Fiction n°1, suite
Récit érotique écrit par Amyolo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 5 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Fiction n°1, suite
Une grande claque fit onduler tout mon opulent fessier.
-C'est fini ! Tu as du potentiel, ils vont bien s'amuser.
L'air fier elle m'ordonna d'aller l'attendre à côté du porte manteau, je retournais donc dans l'entrée en bas de l'escalier, j'entendais de l'eau couler et une raclette sur le carrelage dans la pièce de préparation.
-Tu vois, ici on doit faire le sale boulot, car il faut bien que tu te rende compte que c'est un privilège pour toi.
Je ne la voyais pas, je ne voyais qu'un drap en une masse faisant ma taille avancer sur un diable à roulette, tandis qu'elle arrivait à côté de l'escalier.
Elle retira le tissu et je vit un arceau de balançoire, muni à la place de deux menottes, deux sangles sur la base certainement pour les chevilles, et un élégant marche pied qui montait presque devant les menottes, le tout en une structure soudée et unique.
Elle cala les roues, me fit monter sur l'estrade, et entreprit de tout simplement m'attacher les 4 membres, elle repartit pour apporter une sorte de poutre surmontée d'un coussin rigide et rectangulaire qu'elle me cala sous le ventre.
Bras suspendus, chevilles sanglées, le tout écarté et le fessier très cambré, j'étais tout à fait accessible pour la soirée qui m'attendais, même l'échelle était savamment étudiée, on pouvait aussi bien s'y installer pour une fellation ou un cunnilingus assis, debout, de dos pour se faire lecher l'oignon...
D'ailleurs sans un regard direct pour moi, Candice vint se jucher sur l'échelle cuisses écartées, ouvrit une fermeture éclair qui partait de son nombril jusqu'à sa raie, et m'attrapa ma natte pour plaquer mon visage sur sa vulve au pubis plat, au clitoris énorme et arrogant.
Alors qu'elle m'utilisait comme un vulgaire sextoy, comme du mobilier, je lapais avec ardeur sa cyprine odorante, m'avoir ainsi humiliée l'avait apparemment beaucoup émoustillée... Je lèche à présent comme une chienne qui laperait un met délicieux, frénétiquement, tandis que mes cheveux sont enroulées dans son poing et que son bassin qui ondule étale sa chatte sur toute ma gueule béante, ça glisse tout seul dans des bruits de succions malsains, être ainsi utilisée me rend sauvage et docile, nous sommes toutes deux à nos places respectives, elle grogne de plaisir et je jappe d'excitation...
-Il suffit ! Tu n'auras pas l'honneur de boire ma pisse tu dois rester propre pour l'arrivée des convives.
Sur ses paroles j'entends raisonner les coups de 7h dans ce petit château aux murs de pierres, et du coin de l'œil puisque je suis attelée de profil à l'immense porte d'entrée, je voit major Babe faire son apparition la main sur la clanche, dans la même posture théâtrale qu'iel m'avait accueilli, invitant à entrer une foule d'hommes et de femmes précieux dans leurs accoutrement et leurs manières, parfois masqué, parfois en latex, un énorme monsieur en fauteuil roulant habillé d'une queue de pie fendue ne porte tout simplement pas de pantalon ni de sous vêtements d'ailleurs, il est assis sur un fauteuil roulant électrique muni d'un battant pour WC en ivoire...
Un groupe de femme glousse et me prenne déjà en photo avec des iPhone derniers cris...
Alors que ce petit monde approche en remplissant le hall d'entrée, doucement mais sûrement de l'endroit où je fais partie du décor, je me rends compte de mon état de rut en sentant tout ces regards lubriques et moqueurs, ils sont au bas mot une trentaine de convives, ma respiration est courte, rauque, mon visage est brûlant, mes tétons très durs et mon clitoris bouillonne jusqu'à ses racines. Avoir déguster Candice en entrée n'était clairement que le prélude...
Un tintement de verre se fait entendre de la balustrade en haut des marches en colimaçon, hors de ma vision, tout de suite un silence respectueux s'installe dans l'assemblée.
-Bonsoir à toutes et à tous mes chers invités de marque. Je suis ravi, que dis-je comblé de pouvoir vous recevoir dans ma demeure, nous fêterons ici même ce soir le 12eme anniversaire de mon cheptel... Un cliquetis métallique de plusieurs chaînes qui s'entrechoquent, et plusieurs glapissement humains imitant des chiots qui quémandent s'élèvent dans le hall, deuxième cliquetis plus brusques et le silence de nouveau.
