Fin de semaine heureuse

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Fin de semaine heureuse Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Fin de semaine heureuse
Jeune mec d'à peine la trentaine, je vis en couple avec un beau jeune beur qui m'adore. Je suis tombé sur une perle, un beur passif, beau comme un jeune Dieu, amoureux tous les deux nous vivons heureux mais libres chacun de notre côté si on fait une rencontre, on doit juste rentrer au nid le soir et se retrouver et se raconter et cela donne de bonnes baises croyez moi!
Karim est vicieux sûrement autant que je peux l'être mais au lit c'est une tornade, une pieuvre.

Cela ne m'empêche pas d'aller sur des réseaux sociaux. Oh pas pour vraiment draguer mais surtout pour mater photos et vidéos principalement de beurs et c'est pas si facile que ça à trouver. Il y en a mais dans leur pays et je me vois mal faire des milliers de kilomètres pour rencontrer hypothétiquement un mec.

Mais là, j'ai été attiré par une seule photo d'un jeune beur de 20 ans qui n'avait mis comme photo que ses fesses. Une belle paire de fesses potelées qui devaient à coup sûr remplir les mains d'un honnête homme. Je l'ai contacté, il a mis un certain temps pour répondre. On a papoté de nos désirs, lui cherchait une bonne queue pour son "gros cul profond". Je lui montrais la mienne et il a semblé intéressé. Il m'a donné l'adresse de son blog où d'autres photos étaient exposées et là, j'ai pu voir la bête. Un beau rebeu un peu enveloppé lui donnant de belles fesses, un corps magnifique et une queue superbe.

On a échangé pas mal de photos et il voulait me rencontrer, mais quand on a su la distance qui nous séparait cela a ralenti nos ardeurs. Je suis dans le centre de la France et lui se trouvait à Bordeaux.
C'est donc Karim qui profitait de mon excitation.

Mais le Dieu des pédés existe. Je suis expert comptable pour une boite de ma région. Cette boite a des succursales dans notre beau pays et je vais assez souvent dans ces endroits pour différentes vérifications. C'est ainsi qu'il y a peu de temps mon patron m'envoie à Bordeaux pour 3 jours.

Je continuais de papoter avec mon Bordelais, essayant de le faire parler sur ses soirées en semaine et il finit de se confier en me disant qu'il se sort qu'à partir du vendredi et qu'il se donne à fond pour combler le manque de la semaine.

J'allais donc à Bordeaux pour 3 jours, du mercredi au vendredi, sans le dire au bordelais.
Karim m'avait promis d'être sage pendant mon absence mais son petit sourire en coin laissait bien dire le contraire et qu'à mon retour on aurait des choses à se raconter.

J'étais logé dans un petit hôtel en bordure de Bordeaux. J'avais pas mal de boulot que j'emmenais même le soir à l'hôtel, pas question de me divertir, seulement quelques conversations érotiques avec mon amant de cœur et le vendredi est vite arrivé. J'avais enfin trouvé le défaut dans l'entreprise.

En début de soirée je me branchais sur le réseau social où se trouvait mon bordelais. J'avais pas mal de messages de sa part. Il se moquait de moi de ne pas lui répondre alors je lui envoyais juste ces petits mots.
-tu fais quoi ce soir?
Et, j'ai attendu en matant les autres profiles, je n'ai pas eu à attendre longtemps.
-ah quand même! tu daignes me répondre!
-j'avais beaucoup de boulot, très tard le soir.
-oui on dit ça…! mais t'étais en train de baiser oui!
-non même pas ! j'ai pas eu le temps, juste une branlette par jour, je suis en manque de cul, donc je répète ma question : tu fais quoi ce soir ?

La réponse peine à arriver.
-ben je vais sortir draguer sur les quais de la Garonne pourquoi ? tu veux venir ? (suivie de plusieurs émoticônes d'une tête qui rigole.)
-non pas vraiment mais toi tu pourrais venir me voir.
-tu crois pas que je vais faire 4-500 km pour venir.
-pas la peine d'en faire autant… je suis à Pessac!

Il m'avait dit qu'il était de Pessac au fil de nos conversations.
-tu me fais marcher ?
-non mais je voudrais bien que tu coures pour venir me voir.
-mais t'es où à Pessac ?
Je lui donnais le nom de l'hôtel.
Les émoticônes du mec qui rigole se sont affichées en grand nombre.
-à pied sans courir j'en ai pour 5 minutes.
-vrai ?
-oui!
-alors viens!
-j'y crois pas mec! mais qu'est ce que tu fous là ?
-profite bien car je repars demain.
-c'est ouf! je bande et mon cul mouille.
-j'veux voir tout ça.
-je peux venir maintenant ?
-oui mais lave bien "ton gros cul profond" et j'ai ajouté les émoticônes du mec qui rigole.
-t'inquiète! c'est déjà fait… j'arrive!
-chambre 42, 4ème étage.
-on a jamais vu nos têtes mecs!
-justement cela fera l'occasion.
-j'arrive!

