Finalement je l'ai eu !
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Finalement je l'ai eu !
- Coucou Léa !
- Coucou Amélia
- Je ne te vois plus depuis ton mariage ? ça va avec ton époux ?
- Oui ça va …
- OK ne m’en dis pas plus, raconte-moi ce qui cloche …
- Alain est nul au lit
- Ça tu le savais avant ton mariage, nous en avions discuté
- Oui je sais, en fait en l’épousant je voulais me rapprocher de Franck, son père, il a une sacrée réputation d’amant phénoménal…
- Son père ? tu veux te faire ton beau-père ?
- En venant acheter des fringues chez lui, je le connaissais bien avant son fils, il me draguait ouvertement en ce temps-là lorsqu’il matait sous ma minijupe ou mon décolleté généreux
- Et ?
- Eh bien depuis que je suis devenue sa belle-fille et que je travaille avec lui il me respecte comme la madone, j’aurais mieux fait de le coincer avant mais j’étais trop jeune
- C’est vrai qu’il est canon, moi je me le ferais bien… pourquoi me regarde tu ainsi ? ne me dis pas que ?
- Tu vas le draguer pour moi, quitte à coucher avec lui je m’en moque, mais je veux qu’il sache à quel point je le kiffe
- Je fais comment pour l’approcher ?
- Tous les soirs il va prendre son apéro au bar du coin, alors …
- Alors je lui montre mes cuisses, voir plus, il me paie un verre et …
- C’est exactement ça ! et il t’emmène au magasin fermé à cette heure-ci pour te sauter près de la caisse enregistreuse
- Pourquoi précisément à cet endroit ?
- Parce que c’est là que j’aimerais qu’il me baise !
- Je te promets de tout faire pour qu’il exauce tes vœux
- Merci ma grande, tu me tiens au courant ?
- Dès qu’il m’aura remplie la chatte ! je te dirais aussi comment est sa verge
- Ne l’use quand même pas trop !
Deux jours interminables sans nouvelles d’Amélia, de bonne heure, au matin du troisième mon portable vibre enfin
- C’est Amélia, excuse ma voix pâteuse je me réveille à l’ instant
- Alors ? ALORS ???
- Holà doucement tu me crève les tympans ! j’arrive le temps de prendre une douche, j’en ai sacrément besoin, qu’est-ce qu’il m’a mis le salaud j’ai encore mal à la choune !
- Magne-toi bordel !
Il l’a baisée … il l’a baisée !!!! Youpi … mais ça ne veut pas dire qu’il va me faire la même chose … il en a une grosse … à entendre le son de sa voix elle a dut jouir toute la nuit … mais qu’est-ce qu’elle fout ???…aah la voilà !
- Entre vite Amélia
- Vite une chaise, non ! un fauteuil confortable j’ai du mal à m’assoir
- Il t’a …
- Sodomisée ? oouuuuuuuuiiiiiiiii aussi !
- Combien de fois ?
- Une fois dans la bouche, trois fois par devant et une fois par derrière, ça suinte encore de partout
- Près de la caisse ?
- Bien sûr, je peux te dire que ce n’est pas la meilleure place pour se faire baiser
- Et moi ? et moi, c’est pour quand ?
- Il ne veut pas …
- Noooonnnn ?? j’en rage ! alors je vais divorcer !
- Calme-toi, tout n’est pas perdu, il veut d’abord te parler
- Si c’est pour me faire la morale, bonjour !
- Demain un conseil, va bosser sans culotte
- Ah ? au fait comment l’as-tu abordé ?
- Au bar comme prévu, perchée sur un tabouret, sans culotte, lorsqu’il s’en est aperçu il est devenu de suite rouge pivoine et m’a offert un verre, puis deux, puis sa queue tendue dans son pantalon, mais pour ça nous avons étés au magasin, au fait, la caisse enregistreuse est cassée !
Le lendemain je me suis rendue au boulot angoissée de connaitre sa réaction, j’ai fait comme me l’a dit Amélia … sans culotte que je tiens en boule dans ma main
- Bonjour Léa, tu as l’air soucieuse ? pas de problèmes de couple j’espère ?
- Non, ça va le train-train affreusement habituel
- Je sais, mon fils est introverti, pourquoi l’avoir épousé, ce n‘est pas pour son argent, alors ?
- Alors ? c’est pour être prés de vous Franck
- Ah oui, je me souviens que tu étais amoureuse de moi à une époque mais tu n’avais pas la majorité sexuelle et maintenant tu es mariée à mon fils, tu me vois faire cocu mon propre enfant ?
- Alors je vais divorcer !
- Ne fait pas ça ! il en souffrirait trop, prend un amant je fermerais les yeux
- C’est vous que je veux ! Amélia vous l’a dit non ?
- AAAAAH ! cette Amélia, quel tempérament !
