était pas un sujet de préoccupation à l'instant. Si elle tombait enceinte, elle réglerait ce problème plus tard. Elle prenait le risque. Elle demanda aux garçons :
• Je veux vous sentir éjaculer en moi les garçons ! Pas de préservatifs.
Si Agathe pouvait le faire alors elle aussi. Cette petite pute n'avait probablement pas su les assouvir convenablement. Jeanne ne pouvait s'empêcher de ressentir de la jalousie. Pour quelle raison était-elle jalouse ? Elle n'était pas la première à passer dans leurs mains. Son esprit divaguait. Avec un vibromasseur dans sa chatte humide, le visage recouvert de sperme, elle était plus excitée qu'elle ne l’avait jamais été.
• Ne vous inquiétez pas Madame MARTIN, nous allons bien nous occuper de vous. Nous vous montrerons des choses que vous ne connaissez sûrement pas !
• Elle veut que nous la baisions comme la petite Agathe, les gars ! Nous avons une nouvelle salope ! Qu'en dit votre mari Madame MARTIN ?
• Qui ça ?
• Votre mari assis dans votre maison qui n'est pas au courant que vous êtes une sale traînée, allongée dans un salon miteux en train de vous masturber devant quatre jeunes.
Jeanne poussa plus fort le vibromasseur dans son sexe, essayant d'ignorer les commentaires. Ses genoux tremblèrent et elle cria, les yeux révulsés, bouche ouverte. Les garçons regardaient son orgasme. Elle se cambrait, ses jambes étranglant le vibro enfoncé une nouvelle fois au fond de sa chatte.
• Dites Madame MARTIN ? La prochaine fois que vous viendrez, pourrez-vous amener votre fille Amandine ? Je vous laisserai utiliser ce jouet sur elle.
Ils se moquaient mais elle ne s'en souciait pas. Leurs commentaires ne la touchaient pas. Elle était une salope, leur salope. Cette pensée la fit frissonner alors qu'elle se remettait de son orgasme.
• Êtes-vous prêts les garçons ? Baisez-moi s'il vous plaît…
Elle jeta le vibro vers eux. Pierre lui attrapa un bras avec facilité et l’attira vers lui, son membre en érection dans son autre main. Il sourit :
• Je veux être le premier dans cette chatte !
Bruno ajouta :
• Viens là salope !
Il se dirigea vers elle, l'attrapa par les cheveux violemment. Jeanne cria mais fut rapidement étouffée par la queue qu'il enfourna dans sa bouche. Puis il commença à se branler dedans. Elle leva ses yeux le regardant. Il ne souriait pas. Elle sentit que l'on caressait son cul puis des doigts s’enfoncèrent dans son antre humide. Elle releva son fessier pour faciliter l'inconnu derrière elle. Un claque tomba sur ses fesses. Elle grogna mais garda son cul en l'air.
• Laisse la place Bruno !
La bite quitta sa bouche. Elle essaya de la rattraper mais sans succès. Des mains puissantes saisirent ses hanches, d'autres ses bras. Elle fut soulevée et remise debout, penchée en avant. Jeanne enroula ses bras autour de la taille de l'homme devant elle. Puis elle avala le membre à demi dressé devant ses yeux. Enfin elle sentait une première queue frotter sa motte. Elle la taquinait, caressant de haut en bas sans la pénétrer. Elle cracha la bite de sa bouche et murmura :
• S'il vous plait...
Elle passa sa langue sur toute la longueur de la bite qu'elle venait de délaisser afin ne pas décevoir son propriétaire. L’un des garçons demanda :
• Pourquoi es-tu si long Pierre ?
• Je veux l'entendre supplier !
Il continua à frotter son membre contre elle, excitant sa chatte.
Jeanne cria :
• S'il vous plaît, baisez-moi ! Enfoncez votre queue dans ma chatte, j'en ai besoin !
• Voilà exactement ce que je voulais entendre !
La verge de Pierre força son chemin dans le vagin de Jeanne. La bouche de la femme s'ouvrit, happant l'air. Sa chatte était beaucoup plus serrée qu'elle ne le pensait. Ou alors Pierre avait le plus gros sexe qu'elle n'ait jamais eu. Ses couilles tapèrent ses fesses avant qu'il ne recule puis pousse à nouveau. Les seins nus rebondirent violemment. Une main saisit sa tête et une bite força sa bouche. C'était la première fois que Jeanne avait deux pénis en elle à la fois. Elle adorait.
Les garçons criaient de joie pendant que deux des leurs la baisait. Des mains claquaient son cul nu. Le bassin de Jeanne accompagnait Pierre en rythme. Les coups devenaient plus rapides. Son vagin était brûlant d'excitation.
Pierre, triomphant cria :
• Madame Martin, Votre chatte est fantastique !
A chaque poussée du jeune homme, elle pouvait le sentir la pénétrer de plus en plus à l'intérieur d'elle. Ses gémissements auraient été bruyants s’il n’y avait cette bite dans sa bouche. En rythme, les garçons la tiraient chacun de leur côté. Les doigts de Pierre étaient enfoncés dans ses fesses. Bruno la tenait par les cheveux. A chaque fois que Pierre poussait, lui tirait, sa queue touchant le fond de la gorge et ses couilles battant le menton.
Soudain, les doigts de Pierre serrèrent ses hanches. Elle sentit son sperme chaud se répandre en elle. Leurs fluides se mélangèrent et commencèrent à suinter hors d’elle.
Les deux garçons changèrent de place… Pierre poussa sa verge toujours dressée dans la bouche de Jeanne pour se la faire nettoyer. Bruno se plaça derrière et la pénétra. Son sexe était moins gros que celui de son ami mais il prit un rythme régulier et rapide qui compensa.
• Zut Pierre ! Tu l’as distendue !
• Elle était aussi serrée que la petite Agathe. Je l’ai préparé pour vous les gars.
• Mon œil que tu l’as préparée... Tu sais très bien que nous les aimons tout aussi serrées que toi.
Lorsque Pierre considéra que son membre fut assez propre, il repoussa la tête de la femme. Avide, Jacques pris sa place. Jeanne était heureuse de retrouver ce sexe dans sa bouche. De la sueur roulait sur son front, ainsi que sur son corps et du jus coulait de sa chatte le long de sa jambe.
Un pouce appuya sur son anus. Elle se tortilla pour essayer de l’arrêter mais finalement il pénétra son petit trou. Elle cria :
• AAHHHHHH !
Jacques suggéra alors :
• Une bite dans son cul !
Elle n’avait jamais été sodomisée et ne le voulait pas. Cependant, dans son état présent, elle n’osa pas dire non aux garçons. Elle savait qu’ils n’auraient pas écouté de toute façon. Son mari avait voulu et elle avait toujours dit non. Mais son mari ne l’avait jamais utilisé comme ces jeunes. Le pouce est resté dans le cul jusqu’à ce que Bruno éjacule à l’intérieur d’elle. Ses genoux se dérobèrent lorsque le doigt sauta de son anus. Son corps trembla alors qu’elle eut son quatrième orgasme de la journée. Elle cracha la bite de Jacques et s’effondra sur le sol, épuisée. Le sperme s’échappait de sa chatte.
Jeanne pouvait voir les garçons marcher autour d’elle. Ses yeux rencontrèrent ceux de Bruno au-dessus d’elle. De son membre tombaient des gouttes sur ses lunettes. Le garçon s’accroupit sur son visage et enfourna sa verge dans sa bouche, ses couilles reposant sur son menton. Elle était complètement bâillonnée mais elle aimait le goût du mélange de sperme et du jus de sa chatte. Un autre garçon avait repris le vibromasseur pour jouer avec son sexe. Elle ferma les yeux. Puis, sans qu’elle puisse réagir, la bite dans sa gorge gonfla et explosa, des jets de sperme chaud inondant sa gorge. Bruno grogna et jura tandis qu’il déchargeait puis il soupira, détendu. Son engin était strié de rouge à lèvres et de filets de sperme blanc lorsqu’il le sortit.
Jeanne cracha un peu de sperme et sourit aux jeunes.
Thierry s’étonna :
• Dis donc Bruno ! Je ne comprendrais jamais comment tu as pu éjaculer deux fois en une minute dans cette chienne ?
• Je ne sais pas non plus. Mais ne vous inquiétez pas Madame Martin, vous aurez une autre ration !
Le vibromasseur bougeait de sa chatte à son cul. Si ça avait été un gode, elle l’aurait enfoncé en elle. Son jus mélangé au sperme descendait sur son trou du cul.
Jacques commanda :
• Mettons là sur le canapé les gars !
