Folies au cinéma
Récit érotique écrit par Jean2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-10-2006 dans la catégorie Plus on est
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Folies au cinéma
La première fois que j'ai été possédée par un autre homme que mon mari je n'aurai jamais pensé y prendre un tel plaisir. Depuis pas mal de temps celui-ci me poussait à le faire, surtout au cinéma l'a-m à Paris profitant de l'obscurité complice des grandes salles des Champs ou des Grands Bloulevards mais jusqu'à ce jour je me contentais d'exciter mes voisins de salle en leur dévoilant mes cuisses rondes et pleines toujours gainées de nylons ultra fins dont la lisière s'arrêtait au ras de mes grandes lêvres épilées, cachée par les volants ou les dentelles qui bordent mes boxers fendus de chaque côté jusqu'à la taille ce qui facilite ainsi l'accés à ma petite chatte aux doigts curieux qui s'empressent de l'explorer à la recherche de mon bouton d'amour pour me faire mouiller etjouir tant et plus. Aprés plusieurs expériences de ce genre et la vue de superbes queues que mes voisins exhibaient j'ai commencé à caresser celles-ci délicatement jusqu'à ce qu'elles giclent entre mes mains et puis sur le haut de mes bas ou sur la joie de ma culotte que je dévoilais jusqu'à la taille. Un jour l'un de mes complices m'ayant demandé de lui prêter ma culotte j'ai enlevé celle-ci et la lui donnais pour le voir s'en couvrir sa belle queue entièrement décalottée et se masturber avec jusqu'à l'inonder de giclées de sperme bien épais. Il me l'arendue en me demandant de la remettre ainsi et j'ai joui de sentir ce sperme chaud contre mes fesses. Mon mari et moi rentrions chez nous surexcités et faisions l'amour comme des fous en parlant de ce que nous venions de vivres chaque fois. Cependant les choses ne pouvaient en rester là et j'avouais à mon mari que je ne pourrais resister longtemps si l'un de ces amateurs de belles choses voulait aller plus loin. Aussi ce jour là nous étions allés dans un restaurant voisin d'une de ces grandes salles et un homme de couleur de taille moyenne environ quarante ans n'avait cessé de me déshabiller du regard pendant tout le repas à l'insu de mon mari qui lui tournait le dos. Malgré moi je feignais de ne pas m'en rendre compte mais n'étais pas insensible à ces yeux caressants qui ne quittaient pas les miens ou mes cuisses découvertes sous la table grace à la nappe trés courte.Finalement quand nous avons quitté le restaurant ma petite chatte était bien humide mais je n'ai rien dit à mon mari.
Nous sommes entrés au cinéma voisin et installés dans la dernière rangée au fond dela salle. Il n'y avait que trois ou quatre personnes éparpillées das la salle et personne n'a prêté attention à nous. La séance venait de commencer quand mon admirateur de couleur est venu s'installer à côté de moi. Je portais un tailleur sans rien sous la veste, une jupe plissée s'arrêtant au genou, des bas à couture fumée tenant seuls et un boxer en soie noire. C'est une de mes tenues préférées pour aller au cinéma ce qui excite mon mari au maximum. Ma jupe était à mi cuisse et je voyais tout de suite que mon voisin avait fixé ses yeux sur le spectacle que je lui offrais ainsi grace à mes jambes croisées. Mon mari n'avait pas tellement prêté attention à l'arriver de mon voisin car il commençait à glisser vers une petite sieste digestive qui libérait malgré moi ma libido exacerbée par la présence de mon voisin. D'ailleurs celui-ci a écarté ses jambes en grand et son genou de mon côté est venu se glisser sous ma cuisse croisée et à commencé à la caresser ainsi tout en massant une bosse qui est devenue trés vite énorme entre ses cuisses. Mes yeux étaient rivés dessus mais je n'osais rien faire prise entre mon désir effréné de voir ce qui se cachait là dessous et peut-être aller beaucoup plus loin. Mon voisin l'a bien senti car il a commencé à ouvrir sabraguette et en a extrait avec beaucoup de difficultés une queue d'une taille comme je n'en avais jamais vue. Cette vision a déclanché une onde de désir qui a parouru mes reins me laissant sans réaction mais prête à tout. Mon voisin s'est penché en avant pour regarder dans la direction de mon mari mais celui-ci était parti dans les