Footing matinal du week-end
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Footing matinal du week-end
Ca y est! j'ai décidé de reprendre le footing et pour commencer, le week-end… faut pas aller trop vite!
J'ai la chance d'habiter à la campagne et la municipalité a fait plusieurs parcours en forêt très bien organisés et balisés avec différents endroits où l'on peut s'arrêter, s'asseoir et reprendre son souffle. C'est tout à fait ce qu'il me faut pour une reprise.
Samedi dernier vers 9 heures, faut quand même récupérer de sa semaine non ? me voilà parti en voiture dans le coin approprié. Sur le parking se trouvent déjà quatre voitures.
Je me mets en short, une gourde autour de la taille, et me voilà parti dans le chemin balisé.
Il faut reconnaitre que, quand il fait soleil comme ce matin, c'est très agréable. Il fait doux, le soleil joue avec les arbres et j'avance tranquillement en petites foulées.
Je constate que le souffle ne me manque pas, contrairement à ce que je pensais. J'accélère un peu la cadence et je prends le trajet le plus court pour commencer. Dans la demi-heure je suis de retour au parking, je n'ai rencontré personne!
Je souffle un peu en marchant dans l'allée et l'envie me prend de refaire un tour.
Et, me voilà reparti, je vais un peu plus vite, je me sens bien. Ma queue se ballade dans le short, j'ai oublié de mettre mon boxer enfin oublié… cela me fait sourire de sentir Popaul à l'aise. Ah si j'osais je me mettrais bien tout nu… mais bon!
Je continue mon chemin, dépasse un type d'un certain âge qui trottine doucement, et je m'éloigne de lui.
J'ai presque fini mon deuxième tour que l'envie de pisser me prend, c'est pas la place qui manque en forêt.
Je sors coquette de sa cachette et me soulage dans un long jet puissant qui semble ne plus vouloir s'arrêter. Je la regarde presqu'inquiet quand j'entends une voix…
-eh bien pour une envie de pisser c'est une belle envie dit une belle voix masculine.
Je cherche d'où viens la voix et je m'aperçois que le mec est à 10 mètres de moi, sur ma droite et qu'il finit de pisser également. Je n'ai pas le temps de voir son sexe qu'il s'approche de moi pissant encore. Il a les yeux fixés sur mon sexe.
-t'arrêtes jamais ? dit-il en riant.
-si, ça va s'arrêter, ça doit être de courir qui fait ça.
Le mec, que je voyais de plus près, était de mon âge environ, bite et cul dans un lycra qui le moulait bien, un haut collant son torse également laissait voir qu'il avait un torse bien dessiné. Mes yeux le détaillaient et coquette a été excitée. Les dernières gouttes tombées, coquette était au meilleur de sa forme et se redressait pour regarder l'intrus arriver près d'elle.
Le mec n'en perdait pas une miette en continuant de s'approcher. Je commençais à être gêné, mais coquette continuait à se développer, sûrement l'air libre et le soulagement qu'elle venait d'avoir.
-eh bien ça te fait de l'effet de pisser en pleine nature dit le mec en riant, maintenant juste à côté de moi.
-elle adore l'air libre et elle est très exhibe quand elle voit un mec s'approcher, dis-je en lui souriant.
-elle se laisse toucher ? demande le mec.
-elle n'est pas du tout sauvage dis-je avec un grand sourire et se laisse facilement apprivoiser.
Le mec était presque collé à moi, une main sur mon épaule, l'autre est venue se saisir de ma queue en me fixant.
J'ai senti sa main l'envelopper lentement, la serrer entre ses doigts, la décalotter à fond. Je n'ai pu m'empêcher de gémir doucement tellement sa main chaude me faisait de l'effet.
Sa main me branlait lentement. Il me regardait de ses beaux yeux verts, ses belles lèvres ourlées étaient à portée des miennes. J'ai fermé les yeux en avançant la tête et mes lèvres ont été prises entre les siennes. Les langues sont sorties des bouches pour se rencontrer et jouer ensemble.
Il avait lâché ma bite et me serrait contre lui, ses mains passées sous mon tee-shirt caressaient mon dos plein de sueur et notre baiser durait. Ma queue nue se frottait contre la sienne emprisonnée dans le lycra. Elle avait augmenté de volume, j'essayais de baisser son lycra mais il l'épousait parfaitement.