- Qu’est-il arrivé à la caisse enregistreuse
- Je l’ai faite malencontreusement tomber, j’en ai commandé une plus moderne
- le meuble est taché ?
- C’est de l’eau, pourquoi t’assois-tu sur ce coin de bureau ?
- Pour imiter ma copine
- Tu viens de faire tomber quelque chose Léa... un string ? ça veut dire que ?
- Que je n’ai rien dessous regardez
- Resserre les cuisses mon enfant
- Vous ne voulez pas de moi ? soit, dès à présent j’entrerais avec les hommes dans les cabines d’essayage afin de les conseiller sur les pantalons, à savoir s’ils portent à droite ou à gauche, je vais faire la pute
- Tu ne feras pas ça ?
- Je vais me gêner tien, en voici justement … bonjour monsieur puis-je vous aider ?
- Ça dépend …
- Je vais vous accompagner dans la cabine afin de voir s’il y a des retouches éventuelles à effectuer sur ce magnifique pantalon
- Ah c’est une bonne idée charmante mademoiselle, suivez-moi …
- LÉA ! viens par ici j’ai besoin de toi
- Ah ? que voulez-vous Franck ? … mais vous bandez ?
- Idiote, je n’en puis plus de te voir tourner autour de moi en trimbalant tes nichons et tes fesses sous mon nez, je me masturbe deux fois par jours afin de calmer mes ardeurs
- Montrez-moi donc votre bite …
- Désolé monsieur, mademoiselle ne peux vous accompagner en cabine, essayez ce pantalon et s’il vous va emportez le, c’est un cadeau de la maison
- Oh merci !
- Ma parole, vous êtes jaloux ?
- Toi, tu viens dans cette cabine … relève ta robe...
- Passez plutôt donc votre main dessous, sentez comme je mouille pour vous
- Salope, tu me fais commettre le pêcher de chair, pardon mon fils mais ta femme est trop belle …tu es trempée …
- Enfoncez vos doigts plus profonds
- C’est ma queue que je vais t’enfoncer jusqu’aux amygdales
- Oooohhh vous me faites du bien Franck, je vais jouir debout
- Dès que ce connard est parti je ferme le magasin et je te défonce la chatte
- En attendant sortez votre verge je vais vous sucer, mmmmuuuuuuuuummmmm !!!! ta queue va m’étouffer ! mmmmmmmuuuuuuuuummmmmmmm !
- Sur le bureau, je vais t’embrocher sur le bureau, avale tout ta copine t’en a laissé
Son jus m’es ressorti par les narines, je vais conserver quelques temps le parfum acre de son sperme, tandis qu’il va baisser le rideau je repousse ce qui pourrait gêner nos ébats, penchée sur le bureau ma robe est relevée sur mes reins, j’écarte automatiquement les pieds, une main large comme un battoir fouille entre mes fesses, un bruissement de vêtements qu’on enlève a la hâte et des doigts reviennent apprécier le passage de mon connin en chaleur, puis, une fois ma mouille bien étalée sur l’entrée un membre raide vient de suite se placer sur ma vulve gonflée de désir, je prends appuis comme je peux sur ce meuble ciré où ma poitrine s’aplatit
- Respire un grand coup, l’air va te manquer
- Enfonce-toi … force moi la chatte… rrrrrhhhhhhaaaaaaaaaaaooooouuuuuuuuuiiiiiiii !!!!!
- Ton conduit n’a jamais été labouré par une queue digne de ce nom, tu vas me délabrer le gland salope
Malgré ma lubrification intense mes chairs crissent sous la poussée impitoyable du membre de mon beau père, malgré ça je tends volontiers mon cul à mon bourreau, il se passe un temps interminable avant que son ventre ne vienne buter sur mon cul, ses couilles velues chatouillent finalement mon clitoris
- Va-y Franck, ramone moi le vestibule, fait moi gueuler et jouir comme une pute
- Tient toi bien au meuble petite vicieuse, ça va secouer
Ma chatte est écartelée sans merci, mes chairs sont labourées, mon amant tape et tape encore et encore dans mon ventre comme un sauvage, sans doute espère-t-il me guérir de mon audace, une fois mon vagin adapté à cette matraque je jouis sans discontinuer, c’est le nirvana, mes sécrétions abondantes coulent le long de mes jambes, soudain il se bloque sur mon cul son membre est agité de puissants à-coups, le premier jet frappe le fond de mon vagin étiré à rompre, mon ventre gonfle avant que sa purée généreuse ne trouve une issue entre mes lèvres déformées, des paquets de foutre s’écrasent sur le vieux parquet ciré, je reprends lentement mes esprits
- Putain que c’était bon ! ça va cocotte ? pas trop secouée ? à l’ avenir tu réfléchiras à deux fois avant d’en redemander non ?
