Fin de soirée chaude
Récit érotique écrit par MaitreChat2 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Fin de soirée chaude
Fin de soirée chaude
Quand notre repas a été terminé, nous avons débarrassé la table et nous sommes allés dans le salon discuter un moment. Maman m'a proposé un digestif, ce qui est assez rare de sa part. et nous nous sommes installés sur le canapé face à la télé en sourdine. Le programme était inintéressant et nous avons repris notre discussion sur la photo. Maman s'était lovée sous mon bras et je la sentais mal à l'aise…
nous avons reparlé de la séance photo que j’avais fait avec sa collègue. Sa collègue était très excitée de se montrer nue devant mon objectif et ça avait failli déraper...
- Elle n'a pas froid aux yeux ta collègue...
- Non, t'as raison. Je la trouve même très gonflée...
- Hmm je crois qu'elle était très excitée...
- Oui, comme tu dis...
- Comme je te l’ai dit, j'ai fait des rencontres... très intéressantes, mais ça me gêne quand même un peu de t'en parler...
- Tu n'as pas à être gêné. Tu sais que nous sommes amis et que je ne condamnerai pas ton choix... Allons, un peu de courage !
- Ok mais c'est toi qui vas être gênée...
- Et pourquoi, c'est bien une femme ?
- Oui, ... et tu la connais...
- Ah ! Ma collègue Charline je parie...
- Perdu, c'est plus compliqué.
- Houlà là dis donc !... Vide ton sac, on triera. Mais tu me fais un peu peur...
- Ne t'inquiètes pas, il n'y a rien de dramatique. C'est jusque que je crains de te choquer.
Elle m'a pris dans ses bras en riant et elle a dit :
- Tu peux y aller, je m'accroche...
- OK. Elle est à peine plus jeune que toi... ais je répondu.
- Quoi !?
- Ah tu vois tu es choquée...
- Choquée non, mais quand même surprise... C'est qui ?
- Séverine ...
Elle a éclaté de rire et a dit :
- Ah bon ! Je comprends mieux pourquoi elle tient tant à te demander ton aide à l’auberge ... Et tu as fait l'amour avec elle ?
- Ben oui, c'est ce qu'on fait en général...
- En effet... Alors tu es son gigolo maintenant ?
- Et voilà, j'en ai trop dis...
- Mais non, je te taquine... C'est vrai qu'elle est belle femme... Mais quand je pense que tu es en cours avec son fils…
- Oui, belle femme, intelligente, avec une bonne dose d'humour et qui a envie de croquer la vie à belle dents... Mais son fils ne sait rien ;;;
- En attendant elle croque mon Roger chéri et veut me l'enlever...
- Non, elle ne veut pas m'enlever à toi. Elle me dit avoir une véritable passion pour moi, une sorte de coup de foudre.
- Méfie toi, on parle de passion...
- Elle me l'a amplement démontré me semble-t-il...
Elle s'est serrée contre moi puis m'a posé un petit baiser sur la joue en disant :
- C'est mon petit coq ce garçon là...
Je me suis tourné vers elle et j'ai embrassé son front. Elle a levé le visage vers moi et a demandé.
- Et elle est belle Séverine quand elle est nue ?
- Plutôt, c'est une belle femme, elle est comme une jeune fille...
- Mieux que moi ? a t elle demandé avec un air chagriné...
- C'est pas pareil, elle est beaucoup menue… Tu es jalouse ?
- Non, j'ai peur de perdre mon seul ami...
- N'aies pas peur Maman, je t'aimerai toujours... et tu restes une belle femme à mes yeux... et tu as toujours ta place là, au creux de mes bras, tu es prioritaire...
Elle est restée là, pensive et silencieuse. Au bout d'un moment, elle a à nouveau tourné son visage vers moi et m'a demandé :
- Que dirais tu si je t'annonçais que j'ai un amant de ton âge ?
Je lui ai souri en me disant que j'attendais cette question et je lui ai répondu :
- Rien, ou plutôt je dirai d'abord "tant mieux pour toi" puis je m’inquiéterai de la discrétion de cet heureux jeune homme... Comme Brassens l'a chanté, les jeunes gens manquent parfois de discrétion...
