Fidèle 3
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-08-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Fidèle 3
Fidèle 3
-Louise par ci, Louise par là, Louise te conseille de guérir la dépression de Steph, Louise dénigre mes performances sexuelles et recommande à Steph de porter secours à ma femme en détresse sexuelle. Mais est-ce Louise qui vous a foutus à poil ? Je ne vois pas cette Louise que vous voulez utiliser comme bouclier ou paratonnerre. Vous
n'avez pas eu besoin de Louise toi pour prendre sa bite en main et en bouche, lui pour te filer la langue dans le trou. Vous ne pouvez pas rejeter la responsabilité de vos actes sur cette absente, c'est vous que je vois en train de forniquer.
-Pardon, je reconnais que je suis coupable. Mais ce n'est pas dirigé contre toi. C'est un moment d'égarement.
-Aimes-tu cet homme avec lequel tu veux baiser ?
-Non, il n'est pas question d'amour entre lui et moi. Il y a une heure je ne le connaissais même pas.
-Autrement dit, tu t'envoies en l'air avec le premier venu
Steph intervient :
- Pas n'importe qui. J'ai payé 250 euros à Louise pour tirer un coup avec une belle femme. Elle m'avait dit que c'était une femme seule.
- Voilà donc le nerf de la guerre, tu n'aimes pas ce type, tu aimes le fric, son fric. Enfin tu as trouvé un bon prétexte pour te débaucher. Tu es une salope doublée d'une putain. Manquons-nous d'argent ? Je sais on en a jamais assez. Il y a d'autres façons d'en gagner, non ? Ce serait plus facile et plus plaisant avec le cul? Eh! Bien tout ça me déplaît et me fâche.
-Monsieur, excusez-moi, je ne chercherai plus à faire l'amour avec votre femme.
- Il y a quelques minutes tu parlais de prendre un abonnement. Ne te sens-tu pas floué, tu as payé, tu n'as pas vraiment pénétré le sexe de Sylvie ? A ta place je serais furieux de payer pour presque rien.
- Oui, mais je n'ai pas de couteau. Peut-être m'autoriserez-vous à reprendre où nous nous sommes arrêtés. Ce serait justice.
-Ne te fous pas de ma gueule. Je suis en train de chercher une solution pour te dédommager et pour punir l'adultère de ma femme. Mais tout dépend d'elle désormais. mettons-la à l'épreuve. Steph tu t'allonges sur le tapis. Bien. Sylvie suce la verge que tu préfères, tu as le choix, la sienne ou la mienne.
Normalement la prostituée devrait accorder ses faveurs à celui qui paie. Or elle tombe à mes genoux et saisit ma verge. Je la repousse et dis :
-Ne me touche plus, putain. Ma queue ne te suffisait plus, il t'en fallait d'autres.
Elle éclate en sanglots, regarde la trique étrangère mais n'a plus l'envie d'y goûter. Steph doit être déçu. Sylvie a joué la sécurité, par amour ou par peur du couteau ?
- Voilà ce que j'exige. Tu appelles la fameuse Louise, tu lui dis que ça ne marche pas avec Steph, que vous ne vous accordez pas sexuellement et qu'il exige la restitution de ses 250 euros. Evite de parler de moi, si tu ne veux pas te retrouver nue dans la rue aussitôt. Ta réputation en prendrait un coup. Les uns seraient scandalisés, d'autres se diraient que tu es une femme facile disponible et dragueraient "la salope" sans crainte d'être repoussés. Qui ne risquerait pas 200 euros sur une femme vénale. Une belle putain vaut ça; n'est-ce pas ce que Steph a pensé Evidemment cela correspondrait peut-être à tes dispositions actuelles et faciliterait notre divorce.
-Oh ! Non, pardonne, pas le divorce. J'ai mal agi, mais c'est toi que j'aime. Demande ce que tu veux. J'appelle Louise tout de suite. Steph, je suis désolée, c'est une énorme erreur.
- A propos l'ami Steph, pourquoi avoir choisi Sylvie et pas une autre ?
