Françoise et Fabienne

Récit érotique écrit par Prospero [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 11 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Prospero ont reçu un total de 32 622 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 3 630 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Françoise et Fabienne
Cette éducation avec Sylvie, m’avait vraiment changé et c’est avec une assurance nouvelle que j’entamais mes nouvelles relations avec les gens, surtout les femmes bien sûr. Je dois admettre c’est que dans toutes les périodes de ma vie, j’ai toujours eu ce besoin de sexe. Obsédé ? Sans doute, j’étais bon client des Sex Shop, quand la vidéo est arrivée bon client des films X avant quand il existait des cinémas prono j’emmenais des petites amies, inutile de dire que je ne voyais pas beaucoup le film. J’ai même réussi a me faire virer d’un cinéma, pour avoir entrepris de rejouer une scéne dans la salle avec ma petite amie. Bref préoccupation number one : le cul.
Avant de devenir aussi avide de sexe, j’ai aussi eu ma première aventure que j’avais gagné de haute lutte. A cette époque je voyais encore Sylvie, mais j’avais envie d’une fille avec laquelle j’étais en cours. Le plus amusant c’est que c’était la fille de mon ex maitresse en maternelle. Françoise était un petit bout de fille charmante, un tout petit peu rond juste assez pour lui donner des formes envoutantes qui me tapaient dans l’œil. Elle était la copine d’un certain Denis qui chose étrange des années plus tard était le mari d’une de mes maitresses très importante. Comme quoi la foudre tombe parfois 2 fois dans le même cratère.
Denis étant un gars plutôt détestable, qui se moquait de Françoise dans le sens où il était toujours là pour profiter d’elle et coucher avec elle, mais qui sentimentalement s’en foutait éperdument. Moi j’avoue, j’avais craqué pour la jolie Françoise. Je n’imaginais pas une grande histoire, mais au-delà du pur désir charnel, je l’aimais beaucoup. Je réussis a supplanter le fameux Denis comme petit ami de Françoise. Cette histoire de maternelle nous avait rapproché c’était assez amusant de rencontrer sa mère qui se souvenait bien de moi. Il ne fallut pas longtemps pour qu’elle m’accepte dans son lit, elle avait un tempérament volcanique, ses cheveux courts et sa petite bouille ronde, masquaient la sensualité qu'elle pouvait déployer et sa voracité, petit gabarit mais elle avait une paire de seins magnifiques et un cul tout aussi désirable. Intelligente et drôle on s’entendait bien.
Françoise avait une meilleure amie, une sorte de sœur, Fabienne, métisse guadeloupéenne elle était aussi fine et sèche que Françoise avait de jolies rondeurs. Fabienne était pourtant très jolie dans son style. J’avais jeté mon dévolu sur Françoise car je préfère les rondeurs légères, voire plus. Tandis qu’une femme dont on voit les côtes ne me met tapes pas dans l’œil de prime abord. Françoise m’avait prévenu que Fabienne, aurait beaucoup aimé que je la choisisse elle, mais ces deux filles étaient si complices qu’elle se réjouissait pour son amie et c’était sincère, Pour preuve Fabienne nous couvraient Françoise et moi quand nous avions envie de galipettes et souvent elle était de l’autre côté de la porte alors que je lutinais et plus son amie. Elle nous taquinait disant qu’on était très bruyants. Parfois elle me demandait si je me sentais plus léger. On formait un trio assez soudé au fond.
Un jour, Françoise me demanda aves la promesse que je ne raconte rien de ce qu’elle allait me dire et que je ne me moque pas d’elle. J’apprenais ainsi, que Fabienne et elle avait été tentées par des jeux entre filles. Qu’elles avaient échangé des baisers et quelques caresses mais qu’elles avaient cessé quand Françoise c’était mise avec Denis. Ingénument Françoise me dit qu’elle pensait souvent à cette expérience avortée. Je m’imaginais qu’elle allait me dire que c’était fini, tous les deux et qu’elle allait se lancer dans l’aventure avec Fabienne.
Quelle ne fut pas ma surprise quand elle me dit, que ce serait peut-être bien de le faire à trois, surtout que Fabienne était sans aucun doute partante pour s’amuser avec moi. Françoise encore une fois me surpris avec cette idée délirante. Quand je lui rétorquais qu’il fallait surtout que Fabienne soit d’accord, elle rit et me dit qu’elle lui avait demandé et qu’elle était partante.
- Ah oui, derrière mon dos tu organise des orgies? Dis-je
- Idiot, mais non et je suis certaine que çà ne te déplairait pas non ? Rien que nous regarder, mais en plus tu nous auras toutes les deux !
- Et toi çà ne te dérange pas ?
- Non, avec Fabienne on partage tout, alors pourquoi pas toi ! En plus je sais que toi tu m’aimes tu me l’as presque dit.
En effet j’avais quelque peu dévoilé ce que je ressentais pour elle. Mais à cet âge on croit qu’on aime facilement. Mais elle avait raison, je n’aurais pas changé Françoise pour Fabienne, même si j’adorais être avec elles. Françoise m’expliqua que je devrais faire avec Fabienne comme avec elle. Interdiction de jouir dans son sexe. Par derrière si je voulais et si Fabienne aussi mais elle n’avait jamais essayé. Françoise en revanche raffolait de la sodomie. Peu de temps après Fabienne nous rejoignait et elle fut enchantée de notre accord, pour la peine, elle embrassa Françoise a pleine bouche, avant de faire de même avec moi. Comme pour sceller notre pacte. A ce moment j’étais sur un petit nuage. Nous devrions attendre le Week-end, la mère de Françoise s’absentait nous laissant libre sa maison. Restait à prévenir mes parents d'une absnece un peu prolongée. Ils avaient confiance en moi et ne me posaient guère de questions. Je dois avouer que la semaine me parut interminable, tout comme aux filles.
Le samedi vers midi, j’arrivais chez Françoise. Fabienne était déjà là depuis la veille au soir. Je me renseignais à tout hasard, avaient elles profité de la nuit pour commencer les hostilités. Je pris des coups de torchon sur la tête de leur part. Elles étaient en train de cuisiner pour le repas de midi.
- Et même si on l’avait fait, on ne te le dirait pas na!
- Cela nous regarde dit Fabienne.
- Tu pourrais nous embrasser au moins.
- Nous ? Toutes les deux ? Dis-je.
- Ah oui dis donc avec ce qu’on a prévu tu ne vas pas snober ma copine dit Françoise en riant. D’abord commence par elle, roule lui une belle galoche : elle attend que çà.
Je m’approchais de Fabienne, l’enlaçais, elle fit de même et ce fut elle qui la première posa sa bouche sur la mienne. Elle se pressait contre moi et me donnait un baiser fougueux et profond que je lui rendais bien volontiers. En tout cas elle embrassait au moins aussi bien que Françoise. Subrepticement, elle avait posé sa main sur ma queue et la massait un peu. Me faisant bander instantanément.
- Tu crois que je n’ai pas vu ta main dit Françoise C’est bien comme çà je suis sûr qu’il est tout dur pour moi !
- Oh çà oui ma belle, au quart de tour il démarre le Gilou.
- Ah non Fabienne ne m’appelle pas comme çà je déteste dis-je.
- Viens là mon chéri, dit Françoise Et elle m’attrapait par l’entrejambe pour se presser contre moi, en fait elle m’avait bien attrapé la queue.