Ils la tirèrent vers le haut. Elle titubait comme une ivrogne, essayant de se tenir debout. Mais ses genoux étaient trop faibles pour la soutenir sur ses talons. Ils la jetèrent sur le canapé où elle se reposa le temps que quelqu’un s’intéresse à elle.
Jacques s’assis et la tira sur ses genoux. Il étendit ses jambes, elle pouvait enfin voir tout ce qui sortait de sa chatte. Le sperme couvrait ses cuisses et goutait sur les jambes sous elle. La queue de Jacques était rigide. Il prit du liquide pour lubrifier le cul de la femme. Elle couina lorsque le doigt entra. Il coulissa avec facilité même si Jeanne continuait à se plaindre.
• Du calme Madame MARTIN. Lorsque ma bite va vous pénétrer, alors vous aurez raison de crier. Elle est beaucoup plus grosse que mon doigt !
Il écarta les fesses de la mère de famille tout en la soulevant légèrement. Elle se laissa faire, trop fatiguée pour résister à quoi que ce soit d’autre. Il avait raison. Elle cria quand elle s’assit sur son membre. Elle eut l’impression d’être coupée en deux. Les larmes lui montèrent aux yeux alors que jacques ne montrait aucun relâchement. Il stoppa une fois pour lubrifier sa queue avec du sperme puis continua à la faire descendre.
• Non ! S’il te plaît ! Je ne peux pas Jacques ! Elle est trop grosse pour moi !
Sa queue ne semblait pas finir. Mais elle rentra complètement. Jeanne fit de son mieux pour la serrer mais elle sentait que son cul était entièrement dilaté. Voilà pourquoi elle ne voulait pas que son mari la prenne par là. Jacques reprit :
• Je suis flatté de savoir ce que vous pensez de mon attribut Madame MARTIN. Attendez que la douleur disparaisse et vous vous sentirez au septième ciel. Thierry, donne-lui quelque chose pour soulager la douleur.
Thierry sourit. Il laissa sa queue courir le long de sa chatte :
• Dites-moi Madame MARTIN, n’avez-vous pas envie de tout ça ?
Jeanne acquiesça, alors que ses larmes continuaient de couler. Son cul était rempli et c’était désagréable. Mais elle oublia vite alors que Thierry l’enfila. Elle le regarda plonger sa bite tout au fond d’elle et la retirer couverte de filaments blancs collants. Ses mains tripotaient ses gros seins. Pierre avait retrouvé sa rigidité. Il se leva pour une autre fellation. Jeanne secoua la tête, elle avait la mâchoire endolorie. Mais Pierre ne voulut pas comprendre le message. Ses lèvres engloutirent la queue une fois de plus. Dans son esprit, la voix sombre revint : « Il y a trois bites en toi maintenant sale pute. Je parie que tu aimerais avoir un quatrième trou pour que Bruno puisse vous rejoindre. Il va devoir se contenter de tes mains ».
Jeanne attrapa le membre de Bruno ainsi que ses couilles. Finalement, Jacques avait assez assoupli son cul. Elle rebondit violemment sur sa queue, ses seins se balançant de haut en bas alors que les autres garçons faisaient de leur mieux pour garder leurs engins dans les autres orifices. Son cul était engourdi. Elle ne contrôlait plus le bas de son corps. Puis elle prit conscience de l’éjaculation de Thierry dans sa chatte.
Ensuite, les trois jeunes alternèrent. Thierry remplit sa bouche, Bruno sa chatte et elle prit Pierre dans ses mains. Jacques pilonnait son cul violemment. Bruno faisait la même chose à sa chatte. Jacques utilisa ses mains pour écarter plus largement les cuisses afin que Bruno puisse encore plus la pénétrer. Bientôt, ses trois trous furent remplis de sperme chaud. Thierry déchargea dans sa bouche, Bruno dans sa chatte avant de finir sur sa poitrine. Et Jacques remplit son cul avant de la jeter. Elle atterrit sur le sol. Le liquide séminal suintait de son trou encore ouvert.
Pierre ne perdit pas de temps, il sauta sur elle et l’encula instantanément. Immédiatement il la bourra. Elle fit de son mieux pour tenir ses fesses ouvertes, écartant ses globes pâles, l’acceptant au plus profond d’elle. Les autres garçons sortirent de la pièce pour aller se nettoyer.
Pierre avait certainement la plus grosse queue des quatre. Il semblait remplir tout l’espace de son derrière. Ses yeux fermés, elle mordit son pouce pour s’empêcher de couiner. Malgré son cul engourdi, elle pouvait sentir le sexe à l’intérieur d’elle.
Pierre la pilonna avec facilité maintenant. Son cul était encore serré mais le sperme de Jacques aidait le membre à coulisser. Le garçon savourait cet instant où sa jeune bite perforait le trou interdit de cette mère de famille.
• Je vais jouir Madame MARTIN ! Je vais remplir ton cul de salope. Tu ne savais pas ce que tu étais vraiment vieille bigote. En fin de compte tu n’es qu’une autre de ces ménagères salopes accrocs au sexe.
Entendant ses railleries, elle se mit à pleurer mais dit aux travers de ses pleurs :
• Tu as raison. C’était trop bien pour arrêter.
Elle ne dirait pas à son mari qu’elle avait été violée, baisée et sodomisée… Et elle reviendrait. Et si elle n’obtenait pas satisfaction ici, elle irait ailleurs. Dans cette partie de la ville, elle trouverait facilement. Elle comprit pourquoi Agathe n’avait rien dit. Elle pourrait même sympathiser avec elle pour revenir.
Pierre poussa une dernière fois sa bite au fond du cul de Jeanne et dit :
• C’est pour toi Salope !
En même temps, son sexe gonfla et remplit le cul avec une décharge de liquide chaud, la troisième qu’elle recevait de lui. Le jeune sortit son membre et finit d’éjaculer sur son dos. Au même moment, un autre orgasme la terrassa. Elle frissonna sous le poids de Pierre, ses hanches cognant le sol avec enthousiasme en plein extase :
• Oh mon Dieu… Pierre !
Le garçon la laissa là, vautrée dans la fange. Sa tête reposait sur le sol et elle pouvait voir les brochures qu’elle avait apportés, éparpillées tout autour d’elle. Elle leva son visage, une feuille collée sur sa joue. Le sperme avait séché dans ses cheveux mais elle était encore humide partout ailleurs.
Elle releva son corps endolori et réussit à garder l’équilibre sur ses talons. Elle ne vit ni ses vêtements ni les garçons. Elle erra jusqu’à la salle de bain. Elle aperçut une nouvelle femme dans le miroir. Son beau chignon était complètement défait et parsemé de longs brins blancs. Son rouge à lèvre barbouillait son visage. Des filaments blancs pendaient de ses lunettes sur ses joues. Des larmes séchées complétaient le tout. Elle rit : « je suis mignonne après tout ».
Ses seins aussi étaient couverts de sperme mais le pire c’était sa chatte. Elle dégoulinait, formant une flaque sur le sol. Son cul aussi, laissait le liquide couler le long de sa cuisse. Elle s’assit sur les toilettes pour uriner et nettoyer son sexe.
Jacques passa devant la et prit une photo d’elle en demandant :
• Comment c’était Madame MARTIN ? Avez-vous passé un bon moment ?
Elle hocha la tête :
• Les garçons, vous savez y faire avec les filles. Je ne sais même plus combien de fois j’ai joui.
• Votre mari ne peut pas vous satisfaire comme ça n’est-ce pas ?
Elle pensa : « devrais-je laisser mon mari me faire cela, baiser mes trois trous ? Il ne pourrait pas de toute façon. Et je n’ai plus envie qu’il m’approche »
Jacques haussa les épaules avant de s’éloigner. Elle l’appela :
• Qu’avez-vous fait de mes vêtements les garçons ?
Elle lava ses mains avant de courir après lui. Dans la cuisine, il lui tendit une lingette chaude. Le maquillage et le sperme essuyés elle se sentait nue. Elle saisit son sexe, demandant où était ses vêtements.
Jacques fut désolé :
• Je ne peux plus Madame MARTIN. Si vous en voulez encore il faudra revenir. Vous pourrez même amener votre fille si vous voulez ! Ça pourrait être intéressant mais je ne pense pas qu’Amandine aimerait voir sa mère labourée pas ses anciens camarades de classe.
Jacques lui tendit sa jupe et son chemisier. Les boutons de la chemise étaient complètement arrachés et le soutien-gorge était introuvable. Elle fit de son mieux pour se vêtir convenablement avec le reste de ses vêtements. Jacques la conduisit à la porte. Ils échangèrent leur numéro avant qu’elle ne sorte.
