Fin de saison - histoire érotique

Il faisait bon sur la plage sud de Lacanau en cette fin du mois de septembre, la journée avait été belle et sans nuage et la température était clémente.
David venait quasiment chaque semaine en fin de saison, tout au moins quand le temps le permettait, il arrivait en fin de journée, au moment où la plage se vidait et y restait souvent jusqu'à la tombée de la nuit.
Il choisissait un endroit un peu isolé, il n'aimait pas la proximité.

ll se baigna jusqu'à ce qu'il ressente le froid, la température de l'eau chutait brusquement en septembre, puis il s'offrait un petit somme réparateur.
Il était en plein sommeil quand il fut réveillé par un éclat de rire.
Il découvrit une jeune femme qui riait à gorge déployée, debout à ses pieds, les mains sur les hanches. Elle lui dit "vous avez fait un beau rêve, la prochaine fois, couchez vous sur le ventre..."
Il s'aperçut qu'il avait une belle érection, le bout de son pénis dépassait largement de son maillot, il en fut honteux et cacha rapidement l'objet avec sa serviette.
La jeune femme lui dit "on ne peut rien contre une aussi belle nature".

Elle semblait plutôt jeune, brune, cheveux courts, la vingtaine, guère plus.
Elle était d'une taille moyenne, son maillot une pièce n'avait aucun mal à héberger une petite poitrine mais elle avait la taille fine et des cuisses pleines, un cul de patineuse pensa David.
Elle avait un oiseau tatoué sur l'épaule gauche.

Finalement, elle s'assit près de lui directement sur le sable, et ils se mirent à discuter de choses et d'autres.

Elle avait été serveuse pour la saison dans un restaurant de Lacanau et celle-ci étant terminée, elle s'était offert une semaine de vacances en solitaire avant de rentrer à Bordeaux.
David lui proposa de venir à l'eau, il pensait que l'eau froide calmerait définitivement ses pensées salaces.

La plage s'était quasiment vidée et les seuls individus qu'on apercevait étaient très loin au nord, vers Lacanau, il n'y avait plus personne au sud.
Ils se baignèrent tous deux sans cesser de discuter, David appris qu'elle s'appelait Anne et qu'elle était étudiante en chimie à la Fac de Bordeaux, elle avait trouvé une place de serveuse pendant les vacances. Il lui mentit qu'il était dans le commerce du vin sans préciser davantage.

Une vague plus grosse que les autres les fit rouler tous deux, ils se relevèrent en riant, mais ils étaient enlacés.
David profita de l'occasion pour voler un baiser salé, Anne lui rendit..
Il revinrent sur le sable, Anne récupéra sa serviette qui était quelques mètres plus loin, puis vint s'allonger près de David, qui était sur le ventre cette fois.

Il lui caressa la poitrine qui était petite mais ferme, elle laissa tomber les bretelles de son maillot, David baisa ses seins dont le téton très gros et brun devint dur, elle se laissa faire en fermant les yeux.

David descendit sur son ventre plat, jusqu'à son mont de Vénus qu'il embrassa à travers le maillot mouillé.
Il écarta le maillot et Anne ouvrit docilement les cuisses, une invitation que David ne refusa pas. Elle n'était pas rasée et David fourra son nez dans la toison frisée pour respirer la bonne odeur de sa fente, il trouva un clitoris bien développé qu'il agaça avec sa langue, Anne gémissait de bonheur.
Le sexe d'Anne avait le goût salé de la mer, c'était délicieux, David plongea sa langue dans la grotte et entama un délicat cunnilingus.

Elle gémissait mais n'atteint pas l'orgasme, David fut un peu déçu, habituellement il arrivait à faire jouir ses partenaires rien qu'avec sa langue.
La nuit commençait à tomber et le froid avec, Anne lui proposa d'aller dans la piaule qu'elle avait louée pour la saison.

Anne retira son maillot sans pudeur pour s'essuyer et David constata qu'elle avait vraiment un très beau cul, son sexe encore en demi-érection fit un bond dans son slip de bain.

Finalement ils se rabillèrent tous les deux et retournèrent à la ville qui se trouvait à moins d'un kilomètre.