- Et ça ne te gênerais pas de m'imaginer en train de faire l'amour avec un garçon de ton âge ?
- Je n'essaie pas de t'imaginer en train de faire l'amour. L'idée de te savoir heureuse me suffit et je pense depuis longtemps que la différence d'âge n'a rien à faire là dedans...
- Ça va te paraître idiot, mais moi j'aimerais être petite souris pour te regarder faire l'amour... J'aimerais savoir si tu t'y prends bien, savoir quelles sont tes connaissances dans le domaine...
- Ah ah !Si je comprends bien, il faudra que je convoque un cameraman la prochaine fois que je coucherai avec une femme... Ou alors tu te cacheras dans l'armoire pour me surveiller...
- Mais non idiot ! Mais en tant que mère je souhaite que l'éducation de mon fils soit complète...
- Il est vrai que c'est un soucis des mères depuis très longtemps... Dans la Rome et l’Égypte antique, les parents faisait eux même l'éducation sexuelle de leurs enfants de l'autre sexe...
- Il paraît en effet, mais sans aller jusque là, il n'y a pas si longtemps dans les provinces du Sud, c'était une bonne amie de la mère qui déniaisait le fils...
- J'ai entendu parler de ça, dommage que cette tradition se soit perdue...
- Ça te laisse rêveur... Tu aurais aimé coucher avec une de mes amies ?
- Je ne sais pas, remarques que c'est un peu ce qui s'est produit, mais ce n'était pas une de tes amies...
- Autrement dit, tu as fait tes débuts avec quelqu'un d'expérimenté...
- Oui, et j'ai trouvé ça tellement formidable que j'ai eu toutes les peines du monde à recommencer. J'avais tellement idéalisée cette femme que toutes les copines de mon âge me semblaient insipides ...
- En tout cas, il semblerait que tu sois resté très discret sur le sujet... Avant aujourd'hui je n'ai jamais pu identifier clairement l'une ou l'autre de tes conquêtes bien qu'il me soit arrivé de détecter des moments où tu étais amoureux...
- J'essaie d’être très discret mais j’espère que tu ne t'es pas fait trop de soucis sur ma sexualité ?...
- Non pas vraiment. Mais j'aime mieux savoir que tu préfères les filles, je trouve ça plus "normal"...
- Alors, tout est pour le mieux dans le meilleur des Mondes... Ceci dit, je pense que nous ferions mieux d'aller nous coucher, sinon le réveil sera difficile demain...
Elle s'est détachée de moi à regret s'est étirée puis m'a tendu la main pour que je me relève en disant :
- Oui, tu as raison, allons dormir.
J'ai pris sa main et elle m'a entraîné vers l'escalier en me prenant par la taille. Arrivés sur le pallier elle m'a suivi dans ma chambre en parlant des photos que nous avions faites pendant que je branchais mon ordinateur pour le recharger. Je me suis déshabillé et elle a pris l'appareil photo que j'avais posé sur ma table de travail en disant :
- Tiens, moi aussi je vais te photographier nu...
- Ça va pas être terrible avec les marques de vêtements...
- C'est pas grave, je te trouve beau, ça compensera...
- Beau ! Faut le dire vite...
- A moi tu me plais ! Je trouve que tu es athlétique sans être excessivement musclé, je comprends que tu plaises aux femmes... Et en plus j'ai envie de te voir nu...
- Ça c'est pas un problème, l'habitude des vestiaires sportifs m'a rendue presque impudique...
Je me suis complètement dénudé puis je lui ai fait face. J'ai pris quelques poses dans le style Monsieur Muscles qui l'ont beaucoup fait rire. Puis j'ai pris d'autres poses, assis sur le bord du lit, dans le fauteuil, debout près de la fenêtre, ... Elle shootait et semblait vraiment s'amuser.
