FRANÇOISE.
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-08-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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FRANÇOISE.
Merci Trombi.com.
Il y a un mois, j’ai reçu un E-mail parlant du site à qui je dis merci.
J’ai regardé l’intérêt à retrouver des copains d’école me ramenant vers ma jeunesse.
Dans notre époque, les blouses étaient obligatoires et les garçons et les filles étaient séparés dans deux écoles bien distinctes.
Lorsque j’avais douze ans, j’étais follement amoureux d’une jeune fille habitant à quelques maisons de chez mes parents et chaque jour, j’attendais qu’elle passe devant chez moi pour aller chercher le pain à trois cents mètres de chez nous.
Françoise car elle avait ce beau prénom était plus vieille que moi de quelques mois.
Au fil des jours, je me suis enhardi et un jour où nous passions devant un portail un gros chien en aboyant, lui a sauté à sa hauteur et comme elle était la plus rapprochée, je l’ai reçue dans mes bras.
Je lui ai mis la main sur son sein naissant.
• Il t’a fait peur, je sens ton cœur battre.
• Christophe, n’en, profite pas pour me peloter !
• Françoise, tu sais que malgré notre jeune âge le mien bas pour toi.
• Je m’en doute et moi aussi je t’apprécie beaucoup.
Nous avons continué notre chemin avec une énorme différence, à partir de ce jour, c’est avec sa main dans ma main que nous faisions le chemin.
Plus tard, j’ai appris que dans le quartier, on nous appelait les petits fiancés.
Tous les jours lorsque je l’embrassais à l’aller et au retour nos bouches se trouvaient de plus en plus prêtes très dangereusement. Environ six mois plus tard nous nous sommes embrassés et pour moi, ce premier baisé me faisait rentrer dans le monde des adultes.
À l’école, je bombais le torse, je venais d’entrer dans le cercle de ceux qui l’avaient fait.
Ce sont ces nuits-là que ma verge était tendue le matin et souvent en rêvant d’elle le lit recevait des cartes postales d’amour qui faisait rigoler ma mère.
Nous sommes passés au collège puis au lycée, nos routes, ce sont séparer, mais je lui suis resté fidèle.
Je venais d’avoir seize ans lorsqu’un jour je suis allé chez elle pour l’inviter le soir à aller à Joinville au « petit Rob » pour danser jusqu’au bout de la nuit.
Sa maman m’a reçu et ma prise dans ses bras.
• Françoise est enceinte et elle va se marier dans un mois.
La foudre me tombe sur le dos et c’est sans plus attendre qu’en courant, je suis rentré chez moi.
J’étais tellement meurtri que je me suis réfugié dans la marine pour cacher ma peine.
J’ai fait ma vie jusqu’au moment où je me suis retrouvé seul mon épouse m’ayant quitté pour un autre monde.
J’ai la cinquantaine lorsque ma vie a tourné et ou déboussolé de me retrouver seul, je tombe sur Trombi.
Je mets en ligne mes coordonnés pour rechercher des hommes ou des femmes qui ont été dans mon école.
Rapidement je m’aperçois que ce site si je reste simple membre à des démarches stériles.
La cotisation à l’année étant mineur je m’inscris et je paye.
C’est au bout d’un mois que je corresponds avec une femme qui a connu Françoise dans sa classe, mais qui ne peut me dire où sa vie l’a fait évoluer.
Elle souhaite me rencontrer pour parler de cette époque, je l’invite au restaurant, mais elle préfère me recevoir chez elle après que nous nous sommes échangé nos numéros de téléphone.
Ayant du savoir-vivre, c’est un bouquet à la main que je sonne chez Odile à quelques kilomètres de chez moi.
Repas très correct, je fais des compliments à la cuisinière sur les tripoux qu’elle a cuisinés elle-même avec un plat de carottes avec des oignons cuit.
J’ai horreur de tous ce qui est triperie et encore plus des carottes sans parler des oignons, mais je refuse de passer pour un goujat auprès de cette femme alors j’avale sans respirer l’assiette de carottes qu’elle m’a servie.
• Christophe, je peux vous appeler Christophe.
• Je vous appelle bien Odile.
• Je vois que tu aimes les carottes.
Je n’ai pas le temps de dire ouf qu’elle me sert une deuxième assiette.
Cette femme si sa cuisine est opposée à mes goûts a su se tenir au cours des années.
Odile était grande, du moins de la même taille que la mienne, poitrine sans soutien faite pour tenir dans ma main et cul semblant toujours ferme.
D’un autre côté moins intéressant un vrai moulin à paroles en ce qui concerne l’école, les profs sans compter les conneries qu’elles ont faite avec ses copines.
Au bout d’un moment je me lève afin de contourner, la table la prend par le bras et je l’embrasse avant qu’elle ait le temps de dire non.
• Christophe qu’est-ce que tu fais, on est pas là pour cela.
• Tu crois que je vais passer mon temps à parler du moment où tu jouais à touche-pipi avec tes amies.
Regarde, la mienne a sérieusement grossi alors à genoux et suce.