-J'ai déjà répondu. Ma femme est malade, j'ai besoin de sexe. Louise, rencontrée dans un bar où elle cherche des clients, m'a proposé de m'aider à trouver une ou des femmes volages qu'elle connaît. Elle a un album de photos de celles qui sont susceptibles de vendre leurs charmes. Parmi ces photos celle de Sylvie m'a semblé la plus belle. J'ai flashé sur elle. Louise m'a apitoyé sur son sort de femme négligée.
- Donc tu es marié. Ta femme est malade; sait-elle comment tu soulages tes couilles avec des putes et à quel prix. Tu lui racontes tes rencontres pour lui faire plaisir ? Elle t'encourage certainement à coucher avec des femmes mariées pour leur remonter le moral et contre 250 euros ? Tiens file-moi la veste que tu as posée sur ce fauteuil..
- Pourquoi ? Ca fait désordre, pardon. J'étais pressé... oh, pardon Sylvie, je ne voulais pas t'offenser. Bon, voilà ma veste
-Ceci c'est ton portefeuille ? Oh, monsieur se trimbale avec 750 euros, il a de quoi se payer des putes. Non, vu le préjudice subi par le mari cocu, ces 750 euros paieront en partie ta dette. Le solde sera liquidé par ta soumission à mes décisions. Essaie de te dérober, j'irais me présenter à l'adresse qui figure sur ta carte d'identité pour consoler ta femme.
- Oh ! Non, pas ça. Je jure de payer ma dette en me soumettant à tout.
-A tout, vraiment ? Par exemple si je te dis "encule Sykvie", tu l'enculeras ?
-Si c'est un ordre... mais ce n'est pas sérieux? Il faut
Sylvie blêmit, nous observe, incrédule. Elle se demande aussi si je plaisante ou si je veux l'humilier en la faisant sodomiser devant moi. Elle doit mesurer la profondeur de ma blessure à la cruauté de ce projet de sodomie. Elle regarde Steph comme pour le supplier de refuser cette offre avilissante. Se faire posséder, être pénétrée et jouir devant moi lui paraît monstrueux, alors être prise par derrière par Steph ce doit être l'enfer. Je me reprends :
- Je ne suis pas sérieux, rassurez-vous. J'ai mieux à vous imposer pour vous faire comprendre ma terrible déception. Allez, téléphone.
Louise palabre, crie dans son téléphone. Sylvie s'acharne. Louise revient à la raison et finit par accepter de rendre 200 euros. Elle va arriver, le temps de remercier les deux prétendants que ma femme refuse d'échanger contre ce Steph si mauvais.
Cela me laisse le temps de mettre au point ce que je considérerai comme une punition suffisante pour ma femme infidèle et pour ce type qui croit pouvoir tout acheter, y compris la vertu des épouses
- Si vous exécutez correctement mon plan, j'oublierai ce que j'ai vu.. Mais ne vous avisez pas de ne pas vous conformer à mes ordres. N'oubliez pas que je suis en position de force, que j'ai de bonnes raisons d'être furibond, excité, hors de moi, et que ce genre de situation rend parfois fou, peut pousser au crime. Je pourrais bénéficier de circonstances atténuantes si j'utilisais cette arme contre une femme prise en flagrant délit d'adultère et contre son séducteur en train de la tringler. Sylvie tu te charges des préliminaires avec cette démoniaque maquerelle et Steph tu te paies sur la bête bien qu'elle ne soit plus de première jeunesse.
Euh. Je devrai faire l'amour avec cette vieille ?
-Mais oui, c'est sans appel. Faire pénitence n'est que rarement très joyeux. Tu la pénètres, tu la conduis à l'orgasme. Je sais, la veuve n'est plus fraîche, tant pis pour vous. Dès son arrivée fichez la en tenue d'Eve; ensuite faites-lui sa fête pendant une heure et vous obtiendrez mon absolution. Pendant l'opération je guiderai vos actes, je rectifierai si besoin. Comptez sur moi pour en baver. C'est le prix à payer.