Elle m'a photographié devant la grande glace et je lui ai suggéré d'inclure sa propre image dans le cliché. Elle l'a fait puis m'a fait attendre quelques secondes, a fait passer son boubou par dessus sa tête et a refait l'image en se prenant nue en train de me photographier. Nous avons regardé le résultat sur l'écran de l'appareil et j'ai refait la même photo mais cette fois à la place du photographe. Elle s'est placée face au miroir puis m'a fait me placer derrière elle pour prendre la photo. M'attrapant par les hanches derrière elle, elle m'a fait me coller à son dos en disant :
- Approche toi tout contre moi mets toi bien derrière...
Je sentais sa peau brûlante sur mon ventre et m'efforçais de penser à autre chose qu'à son corps de femme. Elle a pris ma main gauche et l'a posée sur son intimité en disant :
- Fais une photo comme tout à l'heure avec Fabienne... Pose ta main sur mon pubis...
Lorsque j'ai senti sa toison sous mes doigts je n'ai pas pu me retenir et mon sexe s'est dressé impérieusement entre nous portant ma gêne à son comble. Surprise elle a passé sa main derrière elle, puis sentant ma verge tendue dans sa main elle s'est retournée rouge de confusion en s'excusant :
- Oh ! excuses moi...
Elle regardait fascinée mon sexe dressé devant elle. Comme je me détournais elle m'a retenu et m'a dit d'une petite voix :
- Non, ne te caches pas, c'est tellement beau pour une femme...
Dans le miroir, je me voyais rouge coquelicot. J'avais honte de me trouver le sexe fermement dressé à moins d'un mètre de ma mère complètement nue. J'essayais de me calmer, me disant que ce n'était pas une femme comme les autres, mais je n'y parvenais pas. De son côté elle ne quittait pas ma verge tendue des yeux et son imagination devait travailler à toute vitesse car sa respiration était devenue plus forte. Elle paraissait totalement fascinée par mon érection. Toute sa concentration semblait focalisée sur ma virilité dressée et tout ce qu'on pouvait en faire... son visage exprimait une envie incoercible et une détermination farouche. Plus je la regardais hypnotisée par ma bandaison, plus je sentais l'envie de baiser me monter dans le ventre.
D'une voix éraillée, j'ai tenté de mettre fin à cette situation scabreuse et j'ai dit :
- Bon... il faut aller dormir maintenant...
Elle ne m'a pas répondu et a continué à me regarder en arrondissant la bouche et en passant sa langue sur sa lèvre supérieure... J'ai posé ma main sur son épaule pour la secouer doucement en espérant la faire sortir de cette torpeur mais elle s'est plaquée contre moi écrasant son ventre contre mon sexe dressé.
J'étais complètement perdu. J'avais envie de prendre cette femme offerte sous les fesses pour l'empaler sur ma virilité, mais le tabou était trop fort. Je ne pouvais pas.
Je l'ai repoussée plus fermement l'obligeant à détacher ses bras qu'elle avait passés autour de ma taille puis je l'ai gentiment reconduite vers la porte en disant :
- Va ! il faut aller te coucher maintenant...
Je l'ai poussée par les épaules jusqu'à sa chambre et j'avais l'impression qu'elle était hypnotisée. Lorsqu'elle est arrivée près de son lit, elle s'est retournée et a s'est à nouveau plaquée contre mon ventre en me serrant fort contre elle. Mon sexe s'est redressé furieusement et je sentais ses mamelons durcis contre ma poitrine. Elle a tourné son visage vers moi et me tendant ses lèvres elle à dit d'une petite voix lointaine :
- Bonne nuit mon grand...
J'ai embrassé ses joues et elle m'a pris par les fesses et s'est frottée lentement contre ma verge tendue. Je l'ai repoussée et j'ai reculé jusqu'à la porte en lui faisant un petit signe d'au revoir. Assise sur le bord de son lit elle m'a souri avec des larmes dans les yeux puis elle s'est allongée, a tiré le drap sur elle et a éteint la lumière. J'ai regagné ma chambre avec mon membre battant mon ventre et les couilles douloureuses.
Je me suis couché mais je n'ai pas pu m'endormir. Cette femme m'avait mis le feu au ventre et j'ai pensé que c'était sans doute un coup d'enfer, mais c'est ma mère...