Ils firent une étape dans un des rares restaurants encore ouverts en cette fin de saison, et prirent un menu rapide.

La piaule qu'avait louée Anne pour une bouchée de pain à son patron, était plus un réduit ou une annexe qu'une véritable chambre, mais il y avait l'essentiel, une table, deux chaises, un lit, un lavabo et une douche minuscule.

Dès qu'ils furent entrés, Anne se jeta sur David, prit ses lèvres, souleva son tee-shirt, lui caressa la poitrine.
Elle retira le sien, puis son short, elle n'avait pas remis de culotte depuis la plage. David fit de même et ils se retrouvèrent nus comme le jour de leur naissance.
Le sexe de david était déjà au garde à vous, Anne embrassa ses tétons, son ventre, puis se mit à genoux sur le carrelage, elle donna des petits baisers à la hampe rigide en poussant des petits gloussements de bonheur.

Le sexe de david était de bonne taille, long et épais, il était circoncis. Anne frotta ses lèvres sur le gland volumineux et luisant, puis elle l'enduisit de salive avec sa langue gourmande. Enfin, elle ouvrit la bouche pour l'engloutir, mais eut beaucoup de mal, vu sa taille.
Enfin, elle réussit a en avaler la moitié, mais ne put aller plus loin.
David la laissa faire un moment, puis il l'entraîna sur le lit et s'allongea sur le dos, Anne se plaça en position tête-bêche et David posa sa bouche sur son sexe qui était bien mouillé, ce n'était plus le goût salé de la mer mais le goût du bon jus de chatte dont David raffolait, il s'en abreuva avec délice.

Il léchait la fente et finissait sur le clitoris gonflé de désir, mais comme sur la plage, il comprit qu'elle n'atteindrait pas l'orgasme.

David pensa qu'il était temps de passer à l'étape suivante et retourna Anne de façon à pouvoir pénétrer son sexe trempé, elle descendit doucement sur la colonne de chair et poussa un petit cri, elle était étroite, David la tenait à la taille et réglait sa lente progression dans le fourreau serré, il ne put en introduire que la moitié, Anne semblait souffrir, ce qui fait tomber l'érection de David qui n'insista pas, il se retira.

Il lui demanda si elle était vierge, elle répondit que non mais elle n'avait pas l'habitude et n'avait jamais eu de plaisir à la pénétration vaginale surtout que son sexe était quand même plus gros que la moyenne..

Comme il semblait qu'elle n'était pas clitoridienne non plus, David était désespéré et très déçu, il roula sur le côté.

"Tu n'as jamais eu de plaisir en faisant l'amour dit il ?" Si, "mais pas par là répondit Anne".

"J'ai un peu de mal à comprendre dit David, si ce n'est pas par là, c'est par où ?".

Je ne trouve du plaisir que dans la pénétration anale depuis toujours répondit Anne..., elle continua.

"J'ai vécu en banlieue jusqu'à l'adolescence, j'avais beaucoup de copains et nous étions souvent dans les caves, nous avions nos petits coins secrets, il y avait plus de garçons que de filles, et ils ne pensaient qu'à ça, comme tous les garçons".

J'ai été dépucelée par un maladroit à 13 ans, jai eu mal et j'ai bien juré de ne jamais recommencer.
Mais les garçons se faisaient de plus en plus pressants.
J'avais peur de tomber enceinte, mon père m'aurait tuée.

Je me limitais à quelques pipes, j'étais devenur une experte dans cette pratique, j'allais souvent jusqu'au bout, les garçons jutaient trop vite, le goût du sperme ne me déplaisait pas.

Une amie m'a alors parlé de la sodomie qu'elle pratiquait régulièrement. Elle m'avait expliqué qu'avec un bon lubrifiant ça ne faisait pas mal et qu'on pouvait même y prendre du plaisir "les pédés ont des orgasmes m'avait elle assuré".
"Il faut y aller progressivement, avec des petites bites pour commencer, après tu en voudras de plus en plus grosses et ça deviendra très bon, si c'est bien préparé".