Certes, je l’ai un peu brusqué, mais lorsque je me sens bien au chaud au fond de sa bouche, je suis content de baiser pour quelques euros d’inscription au site des écoles de notre jeunesse, mais je gagne de payer une pute au champ de courses du bois de Vincennes que je fréquente depuis que j’ai perdu madame.
J’ignore depuis quand elle est en dehors du service, mais c’est comme faire du vélo baiser est toujours facile à retrouver et lorsque je lui enlève sa petite culotte, sa chatte avec une toison digne des premiers films pornos de ma jeunesse que j’ai vue dans la marine où les femmes avaient un tablier devant leurs grandes lèvres qu’il nous fallait écarter pour trouver la couleur rose de la fente.
C’était encore pire pour le clito qui profitait de la forêt alentour pour se cacher et essayé de nous échapper.
Le sien tombe au champ d’honneur et se rend permettant à Odile de bramer à réveiller les voisins dans ces immeubles construits après-guerre et dont les cloisons sont si fines que l’orgasme que je lui déclenche doit s’entendre deux étages plus bas.
Je sens que l’envie de baiser de ma maîtresse est arrivée à son apogée lorsque je la retourne pour la prendre en levrette, je lui pénètre de nouveau la chatte bien que je sois sûr que si je lui avais mis dans le cul, elle en aurait redemandé.
Trois orgasmes dans l’après-midi et je finis par lui arroser la matrice.
Les jets de sperme que je lui envoie me permettent de sentir le doux frisson monté tout le long de mon échine pour se terminer à la hauteur de mon cou.
Des mois que mon corps vibrait à la petite semaine alors que la grande a réveillé en moi les moments où je m’éclatais avec celle que j’avais épousée sans l’aimer après la trahison de Françoise.
Lorsque je quitte sa chambre Odile est affalé ravagé pour quelques heures après sa levrette le cul en l’air.
De retour chez moi par habitude je regarde le site si des renseignements sur mon amour sont arrivés depuis mon départ.
Rien à signaler.
Trois jours plus tard à la veille d’un week-end, j’intéresse un homme qui me colle comme une glu, il est sûr de me connaître et veut à toute force que l’on se revoie.
• Alain, Christophe, souvient toi nous étions cher monsieur Pierre ensemble, nous sommes parties en classe de neige.
Tout ceci dans des allé retour par courrier électronique très fastidieux.
• Viens, à la maison dimanche Violette te fera sa spécialité.
• J’espère qu’elle cuisine autre chose que des tripoux et des carottes aux oignons.
• À non, sa spécialité, ce sont les pintades grillées.
Le dimanche, j’arrive à l’adresse qu’il m’a indiqué un bouquet de fleurs à la main.
• Entrer, Alain, est allé chercher la commande à la boulangerie.
• Tu sais que l’on se connaît, j’avais cinq ans de moins que vous et chaque fois que je te voyais en permission avec ton pompon comme certains disent vulgairement, tu me faisais mouiller.
• Et maintenant lorsque tu me vois, je te fais le même effet.
• Il m’est impossible de le dire depuis, j’oublie de mettre une culotte.
C’est à ce moment que l’on entend la porte d’entrée et que l’on change de sujet.
• Salut Christophe, je vois que vous avez fait connaissance, tu as reconnu violette, tu devais la croiser dans notre jeunesse, elle m’a dit qu’elle t’avait vu lorsque tu portais ton pompon.
Oui, je sais et ce qu’elle a oublié de te dire, c’est que sa chatte mouillait pour moi.
Je le pense mais le garde pour moi.
Nous passons à table et Alain nous sert l’apéro, non deux, j’oubliais le troisième qu’il s’est resservi pendant que Violette était partie à la cuisine.
Après l’apéro dès les entrées, c’est une bouteille de blanc qu’il attaque.
• Alain arrête de boire, tu vas encore être malade.
• Toi la pute, tu la fermes si je bois, c’est à cause de la salope que tu es devenu, tu refuses que je te baise.
• Tu es incapable de bander, comment veux-tu me baiser.
Je suis en plein drame familial, mais les choses changent lorsque je sens le pied de Violette remonté le long de mon pantalon pour venir caresser ma verge.
• Tu as un beau morceau.
• Qu’est-ce que tu racontes comme connerie ?
• Je dis à ton ami que je vais lui donner un beau morceau de pintade.
La bouteille de blanc est ingurgitée alors que j’en ai avalé une goutte.
Elle se lève pour aller à la cuisine et dès que son mari ne peut la voir, elle soulève, sa robe me montrant que la conversation en arrivant était réelle qu’aucune culotte ne la protège et que sa chatte est épilée.
C’est au dessert alors qu’Alain repu d’alcool s’est endormi sur la table qu’elle me fait signe de la rejoindre.
J’arrive dans la cuisine pour la voir s’asseoir dessus remonter sa robe et attendre que je vienne la baiser.
Je la satisfais jusqu’à la faire perdre pied se mordant la lèvre pour éviter de réveiller son alcolo de mari.
• Bourre-moi bien, viens-le voir souvent, tu me prendras comme une bête j’adore avoir ta queue en moi.