Quand notre repas a été terminé, nous avons débarrassé la table et nous sommes allés dans le salon discuter un moment. Maman m'a proposé un digestif, ce qui est assez rare de sa part. et nous nous sommes installés sur le canapé face à la télé en sourdine. Le programme était inintéressant et nous avons repris notre discussion sur la photo. Maman s'était lovée sous mon bras et je la sentais mal à l'aise…
nous avons reparlé de la séance photo que j’avais fait avec sa collègue. Sa collègue était très excitée de se montrer nue devant mon objectif et ça avait failli déraper...
- Elle n'a pas froid aux yeux ta collègue...
- Non, t'as raison. Je la trouve même très gonflée...
- Hmm je crois qu'elle était très excitée...
- Oui, comme tu dis...
- Comme je te l’ai dit, j'ai fait des rencontres... très intéressantes, mais ça me gêne quand même un peu de t'en parler...
- Tu n'as pas à être gêné. Tu sais que nous sommes amis et que je ne condamnerai pas ton choix... Allons, un peu de courage !
- Ok mais c'est toi qui vas être gênée...
- Et pourquoi, c'est bien une femme ?
- Oui, ... et tu la connais...
- Ah ! Ma collègue Charline je parie...
- Perdu, c'est plus compliqué.
- Houlà là dis donc !... Vide ton sac, on triera. Mais tu me fais un peu peur...
- Ne t'inquiètes pas, il n'y a rien de dramatique. C'est jusque que je crains de te choquer.
Elle m'a pris dans ses bras en riant et elle a dit :
- Tu peux y aller, je m'accroche...
- OK. Elle est à peine plus jeune que toi... ais je répondu.
- Quoi !?
- Ah tu vois tu es choquée...
- Choquée non, mais quand même surprise... C'est qui ?
- Séverine ...
Elle a éclaté de rire et a dit :
- Ah bon ! Je comprends mieux pourquoi elle tient tant à te demander ton aide à l’auberge ... Et tu as fait l'amour avec elle ?
- Ben oui, c'est ce qu'on fait en général...
- En effet... Alors tu es son gigolo maintenant ?
- Et voilà, j'en ai trop dis...
- Mais non, je te taquine... C'est vrai qu'elle est belle femme... Mais quand je pense que tu es en cours avec son fils…
- Oui, belle femme, intelligente, avec une bonne dose d'humour et qui a envie de croquer la vie à belle dents... Mais son fils ne sait rien ;;;
- En attendant elle croque mon Roger chéri et veut me l'enlever...
- Non, elle ne veut pas m'enlever à toi. Elle me dit avoir une véritable passion pour moi, une sorte de coup de foudre.
- Méfie toi, on parle de passion...
- Elle me l'a amplement démontré me semble-t-il...
Elle s'est serrée contre moi puis m'a posé un petit baiser sur la joue en disant :
- C'est mon petit coq ce garçon là...
Je me suis tourné vers elle et j'ai embrassé son front. Elle a levé le visage vers moi et a demandé.
- Et elle est belle Séverine quand elle est nue ?
- Plutôt, c'est une belle femme, elle est comme une jeune fille...
- Mieux que moi ? a t elle demandé avec un air chagriné...
- C'est pas pareil, elle est beaucoup menue… Tu es jalouse ?
- Non, j'ai peur de perdre mon seul ami...
- N'aies pas peur Maman, je t'aimerai toujours... et tu restes une belle femme à mes yeux... et tu as toujours ta place là, au creux de mes bras, tu es prioritaire...
Elle est restée là, pensive et silencieuse. Au bout d'un moment, elle a à nouveau tourné son visage vers moi et m'a demandé :
- Que dirais tu si je t'annonçais que j'ai un amant de ton âge ?
Je lui ai souri en me disant que j'attendais cette question et je lui ai répondu :
- Rien, ou plutôt je dirai d'abord "tant mieux pour toi" puis je m’inquiéterai de la discrétion de cet heureux jeune homme... Comme Brassens l'a chanté, les jeunes gens manquent parfois de discrétion...
