Florent et Clément - 3 - histoire érotique

« Allez, debout beau gosse ! Une grosse journée nous attend » lui lança Florent.
« Avec un réveil comme celui-là, la journée ne peut-être que merveilleuse » répondit
Clément.
Mais ce que Clément ne savait pas, c’est que ce qu’il venait de dire allait s’avérer
faux…

Quelques heures plus tard, Florent composa le numéro de Clément sur son téléphone pour
lui proposer d’aller manger un morceau avec lui à la cafétéria de l’université.
Clément, sourit en voyant cette invitation, qui prenait un sens totalement différent
désormais. Ils se retrouvèrent et s’installèrent à l’abri des regards indiscrets :

« Alors cette matinée ? » demanda Clément.

Florent regardait intensément son coloc’, ce qui avait le pouvoir de faire rougir
Clément. Cette sensation de gêne était toute nouvelle pour le jeune homme qui ne
savait pas la réelle nature de ses sentiments pour son ami.

« Bien bien, mais maintenant elle est encore mieux » répondit Florent avec un sourire
radieux.

Clément fondait littéralement devant ce sourire d’une blancheur aveuglante sur ce
visage bronzé avec une barbe de 3 jours.

« Et cette après-midi tu comptes faire quoi ? » demanda Clément
« Et si on parlait plus tôt de ce qu’on fera ce soir, tous les deux ? » répondit
Florent
« Comment ça ? »
« En fait, depuis ce matin j’ai cette obsession de revoir tes belles fesses et le
reste de tes avantageux atouts »
« Arrête Flo, les autres peuvent nous entendre ! »
« Rien à faire, je t’ai dit que je comptais bien assumer cette situation non ? »
« C’est vrai tu as raison Flo »

Les deux amants continuèrent leur repas dans une complicité évidente et accompagnée
parfois d’une tentative d’effleurement de pied pour montrer leur affection. Clément
repensa alors au fait qu’en l’espace d’une seule journée tout avait basculé pour lui :
il avait sauté un cap avec Florent, avec qui il avait pratiqué des choses intimes,
mais aussi avec qui il se pourrait bien que des sentiments amoureux fleurissent. Mais
lorsqu’il pensa au fait d’assumer cette relation, Clément fut pris d’une peur
soudaine. En effet, comment réagiraient les autres ? Et leurs parents respectifs ?
Leurs amis proches ? Florent qui s’aperçut que Clément avait déconnecté de leur
conversation, claqua ses doigts pour ramener Clément à la réalité :

« Oh hé ! Clément ! » Dit Florent
« Oui, excuse-moi Flo, j’étais ailleurs là… » Répondit Clément
« C’est pas la première fois que ça t’arrive petit cœur ! »
« Comment tu m’as appelé ? » demanda Clément gêné. « Tu es malade ou quoi ? »
« Non mais j’avais envie »

Clément était tout rouge et tout particulièrement ému de cette preuve d’affection que
venait de lui faire Florent. Plus tard, Florent rentrait seul à l’appartement car
Clément n’avait toujours pas fini ses cours de la journée. Une idée lui traversa alors
l’esprit : préparer un dîner pour tous les deux. Mais il voulait que ce dîner ne
ressemble pas à un dîner aux chandelles, mais seulement à une surprise pour son coloc’
et récent amant. Et c’est ainsi que 2 heures plus tard, Clément débarqua à
l’appartement et découvrit la mise en scène préparée par son coloc’. De magnifiques
bougies ornaient la table sur laquelle se tenaient 2 assiettes accompagnées de verres
et de vin. Clément cherchait partout du regard où pouvait se trouver Florent, mais il
ne le trouvait pas. Et c’est ainsi que deux mains vinrent se poser sur ses yeux.
Florent, caché derrière la porte pendant que Clément rentrait, venait de prendre au
piège celui qu’il considérait maintenant comme beaucoup plus qu’un ami.

« Surprise ! » dit Florent
« Pourquoi toute cette mise en scène ? » répondit Clément

Florent sortit ses mains de devant les yeux de Clément et vint se placer devant lui :

« Juste pour que l’on puisse parler calmement de l’évolution de notre « relation ».
J’aimerais vraiment que l’on se pose les bonnes questions pour être sûr que l’on est
sur la même longueur d’onde »
« J’apprécie grandement ton geste Flo’. »
« Alors à table ! »

Les deux amis se mirent à manger les bons petits plats qu’avait préparés Florent
durant plusieurs heures et Clément n’avait pas détaché son sourire de la soirée. Alors
qu’ils en arrivaient au dessert, Florent prit la parole :

« Ecoute, je sais bien que ce qui s’est passé entre nous récemment est allé un peu
vite. Mais je ne sais pas comment je pourrais te l’expliquer, j’ai l’impression que
c’est ce que j’ai toujours voulu, il n’y a qu’avec toi que j’ai envie de passer du
temps en ce moment. Cela peut te paraitre un peu trop mais vraiment, je sens que notre
histoire pourrait être une belle histoire ».