• Tu as bien dit, viens-le voir souvent.
• Tu as bien entendu, le savoir à côté multiplie mes orgasmes. Allé assez parler, maltraite-moi !
Je sors de sa chatte, poussent les assiettes remplies des restes de pintade et je la retourne afin qu’elle me présente son fessier.
Contrairement à Odile, Violette à un cul bien rebondi, sans lui demander son avis, je la pointe et je la sodomise.
Un petit « oh ! » sort de sa bouche sans que pour autant elle me repousse.
Sodomisé une femme, l’amener à se donner par son anus, preuve de l’amour qu’elle vous porte où comme Violette preuve que j’ai dans les mains une grande baiseuse acceptante tous les plaisirs.
Et dire que l’autre con dort en cuvant alors qu’il a une perle à la maison alors pendant un grand moment, j’enfile des perles avec sa femme en finissant par lui déverser mon nectar d’amour dans sa bouche que je remplis de long et de bons jets du moins c’est ce qu’elle m’en dit lorsque je la libère avant de la quitter.
Deux fois encore, grâce à Trombi, je passe de bons moments avec toutes les fois le même modèle de femme qui cherche à rattraper sa jeunesse perdue à jamais.
J’aime faire des parties de jambes en l’air avec elles, mais depuis quelque temps je regarde moins souvent le site.
Il y a trois jours que ma boîte courrier est fermée lorsque passant par hasard un message m’attend.
« Il paraît que tu me cherches » Signé « Françoise » Le cœur battant, je réponds immédiatement.
« oui. »Au bout de deux jours, j’obtiens un rendez-vous dans un café près de chez moi.
La revoir vingt-cinq ans plus tard me cause un choc, car j’ai en face de moi la copie conforme de sa mère que j’ai quittée en courant après avoir appris la trahison de ma belle.
• Tu es pareille à celle que j’ai connue lorsque nous nous sommes vus pour la dernière fois.
• Tu es devenu un beau parleur, car j’ai comme toi prit le poids des soucis que la vie, c’est chargé de m’abattre sur mes frêles épaules.
• Tu as eu une vie difficile.
• Difficile est un mot gentil lorsque je regarde derrière moi.
• Tu peux m’en dire plus.
• J’accepte de tout te dire même si de grands moments peuvent apparaître comme sordides.
Ma vie a basculé lorsque je suis allé faire un baby-sitting cher un couple près de chez nous.
Lorsqu’ils sont rentrés le mari m’a payé en me disant qu’il avait apprécié mon travail et qu’il me ferait revenir.
Dès le week-end suivant, ils m’ont téléphoné.
Quand je suis arrivé, il était seul sa femme soi-disant se préparait dans leur chambre.
Il m’a servi un verre et à partir de là mes souvenirs s’arrête jusqu’à ce que j’ouvre les yeux nus dans son lit et dans ses bras.
Il m’a pris, la bouche et j’aurais dû bondir, mais je flottais dans une douce torpeur qui lui a permis de me remettre son sexe en moi et je dois reconnaître pour être fidèle à ce qui s’est passé, il m’a fait jouir.
Deux mois plus tard j’apprenais que j’étais enceinte et pour cacher l’ignominie pour ma famille, ils m’ont envoyé près de Nevers dans une ferme chez des amis.
Lorsque j’ai accouché de mon fils, car c’était un garçon, il m’a été enlevé pour être mis à l’adoption. Depuis j’espère toujours le retrouver, mais mes recherches sont restées inutiles.
Je suis resté dans la ferme pour travailler, mais comme le fermier me tournait autour. Pour éviter que les choses recommencent comme avec l’homme qui m’avait abusé, j’ai profité de la fête foraine qui s’était installée à Nevers pour partir dans sa caravane avec l’homme qui tenait le stand de strip-tease.
Tu te souviens comme j’étais mignonne et comme ma grossesse m’avait laissé bien foutu, il m’a fait travailler pendant cinq ans à me tortiller le cul devant des hommes qui pensaient en me regardant qu’à me tâter les fesses.
Nous étions cinq filles et le patron se croyait en droit d’avoir un droit de cuissage sur chacune d’entre nous et c’est comme cela qu’un jour je me suis aperçu malgré les capotes qu’il mettait que de nouveau, j’étais de nouveau enceinte.
J’étais dans la bonne période pour avorté alors je suis entré dans un hôpital vers Montpellier où ils m’ont débarrassé du problème, car le père étant près d’être un demeuré, j’avais peur d’accoucher d’un taré.
J’ai trouvé du travail de barmaid dans un établissement de nuit et je galérais pour vivre.
Je t’ai promis de ne rien te cacher.
Certains soirs, je partais avec un client du bar qui m’emmenait dans un hôtel pour moyennant finance me baiser.
J’ai été de plus en plus sollicité et jamais un soir sauf au moment où la nature m’en empêchait j’ai eu la double activité bar et pute.
Je gagnais bien ma vie et comme j’ai habité pendant toute cette période un petit studio peu cher et que je dormais toute la journée, j’ai rapidement amassé de l’argent.