- Et ça ne te gênerais pas de m'imaginer en train de faire l'amour avec un garçon de ton âge ?
- Je n'essaie pas de t'imaginer en train de faire l'amour. L'idée de te savoir heureuse me suffit et je pense depuis longtemps que la différence d'âge n'a rien à faire là dedans...
- Ça va te paraître idiot, mais moi j'aimerais être petite souris pour te regarder faire l'amour... J'aimerais savoir si tu t'y prends bien, savoir quelles sont tes connaissances dans le domaine...
- Ah ah !Si je comprends bien, il faudra que je convoque un cameraman la prochaine fois que je coucherai avec une femme... Ou alors tu te cacheras dans l'armoire pour me surveiller...
- Mais non idiot ! Mais en tant que mère je souhaite que l'éducation de mon fils soit complète...
- Il est vrai que c'est un soucis des mères depuis très longtemps... Dans la Rome et l’Égypte antique, les parents faisait eux même l'éducation sexuelle de leurs enfants de l'autre sexe...
- Il paraît en effet, mais sans aller jusque là, il n'y a pas si longtemps dans les provinces du Sud, c'était une bonne amie de la mère qui déniaisait le fils...
- J'ai entendu parler de ça, dommage que cette tradition se soit perdue...
- Ça te laisse rêveur... Tu aurais aimé coucher avec une de mes amies ?
- Je ne sais pas, remarques que c'est un peu ce qui s'est produit, mais ce n'était pas une de tes amies...
- Autrement dit, tu as fait tes débuts avec quelqu'un d'expérimenté...
- Oui, et j'ai trouvé ça tellement formidable que j'ai eu toutes les peines du monde à recommencer. J'avais tellement idéalisée cette femme que toutes les copines de mon âge me semblaient insipides ...
- En tout cas, il semblerait que tu sois resté très discret sur le sujet... Avant aujourd'hui je n'ai jamais pu identifier clairement l'une ou l'autre de tes conquêtes bien qu'il me soit arrivé de détecter des moments où tu étais amoureux...
- J'essaie d’être très discret mais j’espère que tu ne t'es pas fait trop de soucis sur ma sexualité ?...
- Non pas vraiment. Mais j'aime mieux savoir que tu préfères les filles, je trouve ça plus "normal"...
- Alors, tout est pour le mieux dans le meilleur des Mondes... Ceci dit, je pense que nous ferions mieux d'aller nous coucher, sinon le réveil sera difficile demain...
Elle s'est détachée de moi à regret s'est étirée puis m'a tendu la main pour que je me relève en disant :
- Oui, tu as raison, allons dormir.
J'ai pris sa main et elle m'a entraîné vers l'escalier en me prenant par la taille. Arrivés sur le pallier elle m'a suivi dans ma chambre en parlant des photos que nous avions faites pendant que je branchais mon ordinateur pour le recharger. Je me suis déshabillé et elle a pris l'appareil photo que j'avais posé sur ma table de travail en disant :
- Tiens, moi aussi je vais te photographier nu...
- Ça va pas être terrible avec les marques de vêtements...
- C'est pas grave, je te trouve beau, ça compensera...
- Beau ! Faut le dire vite...
- A moi tu me plais ! Je trouve que tu es athlétique sans être excessivement musclé, je comprends que tu plaises aux femmes... Et en plus j'ai envie de te voir nu...
- Ça c'est pas un problème, l'habitude des vestiaires sportifs m'a rendue presque impudique...
Je me suis complètement dénudé puis je lui ai fait face. J'ai pris quelques poses dans le style Monsieur Muscles qui l'ont beaucoup fait rire. Puis j'ai pris d'autres poses, assis sur le bord du lit, dans le fauteuil, debout près de la fenêtre, ... Elle shootait et semblait vraiment s'amuser.
