FIN DE SOIRÉE EN BOÎTE DE NUIT
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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FIN DE SOIRÉE EN BOÎTE DE NUIT
FIN DE SOIRÉE EN BOÎTE DE NUIT.
Me voilà de retour en boîte de nuit. Je souris au videur qui me regarde surpris que je rapplique seul. S'il savait... À quelque mètres de là, se trouve une jeunette de dix-huit ans en train de se faire gangbanguer par tous ses trous.
Je fais un brin de toilette dans l'espace réservé aux hommes. Aucun mec n'est dans les cabines. J'en profite pour me regarder dans le miroir. Je ne suis pas très fier de moi, j'ai laissé ma dernière conquête en pâture dans un local à poubelles, aux mains d'une trentaine de fauves en rut. Je n'ose imaginer ce qu'elle prend à l'heure actuelle... Quoi qu'elle assurait un max, sous ses airs de sainte ni-touche.
J'en suis là de mes pérégrinations mentales, lorsque la porte s'ouvre et que déboule une fille petite et boulotte. Je la remets aussitôt. Elle fait partie du groupe de jeunes et doit chercher sa copine, celle qui s'envoie en l'air au fond du parking.
- Ah, je te cherchais. (tiens, on se tutoie, maintenant?!)
- Je te signale que tu es dans les toilettes réservées aux hommes. (elle ignore ma remarque et enchaîne.)
- T'aurais pas vu ma cousine, une grande brune en mini-jupe? (bingo, j'ai gagné!)
- Qu'est-ce qui te fait penser que je sais où elle est?
- Tu lui as tapé dans l'œil, alors je me disais... (je fais le type faussement flatté.)
- C'est gentil mais j'étais avec une blonde, à l'étage, tu sais l'endroit où toi et ton copain vous... (elle me regarde, soudain gênée)
- On la cherchait, en fait. (hou, la menteuse...)
- Ben, désolé, je sais pas où elle est. (allez zou, un mensonge chacun.)
Elle fait mine de partir, puis se retourne, soudain.
- Sa sœur aimerait bien te voir. (Ha, ha! Voilà qui devient intéressant.)
- Elle sait où me trouver.
Sur ce, elle disparaît définitivement. Il ne me faut guère attendre plus de trois minutes pour voir apparaître la dite sœur. Je manque tomber de ma chaise (même si je suis debout). C'est la copie conforme de sa frangine. Coupe de cheveux identique, mêmes yeux bleus turquoises et similitude troublante dans sa démarche chaloupée. Seuls les habits diffèrent. Elle porte un vieux t-shirt et un jeans délavé qui lui moule un cul d'enfer. Ma queue se remet au garde-à-vous. (faut dire que je viens de m'envoyer une deuxième pilule bleue.)
- Je voudrais votre numéro de téléphone portable. (direct, la gonzesse mais bon, avec elle au moins, le vouvoiement est de rigueur.)
- Pour quoi faire?
- Pour vous envoyer un message.
- De quelle nature?
- Vous verrez bien. (mystérieuse, la donzelle! Comme je les aime.)
Je m'approche du lavabo pour me laver les mains. La jeune fille s'écarte un peu. J'en profite pour respirer son parfum. Des papillons dansent dans mon bas-ventre. Putain, cette jeunette m'excite à mort mais bon, faut que je me calme. Je me suis déjà tapé la sœur, je vais pas jouer au jeu des sept familles...
- Alors? (elle vient de sortir son I-Phone et attend comme une conne.)
Alors,... rien!!! (ses yeux me dévisagent avec surprise. Ben ouais, ma belle, faut s'habituer à se prendre des vans, même à ton âge.) Par contre...
Je m'approche d'elle et lui caresse une joue. Elle rougit mais ne se dérobe pas. Je profite de mon avantage pour lui sortir le grand jeu.
- … J'ai très envie de te faire un câlin dans les toilettes. (elle regarde le lieu, peu rassurée.)