Un jour le bar a été fermé suite à une magouille du patron qui trafiquait avec des hommes peu recommandables.
J’ai pris mes clics et mes claques et je suis retourné sur Champigny dans notre quartier où j’ai acheté une boutique de lingerie qui marche bien ma foi.
• La boutique de lingerie sur l’avenue, c’est à toi.
• Oui, plusieurs fois je t’ai vu passer et regarder mes petites culottes, j’ai eu peur que tu ne sois devenu l’un de ces pervers que j’ai trop connus tout au long de ma vie de débauche.
• Non, je regardais simplement la couleur d’un modèle qui me rappelait ma femme que j’ai incinérée il y a peu et qui avait la même parure.
• Tu étais marié.
• Oui, sans enfants a une bretonne de Quimper que j’ai connue dans un dancing et que j’ai épousé en désespoir d’avoir pu le faire avec celle que mon cœur à toujours aimé.
• Et qui est près de toi maintenant.
J’ai appris que sur Trombi, tu me cherchais.
Si tu avais été sur « copain d’avant » tu aurais gagné du temps car je suis abonné depuis plusieurs années.
Une fille avec qui je dialogue m’a prévenu qu’un homme sur Trombi.Com recherchait une Françoise de mon âge.
J’ai hésité, mais j’ai fini par te contacter.
Tu viens, ma boutique est fermée pour deux jours et je vais te faire visiter mes appartements.
Nous sommes montés au-dessus de sa boutique où elle s’était aménagé une jolie bonbonnière.
J’étais aussi timide que, lorsque je l’ai embrassé en allant au pain.
Je revenais plusieurs années en arrière effaçant ce qu’avait été ma vie et effaçant dans le même temps sa vie à elle.
J’ai dépucelé Françoise qui m’a pris ma virginité lorsque pour la première fois de notre vie, nous nous sommes pénétrés dans la douceur et dans le bruit de nos larmes.
Pas des larmes de tristesses, mais des larmes de joie de former le couple que nous avions espéré former tout au long des trois cents mètres qui nous séparaient de la boulangerie.
À son âge Françoise aurait pu encore concevoir un enfant, mais la peur d’avoir un enfant posant problème nous a retenu.
J’étais retraité de la marine après vingt ans de service et je pouvais vivre en aidant à porter les colis les jours de livraison à la boutique.
Françoise et moi sommes devenus les meilleurs amants du monde.
Chaque fois que je la prends, je sais trouver le jeu qui maintient les couples toujours amoureux.
Dans le temps à perdre qu’il me reste, voyant que Françoise avait toujours son éternel regard triste dû à son fils qu’elle avait perdu sans lui dire, j’ai entrepris des recherches sur Internet pour commencer.
Après il fallait que je me déplace près de Nevers, j’ai menti à ma douce pour la laisser quelques jours, j’ai prétexté une tante malade en province pour la quitter.
Aidé par une association qui aide les familles et surtout les enfants à retrouver ses parents j’ai pu apprendre qu’un garçon de l’âge de celui de Françoise à Auxerre recherchait sa maman.
Je me suis rendu à son adresse et j’ai trouvé devant moi un homme de trente-quatre ans ayant les yeux de sa maman et étant marié avec deux bambins.
On lui avait donné le prénom de, Gorges qui était le nom du grand-père de ses parents.
Parent car c’est à l’âge de seize ans qu’une indiscrétion familiale lui a appris qu’il avait été adopté par le couple qui croyait être ses géniteurs.
Je suis bien reçu par la famille et surtout sa jeune femme Amélie jolie blonde avec tous ce qu’il faut là où il faut qui voyait son mari rempli de remords d’avoir été arraché à sa maman.
Cette jolie femme portait dans ses bras une jolie poupée de quelques mois alors que dans ses jambes un petit garçon d’environ deux ans la crochetait de peur de la perdre.
Je suis resté deux heures avec eux et le dimanche suivant j’ai prétexté auprès de Françoise, une sortie en voiture vers le sud pour prendre l’autoroute et arriver à Auxerre. Je suis sorti de l’autoroute prétextant vouloir prendre un café pour l’arrêter devant le pavillon.
• Va sonner à la porte et demande aux personnes, comment rejoindre l’autoroute, je suis perdu.
Un peu étonnée elle y est allée et lorsque la porte s’est ouverte, j’ai fait un signe au garçon qui a répondu à mon geste et j’ai redémarré.
Comme convenu je suis revenu le dimanche suivant ayant baigné avec ses dames dans leur petite culotte.
J’ignore si elle s’était donné le mot qu’un bel étalon remplaçait la vendeuse partie en vacances, car cette semaine a été la plus prolifique de toute l’année.
Lorsque je suis revenu le dimanche à midi avec deux bouquets de fleurs l’un pour la maîtresse de maison et l’autre pour celle que je suis actuellement un genou au sol devant elle, une très belle bague avec un solitaire à la grandeur des années que j’ai perdu pour lui offrir dans son écrin.