Elle m'a photographié devant la grande glace et je lui ai suggéré d'inclure sa propre image dans le cliché. Elle l'a fait puis m'a fait attendre quelques secondes, a fait passer son boubou par dessus sa tête et a refait l'image en se prenant nue en train de me photographier. Nous avons regardé le résultat sur l'écran de l'appareil et j'ai refait la même photo mais cette fois à la place du photographe. Elle s'est placée face au miroir puis m'a fait me placer derrière elle pour prendre la photo. M'attrapant par les hanches derrière elle, elle m'a fait me coller à son dos en disant :
- Approche toi tout contre moi mets toi bien derrière...
Je sentais sa peau brûlante sur mon ventre et m'efforçais de penser à autre chose qu'à son corps de femme. Elle a pris ma main gauche et l'a posée sur son intimité en disant :
- Fais une photo comme tout à l'heure avec Fabienne... Pose ta main sur mon pubis...
Lorsque j'ai senti sa toison sous mes doigts je n'ai pas pu me retenir et mon sexe s'est dressé impérieusement entre nous portant ma gêne à son comble. Surprise elle a passé sa main derrière elle, puis sentant ma verge tendue dans sa main elle s'est retournée rouge de confusion en s'excusant :
- Oh ! excuses moi...
Elle regardait fascinée mon sexe dressé devant elle. Comme je me détournais elle m'a retenu et m'a dit d'une petite voix :
- Non, ne te caches pas, c'est tellement beau pour une femme...
Dans le miroir, je me voyais rouge coquelicot. J'avais honte de me trouver le sexe fermement dressé à moins d'un mètre de ma mère complètement nue. J'essayais de me calmer, me disant que ce n'était pas une femme comme les autres, mais je n'y parvenais pas. De son côté elle ne quittait pas ma verge tendue des yeux et son imagination devait travailler à toute vitesse car sa respiration était devenue plus forte. Elle paraissait totalement fascinée par mon érection. Toute sa concentration semblait focalisée sur ma virilité dressée et tout ce qu'on pouvait en faire... son visage exprimait une envie incoercible et une détermination farouche. Plus je la regardais hypnotisée par ma bandaison, plus je sentais l'envie de baiser me monter dans le ventre.
D'une voix éraillée, j'ai tenté de mettre fin à cette situation scabreuse et j'ai dit :
- Bon... il faut aller dormir maintenant...
Elle ne m'a pas répondu et a continué à me regarder en arrondissant la bouche et en passant sa langue sur sa lèvre supérieure... J'ai posé ma main sur son épaule pour la secouer doucement en espérant la faire sortir de cette torpeur mais elle s'est plaquée contre moi écrasant son ventre contre mon sexe dressé.
J'étais complètement perdu. J'avais envie de prendre cette femme offerte sous les fesses pour l'empaler sur ma virilité, mais le tabou était trop fort. Je ne pouvais pas.
Je l'ai repoussée plus fermement l'obligeant à détacher ses bras qu'elle avait passés autour de ma taille puis je l'ai gentiment reconduite vers la porte en disant :
- Va ! il faut aller te coucher maintenant...
Je l'ai poussée par les épaules jusqu'à sa chambre et j'avais l'impression qu'elle était hypnotisée. Lorsqu'elle est arrivée près de son lit, elle s'est retournée et a s'est à nouveau plaquée contre mon ventre en me serrant fort contre elle. Mon sexe s'est redressé furieusement et je sentais ses mamelons durcis contre ma poitrine. Elle a tourné son visage vers moi et me tendant ses lèvres elle à dit d'une petite voix lointaine :
- Bonne nuit mon grand...
J'ai embrassé ses joues et elle m'a pris par les fesses et s'est frottée lentement contre ma verge tendue. Je l'ai repoussée et j'ai reculé jusqu'à la porte en lui faisant un petit signe d'au revoir. Assise sur le bord de son lit elle m'a souri avec des larmes dans les yeux puis elle s'est allongée, a tiré le drap sur elle et a éteint la lumière. J'ai regagné ma chambre avec mon membre battant mon ventre et les couilles douloureuses.
Je me suis couché mais je n'ai pas pu m'endormir. Cette femme m'avait mis le feu au ventre et j'ai pensé que c'était sans doute un coup d'enfer, mais c'est ma mère...
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