- Je serais doux, tu verras, ma petite.... C'est comment ton prénom?
- Viola. (putain, mais c'est un vrai appel à la culbute, ça!!!)
- Humm, j'aime beaucoup ton prénom. (tu parles!)
J'en profite pour lui sucer le lobe de l'oreille droite. Mes lèvres glissent ensuite le long de son cou, remontent jusqu'au menton pour finir sur sa bouche. Elle s'ouvre d'elle même et ma langue part à la conquête de ma prochaine poubelle à sperme. (oui, je suis aussi poète à mes heures perdues!)
Une minute plus tard, nous voilà dans une cabine. Elle baisse son pantalon tandis que j'ôte le mien. Nous sommes à l'étroit mais c'est suffisant pour la tringler dans toutes les positions.
Elle fait glisser sa culotte puis s'accroupit pour me sucer. Elle sait y faire, la garce. En sentant le bout de sa langue sur la fente de mon gland, je lui saisis les cheveux et l'oblige à me regarder bien en face.
- Petite salope! (elle ouvre la bouche pour protester pendant que ses grands yeux verts émeraudes m'implorent de la laisser retourner au turbin.)
Je relâche mon étreinte.
- Vas-y, fais toi plaisir. (et je lui renfourne direct mon gros sucre d'orge dans sa bouche de suceuse. Elle au moins, aime les sucettes à l'anis.)
Ma belle vicieuse a écarté ses cuisses et se caresse la chatte tout en me tétant le dard. Alors, je me penche et lui relève son t-shirt. Ses seins sont nus, dessous. Tout petits et pointus. Je les palpe tandis que Viola prend mon manche à pleine bouche.
Je suis au paradis des pipés dans cette boîte de nuit, à quatre heures du mat, dans un chiotte à me faire reluire le jonc par une lolita d'à peine vingt ans. Ensuite, en bonne chienne qu'elle est devenue, elle se relève et me tourne le dos. J'écarte ses belles fesses rondes et glisse ma queue dans sa moule toute trempée. Ma belle gémit quand je ressors, avant de replonger à l'intérieur.
Je lui impose de prendre mon bazooka à pleine main. C'est elle qui se le cale bien profond avant de coulisser dessus comme une professionnelle. Bordel, si jeune et déjà accros. Ça promet pour le futur! Elle va s'en prendre des kilomètres de queues et le pire, c'est qu'elle en redemandera.
- Salope!
Elle ne dit rien mais soupire d'aise. Mon membre de vingt centimètres la remplit entièrement et en niqueur aguerri, je sait la faire grimper aux rideaux. Je cramponne ses fesses en matant les va-et-vient de ma queue en elle. Je la tringle comme une reine et putain, qu'est-ce qu'elle est bonne!
Après une courte pause, je rabats le couvercle des WC et l'assois dessus. Elle est juste à la bonne hauteur de mon double décimètres bien droit et c'est avec entrain qu'elle retourne au taf. Je lui tiens la tête puis lâche le fauve. Elle commence un pompage en mode aspirateur frénétique, y va à fond, en bave de plaisir et finit par s'étouffer dessus. Je force sa gorge le plus profond possible. Je recule un peu et lui laisse reprendre son souffle trois secondes avant de recommencer.
J'alterne les gorges profondes et les sucettes de surface. Mais c'est pas ce qu'elle veut, sa bouche réclame du hard alors, en bon prince, je lui en donne pour son argent (sachant qu'au final, je la payerai en liquide). Je décide alors de lui bloquer la nuque pour qu'elle ne puisse plus reculer. J'entre mon pieu lentement mais profondément dans le gosier de ma soumise. Je peux entendre sa respiration s'accélérer mais je ne la lâche pas tant que je n'ai pas ma queue au plus profond de son œsophage. La voilà en apnée. Sa pomme d'Adam est déformée par la marque de mon gros gland et je lui branle le cou, un peu comme quand on gave les oies. Même si elle n'est plus tout a fait blanche, elle encaisse sans problème. Mais rester vingt secondes sans respirer, n'est pas sans conséquences. La belle finit par s'étouffer, elle a des hauts-les-cœurs. Sa gorge la brûle et ses mains battent dans le vide. C'est là qu'il faut savoir arrêter, même si j'aurais bien aimé décharger dans ce gosier de putain.