J’étais enchanté de l’ambiance qui s’était installée. En fait, il en était toujours ainsi dans notre trio, mais cette fois le trio était plus resserré. J’aidais un peu les filles dans leur préparation du déjeuner. L’une ou l’autre venait me faire des agaceries, des bisous ou des caresses. Je guettais un peu inquiet le moindre regard réprobateur de Françoise, qui était habituellement un peu jalouse. Rien ne l’agaçait au contraire elle était presque plus enjouée que d’ordinaire. Je finis par être convaincu que ce qui allait advenir, était vraiment ce qu’elle voulait. En fait j’étais peut-être la victime d’un traquenard. Mais la victime était heureuse de foncer tête baissée dans ce piège.
Maintenant je regardais Fabienne avec un œil nouveau. Avant c’était la copine de Françoise elle était devenue maitresse potentielle. Mon regard était autre, et je découvrais une fille, vraiment jolie, plus que je ne le voyais avant focalisé sur ma chérie. Certes son style était bien différent, plus grande, plus longiligne, avec beaucoup moins de rondeurs que Françoise, elle n’en était pas moins belle. Maintenant j’avais hâte de la voir nue. Regarder les deux filles s’affairer c’était excitant pour moi et je sentais bien que ma queue était déjà prête. Je n’avais pas débandé depuis la main de Fabienne et celle de Françoise. Je suis comme çà il ne faut pas me lancer si on n'a pas l’intentions de finir le travail. J’ai horreur des allumeuses qui vous laissent en plan. Là j’avais là certitude due nous allions nous amuser, mais quand ce n’est pas le cas je le prends très mal. Bien sûr a cette époque je n’étais pas aussi irascible qu’en prenant de l’âge
J’avais apporté une bouteille de Vodka et une de Scotch, du coca du jus d’orange pour un petit apéro entre nous. Ce que nous allions faire le temps que cuise le repas.
On s'est installé dans le salon, ce serait d’ailleurs notre aire de jeu. La chambre de Françoise et son lit de 1 place paraissait un peu court, et elle ne voulait pas utiliser la chambre de sa mère. Ce que je comprenais aisément, je n’aurais pas fait çà non plus. Nous étions d’horribles vauriens avec des principes. Quand je repense a ce temps, je me dis qu’on était sans doute plus iconoclastes que les jeunes actuellement mais nous avions des principes. Je me souviens que quel que soit mes désirs, jamais je n’aurais voulu forcer une fille a quoi que ce soit. Certes je l’aurais saoulée, et n’aurais cessé de la décider et je suis très persuasif quand je le désire. Mais jamais je n’aurais même posé la main sur elle, sans être sûr de son consentement.
Je n’ai d’ailleurs jamais compris pourquoi les femmes tombaient si facilement dans mon lit. Sans doute que je ne cache jamais mes intentions, je suis direct, peut-être trop car bien sûr certaines se sont fermées comme des huitres. Je n’allais pas dire moules c’était tendancieux. De nos jours je suppose qu’on me considérerait comme un harceleur, un presque violeur. Les idéologies qui trainent sont faites par des minorités de femme qu’on aurait de tout façon pas envie d’avoir dans nos lits et qui le font payer au monde entier en dressant des barrières entre les sexes. Il suffit de regarder le profil ce tous les leaders de ces mouvements.
Il y a des hommes et des femmes, point barre tout le reste, c'est élucubrations et compagnie. Ensuite il y a des femmes et des hommes qui préfèrent le sexe avec leurs pareils lesbiennes et homo. Reste une frange de personnes qui sont mal dans leur peau et se sentent du mauvais côté, travestis ou transsexuels. Je suis à l’aise avec tout çà j’ai connu beaucoup de femmes, d’hommes de travestis j'ai eu le bonheur de rencontrer des trans, certaines sont plus femmes que les femmes. Je suis en revanche excédé par le militantisme des associations
Mais revenons au passé.
Nous avons passé un excellent moment, sur le canapé, moi au centre et mes deux adorables amies autour de moi. Chacune était prévenante et espiègles, câlines également. Je sentais Fabienne vraiment heureuse de la situation, il y a quelques jours j’étais le petit ami de Françoise et là potentiellement celui des deux amies. Pour moi c’était inespéré, voir miraculeux. Je dois admettre que j’ai tout au long de ma vie connu ce genre de coups de chance. Les astres s’alignent et me favorisent. Hélas c’est uniquement sur le plan des relations avec les femmes ou autres partenaires. Rien ne marche pour le Loto ou la bourse je ne suis donc pas milliardaire hélas, mais pas a plaindre non plus.
Après le repas savoureux concocté par mes petites amies, on se réinstallais dans le salon. Cette fois c’était pour la bonne cause. On me pria de déménager sur le fauteuil face au canapé, ces demoiselles avaient en tête de m’offrir un spectacle et de découvrir enfin les plaisirs saphiques. Quel homme aurait refusé cette proposition.
Ne voulant pas être inutile je leur donnais un coup de main pour les dévêtir. En fait je déshabillais Fabienne tandis que Françoise se mettait à caresser tout espace de peau nue que je mettais à sa portée. Placé derrière Fabienne, collé contre elle, je déboutonnais et ouvrait, de son côté tournant la tête elle cherchait le baiser. Elle alternait avec la bouche de Françoise. Je sentais la tension monter entre mes deux jolies amies. La situation était d’un érotisme puissant. Bien sur je bandais comme un carme. Ce que Fabienne vérifia plusieurs fois en glissant sa main entre nos corps. A plusieurs reprises nous avions même pu faire un baiser à trois bouches. Dans le regard de Françoise je lisais l’immense plaisir qu’elle ressentait de nous voir tous les trois au diapason de nos sens. Et moi qui ressentait plus que de l’affection pour elle, j’étais heureux de lui faire ce plaisir.
- Allez maintenant regarde nous mon chéri me dit Françoise.
- Tu viendras après ajouta Fabienne
Comme elles étaient nues toutes les deux, je faisais de même. Et bien entendu la queue en l’air je m’installais dans le fauteuil, un scotch dans la main. Cela m’éviterait de me branler au risque d’éjaculer prématurément. J’allais avoir deux femmes à honorer, mais j’étais confiant, ayant testé mes limites avec Sylvie je savais que le jeu pouvait durer autant qu’elle le désirait surtout que je récupérais très rapidement.
Bouches soudées les filles se mirent a genoux sur le canapé, face à face. Françoise avait glissé sa main entre les cuisses de Fabienne et lui caressais le minou. Seins contre seins c’était amusant de voir les rondeurs de Françoise, contre les petits seins pointus de Fabienne. Françoise avait un pubis presque glabre, blonde elle avait que quelques poils qui ombraient son triangle. La brune Fabienne avait une toison d’un noir bleuté et frisotait légèrement. L’écart entre la peau blanche presque laiteuse de Françoise et le teint chaud et cuivré de Fabienne la métisse, donnait un joli spectacle. Je ne résistais pas à l’envie de me caresser doucement. Françoise menait la danse, on sentais que c’était son désir à elle, je me demandais jusqu'à quel point Fabienne avait dit oui juste pour bénéficier de mon attention. Je me trompais totalement, car c’était Fabienne qui avait fait les premières avances à Françoise. A les voir il était certain qu’elles en avaient envie. Toutes les deux me jetaient des regardes de temps en temps. Je ne risquais pas de me détourner du spectacle. J’avançais même mon fauteuil pour être au plus près d’elles. En tendant le bras je pouvais presque les toucher.
Fabienne, était maintenant installée sur le dos, les cuisses largement écartées, je découvrais son sexe, blessure rose au milieu de sa toison d’ébène, ses petites lèvres étaient brunes, presque noires. Au haut de sa fente un long capuchon protégeait un clitoris d’une taille imposante, qui pointait son nez rose dans cet écrin foncé. Je tombais amoureux de se sexe instantanément. Celui de Françoise était adorable mais le sexe de Fabienne était particulièrement excitant. Françoise s’en ouvrit même sous l’effet de la surprise.