Louise arrive, gravit l'escalier, se trouve en face du couple nu, examine Steph et rit:
-Qu'est-ce qui t'arrive mon petit ? Tu ne bandes pas devant une aussi belle créature? Q uoi, elle n'a que cinq ou six ans de plus que toi. C'est une quadragénaire encore très appétissante. Elle a la poitrine haute, bien accrochée. Et son sexe, une touffe de poils, des grandes lèvres gonflées de sang : c'est de la femme à rêver et toi tu cales ? Viens je te fais dresser le sexe en quelques mouvements. Allez, approche. Sylvie il serait temps d'apprendre à exciter un homme.
- Louise, je sais, mais
- Nunuche ! Tu es la première gourde à avoir besoin de mon aide pour raidir une queue et pour se faire défoncer. Tu te rends compte, tu n'es même pas capable de gagner tes 200 euros. Viens, regarde ce qu'il faut faire.T'es mariée depuis 17 ans ! Ce n'est pas croyable. Tu as de la chance de m'avoir pour conseillère. Ca pourra te servir avec ton cocu. Celui-là ne t'a donc rien enseigné ! Quel con, il mérite ses cornes. Mais, mais qu'est-ce qui me pique dans le dos ? Ciel, Jean? Tu ne travailles pas ? Laisse ce couteau, tu pourrais blesser quelqu'un. J'en ai vu d'autres, tu ne m'intimides pas. Hé, vous deux attrapez cet impuissant qui veut retenir sa femme avec un couteau. Ce con n'a pas su l'attacher avec sa bite. Aie! T'es fou, ça fait mal.
- Tais-toi Louise. Il est temps de payer. Donne les 250 euros que tu as reçus.
- Ah ! non. Il y a 50 euros pour mon service. C'est mon tarif. Voilà le reste, tu n'as qu'à ramasser. Aïe ! Ca va, je n'ai pas fait exprès, les billets m'ont échappé. Aïe, bon, je ramasse.
Elle se plie, tête basse, bras tendus vers les quatre billets éparpillés. Sur un signe Steph et Sylvie se jettent sur elle, la font tomber sur le tapis de laine épaisse. La surprise passée, elle hurle comme un cochon qu'on égorge. Je saisis le rouleau de scotch, j'en applique d'une oreille à l'autre un bout sur la bouche. Elle n'ameutera pas le voisinage, n'appellera plus à la rébellion et n'insultera plus personne. Elle est mâtée, comprend que ses complices ont des motifs de mécontentement assez forts pour me venger de sa mauvaise influence.
Elle roule des yeux effrayés quand j'approche la lame de son corsage. Je fais sauter les boutons taille les tissus, cordons, bretelles, élastique de culotte. La terreur la paralyse. Je dois être le premier mari capablede folie qui ose attaquer sa personne et ses vêtements. Elle craint les coupures, ne bouge pas, se laisse dépouiller de sa lingerie intime. Je refuse de me laisser apitoyer par la vue de ce corps obèse, de ces seins en forme de gants de toilette vides, de ses cuisses énormes. Pour moi l'offense est trop grande. Le mal fait à mon épouse trop profond. Sylvie pourra-t-elle se remettre de la douleur d'avoir accepté une relation sexuelle extra-conjugale, pourra-t-elle se relever d'avoir été surprise mais dérangée en pleine action et humiliée. Je me sens un coeur de pierre. J'ordonne:
-Steph, sépare les pieds, écarte les cuisses. Sylvie lèche la vulve, mets un doigt dans la fente et titille son clitoris.
La sexagénaire remue sa graisse, secoue ses bouées, agite ses fesses. Sylvie arrête, me regarde, implore pitié. Elle est dégoûtée de plonger sa langue entre les grandes lèvres. Je menace :
- Ou tu t'appliques ou tu quittes cette maison pour toujours. Suce, fais la mouiller .
Le spectacle dégoûtant ne suffit pas à calmer ma rage. Ces gens qui font l'amour sans s'aimer ne m'inspirent aucune pitié. Ce qu'ils m'ont fait mérite davantage.