Elle reprend ses esprits et me fait signe qu'elle va y retourner, comme une grande. Elle manque pas de cran, ma donzelle. Aussi volontaire que sa sœur. Je la laisse manœuvrer à sa guise. C'est bon aussi de laisser l'initiative à sa partenaire, surtout que maintenant, elle est chauffée à blanc.
Elle me suce à son rythme, pas aussi fort que quand je la machinais mais assez poussé pour me faire gémir. Sa bouche frotte mes poils pubiens et sans aucun ordre de ma part, elle sort sa langue sous ma bite et me lèche les burnes. Bordel, quelle génération spontanée!!! Nuls à l'école mais doués pour les travaux pratiques.
Quand sa gorge est à nouveau opérationnelle, je décide de reprendre les choses en main. On entend des flocs à chaque poussée et c'est un régal de soumettre cette lolita dans ce lieu aussi sordide. À chaque fois que je sors de sa bouche, un filet de bave coule du menton jusqu'à ses seins fièrement dressés. Et pour plus de perversité, je lui en badigeonne le pourtour des yeux, faisant couler son rimmel. Putain, elle est superbe comme ça, une vraie traînée qui revient de Boulogne au petit matin.
Lassé de faire des mouvements, je prends la tête de la fille et la bouge de sorte à l'utiliser comme un sex-toy. J'y prends un plaisir vicieux: parfois lentement, je commence au bout du gland pour l'enfoncer jusqu'à la glotte ou bien brutalement, et la tête de ma suceuse est ballottée dans tous les sens.
Inutile de dire qu'une telle cadence met à rude épreuve les plus endurants. Il m'en faut peu pour décharger, mais je veux faire durer le plaisir. Je laisse reposer ma bite sur le visage de ma lopsa. Elle me lape les couilles et va jusqu'à ma raie culière. Bordel, elle est insatiable. J'écarte les cuisses et quelle n'est pas ma surprise de la voir passer entre pour s'attaquer à mon petit trou. Il est rare qu'une femme accepte de manger le cul d'un homme mais elle, elle le goûte et le suce mieux qu'une pornstar.
Ayant eut ma dose de plaisir pervers, je la repositionne face à mon pieu et me branle comme un forcené. Elle est toujours à genoux, la bouche ouverte avec la langue qui pend. J'éjacule deux ou trois jets de sperme sur la face de... Comment elle s'appelle, déjà?... Violaaaaa!!! puis je remets mon engin dans sa petite gueule de pute pour déverser le reste. Elle manque d'air et avale comme elle peut mais je m'en fiche et continue de jouir en elle.
Sans même un regard à son encontre, je remballe mon service trois pièces tant bien que mal et l'abandonne à son triste sort. En poussant la porte, je vois un jeune mec qui me regarde bizarrement à travers le miroir. Il se lave les mains mais pas que. Pour sûr, il a dû assister à nos ébats. Je le salue et disparais sans demander mon reste.
Je m'apprête à rejoindre le rez de chaussée lorsque j'entends des éclats de voix dans la salle que je viens de quitter. Puis, une paire de claques bien sonores. Peut après, le type ressort, fou furieux et manque me renverser en montant les marches quatre à quatre.
La boîte s'est largement vidée et plus personne ne se déhanche sur la piste de danse. Je consulte ma montre. Cinq heures du mat, j'ai des frissons... Il est grand temps de rentrer. Trois meufs dont deux sœurs, tableau de chasse respecté. Week-end validé.