Les hommes dans la rue la regardaient différemment que plus tôt quand elle était entrée dans la maison. Elle pensa qu’ils savaient ce qu’elle avait fait. Heureusement, elle arriva à sa voiture sans problème et mit peu de temps pour rentrer chez elle. Son mari regardait la télévision et sa fille était recroquevillée contre lui. Un brin de culpabilité la tenailla. Une flaque de sperme s’étalait sur le siège. Une partie d’elle voulait partir et ne jamais revenir, une autre voulait aller exhiber sa chatte gluante devant son mari.
Son téléphone sonna. Elle arrêta le moteur de la voiture et le prit. Jacques lui envoyait des photos ainsi que des vidéos d’elle. Au début elle se reconnut à peine. Elle était hébétée et couverte des premières décharges des garçons. Elle réalisa que cette vidéo aurait pu servir comme moyen de chantage. Heureusement que Jeanne était toute disposée à revenir les voir.
Elle apprécia l’expérience et le considéra comme une récompense de Dieu. Cette pensée fuit son esprit. Elle avait eu de la chance et avait été bien baisée c’est tout.
Son téléphone sonna à nouveau. C’était une photo de la bite à Jacques. Il écrivait : « Nous espérons que vous reviendrez ». Elle prit une photo d’un de ses seins et lui envoya en répondant : « Oui je reviendrai bientôt, je ne sais pas si je pourrai attendre longtemps vos queues »
Elle aplatit sa jupe, fit de son mieux pour tenir son chemisier fermé. Malheureusement elle ne pouvait refaire son chignon. Elle sortit de la voiture, remonta l’allée de sa maison. Le soleil lui brulait le dos. Elle dit en poussant la porte :
• Hello chéri, je suis rentrée !
Son mari répondit du salon :
• Salut Chérie ! Tu as passé une bonne journée ?
• Oh tu ne le croirais pas ! Une très très bonne journée.
Une larme de bonheur et culpabilité roula sur sa joue : « Vivement la prochaine fois »
FIN.
Aujourd’hui, on lui avait déjà claqué trois portes au nez dès qu’elle s’était présentée. Désormais, elle était nerveuse et découragée par le manque de savoir-vivre de ces personnes. Léa, sa seule amie à la paroisse lui avait recommandé de faire des gâteaux :
• Les gens sont plus aimables et plus réceptifs si tu leur offres des gâteaux.
Mais, à la deuxième maison, le locataire lui avait arraché la boite de gâteaux avant même qu’elle ouvre la bouche. Elle hésitait à aller frapper à une quatrième maison. Elle se disait en elle-même qu’elle n’était pas douée pour le porte à porte. Elle aurait aimé que Léa soit là pour l’aider. Alors qu’elle approchait de la maison voisine, Jeanne pensa qu’avec cette chaleur moite, elle n’était pas à l’aise avec ses talons, sa jupe noire et son chemisier blanc.
En partant de la maison ce matin, elle s’était habillée de façon stricte. Mais la chaleur torride l’avait obligée à retirer sa veste et à ouvrir quelques boutons de son chemisier, révélant plus de peau qu’elle n’aurait voulu.
Naïve, elle ne se rendait pas compte que ses gros seins pales enfermés dans un petit-soutien-gorge qui avait du mal à les soutenir étaient visibles et luisants de sueur. Sa jupe était un peu trop courte et elle collait ses jambes. Elle était à peine suffisante pour couvrir le haut de ses bas et les lignes de sa culotte étaient marquées sur ses fesses. Ses talons galbaient ses jambes. Avec ses lunettes et ses longs cheveux bruns tenus en chignon, elle était l’incarnation d’une femme d’affaire sexy. De plus en plus mal à l’aise, elle se disait qu’elle ferait mieux d’abandonner.
Mais elle monta les marches de la maison suivante, une bâtisse assez ancienne quelque peu décrépite. Des chiffres rouillés indiquaient « 45 » mais il y avait une marque qui montrait qu’il manquait un « 6 ». Elle pensa en elle-même qu’elle n’était peut-être pas dans le bon quartier.
La paroisse avait divisé la ville pour ses bénévoles. Jeanne avait choisi un des quartiers dans les plus vieux où ses collègues ne voulaient pas aller. Elle était désolée que personne ne se soit inscrit pour l’accompagner, mais elle ne pouvait les blâmer. Le quartier était vieux et la population d’approche difficile.
D’ailleurs, ce quartier était évité par les autres bénévoles depuis qu’Agathe, une jeune fille de 18 ans, en été revenue enceinte. Ses parents affirmaient qu’elle avait été violée. Et bien qu’Agathe n’ait jamais raconté ce qui lui était arrivée, elle avait nié avoir été violée. Personne n’était revenu dans le quartier depuis. Un an avait passé… et Jeanne était la première à y revenir.
Elle frissonna en essayant d’imaginer ce qu’Agathe avait pu subir, surtout qu’elle avait le même âge que sa fille Amandine. Quand elles étaient ensemble en public, les hommes de tous âges les observaient. Elle avait laissé sa fille à la maison ce matin alors qu’elle allait à la messe.
Elle aurait voulu que son mari et sa fille soient plus pratiquants. Elle se sentirait plus confiante s’il était à ses côtés Mais, dès le début de leur relation, il lui avait fait comprendre que la religion ne l’intéressait pas. Elle aurait quand même bien aimé qu’il joue les gardes du corps…
Jeanne ajusta ses lunettes avant de frapper sur la porte. Elle attendit une minute mais personne ne vint. Elle pensa : Je devrais abandonner….
Avec ses yeux bleus, elle examina la maison. La peinture blanche s’effritait et les fenêtres étaient couvertes de draps. La peinture verte de la porte était défraîchie. Le jardin était délaissé et les escaliers menant à la porte étaient abimés. Il était étonnant qu’elle ne se soit pas tordu la cheville en montant.
Elle frappa de nouveau, plus fort. Le soleil tapait dans son dos. Son front devenait collant et ses cheveux gras. Son mascara ne coulait pas encore mais elle s’inquiéta que bientôt il le fasse. Jeanne n’était pas beaucoup maquillée, juste assez pour être belle, un peu de blush rose sur les joues et un rouge à lèvres rouge. Sa sueur n’abimerait pas son maquillage. Mais elle ne l’arrangerait pas. Enfin elle entendit du mouvement de l’autre côté de la porte.
Un homme dit au travers de cette porte :
• Juste un instant…
Les bruits continuèrent derrière la porte puis elle s’ouvrit en grinçant. Un jeune homme s’avança rapidement déséquilibrant Jeanne alors que la porte se refermait. Il attrapa la femme pour lui éviter de tomber :
• Désolé Madame, mais ils stockent tellement de choses derrière la porte qu’elle est presque impossible à ouvrir. Que puis-je pour vous ?
Jeanne se dégagea et se redressa. Elle remit ses lunettes en place et regarda le jeune homme de bas en haut. Il était torse nu et très beau. Sa poitrine et ses abdominaux semblaient sculptés. Il ne portait qu’un caleçon, visiblement enfilé à la hâte. Ses bras et ses jambes montraient qu’il était un adepte de la salle de musculation. Il portait une barbe d’un jour et des cheveux indisciplinés.
Elle restait sans voix…
Voyant les brochures sous le bras de la femme il soupira :
• Oh vous êtes témoin de Jéhovah…
Jeanne corrigea :
• Non pas du tout, je suis juste bénévole à la paroisse catholique. Je suis ici pour aider et répandre la bonne parole !
Le jeune homme la regardait fixement. Ses yeux étaient intimidants. Jeanne détourna son regard et demanda :
• Pourrai-je vous parler un moment ?
Le garçon se gratta la barbe naissante et dit :
• Pourquoi pas ! Je vais réveiller mes colocataires. Pierre aime bien les gens pieux. Voulez-vous entrer ?
Il poussa la porte puis entra. Jeanne le suivit. Un empilage de cartons se trouvait derrière la porte qui se referma automatiquement. Il dit :
• Je m’appelle Thierry…
• Oh je ne me suis même pas présentée, mon prénom est Jeanne.
Ils se serrèrent la main en échangeant des sourires. Elle le suivit jusqu’à une pièce faiblement éclairée qui semblait être la salle de séjour.
• Asseyez-vous, je vais chercher les autres.
