Florence de femme mariée à call-girl 04
Récit érotique écrit par André Bernard24 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Florence de femme mariée à call-girl 04
MON RETOUR SUR PARIS
J'étais seule dans l'avion qui me ramenait de Nice à Paris.
J'avais quitté le palace Niçois ou toute la nuit, j'avais été contrainte d'affronter les folles exigences de Tao et d'Igor.
Je les revoyais m'offrir au petit matin à ce grand black de Max qui m'avait violemment sodomisé faisant de ma virginité un souvenir qui maintenant s'éloignait.
Le sentiment de haine que j'avais éprouvé à l'égard de ces deux hommes, laissait place à ma satisfaction d'avoir honoré mon contrat vis-à-vis de l'entreprise et de Marc mon patron.
Il avait conclu cet énorme contrat avec le Russe et le Chinois. Il m'avait remercié et déclaré avoir viré 6 000 € sur mon compte en rémunération de la soirée. Ajoutant que sa femme Françoise, m'attendrait à Orly.
ORLY UNE SURPRISE DE TAILLE
J'étais à présent dans le hall dans l'attente du traditionnel ballet des valises sur le tapis roulant.
Je faisais les cent pas, et j'avais fait un petit signe à Françoise qui m'attendait derrière les baies vitrées. Elle était comme à son habitude d'une élégance redoutable.
L'attente des bagages était interminable, lorsque je remarquais un homme que j'avais déjà aperçu dans l'avion. Il était remarquable par sa tenue traditionnelle typique d'un pays du golf.
Couvert des pieds à la tête par un luxueux tissu d'un blanc éclatant, sous son serre-tête noir se dessinait un joli visage aux yeux clairs.
Il ne manquait pas une occasion de poser son regard sur moi qui, sans nul doute me déshabillait.
Perchée sur mes talons hauts, mon pantalon serré faisait jaillir mon petit cul et il devait voir, au gré du mouvement de mes hanches, mes fesses s’agiter comme une pendule excitante.
Mes seins libre de soutien-gorge, pointaient en ballotant légèrement sous mon pull au rythme du claquement de mes talons sur le sol.
Même de dos, je sentais clairement son regard sur moi, c'était le même que celui de Tao ou d'Igor lors de notre première rencontre.
L'arrivée de ma valise mettait un terme à cet étrange impression de déjà vu.
Je sortais et Françoise s'avançait vers moi.
• Bonjour Florence tu as fait bon voyage, je sais que tout s'est bien passé à Nice. Je te félicite.
• Merci Françoise, on y va.
• Non, nous attendons un client. Normalement, il devait être dans le même avion que toi. Au fait il faut que tu saches. Igor et Tao nous ont remis une enveloppe bien épaisse pour toi. Un sérieux bonus financier je crois qu'il s'agit de 5000 dollars.
• Non ce n'est pas vrai !
• Ils ont été impressionnés par ta ténacité et ton caractère. Voilà tout est dit. Tiens je crois que c'est notre client qui arrive.
Je voyais alors s'approcher l'homme tout de blanc vêtu. Un sourire illuminait sur son visage à la peau cuivrée.
• Florence je te présente Sofiane qui représente plusieurs de nos importants clients du Maghreb
• Enchanté Florence. Françoise m'avait vanté votre beauté, mais je constate qu'elle était en
dessous de la vérité.
• Je vous remercie monsieur.
• Appelez-moi Sofiane
• Très bien Sofiane.
J'étais sous le charme de cette voix douce. Françoise me regardait avec un œil malicieux et nous invitait à prendre un petit déjeuner dans un club privé à proximité de l'aéroport.
DANS L'INTIMITÉ DU CLUB HOUSE
Une fois de plus je pouvais constater que Françoise savait choisir les endroits de luxe pour recevoir des clients.
Nous étions à présent dans cette banlieue parisienne bien connue pour ses élevages de chevaux purs sangs. Un hôtel et un restaurant étoilé ou le propriétaire avait mis à notre disposition, un petit salon privé pour nous délecter d'un copieux et raffiné petit déjeuner.
Une grande baie vitrée nous offrait une vue imprenable sur la piste d'entrainement des chevaux galopants dans le brouillard du matin.
Confortablement installée, et dégustant fruits pâtisseries et autres délices qui accompagnaient mon café. J'écoutais d'une oreille distraite la conversation entre Sofiane et Françoise. Ils échangeaient alternativement en français et en anglais dont bien des tournures de phrases m'était totalement inconnue. Je me sentais moins seule en constatant que notre invité avait bien des lacunes dans notre langue.
Assis entre nous, il ne ratait pas une occasion de me dévisager et je pouvais aisément deviné qu'il m'imaginait certainement débarrassée de mon pull et pantalon. Je le regardais en souriant lorsque Françoise me dit
• Florence, cet homme est très influent auprès d'un prince qui règne dans le golf. Marc et moi nous n'avons jamais obtenu de possibilité d'ouvrir l'entreprise à ces régions. Il te dévore des yeux et je pense que tu pourrais saisir l'opportunité de cet instant, pour organiser ce rapprochement.
• Oui mais comment veux-tu procéder.
• Laisse-moi faire et ne soit pas surprise. Tu ne vas pas tarder à être copieusement arrosée de café ou de lait. Je suis certaine que notre hôte t'offrira ses services pour réparer les dégâts.
Au moment où Sofiane attrapait le pot de lait qui se trouvait sur la desserte derrière nous, Françoise très adroitement bousculait sa chaise. Le lait jaillissait du pot atterrissant à la fois sur mon pull et mon pantalon. Je poussais alors, un petit cri de surprise. Immédiatement Sofiane me dit
• Sorry, excuse-me Florence.
• Françoise s'adressait à lui en anglais. De la main elle lui indiquait la porte des toilettes privées dont disposait la salle.
Sofiane se levait, me prenant par la main, il m’entraînait vers ce lieu très privé. Deux immenses lavabos reposaient sur un long plan de travail ou étaient disposés des serviettes de toilettes.
A peine entrée Sofiane tournait le loquet interdisant tout dérangement.
Sans un mot, il commençait délicatement à éponger mon pull. Je sentais ses mains puissantes s'attarder sur ma poitrine qui frémissait. La fine laine blanche laissait à présent pointer mes bouts de seins bruns qui écartaient les mailles.
Le regard de Sofiane craquait, ses deux mains, en un éclair, franchissait la barrière qui le séparait de mes globes généreux. Le pouce et l'index de sa main gauche faisait dresser mon téton pendant qu'avec agilité sa main droite avait détaché les boutons du pull.
Il m'invitait à enlever ainsi ce vêtement devenu inutile. Il me caressait les seins goulûment, les soupesant, titillant les aréoles appuyant sur les petits bouts pointant avec arrogance vers lui.
Très grand, il me dominait. Je penchais alors la tête en arrière, je plongeais mon regard au plus profond de ses yeux clairs.
Je formais alors avec mes lèvres un O, permettant ainsi à ma langue d'en faire le tour.
À chaque rotation, j'élargissais le cercle de mes lèvres qui s'humectait et brillait de la salive que j'y déposais.
Sofiane était tétanisé, son regard ne quittait plus cette bouche, dont la langue lui faisait imaginer mille jouissances.
Sans le quitter du regard, je posais ma main droite à hauteur de sa poitrine. Le tissu de sa tenue était d'une finesse et d'une douceur exceptionnel. Ma main glissais lentement vers le bas, centimètres par centimètres.
Arrivé à hauteur de son ventre, je tournais la paume de ma main vers le haut. Mes doigt alors cheminaient inexorablement vers son son entre-jambes.
La respiration de Sofiane était courte et ses battements de paupières trahissaient son émoi. Il avait abandonné mes seins. À présent, ses mains caressaient mes épaules et ma nuque. Il fermait les yeux.
J'en profitais pour jeter un regard vers le bas. Il m'offrait une très belle érection qui tendait le tissu soyeux de son vêtement.
Je sentais dans le même temps, que les caresses sur ma nuque se faisaient plus lourdes. Ses mains puissantes revenaient sur mes épaules. Elles exerçaient à présent une pression si forte que je ne pouvais que me baisser.
Je me retrouvais à genoux, mes mains passaient alors sous le bas de son vêtement.
Mes doigts remontaient le tissus soyeux vers le haut. Je découvrais ainsi ses mollets musclés, puis ses cuisses.
Enfin je découvrais son sexe qui se dressait fièrement. Le gland pointant vers le haut reposant sur son nombril.
Sofiane ayant ôté son vêtement, il m'apparaissait en toute nudité. Il posait ses mains sur ma tête. L'invitation était claire.
Je posais mes lèvres à la base de ses très grosses couilles imberbes. Elles frémissaient sous les petits baisers que je leur offrais.
Ma langue à présent remontait entre les deux belles boules pour atteindre le gland violacé et tendu à l'extrême. Je déposais un important flot de salive sur sa pointe.
Formant un anneau de mon pouce et mon index, je le glissais de haut en bas, faisant reluire sa verge sur toute sa longueur.
J’exerçais de petites pressions et je terminais à la base, en caressant ses deux couilles de la paume de ma main humide.
Sofiane gémissait au moment où je décidais d'avaler son pénis lentement sans m'arrêter, afin que son gland atteigne mon arrière-gorge.
Mon nez ne touchait pas encore son ventre aussi, je penchais légèrement ma tête en arrière.
Je déglutissais, permettant ainsi au gland, de franchir les derniers centimètres, qui le séparaient du nirvana de ma gorge profonde.
Sofiane poussait un grognement sourd. Ma main gauche caressait ses couilles et ma main droite passée sous son entre-jambe caressaient son cul mes doigts investissant sa raie.
Il tentait de reculer pour échapper à cette caresse, mais je le retenais.
Ma langue tapotait la base de sa verge, elle atteignait même le dessous de ses couilles.
Les contractions de ma gorge, lui administraient des pressions sur le gland, lui procurant des spasmes qui agitaient son bassin et ses jambes de légers tremblements.
Je choisis l'un de ses petits coup de reins, pour pénétrer son anus de mon index d'une poussée rectiligne et continue. J'atteignais ainsi la base de sa prostate, que j'excitais par de multiples caresses. Je sentais alors son anus se contracter violemment sur mon doigt.
Tremblant de tout son corps, Sofiane poussait cri qui s'accompagnait de trois généreuses éjaculations qui tapissaient ma gorge.
J'avalais sans hésiter son sperme. Je coordonnais alors, la libération de ma bouche avec le retrait de mon doigt de son rectum.
J'avais en face de moi un homme médusé et pantelant. Je me relevais après avoir effacé les traces de lait sur mes vêtements, je remettais de l'ordre dans ma tenue.
Sofiane était entré rapidement dans les toilettes.
J'en profitais pour m'éclipser et rejoindre Françoise. Je lui murmurais à l'oreille
• Ma chère Françoise je crois que notre ami Sofiane, n'a jamais éjaculé aussi vite, dans la gorge d'une femme.
• Je savais que tu étais capable de te rendre indispensable à lui. Bravo.
La porte s'ouvrait, notre cher ami la mine ravie nous rejoignait à table. Françoise ne le laissait pas reprendre ses esprits.
• Sofiane quand allez-vous enfin nous mettre en contact avec votre prince et vos amis du Golf. Je suis certaine qu'avec eux nous pourrions faire des affaires, mais également prendre du plaisir et du bon temps, la vie est si courte.
• Ma chère Françoise j'aurais grand plaisir à vous recevoir et à vous présenter mon employeur et mes relations d'affaires. Que proposez-vous.
• Nous pourrions vous rencontrer avec Marc dans un des nombreux palaces qui font la réputation de votre capitale. Bien sûr nous prendrions à notre charge tous les frais.
• Il n'en est pas question ma chère, vous serez nos hôtes. Toutefois j'y mettrais une condition. Il nous serait agréable que votre amie Florence soit du voyage. Au regard de ma maladresse je lui dois bien ça.
• Très bien Sofiane c'est vous qui décidez.
DANS LA VILLE DES MILLE ET UNE NUITS
Le grand jour était arrivé. Françoise, Marc et moi, nous volions en direction du Maghreb pour rejoindre la capitale où Sofiane nous attendait pour nous présenter aux gens les plus influents du pays. Inutile de dire que nous étions fébriles.