FIN
Me voilà de retour en boîte de nuit. Je souris au videur qui me regarde surpris que je rapplique seul. S'il savait... À quelque mètres de là, se trouve une jeunette de dix-huit ans en train de se faire gangbanguer par tous ses trous.
Je fais un brin de toilette dans l'espace réservé aux hommes. Aucun mec n'est dans les cabines. J'en profite pour me regarder dans le miroir. Je ne suis pas très fier de moi, j'ai laissé ma dernière conquête en pâture dans un local à poubelles, aux mains d'une trentaine de fauves en rut. Je n'ose imaginer ce qu'elle prend à l'heure actuelle... Quoi qu'elle assurait un max, sous ses airs de sainte ni-touche.
J'en suis là de mes pérégrinations mentales, lorsque la porte s'ouvre et que déboule une fille petite et boulotte. Je la remets aussitôt. Elle fait partie du groupe de jeunes et doit chercher sa copine, celle qui s'envoie en l'air au fond du parking.
- Ah, je te cherchais. (tiens, on se tutoie, maintenant?!)
- Je te signale que tu es dans les toilettes réservées aux hommes. (elle ignore ma remarque et enchaîne.)
- T'aurais pas vu ma cousine, une grande brune en mini-jupe? (bingo, j'ai gagné!)
- Qu'est-ce qui te fait penser que je sais où elle est?
- Tu lui as tapé dans l'œil, alors je me disais... (je fais le type faussement flatté.)
- C'est gentil mais j'étais avec une blonde, à l'étage, tu sais l'endroit où toi et ton copain vous... (elle me regarde, soudain gênée)
- On la cherchait, en fait. (hou, la menteuse...)
- Ben, désolé, je sais pas où elle est. (allez zou, un mensonge chacun.)
Elle fait mine de partir, puis se retourne, soudain.
- Sa sœur aimerait bien te voir. (Ha, ha! Voilà qui devient intéressant.)
- Elle sait où me trouver.
Sur ce, elle disparaît définitivement. Il ne me faut guère attendre plus de trois minutes pour voir apparaître la dite sœur. Je manque tomber de ma chaise (même si je suis debout). C'est la copie conforme de sa frangine. Coupe de cheveux identique, mêmes yeux bleus turquoises et similitude troublante dans sa démarche chaloupée. Seuls les habits diffèrent. Elle porte un vieux t-shirt et un jeans délavé qui lui moule un cul d'enfer. Ma queue se remet au garde-à-vous. (faut dire que je viens de m'envoyer une deuxième pilule bleue.)
- Je voudrais votre numéro de téléphone portable. (direct, la gonzesse mais bon, avec elle au moins, le vouvoiement est de rigueur.)
- Pour quoi faire?
- Pour vous envoyer un message.
- De quelle nature?
- Vous verrez bien. (mystérieuse, la donzelle! Comme je les aime.)
Je m'approche du lavabo pour me laver les mains. La jeune fille s'écarte un peu. J'en profite pour respirer son parfum. Des papillons dansent dans mon bas-ventre. Putain, cette jeunette m'excite à mort mais bon, faut que je me calme. Je me suis déjà tapé la sœur, je vais pas jouer au jeu des sept familles...
- Alors? (elle vient de sortir son I-Phone et attend comme une conne.)
Alors,... rien!!! (ses yeux me dévisagent avec surprise. Ben ouais, ma belle, faut s'habituer à se prendre des vans, même à ton âge.) Par contre...
Je m'approche d'elle et lui caresse une joue. Elle rougit mais ne se dérobe pas. Je profite de mon avantage pour lui sortir le grand jeu.
- … J'ai très envie de te faire un câlin dans les toilettes. (elle regarde le lieu, peu rassurée.)
- Je serais doux, tu verras, ma petite.... C'est comment ton prénom?