- Oh dis donc, douce, mais tu à un clito énorme !! Dit Françoise.
- Mets-lui un petit coup de langue, elle va aimer Dis-je. Mais doucement où elle va sauter.
Françoise écartait les lèvres de Fabienne, puis elle posa ses lèvres sur le bouton de la belle métisse. Puis sortant la langue elle taquinait le petit organe tout tendu. Fabienne poussa un petit cri et un soupir.
- Doucement doucement, c’est fort !! Me regardant elle ajouta, et toi tu ca surement adorer me le lécher non ?
- Oh ma chérie, il va te rendre dingue avec sa langue !! J’adore qu’il me fasse jouir avec.
- Arrête de parler, mange lui le minou comme je te le fais dis-je a Françoise en lui mettant une petite tape sur les fesses.
Elle reprit son léchage, tirant de multiples soupirs et petits cris de Fabienne. Quel spectacle elles m’offraient. J’adore les femmes qui aiment les femmes. Rien n’est plus beau à mon avis. Deux hommes ensembles c’est aussi un beau spectacle, mais je préfère participer que regarder. Mes deux amies découvraient en plus, tout comme moi. Je me rendais compte que j’avais une chance inouïe cd vivre çà à mon âge. Je ne sais si c’est de la chance où si les affinités font que je me sentais bien avec des femmes et des hommes plus tard, qui avaient les mêmes idées que moi, les mêmes fantasmes ou désirs. Je me suis rendu compte que systématiquement les femmes que j’arrivais à séduire, étaient toujours au diapason de mes attentes, parfois de manière évidente parfois il fallait chercher le point commun mais je l’ai toujours trouvé. Comme je parlais assez ouvertement de ces choses, celles et ceux qui avait un problème avec cette façon de concevoir la vie, s’éloignaient de moi immanquablement, ne restait que celles et ceux qui étaient comme moi ou compatibles. Je n’ai jamais eu beaucoup d’amies et amis mais ceux qui étaient vraiment sincères le restait longtemps
Françoise s’occupait bien de Fabienne, qui était de plus en plus bruyante, et de plus en plus humide, et comme Sylvie, la jolie métisse laissait échapper un fluide laiteux qui lui coulais entre les fesses.
- Met ta langue dans son sexe ma chérie dis-je a Françoise, lèches sa mouille tu va voir c’est bon comme tout.
Françoise me lança un regard interrogateur, mais suivi mon conseil, enfonçant sa langue dans le vagin de Fabienne, elle lui fit pousser un long rugissement de plaisir. La langue de ma petite chérie était couverte de mouille assez épaisse, qu’elle goutait avec curiosité et plaisir. Je ne résistais pas à l’envie d’échanger un baiser avec Françoise et je goutais par la même occasion la mouille de Fabienne. Celle ci attrapa ma main et me tirant vers elle me dit:
- Oh viens avec nous, embrasse moi j’en ai trop envie !
Je ne pouvais refuser cette invitation, et si le spectacle était mémorable, mon envie de participer était grimpée un niveau énorme. Agenouillé près d’elle je l’embrassais et caressais ses petits seins en cône tout pointus, aux tétons brun foncé presque noirs et très granuleux. Ils étaient durs et dressés, quand je les pris dans mes doigts, Fabienne rejetait la tête en arrière en soupirant. Sa main cherchant et trouvant ma queue, qu’elle serra entre ses doigts me faisant frissonner et augmentant encore mon érection.
- Gilles approche je veux te sucer me dit Fabienne.
- Oui fais lui plaisir dit Françoise relevant la tête, la bouche le nez les joues luisants et trempés.
- Fabienne tu es en train de faire un masque au jus de chatte à ta copine
Elles eurent un petit rire toutes les deux, mais le sexe était plus important, je m’étais placé pour que Fabienne puisse prendre mon sexe dans sa bouche. Elle commença a me sucer doucement. Ses lèvres étaient douces, sa bouche brulante. Elle savait y faire. En fait je baisais sa bouche et j’avoues que j’allais de plus en plus loin dans mes coups de reins. Fabienne, supportait facilement mon audace, et le butais au fond de sa gorge assez souvent. Les yeux emplis de larmes elle m’invitais en appuyant ses mains sur ma fesse, a entre plus loin encore. Elle sautait comme un cabri sous les coups de langues de Françoise, qui maintenant, lui pistonnait le sexe avec 3 doigts .
- Mon chéri dit Françoise, viens prendre ma place, elle doit crever d’envie que tu la baise.
Secouant légèrement la tête tout en me suçant Fabienne fit signe que oui elle attendait mon sexe en elle.
De bonne grâce je me retirais de la bouche accueillante de cette petite amie très salope, pour aller me plonger en elle. J’allais la prendre, la posséder, je l’ai déjà dit pour moi c’est important, primordial.
- Fais attention me dit Françoise ne te laisse pas aller.
- Oh oui Gilles, je t’aime beaucoup mais j’ai pas envie d’un bébé. Si tu veux après on fera comme tu fais avec Françoise. Mais moi je n’ai jamais fait par derrière et je crains d’avoir mal.
- N’ai pas peur ma douce, dit Françoise, il fait très doucement et ça ira et tu dois avoir envie de le sentir jouir en toi.
- Ouii sa queue est bonne et toi ta langue me rend folle.
- Oui ? Attend que Gilles te bouffe la chatte là tu ça crier comme une cochonne.
Françoise se mit a califourchon sur le visage de Fabienne me faisant race elle laissait son amie la lécher. Je m’étais installé et je poussais ma queue dans le sexe trempé de Fabienne. Sensation différente de ce que je ressentais avec Françoise, super excitée Fabienne avait la chatte totalement folle, elle s’ouvrait se fermait, pressais ma queue avec force. C’était intense et super excitant d’aller et venir dans ce sexe mouvant. Le souci c’est qu’a ce rythme elle allait me faire gicler bien plus vite que prévu. Je la prenais un moment. Jusqu'à je sente que je devais calmer le jeu.
Françoise avait prévu cette phase sur la table, un tube de vaseline attendait sagement qu’on fasse appel à lui. Je me retirais doucement.
- Oh c’était trop bon dit Fabienne.
- Oui ma chérie “trop bon” tu à raison dis-je. On va essayer de l’autre côté. Ces yeux trahirent son angoisse. N’ai pas peur je ferais doucement et si tu a mal j’arrête.
Elle reprit le léchage de la chatte de Françoise. Installée comme çà accéder a son anus n'était pas le plus facile, je glissais un coussin sous ses reins, cette fois sa rosette était bien exposée. Bon signe elle n’avait pas l’air trop serrée un peu ouverte, a peine mais c'était bon signe. Alors que je badigeonnais son petit trou de vaseline, j’en avait abondement déposé à l’orée et je poussais avec mon doigt pour lubrifier tout le muscle. Je profitais de ma position pour lécher son sexe, suçoter son clito. Que je trouvais énorme. En proie au plaisir de son léchage de chatte Françoise regardait mes préparatifs. En poussant soupirs et cris de plaisir. Elle frottait son entrecuisse sur le minois de sa copine. Quand je commençais a engager un doigt dans son anus, Fabienne s’extirpa du minou de Françoise. Et me regarda faisant des gestes pour me signifier d’aller moins vite.
- Doucement mon doudou, oh ça va comme çà. Dit Fabienne
- N’ai pas peur, je vais aller doucement tu vas voir tu vas aimer.