La signature éventuelle de contrats, permettrait à l'entreprise de s'implanter durablement dans ce pays avec des perspectives d'aller au-delà de ses frontières.
À l'aéroport, Sofiane tout sourire, nous accueillait chaleureusement.
• Bonjour à vous, bienvenue dans notre pays.
• (Marc) Merci de votre accueil Sofiane nous sommes à votre disposition.
Dans la luxueuse limousine qui nous menait à notre résidence, Sofiane nous remettait un document qui nous présentait le programme des trois jours.
Une visite de deux jours des magasins et usines du plus important groupe du pays.
Son président se nommait Abbad ce qui signifie « fervent adorateur ».
Il était l'un des plus hauts dignitaires de la royauté. En clair, pas un seul business ne se faisait dans le pays, sans son autorisation.
Le troisième et dernier jour, nous étions invités à une réception au palais, en présence des hommes les plus influents du pays.
La luxueuse voiture faisait une halte en bord de mer devant une gigantesque et majestueuse résidence entourée de palmiers et de mille fleurs. Sofiane en ouvrant la porte nous dit
• Mes amis, je vous abandonne . je dois rejoindre mon maître dans cette maison. Le chauffeur va vous accompagner jusqu'à votre résidence. Je passerai vous prendre demain matin à 8 heures pour la première journée de visite des entreprises. Bonsoir
Nous étions fort surpris de l'expression « mon maître » mais bon, certainement une coutume traditionnelle.
Le chauffeur nous déposait dans un palace ou une suite nous était réservée.
Après un repas délicat et raffiné, le maître d'hôtel nous remit à Françoise et à moi-même une enveloppe de la part de Sofiane.
Nous nous empressions de lire ce message qui était le même :
« Chère Florence, vous trouverez sur votre lit les vêtements qu'ils nous plairaient de vous voir porter demain. »
« Chère Françoise, vous trouverez sur votre lit les vêtements qu'ils nous plairaient de vous voir porter demain. »
Marc après les avoir consultés nous déclarait :
• Bon ce n'est pas compliqué d'accéder à leurs souhaits les filles.
Après cette sage parole et un café, je me retrouvais dans ma chambre. Je découvrais la tenue que j'étais invitée à porter demain.
Manifestement la tendance était au bleu. Une jupe en cuir découvrant légèrement les genoux, un chemisier léger boutonné devant avec un col en V très sage. Une veste de cuir et des chaussures à talons hauts du même bleu. Sans oublier le foulard assortit en guise de coiffe.
Un petit sac à main de cuir, contenait les sous-vêtements.
Tiens là, c'était le rouge vif qui dominait.
Culotte brésilienne en dentelle transparente et le soutien-gorge assortis très décolleté.
Nul doute que ces dessous étaient bien moins sages que les vêtements de dessus.
Ce qui était stupéfiant, c'est que nos hôtes connaissaient manifestement toutes nos mensurations.
J'étais impatiente de découvrir la tenue de Françoise.
UN CHANGEMENT DE PROGRAMME SURPRISE
Après un bain relaxant, j'avais suivi les instructions vestimentaires de Sofiane.
J'étais donc toute de bleu vêtu lorsque je rejoignais Marc et Françoise dans le petit salon où nous était servi le petit déjeuner.
Je restais sans voix en découvrant que Françoise avait exactement les mêmes vêtements que moi à un détail près. L'ensemble était rouge des pieds à la tête.
• Bonjour Marc, bonjour Françoise. Je constate que nos hôtes ont souhaité nous lancer un message sur leurs couleurs et goûts vestimentaires.
• À l'évidence ma chère Florence nos hôtes ne manquent pas d'originalité, n'est-ce pas chéri.
• Écoutez les filles, si vos tenues répondent à leurs souhaits, ne leur refusons pas ce petit plaisir. Sincèrement je vous trouve charmantes comme ça.
Sofiane venait d'entrer dans le salon nous rejoignant. Il était comme Marc vêtu d'un costume de bonne facture.
Il nous invitait à le suivre vers la sortie.
Les chauffeurs de deux voitures de luxe ouvraient les portes à notre intention.
• Bonjour Marc, si vous voulez bien nous allons emprunter le premier véhicule afin d'effectuer la visite des sociétés de mon maître.
Mesdames, je vous invite à vous diriger vers le second véhicule, il vous mènera en compagnie d'une collaboratrice visiter les magasins de luxe de notre centre commercial.
• Mon cher Sofiane n'était-il pas prévu que mon épouse et Florence nous accompagne ?
• Certes Marc, mais mon Maître en a décidé autrement. Il vous sera certainement agréable mesdames d'effectuer ces visites et de satisfaire ainsi aux désirs de votre hôte.
Nous vous retrouverons au terme de nos deux jours de tournée avec Marc pour la journée de réception au palais.
Françoise s'empressait de répondre
• Mon cher Sofiane, c'est avec plaisir que nous répondons à ce changement de programme qui semble faire plaisir à votre Maître.
• Merci mesdames, je sais que mon Maître saura vous combler comme vous l'avez fait pour moi à Paris. Mes respects.
UNE JOURNÉE TRÈS PARTICULIÈRE
La voiture de Marc avait démarré dans un crissement de pneus. Notre chauffeur était un très grand black qui devait avoisiner les deux mètres et dont la carrure imposante était impressionnante.
Françoise avait tenté de lui demander où nous allions mais, manifestement il ne pratiquait ni le Français ni l'Anglais.
Notre véhicule semblait sortir de la ville empruntant une piste désertique. Au bout d'une demi-heure, c'est un véritable palais entouré d'un très haut mur d’enceinte qui se dessinait sur le ciel bleu.
Deux immenses portes de bois s'ouvraient. Elles nous offraient un jardin d’Éden, un écrin de verdure et une d'explosion de fleurs et de couleurs qui nous émerveillaient.
Le chauffeur nous faisait signe de le suivre. Nous traversions de multiples allées et terrasses. La dernière dominait la mer. En contrebas, ce n'était pas moins d'une centaine de voitures de luxe qui stationnait sur un parking orné de palmiers et de buissons fleuris.
LA RENCONTRE AVEC LE MAÎTRE DES LIEUX
Nous venions de pénétrer dans un immense salon dont le chauffeur avait refermé la porte.
Nous étions seules. Une musique douce nous était offerte. La pièce comportait trois portes celle qui donnait sur la terrasse par laquelle nous étions entrées.
Une petite porte sur notre droite et une immense et très haute double porte qui ornait le centre du plus grand mur.
• Qu'en penses-tu Florence, nous devions bien faire les magasins selon les propos de Sofiane
• Oui je sais Françoise, c'est étrange mais à priori il y a changement de programme.
Françoise se dirigeait vers la porte par laquelle nous étions rentrées et qui donnait sur la terrasse. Elle tentait de l'ouvrir mais, manifestement, le chauffeur semblait l'avoir verrouillée en partant.
Nous attendions maintenant depuis une bonne demi-heure lorsque la petite porte s'ouvrait.
Précédé par deux colosses en tenue de serveur, un homme grand portant un smoking blanc nous apparaissait.
La cinquantaine, cheveux poivre et sel, le visage mat, un regard sévère souligné par deux yeux gris clair. D'un pas assurée, il s'avançait vers nous.
• Mesdames bonjour. Je me nomme Habbab, je suis heureux de vous accueillir dans ma modeste demeure. Je vois que vous avez suivi mes instructions en ce qui concerne vos vêtements. Alors dites-moi tout, en rouge j'ai bien affaire à Françoise la généreuse femme de Marc.
• C'est exact monsieur et je vous remercie pour votre invitation et cette très belle tenue.
• Et en bleu, nul doute que j'ai le plaisir de faire la connaissance de Florence dont Sofiane m'a vanté les immenses talents.
• Oui monsieur, je vous sais gré de ces très jolis vêtements et vous remercie de votre accueil.
• Bien, bien, mais vous allez avoir toute les deux, l'occasion de me remercier de bien d'autres présents. Ils vous attendent dans la salle de réception qui se trouve derrière cette porte monumentale.
Je ressentais face à cet homme une impression étrange. Chaque phrase qu'il prononçait dans un français parfait, s'accompagnait d'un regard qui nous balayait de la tête aux pieds.
• Mesdames asseyez-vous pour déguster ce délicieux cocktail, spécialité de mon barman.
L’HEURE DE PAYER NOTRE MANIPULATION
Nous étions assis face à lui. Nous dégustions cette boisson qui nous surprenait par son fort degré d'alcool. Il nous regardait avec un léger sourire en coin avant de nous assener la phrase qui allait bouleverser nos vies.
• Alors ma chère Françoise, il paraît que vous êtes une spécialiste pour bousculer les hommes et leur tasse de lait.
• C'est-à-dire monsieur, de quoi parlez-vous.
• Je préférerais ma chère que vous m'appeliez Maître. Alors quoi c'est-à-dire ! Vous n'avez peut-être pas fait tomber ce pauvre Sofiane dans un piège grossier !
• C'était une taquinerie de ma part Maître.
• Ah bon, vous appelez cela une taquinerie en France. Et vous Florence comment appelez-vous ce que vous avez fait à Sofiane le naïf. Je vous écoute.
• Maître je suis désolée, je ne sais quoi vous dire.
• Pourtant vous n'avez pas la bouche pleine aujourd'hui.
Françoise tentait d'intervenir
• Monsieur, je devais accompagner mon mari pour une visite et je ne comprends pas..
• Taisez-vous madame, à l'instant sachez que vous ne vous adressez pas à votre mari, mais à votre Maître. Levez-vous toutes les deux et suivez-moi.
Après avoir claqué dans ses mains, les deux serviteurs ouvraient les deux immenses portes.
Dans l'immense salle une centaine de personnes nous faisaient face. Leurs tenues étaient identiques, de couleur noire, elles portaient un pantalon et une tunique et étaient pieds nus. Le haut de leurs visages était recouvert d'un masque blanc, ne laissant entrevoir que leurs yeux.
Dans un silence pesant, cette noire assemblée s'écartait de part et d'autres formant une haie d'honneur que nous empruntions derrière Habbad, les puissantes mains des serviteurs nous poussant dans le dos.
A présent, seul le bruit sourd des deux portes se refermant résonnait dans la salle.
À notre passage les têtes masquées s'inclinaient. Nous arrivions sur un podium une sorte de scène de théâtre avec en arrière-plan un rideau noir.
Habbad nous prenait par la main nous invitant à gravir les marches. Le public pouvait alors me voir à gauche, le Maître au centre et François à sa droite.
Après un long silence sa voix résonnait
• Messieurs, je vous présente Florence tout de bleu vêtu et Françoise tout de rouge vêtu. Ne pensez-vous pas qu'avec mon smoking blanc nous formons un joli drapeau français ?
Une centaine de voix s'élevaient « Oui Maître ».
• Si vous êtes là ce soir, c'est pour deux raisons. La première est que vous parlez tous le français. La seconde c'est pour faire appel à votre générosité, pour les bonnes œuvres de notre pays. Aussi je vous propose de participer à une vente aux enchères.
Vous avez des questions.
• Mais que nous proposez-vous d'acheter.
• Mais tout simplement les vêtements de ces dames.
Les rires et les murmures remplissaient la salle. Sans même avoir le temps de respirer nous étions Françoise et moi devant une salle en transe. Les prix étaient démentiels. C'était à qui aurait ma jupe celle de Françoise.
A peine adjugé les mains puissantes des serviteurs nous déshabillait pour remettre aux gagnants leur lot.
Françoise qui avait bien tenté de se rebeller. Mais sur un claquement de doigt d'Habbad, l'un des ses colosses lui avait administré une paire de claques, la laissant à présent sans voix.
En deux temps trois mouvements nous étions déjà en sous-vêtements et là c'était une explosion d'excitation dans la salle. Les cris retentissaient :
« Je veux la culotte rouge » « Le soutien-gorge bleu est pour moi.» « Vite mettez-les à poils. »
« Oui qu'elles nous montrent leurs culs »
Nos soutiens-gorge et nos culottes brésiliennes atteignaient des prix hallucinants.