- Stop? Sylvie assieds-toi sur le canapé, ouvre . Toi la vieille, à genoux devant le sexe que tu as vendu, occupe toi de faire jouir cette malheureuse. Elle n'a pas reçu le plaisir que tu lui promettais. J'enlève le ruban. Si tu cries je le recolle et je t'enferme dans ma cave pendant huit jours. Allez, toi qui sais si bien, avec ia langue et tes doigts fais la gémir et chanter le plaisir. Apprends-nous tes secrets de sorcière de l'amour. Lève tes fesses. Steph le moment est venu. Prends la en levrette. Elle doit connaître l'orgasme. Tu n'as pas besoin de capote anglaise, tapisse lui les parois du vagin de ton sperme.
Sans enthousiasme Steph prend place, entre les lèvres ridées. Je lui accorde dix minutes. Si la salope jouit je lui rendrai les 200 euros rendus. Il peine, transpire, se dresse sur les orteils. Louise met un temps fou à lâcher ses premiers soupirs sur le sexe dr Sylvie. Ma femme est toute rouge du front jusqu'à la limite des seins, elle se tord sous la bouche de Louise, sue, tantôt ferme les paupières, tantôt roule de grands yeux. Quand enfin Steph se raidit pour éjaculer en Louise et que Sylvie tremble de jouissance, je suis obligé de recourir à un dernier moyen de vaincre la résistance de Louise.
En un bond je cherche l'oeuf télécommandé acheté au sexe'shop. Sylvie doit l'introduire dans le vagin récalcitrant? Je lui montre comment utiliser la télécommande. Je commande de pousser l'allure, Louise décolle, pleure. Alors j'envoie Steph aux . Steph ne m'oblige jamais à rendre visite à ta femme. Reprends ton fric et fais en meilleur usage.
- A moi, tu ne dis rien ? réclame timidement Sylvie arrivée à la porte.
-J'attends de savoir ce que toi tu as à me dire.
Le mardi, après les pleurs de la nuit, elle retourne au salon. Je me dis que je ne jouerai plus à l'espionner. Si elle ne part pas d'elle même, peut-être a-t-elle mesuré la gravité de sa faute. M'aime-t-elle assez pour continuer à vivre avec son écorché vif ? Si elle ne m'aime plus elle s'en ira. Que souhaiter. La souffrance est trop récente, pourrai-je encore lui faire l'amour ?
-Louise par ci, Louise par là, Louise te conseille de guérir la dépression de Steph, Louise dénigre mes performances sexuelles et recommande à Steph de porter secours à ma femme en détresse sexuelle. Mais est-ce Louise qui vous a foutus à poil ? Je ne vois pas cette Louise que vous voulez utiliser comme bouclier ou paratonnerre. Vous
n'avez pas eu besoin de Louise toi pour prendre sa bite en main et en bouche, lui pour te filer la langue dans le trou. Vous ne pouvez pas rejeter la responsabilité de vos actes sur cette absente, c'est vous que je vois en train de forniquer.
-Pardon, je reconnais que je suis coupable. Mais ce n'est pas dirigé contre toi. C'est un moment d'égarement.
-Aimes-tu cet homme avec lequel tu veux baiser ?
-Non, il n'est pas question d'amour entre lui et moi. Il y a une heure je ne le connaissais même pas.
-Autrement dit, tu t'envoies en l'air avec le premier venu
Steph intervient :
- Pas n'importe qui. J'ai payé 250 euros à Louise pour tirer un coup avec une belle femme. Elle m'avait dit que c'était une femme seule.
- Voilà donc le nerf de la guerre, tu n'aimes pas ce type, tu aimes le fric, son fric. Enfin tu as trouvé un bon prétexte pour te débaucher. Tu es une salope doublée d'une putain. Manquons-nous d'argent ? Je sais on en a jamais assez. Il y a d'autres façons d'en gagner, non ? Ce serait plus facile et plus plaisant avec le cul? Eh! Bien tout ça me déplaît et me fâche.
-Monsieur, excusez-moi, je ne chercherai plus à faire l'amour avec votre femme.
- Il y a quelques minutes tu parlais de prendre un abonnement. Ne te sens-tu pas floué, tu as payé, tu n'as pas vraiment pénétré le sexe de Sylvie ? A ta place je serais furieux de payer pour presque rien.
- Oui, mais je n'ai pas de couteau. Peut-être m'autoriserez-vous à reprendre où nous nous sommes arrêtés. Ce serait justice.