Au début avec Françoise j’avais eu le même souci, la peur d’avoir mal. Alors que si on s’y prend doucement, aucune douleur n’arrivera. Avec l’habitude maintenant, elle ne poussait qu’un râle de plaisir quand je la pénétrais. Je dirais même que ma petite chérie, préférait la sodomie, cela lui donnait tout loisir de caresser sa chatte ou de la remplir des ses doigts ou des miens, voire un peu les deux.
- Je te fais mal là? Demandais je a Fabienne.
- Non, ça va, ce n’est même pas désagréable Dit elle
- Tu vois petite salope, tu a trois doigts bien au fond, ça va aller.
J’enduisais mon sexe d’une jolie couche de vaseline, posais mon gland contre l’anus luisant. Et lentement je pénétrais, ne pas brusquer, je m’enfonçais lentement ca pastille s’ouvrait comme pour mes doigts, elle est bien étroite quand même. Mon gland franchit le muscle et la pénétration devint plus facile. Fabienne c’était bien décontractée. Elle avait poussé un petit râle timide quand enfin je fus bien en elle.
Elle tenait mes mains, je la sentais trembler, je commençais un lent va et vient. Deux minutes plus tard elle ne tremblait plus, ses reins accompagnait le mouvement de mon bassin. Françoise avait une crampe, elle s’est installée dans le fauteuil et nous regardait Fabienne et moi. Cuisses ouvertes elle se caressait, son sexe était transformé en pataugeoire après la longue minette que Fabienne li avait fait.
- Regarde ta cochonne de copine elle se branle en nous matant. Dis-je
- Hmm oui Gilou, continue c’est bon !! Je te sens bien !!
Je ne relevais pas le Gilou qui m’insupporte, Fabienne méritait bien que je sois magnanime, elle avait pris sur elle, pour cette première sodomie qui se passait à merveille. Je jugeais qu’il était temps de pimenter la chose, je posais ma main sur son sexe et du pouce je caressais le capuchon puis le bout de son clito. Elle poussa un rugissement rauque.
- Oh oui !!! Comme çà baise moi ! Baise moi fort.!!
- Je crois qu’elle aime ça aussi dit Françoise Tu va pouvoir la démonter comme tu me le fais !! J’ai trop envie là tu sais !!
- Laisse Fabienne profiter ton tour va venir !!
Fabienne ondulait comme une liane dans le vent. Ses mains agrippaient mes avant-bras et elle plantait ses ongles. Je lui donnais des baisers, elle y répondait voracement. J’ai encore le souvenir du feu dans ses yeux bruns profonds.
- Oh ouiiii ouiii fort cas y prend moi à fond, je t’aime.
Ce dernier mot claquait dans l’air. Françoise et moi avons échangé un regard bref, mais on ne releva pas, elle avait dit çà dans le feu de l’action. Mais j’avais eu une drôle de sensation, comme un frisson glacé le long de la colonne. C’est incroyable ce que ce petit mot est lourd de sens. Je n’ai jamais aimé l’employer a tort ou à travers. Je l’ai dit plusieurs fois, mais seulement quand j’étais certain des choses. En général cela m’a peu porté chance. J'espérais que notre trio ne serais pas mis en Piece par ce petit mot. Il n’en fut rien, du moins pas immédiatement. Ce moment de flottement passé je me concentrait sur le plaisir de Fabienne. Je sentais que la sodomie était très à son goût au point qu'après ce premier essai elle me dit préférer. Elle avait beaucoup plus de sensations, et aves les caresses sur son sexe, elle avait des orgasmes qu’elle n’avait jamais connus avant. D’ailleurs bien serré dans son petit cul, j’allais avoir du mal a continuer à là labourer. Elle ne c’était pas rendue compte que je la prenais vraiment très fort, sans ménagements. Elle ne se rendait pas compte que le ressortais de son cul avant de revenir d'un coup claquant mes couilles contre ses fesses. Ma belle métisse planait sur un petit nuage de sensations fortes et plaisantes.
- Oh oui!!!! Plus fort, baise moi chéri, encules moi fort !! Criait elle
Je sentais monter le plaisir, très vite. Quand Françoise se mit a jouir sur son fauteuil. Renversée les jambes en l’air elle enfonçait ses doigts dans sa chatte marécageuse. Elle poussa de grands cris avant de soupirer lourdement et de laisser tomber sa tête en arrière. Mouillée ma chérie ? Pensez-vous, l’intérieur des cuisses luisant, des gouttes de mouille qui glissaient sur ses fesses et gouttait sur le cuir du canapé.
Au bord de l’explosion, je murmurais dans un souffle.
- Je vais jouir !!
Fabienne se démenait, elle avait elle aussi commencé a branler son clito. J’avais du mal à la tenir et a ne pas tomber. Un éclair et j’explosais dans le cul de Fabienne, je m’enfouissais au plus profond d’elle. C’était intense, saccades après saccades j’emplissait son cul de mon foutre.
- Oh chéri je te sens gicler !!!
- Jouis salope, vas-y donnes toi
Elle poussa un cri, un hurlement presque et agitée de tremblements elle jouit avec une rare intensité, si fort qu’elle laissa filer un long jet d’urine qui s’écrasait sur mon ventre. Encore une première pour moi, loin d’être dégouté c’est avec un rare plaisir que j’allais lécher le petit orifice qui relâchait encore du liquide. Je trouvais ça agréable et excitant. J’avoues que par la suite, je faisais tout pour que cela se reproduise et j’allais ostensiblement boire à la source. Un peu gênées au début mes petites cochonnes se laissaient aller à me contenter le plus souvent possible.
Notre petit trio c’était offert du plaisir. Et nous avons passé tout ce week-end à faire l’amour dans tous les recoins de l’appartement. Fabienne souleva le problème de son “ je t’aime”, crié dans l’action. C’était un détail mais il a soulagé Françoise qui craignais une concurrence de la part de Fabienne. Je ne tenais pas à engager une relation “sérieuse” je ne cherchais que le fun, le sexe rien d’autre. Elles aussi ne voulaient que vivre leur jeunesse. Faire des expériences. Nous avions mis la barre très haute, ce ménage a trois si j’ose dire était une énigme pour nos autres amies et amis qui n’auraient jamais imaginé autant de liberté. Cela desservait un peu mes petites chéries qui passaient pour des filles faciles et elles se faisaient souvent traiter de salopes ou de putes. Ce qui m’obligeait à jouer les protecteurs, car je n’acceptais pas que des imbéciles puceaux et jaloux viennent troubler mes petites amies. Ce trio était “connu” même de l’administration et j’ai eu à répondre de cette rumeur. Déjà un caractère affirmé je ne niais pas la véracité et je soutenais que c’était uniquement moi que çà regardait. Certes mes parents ont eu vent de l’affaire et m’ont soutenu, le seul impératif n'était pas compliqué, bien sûr “ pas de bébé “ J’en étais conscient et mes amies aussi. C’est bien la raison pour laquelle nous avions choisi une méthode alternative que peu de filles de cet âge osaient utiliser.
J’avoue que malgré ce bonheur je ne pouvais m’empêcher de séduire d’autres demoiselles. Que je sautais à l'occasion, ou quelques fois pendant quelques semaines. L'aventure du trio ne dura pas loin d’un an. On s'est quittés bons amis on a refait quelques soirées de temps en temps, avant que chacun trouve d’autres partenaires. Aux dernières nouvelles, Françoise c’est mariée, a eu des enfants. Fabienne aussi mais avec une amie. Elle a fini par trouver sa voie, je me souviens avec nostalgie des nombreux duos entre Fabienne et Françoise dans lesquels l’intervenais une fois qu’enne avait déjà pris leur pied.