Ses mains ont baissé mon short, me caressant les fesses, les pétrissant, les écartant. Sa bouche est descendue sur mon torse, rapidement. Il s'est retrouvé à genoux devant moi, dans les feuilles et ses lèvres se sont posées sur ma queue. Sa main tenait mes couilles fermement et les tirait vers le bas pour faire descendre coquette à la bonne auteur.
Ses lèvres sont descendues sur ma hampe et il a tout avalé le gourmand car c'était un gourmand le mec. Il avalait toute ma queue avec les larmes dans les yeux, la sortait de sa bouche en respirant difficilement et criant des "ah" en reprenant son souffle pour immédiatement repartir à l'assaut.
Ma queue était pleine de salive quand elle était à l'air libre, ça dégoulinait de partout et il suçait le mec, y mettant tout son courage. J'ai juste eu à poser mes mains sur sa tête pour l'accompagner dans ses mouvements, coquette était heureuse d'être dans ce milieu aqueux, sa mouille se mélangeait à la salive du mec et elle était sucée par un pro!
Et il a fait durer mon plaisir et le sien. Quand il sentait le gland durcir, il ralentissait ses va-et-vient et ne suçait plus, puis il repartait de plus belle. Mais tout à une fin quand on est bien sucé comme ça et c'est comme l'envie de pisser de tout à l'heure, l'envie de jouir est arrivée sans trop prévenir, enfin juste le temps de bloquer sa tête entre mes mains, d'enfoncer encore plus ma queue dans sa gorge pleine de salive, de voir ses yeux pleurer mais sans faire le moindre mouvement pour se retirer. Eh bien je l'ai rempli le mec!
Ses lèvres enserraient bien ma queue, et le premier jet est tombé dans sa gorge. Il a fermé les yeux, les larmes ont coulé, il a dégluti. Ses lèvres toujours closes sur ma queue, attendant la suite. Il respirait fort par le nez et les autres giclées sont arrivées, se sont succédées dans cette bonne bouche, coulant directement en lui. Il déglutissait à toute vitesse pour n'en perdre aucune goutte.
j'ai gémi tout le temps des dernières giclées. Ses mains me tenaient les cuisses et ma queue était toujours au fond de lui.
L'envie de pisser revenait.
-faut que je pisse mec! dis-je en voulant me retirer.
Il me fait non des yeux, serre plus fortement mes cuisses, et maintient ma queue au fond de sa bouche.
-si je pisse comme tout à l'heure tu vas te noyer!
Ses yeux rient, et il hausse les épaules, fataliste.
Je ne peux plus me retenir plus longtemps, quelques gouttes de pisse partent. Il ne bronche pas et le jet arrive, puissant, frappant le fond de sa gorge. Ses yeux se remplissent encore de larmes, ses joues se gonflent mais il n'abandonne pas et rouvre les yeux, me regarde. Je le vois déglutir, ses joues se dégonfler, ses lèvres libèrent ma queue qui pisse encore. Il recule juste un peu mais garde le flot d'urine arriver dans sa bouche et il continue d'avaler!
Jamais vu un gourmand pareil…
Je le laisse faire ce qu'il veut mais tout y passe et quand j'ai fini de pisser, il prend ma queue dans sa main, la lèche patiemment dans tous les recoins. Coquette qui débandait semble reprendre forme.
-putain mec! t'es un bon dit-il, y'avait longtemps que j'avais pas pris une telle ration, sperme et pisse! c'est un bon cocktail… et il rigole.
J'allais pour l'aider à se relever car je voulais au moins lui rendre la pareille.
-attend mec! dit-il, si tu veux bien j'aimerais te bouffer le cul, s'il est aussi bon que ta queue.
-mais t'es vraiment un gourmand mec ou alors la pire des salopes.
-disons que je suis une salope gourmande.
Il me "force" à me retourner et je lui présente mon cul. Mon beau cul disent les personnes qui le connaissent, je me penche en avant.