-Je vous présente vidoir numéro 13, qui aura comme vous le savez si bien, l'honneur de faire partie de la coutume de ces hauts lieux ce soir et de porter le titre de chienne Amy, si elle est à la hauteur de vos désirs. Ouvrons les festivités !
Des collibets, des applaudissements fusent parmis les dominants, si bien que je n'avais pas entendu l'homme à la voix oisive et enjouée descendre parmi ses invités, je l'aperçoit en premier et je reconnais tout de suite le marquis Flavien, dans un somptueux costume deux pièces Tom Ford blanc rosé. Son cheptel se déplace en quadrupèdie dans une synchronisation parfaite, 4 mâles et 8 femelles arnachés de sangles faisant dandiner un martinet individuel enfoncé dans leurs fondement à chacun de leurs mouvements. Comme pour un spectacle de rue, les convives forment un cercle autour de la scène, moi, et les chiens vienne se placer à ma droite soit derrière l'installation ou je suis sanglée face à l'entrée, dans une position à genoux, le buste droit, cambrés, parfaitement synchrones et la tête baissée.
Je manque de pousser un cri de stupeur quand je re concentre mon attention devant moi.
Le marquis est face à moi, il dégage une odeur de musc blanc et une aura très menaçante de par sa grande carrure entre autre, son visage penché sur le mien se veut pourtant bienveillant, il est brun aux yeux noirs auréolés de noisette, un nez crochu et une fine bouche, des sourcils droit...
-Tu me paraît ailleurs, à quoi songes-tu ? Tu n'es pas heureuse d'être ici ?
Il a un air si doux que je ne réalise pas ce que je fait, je tombe dans le panneau comme une débutante-S-si je...
Vlan !
L'assemblée s'esclaffe, j'ai un goût de fer dans la bouche et mes tympans sifflent, sonnée, j'aperçois le marquis qui se redresse, le visage défiguré par un sourire dément-Le dressage va être laborieux mes amis !
Ils rigolent, la giffle était d'une brutalité inouïe, je sent une boule de chagrin me couper le souffle pendant que je sanglote à chaudes larmes, en m'efforcant d'être silencieuse...
-C'est fini ! Tu as du potentiel, ils vont bien s'amuser.
L'air fier elle m'ordonna d'aller l'attendre à côté du porte manteau, je retournais donc dans l'entrée en bas de l'escalier, j'entendais de l'eau couler et une raclette sur le carrelage dans la pièce de préparation.
-Tu vois, ici on doit faire le sale boulot, car il faut bien que tu te rende compte que c'est un privilège pour toi.
Je ne la voyais pas, je ne voyais qu'un drap en une masse faisant ma taille avancer sur un diable à roulette, tandis qu'elle arrivait à côté de l'escalier.
Elle retira le tissu et je vit un arceau de balançoire, muni à la place de deux menottes, deux sangles sur la base certainement pour les chevilles, et un élégant marche pied qui montait presque devant les menottes, le tout en une structure soudée et unique.
Elle cala les roues, me fit monter sur l'estrade, et entreprit de tout simplement m'attacher les 4 membres, elle repartit pour apporter une sorte de poutre surmontée d'un coussin rigide et rectangulaire qu'elle me cala sous le ventre.
Bras suspendus, chevilles sanglées, le tout écarté et le fessier très cambré, j'étais tout à fait accessible pour la soirée qui m'attendais, même l'échelle était savamment étudiée, on pouvait aussi bien s'y installer pour une fellation ou un cunnilingus assis, debout, de dos pour se faire lecher l'oignon...
D'ailleurs sans un regard direct pour moi, Candice vint se jucher sur l'échelle cuisses écartées, ouvrit une fermeture éclair qui partait de son nombril jusqu'à sa raie, et m'attrapa ma natte pour plaquer mon visage sur sa vulve au pubis plat, au clitoris énorme et arrogant.
Alors qu'elle m'utilisait comme un vulgaire sextoy, comme du mobilier, je lapais avec ardeur sa cyprine odorante, m'avoir ainsi humiliée l'avait apparemment beaucoup émoustillée... Je lèche à présent comme une chienne qui laperait un met délicieux, frénétiquement, tandis que mes cheveux sont enroulées dans son poing et que son bassin qui ondule étale sa chatte sur toute ma gueule béante, ça glisse tout seul dans des bruits de succions malsains, être ainsi utilisée me rend sauvage et docile, nous sommes toutes deux à nos places respectives, elle grogne de plaisir et je jappe d'excitation...