Il la laissa prendre place sur un des trois canapés défraîchis placés sur chaque côté avec un grand écran plat en face. Elle s’assit et attendit sur le moins déchiré en face de la porte et de la télé. Elle entendit la voix du jeune homme à l’étage :
• Levez-vous, nous avons de la visite…
Puis il ajouta :
• Non, je m’en fous que vous mettiez un pantalon. Levez-vous juste.
Jeanne triait ses brochures.
Les hommes descendirent l’escalier avec grand bruit. Thierry fut le premier à entrer, un grand sourire sur son visage. Il s’assit à côté d’elle. Il était suivi par un homme aussi musclé que lui, un autre complètement nu et aussi baraqué et un troisième enveloppé dans une couverture qui se jeta sur le canapé le plus proche. Les deux autres s’assirent sur le canapé restant.
Jeanne ne put s’empêcher de remarquer la bite de l’homme nu. Elle était beaucoup plus grande et grosse que celle de son mari.
Le jeune homme saisit son membre en rigolant et en la regardant. Elle détourna les yeux en rougissant. Les autres jeunes rirent avec lui.
Thierry s’assit à côté d’elle et dit :
• Tenez-vous les gars, c’est notre invitée ! Elle est là pour nous parler de sa paroisse. Madame, le grand c’est Bruno, celui qui est nu c’est Pierre, l’autre c’est Jacques.
• Bonjour les garçons. Je suis Jeanne de la paroisse Notre-Dame de l’autre côté de la ville.
Thierry compléta alors en disant :
• Oh… nous connaissons une fille qui va à cette église.
Jeanne répondit avec enthousiasme :
• Vraiment ? Quel est son nom ? Je la connais surement.
• Oui, vous savez certainement qui est cette fille.
Thierry échangea un clin d’œil avec ses copains. Jeanne les regarda échanger des sourires avant qu’ils ne s’intéressent de nouveau à elle. Elle aurait aimé comprendre le clin d’œil et avoir des réponses à ses questions. Mais avant qu’elle ne parle, Jacques dit :
• Mais je me souviens de vous, Madame MARTIN. Vous êtes la mère d’Amandine. J’étais à l’école avec elle. Vous vous souvenez de moi ?
Jeanne regarda le garçon. Elle se souvenait de lui… Il était assis à côté de sa fille pendant son année de première. Il aimait l’embêter et Amandine s’en plaignait. Jeanne lui disait qu’il avait surement le béguin pour elle. Elle hocha la tête :
• Comment vont vos parents Jacques ?
Il haussa les épaules avant de répondre :
• Je ne leur parle pas beaucoup mais je suppose qu’ils vont bien. Comment va Amandine ?
• Elle vient de terminer sa 1ère année de fac. Mais vous, que faites-vous ?
Jacques secoua la tête :
• J’ai toujours été nul donc voilà pourquoi je vis avec ces clochards.
Jeanne ne savait pas comment réagir alors elle ne dit rien. Du coin de l’œil, elle pouvait encore voir la bite molle de Pierre. Thierry avait étiré ses bras, celui de droite reposant juste au-dessus de son dos, sur le dossier du canapé.
Pierre demanda :
• Thierry ! As-tu offert un verre à Madame Martin ?
Son copain répondit :
• Où sont mes bonnes manières ? Je vais aller chercher de l’eau, vous devez avoir soif après cette journée au soleil ?
Pierre cligna de l’œil à son ami :
• Une femme d’église a toujours soif, Thierry !
Jeanne ne compris pas le double sens de cette phrase mais elle vit les sourires sur les visages des garçons. Elle remercia Thierry quand il lui donna l’eau. Depuis son canapé, Bruno demanda :
• Donc vous vouliez nous parler ?
• Oui, j’ai des brochures à vous donner.
Jeanne tendit son verre à Thierry et se leva. En distribuant les brochures elle demanda :
• Est-ce que vous pensez venir à l’église un jour ?
Les garçons répondirent en riant. Jeanne trébucha quand elle voulut revenir s’asseoir, ses documents s’éparpillant. Thierry voulut l’attraper alors qu’elle tombait la tête première sur ses genoux. Sa main saisit sa cuisse mais l’eau du verre éclaboussa son chemisier.
• Pardon…
Thierry rigola :
• Il n’y a pas de mal…
Les yeux de Jeanne tombèrent sur l’entrejambe de Thierry. Un renflement était perceptible sous le caleçon. Le garçon vit son regard et l’aida à se redresser. Son soutien-gorge rose était maintenant bien visible sous son chemisier humide. Rougissante, elle s’assit à côté de Thierry. Elle espéra qu’il n’était pas trop évident que ses mamelons avaient durci. Mais Bruno l’avait remarqué.
• Vous pouvez enlever tout ça si vous êtes mal à l’aise.
Jeanne répondit :
• Je vais bien. Je disais donc…
Pierre la coupa :
• Pour être honnête, je ne comprends pas l’église. Pourquoi y allez-vous Madame MARTIN ?
• Euhhhh…
• Est-ce pour vous habiller pour vos amis et vous sentir bien ?
• Non, je m’habille comme ça la plupart du temps et je n’ai pas beaucoup d’amis à l’église.
Thierry dit à son copain :
• Détends-toi Pierre. Désolé, j’étais ironique lorsque j’ai dit que Pierre aimait les gens pieux.
Pierre se leva :
• Non, j’aime bien les gens pieux. Surtout les salopes.
Il prit place sur l’accoudoir du canapé juste à côté de Jeanne, écartant les jambes et tenant son membre à quelques centimètres du visage de la femme. Bruno et Jacques roulèrent des yeux alors que ceux de Jeanne s’agrandirent. Elle se leva en disant :
• Je crois que je devrais y aller.
Elle commença à se déplacer vers la sortie mais Bruno fut rapide. Il bondit de dessous sa couverture et la tira vers le bas sur son canapé. Accidentellement, la main de Jeanne caressa la bite du garçon alors qu’elle tombait sur le divan.
• Les garçons…
Elle essaya de reprendre son souffle. Elle vit Thierry et Jacques se lever de leur canapé. Le caleçon de Thierry était déjà sur le sol, sa bite en érection. Pierre et Bruno étaient assis de chaque côté d’elle, tenant ses bras. Thierry et Jacques étaient en face d’elle, de grands sourires éclairant leurs visages.
• Ne vous inquiétez pas Madame MARTIN, nous savons comment bien traiter nos invités.
Thierry s’était mis à genoux devant elle. Il troussa la jupe, exposant ainsi la petite culotte de soie noire. Jeanne cria :
• Que fais-tu ?
Thierry lui sourit. Il mit son index sur le petit monticule sous la culotte. Il sentit que la chatte était déjà humide.
Jeanne essaya d’échapper à l’emprise des deux autres garçons et de fermer ses jambes. Mais ils la tenaient bien, jambes ouvertes.
Bruno commenta :
• Vous avez de beaux seins.
Son doigt fit sauter un bouton, puis un autre. Paniquée, la femme regarda les boutons sauter un par un. Elle voulait l’arrêter mais elle était paralysée. Bientôt, elle fut à moitié nue, dépoitraillée, la jupe troussée sur ses hanches rondes.
• Vous ne devriez pas me faire ça les garçons. Je suis mariée. J’ai un mari…
Pierre chuchota dans son oreille :
• Je suis sûr que ça ne dérangera pas Monsieur MARTIN de vous prêter à des beaux mâles comme nous, bien pourvus et en manque de femme !
Jeanne ferma les yeux. Thierry frottait ses doigts sur la culotte de soie. Il serait déjà à l’intérieur de sa chatte si le petit bout de tissu ne faisait barrage. Bruno et Pierre avait baissé le soutien-gorge et avait saisi un sein chacun. Ils les massaient, triturant les mamelons entre leurs doigts puissants. Elle ne savait pas où était Jacques mais elle se doutait qu’il préparait quelque chose.
Thierry la taquina :
• Vous êtes toute mouillée Madame MARTIN. Vous appréciez n’est-ce pas ?
• S’il vous plait, arrêtez…
Jeanne gémit. Son corps la trahissait… Elle sentait son corps réagir malgré elle et la jouissance monter. Elle protestait de plus en plus mollement :
• J’ai un mari et une fille…
Les doigts de Thierry étaient merveilleux et pourtant ils n’avaient pas pénétré son intimité. Les deux autres garçons étaient occupés à malaxer ses seins. Ils ne tenaient plus ses bras. Pierre prit sa main et la conduisit à sa queue. Il enroula ses doigts autour de son membre dressé. Puis il l’aida à la caresser. Elle ouvrit les yeux pour voir avec horreur comment elle le masturbait. Pierre desserra son étreinte sur sa main et sourit quand elle ne lâcha pas le membre, subjuguée par la chaude sensation qu’elle éprouvait au creux de sa main. Il rit :
• Je pense qu’elle aime ça les gars !