- Je suis prête pour la sodomie beau-papa …..
- Coucou Amélia
- Je ne te vois plus depuis ton mariage ? ça va avec ton époux ?
- Oui ça va …
- OK ne m’en dis pas plus, raconte-moi ce qui cloche …
- Alain est nul au lit
- Ça tu le savais avant ton mariage, nous en avions discuté
- Oui je sais, en fait en l’épousant je voulais me rapprocher de Franck, son père, il a une sacrée réputation d’amant phénoménal…
- Son père ? tu veux te faire ton beau-père ?
- En venant acheter des fringues chez lui, je le connaissais bien avant son fils, il me draguait ouvertement en ce temps-là lorsqu’il matait sous ma minijupe ou mon décolleté généreux
- Et ?
- Eh bien depuis que je suis devenue sa belle-fille et que je travaille avec lui il me respecte comme la madone, j’aurais mieux fait de le coincer avant mais j’étais trop jeune
- C’est vrai qu’il est canon, moi je me le ferais bien… pourquoi me regarde tu ainsi ? ne me dis pas que ?
- Tu vas le draguer pour moi, quitte à coucher avec lui je m’en moque, mais je veux qu’il sache à quel point je le kiffe
- Je fais comment pour l’approcher ?
- Tous les soirs il va prendre son apéro au bar du coin, alors …
- Alors je lui montre mes cuisses, voir plus, il me paie un verre et …
- C’est exactement ça ! et il t’emmène au magasin fermé à cette heure-ci pour te sauter près de la caisse enregistreuse
- Pourquoi précisément à cet endroit ?
- Parce que c’est là que j’aimerais qu’il me baise !
- Je te promets de tout faire pour qu’il exauce tes vœux
- Merci ma grande, tu me tiens au courant ?
- Dès qu’il m’aura remplie la chatte ! je te dirais aussi comment est sa verge
- Ne l’use quand même pas trop !
Deux jours interminables sans nouvelles d’Amélia, de bonne heure, au matin du troisième mon portable vibre enfin
- C’est Amélia, excuse ma voix pâteuse je me réveille à l’ instant
- Alors ? ALORS ???
- Holà doucement tu me crève les tympans ! j’arrive le temps de prendre une douche, j’en ai sacrément besoin, qu’est-ce qu’il m’a mis le salaud j’ai encore mal à la choune !
- Magne-toi bordel !
Il l’a baisée … il l’a baisée !!!! Youpi … mais ça ne veut pas dire qu’il va me faire la même chose … il en a une grosse … à entendre le son de sa voix elle a dut jouir toute la nuit … mais qu’est-ce qu’elle fout ???…aah la voilà !
- Entre vite Amélia
- Vite une chaise, non ! un fauteuil confortable j’ai du mal à m’assoir
- Il t’a …
- Sodomisée ? oouuuuuuuuiiiiiiiii aussi !
- Combien de fois ?
- Une fois dans la bouche, trois fois par devant et une fois par derrière, ça suinte encore de partout
- Près de la caisse ?
- Bien sûr, je peux te dire que ce n’est pas la meilleure place pour se faire baiser
- Et moi ? et moi, c’est pour quand ?
- Il ne veut pas …
- Noooonnnn ?? j’en rage ! alors je vais divorcer !
- Calme-toi, tout n’est pas perdu, il veut d’abord te parler
- Si c’est pour me faire la morale, bonjour !
- Demain un conseil, va bosser sans culotte
- Ah ? au fait comment l’as-tu abordé ?
- Au bar comme prévu, perchée sur un tabouret, sans culotte, lorsqu’il s’en est aperçu il est devenu de suite rouge pivoine et m’a offert un verre, puis deux, puis sa queue tendue dans son pantalon, mais pour ça nous avons étés au magasin, au fait, la caisse enregistreuse est cassée !
Le lendemain je me suis rendue au boulot angoissée de connaitre sa réaction, j’ai fait comme me l’a dit Amélia … sans culotte que je tiens en boule dans ma main
- Bonjour Léa, tu as l’air soucieuse ? pas de problèmes de couple j’espère ?
- Non, ça va le train-train affreusement habituel
- Je sais, mon fils est introverti, pourquoi l’avoir épousé, ce n‘est pas pour son argent, alors ?
- Alors ? c’est pour être prés de vous Franck
- Ah oui, je me souviens que tu étais amoureuse de moi à une époque mais tu n’avais pas la majorité sexuelle et maintenant tu es mariée à mon fils, tu me vois faire cocu mon propre enfant ?
- Alors je vais divorcer !
- Ne fait pas ça ! il en souffrirait trop, prend un amant je fermerais les yeux
- C’est vous que je veux ! Amélia vous l’a dit non ?
- AAAAAH ! cette Amélia, quel tempérament !