Nous étions à présent totalement dénudées, uniquement perchées sur nos escarpins.
• Alors mesdames, que pensez-vous de la générosité de cette assistance. Françoise vous avez des seins magnifiques et une paire de fesses qui vous font un cul qui est une véritable invitation à la sodomie croyez-moi.
• Je vous en prie monsieur, ce n'est pas des manières...
Un clac venait de retentir, le bruit sec de la main d'Habbad qui venait de s'abattre sur les généreuses fesses de Françoise
• Pas des manières ! Piéger Sofiane à Paris et demander à votre collaboratrice Florence de lui tailler une pipe, ce sont des manières peut-être ! Répondez
• Non monsieur, mais je …
Une seconde claque, plus violente, venait de s'abattre rougissant le joli cul de Françoise.
• Une bonne fois pour toutes, appelez-moi Maître, c'est bien clair !
• Oui Maître
• Avez-vous bien compris que vous êtes ici pour payer l'humiliation que vous avez fait subir à l'un de mes sujets. Répondez madame.
• Oui Maître
• Alors messieurs pour prendre le joli cul de la femme de Marc à vos portefeuilles les enchères reprennent.
• Non pas ça Maître. Je vous en prie.
Pour toute réponse, sur un simple regard d'Habbad, le serveur saisissait Françoise et lui administrait une fessée le cul tourné vers une salle totalement excitée. Chaque claque déclenchait des tonnerres d'applaudissements entrecoupés de rires.
Les fesses rougies de dix claques, Françoise avait retrouvé sa place les yeux baissés et humides.
Les enchères à présent s'envolaient. Au bout de dix minutes, deux prétendants n'arrivaient pas à se départager, ils en étaient à 30 000 $. Le prix de leurs fantasmes posséder le cul de cette femme mariée. Alors le Maître intervint.
• Messieurs, messieurs, je pense que vous pouvez vous partager ce lot, vous l'avez largement mérité. Je vous adjuge donc le cul de cette femme.
Pour ceux qui ne l'ont pas remporté, pas d'inquiétude il reste de nouvelles ventes. En attendant, apportez le tonneau.
Une rumeur enflait dans l'assistance répétant « le tonneau » oui le tonneau.
Le rideau arrière venait de s'ouvrir et deux grands gaillards poussaient une barrique qu'il disposait sur son support, de profil au public.
Je voyais alors deux paires d'anneaux, fixés sur l'arrondi dans les lames de bois vernis du tonneau.
Les yeux des masques s'agrandissait à la vue de ces trois oOo dessinés par cet assemblage.
Tous s'interrogeaient sur ce que le Maître réservait à cette jolie mature.
• Françoise, approchez-vous je vous prie. Installez-vous à plat ventre sur cet instrument que j'ai spécialement commandé pour vous.
Françoise cédait à cette demande. Elle se penchait en avant.
Son ventre reposait à présent sur le cerclage métallique central du tonneau.
Sa grande taille, permettait à la pointe de ses escarpins et aux doigts de ses mains d'effleurer la lourde moquette, de part et d'autre du tonneau.
La voix sévère d'Habbad résonnait à nouveau s'adressant à ses deux colosses de serviteurs
• Messieurs, je vous prie de bien vouloir procéder, merci.
Le premier faisait glisser les poignets de Françoise dans les anneaux dont le claquement sec de la fermeture immobilisait les bras de la belle.
Le second faisait de même pour les chevilles à la différence, que les anneaux étaient situés à chaque extrémité du tonneau. Le compas des jambes Françoise, était ainsi écarté au maximum.
L'opération terminée, les serviteurs faisait tourner le tonneau sur son axe.
Au premier demi-tour
Françoise offrait au public la vue de son dos et la naissance de ses fesses. Tête penchée en avant ses longs cheveux dont les pointes touchaient le sol dégageait sa nuque et ses jolies épaules.
Le second demi-tour
Provoquait un ouah dans l'assemblée. Les longues jambes écartées de Françoise, révélait sa chatte soigneusement épilée ainsi que sa longue raie culière. Elle offrait une vue imprenable sur ce petit anus qui s'était adjugé à prix d'or.
Pendant que les hommes en noir admiraient ce magnifique cul et cette chatte luisante sous les projecteurs.
Habbad côté rideau se saisissait des cheveux de Françoise. Il lui relevait la tête et nn souriant et je l'entendais lui chuchoter :
• Ma belle, je crois bien que mes disciples vont bientôt vous casser le cul.
• Non, je vous en prie, cessons tout cela, je vous jure que je ne dirais rien à mon mari si vous arrêtez maintenant. Ne faites pas ça.
La main libre d'Habbad s'abattait alors violemment sur son entre-jambe.
La paume claquait la base de ses fesses. Par contre, j'avais clairement vu les cinq doigts frapper sa chatte dont les lèvres à présent étaient teintées rouge vif.
Sans répis, la main s'abattait pour la seconde fois en visant la même cible.
Françoise alors criait
• Arrêtez arrêtez … Marc...Marc ...Arrêtez s'il vous plaît.
Ces cris semblaient alors décupler le plaisir qu'Habbad prenait à fesser cette femme qui avait humilié son collaborateur à Paris.
Sous les hourras de l'assistance survoltée, la large main du Maître s'abattait à nouveau visant cette fois-ci l'intégralité de la chatte de Françoise qui se débattait inutilement.
Ses seins opulents, ballotaient de droite à gauche au rythme des puissantes claques sur ses lèvres les plus intimes.
Les coups cessaient. Habbad avait posé ses mains sur ses tempes et la regardait droit dans les yeux.
• Madame inutile de me faire des promesses. Je peux vous affirmer que vous ne direz jamais rien de ces journées à votre cher mari. Vous comprenez bien ce que je vous dis ?
• Oui Maître, je ne dirais rien, jamais.
• C'est bien, c'est très bien, je vois que votre éducation prend la bonne direction.
Sans relâcher sa tête il interpellait ces serviteurs
• Messieurs, libérez-moi, afin que j'honore la bouche de la femme de notre ami Marc.
Les serviteurs s'agenouillaient. Ils faisaient lentement descendre le pantalon d'Habbad libérant une verge en totale érection.
• Ma chère Françoise, l'heure est venue de me prouver que vous êtes aussi douée que Florence dont Sofiane m'a rapporté l'expérience dans ce domaine.
Il forçait à présent les lèvres de Françoise et faisait reposer son gland humide sur sa langue. Il commençait à baiser lentement cette bouche. Je voyais les yeux humides de ma patronne. Elle salivait de plus en plus sur ce sexe qui occupait maintenant l'intégralité de sa langue.
• Alors comme ça messieurs, vous gagnez un cul magnifique et vous ne venez pas le prendre ! Allons du nerf que diable, bougez-vous. Venez m'embrocher cette Française qui se dit experte en jeux sexuels.
• Oui Maître
Les deux heureux gagnants se précipitaient. Le premier prenait un malin plaisir à écarter les deux globes fessiers. La raie culière ainsi totalement dégagée, offrait au second l’œillet convoité.
• Quel cul Maître, ce cul c'est un présent inestimable.
• C'est bien, alors qu'attends-tu pour l'enculer. Mettez du cœur à l'ouvrage, cela lui fera peut-être ouvrir cette gorge, qui me semble quelque peu étroite pour mon sexe.
J'entendais les vaines protestations de Françoise étouffée par la verge d'Habbad qui occupait l'essentiel de sa bouche.
Il forçait à présent à coups de reins, pour accentuer la progression de son gland vers l'arrière-gorge.
La foule criait à présent « le cul, le cul, le cul, le cul ».
Une voix se détachait alors hurlant « allez y enculez-là, enculez-là »
Les mains puissantes pressant le ventre de Françoise contre le tonneau, ses reins étaient cambrés au maximum et son cul à présent paraissait énorme. Les yeux exorbités, d'un seul et puissant coup de rein, l'homme enfonçait sa queue d'un seul trait, au plus profond de son anus.
Je percevais le hurlement de douleur de Françoise, étouffé par la verge d'Habbad qui semblait elle aussi, avoir atteint son but.
À présent c'est à grands coups de reins que les deux hommes pénétraient la belle. Leurs couilles claquaient son menton et ses fesses à chaque pénétration.
Françoise avait des haut de cœur et salivait abondamment. Son anus dilaté luisait des sécrétion de son enculeur, qui venait de se retirer pour laisser la place à son copain. Ce dernier semblait plus jeune, et s'agitait maintenant à une vitesse folle dans cet anus de rêve.
• Florence, venez ici immédiatement
• Oui Maître
• Massez-moi des épaules jusqu'à mon cul. Lorsque vous y serez, soyez aimable de bien vouloir lécher mon anus. Vous avez compris.
• Oui Maître
Je m'exécutais, j'avais massé les épaules et le dos et j'étais à présent devant les deux fesses musclées.
J'écartais les deux globes qui avançaient et reculaient au rythme de la verge qui pénétrait la gorge de Françoise.
Ma langue à présent tournoyait sur cet anneau sombre qui s'ouvrait lorsque le Maître poussait violemment son sexe en avant.
• Oui c'est bon Florence. Tu vois ma petite Françoise maintenant ta gorge et ton cul deviennent de plus en plus accueillants, c'est bien car ils vont avoir de nombreux visiteurs.
Il sortait alors totalement sa verge de sa bouche et mettait son pied droit sur le support du tonneau. Laissant ainsi une vue plongeante sur la feuille de rose que je pratiquais sur son anus.
J'entrevoyais Françoise qui bavait abondamment.
Elle était totalement essoufflée par la gorge profonde qui lui était imposée. elle grimaçait sous les coups boutoirs de son jeune enculeur qui défonçait son généreux cul de sa longue et épaisse verge.
• Vous aviez raison ma chère Françoise votre petite Florence est douée pour exciter le cul des hommes. Ouvrez votre bouche et tendez votre langue, le moment est venu de goûter mon lait. Florence faites moi donc connaître ce plaisir que vous avez offert à Sofiane.
• Oui Maître
Il venait à nouveau de pénétrer la bouche de Françoise et le gargouillis que j'entendais ne laissait pas de place au doute. Son gland venait de franchir et même de dépasser la barrière de l'arrière-gorge. Il imprimait de petits coups de reins, pour maintenir ses grosses couilles écrasées sur sa lèvre inférieure.
Derrière elle les deux compères ne manquaient pas d'imagination. Le premier, à cheval sur ses reins, s'était allongé de tout son long sur son dos, le sexe à 90 degré enfoncé jusqu'à la garde dans son fondement.
Le second resté debout, poussait de sa main droite son gland, afin de rejoindre celui de son ami pour gratifier la belle française d'une double pénétration anale.
L'assemblée était survoltée des cris jaillissait de toutes parts :
« Oui, enculez-la à deux. » «Allez plus forts, à fond. » «Faites-la jouir.»
Les gémissements maintenant entre douleurs et jouissances de Françoise n'arrangeaient rien.
Ses gros seins ballottaient d'avant en arrière, ses tétons claquaient le cerclage métallique du tonneau à chaque fois que les verges pénétraient au plus profond de son intimité anale.
Alors l'excitation des hommes montaient d'un cran.
Une voix plus forte s'élevait dans l'assemblée, résonnant comme un coup de tonnerre :
« Regardez, regardez sa chatte éjacule, elle jouit, je vous dis qu'elle jouit , regardez.»
« Oui c'est vrai » « Ah ! Ces Françaises quelles baiseuses. » « Elles jouissent du cul. » « À notre tour, à notre tour. »
Nous étions à présent aveuglés par les flashs téléphones portables qui crépitaient immortalisant, pour leurs propriétaires, ces trois hommes qui baisaient deux belles Françaises.
Certains avaient sorti leur sexe et se gratifiaient d'une frénétique masturbation à la vue de ce tableau.
À ce moment prise de rage, je groupais index, majeur et annulaire de ma main droite et, d'une poussée rectiligne je pénétrais l'anus d'Habbad.
• Ha, salle petite pute tu vas me faire jouir.
• Oui Maître jouissez, libérez-vous. Vous ne sentez pas comme la bouche de mon amie est impatiente de goûter votre lait.