Lorsqu'elle me la laisse passer à son doigt, je remercie mentalement Trombi.com et les Enfants d’avant de m’avoir aidé à la retrouver…
Il y a un mois, j’ai reçu un E-mail parlant du site à qui je dis merci.
J’ai regardé l’intérêt à retrouver des copains d’école me ramenant vers ma jeunesse.
Dans notre époque, les blouses étaient obligatoires et les garçons et les filles étaient séparés dans deux écoles bien distinctes.
Lorsque j’avais douze ans, j’étais follement amoureux d’une jeune fille habitant à quelques maisons de chez mes parents et chaque jour, j’attendais qu’elle passe devant chez moi pour aller chercher le pain à trois cents mètres de chez nous.
Françoise car elle avait ce beau prénom était plus vieille que moi de quelques mois.
Au fil des jours, je me suis enhardi et un jour où nous passions devant un portail un gros chien en aboyant, lui a sauté à sa hauteur et comme elle était la plus rapprochée, je l’ai reçue dans mes bras.
Je lui ai mis la main sur son sein naissant.
• Il t’a fait peur, je sens ton cœur battre.
• Christophe, n’en, profite pas pour me peloter !
• Françoise, tu sais que malgré notre jeune âge le mien bas pour toi.
• Je m’en doute et moi aussi je t’apprécie beaucoup.
Nous avons continué notre chemin avec une énorme différence, à partir de ce jour, c’est avec sa main dans ma main que nous faisions le chemin.
Plus tard, j’ai appris que dans le quartier, on nous appelait les petits fiancés.
Tous les jours lorsque je l’embrassais à l’aller et au retour nos bouches se trouvaient de plus en plus prêtes très dangereusement. Environ six mois plus tard nous nous sommes embrassés et pour moi, ce premier baisé me faisait rentrer dans le monde des adultes.
À l’école, je bombais le torse, je venais d’entrer dans le cercle de ceux qui l’avaient fait.
Ce sont ces nuits-là que ma verge était tendue le matin et souvent en rêvant d’elle le lit recevait des cartes postales d’amour qui faisait rigoler ma mère.
Nous sommes passés au collège puis au lycée, nos routes, ce sont séparer, mais je lui suis resté fidèle.
Je venais d’avoir seize ans lorsqu’un jour je suis allé chez elle pour l’inviter le soir à aller à Joinville au « petit Rob » pour danser jusqu’au bout de la nuit.
Sa maman m’a reçu et ma prise dans ses bras.
• Françoise est enceinte et elle va se marier dans un mois.
La foudre me tombe sur le dos et c’est sans plus attendre qu’en courant, je suis rentré chez moi.
J’étais tellement meurtri que je me suis réfugié dans la marine pour cacher ma peine.
J’ai fait ma vie jusqu’au moment où je me suis retrouvé seul mon épouse m’ayant quitté pour un autre monde.
J’ai la cinquantaine lorsque ma vie a tourné et ou déboussolé de me retrouver seul, je tombe sur Trombi.
Je mets en ligne mes coordonnés pour rechercher des hommes ou des femmes qui ont été dans mon école.
Rapidement je m’aperçois que ce site si je reste simple membre à des démarches stériles.
La cotisation à l’année étant mineur je m’inscris et je paye.
C’est au bout d’un mois que je corresponds avec une femme qui a connu Françoise dans sa classe, mais qui ne peut me dire où sa vie l’a fait évoluer.
Elle souhaite me rencontrer pour parler de cette époque, je l’invite au restaurant, mais elle préfère me recevoir chez elle après que nous nous sommes échangé nos numéros de téléphone.
Ayant du savoir-vivre, c’est un bouquet à la main que je sonne chez Odile à quelques kilomètres de chez moi.
Repas très correct, je fais des compliments à la cuisinière sur les tripoux qu’elle a cuisinés elle-même avec un plat de carottes avec des oignons cuit.
J’ai horreur de tous ce qui est triperie et encore plus des carottes sans parler des oignons, mais je refuse de passer pour un goujat auprès de cette femme alors j’avale sans respirer l’assiette de carottes qu’elle m’a servie.
• Christophe, je peux vous appeler Christophe.
• Je vous appelle bien Odile.
• Je vois que tu aimes les carottes.
Je n’ai pas le temps de dire ouf qu’elle me sert une deuxième assiette.
Cette femme si sa cuisine est opposée à mes goûts a su se tenir au cours des années.
Odile était grande, du moins de la même taille que la mienne, poitrine sans soutien faite pour tenir dans ma main et cul semblant toujours ferme.
D’un autre côté moins intéressant un vrai moulin à paroles en ce qui concerne l’école, les profs sans compter les conneries qu’elles ont faite avec ses copines.
Au bout d’un moment je me lève afin de contourner, la table la prend par le bras et je l’embrasse avant qu’elle ait le temps de dire non.
• Christophe qu’est-ce que tu fais, on est pas là pour cela.
• Tu crois que je vais passer mon temps à parler du moment où tu jouais à touche-pipi avec tes amies.
Regarde, la mienne a sérieusement grossi alors à genoux et suce.