-Ne te fous pas de ma gueule. Je suis en train de chercher une solution pour te dédommager et pour punir l'adultère de ma femme. Mais tout dépend d'elle désormais. mettons-la à l'épreuve. Steph tu t'allonges sur le tapis. Bien. Sylvie suce la verge que tu préfères, tu as le choix, la sienne ou la mienne.
Normalement la prostituée devrait accorder ses faveurs à celui qui paie. Or elle tombe à mes genoux et saisit ma verge. Je la repousse et dis :
-Ne me touche plus, putain. Ma queue ne te suffisait plus, il t'en fallait d'autres.
Elle éclate en sanglots, regarde la trique étrangère mais n'a plus l'envie d'y goûter. Steph doit être déçu. Sylvie a joué la sécurité, par amour ou par peur du couteau ?
- Voilà ce que j'exige. Tu appelles la fameuse Louise, tu lui dis que ça ne marche pas avec Steph, que vous ne vous accordez pas sexuellement et qu'il exige la restitution de ses 250 euros. Evite de parler de moi, si tu ne veux pas te retrouver nue dans la rue aussitôt. Ta réputation en prendrait un coup. Les uns seraient scandalisés, d'autres se diraient que tu es une femme facile disponible et dragueraient "la salope" sans crainte d'être repoussés. Qui ne risquerait pas 200 euros sur une femme vénale. Une belle putain vaut ça; n'est-ce pas ce que Steph a pensé Evidemment cela correspondrait peut-être à tes dispositions actuelles et faciliterait notre divorce.
-Oh ! Non, pardonne, pas le divorce. J'ai mal agi, mais c'est toi que j'aime. Demande ce que tu veux. J'appelle Louise tout de suite. Steph, je suis désolée, c'est une énorme erreur.
- A propos l'ami Steph, pourquoi avoir choisi Sylvie et pas une autre ?
-J'ai déjà répondu. Ma femme est malade, j'ai besoin de sexe. Louise, rencontrée dans un bar où elle cherche des clients, m'a proposé de m'aider à trouver une ou des femmes volages qu'elle connaît. Elle a un album de photos de celles qui sont susceptibles de vendre leurs charmes. Parmi ces photos celle de Sylvie m'a semblé la plus belle. J'ai flashé sur elle. Louise m'a apitoyé sur son sort de femme négligée.
- Donc tu es marié. Ta femme est malade; sait-elle comment tu soulages tes couilles avec des putes et à quel prix. Tu lui racontes tes rencontres pour lui faire plaisir ? Elle t'encourage certainement à coucher avec des femmes mariées pour leur remonter le moral et contre 250 euros ? Tiens file-moi la veste que tu as posée sur ce fauteuil..
- Pourquoi ? Ca fait désordre, pardon. J'étais pressé... oh, pardon Sylvie, je ne voulais pas t'offenser. Bon, voilà ma veste
-Ceci c'est ton portefeuille ? Oh, monsieur se trimbale avec 750 euros, il a de quoi se payer des putes. Non, vu le préjudice subi par le mari cocu, ces 750 euros paieront en partie ta dette. Le solde sera liquidé par ta soumission à mes décisions. Essaie de te dérober, j'irais me présenter à l'adresse qui figure sur ta carte d'identité pour consoler ta femme.
- Oh ! Non, pas ça. Je jure de payer ma dette en me soumettant à tout.
-A tout, vraiment ? Par exemple si je te dis "encule Sykvie", tu l'enculeras ?
-Si c'est un ordre... mais ce n'est pas sérieux? Il faut
Sylvie blêmit, nous observe, incrédule. Elle se demande aussi si je plaisante ou si je veux l'humilier en la faisant sodomiser devant moi. Elle doit mesurer la profondeur de ma blessure à la cruauté de ce projet de sodomie. Elle regarde Steph comme pour le supplier de refuser cette offre avilissante. Se faire posséder, être pénétrée et jouir devant moi lui paraît monstrueux, alors être prise par derrière par Steph ce doit être l'enfer. Je me reprends :
- Je ne suis pas sérieux, rassurez-vous. J'ai mieux à vous imposer pour vous faire comprendre ma terrible déception. Allez, téléphone.
