Fin de mes activités de callgirl
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-10-2014 dans la catégorie Plus on est
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Fin de mes activités de callgirl
Je ne me plains pas de mes débuts. J’ai mes clients réguliers, de nouveaux, des hommes en règles générales, quelques femmes que j’aime de plus en plus. Pour relooker mon logement, je décide de mettre des photos de moi nue. Pour ne pas avantager un photographe plus qu’un autre, clients potentiels, c’est vers Toulouse où je me tourne pour trouver un professionnel. C’est une femme qui soit avoir plus de 40 ans : elle ne me fera pas de rentre dedans. Dans son atelier elle me montre d’autres photos de femmes : certaines sont carrément pornos. Elles me font de l’effet : je mouille.
Je commence à me déshabiller : elle prend cliché sur cliché. Quand je suis nue, commencent les véritables poses suggestives : nue, allongée, nues les jambes ouvertes sur ma chatte, penchée en avant vue de dos…Elle promet les épreuves pour le lendemain après midi.
- Vous êtes belle nue, offerte. Vous ne me voulez pas ? J’aimerais vous faire plaisir.
Et je pensais qu’elle ne me ferait pas de demandes particulièrement osées.
- Oui, j’accepterais si vous le voulez bien.
- Tout à l’heure, voyons les clichés.
Nous choisissons les photos très grands formats. Je vais faire exploser mon audimat, c’est certain : je suis totalement impudique, offerte, exhibée, donnée. Elle veut de moi, je m’offre en prime à cette artiste. Elle m’enverra ce qu’elle me promet dans les jours qui viennent : je règle une petite fortune : mon prochain client va en avoir pour cher. Son domicile est juste en haut du studio.
Elle le ferme, me prend la main : nous allons chez elle. Je passe une nuit extraordinaire avec une vraie lesbienne. J’ignorais presque tout, elle me l’apprend. J’allais trop vite avec les femmes, je patiente maintenant. Je fais durer les caresses, les suçons, les lèches le plus longtemps possible. Moi-même je n’en peux plus d’attendre qu’elle me fasse jouir, mais c’est si bon quand elle me fait partir, mieux qu’avec un homme aussi bien monté, aussi bien doué qu’il soit.
Je rentre chez moi : je n’ai pas perdu de temps. J’aurais les photos dans peu de temps. Je réfléchis à l’emplacement, je rêvasse.
Mes photos en jettent chez moi. Je m’excite seule en me regardant. J’ai encore des souvenirs trop frais de sa bouche, de ses mains, de son sexe. Je suis obligée involontairement de me satisfaire : je coule. Ma main seule suffit. Je me branle deux fois de suite.
Je reprends mes activités. Mon premier amant est bel homme. Nu, encore plus attachant. Je suis plus libre depuis que j’exerce chez moi. Il a vue toutes mes photos. Il ne pensait pas que je sois si excitante. Je le tiens par la queue pendant qu’il fait le tour de mon exposition. J’aurais pu le masturber pour m’en débarrasser. Et son sperme alors ? Pendant qu’il regarde celle ou je suis penchée en avant, où je montre mon cul et le reste, je m’accroupie à ses pied. Sa queue me plait quand elle est dans ma bouche. Je caresse les couilles, je les masse pendant que ma langue lèche son bout. Je passe le gland contre ma joue, je fais aller et venir ma tête ; il gonfle. Ca y est, il jette son sperme dans ma bouche. C’est le premier depuis plusieurs jours. C’est toujours aussi bon. Je n’avale pas : je le garde en bouche un bon moment. Je laisse filer dans ma gorge des petites gorgées. Que c’est bon le sperme.
Il reste jusqu’à 20 heures. Je vais le faire jouir encore, pas dans ma bouche : mon con a besoin aussi de son jus. Je le suce encore pour le faire bander. Il a la forme, il est tendu encore. Tant mieux il peut me baiser.
Nous sommes allongés, ce n’et pas mon con, il veut mon cul. Allons-y pour me faire enculer. J’aime autant devant que derrière, avec une petite préférence pour le cul. Il me veut à plat ventre. Je n’aime pas trop. Je me couche sur le ventre, il vient sur moi, écarte mes fesses. Sa main cherche mon petit trou qu’il trouve assez vite. Je mouille encore pas mal.
Je me tartine le cul avec la cyprine. Il est sur moi, il pose sa queue, il force un peu, il entre ; mon cul s’ouvre sous sa poussée, il entre, je prends mon pied. Il jouit, je jouis comme lui à cause de son jet de sperme dans l’anus. Il en sort, se rhabille : à bientôt mon chéri…….
Finalement j’aime toujours les hommes. Je doutais à cause de la photographe. Je verrais bien : j’ai rendez vous avec une habituée, la femme d’un avocat de Montpellier qui paie cher pour ce que nous faisons.
