Finies les pauses déjeuner... - histoire érotique

- Bastien ? je crois que j’ai fait une bêtise pendant ma pause déjeuner a l'étude- Explique-toi, c’est grave ?
- Ça dépend … - Tu m’as trompé ? après seulement trois mois de mariage ?
- NON IDIOT ! je ne t’ai pas trompé mon amour, au contraire c’est parce que je pensais trop fort à toi - Ça me fait ça aussi tous les jours ! je t’aime Vanessa, mais ça ne m’explique pas ta déclaration…- Avec cette chaleur, après déjeuner, pendant ma pause, je vais garer ma voiture sous les grands arbres du parc de l’étude, là où c’est tranquille, les vitres grandes ouvertes je somnole en pensant à toi mon chéri- Moi je fais pire que somnoler dans mes pensées envers toi !
- C’est ce que j’ai fait … j’étais merveilleusement bien, j’avais déboutonné trois boutons à mon décolleté pour pouvoir toucher mon téton gauche- C’est celui que tu pince à ‘certains bons ‘ moments non ?
- Effectivement je me caressais en même temps ! ma robe était très relevée, j’avais écarté ma petite culotte - Mmmmmmmuuuuuuuuummmmmmmm ! arrête tu me fais bander ! donc tu avais les doigts dans ta chatte ?
- Oui, c’était boooooonnnnnnnn !... sauf que je me suis endormie dans cette position …- Et alors ? je ne vois pas le problème ?
- Hé bien lorsque je me suis réveillée, toujours dans la même position, j’ai trouvé ce mot déposé sur ma cuisse gauche- ‘ merci pour cette merveilleuse apparition j’aimerais tellement revivre cet instant ‘ - Ce n’était pas signé ?
- Non mais je me doute qui l’a écrit, Mathéo, le fils du notaire, c’est son écriture- Ce gringalet ? il est à peine sevré !
- Tu es dur avec lui, c’est un garçon fragile mais adorable, il se plie an quatre pour me rendre service à l’étude- Pardi il est amoureux de toi !
- Je sais … - Il te l’a dit ?
- Ses regards parlent pour lui - Et tu ne fais rien pour l’en dissuader ?
- Non... j’ai peur de le décevoir- Donc ça t’excite ?
- Je ne veux pas te mentir, c’est vrai, c’est tellement touchant - Est-ce bien à moi que tu penses lorsque tu te masturbe dans ta voiture ?
- A vous deux… mais c’est toi que j’aime Bastien c’est avec toi que je fais l’amour - En parlant de faire l’amour vient donc par ici - Mais alors tu ne m’en veux pas ? ça t’excite ? tu es tout dur !
- Demain tu recommence- Quoi ? tu veux que je lui montre à nouveau mon entre cuisse ?
- Il va certainement te pister, tu vas te caresser en fermant les yeux et après faire semblant de sombrer dans une torpeur implacable, j’ai bien dit ‘faire semblant’ tu seras attentive à ses moindres faits et gestes - Tant pis si ça dérape ?