-Il suffit ! Tu n'auras pas l'honneur de boire ma pisse tu dois rester propre pour l'arrivée des convives.
Sur ses paroles j'entends raisonner les coups de 7h dans ce petit château aux murs de pierres, et du coin de l'œil puisque je suis attelée de profil à l'immense porte d'entrée, je voit major Babe faire son apparition la main sur la clanche, dans la même posture théâtrale qu'iel m'avait accueilli, invitant à entrer une foule d'hommes et de femmes précieux dans leurs accoutrement et leurs manières, parfois masqué, parfois en latex, un énorme monsieur en fauteuil roulant habillé d'une queue de pie fendue ne porte tout simplement pas de pantalon ni de sous vêtements d'ailleurs, il est assis sur un fauteuil roulant électrique muni d'un battant pour WC en ivoire...
Un groupe de femme glousse et me prenne déjà en photo avec des iPhone derniers cris...
Alors que ce petit monde approche en remplissant le hall d'entrée, doucement mais sûrement de l'endroit où je fais partie du décor, je me rends compte de mon état de rut en sentant tout ces regards lubriques et moqueurs, ils sont au bas mot une trentaine de convives, ma respiration est courte, rauque, mon visage est brûlant, mes tétons très durs et mon clitoris bouillonne jusqu'à ses racines. Avoir déguster Candice en entrée n'était clairement que le prélude...
Un tintement de verre se fait entendre de la balustrade en haut des marches en colimaçon, hors de ma vision, tout de suite un silence respectueux s'installe dans l'assemblée.
-Bonsoir à toutes et à tous mes chers invités de marque. Je suis ravi, que dis-je comblé de pouvoir vous recevoir dans ma demeure, nous fêterons ici même ce soir le 12eme anniversaire de mon cheptel... Un cliquetis métallique de plusieurs chaînes qui s'entrechoquent, et plusieurs glapissement humains imitant des chiots qui quémandent s'élèvent dans le hall, deuxième cliquetis plus brusques et le silence de nouveau.
-Je vous présente vidoir numéro 13, qui aura comme vous le savez si bien, l'honneur de faire partie de la coutume de ces hauts lieux ce soir et de porter le titre de chienne Amy, si elle est à la hauteur de vos désirs. Ouvrons les festivités !
Des collibets, des applaudissements fusent parmis les dominants, si bien que je n'avais pas entendu l'homme à la voix oisive et enjouée descendre parmi ses invités, je l'aperçoit en premier et je reconnais tout de suite le marquis Flavien, dans un somptueux costume deux pièces Tom Ford blanc rosé. Son cheptel se déplace en quadrupèdie dans une synchronisation parfaite, 4 mâles et 8 femelles arnachés de sangles faisant dandiner un martinet individuel enfoncé dans leurs fondement à chacun de leurs mouvements. Comme pour un spectacle de rue, les convives forment un cercle autour de la scène, moi, et les chiens vienne se placer à ma droite soit derrière l'installation ou je suis sanglée face à l'entrée, dans une position à genoux, le buste droit, cambrés, parfaitement synchrones et la tête baissée.
Je manque de pousser un cri de stupeur quand je re concentre mon attention devant moi.
Le marquis est face à moi, il dégage une odeur de musc blanc et une aura très menaçante de par sa grande carrure entre autre, son visage penché sur le mien se veut pourtant bienveillant, il est brun aux yeux noirs auréolés de noisette, un nez crochu et une fine bouche, des sourcils droit...
-Tu me paraît ailleurs, à quoi songes-tu ? Tu n'es pas heureuse d'être ici ?
Il a un air si doux que je ne réalise pas ce que je fait, je tombe dans le panneau comme une débutante-S-si je...
Vlan !
L'assemblée s'esclaffe, j'ai un goût de fer dans la bouche et mes tympans sifflent, sonnée, j'aperçois le marquis qui se redresse, le visage défiguré par un sourire dément-Le dressage va être laborieux mes amis !
Ils rigolent, la giffle était d'une brutalité inouïe, je sent une boule de chagrin me couper le souffle pendant que je sanglote à chaudes larmes, en m'efforcant d'être silencieuse...
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