Je fis mes premiers essais avec mon ami du moment, il n'avait qu'une bite très moyenne, je le savais pour l'avoir sucé souvent, c'était le seul moyen de calmer cet excité.

Il avait acheté du gel lubrifiant dont je m'étais enduit généreusement l'anus, il s'était lui aussi bien lubrifié le sexe et bandait comme un âne, je lui dis de s'allonger sur le dos, je voulais guider la pénétration.
Je présentai son gland à mon anus et descendis doucement.
Le sphincter commença à s'ouvrir, jusqu'au moment où une vive douleur apparut, j'ai hurlé et me suis retirée.

Mon amie m'avait dit qu'il fallait assouplir l'anus avant la pénétration, je demandais à mon ami, ce qu'il fit en introduisant un doigt, puis deux en tournant et en ajoutant du lubrifiant.
Finalement, mon anus se détendit et accepta l'intromission, le travail de mon ami avait déclenché un plaisir inconnu qui me donnait envie d'aller plus loin, je repris ma position et enfin je fus enculée bien à fond sans trop de douleur.

Malheureusement, il a joui bien trop vite et je suis restée sur ma faim.

Je n'avais pas vraiment pris du plaisir avec cette première expérience, mais quelque chose me disait que cela pouvait être très agréable, voire même jouissif. De plus, j'avais l'assurance de ne pas tomber enceinte et j'étais disponible même pendant mes règles.

Avec les garçons que j'ai connus ensuite, la sodomie était de rigueur, si quelques uns tordaient le nez, la plupart étaient ravis.

Au fur et à mesure de mes expériences, mon anus devenait de plus en plus acceuillant et je prenais un plaisir croissant, jusqu'au jour où j'eus mon premier véritable orgasme anal.
C'était avec un ami Marocain doté d'un pénis de belle taille, et surtout il tenait la distance, j'avais eu mal au cul pendant quelques jours après mais il m'avait vraiment réjoui l'anus, et plusieurs fois de suite.

La conclusion était évidente, le plaisir anal dépend de la taille de la bite.

J'ai acheté un gode de belle taille et j'ai commencé à entraîner mon anus régulièrement, apprendre à l'ouvrir mais aussi à serrer une bite pour déclencher mon plaisir et celui qui m'enculait.
Mon anus était devenu docile, je savais le contracter pour faire jouir n'importe quelle bite en moins d'une minute si je le voulais, mais aussi je pouvais l'ouvrir au maximum sans douleur pour accueuillir les plus gros calibres.

Quand j'ai vu ce qui dépassait de ton slip de bain tout à l'heure sur la plage, j'ai ressenti une chaleur dans mon ventre qui ne m'a pas quittée depuis, je me suis dit "une queue pareille, il me la faut absolument", car je l'avais observée un bon moment avant de te réveiller.

David était perplexe, ce qu'elle racontait n'était pas vraiment crédible, elle voulait passer pour une belle cochonne mais n'en avait pas du tout l'apparence... toutefois il lui tardait de voir la suite...

David avait tenté plusieurs fois de sodomiser ses conquêtes, mais cela s'était généralement mal passé.
La première l'avait traité de pervers et même de "pédé refoulé", et lui avait fait la tête une semaine.
La seconde voulait bien mais il n'avait pas réussi à loger son engin malgré l'usage de lubrifiants, elle avait eu mal et il n'avait pas insisté.

Alors cette fois, il se dit qu'il avait peut être trouvé la perle rare, capable d'héberger entièrement son pénis et il en salivait d'avance.

Le sexe de David était devenu long et dur à l'écoute des aventures d' Anne elle s'en aperçut et le couvrit de baisers avant de l'engloutir dans sa bouche aussi profondément que possible.
.
David se laissa sucer un moment puis fit mettre Anne en position de levrette, enfin il lui lécha l'anus longuement, il était tout de même assez serré, mais il s'ouvrit peu à peu avec ses doigts, sa salive aidant tandis qu'Anne gémissait de bonheur.
Enfin elle prit elle-même en main le monstre luisant de salive et présenta le gland à sa rondelle plissée, qui frémissait d'impatience.