Jeanne ne fit pas attention au commentaire. Bruno avait conduit son autre main à son sexe. Les deux bites étaient beaucoup plus grandes que celle de son mari. Elles étaient déjà raides dans ses mains mais elles n’arrêtaient pas de grossir et de s’allonger. Son cœur battait dans sa poitrine.
Jacques dit alors :
• Enlève sa culotte Thierry !
Pierre renchérit :
• Oh oui… je pense que le moment est venu !
Elle croisa le regard du jeune homme entre ses jambes. Elle réalisa qu’il attendait un signal d’elle. Il voulait savoir si elle était d’accord. Lentement, Jeanne hocha la tête négativement mais son regard disait le contraire. Mais en fin de compte, Thierry ne sembla pas s’en soucier. Il tira la culotte vers le bas, révélant sa chatte humide. Elle avait une petite tâche sombre de poils pubiens qui commençaient à repousser sur le haut de sa chatte.
Jacques lui demanda :
• Depuis combien de temps n’avez-vous pas joui Madame MARTIN ?
Elle n’entendit même pas la question. Thierry plongea sa langue profondément dans sa chatte. Elle haleta et serra les deux bites. Puis, honteuse, elle eut un orgasme. Cela faisait deux ans qu’elle n’avait plus eu de rapports sexuels et plus de quinze ans que son mari ne l’avait léchée !
Pierre rigola :
• Je pense qu’elle aime ça Thierry.
Jeanna continuait à branler les deux bites alors que Thierry mangeait son sexe. Chaque fois que la langue touchait son clitoris, elle frissonnait de plaisir. Ce garçon n’était pas un amateur. Il agita sa langue et caressa son clitoris avec son pouce. Ses genoux se mirent à trembler. Son deuxième orgasme était proche. Elle cria :
• Continue s’il te plait !
• Souriez Madame MARTIN !
Il y eut un flash lumineux. Elle leva les yeux et vit Jacques avec son téléphone. Elle ne pourrait jamais nier ce qui se passait.
Jacques demanda :
• Est-ce que Monsieur Martin et Amandine savent que vous êtes ici ?
Jeanne secoua la tête. Ils savaient qu’elle allait faire du porte à porte pour la paroisse. Elle se sentit coupable. Elle disait à son mari qu’elle faisait cela pour que les gens deviennent plus prudes. Elle était en train de trahir son mari comme son corps la trahissait elle.
Pierre lui pinça son mamelon. Elle haleta :
• Non, arrêtez…
Il ne l’écouta pas et pris le téton dans sa bouche. Bruno fit de même de son côté. Les deux garçons suçaient ses seins tandis que Thierry léchait sa chatte. Elle était trempée, son fluide combiné avec la salive noyait son entrejambe. Jacques tapota sur le dos de son ami :
• Je pense que ça suffit, il est temps pour elle de nous faire plaisir.
Thierry acquiesça. Les garçons la sortirent du canapé pour la mettre sur ses genoux. Pierre arracha le chemisier et le soutien-gorge. Les gros seins de Jeanne se balancèrent. Les jeunes regardèrent avidement cette chair tendre et pâle de cette jolie quadra. Il ne restait à la femme que sa jupe troussée et ses talons, sa culotte ayant disparu depuis longtemps.
Bien que connaissant la réponse, Jeanne demanda :
• Qu’est-ce que vous faites les garçons ? Que voulez-vous de moi maintenant ?
• Oh… Madame MARTIN ! Vous ne devinez pas ?
Jacques caressa son membre à quelques centimètres de son visage. Elle regarda cette bite qui était la plus grosse qu’elle n’ait jamais vue. Elle savait qu’il allait grossir encore. Un peu de liquide pré éjaculatoire suintait sur le gland.
Pierre ajouta :
• Nous savons ce que vous voulez…
Les quatre garçons étaient debout avec quatre bites pour elle toute seule. Elle avait faim sexuellement même si elle ne voulait pas l’admettre. Jamais elle n’avait eu de pensées lubriques comme ça.
Jacques saisit le dos de sa tête afin de mener sa bouche vers sa queue charnue. Il l’engouffra vers le bas jusqu’à ce que ses couilles tapent le menton de la femme.
• Yeh les gars ! Nous avons touché le jackpot ! Une gorge profonde sans préparation !
Jeanne toussa, mais Jacques l’obligea à reprendre son sexe. Après quelques instants, elle avalait sa bite avec facilité. Avec ses mains libres, elle attrapa deux autres membres. Elle ne savait même pas à qui ils appartenaient. Avec ses pouces, elle enduit ces tiges avec leur propre liquide pré éjaculatoire. Puis elle les branla. Les garçons s’exclamèrent en chœur :
• Ouais super !
Instinctivement, elle changea de sexe pour en fourrer un nouveau dans sa bouche. Et elle continuait à en branler deux autres. Elle changeait avant qu’un garçon n’éjacule. Même si elle n’était pas une experte, Jeanne possédait un talent inné pour les fellations. Ce n’est pas ce que l’on pouvait croire d’une bigote comme elle. Pourtant, lorsque qu’elle avait eu des rapports avec son mari, il avait su apprécier la bouche de sa femme. Avec sa langue, elle sentait toutes les différences de peaux des sexes des garçons. Le liquide pré éjaculatoire commençait à tapisser sa gorge. Sa chatte était en feu.
• Cette femme est géniale !
Elle entendait les garçons se taper dans les mains.
• Ce sont toujours les plus culs-bénits qui sont les meilleures salopes !
• Je vous parie que cette salope va encore jouir !
• Eh les gars ! Elle est tout pour nous aujourd’hui. Elle ne voudra pas partir ce soir.
• Et demain, elle ne sera plus capable de marcher.
Jeanne entendait ces dialogues. Et bien qu’ils soient dégradants, elle adorait. Elle suça avec encore plus d’entrain.
• Je vais te remplir, ma pouliche à gros seins !
Pas encore. Jeanne ne voulait pas que quelqu’un éjacule déjà. Elle changea rapidement de bite. Une voix cria :
• Viens là ! Je vais baiser ta petite gorge de salope jusqu’à ce que je jouisse.
Une main prit sa tête et la remit sur la bite précédente. La voix mystérieuse poussa son membre jusqu’au fond de sa gorge, l’étouffant. Elle ne résista pas et l’étreinte se desserra. Elle suça en rythme le sexe.
La voix dit :
• Aaaaaaaahhhhhh… je viens !
Effectivement, le sperme remplit sa bouche. Elle avala ce qu’elle put mais elle toussa sur le reste. La bite continuait à gicler, éclaboussant ses lunettes, y laissant de longs fils gluants. Elle ferma les yeux alors que ses cheveux et ses seins recevaient leur part de foutre. Elle finit d’avaler le sperme dans sa bouche et retourna nettoyer le sexe du garçon.
Une voix demanda :
• Comment était-ce ?
Elle leva les yeux. C’était jacques qui avait éjaculé le premier. Jeanne sourit et dit :
• Délicieux…
Les garçons rigolèrent alors que la femme engloutissait un autre sexe. Une petite voix dans sa tête disait : « Que suis-je en train de faire ? » Une voix plus sombre répondait : « vous vous faites plaisir. Il est temps que vous profitiez de bonnes bites. Il suffit des conneries bigotes. Ces garçons vont vous faire monter au septième ciel et en bonne salope vous allez apprécier. »
Après que Jacques eut déchargé, les autres garçons voulaient faire de même. Thierry grogna alors qu’il vidait ses couilles au fond de sa gorge. Elle pouvait entendre dans sa tête, le jet de sperme tapant le fond de sa gorge. Ensuite Bruno ajouta sa décharge sur le visage de Jeanne. Chaque jet était plus gros et plus épais que le précédent. Son mascara dégoulina le long de ses joues. Son rouge à lèvres débordait de sa bouche.
Les garçons s’assirent sur le canapé après avoir joui. Pierre était le dernier debout. Même si elle avait déjà beaucoup reçu, elle en voulait encore plus. Son cœur battait. Elle ne pouvait pas attendre de voir où il allait éjaculer. Le tapis ainsi que la chatte de Jeanne étaient trempés. Elle vit du coin de l’œil que Jacques avait repris son téléphone et qu’il filmait.
Elle suça les couilles de Pierre alors que ses mains travaillaient de haut en bas sur le pénis du garçon. Pierre gémissait :
• Quelle salope vous êtes ! Ils vous ont recouvertes de sperme et vous en voulez encore. Ne vous inquiétez pas, mes couilles sont tout autant remplies.