Clément, qui buvait les paroles de Florent sans le quitter des yeux, savait que celui-
ci avait raison. Il en pensait d’ailleurs autant mais n’osait pas lui dire.

« Flo’. J’ai beaucoup aimé notre petite soirée « découverte » et ce délicieux repas… »
« Mais ? »
« Mais je ne sais pas si je serais à la hauteur pour assumer une telle relation à
l’extérieur »
« Je vois… »
« C’est juste par rapport à nos proches tout ça »
« Oui, mais, là nous sommes seulement tous les deux, et il est vrai que depuis le
début du repas je n’ai qu’une seule envie, voir ce qui se cache sous cette magnifique
chemise »

Florent venait de dire cela en se levant et en se rapprochant de Clément, qui venait
de comprendre que son ami avait les mêmes envies que lui depuis maintenant un moment.
Florent qui s’était rapproché de Clément au point de sentir son parfum, glissa un mot
à l’oreille de celui-ci :

« Tu me suis ? »

Florent se dirigea alors vers la chambre. Clément, à cheval entre le désir et
l’hésitation, mit un temps avant de se lever mais décida de suivre tout de même
Florent, qu’il désirait par-dessus tout. Lorsqu’il arriva à l’orée de la chambre, il
vit Florent de dos, se rapprocha de lui et mis une main autour de sa taille. Florent
se retourna, regarda intensément Clément dans les yeux avant de rapprocher ses lèvres
délicatement de celles de Clément. Les deux amants fermèrent leurs yeux,
s’embrassèrent d’abord timidement, puis Clément glissa sa langue dans la bouche de
Florent, qui lui faisait des petits bruits de bonheur. Les mains de Florent glissèrent
le long du torse de Clément, puis dans son dos pour finir sur ses fesses, qu’il
appréciait plus que tout. Clément, lui, se saisit du tee-shirt de Florent, qu’il
souleva avec son aide pour libérer son beau torse athlétique.
Florent prit alors Clément par la main et l’entraina vers le lit. Ils s’allongèrent
côte à côte et se regardèrent une dernière fois, avec tellement d’intensité, que
Clément compris que jamais il ne pourrait rechigner ses sentiments, parce que Florent
ressentait les mêmes. Cela poussa Clément à se mettre au-dessus de Florent, et à
embrasser son torse musclé, tout en caressant ses hanches. Florent quant à lui, retira
le tee-shirt de Clément pour pouvoir admirer son corps dans cette position. Clément
revint vers son amoureux pour l’embrasser avec tellement de sensualité qu’il sentit
quelque chose lui toucher les fesses. Florent était en érection, et à en évaluer la
grosseur, il devait être sacrément excité !

« On dirait que je te fais de l’effet beau gosse » dit Clément
« Tu crois ? »
« A en croire ce qui se cache sous mes fesses, oui ! »
« Ah, tu parles de ça ? Comment pourrait-on résister à autant d’excitation ? »

Florent et Clément rigolèrent, et en une demi-seconde, Florent saisit les jambes de
Clément et le fit basculer pour se retrouver sur lui. Il descendit progressivement sa
main et atteint l’entre-jambe de Clément qui n’était pas en reste.

« Je ne suis pas le seul apparemment ! »
« Seulement pour ne pas paraitre ridicule vis-à-vis de toi ! »
« Mais bien sûr ! Par contre elle risque d’étouffer là-dedans, non ? Laisse-moi m’en
occuper ! »

Florent serra sa main sur le membre actif de Clément, et devina qu’il allait
satisfaire ces 18 cm de long. Il déboutonna un à un les boutons du jean de Clément, et
découvrit une bosse qui surélevait outrageusement le boxer serré de Clément. Florent
plaça sa main sur le pénis encore emprisonné de Clément, et commença par de petits vas
et viens, qui, apparemment, ne déplaisaient pas à ce dernier. Le frottement du tissu
sur son pénis mena Clément à faire de petits gémissements approbatifs, qui poussèrent
Florent à continuer. Un simple regard de Clément en direction de Florent fit
comprendre au jeune homme que Clément voulait plus à présent. Florent saisit
délicatement le boxer de Clément, et l’ôta en prenant soin de ne pas faire mal à
Clément. Il revint sur son pénis, et tout en le prenant en main, le décalotta et le
serra fort pour en mesurer toute la puissante.