Avant de devenir aussi avide de sexe, j’ai aussi eu ma première aventure que j’avais gagné de haute lutte. A cette époque je voyais encore Sylvie, mais j’avais envie d’une fille avec laquelle j’étais en cours. Le plus amusant c’est que c’était la fille de mon ex maitresse en maternelle. Françoise était un petit bout de fille charmante, un tout petit peu rond juste assez pour lui donner des formes envoutantes qui me tapaient dans l’œil. Elle était la copine d’un certain Denis qui chose étrange des années plus tard était le mari d’une de mes maitresses très importante. Comme quoi la foudre tombe parfois 2 fois dans le même cratère.
Denis étant un gars plutôt détestable, qui se moquait de Françoise dans le sens où il était toujours là pour profiter d’elle et coucher avec elle, mais qui sentimentalement s’en foutait éperdument. Moi j’avoue, j’avais craqué pour la jolie Françoise. Je n’imaginais pas une grande histoire, mais au-delà du pur désir charnel, je l’aimais beaucoup. Je réussis a supplanter le fameux Denis comme petit ami de Françoise. Cette histoire de maternelle nous avait rapproché c’était assez amusant de rencontrer sa mère qui se souvenait bien de moi. Il ne fallut pas longtemps pour qu’elle m’accepte dans son lit, elle avait un tempérament volcanique, ses cheveux courts et sa petite bouille ronde, masquaient la sensualité qu'elle pouvait déployer et sa voracité, petit gabarit mais elle avait une paire de seins magnifiques et un cul tout aussi désirable. Intelligente et drôle on s’entendait bien.
Françoise avait une meilleure amie, une sorte de sœur, Fabienne, métisse guadeloupéenne elle était aussi fine et sèche que Françoise avait de jolies rondeurs. Fabienne était pourtant très jolie dans son style. J’avais jeté mon dévolu sur Françoise car je préfère les rondeurs légères, voire plus. Tandis qu’une femme dont on voit les côtes ne me met tapes pas dans l’œil de prime abord. Françoise m’avait prévenu que Fabienne, aurait beaucoup aimé que je la choisisse elle, mais ces deux filles étaient si complices qu’elle se réjouissait pour son amie et c’était sincère, Pour preuve Fabienne nous couvraient Françoise et moi quand nous avions envie de galipettes et souvent elle était de l’autre côté de la porte alors que je lutinais et plus son amie. Elle nous taquinait disant qu’on était très bruyants. Parfois elle me demandait si je me sentais plus léger. On formait un trio assez soudé au fond.
Un jour, Françoise me demanda aves la promesse que je ne raconte rien de ce qu’elle allait me dire et que je ne me moque pas d’elle. J’apprenais ainsi, que Fabienne et elle avait été tentées par des jeux entre filles. Qu’elles avaient échangé des baisers et quelques caresses mais qu’elles avaient cessé quand Françoise c’était mise avec Denis. Ingénument Françoise me dit qu’elle pensait souvent à cette expérience avortée. Je m’imaginais qu’elle allait me dire que c’était fini, tous les deux et qu’elle allait se lancer dans l’aventure avec Fabienne.
Quelle ne fut pas ma surprise quand elle me dit, que ce serait peut-être bien de le faire à trois, surtout que Fabienne était sans aucun doute partante pour s’amuser avec moi. Françoise encore une fois me surpris avec cette idée délirante. Quand je lui rétorquais qu’il fallait surtout que Fabienne soit d’accord, elle rit et me dit qu’elle lui avait demandé et qu’elle était partante.
- Ah oui, derrière mon dos tu organise des orgies? Dis-je
- Idiot, mais non et je suis certaine que çà ne te déplairait pas non ? Rien que nous regarder, mais en plus tu nous auras toutes les deux !
- Et toi çà ne te dérange pas ?
- Non, avec Fabienne on partage tout, alors pourquoi pas toi ! En plus je sais que toi tu m’aimes tu me l’as presque dit.
En effet j’avais quelque peu dévoilé ce que je ressentais pour elle. Mais à cet âge on croit qu’on aime facilement. Mais elle avait raison, je n’aurais pas changé Françoise pour Fabienne, même si j’adorais être avec elles. Françoise m’expliqua que je devrais faire avec Fabienne comme avec elle. Interdiction de jouir dans son sexe. Par derrière si je voulais et si Fabienne aussi mais elle n’avait jamais essayé. Françoise en revanche raffolait de la sodomie. Peu de temps après Fabienne nous rejoignait et elle fut enchantée de notre accord, pour la peine, elle embrassa Françoise a pleine bouche, avant de faire de même avec moi. Comme pour sceller notre pacte. A ce moment j’étais sur un petit nuage. Nous devrions attendre le Week-end, la mère de Françoise s’absentait nous laissant libre sa maison. Restait à prévenir mes parents d'une absnece un peu prolongée. Ils avaient confiance en moi et ne me posaient guère de questions. Je dois avouer que la semaine me parut interminable, tout comme aux filles.
Le samedi vers midi, j’arrivais chez Françoise. Fabienne était déjà là depuis la veille au soir. Je me renseignais à tout hasard, avaient elles profité de la nuit pour commencer les hostilités. Je pris des coups de torchon sur la tête de leur part. Elles étaient en train de cuisiner pour le repas de midi.
- Et même si on l’avait fait, on ne te le dirait pas na!
- Cela nous regarde dit Fabienne.
- Tu pourrais nous embrasser au moins.
- Nous ? Toutes les deux ? Dis-je.
- Ah oui dis donc avec ce qu’on a prévu tu ne vas pas snober ma copine dit Françoise en riant. D’abord commence par elle, roule lui une belle galoche : elle attend que çà.
Je m’approchais de Fabienne, l’enlaçais, elle fit de même et ce fut elle qui la première posa sa bouche sur la mienne. Elle se pressait contre moi et me donnait un baiser fougueux et profond que je lui rendais bien volontiers. En tout cas elle embrassait au moins aussi bien que Françoise. Subrepticement, elle avait posé sa main sur ma queue et la massait un peu. Me faisant bander instantanément.
- Tu crois que je n’ai pas vu ta main dit Françoise C’est bien comme çà je suis sûr qu’il est tout dur pour moi !
- Oh çà oui ma belle, au quart de tour il démarre le Gilou.
- Ah non Fabienne ne m’appelle pas comme çà je déteste dis-je.
- Viens là mon chéri, dit Françoise Et elle m’attrapait par l’entrejambe pour se presser contre moi, en fait elle m’avait bien attrapé la queue.
J’étais enchanté de l’ambiance qui s’était installée. En fait, il en était toujours ainsi dans notre trio, mais cette fois le trio était plus resserré. J’aidais un peu les filles dans leur préparation du déjeuner. L’une ou l’autre venait me faire des agaceries, des bisous ou des caresses. Je guettais un peu inquiet le moindre regard réprobateur de Françoise, qui était habituellement un peu jalouse. Rien ne l’agaçait au contraire elle était presque plus enjouée que d’ordinaire. Je finis par être convaincu que ce qui allait advenir, était vraiment ce qu’elle voulait. En fait j’étais peut-être la victime d’un traquenard. Mais la victime était heureuse de foncer tête baissée dans ce piège.