Ses mains l'enveloppent, écartent les fesses, ses lèvres font des bisous partout me donnant des frissons. Sa langue parcoure la raie. C'est chaud, c'est humide. Je me penche encore plus en écartant un max mes jambes et sa langue trouve mon anus. Putain ça doit sentir le cul, la sueur mais il a l'air de s'en foutre complètement. Sa langue s'active, lèche, écarte la salive qu'elle dépose.
Ses mains écartent de plus en plus mes fesses et je sens la pointe de sa langue s'enfoncer lentement, oh pas loin, mais vous savez, juste pouvoir commencer à toucher l'intérieur, juste les lèvres. Il me donne encore des frissons, sa langue est bonne et très active. J'en gémis et le comble, coquette reprend des forces et se met à couler. Je me touche, il n'en faudrait pas beaucoup pour que ça gicle… et cette langue! putain qu'elle est bonne. Ses mains enveloppent bien mes fesses en les caressant, son nez dans la raie, il met la pointe sur mon anus comme s'il voulait le rentrer. Je sens son souffle chaud.
Et, d'un seul coup tout s'arrête, il me retourne, il est toujours à genoux, sort un préservatif de je ne sais où, le déchire, et m'enveloppe la queue vite fait. Il se relève, descend son lycra en bas des chevilles.
-tu vas me baiser à sec mec! comme la salope que je suis et je le revendique.
Il se retourne, écarte ses jambes au maximum, se penche en avant, passe sa main entre, me prend la queue et la dirige vers son trou déjà ouvert.
Je n'ai qu'à m'exécuter!
Je le prends aux hanches et, telle la salope qu'il est, je m'enfonce dans ce cul chaud, humide et bien ouvert ce qui ne l'empêche pas de gueuler tout le temps que ma queue entre en lui. quand Mon pubis est collé à ses fesses, il se relève, se cramponne à un chêne qui n'avait rien demandé.
-vas-y! défonce moi et rempli moi, je suis à toi!
Faut pas me mettre au défi comme ça! il avait de la chance, quand j'ai joui une première fois ben la deuxième est plus longue à venir et ça a vraiment été plus long. Il a gueulé, couiné et parlait en disant des mots incompréhensibles mais jamais il n'a cherché à se retirer. Je dirais même, au contraire, il s'offrait, se donnait et j'ai tout pris!
Son boyau, malgré la capote, était chaud et bien coulissant. Il devait avoir l'habitude de prendre des coups de bite le garçon! et il aimait ça. Que ce soient des va-et-vient longs et lents que courts et rapides, il couinait tout le temps et quand j'ai rempli la capote, nous avons crié ensemble appuyés contre ce chêne qui n'avait toujours rien demandé mais qui nous a bien aidé!
Il s'est retiré de moi, s'est retourné, m'a embrassé rapidement pour aller enlever la capote, faire un nœud et la garder pour ensuite me lécher la queue pour la rendre presque neuve.
Quand il s'est relevé, je l'ai pris dans mes bras pour l'embrasser et me saisir de sa queue, une belle queue ma fois que je branlais tendrement.
-tu veux que je te suce ?
-non pas la peine dit-il tu vas me branler en m'embrassant, c'est ce que je préfère pour jouir et j'adore ta main, alors vas-y mec!
Pour ne pas que je réponde, sa langue est venue dans ma bouche pour aspirer la mienne et je lui ai caressé sa belle queue que je sentais s'allonger et durcir dans ma main. Je me suis mis derrière lui, lui faisant tourner la tête pour l'embrasser et le branler plus rapidement. J'ai su qu'il allait jouir quand sa bouche s'est ouverte, libérant ma langue et que sa queue durcissait encore plus dans ma main. Je n'ai pas vu les giclées mais je les aies senti sortir de sa queue. Il gueulait à chaque fois en s'amollissant dans mes bras pour finir par se retourner, me serrer dans les siens.
-merci mec! dit-il.
-oh merci à toi aussi.
Bite contre bite, on s'est fait des bisous, des caresses puis on a remballé le matériel pour aller s'asseoir sur un banc un peu plus loin. J'ai partagé ma gourde avec lui, on a parlé et le temps est passé.
Il fallait rentrer.
J'ai voulu lui demander son téléphone.