Louise palabre, crie dans son téléphone. Sylvie s'acharne. Louise revient à la raison et finit par accepter de rendre 200 euros. Elle va arriver, le temps de remercier les deux prétendants que ma femme refuse d'échanger contre ce Steph si mauvais.
Cela me laisse le temps de mettre au point ce que je considérerai comme une punition suffisante pour ma femme infidèle et pour ce type qui croit pouvoir tout acheter, y compris la vertu des épouses
- Si vous exécutez correctement mon plan, j'oublierai ce que j'ai vu.. Mais ne vous avisez pas de ne pas vous conformer à mes ordres. N'oubliez pas que je suis en position de force, que j'ai de bonnes raisons d'être furibond, excité, hors de moi, et que ce genre de situation rend parfois fou, peut pousser au crime. Je pourrais bénéficier de circonstances atténuantes si j'utilisais cette arme contre une femme prise en flagrant délit d'adultère et contre son séducteur en train de la tringler. Sylvie tu te charges des préliminaires avec cette démoniaque maquerelle et Steph tu te paies sur la bête bien qu'elle ne soit plus de première jeunesse.
Euh. Je devrai faire l'amour avec cette vieille ?
-Mais oui, c'est sans appel. Faire pénitence n'est que rarement très joyeux. Tu la pénètres, tu la conduis à l'orgasme. Je sais, la veuve n'est plus fraîche, tant pis pour vous. Dès son arrivée fichez la en tenue d'Eve; ensuite faites-lui sa fête pendant une heure et vous obtiendrez mon absolution. Pendant l'opération je guiderai vos actes, je rectifierai si besoin. Comptez sur moi pour en baver. C'est le prix à payer.
Louise arrive, gravit l'escalier, se trouve en face du couple nu, examine Steph et rit:
-Qu'est-ce qui t'arrive mon petit ? Tu ne bandes pas devant une aussi belle créature? Q uoi, elle n'a que cinq ou six ans de plus que toi. C'est une quadragénaire encore très appétissante. Elle a la poitrine haute, bien accrochée. Et son sexe, une touffe de poils, des grandes lèvres gonflées de sang : c'est de la femme à rêver et toi tu cales ? Viens je te fais dresser le sexe en quelques mouvements. Allez, approche. Sylvie il serait temps d'apprendre à exciter un homme.
- Louise, je sais, mais
- Nunuche ! Tu es la première gourde à avoir besoin de mon aide pour raidir une queue et pour se faire défoncer. Tu te rends compte, tu n'es même pas capable de gagner tes 200 euros. Viens, regarde ce qu'il faut faire.T'es mariée depuis 17 ans ! Ce n'est pas croyable. Tu as de la chance de m'avoir pour conseillère. Ca pourra te servir avec ton cocu. Celui-là ne t'a donc rien enseigné ! Quel con, il mérite ses cornes. Mais, mais qu'est-ce qui me pique dans le dos ? Ciel, Jean? Tu ne travailles pas ? Laisse ce couteau, tu pourrais blesser quelqu'un. J'en ai vu d'autres, tu ne m'intimides pas. Hé, vous deux attrapez cet impuissant qui veut retenir sa femme avec un couteau. Ce con n'a pas su l'attacher avec sa bite. Aie! T'es fou, ça fait mal.
- Tais-toi Louise. Il est temps de payer. Donne les 250 euros que tu as reçus.
- Ah ! non. Il y a 50 euros pour mon service. C'est mon tarif. Voilà le reste, tu n'as qu'à ramasser. Aïe ! Ca va, je n'ai pas fait exprès, les billets m'ont échappé. Aïe, bon, je ramasse.
Elle se plie, tête basse, bras tendus vers les quatre billets éparpillés. Sur un signe Steph et Sylvie se jettent sur elle, la font tomber sur le tapis de laine épaisse. La surprise passée, elle hurle comme un cochon qu'on égorge. Je saisis le rouleau de scotch, j'en applique d'une oreille à l'autre un bout sur la bouche. Elle n'ameutera pas le voisinage, n'appellera plus à la rébellion et n'insultera plus personne. Elle est mâtée, comprend que ses complices ont des motifs de mécontentement assez forts pour me venger de sa mauvaise influence.