Maintenant je regardais Fabienne avec un œil nouveau. Avant c’était la copine de Françoise elle était devenue maitresse potentielle. Mon regard était autre, et je découvrais une fille, vraiment jolie, plus que je ne le voyais avant focalisé sur ma chérie. Certes son style était bien différent, plus grande, plus longiligne, avec beaucoup moins de rondeurs que Françoise, elle n’en était pas moins belle. Maintenant j’avais hâte de la voir nue. Regarder les deux filles s’affairer c’était excitant pour moi et je sentais bien que ma queue était déjà prête. Je n’avais pas débandé depuis la main de Fabienne et celle de Françoise. Je suis comme çà il ne faut pas me lancer si on n'a pas l’intentions de finir le travail. J’ai horreur des allumeuses qui vous laissent en plan. Là j’avais là certitude due nous allions nous amuser, mais quand ce n’est pas le cas je le prends très mal. Bien sûr a cette époque je n’étais pas aussi irascible qu’en prenant de l’âge
J’avais apporté une bouteille de Vodka et une de Scotch, du coca du jus d’orange pour un petit apéro entre nous. Ce que nous allions faire le temps que cuise le repas.
On s'est installé dans le salon, ce serait d’ailleurs notre aire de jeu. La chambre de Françoise et son lit de 1 place paraissait un peu court, et elle ne voulait pas utiliser la chambre de sa mère. Ce que je comprenais aisément, je n’aurais pas fait çà non plus. Nous étions d’horribles vauriens avec des principes. Quand je repense a ce temps, je me dis qu’on était sans doute plus iconoclastes que les jeunes actuellement mais nous avions des principes. Je me souviens que quel que soit mes désirs, jamais je n’aurais voulu forcer une fille a quoi que ce soit. Certes je l’aurais saoulée, et n’aurais cessé de la décider et je suis très persuasif quand je le désire. Mais jamais je n’aurais même posé la main sur elle, sans être sûr de son consentement.
Je n’ai d’ailleurs jamais compris pourquoi les femmes tombaient si facilement dans mon lit. Sans doute que je ne cache jamais mes intentions, je suis direct, peut-être trop car bien sûr certaines se sont fermées comme des huitres. Je n’allais pas dire moules c’était tendancieux. De nos jours je suppose qu’on me considérerait comme un harceleur, un presque violeur. Les idéologies qui trainent sont faites par des minorités de femme qu’on aurait de tout façon pas envie d’avoir dans nos lits et qui le font payer au monde entier en dressant des barrières entre les sexes. Il suffit de regarder le profil ce tous les leaders de ces mouvements.
Il y a des hommes et des femmes, point barre tout le reste, c'est élucubrations et compagnie. Ensuite il y a des femmes et des hommes qui préfèrent le sexe avec leurs pareils lesbiennes et homo. Reste une frange de personnes qui sont mal dans leur peau et se sentent du mauvais côté, travestis ou transsexuels. Je suis à l’aise avec tout çà j’ai connu beaucoup de femmes, d’hommes de travestis j'ai eu le bonheur de rencontrer des trans, certaines sont plus femmes que les femmes. Je suis en revanche excédé par le militantisme des associations
Mais revenons au passé.
Nous avons passé un excellent moment, sur le canapé, moi au centre et mes deux adorables amies autour de moi. Chacune était prévenante et espiègles, câlines également. Je sentais Fabienne vraiment heureuse de la situation, il y a quelques jours j’étais le petit ami de Françoise et là potentiellement celui des deux amies. Pour moi c’était inespéré, voir miraculeux. Je dois admettre que j’ai tout au long de ma vie connu ce genre de coups de chance. Les astres s’alignent et me favorisent. Hélas c’est uniquement sur le plan des relations avec les femmes ou autres partenaires. Rien ne marche pour le Loto ou la bourse je ne suis donc pas milliardaire hélas, mais pas a plaindre non plus.
Après le repas savoureux concocté par mes petites amies, on se réinstallais dans le salon. Cette fois c’était pour la bonne cause. On me pria de déménager sur le fauteuil face au canapé, ces demoiselles avaient en tête de m’offrir un spectacle et de découvrir enfin les plaisirs saphiques. Quel homme aurait refusé cette proposition.
Ne voulant pas être inutile je leur donnais un coup de main pour les dévêtir. En fait je déshabillais Fabienne tandis que Françoise se mettait à caresser tout espace de peau nue que je mettais à sa portée. Placé derrière Fabienne, collé contre elle, je déboutonnais et ouvrait, de son côté tournant la tête elle cherchait le baiser. Elle alternait avec la bouche de Françoise. Je sentais la tension monter entre mes deux jolies amies. La situation était d’un érotisme puissant. Bien sur je bandais comme un carme. Ce que Fabienne vérifia plusieurs fois en glissant sa main entre nos corps. A plusieurs reprises nous avions même pu faire un baiser à trois bouches. Dans le regard de Françoise je lisais l’immense plaisir qu’elle ressentait de nous voir tous les trois au diapason de nos sens. Et moi qui ressentait plus que de l’affection pour elle, j’étais heureux de lui faire ce plaisir.
- Allez maintenant regarde nous mon chéri me dit Françoise.
- Tu viendras après ajouta Fabienne
Comme elles étaient nues toutes les deux, je faisais de même. Et bien entendu la queue en l’air je m’installais dans le fauteuil, un scotch dans la main. Cela m’éviterait de me branler au risque d’éjaculer prématurément. J’allais avoir deux femmes à honorer, mais j’étais confiant, ayant testé mes limites avec Sylvie je savais que le jeu pouvait durer autant qu’elle le désirait surtout que je récupérais très rapidement.
Bouches soudées les filles se mirent a genoux sur le canapé, face à face. Françoise avait glissé sa main entre les cuisses de Fabienne et lui caressais le minou. Seins contre seins c’était amusant de voir les rondeurs de Françoise, contre les petits seins pointus de Fabienne. Françoise avait un pubis presque glabre, blonde elle avait que quelques poils qui ombraient son triangle. La brune Fabienne avait une toison d’un noir bleuté et frisotait légèrement. L’écart entre la peau blanche presque laiteuse de Françoise et le teint chaud et cuivré de Fabienne la métisse, donnait un joli spectacle. Je ne résistais pas à l’envie de me caresser doucement. Françoise menait la danse, on sentais que c’était son désir à elle, je me demandais jusqu'à quel point Fabienne avait dit oui juste pour bénéficier de mon attention. Je me trompais totalement, car c’était Fabienne qui avait fait les premières avances à Françoise. A les voir il était certain qu’elles en avaient envie. Toutes les deux me jetaient des regardes de temps en temps. Je ne risquais pas de me détourner du spectacle. J’avançais même mon fauteuil pour être au plus près d’elles. En tendant le bras je pouvais presque les toucher.
Fabienne, était maintenant installée sur le dos, les cuisses largement écartées, je découvrais son sexe, blessure rose au milieu de sa toison d’ébène, ses petites lèvres étaient brunes, presque noires. Au haut de sa fente un long capuchon protégeait un clitoris d’une taille imposante, qui pointait son nez rose dans cet écrin foncé. Je tombais amoureux de se sexe instantanément. Celui de Françoise était adorable mais le sexe de Fabienne était particulièrement excitant. Françoise s’en ouvrit même sous l’effet de la surprise.
- Oh dis donc, douce, mais tu à un clito énorme !! Dit Françoise.
- Mets-lui un petit coup de langue, elle va aimer Dis-je. Mais doucement où elle va sauter.
Françoise écartait les lèvres de Fabienne, puis elle posa ses lèvres sur le bouton de la belle métisse. Puis sortant la langue elle taquinait le petit organe tout tendu. Fabienne poussa un petit cri et un soupir.
- Doucement doucement, c’est fort !! Me regardant elle ajouta, et toi tu ca surement adorer me le lécher non ?
- Oh ma chérie, il va te rendre dingue avec sa langue !! J’adore qu’il me fasse jouir avec.
- Arrête de parler, mange lui le minou comme je te le fais dis-je a Françoise en lui mettant une petite tape sur les fesses.
