Florence et Elsa
Récit érotique écrit par Florence27 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2014 dans la catégorie A dormir debout
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Florence et Elsa
FLORENCE ET ELSA
Florence et Elsa se connaissent depuis longtemps, il leur semble bien que c'est depuis toujours. Jamais une dispute entre elles, jamais un nuage. Oh! Si parfois un désaccord mais elles en parlent franchement et finissent par trouver un terrain d'entente. Elles aiment être ensemble, se raconter leurs premiers émois, la découverte de ce plaisir curieux que l'on ressent parfois en faisant du vélo et que l'entre jambes frotte la selle.
Evoquer, avec des rires les bons moments comme celui où Florence avait embrassé une camarade sur la bouche et que leurs langues s'étaient mêlées, la chaleur qu'elle avait eue à ce moment là dans le bas du ventre; tandis qu'Elsa lui disait qu'une fois une amie lui avait dit que c'était très bon de s'embrasser sur cette fente, cachée dans les poils et par laquelle on fait pipi. Elle avait été surprise d'une telle pratique mais curieusement avait senti ce fameux endroit devenir humide sans qu'elle ait envie d'aller aux toilettes. Florence lui avouait que chose identique lui était arrivée et qu'en y mettant son doigt et en le sentant, elle avait trouvé l'odeur agréable, pas du tout celle de l'urine à tel point qu'elle avait remis son doigt là où c'était de plus en plus humide et qu'ensuite elle l'avait même sucé et que le goût, iodé, était très agréable.
Elsa évoquait sa vraie première fois avec une autre fille. Elles s'étaient longuement embrasser tandis que leurs mais avaient effleuré les seins dont les pointes dures et quand elles avaient senti l'entrejambes bien mouillé elles s'étaient mises têtes bêches pour pouvoir se sucer avec délices.
Les premiers slows avec un garçon avaient été la découverte que cette grosseur qu'avaient les garçons quand ils les serraient contre eux et que cette "grosseur" durcissait, entraînant chez l'une comme chez l'autre la même envie d'y frotter leur pubis.
Florence racontait son bain de minuit où filles et garçons avaient plongé nus dans les vagues, leur permettant de voir que les "bites", de chacun, étaient toutes dressées mais n'avaient pas la même forme. Que la pilosité des filles variaient de forme et que les lèvres qui coupaient les forets en deux n'avaient pas toutes la même longueur. Mais que la vue de ces corps nus s'ébattant dans les vagues lui avait donné une folle envie de venir écraser son corps sur celui d'une camarade qui s'était étendue sur le sable et de la parcourir d'une main devenue plus experte.
Presque à la même époque Elsa avait fait de même mais avec un garçon dont elle avait caressé la pine, (elle avait fait de nombreuses recherches dans les dictionnaires et autres publications pour découvrir les noms donnés à la trilogie qui ornait le bas ventre des garçons), et que si elle caressait cette fameuse bite ainsi que les deux boules appelées couilles après un temps plus ou moins court le garçon giclait un liquide blanc en longs jets saccadés tout en poussant des râles de plaisir.
Florence avait ajouté que c'était un peu la même chose quand on savait trouver le petit "bouton" caché dans son capuchon en haut de la fente à pipi, même seule elle obtenait le même résultat et se tordait et criait tellement le plaisir était grand!!!
Elles étaient tellement complices qu'elles avaient décidé que le premier garçon qui introduirait son pieu dans, celle qu'elles nommaient, la "caverne aux délices" tellement en ressentait de bien être après avoir découvert que cela avait pour nom orgasme et que le liquide iodé qui coulait jusqu'à la raie de leurs fesses avait pour nom cyprine.
Elles mirent leur plan à exécution portant leur dévolu sur un garçon qui les courtisait l'une et l'autre, ce demandant la quelle cèderait la première? Il faut dire qu'elles étaient tellement semblables, même coupe de cheveux, souvent les mêmes vêtements, elles fréquentaient les mêmes boutiques et sur la plage, portant le même maillot, de loin aurait cru des jumelles.
Le résultat fût au-delà des plus folles espérances de Mike puisqu'un soir, sur la plage, elles fondirent sur lui comme un vol de sauterelles avides de dévorer leur nourriture. L'une suçait son sexe pendant que l'autre chevauchait sa tête pour se faire sucer la fente. Etait-ce Florence qui prodiguait la fellation ou l'inverse?
La question importe peu puisque toutes deux firent en sorte de pouvoir absorber le divin nectar et qu'elles lui trouvait un goût bien identique pour l'une comme à l'autre. Il aurait même voulu s'enfoncer dans les deux en même temps, si cela avait été possible, mais de toutes façons elles avaient bien l'intention de connaître toute les deux l'exquise sensation d'un sexe d'homme s'enfonçant dans leur vagin. L'une après l'autre il les conduisirent à un plaisir, différent de celui que produit l'amour avec une fille, mais tout aussi délicieux.
