Finition manuelle - histoire érotique

Un centre de bien-être par le massage venait de s’ouvrir dans ma rue. La vitrine discrète et obscurcie indiquait « Wellness » mais ne laissait pas deviner grand-chose sur l’aménagement intérieur. Une petite affichette indiquait les horaires d’ouverture et l’adresse d’un site internet.

Avant de pousser la porte, je suis allé consulter leur site réservé aux personnes majeures. Les tarifs sont assez élevés : plus de 200 euros pour une heure de soins complets. Des extras signalés par une abréviation obscure peuvent faire grimper la facture à plus du double du droit d’entrée.

Une série de photos à dominante rouge ou noire permet de faire un tour virtuel dans l’établissement.

Un hall d’accueil avec un comptoir anonyme et une vague décoration chinoise pour les lambris et les éclairages. Un vestiaire avec des casiers à serrure digitale. Trois ou quatre petites salles de douche individuelle. Des cabines plus grandes au sous-sol avec une ameublement quasi identique pour les cinq qui sont présentées ; table de massage avec un trou au centre, coin repos, écran de télé, chaise métallique, crochets de fixation au mur et au plafond, des sangles qui pendent à l’un des crochets, une grande glace miroir sur l’un des murs. Une photo présente quelques flacons d’huiles parfumées aux noms exotiques, qu’on peut acheter à l’accueil.

Finalement je décide de découvrir le lieu par moi-même et je me rends dans la boutique de ce salon en fin d’après-midi un vendredi.

A l’entrée, je suis accueilli par une jeune femme de type asiatique qui me demande si je connais la maison et quelle formule de massage je souhaite m’offrir en me tendant la liste des prix et des prestations. Je choisis la formule basique complète de massage thaï body-body sans extra mais avec l’option « finition main ». Je lui précise que je tiens à avoir un masseur de sexe masculin. Elle me répond : « Pas de problème, on a aussi. »

Je paie en espèces mon droit d’entrée. Elle me tend un peignoir, une serviette, des mules de coton et un bracelet avec le numéro de ma cabine de massage et m’indique les vestiaires. Il n’y a personne, apparemment je suis le seul client. Un fond sonore en sourdine type musique chinoise d’ambiance est diffusé par des hauts parleurs dissimulés. Je me déshabille entièrement et je range soigneusement toutes mes affaires dans un grand casier à code. Une panneau indique que le passage par la douche individuelle pour des raisons d’hygiène est obligatoire.

Les cabines de douche sont au rez-de-chaussée, elles sont propres, pas trop larges et équipées également du bloc WC. Je suspends mon peignoir et je m’apprête à prendre une douche bien chaude. Il y a un distributeur de savon liquide et sur une étagère à droite quelques canules noires dans un emballage transparent. Une notice explique sommairement comment adapter la canule à l’embout du flexible de la douche pour pratiquer si nécessaire un lavement intime. Bon, j’ai l’habitude, je commence par la douche apaisante puis je termine par un lavement à deux reprises, les WC à côté offrant tout le confort nécessaire à cet exercice d’hygiène indispensable pour réaliser dans les meilleures conditions de confort certaines explorations intimes.

Au bout d’une dizaine de minutes, je sors des douches et je croise un homme plus âgé qui remonte du sous-sol, l’air plutôt satisfait.

Je descends à mon tour et je trouve sans difficulté ma cabine n°3. J’entre. Comme sur les photos, dans un éclairage tamisé à dominante rouge, j’aperçois la table de massage avec son petit escabeau, une chaise, un petit meuble avec toute une panoplie de flacons et d’huiles de massage, mais aussi en-dessous dans une petite vitrine quelques sex-toys et godemichés de différentes tailles. L’écran de télé est allumé et montre de jolies filles asiatiques qui batifolent au bord d’un bassin. Elles sont entièrement nues.

J’ouvre mon peignoir et je m’assieds sur le bord de la table de massage. Je n’attends pas longtemps, la porte s’ouvre et une ravissante eurasienne entre, vêtue d’une blouse rose largement échancrée sur une belle poitrine.

Je réponds à son salut mais je me plains en disant que j’avais demandé un garçon ; pour tous les contacts rapprochés je préfère les hommes. Elle sourit, ouvre sa blouse et dit : « Là, c’est garçon ! » et je découvre avec étonnement qu’elle n’a pas que de jolis seins mais aussi une belle bite qui pend entre ses jambes. D’accord, là, je suis comblé.