Je tournais mes doigts de droite à gauche. M'aidant de mon pouce, posé en appui sur le haut de sa raie, mes trois doigts exerçaient des pressions sur sa prostate. Maintenant ils entraient et sortaient de son cul. Au fil de mes allers-retours je sentais ses anneaux se détendre et devenir accueillant.
À présent, ses jambes tremblaient, nul doute que cet homme arrogant jouissait de la sodomie que ma main lui offrait. Ses gémissements me le confirmaient.
Face à ce spectacle, la salle était redevenue totalement silencieuse. Tous avaient les yeux braqués sur cette main féminine qui pénétrait les fesses de leur Maître.
Ma main gauche saisissait ses grosses couilles. Je les pressais tout en les faisant balloter de droite à gauche. Parfois, mes deux doigts formant un anneau, je saisissais la base de sa verge.
Je sentais alors les lèvres humides et le souffle chaud de Françoise sur mes doigts.
Je branlais ce petit bout de queue qui se contractait. Je voyais alors ses couilles remonter vers le haut et son anus était pris de spasmes qui serraient mes doigts.
Je sentais clairement à cet instant le cheminement de son sperme qui, à quatre longues reprises, atteignait la pointe de son gland, pour terminer dans la gorge de mon amie Françoise.
Alors qu'il hurlait « je jouis mes amis, je jouis.» Il sortait lentement sa queue de cette chaude bouche. Une dernière giclée de sperme venait frapper le front et les cheveux de la belle mature.
Françoise la bouche à peine libérée, poussait un cri : Ho ! Non,non... Ha...Ha... Ouiii.».
Ses deux enculeurs venait d'éjaculer en cœur leurs semences au plus profond de son intimité anale.
Leurs sexes sortaient lentement de son anus.
Une dernière giclée, blanchissait ses fesses, ses reins et une partie de son dos.
Françoise respirait profondément, ses seins étaient gonflées. La tête penchée sur le côté, sa joue reposant sur les lames de bois vernis. Elle regardait de ses grands yeux clairs, l'assemblée de ces hommes excités, qui contemplait son corps épuisé. Elle frissonnait, sa langue passait à présent sur ses lèvres afin d'effacer les dernières traces blanches qui brillaient sous les spots.
• Mes amis, qu'en pensez-vous, n'avons-nous pas rendu un fier hommage à la femme de notre ami Marc regardez le travail
Habbad avait saisi la chevelure de la belle, il exposait son visage tapissé de sa semence. Puis, tirant douloureusement sur ses cheveux, il faisait tourner le tonneau présentant l'anus béant et dégoulinant des sécrétions de ses deux amis.
Il délaissait ses cheveux et se tournait vers son cul, le gratifiant d'une petite claque sur ses jolies fesses. Il passait alors sa main sur la chatte de Françoise. Elle ruisselait comme une fontaine.
Il y introduisait trois qu'il faisait vibrer de bas en haut. Il les ressortaient accompagné d'une éjaculation faisant trembler et gémir la belle.
• Regardez mes amis, qu'elle ose nous dire que nous ne l'avons pas fait jouir. Marc est un heureux mari, vous devez le combler, même si au dire de mes amis, votre cul était bien serré. Marc ne doit pas beaucoup le visiter. Vous souhaitez peut-être que je lui en parle ?
• Non je vous en prie arrêtez, je vous en prie.
• Ma chère votre tête dit non, mais votre corps dit le contraire regardez le fruit de votre jouissance.
Il caressait la bouche de Françoise, avec les doigts qu'il venait d'introduire dans sa chatte ruisselante.
À présent, il tapait quatre fois dans ses mains. Quatre femmes au visage dissimulé venaient se joindre aux deux serviteurs.
• Messieurs, veuillez détacher la charmante femme de Marc. Florence, accompagnez-la. Mesdames vous ferez en sorte d'offrir à nos deux hôtes de marque bains et massages relaxants. Vous leur servirez une collation. Ramenez-nous ensuite ces charmantes femmes. Nous consacreront notre après-midi à en faire de réelles bêtes de sexe.
Je suis certain que ma chère Françoise trépigne d'impatience.
• Non je vous en prie, laissez-moi appeler mon mari s'il vous plaît. Laissez-nous en paix.
• Ne vous inquiétez pas ma chère, je vais l'appeler votre petit mari. Vous serez en paix plus tard. Cet après-midi gravera dans votre chair, qu'on ne se moque pas impunément de mes sujets.
Vous mes amis, ne soyez pas impatients. Faites-moi confiance, vous aurez toute l'après-midi pour jouir de nos charmantes petites Parisiennes. Vous connaissant je suis sur que vous saurez combler leurs puits de jouissance.
Allons messieurs, un repas nous attend, pendant que mon personnel préparera le présent salon à notre après-midi de luxure.
DEUX HEURES DE REPOS ET DE VÉRITÉ
Françoise sanglotait. Je la soutenais aider par les servantes nous nous dirigions vers une immense salle qui disposait d'une piscine, de Jacuzzi et hammam. Il y avait de confortables salons entourés de tables basses où un copieux buffet nous attendait.
Les servantes nous invitaient à nous installer dans l'eau chaude d'un immense SPA.
Nous étions toutes deux silencieuses, les yeux fermés. Seul le bruit des bulles et des jets qui massaient nos corps, résonnait dans cette immense salle.
Je pensais aux réactions de Françoise. Je dois dire que ses suppliques envers Habbab m'avaient étonnée. Au regard de sa longue expérience au service des hommes d'affaires, elle avait bien dû subir des moments, autrement plus pénibles que ceux de la matinée.
Je pensais alors que ce que m'avait imposé Igor et Tao à Nice était selon moi bien plus pénible.
Je n'avais pas d'explication.
J'ouvrais les yeux et les miroirs qui recouvraient l'intégralité du plafond me permettaient de voir nos deux corps allongés côte à côte.
Françoise ouvrait alors les yeux rougis par les larmes. Elle s'adressait alors à mon reflet dans les miroirs :
• Florence, ne m'interrompez pas s'il vous plaît, ce que j'ai à vous dire n'est pas facile.
• Mais Françoise...
• Non je vous en prie, écoutez-moi. Je vous ai menti. Enfin pour être plus précise j'ai enjolivé une vérité. Je ne suis pas la call-girl pétrie d’expérience que Marc vous à vendu.
À l'époque, j'étais secrétaire dans une petite boîte qui était en affaires avec Marc.
Lors d'un congrès, plusieurs couples de patrons étaient là en compagnie de Marc qui était célibataire.
Après un repas plus qu'arrosé, la soirée a légèrement dérapé pour finir en partie fine.
Mais la vérité est que ce soir là je n'ai baisé qu'avec Marc.
Je me suis refusée aux autres participants, à l’exception de quelques légers attouchements. Voilà mon seul fait d'arme. La suite vous la connaissez Marc est tombé raide dingue de moi et m'a épousé.
• Non mais c'est impossible, l'institut de beauté, notre relation dans mon appartement.
• Marc a senti un potentiel en vous. Il m'a demandé de l'aider à vous pousser pour accepter le job que vous faites aujourd'hui.
• Et les détournements de mon mari ne me dites pas que c'était un mensonge !
• Non Florence, malheureusement ils sont bien réels. Et pour ce qui est de votre train de vie aujourd'hui, Marc employait des agences de Call-girls. Il savait que vous gagneriez beaucoup d'argent.
• Mais pourquoi ne pas avoir continué à utiliser ces professionnelles !
• Parce qu'il y a des confidences et des secrets qui peuvent fuiter avec ces agences. Je vous demande pardon Florence. Vous n'imaginez pas à quel point je suis effrayée de ce qui nous attend cet après-midi.
Je me tournais vers elle et la prenais dans mes bras. Je lui disais comprendre à la fois son « mensonge » mais également sa peur de cet après-midi.
• Françoise, tout à l'heure il va falloir assurer. Ne rien lâcher. Quoiqu'ils nous fassent vous savez, et vous l'avez vécu, au bout d'un moment nous prendrons du plaisir.
• Ce que vous me dites est épouvantable Florence. Vous savez, ce matin ce qu'ils m'ont fait c'était pour moi la première fois. Jamais le sexe de Marc ne m'avait pénétré aussi loin dans la gorge et il n'a même jamais touché à mon anus. C'est affreux, vous l'avez-vu, j'ai eu un orgasme.
• Je sais, c'est ainsi et Habbad l'a bien compris lorsqu'il vous a dit « votre tête dit non mais votre corps dit oui ». J'ai vécu la même chose à Nice.
Aussi j'ai passé cette épreuve en prenant et en jouissant du plaisir de l'instant même s'il était parfois douloureux.
Pendant ces instants, je n'ai jamais cessé de penser que c'était moi qui menais le jeu et qui en définitive dominais ces hommes.
Alors promettez-moi de faire la même chose, et tout ira bien vous verrez.
• Je vous le promets.
Les servantes nous invitaient à sortir des bulles relaxantes, pour nous étendre sur les tables de massage. Jamais je n'avais ressenti un tel bien-être.
Allongée sur le ventre une servante me massait les pieds, elle remontait mes mollets, mes cuisses. Elle écartait mes fesses, l'huile tiède et parfumée s'étalait délicatement sur mon anus et pénétrait la fente des lèvres de mon minou.
L'autre servante s'occupait de mon dos, de mes épaule, de ma nuque et, de façon magique me massait le cuir chevelu. Parfois elle saisissait des mini-fruits rafraichissants qu'elle glissait dans ma bouche.
J'entendais Françoise qui, bénéficiant du même traitement, elle gémissait et marmonnait
« Que c'est bon... Hum, un pur bonheur ».
Je la regardais en souriant, je pensais qu'elle commençait à libérer son esprit pour ne vivre que l'instant présent.
Après notre massage, nous avions l'impression de marcher sur un tapis de nuages. La pendule marquait bientôt 14h00.
Les servantes nous invitaient à enfiler une longue robe tissée dans un voile totalement transparent. Un immense V à l'avant descendait jusqu'au nombril dévoilant la moitié de nos seins.
À l'arrière, un V identique laissait notre dos et la naissance de notre raie culière.entièrement dénudés.
Très serrée à la taille, la particularité du bas, en dessous des hanches, était d'être découpée en quatre pans.
Le couturier permettait ainsi, aux hommes qui le désiraient, d'avoir accès à notre sexe ou à notre cul, sans nous contraindre à quitter ce voile.
Comme pour notre tenue précédente, mon voile était bleu et celui de Françoise était rouge.
Nous étions priées de mettre nos chaussures dont les talons aiguilles nous grandissaient de plus de dix centimètres.
Une fois chaussés, nos mollets, nos cuisses se galbaient magnifiquement et nos fessiers se resserraient.
Nos culs alors se bombaient de façons indécentes et nos chutes de reins avaient de quoi affoler les hommes les plus timides.
Les servantes nous avaient magnifiquement maquillées aux couleurs de nos robes provocantes.
• Françoise je crois que nous sommes prêtes pour servir ces messieurs.
• Oui je suis stressée.
• Restez calme et dans les moments difficiles, pensez à moi je serais avec vous. Et ne vivez que le plaisir que vous procurera votre corps. Il doit prendre le pas sur votre esprit et tout ira bien.
• Merci Florence.
Ils nous restaient à présent une après-midi et une journée complète avant le retour de Marc et Sofiane et notre imagination étaient bien loin du réel que nous allions connaître et que je vous raconterai.
J'étais seule dans l'avion qui me ramenait de Nice à Paris.
J'avais quitté le palace Niçois ou toute la nuit, j'avais été contrainte d'affronter les folles exigences de Tao et d'Igor.
Je les revoyais m'offrir au petit matin à ce grand black de Max qui m'avait violemment sodomisé faisant de ma virginité un souvenir qui maintenant s'éloignait.
Le sentiment de haine que j'avais éprouvé à l'égard de ces deux hommes, laissait place à ma satisfaction d'avoir honoré mon contrat vis-à-vis de l'entreprise et de Marc mon patron.