Elles conclurent que l'expérience était à refaire et que la plénitude de leur plaisir sexuel était une trilogie composée de la masturbation, de douces relations avec une autre fille et de la sensation qu'elles éprouvait à sentir un membre bien raide écarter leurs lèvres intimes et à s'enfoncer au fond d'elle pur y lâcher son "jus" qui ensuite ressortait de la source bien mélangé à leur mouille et qu'elles dégustaient avec délices entre leurs cuisses.
Pour ne pas se quitter elles décidèrent de faire les mêmes ensemble. Les week-end pluvieux étaient consacré à de longues séances de masturbation, chacune pour soi même cote à cote; l'une se caressant les seins tandis que l'autre faisait frétiller son clitoris et plongeait son indexe dans la fente pour le ressortir tout mouillé et le sucer avec le même plaisir qu'un sucre d'orge. Quand Florence s'était faite jouir et avait crié son orgasme et se mettait à tirer ses pointes, Elsa abandonnait ses aréoles pour descendre sa main vers son puit d'amour.
Elles draguait ensemble les filles comme les garçons, prenant garde à jeter leur dévolu sur une proie qui pouvait convenir au deux.
C'est ainsi qu'elles rencontrèrent deux garçons aussi semblables qu'elles l'étaient elles même et qu'elle les épousèrent, bien sure le même jour.
La vie de l'une était la copie de celle de l'autre. Avec leur mari elles fréquentaient les mêmes clubs libertins, partaient en voyage ensemble et avaient les mêmes amantes. Bref tout ce que que faisait Florence, Elsa le faisait aussi.
En fait ce mimétisme n'avait rien de surprenant puisque Florence et Elsa ne sont qu'une seule et même personne et que cette personne c'est moi!…
NOTE EXPLICATIVE : A la suite de l'intrusion d'un virus dans mon P.C. il m'était devenu impossible de me connecter à mon compte Florence27. Pour contourner ce problème et avant qu'un ami, beaucoup plus doué que moi en informatique, vienne régler la question, j'avais eu l'idée d'ouvrir un autre compte au nom de FlorenceElsa27; Elsa étant mon deuxième prénom. C'est cette mésaventure qui m'a donné l'idée d'écrire ce récit, j'espère qu'il vous amusera.
Florence et Elsa se connaissent depuis longtemps, il leur semble bien que c'est depuis toujours. Jamais une dispute entre elles, jamais un nuage. Oh! Si parfois un désaccord mais elles en parlent franchement et finissent par trouver un terrain d'entente. Elles aiment être ensemble, se raconter leurs premiers émois, la découverte de ce plaisir curieux que l'on ressent parfois en faisant du vélo et que l'entre jambes frotte la selle.
Evoquer, avec des rires les bons moments comme celui où Florence avait embrassé une camarade sur la bouche et que leurs langues s'étaient mêlées, la chaleur qu'elle avait eue à ce moment là dans le bas du ventre; tandis qu'Elsa lui disait qu'une fois une amie lui avait dit que c'était très bon de s'embrasser sur cette fente, cachée dans les poils et par laquelle on fait pipi. Elle avait été surprise d'une telle pratique mais curieusement avait senti ce fameux endroit devenir humide sans qu'elle ait envie d'aller aux toilettes. Florence lui avouait que chose identique lui était arrivée et qu'en y mettant son doigt et en le sentant, elle avait trouvé l'odeur agréable, pas du tout celle de l'urine à tel point qu'elle avait remis son doigt là où c'était de plus en plus humide et qu'ensuite elle l'avait même sucé et que le goût, iodé, était très agréable.
Elsa évoquait sa vraie première fois avec une autre fille. Elles s'étaient longuement embrasser tandis que leurs mais avaient effleuré les seins dont les pointes dures et quand elles avaient senti l'entrejambes bien mouillé elles s'étaient mises têtes bêches pour pouvoir se sucer avec délices.
Les premiers slows avec un garçon avaient été la découverte que cette grosseur qu'avaient les garçons quand ils les serraient contre eux et que cette "grosseur" durcissait, entraînant chez l'une comme chez l'autre la même envie d'y frotter leur pubis.
Florence racontait son bain de minuit où filles et garçons avaient plongé nus dans les vagues, leur permettant de voir que les "bites", de chacun, étaient toutes dressées mais n'avaient pas la même forme. Que la pilosité des filles variaient de forme et que les lèvres qui coupaient les forets en deux n'avaient pas toutes la même longueur. Mais que la vue de ces corps nus s'ébattant dans les vagues lui avait donné une folle envie de venir écraser son corps sur celui d'une camarade qui s'était étendue sur le sable et de la parcourir d'une main devenue plus experte.