La belle « Asia » originaire des Philippines,comme je l’apprends plus tard, m’invite à m’allonger sur le ventre sur la table de massage. Elle retire complètement sa blouse et s’approche de moi. Elle sent délicieusement bon. Elle commence par verser une huile massage très odorante sur mes épaules, mon dos et mes fesses sans insister sur une zone particulière. J’inspire et me détends, les bras relâchés de chaque côté de la table. Elle revient vers le bas de mon dos et explore délicatement la raie de mes fesses. Je me cambre pour aller au-devant de sa caresse. Elle trouve mon œillet et introduit délicatement son majeur dans mon anus. C’est délicieux, mon cœur s’emballe. Elle remue doucement son doigt qui est rejoint par un deuxième. Au bout d’un moment elle ressort ses doigts et dans un français approximatif elle me dit qu’elle apprécie que je sois propre. Elle s’essuie les mains dans une serviette en papier qu’elle jette dans une corbeille sous la table.

Maintenant elle grimpe sur la table et s’installe à califourchon sur le haut de mes cuisses et commence à glisser son corps contre le mien. Dans le miroir sur le côté, je vois qu’elle s’enduit les seins et le ventre de son huile parfumée, avant de s’allonger doucement sur mes fesses et mon dos. Je sens son sexe à demi bandé contre mes fesses et ses seins lourds contre mes épaules. Je bande, le sexe douloureusement coincé contre mon ventre mais je finis par trouver le trou prévu pour un sexe en érection au milieu du matelas de la table de massage. Cette position est idéale et soulage ma bite jusque là comprimée.

Ma masseuse ondule et cherche le contact avec chaque pouce de ma peau, ses bras recouvrent les miens. Son souffle réchauffe ma nuque. Son sexe durcit et trouve sa place entre mes cuisses où il se love mais ne va pas plus loin.

Au bout de quelques minutes de ces délicieux frottements si bien lubrifiés, Asia se relève et descend de la table. Elle me demande de me retourner.

Je prends mon temps. Je m’installe sur le côté puis sur le dos, assez fier de ma bite en complète érection. Elle n’y prête pas attention, elle saisit la télécommande de l’écran de télé et lance un autre programme : une vidéo qui montre de beaux mâles tout nus en train de se caresser et de se sucer en plein air au bord d’une piscine évidemment. Ils sont rejoints par la trans américaine Natalie Mars, toujours aussi excitante.

Ensuite, Asia revient s’occuper de moi. Elle remonte sur la table pour m’enfourcher et caresser mon pubis, mes cuisses, mon ventre en évitant soigneusement mon sexe. Elle s’allonge sur moi de tout son long, je caresse ses seins. Nos deux bites sont pressées l’une contre l’autre. Elle se redresse, me masse les seins et les épaules, puis change de position.

Elle s’est retournée et me présente son cul, elle est presque assise sur ma bouche. De ses mains, elle masse mon ventre, mon pubis et le haut de mes cuisses mais ne fait qu’effleurer mon sexe tendu et palpitant. J’attrape ses belles fesses et je les malaxe, puis n’y résistant plus je lui lèche l’anus et y introduit ma langue le plus loin possible. Son goût est délicieux, je bande encore plus.

Quand elle se redresse, je peux voir sur l’écran de télé que Natalie Mars aussi se fait bouffer le cul par un des deux beaux mâles qui s’occupent d’elle.

Après un moment Asia se retourne à nouveau face à moi et je comprends que le massage tire à sa fin. Restée assise sur mes cuisses me demande si je veux ma « finition manuelle » maintenant. Elle se caresse les seins, Nathalie Mars derrière elle est en train de se faire sodomiser. Je lui dis : « Oui, vas-y maintenant. »

Elle est très douée, elle lubrifie abondamment ma queue et commence une masturbation de reine, changeant de rythme, changeant de main, n’oubliant aucune zone de tout mon appareil génital, massant mes boules, remontant lentement, exerçant de savantes pressions vite relâchées sur mon gland. Je ne peux pas résister longtemps et la vue de son sexe dressé et décalotté me rend fou. Je jouis abondamment en râlant très fort.

Elle descend de la table, essuie le sperme répandu sur mon ventre et mes cuisses. Elle remet sa blouse et me dit : « Toi, très bon. Reviens vite ». Je descends à mon tour. Elle me montre mon peignoir, me sourit et comme si de rien n’était commence à nettoyer avec un produit désinfectant le matelas de la table de massage. Merci, au revoir et je sors de la cabine.

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Épilogue : j’ai pas eu l’occasion de retourner faire un tour dans cet établissement car il a été fermé à la suite d’une enquête menée par la Brigade de répression des fraudes. La presse a d’ailleurs relaté cette affaire qui a abouti au démantèlement de tout un réseau de proxénétisme dissimulé dans ces extravagants salons de massage qui s’étaient ouverts un peu partout dans les quartiers bourgeois..