Il avait conclu cet énorme contrat avec le Russe et le Chinois. Il m'avait remercié et déclaré avoir viré 6 000 € sur mon compte en rémunération de la soirée. Ajoutant que sa femme Françoise, m'attendrait à Orly.
ORLY UNE SURPRISE DE TAILLE
J'étais à présent dans le hall dans l'attente du traditionnel ballet des valises sur le tapis roulant.
Je faisais les cent pas, et j'avais fait un petit signe à Françoise qui m'attendait derrière les baies vitrées. Elle était comme à son habitude d'une élégance redoutable.
L'attente des bagages était interminable, lorsque je remarquais un homme que j'avais déjà aperçu dans l'avion. Il était remarquable par sa tenue traditionnelle typique d'un pays du golf.
Couvert des pieds à la tête par un luxueux tissu d'un blanc éclatant, sous son serre-tête noir se dessinait un joli visage aux yeux clairs.
Il ne manquait pas une occasion de poser son regard sur moi qui, sans nul doute me déshabillait.
Perchée sur mes talons hauts, mon pantalon serré faisait jaillir mon petit cul et il devait voir, au gré du mouvement de mes hanches, mes fesses s’agiter comme une pendule excitante.
Mes seins libre de soutien-gorge, pointaient en ballotant légèrement sous mon pull au rythme du claquement de mes talons sur le sol.
Même de dos, je sentais clairement son regard sur moi, c'était le même que celui de Tao ou d'Igor lors de notre première rencontre.
L'arrivée de ma valise mettait un terme à cet étrange impression de déjà vu.
Je sortais et Françoise s'avançait vers moi.
• Bonjour Florence tu as fait bon voyage, je sais que tout s'est bien passé à Nice. Je te félicite.
• Merci Françoise, on y va.
• Non, nous attendons un client. Normalement, il devait être dans le même avion que toi. Au fait il faut que tu saches. Igor et Tao nous ont remis une enveloppe bien épaisse pour toi. Un sérieux bonus financier je crois qu'il s'agit de 5000 dollars.
• Non ce n'est pas vrai !
• Ils ont été impressionnés par ta ténacité et ton caractère. Voilà tout est dit. Tiens je crois que c'est notre client qui arrive.
Je voyais alors s'approcher l'homme tout de blanc vêtu. Un sourire illuminait sur son visage à la peau cuivrée.
• Florence je te présente Sofiane qui représente plusieurs de nos importants clients du Maghreb
• Enchanté Florence. Françoise m'avait vanté votre beauté, mais je constate qu'elle était en
dessous de la vérité.
• Je vous remercie monsieur.
• Appelez-moi Sofiane
• Très bien Sofiane.
J'étais sous le charme de cette voix douce. Françoise me regardait avec un œil malicieux et nous invitait à prendre un petit déjeuner dans un club privé à proximité de l'aéroport.
DANS L'INTIMITÉ DU CLUB HOUSE
Une fois de plus je pouvais constater que Françoise savait choisir les endroits de luxe pour recevoir des clients.
Nous étions à présent dans cette banlieue parisienne bien connue pour ses élevages de chevaux purs sangs. Un hôtel et un restaurant étoilé ou le propriétaire avait mis à notre disposition, un petit salon privé pour nous délecter d'un copieux et raffiné petit déjeuner.
Une grande baie vitrée nous offrait une vue imprenable sur la piste d'entrainement des chevaux galopants dans le brouillard du matin.
Confortablement installée, et dégustant fruits pâtisseries et autres délices qui accompagnaient mon café. J'écoutais d'une oreille distraite la conversation entre Sofiane et Françoise. Ils échangeaient alternativement en français et en anglais dont bien des tournures de phrases m'était totalement inconnue. Je me sentais moins seule en constatant que notre invité avait bien des lacunes dans notre langue.
Assis entre nous, il ne ratait pas une occasion de me dévisager et je pouvais aisément deviné qu'il m'imaginait certainement débarrassée de mon pull et pantalon. Je le regardais en souriant lorsque Françoise me dit
• Florence, cet homme est très influent auprès d'un prince qui règne dans le golf. Marc et moi nous n'avons jamais obtenu de possibilité d'ouvrir l'entreprise à ces régions. Il te dévore des yeux et je pense que tu pourrais saisir l'opportunité de cet instant, pour organiser ce rapprochement.
• Oui mais comment veux-tu procéder.
• Laisse-moi faire et ne soit pas surprise. Tu ne vas pas tarder à être copieusement arrosée de café ou de lait. Je suis certaine que notre hôte t'offrira ses services pour réparer les dégâts.
Au moment où Sofiane attrapait le pot de lait qui se trouvait sur la desserte derrière nous, Françoise très adroitement bousculait sa chaise. Le lait jaillissait du pot atterrissant à la fois sur mon pull et mon pantalon. Je poussais alors, un petit cri de surprise. Immédiatement Sofiane me dit
• Sorry, excuse-me Florence.
• Françoise s'adressait à lui en anglais. De la main elle lui indiquait la porte des toilettes privées dont disposait la salle.
Sofiane se levait, me prenant par la main, il m’entraînait vers ce lieu très privé. Deux immenses lavabos reposaient sur un long plan de travail ou étaient disposés des serviettes de toilettes.
A peine entrée Sofiane tournait le loquet interdisant tout dérangement.
Sans un mot, il commençait délicatement à éponger mon pull. Je sentais ses mains puissantes s'attarder sur ma poitrine qui frémissait. La fine laine blanche laissait à présent pointer mes bouts de seins bruns qui écartaient les mailles.
Le regard de Sofiane craquait, ses deux mains, en un éclair, franchissait la barrière qui le séparait de mes globes généreux. Le pouce et l'index de sa main gauche faisait dresser mon téton pendant qu'avec agilité sa main droite avait détaché les boutons du pull.
Il m'invitait à enlever ainsi ce vêtement devenu inutile. Il me caressait les seins goulûment, les soupesant, titillant les aréoles appuyant sur les petits bouts pointant avec arrogance vers lui.
Très grand, il me dominait. Je penchais alors la tête en arrière, je plongeais mon regard au plus profond de ses yeux clairs.
Je formais alors avec mes lèvres un O, permettant ainsi à ma langue d'en faire le tour.
À chaque rotation, j'élargissais le cercle de mes lèvres qui s'humectait et brillait de la salive que j'y déposais.
Sofiane était tétanisé, son regard ne quittait plus cette bouche, dont la langue lui faisait imaginer mille jouissances.
Sans le quitter du regard, je posais ma main droite à hauteur de sa poitrine. Le tissu de sa tenue était d'une finesse et d'une douceur exceptionnel. Ma main glissais lentement vers le bas, centimètres par centimètres.
Arrivé à hauteur de son ventre, je tournais la paume de ma main vers le haut. Mes doigt alors cheminaient inexorablement vers son son entre-jambes.
La respiration de Sofiane était courte et ses battements de paupières trahissaient son émoi. Il avait abandonné mes seins. À présent, ses mains caressaient mes épaules et ma nuque. Il fermait les yeux.
J'en profitais pour jeter un regard vers le bas. Il m'offrait une très belle érection qui tendait le tissu soyeux de son vêtement.
Je sentais dans le même temps, que les caresses sur ma nuque se faisaient plus lourdes. Ses mains puissantes revenaient sur mes épaules. Elles exerçaient à présent une pression si forte que je ne pouvais que me baisser.
Je me retrouvais à genoux, mes mains passaient alors sous le bas de son vêtement.
Mes doigts remontaient le tissus soyeux vers le haut. Je découvrais ainsi ses mollets musclés, puis ses cuisses.
Enfin je découvrais son sexe qui se dressait fièrement. Le gland pointant vers le haut reposant sur son nombril.
Sofiane ayant ôté son vêtement, il m'apparaissait en toute nudité. Il posait ses mains sur ma tête. L'invitation était claire.
Je posais mes lèvres à la base de ses très grosses couilles imberbes. Elles frémissaient sous les petits baisers que je leur offrais.
Ma langue à présent remontait entre les deux belles boules pour atteindre le gland violacé et tendu à l'extrême. Je déposais un important flot de salive sur sa pointe.
Formant un anneau de mon pouce et mon index, je le glissais de haut en bas, faisant reluire sa verge sur toute sa longueur.
J’exerçais de petites pressions et je terminais à la base, en caressant ses deux couilles de la paume de ma main humide.
Sofiane gémissait au moment où je décidais d'avaler son pénis lentement sans m'arrêter, afin que son gland atteigne mon arrière-gorge.
Mon nez ne touchait pas encore son ventre aussi, je penchais légèrement ma tête en arrière.
Je déglutissais, permettant ainsi au gland, de franchir les derniers centimètres, qui le séparaient du nirvana de ma gorge profonde.
Sofiane poussait un grognement sourd. Ma main gauche caressait ses couilles et ma main droite passée sous son entre-jambe caressaient son cul mes doigts investissant sa raie.
Il tentait de reculer pour échapper à cette caresse, mais je le retenais.
Ma langue tapotait la base de sa verge, elle atteignait même le dessous de ses couilles.
Les contractions de ma gorge, lui administraient des pressions sur le gland, lui procurant des spasmes qui agitaient son bassin et ses jambes de légers tremblements.
Je choisis l'un de ses petits coup de reins, pour pénétrer son anus de mon index d'une poussée rectiligne et continue. J'atteignais ainsi la base de sa prostate, que j'excitais par de multiples caresses. Je sentais alors son anus se contracter violemment sur mon doigt.
Tremblant de tout son corps, Sofiane poussait cri qui s'accompagnait de trois généreuses éjaculations qui tapissaient ma gorge.
J'avalais sans hésiter son sperme. Je coordonnais alors, la libération de ma bouche avec le retrait de mon doigt de son rectum.
J'avais en face de moi un homme médusé et pantelant. Je me relevais après avoir effacé les traces de lait sur mes vêtements, je remettais de l'ordre dans ma tenue.
Sofiane était entré rapidement dans les toilettes.
J'en profitais pour m'éclipser et rejoindre Françoise. Je lui murmurais à l'oreille
• Ma chère Françoise je crois que notre ami Sofiane, n'a jamais éjaculé aussi vite, dans la gorge d'une femme.
• Je savais que tu étais capable de te rendre indispensable à lui. Bravo.
La porte s'ouvrait, notre cher ami la mine ravie nous rejoignait à table. Françoise ne le laissait pas reprendre ses esprits.
• Sofiane quand allez-vous enfin nous mettre en contact avec votre prince et vos amis du Golf. Je suis certaine qu'avec eux nous pourrions faire des affaires, mais également prendre du plaisir et du bon temps, la vie est si courte.
• Ma chère Françoise j'aurais grand plaisir à vous recevoir et à vous présenter mon employeur et mes relations d'affaires. Que proposez-vous.
• Nous pourrions vous rencontrer avec Marc dans un des nombreux palaces qui font la réputation de votre capitale. Bien sûr nous prendrions à notre charge tous les frais.
• Il n'en est pas question ma chère, vous serez nos hôtes. Toutefois j'y mettrais une condition. Il nous serait agréable que votre amie Florence soit du voyage. Au regard de ma maladresse je lui dois bien ça.
• Très bien Sofiane c'est vous qui décidez.
DANS LA VILLE DES MILLE ET UNE NUITS
Le grand jour était arrivé. Françoise, Marc et moi, nous volions en direction du Maghreb pour rejoindre la capitale où Sofiane nous attendait pour nous présenter aux gens les plus influents du pays. Inutile de dire que nous étions fébriles.
La signature éventuelle de contrats, permettrait à l'entreprise de s'implanter durablement dans ce pays avec des perspectives d'aller au-delà de ses frontières.
À l'aéroport, Sofiane tout sourire, nous accueillait chaleureusement.
• Bonjour à vous, bienvenue dans notre pays.
• (Marc) Merci de votre accueil Sofiane nous sommes à votre disposition.
Dans la luxueuse limousine qui nous menait à notre résidence, Sofiane nous remettait un document qui nous présentait le programme des trois jours.
Une visite de deux jours des magasins et usines du plus important groupe du pays.
Son président se nommait Abbad ce qui signifie « fervent adorateur ».