Je l’attends avec sur moi une blouse transparente, vague, rouge. Elle arrive à son habitude pressée de je ne sais quoi. Elle attendra que j’arrive à la fin de ma prestation quand elle partira encore frémissante de mes caresses.
Un long baiser commence notre amourette. Elle ouvre son sac pour me montrer ce qu’elle vient d’acheter : deux godes magnifiques, vibrants, un pour son con, l’autre pour son anus. Je pensais les essayer avec elle : non elle le fera chez elle avec son mari. Drôle de toquée.
En attendant je vais la baiser, la faire jouir, elle me rendra tout, je jouirais aussi. C’est ce qu’il y a de bien dans mon job : le plaisir partagé.
Je la fait déshabiller devant moi comme au cabaret. Ca l’excite, elle fait durer la chose un bon moment. Quand elle est nue, elle d’approche de moi pour se montrer de près. Je sens son odeur intime, j’ai envie d’elle, je ne me retiens pas, ma langue est sur elle, dans la chatte, elle cherche le clitoris. Ses mains me tiennent la tête pour me diriger. Elle s’approche encore, je peux atteindre son puits. Je lèche son intérieur.
Je bous de désir, je voudrais qu’elle aussi me caresse. Elle se tourne pour refaire ce que je lui ai fait la dernière fois. Elle se penche en avant : je vois son cul. J’écarte ses jolies fesses. Je peux passer la langue. C’est ce qu’elle attend. Je lèche le con, le fore avec la langue pour l’entrer. Elle ouvre bien son anus. Ma langue va et vient en elle. Elle soupire, se laisse faire : elle jouit de ma caresse. Au début, je ne pensais jamais qu’elle aime jouir par le cul, je me trompais. Elle serre le bout de la langue à chaque contraction. Je passe ma main autour de sa cuisse, je vais sur la fente. Elle me donne son sexe sans problème puisqu’elle connait la suite : je vais lui masturber le con en y mettant deux doigts que je ferais aller et venir de plus en plus vite jusqu’à son orgasme final. Elle est gentille : elle me lèche rapidement. C’est bizarre, elle n’aime pas les 69 avec moi, avec son mari, je ne sais pas.
Avant de partir, elle regarde mes photos en détails. Elle se caresse devant moi, devant mes reflets. Elle se baisse un peu pour pouvoir entre deux doigts en elle. Dès sa jouissance, elle est habillée, elle part chez elle, se faire mettre certainement par son avocat de mari.
Il faut que je pense à changer de ville pour trouver un mari qui devra avoir plusieurs qualités : ne pas être curieux sur mon passé de presque pute, savoir me baiser, me lécher, m’enculer, me branler, se branler devant moi, et surtout avoir de l’argent. Beaucoup d’argent. J’en connais un come ça à Mende d’où je viens. Pourquoi ne pas y retourner ?
Je commence à me déshabiller : elle prend cliché sur cliché. Quand je suis nue, commencent les véritables poses suggestives : nue, allongée, nues les jambes ouvertes sur ma chatte, penchée en avant vue de dos…Elle promet les épreuves pour le lendemain après midi.
- Vous êtes belle nue, offerte. Vous ne me voulez pas ? J’aimerais vous faire plaisir.
Et je pensais qu’elle ne me ferait pas de demandes particulièrement osées.
- Oui, j’accepterais si vous le voulez bien.
- Tout à l’heure, voyons les clichés.
Nous choisissons les photos très grands formats. Je vais faire exploser mon audimat, c’est certain : je suis totalement impudique, offerte, exhibée, donnée. Elle veut de moi, je m’offre en prime à cette artiste. Elle m’enverra ce qu’elle me promet dans les jours qui viennent : je règle une petite fortune : mon prochain client va en avoir pour cher. Son domicile est juste en haut du studio.
Elle le ferme, me prend la main : nous allons chez elle. Je passe une nuit extraordinaire avec une vraie lesbienne. J’ignorais presque tout, elle me l’apprend. J’allais trop vite avec les femmes, je patiente maintenant. Je fais durer les caresses, les suçons, les lèches le plus longtemps possible. Moi-même je n’en peux plus d’attendre qu’elle me fasse jouir, mais c’est si bon quand elle me fait partir, mieux qu’avec un homme aussi bien monté, aussi bien doué qu’il soit.
Je rentre chez moi : je n’ai pas perdu de temps. J’aurais les photos dans peu de temps. Je réfléchis à l’emplacement, je rêvasse.
Mes photos en jettent chez moi. Je m’excite seule en me regardant. J’ai encore des souvenirs trop frais de sa bouche, de ses mains, de son sexe. Je suis obligée involontairement de me satisfaire : je coule. Ma main seule suffit. Je me branle deux fois de suite.