bras de Morphée aussi il a pris ma main et l'a posée sur son gland décalotté gluant de cyprin, aussi gros que le fond d'une grosse bouteille de coca surmontant une hampe aussi longue sillonnée de veines saillantes jusqu'à une paire de bourses énormes entièrement épilées. J'étais pétrifiée et mon voisin ayant décroisé mes jambes les a écartées en grand et commencé à me caresser d'une main d'une douceur ensorcelante dont les doigts écartèrent le fond de ma culotte pour s'emparer trés vite de mon bouton d'amour qu'ilfit jouir trés vite de ses doigts agiles. J'étais pamée au bord de mon fautueil, les jambes grandes ouvertes, ma jupe troussée jusqu'au ventre offerte à cet homme qui profitant de cette situation que je n'aurais jamais imginée dans mes fantasmes les plus fous, se mit à genou entre mes jambes et guidant son énormité sous le fond de ma culotte entre mes grandes lêvres commença à me posséder tout doucement, profitant de chaque cm conquis par son sexe dantesque qui écartelait mes chairs les plus intimes me fit jouir durant toute la séance inondant ma petite chatte de flots de sperme. Je n'avais jamais autant joui et j'ai bien sur revu Pierre mais en présence de mon mari sans que nous lui ayons avoué notre première rencontre.
Nous sommes entrés au cinéma voisin et installés dans la dernière rangée au fond dela salle. Il n'y avait que trois ou quatre personnes éparpillées das la salle et personne n'a prêté attention à nous. La séance venait de commencer quand mon admirateur de couleur est venu s'installer à côté de moi. Je portais un tailleur sans rien sous la veste, une jupe plissée s'arrêtant au genou, des bas à couture fumée tenant seuls et un boxer en soie noire. C'est une de mes tenues préférées pour aller au cinéma ce qui excite mon mari au maximum. Ma jupe était à mi cuisse et je voyais tout de suite que mon voisin avait fixé ses yeux sur le spectacle que je lui offrais ainsi grace à mes jambes croisées. Mon mari n'avait pas tellement prêté attention à l'arriver de mon voisin car il commençait à glisser vers une petite sieste digestive qui libérait malgré moi ma libido exacerbée par la présence de mon voisin. D'ailleurs celui-ci a écarté ses jambes en grand et son genou de mon côté est venu se glisser sous ma cuisse croisée et à commencé à la caresser ainsi tout en massant une bosse qui est devenue trés vite énorme entre ses cuisses. Mes yeux étaient rivés dessus mais je n'osais rien faire prise entre mon désir effréné de voir ce qui se cachait là dessous et peut-être aller beaucoup plus loin. Mon voisin l'a bien senti car il a commencé à ouvrir sabraguette et en a extrait avec beaucoup de difficultés une queue d'une taille comme je n'en avais jamais vue. Cette vision a déclanché une onde de désir qui a parouru mes reins me laissant sans réaction mais prête à tout. Mon voisin s'est penché en avant pour regarder dans la direction de mon mari mais celui-ci était parti dans les bras de Morphée aussi il a pris ma main et l'a posée sur son gland décalotté gluant de cyprin, aussi gros que le fond d'une grosse bouteille de coca surmontant une hampe aussi longue sillonnée de veines saillantes jusqu'à une paire de bourses énormes entièrement épilées. J'étais pétrifiée et mon voisin ayant décroisé mes jambes les a écartées en grand et commencé à me caresser d'une main d'une douceur ensorcelante dont les doigts écartèrent le fond de ma culotte pour s'emparer trés vite de mon bouton d'amour qu'ilfit jouir trés vite de ses doigts agiles. J'étais pamée au bord de mon fautueil, les jambes grandes ouvertes, ma jupe troussée jusqu'au ventre offerte à cet homme qui profitant de cette situation que je n'aurais jamais imginée dans mes fantasmes les plus fous, se mit à genou entre mes jambes et guidant son énormité sous le fond de ma culotte entre mes grandes lêvres commença à me posséder tout doucement, profitant de chaque cm conquis par son sexe dantesque qui écartelait mes chairs les plus intimes me fit jouir durant toute la séance inondant ma petite chatte de flots de sperme. Je n'avais jamais autant joui et j'ai bien sur revu Pierre mais en présence de mon mari sans que nous lui ayons avoué notre première rencontre.
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