Les autres garçons applaudirent alors que la femme engloutit le membre profondément. Les gémissements de Pierre s’accentuèrent :
• Tu es prête Salope pour une autre bonne décharge ?
Sans attendre de réponse, il tira la tête par les cheveux et grogna alors que giclait un flot de sperme sur les lunettes. Puis il remit sa queue dans la bouche et la remplit avant de ressortir pour finir sur le visage et les seins.
Jeanne semblait sortie d’une guerre de serpentins. Des fils de matières gluantes couvraient ses cheveux, son visage et ses seins. Certains étaient tombés sur sa jupe noire.
Pierre rejoignit les autres sur les canapés. Jeanne resta à genoux, au milieu de la pièce, haletante.
Tout le monde souriait, même Jeanne.
Jacques applaudit :
• Dites quelque chose à la caméra Madame MARTIN !
La voix sombre dans sa tête résonna : « Allez Salope ! Tu es leur sac à sperme maintenant. Tu ne peux pas avoir de regrets. Donne-toi en spectacle ». Alors elle dit :
• Mon Dieu, Je n'ai jamais vu autant de sperme. Vous les jeunes, vous savez comment faire avec une femme. Et en plus il est délicieux.
Elle cligna de l’œil devant la caméra, enleva le sperme de ses joues pour le mettre dans sa bouche. Pierre tapa la main de Thierry. Elle savait que leurs bites auraient besoin de récupérer avant de pouvoir servir à nouveau.
• Voulez-vous que je joue avec ma chatte les garçons ?
Des cris d'approbation éclatèrent dans la pièce. Jeanne se mit sur me dos et enleva sa jupe. Toutefois, elle garda ses talons hauts. Ayant parfois espionné son mari sur internet, elle savait qu'une fille nue avec talons excitait les hommes. Elle pensa qu'elle n'avait jamais fait cela avec son mari.
Thierry poussa Pierre :
• Vas chercher ton vibromasseur !
Jeanne sourit :
• Oh les garçons, vous avez un jouet pour moi ? Je suis contente car je ne peux pas attendre que vous bandiez à nouveau.
Pierre revint avec l'objet et en lui tendant il dit :
• Il suffit de le poser où vous voulez.
Elle alluma l'interrupteur, sentant immédiatement la puissance de l'objet. Le bourdonnement fut intimidant au début. Mais le fait que les garçons attendent, impatients, elle fut excitée à l'idée de l'essayer. Elle n’avait jamais osé en acheter un pour se satisfaire et palier les déficiences de son mari…
Jeanne frotta le vibromasseur contre l’intérieur de sa cuiise. Un picotement envahit ses jambes. Elle leva les yeux vers la caméra. Son corps brûlant la culpabilisait. Son mari était sûrement encore à la maison, regardant le match alors qu'elle se donnait à des jeunes de l'âge de sa fille. Jeanne ne pouvait imaginer que sa fille Amandine, qui devait être sexuellement active maintenant, puisse avoir le même comportement. La pensée de son enfant entourée de queues excitées la terrifiait.
Le vibro atteint finalement les lèvres de la chatte. Elle frissonna violemment à ce contact. Son dos voûté et ses hanches jetées en avant, Jeanne ferma les yeux et laissa échapper un profond gémissement de satisfaction.
L'un des garçons dit :
• Oh merde ! Regardez cette mère de famille comme elle est excitée !
• Je vous ai dit que ces salopes de catholiques sont les plus chaudes !
Jeanne reconnut la voix de Pierre mais cela ne l’empêcha pas de continuer de jouer avec le vibro qu’elle glissa entre ses lèvres débordant de cyprine puis elle l’introduisit jusqu’à la garde au fond de son vagin. Cette introduction vibrante la fit partir immédiatement dans une jouissance démente qui lui arracha une sorte de rugissement.
Pierre dit en riant :
• Vous vous rappelez de la fille qui est venue il y a quelques mois. Elle s'appelait Agathe. Elle venait nous faire son discours pour la paroisse, tout comme cette salope là.
Jeanne savait qu'ils parlaient d'Agathe TOURNIER, c'était son nom complet. Une belle jeune femme intelligente comme sa fille.
• Nous l'avons baisée tant que nous pouvions. Et vous vous rappelez qu'elle est revenue le mois dernier, enceinte.
• Oui, Oui, nous l'avons complètement défoncée à nouveau.
Jeanne les écoutait. Elle ne pouvait croire que c'était ces garçons qui avaient couché avec Agathe. Cette fille avait un avenir prometteur. C'était une jolie petite blonde qui n'avait eu que des bonnes notes depuis le cours élémentaire. Jeanne imaginait son visage strié du sperme des garçons comme le sien l'était. Elle imaginait les fils de sperme entrelacés dans les nattes blondes, sa chatte serrée sur leur bite jusqu'à ce qu'elle déborde de foutre. D'ailleurs elle était sûrement vierge avant.
Et puis elle était revenue, engrossée par un des garçons, ne pouvant savoir lequel. Et elle reviendrait encore. C'était une vraie salope avec des désirs inassouvis tout comme Jeanne allongée sur le plancher. Voilà pourquoi elle n'avait rien dit à personne. Elle ne pouvait supporter d'avouer à ses parents quelle salope elle était.
• Mais cette pute là est différente. Regardez comme elle joue avec son sexe. Elle n'est pas timide comme Agathe. Rappelez-vous qu'il a fallu presque une heure d'amusement avant que la fille ne cède. Cela a pris cinq minutes pour cette salope de mère de famille.
• Mais Thierry ! Il s'agit là d'une femme mature. Bien sûr elle se conduit comme une salope. Mais je crois qu'elle n'a jamais eu auparavant ce genre d'attentions sexuelles. Elle rêvait probablement de quatre jeunes bites la fourrant mais elle ne connaissait pas. Dites-moi Madame MARTIN, à quel point voulez-vous nos queues en ce moment ?
Le vibromasseur était toujours pressé au fond de la chatte de Jeanne. Elle en tremblait tout en écoutant leur conversation. Elle les voulait en elle. Elle ne pouvait plus attendre et elle ne voulait pas que sucer des bites. Elle supplia :
• S'il vous plaît ! Prenez-moi en... sandwich ? Est-ce bien le terme ?
Elle voulait sentir leur sperme chaud à l'intérieur d'elle. Elle était encore fertile mais ce n'était pas un sujet de préoccupation à l'instant. Si elle tombait enceinte, elle réglerait ce problème plus tard. Elle prenait le risque. Elle demanda aux garçons :
• Je veux vous sentir éjaculer en moi les garçons ! Pas de préservatifs.
Si Agathe pouvait le faire alors elle aussi. Cette petite pute n'avait probablement pas su les assouvir convenablement. Jeanne ne pouvait s'empêcher de ressentir de la jalousie. Pour quelle raison était-elle jalouse ? Elle n'était pas la première à passer dans leurs mains. Son esprit divaguait. Avec un vibromasseur dans sa chatte humide, le visage recouvert de sperme, elle était plus excitée qu'elle ne l’avait jamais été.
• Ne vous inquiétez pas Madame MARTIN, nous allons bien nous occuper de vous. Nous vous montrerons des choses que vous ne connaissez sûrement pas !
• Elle veut que nous la baisions comme la petite Agathe, les gars ! Nous avons une nouvelle salope ! Qu'en dit votre mari Madame MARTIN ?
• Qui ça ?
• Votre mari assis dans votre maison qui n'est pas au courant que vous êtes une sale traînée, allongée dans un salon miteux en train de vous masturber devant quatre jeunes.
Jeanne poussa plus fort le vibromasseur dans son sexe, essayant d'ignorer les commentaires. Ses genoux tremblèrent et elle cria, les yeux révulsés, bouche ouverte. Les garçons regardaient son orgasme. Elle se cambrait, ses jambes étranglant le vibro enfoncé une nouvelle fois au fond de sa chatte.
• Dites Madame MARTIN ? La prochaine fois que vous viendrez, pourrez-vous amener votre fille Amandine ? Je vous laisserai utiliser ce jouet sur elle.
Ils se moquaient mais elle ne s'en souciait pas. Leurs commentaires ne la touchaient pas. Elle était une salope, leur salope. Cette pensée la fit frissonner alors qu'elle se remettait de son orgasme.
• Êtes-vous prêts les garçons ? Baisez-moi s'il vous plaît…
Elle jeta le vibro vers eux. Pierre lui attrapa un bras avec facilité et l’attira vers lui, son membre en érection dans son autre main. Il sourit :
• Je veux être le premier dans cette chatte !