-on verra ça samedi prochain si tu reviens! me dit il avec un petit sourire vicieux, je préfère baiser dans la nature, je m'ennuie dans un lit…
Je crois et je suis sûr que le footing va devenir mon passe temps favori, surtout le samedi matin!
J'ai la chance d'habiter à la campagne et la municipalité a fait plusieurs parcours en forêt très bien organisés et balisés avec différents endroits où l'on peut s'arrêter, s'asseoir et reprendre son souffle. C'est tout à fait ce qu'il me faut pour une reprise.
Samedi dernier vers 9 heures, faut quand même récupérer de sa semaine non ? me voilà parti en voiture dans le coin approprié. Sur le parking se trouvent déjà quatre voitures.
Je me mets en short, une gourde autour de la taille, et me voilà parti dans le chemin balisé.
Il faut reconnaitre que, quand il fait soleil comme ce matin, c'est très agréable. Il fait doux, le soleil joue avec les arbres et j'avance tranquillement en petites foulées.
Je constate que le souffle ne me manque pas, contrairement à ce que je pensais. J'accélère un peu la cadence et je prends le trajet le plus court pour commencer. Dans la demi-heure je suis de retour au parking, je n'ai rencontré personne!
Je souffle un peu en marchant dans l'allée et l'envie me prend de refaire un tour.
Et, me voilà reparti, je vais un peu plus vite, je me sens bien. Ma queue se ballade dans le short, j'ai oublié de mettre mon boxer enfin oublié… cela me fait sourire de sentir Popaul à l'aise. Ah si j'osais je me mettrais bien tout nu… mais bon!
Je continue mon chemin, dépasse un type d'un certain âge qui trottine doucement, et je m'éloigne de lui.
J'ai presque fini mon deuxième tour que l'envie de pisser me prend, c'est pas la place qui manque en forêt.
Je sors coquette de sa cachette et me soulage dans un long jet puissant qui semble ne plus vouloir s'arrêter. Je la regarde presqu'inquiet quand j'entends une voix…
-eh bien pour une envie de pisser c'est une belle envie dit une belle voix masculine.
Je cherche d'où viens la voix et je m'aperçois que le mec est à 10 mètres de moi, sur ma droite et qu'il finit de pisser également. Je n'ai pas le temps de voir son sexe qu'il s'approche de moi pissant encore. Il a les yeux fixés sur mon sexe.
-t'arrêtes jamais ? dit-il en riant.
-si, ça va s'arrêter, ça doit être de courir qui fait ça.
Le mec, que je voyais de plus près, était de mon âge environ, bite et cul dans un lycra qui le moulait bien, un haut collant son torse également laissait voir qu'il avait un torse bien dessiné. Mes yeux le détaillaient et coquette a été excitée. Les dernières gouttes tombées, coquette était au meilleur de sa forme et se redressait pour regarder l'intrus arriver près d'elle.
Le mec n'en perdait pas une miette en continuant de s'approcher. Je commençais à être gêné, mais coquette continuait à se développer, sûrement l'air libre et le soulagement qu'elle venait d'avoir.
-eh bien ça te fait de l'effet de pisser en pleine nature dit le mec en riant, maintenant juste à côté de moi.
-elle adore l'air libre et elle est très exhibe quand elle voit un mec s'approcher, dis-je en lui souriant.
-elle se laisse toucher ? demande le mec.
-elle n'est pas du tout sauvage dis-je avec un grand sourire et se laisse facilement apprivoiser.
Le mec était presque collé à moi, une main sur mon épaule, l'autre est venue se saisir de ma queue en me fixant.
J'ai senti sa main l'envelopper lentement, la serrer entre ses doigts, la décalotter à fond. Je n'ai pu m'empêcher de gémir doucement tellement sa main chaude me faisait de l'effet.
Sa main me branlait lentement. Il me regardait de ses beaux yeux verts, ses belles lèvres ourlées étaient à portée des miennes. J'ai fermé les yeux en avançant la tête et mes lèvres ont été prises entre les siennes. Les langues sont sorties des bouches pour se rencontrer et jouer ensemble.
Il avait lâché ma bite et me serrait contre lui, ses mains passées sous mon tee-shirt caressaient mon dos plein de sueur et notre baiser durait. Ma queue nue se frottait contre la sienne emprisonnée dans le lycra. Elle avait augmenté de volume, j'essayais de baisser son lycra mais il l'épousait parfaitement.