Elle roule des yeux effrayés quand j'approche la lame de son corsage. Je fais sauter les boutons taille les tissus, cordons, bretelles, élastique de culotte. La terreur la paralyse. Je dois être le premier mari capablede folie qui ose attaquer sa personne et ses vêtements. Elle craint les coupures, ne bouge pas, se laisse dépouiller de sa lingerie intime. Je refuse de me laisser apitoyer par la vue de ce corps obèse, de ces seins en forme de gants de toilette vides, de ses cuisses énormes. Pour moi l'offense est trop grande. Le mal fait à mon épouse trop profond. Sylvie pourra-t-elle se remettre de la douleur d'avoir accepté une relation sexuelle extra-conjugale, pourra-t-elle se relever d'avoir été surprise mais dérangée en pleine action et humiliée. Je me sens un coeur de pierre. J'ordonne:
-Steph, sépare les pieds, écarte les cuisses. Sylvie lèche la vulve, mets un doigt dans la fente et titille son clitoris.
La sexagénaire remue sa graisse, secoue ses bouées, agite ses fesses. Sylvie arrête, me regarde, implore pitié. Elle est dégoûtée de plonger sa langue entre les grandes lèvres. Je menace :
- Ou tu t'appliques ou tu quittes cette maison pour toujours. Suce, fais la mouiller .
Le spectacle dégoûtant ne suffit pas à calmer ma rage. Ces gens qui font l'amour sans s'aimer ne m'inspirent aucune pitié. Ce qu'ils m'ont fait mérite davantage.
- Stop? Sylvie assieds-toi sur le canapé, ouvre . Toi la vieille, à genoux devant le sexe que tu as vendu, occupe toi de faire jouir cette malheureuse. Elle n'a pas reçu le plaisir que tu lui promettais. J'enlève le ruban. Si tu cries je le recolle et je t'enferme dans ma cave pendant huit jours. Allez, toi qui sais si bien, avec ia langue et tes doigts fais la gémir et chanter le plaisir. Apprends-nous tes secrets de sorcière de l'amour. Lève tes fesses. Steph le moment est venu. Prends la en levrette. Elle doit connaître l'orgasme. Tu n'as pas besoin de capote anglaise, tapisse lui les parois du vagin de ton sperme.
Sans enthousiasme Steph prend place, entre les lèvres ridées. Je lui accorde dix minutes. Si la salope jouit je lui rendrai les 200 euros rendus. Il peine, transpire, se dresse sur les orteils. Louise met un temps fou à lâcher ses premiers soupirs sur le sexe dr Sylvie. Ma femme est toute rouge du front jusqu'à la limite des seins, elle se tord sous la bouche de Louise, sue, tantôt ferme les paupières, tantôt roule de grands yeux. Quand enfin Steph se raidit pour éjaculer en Louise et que Sylvie tremble de jouissance, je suis obligé de recourir à un dernier moyen de vaincre la résistance de Louise.
En un bond je cherche l'oeuf télécommandé acheté au sexe'shop. Sylvie doit l'introduire dans le vagin récalcitrant? Je lui montre comment utiliser la télécommande. Je commande de pousser l'allure, Louise décolle, pleure. Alors j'envoie Steph aux . Steph ne m'oblige jamais à rendre visite à ta femme. Reprends ton fric et fais en meilleur usage.
- A moi, tu ne dis rien ? réclame timidement Sylvie arrivée à la porte.
-J'attends de savoir ce que toi tu as à me dire.
Le mardi, après les pleurs de la nuit, elle retourne au salon. Je me dis que je ne jouerai plus à l'espionner. Si elle ne part pas d'elle même, peut-être a-t-elle mesuré la gravité de sa faute. M'aime-t-elle assez pour continuer à vivre avec son écorché vif ? Si elle ne m'aime plus elle s'en ira. Que souhaiter. La souffrance est trop récente, pourrai-je encore lui faire l'amour ?
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