- Viola. (putain, mais c'est un vrai appel à la culbute, ça!!!)
- Humm, j'aime beaucoup ton prénom. (tu parles!)
J'en profite pour lui sucer le lobe de l'oreille droite. Mes lèvres glissent ensuite le long de son cou, remontent jusqu'au menton pour finir sur sa bouche. Elle s'ouvre d'elle même et ma langue part à la conquête de ma prochaine poubelle à sperme. (oui, je suis aussi poète à mes heures perdues!)
Une minute plus tard, nous voilà dans une cabine. Elle baisse son pantalon tandis que j'ôte le mien. Nous sommes à l'étroit mais c'est suffisant pour la tringler dans toutes les positions.
Elle fait glisser sa culotte puis s'accroupit pour me sucer. Elle sait y faire, la garce. En sentant le bout de sa langue sur la fente de mon gland, je lui saisis les cheveux et l'oblige à me regarder bien en face.
- Petite salope! (elle ouvre la bouche pour protester pendant que ses grands yeux verts émeraudes m'implorent de la laisser retourner au turbin.)
Je relâche mon étreinte.
- Vas-y, fais toi plaisir. (et je lui renfourne direct mon gros sucre d'orge dans sa bouche de suceuse. Elle au moins, aime les sucettes à l'anis.)
Ma belle vicieuse a écarté ses cuisses et se caresse la chatte tout en me tétant le dard. Alors, je me penche et lui relève son t-shirt. Ses seins sont nus, dessous. Tout petits et pointus. Je les palpe tandis que Viola prend mon manche à pleine bouche.
Je suis au paradis des pipés dans cette boîte de nuit, à quatre heures du mat, dans un chiotte à me faire reluire le jonc par une lolita d'à peine vingt ans. Ensuite, en bonne chienne qu'elle est devenue, elle se relève et me tourne le dos. J'écarte ses belles fesses rondes et glisse ma queue dans sa moule toute trempée. Ma belle gémit quand je ressors, avant de replonger à l'intérieur.
Je lui impose de prendre mon bazooka à pleine main. C'est elle qui se le cale bien profond avant de coulisser dessus comme une professionnelle. Bordel, si jeune et déjà accros. Ça promet pour le futur! Elle va s'en prendre des kilomètres de queues et le pire, c'est qu'elle en redemandera.
- Salope!
Elle ne dit rien mais soupire d'aise. Mon membre de vingt centimètres la remplit entièrement et en niqueur aguerri, je sait la faire grimper aux rideaux. Je cramponne ses fesses en matant les va-et-vient de ma queue en elle. Je la tringle comme une reine et putain, qu'est-ce qu'elle est bonne!
Après une courte pause, je rabats le couvercle des WC et l'assois dessus. Elle est juste à la bonne hauteur de mon double décimètres bien droit et c'est avec entrain qu'elle retourne au taf. Je lui tiens la tête puis lâche le fauve. Elle commence un pompage en mode aspirateur frénétique, y va à fond, en bave de plaisir et finit par s'étouffer dessus. Je force sa gorge le plus profond possible. Je recule un peu et lui laisse reprendre son souffle trois secondes avant de recommencer.
J'alterne les gorges profondes et les sucettes de surface. Mais c'est pas ce qu'elle veut, sa bouche réclame du hard alors, en bon prince, je lui en donne pour son argent (sachant qu'au final, je la payerai en liquide). Je décide alors de lui bloquer la nuque pour qu'elle ne puisse plus reculer. J'entre mon pieu lentement mais profondément dans le gosier de ma soumise. Je peux entendre sa respiration s'accélérer mais je ne la lâche pas tant que je n'ai pas ma queue au plus profond de son œsophage. La voilà en apnée. Sa pomme d'Adam est déformée par la marque de mon gros gland et je lui branle le cou, un peu comme quand on gave les oies. Même si elle n'est plus tout a fait blanche, elle encaisse sans problème. Mais rester vingt secondes sans respirer, n'est pas sans conséquences. La belle finit par s'étouffer, elle a des hauts-les-cœurs. Sa gorge la brûle et ses mains battent dans le vide. C'est là qu'il faut savoir arrêter, même si j'aurais bien aimé décharger dans ce gosier de putain.