Il était l'un des plus hauts dignitaires de la royauté. En clair, pas un seul business ne se faisait dans le pays, sans son autorisation.
Le troisième et dernier jour, nous étions invités à une réception au palais, en présence des hommes les plus influents du pays.
La luxueuse voiture faisait une halte en bord de mer devant une gigantesque et majestueuse résidence entourée de palmiers et de mille fleurs. Sofiane en ouvrant la porte nous dit
• Mes amis, je vous abandonne . je dois rejoindre mon maître dans cette maison. Le chauffeur va vous accompagner jusqu'à votre résidence. Je passerai vous prendre demain matin à 8 heures pour la première journée de visite des entreprises. Bonsoir
Nous étions fort surpris de l'expression « mon maître » mais bon, certainement une coutume traditionnelle.
Le chauffeur nous déposait dans un palace ou une suite nous était réservée.
Après un repas délicat et raffiné, le maître d'hôtel nous remit à Françoise et à moi-même une enveloppe de la part de Sofiane.
Nous nous empressions de lire ce message qui était le même :
« Chère Florence, vous trouverez sur votre lit les vêtements qu'ils nous plairaient de vous voir porter demain. »
« Chère Françoise, vous trouverez sur votre lit les vêtements qu'ils nous plairaient de vous voir porter demain. »
Marc après les avoir consultés nous déclarait :
• Bon ce n'est pas compliqué d'accéder à leurs souhaits les filles.
Après cette sage parole et un café, je me retrouvais dans ma chambre. Je découvrais la tenue que j'étais invitée à porter demain.
Manifestement la tendance était au bleu. Une jupe en cuir découvrant légèrement les genoux, un chemisier léger boutonné devant avec un col en V très sage. Une veste de cuir et des chaussures à talons hauts du même bleu. Sans oublier le foulard assortit en guise de coiffe.
Un petit sac à main de cuir, contenait les sous-vêtements.
Tiens là, c'était le rouge vif qui dominait.
Culotte brésilienne en dentelle transparente et le soutien-gorge assortis très décolleté.
Nul doute que ces dessous étaient bien moins sages que les vêtements de dessus.
Ce qui était stupéfiant, c'est que nos hôtes connaissaient manifestement toutes nos mensurations.
J'étais impatiente de découvrir la tenue de Françoise.
UN CHANGEMENT DE PROGRAMME SURPRISE
Après un bain relaxant, j'avais suivi les instructions vestimentaires de Sofiane.
J'étais donc toute de bleu vêtu lorsque je rejoignais Marc et Françoise dans le petit salon où nous était servi le petit déjeuner.
Je restais sans voix en découvrant que Françoise avait exactement les mêmes vêtements que moi à un détail près. L'ensemble était rouge des pieds à la tête.
• Bonjour Marc, bonjour Françoise. Je constate que nos hôtes ont souhaité nous lancer un message sur leurs couleurs et goûts vestimentaires.
• À l'évidence ma chère Florence nos hôtes ne manquent pas d'originalité, n'est-ce pas chéri.
• Écoutez les filles, si vos tenues répondent à leurs souhaits, ne leur refusons pas ce petit plaisir. Sincèrement je vous trouve charmantes comme ça.
Sofiane venait d'entrer dans le salon nous rejoignant. Il était comme Marc vêtu d'un costume de bonne facture.
Il nous invitait à le suivre vers la sortie.
Les chauffeurs de deux voitures de luxe ouvraient les portes à notre intention.
• Bonjour Marc, si vous voulez bien nous allons emprunter le premier véhicule afin d'effectuer la visite des sociétés de mon maître.
Mesdames, je vous invite à vous diriger vers le second véhicule, il vous mènera en compagnie d'une collaboratrice visiter les magasins de luxe de notre centre commercial.
• Mon cher Sofiane n'était-il pas prévu que mon épouse et Florence nous accompagne ?
• Certes Marc, mais mon Maître en a décidé autrement. Il vous sera certainement agréable mesdames d'effectuer ces visites et de satisfaire ainsi aux désirs de votre hôte.
Nous vous retrouverons au terme de nos deux jours de tournée avec Marc pour la journée de réception au palais.
Françoise s'empressait de répondre
• Mon cher Sofiane, c'est avec plaisir que nous répondons à ce changement de programme qui semble faire plaisir à votre Maître.
• Merci mesdames, je sais que mon Maître saura vous combler comme vous l'avez fait pour moi à Paris. Mes respects.
UNE JOURNÉE TRÈS PARTICULIÈRE
La voiture de Marc avait démarré dans un crissement de pneus. Notre chauffeur était un très grand black qui devait avoisiner les deux mètres et dont la carrure imposante était impressionnante.
Françoise avait tenté de lui demander où nous allions mais, manifestement il ne pratiquait ni le Français ni l'Anglais.
Notre véhicule semblait sortir de la ville empruntant une piste désertique. Au bout d'une demi-heure, c'est un véritable palais entouré d'un très haut mur d’enceinte qui se dessinait sur le ciel bleu.
Deux immenses portes de bois s'ouvraient. Elles nous offraient un jardin d’Éden, un écrin de verdure et une d'explosion de fleurs et de couleurs qui nous émerveillaient.
Le chauffeur nous faisait signe de le suivre. Nous traversions de multiples allées et terrasses. La dernière dominait la mer. En contrebas, ce n'était pas moins d'une centaine de voitures de luxe qui stationnait sur un parking orné de palmiers et de buissons fleuris.
LA RENCONTRE AVEC LE MAÎTRE DES LIEUX
Nous venions de pénétrer dans un immense salon dont le chauffeur avait refermé la porte.
Nous étions seules. Une musique douce nous était offerte. La pièce comportait trois portes celle qui donnait sur la terrasse par laquelle nous étions entrées.
Une petite porte sur notre droite et une immense et très haute double porte qui ornait le centre du plus grand mur.
• Qu'en penses-tu Florence, nous devions bien faire les magasins selon les propos de Sofiane
• Oui je sais Françoise, c'est étrange mais à priori il y a changement de programme.
Françoise se dirigeait vers la porte par laquelle nous étions rentrées et qui donnait sur la terrasse. Elle tentait de l'ouvrir mais, manifestement, le chauffeur semblait l'avoir verrouillée en partant.
Nous attendions maintenant depuis une bonne demi-heure lorsque la petite porte s'ouvrait.
Précédé par deux colosses en tenue de serveur, un homme grand portant un smoking blanc nous apparaissait.
La cinquantaine, cheveux poivre et sel, le visage mat, un regard sévère souligné par deux yeux gris clair. D'un pas assurée, il s'avançait vers nous.
• Mesdames bonjour. Je me nomme Habbab, je suis heureux de vous accueillir dans ma modeste demeure. Je vois que vous avez suivi mes instructions en ce qui concerne vos vêtements. Alors dites-moi tout, en rouge j'ai bien affaire à Françoise la généreuse femme de Marc.
• C'est exact monsieur et je vous remercie pour votre invitation et cette très belle tenue.
• Et en bleu, nul doute que j'ai le plaisir de faire la connaissance de Florence dont Sofiane m'a vanté les immenses talents.
• Oui monsieur, je vous sais gré de ces très jolis vêtements et vous remercie de votre accueil.
• Bien, bien, mais vous allez avoir toute les deux, l'occasion de me remercier de bien d'autres présents. Ils vous attendent dans la salle de réception qui se trouve derrière cette porte monumentale.
Je ressentais face à cet homme une impression étrange. Chaque phrase qu'il prononçait dans un français parfait, s'accompagnait d'un regard qui nous balayait de la tête aux pieds.
• Mesdames asseyez-vous pour déguster ce délicieux cocktail, spécialité de mon barman.
L’HEURE DE PAYER NOTRE MANIPULATION
Nous étions assis face à lui. Nous dégustions cette boisson qui nous surprenait par son fort degré d'alcool. Il nous regardait avec un léger sourire en coin avant de nous assener la phrase qui allait bouleverser nos vies.
• Alors ma chère Françoise, il paraît que vous êtes une spécialiste pour bousculer les hommes et leur tasse de lait.
• C'est-à-dire monsieur, de quoi parlez-vous.
• Je préférerais ma chère que vous m'appeliez Maître. Alors quoi c'est-à-dire ! Vous n'avez peut-être pas fait tomber ce pauvre Sofiane dans un piège grossier !
• C'était une taquinerie de ma part Maître.
• Ah bon, vous appelez cela une taquinerie en France. Et vous Florence comment appelez-vous ce que vous avez fait à Sofiane le naïf. Je vous écoute.
• Maître je suis désolée, je ne sais quoi vous dire.
• Pourtant vous n'avez pas la bouche pleine aujourd'hui.
Françoise tentait d'intervenir
• Monsieur, je devais accompagner mon mari pour une visite et je ne comprends pas..
• Taisez-vous madame, à l'instant sachez que vous ne vous adressez pas à votre mari, mais à votre Maître. Levez-vous toutes les deux et suivez-moi.
Après avoir claqué dans ses mains, les deux serviteurs ouvraient les deux immenses portes.
Dans l'immense salle une centaine de personnes nous faisaient face. Leurs tenues étaient identiques, de couleur noire, elles portaient un pantalon et une tunique et étaient pieds nus. Le haut de leurs visages était recouvert d'un masque blanc, ne laissant entrevoir que leurs yeux.
Dans un silence pesant, cette noire assemblée s'écartait de part et d'autres formant une haie d'honneur que nous empruntions derrière Habbad, les puissantes mains des serviteurs nous poussant dans le dos.
A présent, seul le bruit sourd des deux portes se refermant résonnait dans la salle.
À notre passage les têtes masquées s'inclinaient. Nous arrivions sur un podium une sorte de scène de théâtre avec en arrière-plan un rideau noir.
Habbad nous prenait par la main nous invitant à gravir les marches. Le public pouvait alors me voir à gauche, le Maître au centre et François à sa droite.
Après un long silence sa voix résonnait
• Messieurs, je vous présente Florence tout de bleu vêtu et Françoise tout de rouge vêtu. Ne pensez-vous pas qu'avec mon smoking blanc nous formons un joli drapeau français ?
Une centaine de voix s'élevaient « Oui Maître ».
• Si vous êtes là ce soir, c'est pour deux raisons. La première est que vous parlez tous le français. La seconde c'est pour faire appel à votre générosité, pour les bonnes œuvres de notre pays. Aussi je vous propose de participer à une vente aux enchères.
Vous avez des questions.
• Mais que nous proposez-vous d'acheter.
• Mais tout simplement les vêtements de ces dames.
Les rires et les murmures remplissaient la salle. Sans même avoir le temps de respirer nous étions Françoise et moi devant une salle en transe. Les prix étaient démentiels. C'était à qui aurait ma jupe celle de Françoise.
A peine adjugé les mains puissantes des serviteurs nous déshabillait pour remettre aux gagnants leur lot.
Françoise qui avait bien tenté de se rebeller. Mais sur un claquement de doigt d'Habbad, l'un des ses colosses lui avait administré une paire de claques, la laissant à présent sans voix.
En deux temps trois mouvements nous étions déjà en sous-vêtements et là c'était une explosion d'excitation dans la salle. Les cris retentissaient :
« Je veux la culotte rouge » « Le soutien-gorge bleu est pour moi.» « Vite mettez-les à poils. »
« Oui qu'elles nous montrent leurs culs »
Nos soutiens-gorge et nos culottes brésiliennes atteignaient des prix hallucinants.
Nous étions à présent totalement dénudées, uniquement perchées sur nos escarpins.
• Alors mesdames, que pensez-vous de la générosité de cette assistance. Françoise vous avez des seins magnifiques et une paire de fesses qui vous font un cul qui est une véritable invitation à la sodomie croyez-moi.
• Je vous en prie monsieur, ce n'est pas des manières...
Un clac venait de retentir, le bruit sec de la main d'Habbad qui venait de s'abattre sur les généreuses fesses de Françoise
• Pas des manières ! Piéger Sofiane à Paris et demander à votre collaboratrice Florence de lui tailler une pipe, ce sont des manières peut-être ! Répondez
• Non monsieur, mais je …
Une seconde claque, plus violente, venait de s'abattre rougissant le joli cul de Françoise.