Presque à la même époque Elsa avait fait de même mais avec un garçon dont elle avait caressé la pine, (elle avait fait de nombreuses recherches dans les dictionnaires et autres publications pour découvrir les noms donnés à la trilogie qui ornait le bas ventre des garçons), et que si elle caressait cette fameuse bite ainsi que les deux boules appelées couilles après un temps plus ou moins court le garçon giclait un liquide blanc en longs jets saccadés tout en poussant des râles de plaisir.
Florence avait ajouté que c'était un peu la même chose quand on savait trouver le petit "bouton" caché dans son capuchon en haut de la fente à pipi, même seule elle obtenait le même résultat et se tordait et criait tellement le plaisir était grand!!!
Elles étaient tellement complices qu'elles avaient décidé que le premier garçon qui introduirait son pieu dans, celle qu'elles nommaient, la "caverne aux délices" tellement en ressentait de bien être après avoir découvert que cela avait pour nom orgasme et que le liquide iodé qui coulait jusqu'à la raie de leurs fesses avait pour nom cyprine.
Elles mirent leur plan à exécution portant leur dévolu sur un garçon qui les courtisait l'une et l'autre, ce demandant la quelle cèderait la première? Il faut dire qu'elles étaient tellement semblables, même coupe de cheveux, souvent les mêmes vêtements, elles fréquentaient les mêmes boutiques et sur la plage, portant le même maillot, de loin aurait cru des jumelles.
Le résultat fût au-delà des plus folles espérances de Mike puisqu'un soir, sur la plage, elles fondirent sur lui comme un vol de sauterelles avides de dévorer leur nourriture. L'une suçait son sexe pendant que l'autre chevauchait sa tête pour se faire sucer la fente. Etait-ce Florence qui prodiguait la fellation ou l'inverse?
La question importe peu puisque toutes deux firent en sorte de pouvoir absorber le divin nectar et qu'elles lui trouvait un goût bien identique pour l'une comme à l'autre. Il aurait même voulu s'enfoncer dans les deux en même temps, si cela avait été possible, mais de toutes façons elles avaient bien l'intention de connaître toute les deux l'exquise sensation d'un sexe d'homme s'enfonçant dans leur vagin. L'une après l'autre il les conduisirent à un plaisir, différent de celui que produit l'amour avec une fille, mais tout aussi délicieux.
Elles conclurent que l'expérience était à refaire et que la plénitude de leur plaisir sexuel était une trilogie composée de la masturbation, de douces relations avec une autre fille et de la sensation qu'elles éprouvait à sentir un membre bien raide écarter leurs lèvres intimes et à s'enfoncer au fond d'elle pur y lâcher son "jus" qui ensuite ressortait de la source bien mélangé à leur mouille et qu'elles dégustaient avec délices entre leurs cuisses.
Pour ne pas se quitter elles décidèrent de faire les mêmes ensemble. Les week-end pluvieux étaient consacré à de longues séances de masturbation, chacune pour soi même cote à cote; l'une se caressant les seins tandis que l'autre faisait frétiller son clitoris et plongeait son indexe dans la fente pour le ressortir tout mouillé et le sucer avec le même plaisir qu'un sucre d'orge. Quand Florence s'était faite jouir et avait crié son orgasme et se mettait à tirer ses pointes, Elsa abandonnait ses aréoles pour descendre sa main vers son puit d'amour.
Elles draguait ensemble les filles comme les garçons, prenant garde à jeter leur dévolu sur une proie qui pouvait convenir au deux.
C'est ainsi qu'elles rencontrèrent deux garçons aussi semblables qu'elles l'étaient elles même et qu'elle les épousèrent, bien sure le même jour.
La vie de l'une était la copie de celle de l'autre. Avec leur mari elles fréquentaient les mêmes clubs libertins, partaient en voyage ensemble et avaient les mêmes amantes. Bref tout ce que que faisait Florence, Elsa le faisait aussi.
En fait ce mimétisme n'avait rien de surprenant puisque Florence et Elsa ne sont qu'une seule et même personne et que cette personne c'est moi!…
NOTE EXPLICATIVE : A la suite de l'intrusion d'un virus dans mon P.C. il m'était devenu impossible de me connecter à mon compte Florence27. Pour contourner ce problème et avant qu'un ami, beaucoup plus doué que moi en informatique, vienne régler la question, j'avais eu l'idée d'ouvrir un autre compte au nom de FlorenceElsa27; Elsa étant mon deuxième prénom. C'est cette mésaventure qui m'a donné l'idée d'écrire ce récit, j'espère qu'il vous amusera.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aurai pu le découvrir en lisant ce récit, avant que Florence me l'écrive - mea-culpa - Merci pour ce beau récit autobiographique.