Je reprends mes activités. Mon premier amant est bel homme. Nu, encore plus attachant. Je suis plus libre depuis que j’exerce chez moi. Il a vue toutes mes photos. Il ne pensait pas que je sois si excitante. Je le tiens par la queue pendant qu’il fait le tour de mon exposition. J’aurais pu le masturber pour m’en débarrasser. Et son sperme alors ? Pendant qu’il regarde celle ou je suis penchée en avant, où je montre mon cul et le reste, je m’accroupie à ses pied. Sa queue me plait quand elle est dans ma bouche. Je caresse les couilles, je les masse pendant que ma langue lèche son bout. Je passe le gland contre ma joue, je fais aller et venir ma tête ; il gonfle. Ca y est, il jette son sperme dans ma bouche. C’est le premier depuis plusieurs jours. C’est toujours aussi bon. Je n’avale pas : je le garde en bouche un bon moment. Je laisse filer dans ma gorge des petites gorgées. Que c’est bon le sperme.
Il reste jusqu’à 20 heures. Je vais le faire jouir encore, pas dans ma bouche : mon con a besoin aussi de son jus. Je le suce encore pour le faire bander. Il a la forme, il est tendu encore. Tant mieux il peut me baiser.
Nous sommes allongés, ce n’et pas mon con, il veut mon cul. Allons-y pour me faire enculer. J’aime autant devant que derrière, avec une petite préférence pour le cul. Il me veut à plat ventre. Je n’aime pas trop. Je me couche sur le ventre, il vient sur moi, écarte mes fesses. Sa main cherche mon petit trou qu’il trouve assez vite. Je mouille encore pas mal.
Je me tartine le cul avec la cyprine. Il est sur moi, il pose sa queue, il force un peu, il entre ; mon cul s’ouvre sous sa poussée, il entre, je prends mon pied. Il jouit, je jouis comme lui à cause de son jet de sperme dans l’anus. Il en sort, se rhabille : à bientôt mon chéri…….
Finalement j’aime toujours les hommes. Je doutais à cause de la photographe. Je verrais bien : j’ai rendez vous avec une habituée, la femme d’un avocat de Montpellier qui paie cher pour ce que nous faisons.
Je l’attends avec sur moi une blouse transparente, vague, rouge. Elle arrive à son habitude pressée de je ne sais quoi. Elle attendra que j’arrive à la fin de ma prestation quand elle partira encore frémissante de mes caresses.
Un long baiser commence notre amourette. Elle ouvre son sac pour me montrer ce qu’elle vient d’acheter : deux godes magnifiques, vibrants, un pour son con, l’autre pour son anus. Je pensais les essayer avec elle : non elle le fera chez elle avec son mari. Drôle de toquée.
En attendant je vais la baiser, la faire jouir, elle me rendra tout, je jouirais aussi. C’est ce qu’il y a de bien dans mon job : le plaisir partagé.
Je la fait déshabiller devant moi comme au cabaret. Ca l’excite, elle fait durer la chose un bon moment. Quand elle est nue, elle d’approche de moi pour se montrer de près. Je sens son odeur intime, j’ai envie d’elle, je ne me retiens pas, ma langue est sur elle, dans la chatte, elle cherche le clitoris. Ses mains me tiennent la tête pour me diriger. Elle s’approche encore, je peux atteindre son puits. Je lèche son intérieur.
Je bous de désir, je voudrais qu’elle aussi me caresse. Elle se tourne pour refaire ce que je lui ai fait la dernière fois. Elle se penche en avant : je vois son cul. J’écarte ses jolies fesses. Je peux passer la langue. C’est ce qu’elle attend. Je lèche le con, le fore avec la langue pour l’entrer. Elle ouvre bien son anus. Ma langue va et vient en elle. Elle soupire, se laisse faire : elle jouit de ma caresse. Au début, je ne pensais jamais qu’elle aime jouir par le cul, je me trompais. Elle serre le bout de la langue à chaque contraction. Je passe ma main autour de sa cuisse, je vais sur la fente. Elle me donne son sexe sans problème puisqu’elle connait la suite : je vais lui masturber le con en y mettant deux doigts que je ferais aller et venir de plus en plus vite jusqu’à son orgasme final. Elle est gentille : elle me lèche rapidement. C’est bizarre, elle n’aime pas les 69 avec moi, avec son mari, je ne sais pas.
Avant de partir, elle regarde mes photos en détails. Elle se caresse devant moi, devant mes reflets. Elle se baisse un peu pour pouvoir entre deux doigts en elle. Dès sa jouissance, elle est habillée, elle part chez elle, se faire mettre certainement par son avocat de mari.
Il faut que je pense à changer de ville pour trouver un mari qui devra avoir plusieurs qualités : ne pas être curieux sur mon passé de presque pute, savoir me baiser, me lécher, m’enculer, me branler, se branler devant moi, et surtout avoir de l’argent. Beaucoup d’argent. J’en connais un come ça à Mende d’où je viens. Pourquoi ne pas y retourner ?
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