Que veut donc mon mari ? il sait pertinemment que je plais au gamin et que je n’y suis pas insensible, advienne que pourra le lendemain je fais comme la veille sauf que cette fois pour plus de commodité j’ai carrément ôté ma culotte posée en évidence sur le tableau de bord, sein à moitié sorti, cuisses ouvertes, mes doigts virevoltent sur mon téton et mon bouton enduit de cyprine, j’ai beau essayer de diriger mes pensées sur Bastien mais c’est l’image de Mathéo qui s’interpose, je l’imagine posté à ma portière la verge a la main et pas n’importe quelle verge … le double de celle de mon époux…L’orgasme me submerge et pas de Mathéo à l’horizon, mes yeux deviennent lourds, je cède à la délicieuse torpeur, la main coupable encore entre mes cuisses, au réveil rien n’a changé, pas de mot doux déposé sur ma cuisses, je suis presque déçue, mais quelle surprise lorsque j’attrape ma petite culotte … celle-ci est très visqueuse, poisseuse, son odeur ne laisse aucun doute, c’est du sperme ! mon choix est surprenant, au lieu de la mettre dans la boite a gant je décide de l’enfiler, l’effet est délicieux, j’adore cette sève épaisse qui colle à ma fine toison épousant parfaitement mes lèvres encore entrouvertes par le plaisir, si j’avais le temps je me ferais jouir une seconde fois, mais mon devoir de clerc de notaire m’appelle à l’étude , il me tarde de voir le comportement de Mathéo … hélas c’est son père qui m’attend impatiemment , il a la tête des mauvais jours , ça ne présage rien de bon - Vanessa ? suis-moi dans mon bureau s’il te plait - Oui maitre - J’ai horreur que tu m’appelles maitre, pour toi je suis Marc, vient près de moi j’ai quelque chose à te montrer - Ah ??
Je suis plus préoccupée par l’odeur que dégage mon entre jambe que de me retrouver à son coté et savoir ce qu’il me veut- Ça fait quelques années que tu es à mon service Vanessa, c’est moi qui t’ai formée en tant que clerc de notaire, tu es compétente mais aujourd’hui tu me déçois, je devrais te licencier- Qu’ai-je donc fais de mal monsieur Marc ?
- Tu vois ce smartphone ? c’est celui de Mathéo …- Ah …. ? peut-être ? je ne vois pas en quoi ça me concerne ?
- Tu tiens vraiment à ce que je passe une certaine vidéo ?
- Une vidéo ?
- Qui te concerne directement, tu ne me crois pas ? hé bien regarde … - Ooooooooohhhhhhh !!!!
- Comme tu dis ! on ne voit pas ton visage mais c’est bien la petite robe à fleurs que tu portes aujourd’hui ? bouchonnée soit, mais c’est bien elle ?
- Je ne comprends pas …- Moi je comprends que tu te touches ardemment les seins et le sexe ?
- QUEL PETIT CON !!
- Oui hé bien le petit con, j’ai été obligé de l’interner dans une clinique spécialisée, Mathéo s’est enfermé dans les toilettes et n’arrêtait pas de se masturber en hurlant ton prénom, il n’éjaculait plus que du sang- Mon dieu, pauvre garçon …- Mais ? c’est toi qui sent bizarre ?
- Moi ? beeeennnn, en vérité Mathéo s’est masturbé dans ma petite culotte lorsque je somnolais, je ne sais pas pourquoi je l’ai remise sur moi, excusez-moi je suis folle, pauvre Mathéo !!
- Allons, allons, ne te met pas dans un tel état, mon fils est très fragile pour ne pas dire autiste, ça devait arriver depuis le temps que les hormones le travaillent, aujourd’hui il a craqué… beaucoup d’hommes normalement constitués feraient de même face à une telle créature …- Marc ? que faites-vous ?
- Je vérifie du bout des doigts si ce que tu dis est vrai …effectivement, ta culotte est saturée de foutre, tu prends la pilule ?
- Non, pourquoi ?
- Parce que petite idiote tu risques de te retrouver enceinte !
- Marc !
- Je te la retire, c’est pour ton bien Le notaire ne l’a baissée qu’à moitié, suffisamment pour pouvoir insérer deux doigts dans ma vulve en feu, prétextant qu’il voulait vérifier que de sperme ne s’était pas propagé dans mon vagin, et moi comme une idiote je reste sans réaction devant la savante masturbation infligée, pour toute réponse j’écarte les cuisses en me cramponnant au lourd fauteuil de cuir noir- Ça fait un moment que j’ai envie de faire ça, quand j’ai vus tes nichons et ton cul sur la vidéo je me suis juré de vérifier que ce que j’imagine depuis ton arrivée dans l’étude est vrai, des seins menus et fermes, une chatte agréable au toucher et à la pénétration… car oui Vanessa, je vais te baiser comme aurait aimé le faire mon cher petit Mathéo- Marc ? … oui baise moi ! j’avais envie que ton fils le fasse, mon mari était d’accord Je me suis retrouvée assise et retroussée sur le coin du bureau notarial, la tête rasée du notaire entre mes cuisses dont la langue lippue s’infiltre profondément en moi, couchée sur une pile d’actes en cours je jouis sans honte, avant que je ne sois remise l’homme me transporte nue sur le divan cossu où des gens attendent ordinairement le résultat des lègues ou donations, en l’occurrence c’est moi qui vais hériter de cette grosse queue qui se dandine devant ma bouche- Suce catin !