Tout s'est coupé. J'avais le cœur qui battait comme si c'était mon premier rendez vous avec un mec. Ma queue était déjà à l'étroit en repensant à toutes les photos de ce beur que j'avais vues.

Même pas un quart d'heure de passer, que ça frappe doucement à la porte de la chambre. J'ouvre et je reste ébahi devant le mec, comme lui l'est en me regardant. On est statufié sur place.
Vous dire que c'est un beau mec ? c'est encore mieux que ça. Des cheveux courts dégageant de belles oreilles fines, des yeux noirs perçants surmontés de sourcils noirs bien coupés, de longs cils entourent les beaux yeux, un nez fin surmontant des lèvres ourlées bien dessinées, il passe sa langue dessus les faisant briller et une petite barbe très très courte encadre les joues de ce beau mec vêtu d'un tee-shirt blanc faisant ressortir son bronzage naturel et moulant un torse et un ventre qui me parait moins gros que celui des photos, et un jean qui le plaque vraiment. La bosse du sexe est apparent et le dessine bien.

Quand les yeux ont fait le tour des corps la parole nous revient.
-entre... j'en reviens pas dis-je en lui prenant la main.
-de quoi ? dit-il de son plus beau sourire.
-mais tu es magnifique mec! et tu me dis que tu peines à trouver des mecs! mais ils sont tous fous à Bordeaux!!
-non non mais c'est que je suis très difficile tu sais.

Il serre ma main dans les siennes en s'approchant encore de moi.
-j'espère que je ne te déçois pas trop ? dis-je en le fixant.
-oh non pas du tout, si tout ce que tu caches sous tes vêtements est bien la même chose que j'ai vu sur tes photos je crois qu'on va passer une bonne soirée.
-c'est bien la même chose dis-je en murmurant et tu sais je crois que c'est déjà bien réveillé.
-t'es un coquin alors ?
-je crois que j'en connais un deuxième ici présent.

Son corps est venu se coller au mien, nos bras entourant nos corps. Sa joue barbue est venue se coller à la mienne, se frottant, me faisant de petits bisous tout en se rapprochant de mes lèvres. Je me laissais faire, ses lèvres sont venues caresser les miennes entrouvertes. Je sentais son souffle chaud, nos yeux ne se quittaient pas, mes mains caressaient son dos quand les lèvres se sont soudées, les yeux se sont fermés et les langues se sont rencontrées dans un soupir de jouissance.

J'ai aimé de suite sa langue, sa chaleur, sa salive, son agilité à venir farfouiller dans ma bouche, sa main qui me tenait la tête pour pouvoir enfoncer sa langue plus profond, nos corps se frottaient, les bites étaient dures.

Ce premier baiser a duré une éternité. Yeux clos, juste les langues et les mains qui œuvraient. J'avais passé une jambe entre les siennes pour lui faire sentir ma queue et sentir la sienne. Je caressais enfin son "gros cul profond" par dessus son jean.
Il a sorti sa langue, m'a serré encore plus fort contre lui.
-putain mec! dis moi que je rêve pas! que t'es bien là!
-j'suis bien là mon beau et on va s'amuser toute la nuit tous les deux! enfin si tu veux.
-si je veux ? mais putain demain tu repars pas! je vais te garder pour moi tout seul, c'est un crime de partager un mec comme toi.
-mais... tu sais rien de moi encore et je sais rien de toi, à part ton cul et ta queue. Mais je trouve que ton corps à changé par rapport aux photos que tu as mis sur ton blog.

Il enlève son tee-shirt, se recule pour que je le regarde.
-t'as vu ça! je me suis mis au sport et j'ai perdu du poids, tous mes petits bourrelets sont partis dit-il en riant.
-oh dommage moi qui pensais m'accrocher à eux dis-je prenant mon air le plus vicieux possible.

Il enlève mon tee-shirt, passe sa main sur mon torse. Sa main est douce, chaude. Il a l'air d'apprécier ma peau, la caresse lentement, ses lèvres s'approchent de mon téton déjà dur.
-tu bandes déjà pour moi ? dit-il avec un grand sourire.
Je lui colle ses lèvres sur mon téton et sa langue lèche, ses lèvres aspirent, il tète lentement, sa main descend sur mon torse et vient se plaquer sur mon entre jambe trouvant ma matraque serrée qu'il caresse du plat de la main.