Ses mains ont baissé mon short, me caressant les fesses, les pétrissant, les écartant. Sa bouche est descendue sur mon torse, rapidement. Il s'est retrouvé à genoux devant moi, dans les feuilles et ses lèvres se sont posées sur ma queue. Sa main tenait mes couilles fermement et les tirait vers le bas pour faire descendre coquette à la bonne auteur.
Ses lèvres sont descendues sur ma hampe et il a tout avalé le gourmand car c'était un gourmand le mec. Il avalait toute ma queue avec les larmes dans les yeux, la sortait de sa bouche en respirant difficilement et criant des "ah" en reprenant son souffle pour immédiatement repartir à l'assaut.
Ma queue était pleine de salive quand elle était à l'air libre, ça dégoulinait de partout et il suçait le mec, y mettant tout son courage. J'ai juste eu à poser mes mains sur sa tête pour l'accompagner dans ses mouvements, coquette était heureuse d'être dans ce milieu aqueux, sa mouille se mélangeait à la salive du mec et elle était sucée par un pro!
Et il a fait durer mon plaisir et le sien. Quand il sentait le gland durcir, il ralentissait ses va-et-vient et ne suçait plus, puis il repartait de plus belle. Mais tout à une fin quand on est bien sucé comme ça et c'est comme l'envie de pisser de tout à l'heure, l'envie de jouir est arrivée sans trop prévenir, enfin juste le temps de bloquer sa tête entre mes mains, d'enfoncer encore plus ma queue dans sa gorge pleine de salive, de voir ses yeux pleurer mais sans faire le moindre mouvement pour se retirer. Eh bien je l'ai rempli le mec!
Ses lèvres enserraient bien ma queue, et le premier jet est tombé dans sa gorge. Il a fermé les yeux, les larmes ont coulé, il a dégluti. Ses lèvres toujours closes sur ma queue, attendant la suite. Il respirait fort par le nez et les autres giclées sont arrivées, se sont succédées dans cette bonne bouche, coulant directement en lui. Il déglutissait à toute vitesse pour n'en perdre aucune goutte.
j'ai gémi tout le temps des dernières giclées. Ses mains me tenaient les cuisses et ma queue était toujours au fond de lui.
L'envie de pisser revenait.
-faut que je pisse mec! dis-je en voulant me retirer.
Il me fait non des yeux, serre plus fortement mes cuisses, et maintient ma queue au fond de sa bouche.
-si je pisse comme tout à l'heure tu vas te noyer!
Ses yeux rient, et il hausse les épaules, fataliste.
Je ne peux plus me retenir plus longtemps, quelques gouttes de pisse partent. Il ne bronche pas et le jet arrive, puissant, frappant le fond de sa gorge. Ses yeux se remplissent encore de larmes, ses joues se gonflent mais il n'abandonne pas et rouvre les yeux, me regarde. Je le vois déglutir, ses joues se dégonfler, ses lèvres libèrent ma queue qui pisse encore. Il recule juste un peu mais garde le flot d'urine arriver dans sa bouche et il continue d'avaler!
Jamais vu un gourmand pareil…
Je le laisse faire ce qu'il veut mais tout y passe et quand j'ai fini de pisser, il prend ma queue dans sa main, la lèche patiemment dans tous les recoins. Coquette qui débandait semble reprendre forme.
-putain mec! t'es un bon dit-il, y'avait longtemps que j'avais pas pris une telle ration, sperme et pisse! c'est un bon cocktail… et il rigole.
J'allais pour l'aider à se relever car je voulais au moins lui rendre la pareille.
-attend mec! dit-il, si tu veux bien j'aimerais te bouffer le cul, s'il est aussi bon que ta queue.
-mais t'es vraiment un gourmand mec ou alors la pire des salopes.
-disons que je suis une salope gourmande.
Il me "force" à me retourner et je lui présente mon cul. Mon beau cul disent les personnes qui le connaissent, je me penche en avant.