• Une bonne fois pour toutes, appelez-moi Maître, c'est bien clair !
• Oui Maître
• Avez-vous bien compris que vous êtes ici pour payer l'humiliation que vous avez fait subir à l'un de mes sujets. Répondez madame.
• Oui Maître
• Alors messieurs pour prendre le joli cul de la femme de Marc à vos portefeuilles les enchères reprennent.
• Non pas ça Maître. Je vous en prie.
Pour toute réponse, sur un simple regard d'Habbad, le serveur saisissait Françoise et lui administrait une fessée le cul tourné vers une salle totalement excitée. Chaque claque déclenchait des tonnerres d'applaudissements entrecoupés de rires.
Les fesses rougies de dix claques, Françoise avait retrouvé sa place les yeux baissés et humides.
Les enchères à présent s'envolaient. Au bout de dix minutes, deux prétendants n'arrivaient pas à se départager, ils en étaient à 30 000 $. Le prix de leurs fantasmes posséder le cul de cette femme mariée. Alors le Maître intervint.
• Messieurs, messieurs, je pense que vous pouvez vous partager ce lot, vous l'avez largement mérité. Je vous adjuge donc le cul de cette femme.
Pour ceux qui ne l'ont pas remporté, pas d'inquiétude il reste de nouvelles ventes. En attendant, apportez le tonneau.
Une rumeur enflait dans l'assistance répétant « le tonneau » oui le tonneau.
Le rideau arrière venait de s'ouvrir et deux grands gaillards poussaient une barrique qu'il disposait sur son support, de profil au public.
Je voyais alors deux paires d'anneaux, fixés sur l'arrondi dans les lames de bois vernis du tonneau.
Les yeux des masques s'agrandissait à la vue de ces trois oOo dessinés par cet assemblage.
Tous s'interrogeaient sur ce que le Maître réservait à cette jolie mature.
• Françoise, approchez-vous je vous prie. Installez-vous à plat ventre sur cet instrument que j'ai spécialement commandé pour vous.
Françoise cédait à cette demande. Elle se penchait en avant.
Son ventre reposait à présent sur le cerclage métallique central du tonneau.
Sa grande taille, permettait à la pointe de ses escarpins et aux doigts de ses mains d'effleurer la lourde moquette, de part et d'autre du tonneau.
La voix sévère d'Habbad résonnait à nouveau s'adressant à ses deux colosses de serviteurs
• Messieurs, je vous prie de bien vouloir procéder, merci.
Le premier faisait glisser les poignets de Françoise dans les anneaux dont le claquement sec de la fermeture immobilisait les bras de la belle.
Le second faisait de même pour les chevilles à la différence, que les anneaux étaient situés à chaque extrémité du tonneau. Le compas des jambes Françoise, était ainsi écarté au maximum.
L'opération terminée, les serviteurs faisait tourner le tonneau sur son axe.
Au premier demi-tour
Françoise offrait au public la vue de son dos et la naissance de ses fesses. Tête penchée en avant ses longs cheveux dont les pointes touchaient le sol dégageait sa nuque et ses jolies épaules.
Le second demi-tour
Provoquait un ouah dans l'assemblée. Les longues jambes écartées de Françoise, révélait sa chatte soigneusement épilée ainsi que sa longue raie culière. Elle offrait une vue imprenable sur ce petit anus qui s'était adjugé à prix d'or.
Pendant que les hommes en noir admiraient ce magnifique cul et cette chatte luisante sous les projecteurs.
Habbad côté rideau se saisissait des cheveux de Françoise. Il lui relevait la tête et nn souriant et je l'entendais lui chuchoter :
• Ma belle, je crois bien que mes disciples vont bientôt vous casser le cul.
• Non, je vous en prie, cessons tout cela, je vous jure que je ne dirais rien à mon mari si vous arrêtez maintenant. Ne faites pas ça.
La main libre d'Habbad s'abattait alors violemment sur son entre-jambe.
La paume claquait la base de ses fesses. Par contre, j'avais clairement vu les cinq doigts frapper sa chatte dont les lèvres à présent étaient teintées rouge vif.
Sans répis, la main s'abattait pour la seconde fois en visant la même cible.
Françoise alors criait
• Arrêtez arrêtez … Marc...Marc ...Arrêtez s'il vous plaît.
Ces cris semblaient alors décupler le plaisir qu'Habbad prenait à fesser cette femme qui avait humilié son collaborateur à Paris.
Sous les hourras de l'assistance survoltée, la large main du Maître s'abattait à nouveau visant cette fois-ci l'intégralité de la chatte de Françoise qui se débattait inutilement.
Ses seins opulents, ballotaient de droite à gauche au rythme des puissantes claques sur ses lèvres les plus intimes.
Les coups cessaient. Habbad avait posé ses mains sur ses tempes et la regardait droit dans les yeux.
• Madame inutile de me faire des promesses. Je peux vous affirmer que vous ne direz jamais rien de ces journées à votre cher mari. Vous comprenez bien ce que je vous dis ?
• Oui Maître, je ne dirais rien, jamais.
• C'est bien, c'est très bien, je vois que votre éducation prend la bonne direction.
Sans relâcher sa tête il interpellait ces serviteurs
• Messieurs, libérez-moi, afin que j'honore la bouche de la femme de notre ami Marc.
Les serviteurs s'agenouillaient. Ils faisaient lentement descendre le pantalon d'Habbad libérant une verge en totale érection.
• Ma chère Françoise, l'heure est venue de me prouver que vous êtes aussi douée que Florence dont Sofiane m'a rapporté l'expérience dans ce domaine.
Il forçait à présent les lèvres de Françoise et faisait reposer son gland humide sur sa langue. Il commençait à baiser lentement cette bouche. Je voyais les yeux humides de ma patronne. Elle salivait de plus en plus sur ce sexe qui occupait maintenant l'intégralité de sa langue.
• Alors comme ça messieurs, vous gagnez un cul magnifique et vous ne venez pas le prendre ! Allons du nerf que diable, bougez-vous. Venez m'embrocher cette Française qui se dit experte en jeux sexuels.
• Oui Maître
Les deux heureux gagnants se précipitaient. Le premier prenait un malin plaisir à écarter les deux globes fessiers. La raie culière ainsi totalement dégagée, offrait au second l’œillet convoité.
• Quel cul Maître, ce cul c'est un présent inestimable.
• C'est bien, alors qu'attends-tu pour l'enculer. Mettez du cœur à l'ouvrage, cela lui fera peut-être ouvrir cette gorge, qui me semble quelque peu étroite pour mon sexe.
J'entendais les vaines protestations de Françoise étouffée par la verge d'Habbad qui occupait l'essentiel de sa bouche.
Il forçait à présent à coups de reins, pour accentuer la progression de son gland vers l'arrière-gorge.
La foule criait à présent « le cul, le cul, le cul, le cul ».
Une voix se détachait alors hurlant « allez y enculez-là, enculez-là »
Les mains puissantes pressant le ventre de Françoise contre le tonneau, ses reins étaient cambrés au maximum et son cul à présent paraissait énorme. Les yeux exorbités, d'un seul et puissant coup de rein, l'homme enfonçait sa queue d'un seul trait, au plus profond de son anus.
Je percevais le hurlement de douleur de Françoise, étouffé par la verge d'Habbad qui semblait elle aussi, avoir atteint son but.
À présent c'est à grands coups de reins que les deux hommes pénétraient la belle. Leurs couilles claquaient son menton et ses fesses à chaque pénétration.
Françoise avait des haut de cœur et salivait abondamment. Son anus dilaté luisait des sécrétion de son enculeur, qui venait de se retirer pour laisser la place à son copain. Ce dernier semblait plus jeune, et s'agitait maintenant à une vitesse folle dans cet anus de rêve.
• Florence, venez ici immédiatement
• Oui Maître
• Massez-moi des épaules jusqu'à mon cul. Lorsque vous y serez, soyez aimable de bien vouloir lécher mon anus. Vous avez compris.
• Oui Maître
Je m'exécutais, j'avais massé les épaules et le dos et j'étais à présent devant les deux fesses musclées.
J'écartais les deux globes qui avançaient et reculaient au rythme de la verge qui pénétrait la gorge de Françoise.
Ma langue à présent tournoyait sur cet anneau sombre qui s'ouvrait lorsque le Maître poussait violemment son sexe en avant.
• Oui c'est bon Florence. Tu vois ma petite Françoise maintenant ta gorge et ton cul deviennent de plus en plus accueillants, c'est bien car ils vont avoir de nombreux visiteurs.
Il sortait alors totalement sa verge de sa bouche et mettait son pied droit sur le support du tonneau. Laissant ainsi une vue plongeante sur la feuille de rose que je pratiquais sur son anus.
J'entrevoyais Françoise qui bavait abondamment.
Elle était totalement essoufflée par la gorge profonde qui lui était imposée. elle grimaçait sous les coups boutoirs de son jeune enculeur qui défonçait son généreux cul de sa longue et épaisse verge.
• Vous aviez raison ma chère Françoise votre petite Florence est douée pour exciter le cul des hommes. Ouvrez votre bouche et tendez votre langue, le moment est venu de goûter mon lait. Florence faites moi donc connaître ce plaisir que vous avez offert à Sofiane.
• Oui Maître
Il venait à nouveau de pénétrer la bouche de Françoise et le gargouillis que j'entendais ne laissait pas de place au doute. Son gland venait de franchir et même de dépasser la barrière de l'arrière-gorge. Il imprimait de petits coups de reins, pour maintenir ses grosses couilles écrasées sur sa lèvre inférieure.
Derrière elle les deux compères ne manquaient pas d'imagination. Le premier, à cheval sur ses reins, s'était allongé de tout son long sur son dos, le sexe à 90 degré enfoncé jusqu'à la garde dans son fondement.
Le second resté debout, poussait de sa main droite son gland, afin de rejoindre celui de son ami pour gratifier la belle française d'une double pénétration anale.
L'assemblée était survoltée des cris jaillissait de toutes parts :
« Oui, enculez-la à deux. » «Allez plus forts, à fond. » «Faites-la jouir.»
Les gémissements maintenant entre douleurs et jouissances de Françoise n'arrangeaient rien.
Ses gros seins ballottaient d'avant en arrière, ses tétons claquaient le cerclage métallique du tonneau à chaque fois que les verges pénétraient au plus profond de son intimité anale.
Alors l'excitation des hommes montaient d'un cran.
Une voix plus forte s'élevait dans l'assemblée, résonnant comme un coup de tonnerre :
« Regardez, regardez sa chatte éjacule, elle jouit, je vous dis qu'elle jouit , regardez.»
« Oui c'est vrai » « Ah ! Ces Françaises quelles baiseuses. » « Elles jouissent du cul. » « À notre tour, à notre tour. »
Nous étions à présent aveuglés par les flashs téléphones portables qui crépitaient immortalisant, pour leurs propriétaires, ces trois hommes qui baisaient deux belles Françaises.
Certains avaient sorti leur sexe et se gratifiaient d'une frénétique masturbation à la vue de ce tableau.
À ce moment prise de rage, je groupais index, majeur et annulaire de ma main droite et, d'une poussée rectiligne je pénétrais l'anus d'Habbad.
• Ha, salle petite pute tu vas me faire jouir.
• Oui Maître jouissez, libérez-vous. Vous ne sentez pas comme la bouche de mon amie est impatiente de goûter votre lait.
Je tournais mes doigts de droite à gauche. M'aidant de mon pouce, posé en appui sur le haut de sa raie, mes trois doigts exerçaient des pressions sur sa prostate. Maintenant ils entraient et sortaient de son cul. Au fil de mes allers-retours je sentais ses anneaux se détendre et devenir accueillant.
À présent, ses jambes tremblaient, nul doute que cet homme arrogant jouissait de la sodomie que ma main lui offrait. Ses gémissements me le confirmaient.
Face à ce spectacle, la salle était redevenue totalement silencieuse. Tous avaient les yeux braqués sur cette main féminine qui pénétrait les fesses de leur Maître.
Ma main gauche saisissait ses grosses couilles. Je les pressais tout en les faisant balloter de droite à gauche. Parfois, mes deux doigts formant un anneau, je saisissais la base de sa verge.