Certes, je l’ai un peu brusqué, mais lorsque je me sens bien au chaud au fond de sa bouche, je suis content de baiser pour quelques euros d’inscription au site des écoles de notre jeunesse, mais je gagne de payer une pute au champ de courses du bois de Vincennes que je fréquente depuis que j’ai perdu madame.
J’ignore depuis quand elle est en dehors du service, mais c’est comme faire du vélo baiser est toujours facile à retrouver et lorsque je lui enlève sa petite culotte, sa chatte avec une toison digne des premiers films pornos de ma jeunesse que j’ai vue dans la marine où les femmes avaient un tablier devant leurs grandes lèvres qu’il nous fallait écarter pour trouver la couleur rose de la fente.
C’était encore pire pour le clito qui profitait de la forêt alentour pour se cacher et essayé de nous échapper.
Le sien tombe au champ d’honneur et se rend permettant à Odile de bramer à réveiller les voisins dans ces immeubles construits après-guerre et dont les cloisons sont si fines que l’orgasme que je lui déclenche doit s’entendre deux étages plus bas.
Je sens que l’envie de baiser de ma maîtresse est arrivée à son apogée lorsque je la retourne pour la prendre en levrette, je lui pénètre de nouveau la chatte bien que je sois sûr que si je lui avais mis dans le cul, elle en aurait redemandé.
Trois orgasmes dans l’après-midi et je finis par lui arroser la matrice.
Les jets de sperme que je lui envoie me permettent de sentir le doux frisson monté tout le long de mon échine pour se terminer à la hauteur de mon cou.
Des mois que mon corps vibrait à la petite semaine alors que la grande a réveillé en moi les moments où je m’éclatais avec celle que j’avais épousée sans l’aimer après la trahison de Françoise.
Lorsque je quitte sa chambre Odile est affalé ravagé pour quelques heures après sa levrette le cul en l’air.
De retour chez moi par habitude je regarde le site si des renseignements sur mon amour sont arrivés depuis mon départ.
Rien à signaler.
Trois jours plus tard à la veille d’un week-end, j’intéresse un homme qui me colle comme une glu, il est sûr de me connaître et veut à toute force que l’on se revoie.
• Alain, Christophe, souvient toi nous étions cher monsieur Pierre ensemble, nous sommes parties en classe de neige.
Tout ceci dans des allé retour par courrier électronique très fastidieux.
• Viens, à la maison dimanche Violette te fera sa spécialité.
• J’espère qu’elle cuisine autre chose que des tripoux et des carottes aux oignons.
• À non, sa spécialité, ce sont les pintades grillées.
Le dimanche, j’arrive à l’adresse qu’il m’a indiqué un bouquet de fleurs à la main.
• Entrer, Alain, est allé chercher la commande à la boulangerie.
• Tu sais que l’on se connaît, j’avais cinq ans de moins que vous et chaque fois que je te voyais en permission avec ton pompon comme certains disent vulgairement, tu me faisais mouiller.
• Et maintenant lorsque tu me vois, je te fais le même effet.
• Il m’est impossible de le dire depuis, j’oublie de mettre une culotte.
C’est à ce moment que l’on entend la porte d’entrée et que l’on change de sujet.
• Salut Christophe, je vois que vous avez fait connaissance, tu as reconnu violette, tu devais la croiser dans notre jeunesse, elle m’a dit qu’elle t’avait vu lorsque tu portais ton pompon.
Oui, je sais et ce qu’elle a oublié de te dire, c’est que sa chatte mouillait pour moi.
Je le pense mais le garde pour moi.
Nous passons à table et Alain nous sert l’apéro, non deux, j’oubliais le troisième qu’il s’est resservi pendant que Violette était partie à la cuisine.
Après l’apéro dès les entrées, c’est une bouteille de blanc qu’il attaque.
• Alain arrête de boire, tu vas encore être malade.
• Toi la pute, tu la fermes si je bois, c’est à cause de la salope que tu es devenu, tu refuses que je te baise.
• Tu es incapable de bander, comment veux-tu me baiser.
Je suis en plein drame familial, mais les choses changent lorsque je sens le pied de Violette remonté le long de mon pantalon pour venir caresser ma verge.
• Tu as un beau morceau.
• Qu’est-ce que tu racontes comme connerie ?
• Je dis à ton ami que je vais lui donner un beau morceau de pintade.
La bouteille de blanc est ingurgitée alors que j’en ai avalé une goutte.
Elle se lève pour aller à la cuisine et dès que son mari ne peut la voir, elle soulève, sa robe me montrant que la conversation en arrivant était réelle qu’aucune culotte ne la protège et que sa chatte est épilée.
C’est au dessert alors qu’Alain repu d’alcool s’est endormi sur la table qu’elle me fait signe de la rejoindre.
J’arrive dans la cuisine pour la voir s’asseoir dessus remonter sa robe et attendre que je vienne la baiser.
Je la satisfais jusqu’à la faire perdre pied se mordant la lèvre pour éviter de réveiller son alcolo de mari.
• Bourre-moi bien, viens-le voir souvent, tu me prendras comme une bête j’adore avoir ta queue en moi.
• Tu as bien dit, viens-le voir souvent.