Bruno ajouta :
• Viens là salope !
Il se dirigea vers elle, l'attrapa par les cheveux violemment. Jeanne cria mais fut rapidement étouffée par la queue qu'il enfourna dans sa bouche. Puis il commença à se branler dedans. Elle leva ses yeux le regardant. Il ne souriait pas. Elle sentit que l'on caressait son cul puis des doigts s’enfoncèrent dans son antre humide. Elle releva son fessier pour faciliter l'inconnu derrière elle. Un claque tomba sur ses fesses. Elle grogna mais garda son cul en l'air.
• Laisse la place Bruno !
La bite quitta sa bouche. Elle essaya de la rattraper mais sans succès. Des mains puissantes saisirent ses hanches, d'autres ses bras. Elle fut soulevée et remise debout, penchée en avant. Jeanne enroula ses bras autour de la taille de l'homme devant elle. Puis elle avala le membre à demi dressé devant ses yeux. Enfin elle sentait une première queue frotter sa motte. Elle la taquinait, caressant de haut en bas sans la pénétrer. Elle cracha la bite de sa bouche et murmura :
• S'il vous plait...
Elle passa sa langue sur toute la longueur de la bite qu'elle venait de délaisser afin ne pas décevoir son propriétaire. L’un des garçons demanda :
• Pourquoi es-tu si long Pierre ?
• Je veux l'entendre supplier !
Il continua à frotter son membre contre elle, excitant sa chatte.
Jeanne cria :
• S'il vous plaît, baisez-moi ! Enfoncez votre queue dans ma chatte, j'en ai besoin !
• Voilà exactement ce que je voulais entendre !
La verge de Pierre força son chemin dans le vagin de Jeanne. La bouche de la femme s'ouvrit, happant l'air. Sa chatte était beaucoup plus serrée qu'elle ne le pensait. Ou alors Pierre avait le plus gros sexe qu'elle n'ait jamais eu. Ses couilles tapèrent ses fesses avant qu'il ne recule puis pousse à nouveau. Les seins nus rebondirent violemment. Une main saisit sa tête et une bite força sa bouche. C'était la première fois que Jeanne avait deux pénis en elle à la fois. Elle adorait.
Les garçons criaient de joie pendant que deux des leurs la baisait. Des mains claquaient son cul nu. Le bassin de Jeanne accompagnait Pierre en rythme. Les coups devenaient plus rapides. Son vagin était brûlant d'excitation.
Pierre, triomphant cria :
• Madame Martin, Votre chatte est fantastique !
A chaque poussée du jeune homme, elle pouvait le sentir la pénétrer de plus en plus à l'intérieur d'elle. Ses gémissements auraient été bruyants s’il n’y avait cette bite dans sa bouche. En rythme, les garçons la tiraient chacun de leur côté. Les doigts de Pierre étaient enfoncés dans ses fesses. Bruno la tenait par les cheveux. A chaque fois que Pierre poussait, lui tirait, sa queue touchant le fond de la gorge et ses couilles battant le menton.
Soudain, les doigts de Pierre serrèrent ses hanches. Elle sentit son sperme chaud se répandre en elle. Leurs fluides se mélangèrent et commencèrent à suinter hors d’elle.
Les deux garçons changèrent de place… Pierre poussa sa verge toujours dressée dans la bouche de Jeanne pour se la faire nettoyer. Bruno se plaça derrière et la pénétra. Son sexe était moins gros que celui de son ami mais il prit un rythme régulier et rapide qui compensa.
• Zut Pierre ! Tu l’as distendue !
• Elle était aussi serrée que la petite Agathe. Je l’ai préparé pour vous les gars.
• Mon œil que tu l’as préparée... Tu sais très bien que nous les aimons tout aussi serrées que toi.
Lorsque Pierre considéra que son membre fut assez propre, il repoussa la tête de la femme. Avide, Jacques pris sa place. Jeanne était heureuse de retrouver ce sexe dans sa bouche. De la sueur roulait sur son front, ainsi que sur son corps et du jus coulait de sa chatte le long de sa jambe.
Un pouce appuya sur son anus. Elle se tortilla pour essayer de l’arrêter mais finalement il pénétra son petit trou. Elle cria :
• AAHHHHHH !
Jacques suggéra alors :
• Une bite dans son cul !
Elle n’avait jamais été sodomisée et ne le voulait pas. Cependant, dans son état présent, elle n’osa pas dire non aux garçons. Elle savait qu’ils n’auraient pas écouté de toute façon. Son mari avait voulu et elle avait toujours dit non. Mais son mari ne l’avait jamais utilisé comme ces jeunes. Le pouce est resté dans le cul jusqu’à ce que Bruno éjacule à l’intérieur d’elle. Ses genoux se dérobèrent lorsque le doigt sauta de son anus. Son corps trembla alors qu’elle eut son quatrième orgasme de la journée. Elle cracha la bite de Jacques et s’effondra sur le sol, épuisée. Le sperme s’échappait de sa chatte.
Jeanne pouvait voir les garçons marcher autour d’elle. Ses yeux rencontrèrent ceux de Bruno au-dessus d’elle. De son membre tombaient des gouttes sur ses lunettes. Le garçon s’accroupit sur son visage et enfourna sa verge dans sa bouche, ses couilles reposant sur son menton. Elle était complètement bâillonnée mais elle aimait le goût du mélange de sperme et du jus de sa chatte. Un autre garçon avait repris le vibromasseur pour jouer avec son sexe. Elle ferma les yeux. Puis, sans qu’elle puisse réagir, la bite dans sa gorge gonfla et explosa, des jets de sperme chaud inondant sa gorge. Bruno grogna et jura tandis qu’il déchargeait puis il soupira, détendu. Son engin était strié de rouge à lèvres et de filets de sperme blanc lorsqu’il le sortit.
Jeanne cracha un peu de sperme et sourit aux jeunes.
Thierry s’étonna :
• Dis donc Bruno ! Je ne comprendrais jamais comment tu as pu éjaculer deux fois en une minute dans cette chienne ?
• Je ne sais pas non plus. Mais ne vous inquiétez pas Madame Martin, vous aurez une autre ration !
Le vibromasseur bougeait de sa chatte à son cul. Si ça avait été un gode, elle l’aurait enfoncé en elle. Son jus mélangé au sperme descendait sur son trou du cul.
Jacques commanda :
• Mettons là sur le canapé les gars !
Ils la tirèrent vers le haut. Elle titubait comme une ivrogne, essayant de se tenir debout. Mais ses genoux étaient trop faibles pour la soutenir sur ses talons. Ils la jetèrent sur le canapé où elle se reposa le temps que quelqu’un s’intéresse à elle.
Jacques s’assis et la tira sur ses genoux. Il étendit ses jambes, elle pouvait enfin voir tout ce qui sortait de sa chatte. Le sperme couvrait ses cuisses et goutait sur les jambes sous elle. La queue de Jacques était rigide. Il prit du liquide pour lubrifier le cul de la femme. Elle couina lorsque le doigt entra. Il coulissa avec facilité même si Jeanne continuait à se plaindre.
• Du calme Madame MARTIN. Lorsque ma bite va vous pénétrer, alors vous aurez raison de crier. Elle est beaucoup plus grosse que mon doigt !
Il écarta les fesses de la mère de famille tout en la soulevant légèrement. Elle se laissa faire, trop fatiguée pour résister à quoi que ce soit d’autre. Il avait raison. Elle cria quand elle s’assit sur son membre. Elle eut l’impression d’être coupée en deux. Les larmes lui montèrent aux yeux alors que jacques ne montrait aucun relâchement. Il stoppa une fois pour lubrifier sa queue avec du sperme puis continua à la faire descendre.
• Non ! S’il te plaît ! Je ne peux pas Jacques ! Elle est trop grosse pour moi !
Sa queue ne semblait pas finir. Mais elle rentra complètement. Jeanne fit de son mieux pour la serrer mais elle sentait que son cul était entièrement dilaté. Voilà pourquoi elle ne voulait pas que son mari la prenne par là. Jacques reprit :
• Je suis flatté de savoir ce que vous pensez de mon attribut Madame MARTIN. Attendez que la douleur disparaisse et vous vous sentirez au septième ciel. Thierry, donne-lui quelque chose pour soulager la douleur.
Thierry sourit. Il laissa sa queue courir le long de sa chatte :
• Dites-moi Madame MARTIN, n’avez-vous pas envie de tout ça ?