Elle s'ouvrit docilement, quand le gland fut passé, Anne poussa un petit cri, croyant qu'elle avait mal, David voulut se retirer, elle hurla NON ! NON !, continue !.
..
Alors David enfonça son membre d'un lent mouvement sans s'arrêter, jusqu'à ce que son ventre vienne en contact avec les fesses rebondies d'Anne, qui tremblait de tous ses membres, elle poussa un petit cri quand il atteint le fond, elle lui demanda de rester un peu pour qu'elle s'habitue.
Elle se sentait remplie comme jamais, elle était écartelée, puis son anus se détendit peu à peu.
David était ravi, il avait réussi à loger son engin.

David se retira lentement jusqu'à ce que le bourrelet du gland bute sur le sphincter, Anne poussa un nouveau cri, mais elle revint d'elle même à la rencontre du membre qui la perforait et poussa un râle qui venait du fond de sa gorge quand le monstre atteingnait le fond de son cul, elle resta quelques secondes sans bouger pour apprécier l'instant, puis David reprit son mouvement.
Le conduit se détendait peu à peu, il naviguait maintenant en douceur ponctué par les râles réguliers d'Anne.

Le fourreau étroit procurait à David des sensations délicieuses, il passa sa main sous le ventre d'Anne et trouva son clitoris qu'il se mit à caresser en cadence, le vagin d'Anne était complètement trempé et dégoulinait sous ses doigts, il porta ses doigts à ses lèvres..

Soudain, Anne se mit à s'agiter sur le barreau de chair en poussant des râles qui venaient du fond de sa gorge, David sentit les contractions de l'anus, comme pour retenir la queue de David quand il se retirait, puis se détendait pour qu'il replonge au plus profond du ventre d'Anne, dont les mains écartaient ses fesses pour qu'elle ne perde pas un centimètre. David sentait son plaisir monter, il sentait qu'il ne pourrait pas se retenir longtemps, le prenant de vitesse, Anne poussa un grand cri rauque puis tomba sur le lit de tout son long.

David avait déculé dans le mouvement, il était content qu'Anne ait eu son orgasme, mais déçu de n'avoir pas eu le sien.

Anne semblait dormir, repue, son anus se refermait lentement.

Un bon moment passa David commençait à s'endormir lui aussi. Anne se mit sur le côté et lui dit qu'il y avait longtemps qu'elle n'avait pas aussi bien joui.
Elle vit le sexe de David maintenant ramolli et elle lui dit qu'elle ne l'avait pas senti son éjaculation.

David répondit qu'il n'avait pas eu le temps.

Alors Anne prit le sexe de David entre se lèvres, après l'avoir essuyé avec un kleenex et lui administra une fellation passionnée, tantôt elle léchait le frein et le gland, elle serrait la base du pénis, ce qui le faisait durcir encore plus et faisait saillir les veines gorgées de sang.
De temps en temps une petite goutte de sperme se formait au méat, elle la cueillait du bout des lèvres et la dégustait , les yeux fermés, puis elle avalait la colonne de chair le plus loin possible.
Elle caressait ses bourses lourdes et rebondies en même temps.

David était aux anges, il n'avait jamais été aussi bien sucé, il ne tarda pas à sentir son plaisir monter, il voulut se retirer, la prévenir, mais Anne avait compris qu'il allait jouir en sentant le gland gonfler dans sa bouche, et elle tint bon, elle dessera ses doigts qui tenaient la base du pénis, puis les soubresauts l'avertirent de l'arrivée de l'éjaculation et elle ferma les yeux pour mieux se concentrer.
Les jets arrivèrent, copieux, dégageant une chaleur diabolique, elle laissa d'abord sa bouche se remplir, mais il y en avait trop, elle avala ensuite au fur et à mesure en aspirant.

Elle têta longtemps cette queue magnifique, creusant les joues pour qu'aucune goutte ne se perde, elle attendit qu'elle se ramollisse pour enfin la libérer.
Elle remonta jusqu'aux lèvres de David pour un long baiser au goût de sperme, David se laissa faire...
Quand il put parler, il lui avoua "t'es quand même une belle cochonne"...