Il redresse la tête, me regarde.
-ça a bien l'air d'être le morceau que j'ai vu en photo. Est ce que je peux libérer la prisonnière Monsieur ? dit-il en se mettant à genoux devant moi.

Je clignais juste des yeux. Ses mains défont le ceinturon , ouvre le pantalon, descend la fermeture éclair. Mon pantalon tombe à terre, il regarde ma queue bloquée dans le boxer. Il lèche ses lèvres, s'approche lentement et suit la queue avec ses lèvres. Je sens son souffle chaud dessus et sa langue qui lèche humidifiant la queue, lorsqu'il arrive au gland, ses lèvres l'entourent, je sens la mouille couler.

D'un geste brusque il descend le boxer. Ma longue et grosse queue tombe sur sa tête, les couilles sur son menton, sa langue les lèche et remonte sous la hampe pour arriver au gland pas encore décalotté complètement. Sa main s'active, le gland se dénude immédiatement entouré de ses lèvres et sa langue agile entre en jeu. Une main tient mes couilles et la pipe commence. Il n'a et ne fait aucun effort pour tout avaler, je sens ma queue nager dans sa salive au fond de sa gorge. Je caresse ses cheveux et la pipe s'active, il doit sentir que ma queue ne va pas tarder à cracher.

Je le vois défaire son jean, se relever, l'enlever, se retourner, descendre son boxer et se mettre à quatre pattes sur le lit.
-baise moi fort et empli moi de suite… comme ça! à sec!

Il se penche en avant, ses grosses fesses fermes s'ouvrent naturellement. Je lui donne des claques qui le font gémir, mais il tend bien son cul de rebeu affamé. L'anus est entrouvert, je passe mon gland dans sa raie épilée. Mon gland frotte sur son anus, il gémit de plus en plus fort, je claque le haut des fesses, le prend aux hanches et m'enfonce en lui.

Le gland force l'entrée, son gémissement est de plus en plus fort et je force d'un coup faisant entrer le gland avec force. Il crie, il gueule de plus en plus fort! et ma queue continue de s'enfoncer dans un cul qui se donne, c'est chaud, c'est profond et son conduit se referme bien sur ma queue.

Ses mains viennent ouvrir encore plus ses grosses fesses. Je fais coulisser lentement ma queue dans son conduit, il gémit en poussant des petits cris à chaque fois que je m'enfonce en lui et je suis bien dans ce cul. J'accélère le mouvement, les cris montent d'un ton, ça claque sur les grosses fesses, son conduit serre bien ma queue. Je me penche sur lui, me cramponnant à son dos pour le baiser avec force et profondeur.

Il gueule des mots incompréhensibles mais se donne, s'offre à mes coups de reins. Je ne sais pas combien de temps je l'ai baisé cette première fois mais j'étais bien, heureux de l'entendre crier comme ça, mais ce n'était rien quand les giclées sont arrivées. Il s'est mis à hurler des "c'est bon! putain que c'est bon! t'arrêtes pas! continue"!

Je me suis écroulé sur son dos, ma main a cherché son gros zob que je n'avais pas encore vu. Un énorme mandrin collé à son ventre, suintant de mouille. Je l'ai caressé, il gémissait encore, il s'est écroulé sur le lit emprisonnant ma main sur sa queue, et ma queue dans son cul.
Je l'embrassais dans la nuque.
-reste comme ça dit-il je suis bien et je suis sûr que tu peux me baiser encore une fois maintenant.

Je voyais son coin d'œil coquin qui me regardait.

Je serrais comme je pouvais sa queue dans ma main sous son ventre, mes jambes écartaient bien les siennes et ma queue effectivement ne débandait pas, elle avait trouvé un nouveau refuge et se sentait bien.
J'ai fait onduler mon corps sur son dos chaud et doux, ma queue nageait dans le sperme, son conduit la serrait tendrement entretenant la raideur et quand j'ai recommencé à faire de petits va-et-vient dans son cul ses gémissements ont repris. Ces "oui! vas-y" m'encourageaient comme si j'en avais besoin.

Il ne pouvait tendre son cul, obligé de supporter mon poids sur son corps. Mes coups de reins sont devenus plus amples et ma queue s'enfonçait en lui de plus en plus profond. Il en a profité pour relever son gros cul de rebeu, écartant plus encore ses jambes, m'obligeant à me mettre à genoux et le baiser avec encore plus de force pour l'entendre reprendre ses cris de plaisir.