- Qu’est-il arrivé à la caisse enregistreuse
- Je l’ai faite malencontreusement tomber, j’en ai commandé une plus moderne
- le meuble est taché ?
- C’est de l’eau, pourquoi t’assois-tu sur ce coin de bureau ?
- Pour imiter ma copine
- Tu viens de faire tomber quelque chose Léa... un string ? ça veut dire que ?
- Que je n’ai rien dessous regardez
- Resserre les cuisses mon enfant
- Vous ne voulez pas de moi ? soit, dès à présent j’entrerais avec les hommes dans les cabines d’essayage afin de les conseiller sur les pantalons, à savoir s’ils portent à droite ou à gauche, je vais faire la pute
- Tu ne feras pas ça ?
- Je vais me gêner tien, en voici justement … bonjour monsieur puis-je vous aider ?
- Ça dépend …
- Je vais vous accompagner dans la cabine afin de voir s’il y a des retouches éventuelles à effectuer sur ce magnifique pantalon
- Ah c’est une bonne idée charmante mademoiselle, suivez-moi …
- LÉA ! viens par ici j’ai besoin de toi
- Ah ? que voulez-vous Franck ? … mais vous bandez ?
- Idiote, je n’en puis plus de te voir tourner autour de moi en trimbalant tes nichons et tes fesses sous mon nez, je me masturbe deux fois par jours afin de calmer mes ardeurs
- Montrez-moi donc votre bite …
- Désolé monsieur, mademoiselle ne peux vous accompagner en cabine, essayez ce pantalon et s’il vous va emportez le, c’est un cadeau de la maison
- Oh merci !
- Ma parole, vous êtes jaloux ?
- Toi, tu viens dans cette cabine … relève ta robe...
- Passez plutôt donc votre main dessous, sentez comme je mouille pour vous
- Salope, tu me fais commettre le pêcher de chair, pardon mon fils mais ta femme est trop belle …tu es trempée …
- Enfoncez vos doigts plus profonds
- C’est ma queue que je vais t’enfoncer jusqu’aux amygdales
- Oooohhh vous me faites du bien Franck, je vais jouir debout
- Dès que ce connard est parti je ferme le magasin et je te défonce la chatte
- En attendant sortez votre verge je vais vous sucer, mmmmuuuuuuuuummmmm !!!! ta queue va m’étouffer ! mmmmmmmuuuuuuuuummmmmmmm !
- Sur le bureau, je vais t’embrocher sur le bureau, avale tout ta copine t’en a laissé
Son jus m’es ressorti par les narines, je vais conserver quelques temps le parfum acre de son sperme, tandis qu’il va baisser le rideau je repousse ce qui pourrait gêner nos ébats, penchée sur le bureau ma robe est relevée sur mes reins, j’écarte automatiquement les pieds, une main large comme un battoir fouille entre mes fesses, un bruissement de vêtements qu’on enlève a la hâte et des doigts reviennent apprécier le passage de mon connin en chaleur, puis, une fois ma mouille bien étalée sur l’entrée un membre raide vient de suite se placer sur ma vulve gonflée de désir, je prends appuis comme je peux sur ce meuble ciré où ma poitrine s’aplatit
- Respire un grand coup, l’air va te manquer
- Enfonce-toi … force moi la chatte… rrrrrhhhhhhaaaaaaaaaaaooooouuuuuuuuuiiiiiiii !!!!!
- Ton conduit n’a jamais été labouré par une queue digne de ce nom, tu vas me délabrer le gland salope
Malgré ma lubrification intense mes chairs crissent sous la poussée impitoyable du membre de mon beau père, malgré ça je tends volontiers mon cul à mon bourreau, il se passe un temps interminable avant que son ventre ne vienne buter sur mon cul, ses couilles velues chatouillent finalement mon clitoris
- Va-y Franck, ramone moi le vestibule, fait moi gueuler et jouir comme une pute
- Tient toi bien au meuble petite vicieuse, ça va secouer
Ma chatte est écartelée sans merci, mes chairs sont labourées, mon amant tape et tape encore et encore dans mon ventre comme un sauvage, sans doute espère-t-il me guérir de mon audace, une fois mon vagin adapté à cette matraque je jouis sans discontinuer, c’est le nirvana, mes sécrétions abondantes coulent le long de mes jambes, soudain il se bloque sur mon cul son membre est agité de puissants à-coups, le premier jet frappe le fond de mon vagin étiré à rompre, mon ventre gonfle avant que sa purée généreuse ne trouve une issue entre mes lèvres déformées, des paquets de foutre s’écrasent sur le vieux parquet ciré, je reprends lentement mes esprits
- Putain que c’était bon ! ça va cocotte ? pas trop secouée ? à l’ avenir tu réfléchiras à deux fois avant d’en redemander non ?
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