• Tu as bien entendu, le savoir à côté multiplie mes orgasmes. Allé assez parler, maltraite-moi !
Je sors de sa chatte, poussent les assiettes remplies des restes de pintade et je la retourne afin qu’elle me présente son fessier.
Contrairement à Odile, Violette à un cul bien rebondi, sans lui demander son avis, je la pointe et je la sodomise.
Un petit « oh ! » sort de sa bouche sans que pour autant elle me repousse.
Sodomisé une femme, l’amener à se donner par son anus, preuve de l’amour qu’elle vous porte où comme Violette preuve que j’ai dans les mains une grande baiseuse acceptante tous les plaisirs.
Et dire que l’autre con dort en cuvant alors qu’il a une perle à la maison alors pendant un grand moment, j’enfile des perles avec sa femme en finissant par lui déverser mon nectar d’amour dans sa bouche que je remplis de long et de bons jets du moins c’est ce qu’elle m’en dit lorsque je la libère avant de la quitter.
Deux fois encore, grâce à Trombi, je passe de bons moments avec toutes les fois le même modèle de femme qui cherche à rattraper sa jeunesse perdue à jamais.
J’aime faire des parties de jambes en l’air avec elles, mais depuis quelque temps je regarde moins souvent le site.
Il y a trois jours que ma boîte courrier est fermée lorsque passant par hasard un message m’attend.
« Il paraît que tu me cherches » Signé « Françoise » Le cœur battant, je réponds immédiatement.
« oui. »Au bout de deux jours, j’obtiens un rendez-vous dans un café près de chez moi.
La revoir vingt-cinq ans plus tard me cause un choc, car j’ai en face de moi la copie conforme de sa mère que j’ai quittée en courant après avoir appris la trahison de ma belle.
• Tu es pareille à celle que j’ai connue lorsque nous nous sommes vus pour la dernière fois.
• Tu es devenu un beau parleur, car j’ai comme toi prit le poids des soucis que la vie, c’est chargé de m’abattre sur mes frêles épaules.
• Tu as eu une vie difficile.
• Difficile est un mot gentil lorsque je regarde derrière moi.
• Tu peux m’en dire plus.
• J’accepte de tout te dire même si de grands moments peuvent apparaître comme sordides.
Ma vie a basculé lorsque je suis allé faire un baby-sitting cher un couple près de chez nous.
Lorsqu’ils sont rentrés le mari m’a payé en me disant qu’il avait apprécié mon travail et qu’il me ferait revenir.
Dès le week-end suivant, ils m’ont téléphoné.
Quand je suis arrivé, il était seul sa femme soi-disant se préparait dans leur chambre.
Il m’a servi un verre et à partir de là mes souvenirs s’arrête jusqu’à ce que j’ouvre les yeux nus dans son lit et dans ses bras.
Il m’a pris, la bouche et j’aurais dû bondir, mais je flottais dans une douce torpeur qui lui a permis de me remettre son sexe en moi et je dois reconnaître pour être fidèle à ce qui s’est passé, il m’a fait jouir.
Deux mois plus tard j’apprenais que j’étais enceinte et pour cacher l’ignominie pour ma famille, ils m’ont envoyé près de Nevers dans une ferme chez des amis.
Lorsque j’ai accouché de mon fils, car c’était un garçon, il m’a été enlevé pour être mis à l’adoption. Depuis j’espère toujours le retrouver, mais mes recherches sont restées inutiles.
Je suis resté dans la ferme pour travailler, mais comme le fermier me tournait autour. Pour éviter que les choses recommencent comme avec l’homme qui m’avait abusé, j’ai profité de la fête foraine qui s’était installée à Nevers pour partir dans sa caravane avec l’homme qui tenait le stand de strip-tease.
Tu te souviens comme j’étais mignonne et comme ma grossesse m’avait laissé bien foutu, il m’a fait travailler pendant cinq ans à me tortiller le cul devant des hommes qui pensaient en me regardant qu’à me tâter les fesses.
Nous étions cinq filles et le patron se croyait en droit d’avoir un droit de cuissage sur chacune d’entre nous et c’est comme cela qu’un jour je me suis aperçu malgré les capotes qu’il mettait que de nouveau, j’étais de nouveau enceinte.
J’étais dans la bonne période pour avorté alors je suis entré dans un hôpital vers Montpellier où ils m’ont débarrassé du problème, car le père étant près d’être un demeuré, j’avais peur d’accoucher d’un taré.
J’ai trouvé du travail de barmaid dans un établissement de nuit et je galérais pour vivre.
Je t’ai promis de ne rien te cacher.
Certains soirs, je partais avec un client du bar qui m’emmenait dans un hôtel pour moyennant finance me baiser.
J’ai été de plus en plus sollicité et jamais un soir sauf au moment où la nature m’en empêchait j’ai eu la double activité bar et pute.
Je gagnais bien ma vie et comme j’ai habité pendant toute cette période un petit studio peu cher et que je dormais toute la journée, j’ai rapidement amassé de l’argent.