Elle reprit son léchage, tirant de multiples soupirs et petits cris de Fabienne. Quel spectacle elles m’offraient. J’adore les femmes qui aiment les femmes. Rien n’est plus beau à mon avis. Deux hommes ensembles c’est aussi un beau spectacle, mais je préfère participer que regarder. Mes deux amies découvraient en plus, tout comme moi. Je me rendais compte que j’avais une chance inouïe cd vivre çà à mon âge. Je ne sais si c’est de la chance où si les affinités font que je me sentais bien avec des femmes et des hommes plus tard, qui avaient les mêmes idées que moi, les mêmes fantasmes ou désirs. Je me suis rendu compte que systématiquement les femmes que j’arrivais à séduire, étaient toujours au diapason de mes attentes, parfois de manière évidente parfois il fallait chercher le point commun mais je l’ai toujours trouvé. Comme je parlais assez ouvertement de ces choses, celles et ceux qui avait un problème avec cette façon de concevoir la vie, s’éloignaient de moi immanquablement, ne restait que celles et ceux qui étaient comme moi ou compatibles. Je n’ai jamais eu beaucoup d’amies et amis mais ceux qui étaient vraiment sincères le restait longtemps
Françoise s’occupait bien de Fabienne, qui était de plus en plus bruyante, et de plus en plus humide, et comme Sylvie, la jolie métisse laissait échapper un fluide laiteux qui lui coulais entre les fesses.
- Met ta langue dans son sexe ma chérie dis-je a Françoise, lèches sa mouille tu va voir c’est bon comme tout.
Françoise me lança un regard interrogateur, mais suivi mon conseil, enfonçant sa langue dans le vagin de Fabienne, elle lui fit pousser un long rugissement de plaisir. La langue de ma petite chérie était couverte de mouille assez épaisse, qu’elle goutait avec curiosité et plaisir. Je ne résistais pas à l’envie d’échanger un baiser avec Françoise et je goutais par la même occasion la mouille de Fabienne. Celle ci attrapa ma main et me tirant vers elle me dit:
- Oh viens avec nous, embrasse moi j’en ai trop envie !
Je ne pouvais refuser cette invitation, et si le spectacle était mémorable, mon envie de participer était grimpée un niveau énorme. Agenouillé près d’elle je l’embrassais et caressais ses petits seins en cône tout pointus, aux tétons brun foncé presque noirs et très granuleux. Ils étaient durs et dressés, quand je les pris dans mes doigts, Fabienne rejetait la tête en arrière en soupirant. Sa main cherchant et trouvant ma queue, qu’elle serra entre ses doigts me faisant frissonner et augmentant encore mon érection.
- Gilles approche je veux te sucer me dit Fabienne.
- Oui fais lui plaisir dit Françoise relevant la tête, la bouche le nez les joues luisants et trempés.
- Fabienne tu es en train de faire un masque au jus de chatte à ta copine
Elles eurent un petit rire toutes les deux, mais le sexe était plus important, je m’étais placé pour que Fabienne puisse prendre mon sexe dans sa bouche. Elle commença a me sucer doucement. Ses lèvres étaient douces, sa bouche brulante. Elle savait y faire. En fait je baisais sa bouche et j’avoues que j’allais de plus en plus loin dans mes coups de reins. Fabienne, supportait facilement mon audace, et le butais au fond de sa gorge assez souvent. Les yeux emplis de larmes elle m’invitais en appuyant ses mains sur ma fesse, a entre plus loin encore. Elle sautait comme un cabri sous les coups de langues de Françoise, qui maintenant, lui pistonnait le sexe avec 3 doigts .
- Mon chéri dit Françoise, viens prendre ma place, elle doit crever d’envie que tu la baise.
Secouant légèrement la tête tout en me suçant Fabienne fit signe que oui elle attendait mon sexe en elle.
De bonne grâce je me retirais de la bouche accueillante de cette petite amie très salope, pour aller me plonger en elle. J’allais la prendre, la posséder, je l’ai déjà dit pour moi c’est important, primordial.
- Fais attention me dit Françoise ne te laisse pas aller.
- Oh oui Gilles, je t’aime beaucoup mais j’ai pas envie d’un bébé. Si tu veux après on fera comme tu fais avec Françoise. Mais moi je n’ai jamais fait par derrière et je crains d’avoir mal.
- N’ai pas peur ma douce, dit Françoise, il fait très doucement et ça ira et tu dois avoir envie de le sentir jouir en toi.
- Ouii sa queue est bonne et toi ta langue me rend folle.
- Oui ? Attend que Gilles te bouffe la chatte là tu ça crier comme une cochonne.
Françoise se mit a califourchon sur le visage de Fabienne me faisant race elle laissait son amie la lécher. Je m’étais installé et je poussais ma queue dans le sexe trempé de Fabienne. Sensation différente de ce que je ressentais avec Françoise, super excitée Fabienne avait la chatte totalement folle, elle s’ouvrait se fermait, pressais ma queue avec force. C’était intense et super excitant d’aller et venir dans ce sexe mouvant. Le souci c’est qu’a ce rythme elle allait me faire gicler bien plus vite que prévu. Je la prenais un moment. Jusqu'à je sente que je devais calmer le jeu.
Françoise avait prévu cette phase sur la table, un tube de vaseline attendait sagement qu’on fasse appel à lui. Je me retirais doucement.
- Oh c’était trop bon dit Fabienne.
- Oui ma chérie “trop bon” tu à raison dis-je. On va essayer de l’autre côté. Ces yeux trahirent son angoisse. N’ai pas peur je ferais doucement et si tu a mal j’arrête.
Elle reprit le léchage de la chatte de Françoise. Installée comme çà accéder a son anus n'était pas le plus facile, je glissais un coussin sous ses reins, cette fois sa rosette était bien exposée. Bon signe elle n’avait pas l’air trop serrée un peu ouverte, a peine mais c'était bon signe. Alors que je badigeonnais son petit trou de vaseline, j’en avait abondement déposé à l’orée et je poussais avec mon doigt pour lubrifier tout le muscle. Je profitais de ma position pour lécher son sexe, suçoter son clito. Que je trouvais énorme. En proie au plaisir de son léchage de chatte Françoise regardait mes préparatifs. En poussant soupirs et cris de plaisir. Elle frottait son entrecuisse sur le minois de sa copine. Quand je commençais a engager un doigt dans son anus, Fabienne s’extirpa du minou de Françoise. Et me regarda faisant des gestes pour me signifier d’aller moins vite.
- Doucement mon doudou, oh ça va comme çà. Dit Fabienne
- N’ai pas peur, je vais aller doucement tu vas voir tu vas aimer.
Au début avec Françoise j’avais eu le même souci, la peur d’avoir mal. Alors que si on s’y prend doucement, aucune douleur n’arrivera. Avec l’habitude maintenant, elle ne poussait qu’un râle de plaisir quand je la pénétrais. Je dirais même que ma petite chérie, préférait la sodomie, cela lui donnait tout loisir de caresser sa chatte ou de la remplir des ses doigts ou des miens, voire un peu les deux.
- Je te fais mal là? Demandais je a Fabienne.
- Non, ça va, ce n’est même pas désagréable Dit elle
- Tu vois petite salope, tu a trois doigts bien au fond, ça va aller.
J’enduisais mon sexe d’une jolie couche de vaseline, posais mon gland contre l’anus luisant. Et lentement je pénétrais, ne pas brusquer, je m’enfonçais lentement ca pastille s’ouvrait comme pour mes doigts, elle est bien étroite quand même. Mon gland franchit le muscle et la pénétration devint plus facile. Fabienne c’était bien décontractée. Elle avait poussé un petit râle timide quand enfin je fus bien en elle.