J'essayais de le branler en même temps, sa queue coulait, ça m'excitait de plus en plus et je sentais le plaisir revenir. Je ralentissais, ma queue était comme chez elle et coulissait en souplesse dans ce cul bien ouvert et les giclées sont revenues suivies de ses cris!
Pourvu que les clients des chambres à côté ne gueulent pas non plus!

Je l'inondais une deuxième fois à son plus grand bonheur. Je reprends sa queue, elle est poisseuse, il a juté sur le lit.

Il s'écroule sur le lit, m'entrainant mais ma queue sort de son trou. Je m'allonge près de lui, il vient dans mes bras.
-je savais que t'allais bien me baiser mec! j'adore ta queue, reprend des forces car je vais y goûter maintenant, il n'y a pas que mon cul qui soit affamé, ma bouche aussi.
-moi aussi je veux goûter à ta queue, je veux te boire, je…

Il m'a embrassé pour me faire taire roulant sur moi, sa queue déjà raide se collait à la mienne encore molle.
Je croyais qu'il n'allait pas bouger dans mes bras mais j'ai eu droit à plein de bisous sur le corps, pas un millimètre carré n'y a échappé sur le torse et il souriait, riait lorsqu'il revenait m'embrasser, jetant sa langue au fond de ma bouche alors avec ce traitement ma queue est redevenue raide dans sa main.

En m'embrassant il me branlait doucement, ma main tenait la sienne.
-je vais te sucer tel un vampire mec! t'es prêt ?
-donne moi la tienne en même temps.
Il ne s'est pas fait prier plus longtemps et j'ai enfin vu sa queue, sa grosse queue de rebeu.

J'aime les queues de rebeu, circoncise, bien droite, bien raide, au gros gland , bien dure et là j'étais servi, une queue magnifique qui sentait bon le rebeu, j'aime cette odeur caractéristique du rebeu qui me fait bander. J'aime sucer les rebeu, leur bouffer la bite, le cul et là, j'avais un très beau spécimen pour moi tout seul. Elle ressemblait à celle de mon amant en titre Karim mais en plus grosse.

Alors je me suis occupé comme un chef de ce bon zob et des ses grosses couilles. Je devais lui faire du bien car de temps en temps je l'entendais soupirer fortement en lâchant ma queue. Quand la mouille sortait de trop je ralentissais et j'ai sucé, sucé, sucé, léché cette belle queue, les couilles remplissaient bien ma bouche. J'ai passé ma main en direction du "gros cul profond", il a levé sa jambe pour que deux doigts s'enfoncent en lui et à force de le doigter son gros sgeg s'est mis à durcir encore plus et dans un sursaut, une giclée abondante est venue s'écraser au fond de ma bouche. J'ai vite refermé mes lèvres sur la hampe car les giclées ne cessaient d'arriver et couler dans ma gorge. Il n'en a pas fallu plus pour que j'inonde sa gorge.

Nos queues ont été bien nettoyées et il est revenu dans mes bras, souriant.
Il soupirait tendrement en me regardant, caressant mon corps.
-tu as bien fait de ne pas me prévenir que tu venais je n'aurais pas pu m'empêcher de me branler en pensant à ce que nous pourrions faire, comme ça, c'est comme si j'étais tout neuf.
Et il éclate de rire.
-enfin disons une très bonne occasion! et tu sais je suis heureux!

On a papoté un moment. Les mains sont redevenues baladeuses, les queues se sont redressées, son cul était encore prêt. Je l'ai encore baisé, on s'est endormi et au réveil on a remis ça.
-il me faut un cadeau d'adieu mec!

Dans la nuit, il m'avait bouffé le cul comme jamais. Il a voulu recommencer, je lui ai offert et ensuite il m'a offert le sien pour ma bouche mais surtout pour ma queue. On a joui encore une fois comme des malades.

On a pris une douche ensemble, avec plein de caresses et de bisous.
-j'ai vraiment passé une très bonne nuit avec toi.
-et moi donc! et j'espère qu'on pourra remettre ça un de ses jours, si tu reviens dans ma région dis le moi cette fois!
-oui je te le promets! mais je ne sais pas si je reviendrai un jour.
-on sait jamais! de toute façon comme c'est juste de la baise entre nous, c'est pas grave!

Je ne sais pas si son baiser d'adieu était vraiment un baiser de "juste une baise".

Il fallait que je rentre… J'avais tant de choses à raconter à Karim.

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