Un jour le bar a été fermé suite à une magouille du patron qui trafiquait avec des hommes peu recommandables.
J’ai pris mes clics et mes claques et je suis retourné sur Champigny dans notre quartier où j’ai acheté une boutique de lingerie qui marche bien ma foi.
• La boutique de lingerie sur l’avenue, c’est à toi.
• Oui, plusieurs fois je t’ai vu passer et regarder mes petites culottes, j’ai eu peur que tu ne sois devenu l’un de ces pervers que j’ai trop connus tout au long de ma vie de débauche.
• Non, je regardais simplement la couleur d’un modèle qui me rappelait ma femme que j’ai incinérée il y a peu et qui avait la même parure.
• Tu étais marié.
• Oui, sans enfants a une bretonne de Quimper que j’ai connue dans un dancing et que j’ai épousé en désespoir d’avoir pu le faire avec celle que mon cœur à toujours aimé.
• Et qui est près de toi maintenant.
J’ai appris que sur Trombi, tu me cherchais.
Si tu avais été sur « copain d’avant » tu aurais gagné du temps car je suis abonné depuis plusieurs années.
Une fille avec qui je dialogue m’a prévenu qu’un homme sur Trombi.Com recherchait une Françoise de mon âge.
J’ai hésité, mais j’ai fini par te contacter.
Tu viens, ma boutique est fermée pour deux jours et je vais te faire visiter mes appartements.
Nous sommes montés au-dessus de sa boutique où elle s’était aménagé une jolie bonbonnière.
J’étais aussi timide que, lorsque je l’ai embrassé en allant au pain.
Je revenais plusieurs années en arrière effaçant ce qu’avait été ma vie et effaçant dans le même temps sa vie à elle.
J’ai dépucelé Françoise qui m’a pris ma virginité lorsque pour la première fois de notre vie, nous nous sommes pénétrés dans la douceur et dans le bruit de nos larmes.
Pas des larmes de tristesses, mais des larmes de joie de former le couple que nous avions espéré former tout au long des trois cents mètres qui nous séparaient de la boulangerie.
À son âge Françoise aurait pu encore concevoir un enfant, mais la peur d’avoir un enfant posant problème nous a retenu.
J’étais retraité de la marine après vingt ans de service et je pouvais vivre en aidant à porter les colis les jours de livraison à la boutique.
Françoise et moi sommes devenus les meilleurs amants du monde.
Chaque fois que je la prends, je sais trouver le jeu qui maintient les couples toujours amoureux.
Dans le temps à perdre qu’il me reste, voyant que Françoise avait toujours son éternel regard triste dû à son fils qu’elle avait perdu sans lui dire, j’ai entrepris des recherches sur Internet pour commencer.
Après il fallait que je me déplace près de Nevers, j’ai menti à ma douce pour la laisser quelques jours, j’ai prétexté une tante malade en province pour la quitter.
Aidé par une association qui aide les familles et surtout les enfants à retrouver ses parents j’ai pu apprendre qu’un garçon de l’âge de celui de Françoise à Auxerre recherchait sa maman.
Je me suis rendu à son adresse et j’ai trouvé devant moi un homme de trente-quatre ans ayant les yeux de sa maman et étant marié avec deux bambins.
On lui avait donné le prénom de, Gorges qui était le nom du grand-père de ses parents.
Parent car c’est à l’âge de seize ans qu’une indiscrétion familiale lui a appris qu’il avait été adopté par le couple qui croyait être ses géniteurs.
Je suis bien reçu par la famille et surtout sa jeune femme Amélie jolie blonde avec tous ce qu’il faut là où il faut qui voyait son mari rempli de remords d’avoir été arraché à sa maman.
Cette jolie femme portait dans ses bras une jolie poupée de quelques mois alors que dans ses jambes un petit garçon d’environ deux ans la crochetait de peur de la perdre.
Je suis resté deux heures avec eux et le dimanche suivant j’ai prétexté auprès de Françoise, une sortie en voiture vers le sud pour prendre l’autoroute et arriver à Auxerre. Je suis sorti de l’autoroute prétextant vouloir prendre un café pour l’arrêter devant le pavillon.
• Va sonner à la porte et demande aux personnes, comment rejoindre l’autoroute, je suis perdu.
Un peu étonnée elle y est allée et lorsque la porte s’est ouverte, j’ai fait un signe au garçon qui a répondu à mon geste et j’ai redémarré.
Comme convenu je suis revenu le dimanche suivant ayant baigné avec ses dames dans leur petite culotte.
J’ignore si elle s’était donné le mot qu’un bel étalon remplaçait la vendeuse partie en vacances, car cette semaine a été la plus prolifique de toute l’année.
Lorsque je suis revenu le dimanche à midi avec deux bouquets de fleurs l’un pour la maîtresse de maison et l’autre pour celle que je suis actuellement un genou au sol devant elle, une très belle bague avec un solitaire à la grandeur des années que j’ai perdu pour lui offrir dans son écrin.
Lorsqu'elle me la laisse passer à son doigt, je remercie mentalement Trombi.com et les Enfants d’avant de m’avoir aidé à la retrouver…
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