Ses mains l'enveloppent, écartent les fesses, ses lèvres font des bisous partout me donnant des frissons. Sa langue parcoure la raie. C'est chaud, c'est humide. Je me penche encore plus en écartant un max mes jambes et sa langue trouve mon anus. Putain ça doit sentir le cul, la sueur mais il a l'air de s'en foutre complètement. Sa langue s'active, lèche, écarte la salive qu'elle dépose.
Ses mains écartent de plus en plus mes fesses et je sens la pointe de sa langue s'enfoncer lentement, oh pas loin, mais vous savez, juste pouvoir commencer à toucher l'intérieur, juste les lèvres. Il me donne encore des frissons, sa langue est bonne et très active. J'en gémis et le comble, coquette reprend des forces et se met à couler. Je me touche, il n'en faudrait pas beaucoup pour que ça gicle… et cette langue! putain qu'elle est bonne. Ses mains enveloppent bien mes fesses en les caressant, son nez dans la raie, il met la pointe sur mon anus comme s'il voulait le rentrer. Je sens son souffle chaud.
Et, d'un seul coup tout s'arrête, il me retourne, il est toujours à genoux, sort un préservatif de je ne sais où, le déchire, et m'enveloppe la queue vite fait. Il se relève, descend son lycra en bas des chevilles.
-tu vas me baiser à sec mec! comme la salope que je suis et je le revendique.
Il se retourne, écarte ses jambes au maximum, se penche en avant, passe sa main entre, me prend la queue et la dirige vers son trou déjà ouvert.
Je n'ai qu'à m'exécuter!
Je le prends aux hanches et, telle la salope qu'il est, je m'enfonce dans ce cul chaud, humide et bien ouvert ce qui ne l'empêche pas de gueuler tout le temps que ma queue entre en lui. quand Mon pubis est collé à ses fesses, il se relève, se cramponne à un chêne qui n'avait rien demandé.
-vas-y! défonce moi et rempli moi, je suis à toi!
Faut pas me mettre au défi comme ça! il avait de la chance, quand j'ai joui une première fois ben la deuxième est plus longue à venir et ça a vraiment été plus long. Il a gueulé, couiné et parlait en disant des mots incompréhensibles mais jamais il n'a cherché à se retirer. Je dirais même, au contraire, il s'offrait, se donnait et j'ai tout pris!
Son boyau, malgré la capote, était chaud et bien coulissant. Il devait avoir l'habitude de prendre des coups de bite le garçon! et il aimait ça. Que ce soient des va-et-vient longs et lents que courts et rapides, il couinait tout le temps et quand j'ai rempli la capote, nous avons crié ensemble appuyés contre ce chêne qui n'avait toujours rien demandé mais qui nous a bien aidé!
Il s'est retiré de moi, s'est retourné, m'a embrassé rapidement pour aller enlever la capote, faire un nœud et la garder pour ensuite me lécher la queue pour la rendre presque neuve.
Quand il s'est relevé, je l'ai pris dans mes bras pour l'embrasser et me saisir de sa queue, une belle queue ma fois que je branlais tendrement.
-tu veux que je te suce ?
-non pas la peine dit-il tu vas me branler en m'embrassant, c'est ce que je préfère pour jouir et j'adore ta main, alors vas-y mec!
Pour ne pas que je réponde, sa langue est venue dans ma bouche pour aspirer la mienne et je lui ai caressé sa belle queue que je sentais s'allonger et durcir dans ma main. Je me suis mis derrière lui, lui faisant tourner la tête pour l'embrasser et le branler plus rapidement. J'ai su qu'il allait jouir quand sa bouche s'est ouverte, libérant ma langue et que sa queue durcissait encore plus dans ma main. Je n'ai pas vu les giclées mais je les aies senti sortir de sa queue. Il gueulait à chaque fois en s'amollissant dans mes bras pour finir par se retourner, me serrer dans les siens.
-merci mec! dit-il.
-oh merci à toi aussi.
Bite contre bite, on s'est fait des bisous, des caresses puis on a remballé le matériel pour aller s'asseoir sur un banc un peu plus loin. J'ai partagé ma gourde avec lui, on a parlé et le temps est passé.
Il fallait rentrer.
J'ai voulu lui demander son téléphone.
-on verra ça samedi prochain si tu reviens! me dit il avec un petit sourire vicieux, je préfère baiser dans la nature, je m'ennuie dans un lit…
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