Elle tenait mes mains, je la sentais trembler, je commençais un lent va et vient. Deux minutes plus tard elle ne tremblait plus, ses reins accompagnait le mouvement de mon bassin. Françoise avait une crampe, elle s’est installée dans le fauteuil et nous regardait Fabienne et moi. Cuisses ouvertes elle se caressait, son sexe était transformé en pataugeoire après la longue minette que Fabienne li avait fait.
- Regarde ta cochonne de copine elle se branle en nous matant. Dis-je
- Hmm oui Gilou, continue c’est bon !! Je te sens bien !!
Je ne relevais pas le Gilou qui m’insupporte, Fabienne méritait bien que je sois magnanime, elle avait pris sur elle, pour cette première sodomie qui se passait à merveille. Je jugeais qu’il était temps de pimenter la chose, je posais ma main sur son sexe et du pouce je caressais le capuchon puis le bout de son clito. Elle poussa un rugissement rauque.
- Oh oui !!! Comme çà baise moi ! Baise moi fort.!!
- Je crois qu’elle aime ça aussi dit Françoise Tu va pouvoir la démonter comme tu me le fais !! J’ai trop envie là tu sais !!
- Laisse Fabienne profiter ton tour va venir !!
Fabienne ondulait comme une liane dans le vent. Ses mains agrippaient mes avant-bras et elle plantait ses ongles. Je lui donnais des baisers, elle y répondait voracement. J’ai encore le souvenir du feu dans ses yeux bruns profonds.
- Oh ouiiii ouiii fort cas y prend moi à fond, je t’aime.
Ce dernier mot claquait dans l’air. Françoise et moi avons échangé un regard bref, mais on ne releva pas, elle avait dit çà dans le feu de l’action. Mais j’avais eu une drôle de sensation, comme un frisson glacé le long de la colonne. C’est incroyable ce que ce petit mot est lourd de sens. Je n’ai jamais aimé l’employer a tort ou à travers. Je l’ai dit plusieurs fois, mais seulement quand j’étais certain des choses. En général cela m’a peu porté chance. J'espérais que notre trio ne serais pas mis en Piece par ce petit mot. Il n’en fut rien, du moins pas immédiatement. Ce moment de flottement passé je me concentrait sur le plaisir de Fabienne. Je sentais que la sodomie était très à son goût au point qu'après ce premier essai elle me dit préférer. Elle avait beaucoup plus de sensations, et aves les caresses sur son sexe, elle avait des orgasmes qu’elle n’avait jamais connus avant. D’ailleurs bien serré dans son petit cul, j’allais avoir du mal a continuer à là labourer. Elle ne c’était pas rendue compte que je la prenais vraiment très fort, sans ménagements. Elle ne se rendait pas compte que le ressortais de son cul avant de revenir d'un coup claquant mes couilles contre ses fesses. Ma belle métisse planait sur un petit nuage de sensations fortes et plaisantes.
- Oh oui!!!! Plus fort, baise moi chéri, encules moi fort !! Criait elle
Je sentais monter le plaisir, très vite. Quand Françoise se mit a jouir sur son fauteuil. Renversée les jambes en l’air elle enfonçait ses doigts dans sa chatte marécageuse. Elle poussa de grands cris avant de soupirer lourdement et de laisser tomber sa tête en arrière. Mouillée ma chérie ? Pensez-vous, l’intérieur des cuisses luisant, des gouttes de mouille qui glissaient sur ses fesses et gouttait sur le cuir du canapé.
Au bord de l’explosion, je murmurais dans un souffle.
- Je vais jouir !!
Fabienne se démenait, elle avait elle aussi commencé a branler son clito. J’avais du mal à la tenir et a ne pas tomber. Un éclair et j’explosais dans le cul de Fabienne, je m’enfouissais au plus profond d’elle. C’était intense, saccades après saccades j’emplissait son cul de mon foutre.
- Oh chéri je te sens gicler !!!
- Jouis salope, vas-y donnes toi
Elle poussa un cri, un hurlement presque et agitée de tremblements elle jouit avec une rare intensité, si fort qu’elle laissa filer un long jet d’urine qui s’écrasait sur mon ventre. Encore une première pour moi, loin d’être dégouté c’est avec un rare plaisir que j’allais lécher le petit orifice qui relâchait encore du liquide. Je trouvais ça agréable et excitant. J’avoues que par la suite, je faisais tout pour que cela se reproduise et j’allais ostensiblement boire à la source. Un peu gênées au début mes petites cochonnes se laissaient aller à me contenter le plus souvent possible.
Notre petit trio c’était offert du plaisir. Et nous avons passé tout ce week-end à faire l’amour dans tous les recoins de l’appartement. Fabienne souleva le problème de son “ je t’aime”, crié dans l’action. C’était un détail mais il a soulagé Françoise qui craignais une concurrence de la part de Fabienne. Je ne tenais pas à engager une relation “sérieuse” je ne cherchais que le fun, le sexe rien d’autre. Elles aussi ne voulaient que vivre leur jeunesse. Faire des expériences. Nous avions mis la barre très haute, ce ménage a trois si j’ose dire était une énigme pour nos autres amies et amis qui n’auraient jamais imaginé autant de liberté. Cela desservait un peu mes petites chéries qui passaient pour des filles faciles et elles se faisaient souvent traiter de salopes ou de putes. Ce qui m’obligeait à jouer les protecteurs, car je n’acceptais pas que des imbéciles puceaux et jaloux viennent troubler mes petites amies. Ce trio était “connu” même de l’administration et j’ai eu à répondre de cette rumeur. Déjà un caractère affirmé je ne niais pas la véracité et je soutenais que c’était uniquement moi que çà regardait. Certes mes parents ont eu vent de l’affaire et m’ont soutenu, le seul impératif n'était pas compliqué, bien sûr “ pas de bébé “ J’en étais conscient et mes amies aussi. C’est bien la raison pour laquelle nous avions choisi une méthode alternative que peu de filles de cet âge osaient utiliser.
J’avoue que malgré ce bonheur je ne pouvais m’empêcher de séduire d’autres demoiselles. Que je sautais à l'occasion, ou quelques fois pendant quelques semaines. L'aventure du trio ne dura pas loin d’un an. On s'est quittés bons amis on a refait quelques soirées de temps en temps, avant que chacun trouve d’autres partenaires. Aux dernières nouvelles, Françoise c’est mariée, a eu des enfants. Fabienne aussi mais avec une amie. Elle a fini par trouver sa voie, je me souviens avec nostalgie des nombreux duos entre Fabienne et Françoise dans lesquels l’intervenais une fois qu’enne avait déjà pris leur pied.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Prospero
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Encore une belle histoire.
J'aime votre talent de conteur.
Et sachant que c'est du vécu j'aimes encore plus .
J'ai l'impression que vos deux amies ont passé un excellent moment avec vous. Si j'ai bien compris vous êtes un monsieur âgé maintenant. Une question me brûle les lèvres. Combien de femmes avez vous eu dans votre vie je ne parle pas de mariage bien sûr. J'ai l'impression que je vais être surprise. Pardonnez ma curiosité.
J'aime votre talent de conteur.
Et sachant que c'est du vécu j'aimes encore plus .
J'ai l'impression que vos deux amies ont passé un excellent moment avec vous. Si j'ai bien compris vous êtes un monsieur âgé maintenant. Une question me brûle les lèvres. Combien de femmes avez vous eu dans votre vie je ne parle pas de mariage bien sûr. J'ai l'impression que je vais être surprise. Pardonnez ma curiosité.
Merci Prospero ce volet est magnifiquement écrit et je participe aux ebats du trio. J’attend ds tes prochains chapitres de ta vie. Daniel