Je sentais alors les lèvres humides et le souffle chaud de Françoise sur mes doigts.
Je branlais ce petit bout de queue qui se contractait. Je voyais alors ses couilles remonter vers le haut et son anus était pris de spasmes qui serraient mes doigts.
Je sentais clairement à cet instant le cheminement de son sperme qui, à quatre longues reprises, atteignait la pointe de son gland, pour terminer dans la gorge de mon amie Françoise.
Alors qu'il hurlait « je jouis mes amis, je jouis.» Il sortait lentement sa queue de cette chaude bouche. Une dernière giclée de sperme venait frapper le front et les cheveux de la belle mature.
Françoise la bouche à peine libérée, poussait un cri : Ho ! Non,non... Ha...Ha... Ouiii.».
Ses deux enculeurs venait d'éjaculer en cœur leurs semences au plus profond de son intimité anale.
Leurs sexes sortaient lentement de son anus.
Une dernière giclée, blanchissait ses fesses, ses reins et une partie de son dos.
Françoise respirait profondément, ses seins étaient gonflées. La tête penchée sur le côté, sa joue reposant sur les lames de bois vernis. Elle regardait de ses grands yeux clairs, l'assemblée de ces hommes excités, qui contemplait son corps épuisé. Elle frissonnait, sa langue passait à présent sur ses lèvres afin d'effacer les dernières traces blanches qui brillaient sous les spots.
• Mes amis, qu'en pensez-vous, n'avons-nous pas rendu un fier hommage à la femme de notre ami Marc regardez le travail
Habbad avait saisi la chevelure de la belle, il exposait son visage tapissé de sa semence. Puis, tirant douloureusement sur ses cheveux, il faisait tourner le tonneau présentant l'anus béant et dégoulinant des sécrétions de ses deux amis.
Il délaissait ses cheveux et se tournait vers son cul, le gratifiant d'une petite claque sur ses jolies fesses. Il passait alors sa main sur la chatte de Françoise. Elle ruisselait comme une fontaine.
Il y introduisait trois qu'il faisait vibrer de bas en haut. Il les ressortaient accompagné d'une éjaculation faisant trembler et gémir la belle.
• Regardez mes amis, qu'elle ose nous dire que nous ne l'avons pas fait jouir. Marc est un heureux mari, vous devez le combler, même si au dire de mes amis, votre cul était bien serré. Marc ne doit pas beaucoup le visiter. Vous souhaitez peut-être que je lui en parle ?
• Non je vous en prie arrêtez, je vous en prie.
• Ma chère votre tête dit non, mais votre corps dit le contraire regardez le fruit de votre jouissance.
Il caressait la bouche de Françoise, avec les doigts qu'il venait d'introduire dans sa chatte ruisselante.
À présent, il tapait quatre fois dans ses mains. Quatre femmes au visage dissimulé venaient se joindre aux deux serviteurs.
• Messieurs, veuillez détacher la charmante femme de Marc. Florence, accompagnez-la. Mesdames vous ferez en sorte d'offrir à nos deux hôtes de marque bains et massages relaxants. Vous leur servirez une collation. Ramenez-nous ensuite ces charmantes femmes. Nous consacreront notre après-midi à en faire de réelles bêtes de sexe.
Je suis certain que ma chère Françoise trépigne d'impatience.
• Non je vous en prie, laissez-moi appeler mon mari s'il vous plaît. Laissez-nous en paix.
• Ne vous inquiétez pas ma chère, je vais l'appeler votre petit mari. Vous serez en paix plus tard. Cet après-midi gravera dans votre chair, qu'on ne se moque pas impunément de mes sujets.
Vous mes amis, ne soyez pas impatients. Faites-moi confiance, vous aurez toute l'après-midi pour jouir de nos charmantes petites Parisiennes. Vous connaissant je suis sur que vous saurez combler leurs puits de jouissance.
Allons messieurs, un repas nous attend, pendant que mon personnel préparera le présent salon à notre après-midi de luxure.
DEUX HEURES DE REPOS ET DE VÉRITÉ
Françoise sanglotait. Je la soutenais aider par les servantes nous nous dirigions vers une immense salle qui disposait d'une piscine, de Jacuzzi et hammam. Il y avait de confortables salons entourés de tables basses où un copieux buffet nous attendait.
Les servantes nous invitaient à nous installer dans l'eau chaude d'un immense SPA.
Nous étions toutes deux silencieuses, les yeux fermés. Seul le bruit des bulles et des jets qui massaient nos corps, résonnait dans cette immense salle.
Je pensais aux réactions de Françoise. Je dois dire que ses suppliques envers Habbab m'avaient étonnée. Au regard de sa longue expérience au service des hommes d'affaires, elle avait bien dû subir des moments, autrement plus pénibles que ceux de la matinée.
Je pensais alors que ce que m'avait imposé Igor et Tao à Nice était selon moi bien plus pénible.
Je n'avais pas d'explication.
J'ouvrais les yeux et les miroirs qui recouvraient l'intégralité du plafond me permettaient de voir nos deux corps allongés côte à côte.
Françoise ouvrait alors les yeux rougis par les larmes. Elle s'adressait alors à mon reflet dans les miroirs :
• Florence, ne m'interrompez pas s'il vous plaît, ce que j'ai à vous dire n'est pas facile.
• Mais Françoise...
• Non je vous en prie, écoutez-moi. Je vous ai menti. Enfin pour être plus précise j'ai enjolivé une vérité. Je ne suis pas la call-girl pétrie d’expérience que Marc vous à vendu.
À l'époque, j'étais secrétaire dans une petite boîte qui était en affaires avec Marc.
Lors d'un congrès, plusieurs couples de patrons étaient là en compagnie de Marc qui était célibataire.
Après un repas plus qu'arrosé, la soirée a légèrement dérapé pour finir en partie fine.
Mais la vérité est que ce soir là je n'ai baisé qu'avec Marc.
Je me suis refusée aux autres participants, à l’exception de quelques légers attouchements. Voilà mon seul fait d'arme. La suite vous la connaissez Marc est tombé raide dingue de moi et m'a épousé.
• Non mais c'est impossible, l'institut de beauté, notre relation dans mon appartement.
• Marc a senti un potentiel en vous. Il m'a demandé de l'aider à vous pousser pour accepter le job que vous faites aujourd'hui.
• Et les détournements de mon mari ne me dites pas que c'était un mensonge !
• Non Florence, malheureusement ils sont bien réels. Et pour ce qui est de votre train de vie aujourd'hui, Marc employait des agences de Call-girls. Il savait que vous gagneriez beaucoup d'argent.
• Mais pourquoi ne pas avoir continué à utiliser ces professionnelles !
• Parce qu'il y a des confidences et des secrets qui peuvent fuiter avec ces agences. Je vous demande pardon Florence. Vous n'imaginez pas à quel point je suis effrayée de ce qui nous attend cet après-midi.
Je me tournais vers elle et la prenais dans mes bras. Je lui disais comprendre à la fois son « mensonge » mais également sa peur de cet après-midi.
• Françoise, tout à l'heure il va falloir assurer. Ne rien lâcher. Quoiqu'ils nous fassent vous savez, et vous l'avez vécu, au bout d'un moment nous prendrons du plaisir.
• Ce que vous me dites est épouvantable Florence. Vous savez, ce matin ce qu'ils m'ont fait c'était pour moi la première fois. Jamais le sexe de Marc ne m'avait pénétré aussi loin dans la gorge et il n'a même jamais touché à mon anus. C'est affreux, vous l'avez-vu, j'ai eu un orgasme.
• Je sais, c'est ainsi et Habbad l'a bien compris lorsqu'il vous a dit « votre tête dit non mais votre corps dit oui ». J'ai vécu la même chose à Nice.
Aussi j'ai passé cette épreuve en prenant et en jouissant du plaisir de l'instant même s'il était parfois douloureux.
Pendant ces instants, je n'ai jamais cessé de penser que c'était moi qui menais le jeu et qui en définitive dominais ces hommes.
Alors promettez-moi de faire la même chose, et tout ira bien vous verrez.
• Je vous le promets.
Les servantes nous invitaient à sortir des bulles relaxantes, pour nous étendre sur les tables de massage. Jamais je n'avais ressenti un tel bien-être.
Allongée sur le ventre une servante me massait les pieds, elle remontait mes mollets, mes cuisses. Elle écartait mes fesses, l'huile tiède et parfumée s'étalait délicatement sur mon anus et pénétrait la fente des lèvres de mon minou.
L'autre servante s'occupait de mon dos, de mes épaule, de ma nuque et, de façon magique me massait le cuir chevelu. Parfois elle saisissait des mini-fruits rafraichissants qu'elle glissait dans ma bouche.
J'entendais Françoise qui, bénéficiant du même traitement, elle gémissait et marmonnait
« Que c'est bon... Hum, un pur bonheur ».
Je la regardais en souriant, je pensais qu'elle commençait à libérer son esprit pour ne vivre que l'instant présent.
Après notre massage, nous avions l'impression de marcher sur un tapis de nuages. La pendule marquait bientôt 14h00.
Les servantes nous invitaient à enfiler une longue robe tissée dans un voile totalement transparent. Un immense V à l'avant descendait jusqu'au nombril dévoilant la moitié de nos seins.
À l'arrière, un V identique laissait notre dos et la naissance de notre raie culière.entièrement dénudés.
Très serrée à la taille, la particularité du bas, en dessous des hanches, était d'être découpée en quatre pans.
Le couturier permettait ainsi, aux hommes qui le désiraient, d'avoir accès à notre sexe ou à notre cul, sans nous contraindre à quitter ce voile.
Comme pour notre tenue précédente, mon voile était bleu et celui de Françoise était rouge.
Nous étions priées de mettre nos chaussures dont les talons aiguilles nous grandissaient de plus de dix centimètres.
Une fois chaussés, nos mollets, nos cuisses se galbaient magnifiquement et nos fessiers se resserraient.
Nos culs alors se bombaient de façons indécentes et nos chutes de reins avaient de quoi affoler les hommes les plus timides.
Les servantes nous avaient magnifiquement maquillées aux couleurs de nos robes provocantes.
• Françoise je crois que nous sommes prêtes pour servir ces messieurs.
• Oui je suis stressée.
• Restez calme et dans les moments difficiles, pensez à moi je serais avec vous. Et ne vivez que le plaisir que vous procurera votre corps. Il doit prendre le pas sur votre esprit et tout ira bien.
• Merci Florence.
Ils nous restaient à présent une après-midi et une journée complète avant le retour de Marc et Sofiane et notre imagination étaient bien loin du réel que nous allions connaître et que je vous raconterai.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je suis écoeuré par ce récit. Le premier épisode ça pouvait aller, quoiqu'on y parle de prostitution après chantage. Le troisième est purement scandaleux. Florence explique à Françoise que les viols à répétition, au début ça fait mal mais au bout d'un moment on adore.
Mais on se moque de qui ? On va ainsi justifier toutes les horreurs commises pendant les guerres par exemple ? En Tchéc=tchénie, en Afghanistan ? au Vietnam ? en ex-yougoslavie? en Ukraine ? et il y a hélas des milliers de cas de ce genre.
On justifie donc à la fois la prostitution et les viols à répétition assortis d'humiliations diverses?
Il n'y a pas de régulation sur ce site ?
On est carrément hors les lois.
Roland
Mais on se moque de qui ? On va ainsi justifier toutes les horreurs commises pendant les guerres par exemple ? En Tchéc=tchénie, en Afghanistan ? au Vietnam ? en ex-yougoslavie? en Ukraine ? et il y a hélas des milliers de cas de ce genre.
On justifie donc à la fois la prostitution et les viols à répétition assortis d'humiliations diverses?
Il n'y a pas de régulation sur ce site ?
On est carrément hors les lois.
Roland
2 femmes pour une centaine d'homme ?
cela va faire un super gang bang abattage ...
très chaud ...
l'auteur va t'il tenir sa promesse ?
cela va faire un super gang bang abattage ...
très chaud ...
l'auteur va t'il tenir sa promesse ?
La suite s'annonce torride!