Elle reprend ses esprits et me fait signe qu'elle va y retourner, comme une grande. Elle manque pas de cran, ma donzelle. Aussi volontaire que sa sœur. Je la laisse manœuvrer à sa guise. C'est bon aussi de laisser l'initiative à sa partenaire, surtout que maintenant, elle est chauffée à blanc.
Elle me suce à son rythme, pas aussi fort que quand je la machinais mais assez poussé pour me faire gémir. Sa bouche frotte mes poils pubiens et sans aucun ordre de ma part, elle sort sa langue sous ma bite et me lèche les burnes. Bordel, quelle génération spontanée!!! Nuls à l'école mais doués pour les travaux pratiques.
Quand sa gorge est à nouveau opérationnelle, je décide de reprendre les choses en main. On entend des flocs à chaque poussée et c'est un régal de soumettre cette lolita dans ce lieu aussi sordide. À chaque fois que je sors de sa bouche, un filet de bave coule du menton jusqu'à ses seins fièrement dressés. Et pour plus de perversité, je lui en badigeonne le pourtour des yeux, faisant couler son rimmel. Putain, elle est superbe comme ça, une vraie traînée qui revient de Boulogne au petit matin.
Lassé de faire des mouvements, je prends la tête de la fille et la bouge de sorte à l'utiliser comme un sex-toy. J'y prends un plaisir vicieux: parfois lentement, je commence au bout du gland pour l'enfoncer jusqu'à la glotte ou bien brutalement, et la tête de ma suceuse est ballottée dans tous les sens.
Inutile de dire qu'une telle cadence met à rude épreuve les plus endurants. Il m'en faut peu pour décharger, mais je veux faire durer le plaisir. Je laisse reposer ma bite sur le visage de ma lopsa. Elle me lape les couilles et va jusqu'à ma raie culière. Bordel, elle est insatiable. J'écarte les cuisses et quelle n'est pas ma surprise de la voir passer entre pour s'attaquer à mon petit trou. Il est rare qu'une femme accepte de manger le cul d'un homme mais elle, elle le goûte et le suce mieux qu'une pornstar.
Ayant eut ma dose de plaisir pervers, je la repositionne face à mon pieu et me branle comme un forcené. Elle est toujours à genoux, la bouche ouverte avec la langue qui pend. J'éjacule deux ou trois jets de sperme sur la face de... Comment elle s'appelle, déjà?... Violaaaaa!!! puis je remets mon engin dans sa petite gueule de pute pour déverser le reste. Elle manque d'air et avale comme elle peut mais je m'en fiche et continue de jouir en elle.
Sans même un regard à son encontre, je remballe mon service trois pièces tant bien que mal et l'abandonne à son triste sort. En poussant la porte, je vois un jeune mec qui me regarde bizarrement à travers le miroir. Il se lave les mains mais pas que. Pour sûr, il a dû assister à nos ébats. Je le salue et disparais sans demander mon reste.
Je m'apprête à rejoindre le rez de chaussée lorsque j'entends des éclats de voix dans la salle que je viens de quitter. Puis, une paire de claques bien sonores. Peut après, le type ressort, fou furieux et manque me renverser en montant les marches quatre à quatre.
La boîte s'est largement vidée et plus personne ne se déhanche sur la piste de danse. Je consulte ma montre. Cinq heures du mat, j'ai des frissons... Il est grand temps de rentrer. Trois meufs dont deux sœurs, tableau de chasse respecté. Week-end validé.
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Récit sans aucun intérêt juste un fantasme de mec !