Jeanne acquiesça, alors que ses larmes continuaient de couler. Son cul était rempli et c’était désagréable. Mais elle oublia vite alors que Thierry l’enfila. Elle le regarda plonger sa bite tout au fond d’elle et la retirer couverte de filaments blancs collants. Ses mains tripotaient ses gros seins. Pierre avait retrouvé sa rigidité. Il se leva pour une autre fellation. Jeanne secoua la tête, elle avait la mâchoire endolorie. Mais Pierre ne voulut pas comprendre le message. Ses lèvres engloutirent la queue une fois de plus. Dans son esprit, la voix sombre revint : « Il y a trois bites en toi maintenant sale pute. Je parie que tu aimerais avoir un quatrième trou pour que Bruno puisse vous rejoindre. Il va devoir se contenter de tes mains ».
Jeanne attrapa le membre de Bruno ainsi que ses couilles. Finalement, Jacques avait assez assoupli son cul. Elle rebondit violemment sur sa queue, ses seins se balançant de haut en bas alors que les autres garçons faisaient de leur mieux pour garder leurs engins dans les autres orifices. Son cul était engourdi. Elle ne contrôlait plus le bas de son corps. Puis elle prit conscience de l’éjaculation de Thierry dans sa chatte.
Ensuite, les trois jeunes alternèrent. Thierry remplit sa bouche, Bruno sa chatte et elle prit Pierre dans ses mains. Jacques pilonnait son cul violemment. Bruno faisait la même chose à sa chatte. Jacques utilisa ses mains pour écarter plus largement les cuisses afin que Bruno puisse encore plus la pénétrer. Bientôt, ses trois trous furent remplis de sperme chaud. Thierry déchargea dans sa bouche, Bruno dans sa chatte avant de finir sur sa poitrine. Et Jacques remplit son cul avant de la jeter. Elle atterrit sur le sol. Le liquide séminal suintait de son trou encore ouvert.
Pierre ne perdit pas de temps, il sauta sur elle et l’encula instantanément. Immédiatement il la bourra. Elle fit de son mieux pour tenir ses fesses ouvertes, écartant ses globes pâles, l’acceptant au plus profond d’elle. Les autres garçons sortirent de la pièce pour aller se nettoyer.
Pierre avait certainement la plus grosse queue des quatre. Il semblait remplir tout l’espace de son derrière. Ses yeux fermés, elle mordit son pouce pour s’empêcher de couiner. Malgré son cul engourdi, elle pouvait sentir le sexe à l’intérieur d’elle.
Pierre la pilonna avec facilité maintenant. Son cul était encore serré mais le sperme de Jacques aidait le membre à coulisser. Le garçon savourait cet instant où sa jeune bite perforait le trou interdit de cette mère de famille.
• Je vais jouir Madame MARTIN ! Je vais remplir ton cul de salope. Tu ne savais pas ce que tu étais vraiment vieille bigote. En fin de compte tu n’es qu’une autre de ces ménagères salopes accrocs au sexe.
Entendant ses railleries, elle se mit à pleurer mais dit aux travers de ses pleurs :
• Tu as raison. C’était trop bien pour arrêter.
Elle ne dirait pas à son mari qu’elle avait été violée, baisée et sodomisée… Et elle reviendrait. Et si elle n’obtenait pas satisfaction ici, elle irait ailleurs. Dans cette partie de la ville, elle trouverait facilement. Elle comprit pourquoi Agathe n’avait rien dit. Elle pourrait même sympathiser avec elle pour revenir.
Pierre poussa une dernière fois sa bite au fond du cul de Jeanne et dit :
• C’est pour toi Salope !
En même temps, son sexe gonfla et remplit le cul avec une décharge de liquide chaud, la troisième qu’elle recevait de lui. Le jeune sortit son membre et finit d’éjaculer sur son dos. Au même moment, un autre orgasme la terrassa. Elle frissonna sous le poids de Pierre, ses hanches cognant le sol avec enthousiasme en plein extase :
• Oh mon Dieu… Pierre !
Le garçon la laissa là, vautrée dans la fange. Sa tête reposait sur le sol et elle pouvait voir les brochures qu’elle avait apportés, éparpillées tout autour d’elle. Elle leva son visage, une feuille collée sur sa joue. Le sperme avait séché dans ses cheveux mais elle était encore humide partout ailleurs.
Elle releva son corps endolori et réussit à garder l’équilibre sur ses talons. Elle ne vit ni ses vêtements ni les garçons. Elle erra jusqu’à la salle de bain. Elle aperçut une nouvelle femme dans le miroir. Son beau chignon était complètement défait et parsemé de longs brins blancs. Son rouge à lèvre barbouillait son visage. Des filaments blancs pendaient de ses lunettes sur ses joues. Des larmes séchées complétaient le tout. Elle rit : « je suis mignonne après tout ».
Ses seins aussi étaient couverts de sperme mais le pire c’était sa chatte. Elle dégoulinait, formant une flaque sur le sol. Son cul aussi, laissait le liquide couler le long de sa cuisse. Elle s’assit sur les toilettes pour uriner et nettoyer son sexe.
Jacques passa devant la et prit une photo d’elle en demandant :
• Comment c’était Madame MARTIN ? Avez-vous passé un bon moment ?
Elle hocha la tête :
• Les garçons, vous savez y faire avec les filles. Je ne sais même plus combien de fois j’ai joui.
• Votre mari ne peut pas vous satisfaire comme ça n’est-ce pas ?
Elle pensa : « devrais-je laisser mon mari me faire cela, baiser mes trois trous ? Il ne pourrait pas de toute façon. Et je n’ai plus envie qu’il m’approche »
Jacques haussa les épaules avant de s’éloigner. Elle l’appela :
• Qu’avez-vous fait de mes vêtements les garçons ?
Elle lava ses mains avant de courir après lui. Dans la cuisine, il lui tendit une lingette chaude. Le maquillage et le sperme essuyés elle se sentait nue. Elle saisit son sexe, demandant où était ses vêtements.
Jacques fut désolé :
• Je ne peux plus Madame MARTIN. Si vous en voulez encore il faudra revenir. Vous pourrez même amener votre fille si vous voulez ! Ça pourrait être intéressant mais je ne pense pas qu’Amandine aimerait voir sa mère labourée pas ses anciens camarades de classe.
Jacques lui tendit sa jupe et son chemisier. Les boutons de la chemise étaient complètement arrachés et le soutien-gorge était introuvable. Elle fit de son mieux pour se vêtir convenablement avec le reste de ses vêtements. Jacques la conduisit à la porte. Ils échangèrent leur numéro avant qu’elle ne sorte.
Les hommes dans la rue la regardaient différemment que plus tôt quand elle était entrée dans la maison. Elle pensa qu’ils savaient ce qu’elle avait fait. Heureusement, elle arriva à sa voiture sans problème et mit peu de temps pour rentrer chez elle. Son mari regardait la télévision et sa fille était recroquevillée contre lui. Un brin de culpabilité la tenailla. Une flaque de sperme s’étalait sur le siège. Une partie d’elle voulait partir et ne jamais revenir, une autre voulait aller exhiber sa chatte gluante devant son mari.
Son téléphone sonna. Elle arrêta le moteur de la voiture et le prit. Jacques lui envoyait des photos ainsi que des vidéos d’elle. Au début elle se reconnut à peine. Elle était hébétée et couverte des premières décharges des garçons. Elle réalisa que cette vidéo aurait pu servir comme moyen de chantage. Heureusement que Jeanne était toute disposée à revenir les voir.
Elle apprécia l’expérience et le considéra comme une récompense de Dieu. Cette pensée fuit son esprit. Elle avait eu de la chance et avait été bien baisée c’est tout.
Son téléphone sonna à nouveau. C’était une photo de la bite à Jacques. Il écrivait : « Nous espérons que vous reviendrez ». Elle prit une photo d’un de ses seins et lui envoya en répondant : « Oui je reviendrai bientôt, je ne sais pas si je pourrai attendre longtemps vos queues »
Elle aplatit sa jupe, fit de son mieux pour tenir son chemisier fermé. Malheureusement elle ne pouvait refaire son chignon. Elle sortit de la voiture, remonta l’allée de sa maison. Le soleil lui brulait le dos. Elle dit en poussant la porte :
• Hello chéri, je suis rentrée !
Son mari répondit du salon :
• Salut Chérie ! Tu as passé une bonne journée ?
• Oh tu ne le croirais pas ! Une très très bonne journée.
Une larme de bonheur et culpabilité roula sur sa joue : « Vivement la prochaine fois »
FIN.
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