- Avec plaisir maitre …mmmmmuuuuuummmmmmmmmmooooooooouuuuuuuuiiiiiiii hhhhhhuuuuuuuuummmmmm !!
- Salope, dorénavant prend la pilule, tu viendras travailler sans rien sous tes vêtements, je te veux accessible à chaque instant de la journée, et dès que Mathéo sera remis tu nous serviras de vide couilles, t’arrête pas je vais décharger …rrrrrrrhhhhhhhhooooooooooouuuuuuuuuuiiiiiiiii !!!!!
- Vous me gardez donc à votre service ? alors la place de votre fils n’est pas dans une clinique sordide allez le chercher je vais m’occuper de son rétablissement - En attendant je vais te trousser sur ce canapé, écarte et relève bien les cuisses je vais te fendre l’abricot avec cette grosse trique Si le fils est aussi bien monté que son père, je vais me régaler en tant ‘qu’infirmière du sexe’, la queue du notaire m’a longuement et puissamment labourée le con, j’ai volontairement omis de révéler cet agissement a Bastien mais je lui ai promis que la journée du lendemain allait être chaude avec le retour de Mathéo qui était parti en déplacement …Le lendemain je n’ai rien changé à mes nouvelles habitudes, sauf que je me suis mise entièrement nue, allongée et offerte, dans une position sans équivoques, sur les sièges arrières et portes ouvertes de ma voiture, cette fois les mains sous la tête j’attends en toute lucidité l’approche de mon jeune voyeur, peut être aurons-nous un autre voyeur ? son père ? j’aperçois bientôt une ombre … - Mathéo ?
- Oui Vanessa ?
- Approche - Vous êtes toute nue aujourd’hui ?
- Oui et tu devrais aussi te déshabiller - Pourquoi faire ?
- Aujourd’hui pas de caresses furtives, pas de vidéo volée, pas de masturbations inutiles, je te veux entre mes jambes- Vous avez de beaux nichons, vous êtes si belle à regarder Vanessa … - Belle est chaude, regarde entre mes cuisses, ce bijou poilu est pour ta bouche ou ta verge - J’ai pas envie de lécher...
- Je t’apprendrais les préliminaires un autre jour, baise moi, c’est très facile, avance entre mes jambes je vais guider ton sexe jusqu'à l’entrée de ma chatte- Je suis si excité …- Si tu décharge ne te retire pas, continue les mouvements, une fois introduit pelote mes seins, tète-les, embrasse-moi sur la bouche avec la langue, soit mon amant - Je ne suis pas trop lourd ?
- Tu vas tout naturellement faire ce qu’il faut pour ne pas m’étouffer, tu es en face Mathéo, pousse un grand coup - Hhhhaaaaaaaaaaaa que c’est bbbbbbooooooooonnnnnnnnnn, c’est chaud serré et si douuuuuuuuuuux, mais ? putain ça y est je jute !
- Ne t’arrête pas, persiste tu vas continuer à bander, voooooooiiiiillllllààààààà ! défonce la chaudasse que je suis Mathéo, je veux être ta chienne- Celle à papa aussi, il m’a dit combien tu es bonne - Je crois qu’il fait une vidéo …. que je montrerais à mon mari !