« Alors, impressionné ? » demanda Clément
« Mouais, mais peut mieux faire ! » répondit Florent
« Salaud ! »
« Attend, je vais voir ce que je peux faire pour arranger cela »

Florent se pencha doucement sur le membre dressé de Clément qu’il contenait dans sa
main, et à quelques centimètres du graal, vint ouvrir la bouche pour y accueillir le
gland rose et bouillant de Clément, qui frissonna à ce contact intime. Florent en
profita pour lécher le prépuce de Clément qui luisait déjà de liquide séminal.
Clément, lui, faisait des bruits de plus en plus forts, ce qui n’avait pour
conséquence que de motiver encore plus Florent qui voulait satisfaire encore plus son
amoureux. Florent arrêta sa fellation et regardant Clément dans les yeux lui dit :

« J’ai envie d’essayer un peu plus »
« Je ne sais pas si je suis encore prêt » dit Clément
« On pourrait juste essayer non ? » renchérit Florent
« si tu veux… »

Voyant que Clément hésitait, Florent se rapprocha de sa bouche et juste avant de
l’embrasser, il murmura à son oreille :

« Fais mon confiance, je ne supporterais pas de te faire du mal »

Clément, touché par cette preuve d’affection, décida de tenter l’expérience. Florent
alla chercher un tube de lubrifiant qu’il gardait pour son ancienne vie d’hétéro, et
un préservatif qui, Clément le pensait, devait être de taille supérieure à la normale
vu le calibre du membre de Florent. Clément avait maintenant peur de la douleur qu’il
allait surement ressentir à accepter cette colonne de chair dans sa cavité interne. Il
avala sa salive, et décida de pimenter un peu cette situation. Voyant que Florent
s’apprêtait à enfiler son préservatif, il s’approcha de lui, s’abaissa et dit :

« Je vais le faire, laisse-moi faire »
« Aucun problème » répondit Florent plutôt ravi

Clément approcha sa bouche du membre de Florent et commença à sucer cette belle bite
qu’il aimait apercevoir de nouveau de si près. Toujours la même odeur de lavande, un
gland rose à souhait et une dureté qui excita encore plus Clément.

« Hum, j’aime ça Clem’. Suce-moi à fond »

Clément s’affairait à rendre à son partenaire le plaisir qu’il venait de lui procurer.
Lorsqu’il sentit que Florent mouillait déjà beaucoup et qu’il ne fallait pas aller
plus loin, il le laissa de côté et l’aida à enfiler le morceau de latex aussi
sensuellement que possible ainsi qu’une dose de lubrifiant au niveau de son trou. Pour
la première fois qu’il allait pénétrer Clément, Florent préférait se mettre au-dessus
de lui, et de replier les jambes de Clément pour les faire passer sur ses épaules. Ils
se mirent en position, se regardèrent droit dans les yeux, et Florent commença à se
présenter au bord du trou de Clément, qui malgré sa peur, essayait de se détendre.
Florent força un petit peu puis s’arrêta, et s’est ainsi qu’en quelques minutes,
Clément senti une grande partie du pénis de Florent en lui, ce qui après lui avoir
arraché des douleurs et des cris, lui procurait maintenant un plaisir inégalé. Florent
surveillait chaque centimètre de son trésor pour ne pas aller trop vite et pour
veiller aussi au fait que Clément appréciait ce qu’ils faisaient. Une fois que Clément
était habitué, il comprit qu’il aimerait pour toujours sentir ce membre dans son
intérieur. Florent, qui vu que la situation s’arrangeait, décida d’entamer de légers
vas et vient, ce qui avait pour effet de faire crier les deux amoureux : Florent,
parce qu’il aimait sentir ce vas et vient contre son membre serré par les parois de
Clément, et Clément parce que la douleur avait totalement cédé pour laisser place au
plaisir. Quelques minutes suffirent pour que Florent commence à accélérer le rythme.
Clément, qui comprit la suite, prit sa propre bite en main et commença à se masturber
pour éjaculer au même moment que Florent. Celui-ci accéléra de plus belle et c’est
dans des cris en phase que Clément et Florent lâchèrent plusieurs jets de leur
semence, Clément sur son torse, et Florent dans la capote, toujours à l’intérieur de
Clément. Les soubresauts de Florent dans son intérieur firent encore plus jouir
Clément qui ne cessait plus de déverser son jus sur son ventre. L’orgasme passé,
Florent se retira, retira le préservatif rempli, le noua et vint se poser contre
Clément, qui s’était nettoyé mais qui était encore bouleversé d’un orgasme aussi fort.

« Waouh ! » firent les deux amants avant d’exploser de rire.

Ils se regardaient, se caressaient du bout des doigts les épaules et les pectoraux.
Ils s’endormirent, enlacés, l’un contre l’autre.

Dans la nuit, Clément se réveilla, serra de nouveau Florent, les couvrirent de la
couette, et avant de s’endormir, Clément murmura à l’oreille de Florent : « Je t’aime
».

A suivre...