Françoise la perverse.
Récit érotique écrit par Trekkie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Françoise la perverse.
Ceci est un récit imaginé que je vais essayé de vous raconter.
Je m'appelle Françoise et mon histoire se passe dans les années 80. J'avais 25 ans à cette époque et j'étais enseignante dans une école privée. Un poste que j'avais eu grâce au piston d'un vague cousin député du coin.
Les cheveux tirés en chignon, des lunettes ( dont je n'avais nullement besoin), jupe jusqu'au chevilles, je passais pour très vertueuse et farouchement vierge aux yeux de tout le monde. J'éprouvais un plaisir pervers à donner de moi cette image parfaitement fausse.
Tous ceux qui me connaissaient sous cet aspect auraient été très étonnés de la métamorphose le soir venu, alors que j'avais rejoint mon appartement de fonction. Car une fois débarrassée de mes oripeaux de parfaite grenouille de bénitier. C'était une autre Françoise provocante et lascive qui prenait vie !
J’enfilais un fin déshabillé en dentelles noires et je m'installais devant mon magnéto. J'avais une collection de cassettes porno que je ne regardais jamais sans une trouble fébrile, car en fait la seule chose qui m'intéressait vraiment était mon plaisir sexuel. Les scènes érotiques des films me créaient toujours une excitation aussi forte qu'irrésistible.
Je commençais par me caresser doucement la vulve tout en évitant de me toucher le clitoris. Quand les premières ondes de plaisir s'emparaient de mon ventre, j'étais prise de tremblements. Je stoppais ça en me tirant fortement sur les poils pubiens. Je restais alors inerte, me contentant de regarder les images sur l'écran du téléviseur.
Puis je reprenais mon jeu, mais en m'interdisant toujours de jouir. Cela pouvait durer plus d'une heure. Je mouillais alors abondamment, et le goût très fort ainsi que l'odeur de mes secrétions intimes m'envahissaient au plus haut degré.
C'est alors seulement que je sortais mon vibromasseur et m'occupais doucement de mon clitoris. Je ne devais jamais attendre longtemps pour que le premier orgasme explose, énorme. Mais cela était rarement libérateur à ce stade d'excitation. Je ne pouvais plus retarder le moment de la pénétration. Tremblante de la tête aux pieds, j'enfonçais mon vibromasseur entre les lèvres de mon sexe dégoulinant de mouille. Comme prise d'hystérie, je m'abandonnais à la jouissance la plus bestiale sans plus aucune retenue.
Mais je n'étais vraiment et pleinement satisfaite que quand tous mes orifices étaient occupés. Alors je sortais une deuxième gode et je le l'enfonçais dans mon petit trou. Et là et là seulement, je me sentais d'être femme ... totalement et triomphalement femme ! À l'instar de ces vedettes du porno qui se donnent sans complexe à trois hommes à la fois. Mais pour moi, cela tenait de l'ordre du fantasme car dans la réalité je n'avais jamais osé le faire.
Mais un matin au réveil, je me suis fais un pari complètement farfelu. ... Jouir toute une matinée au nez et à la barbe de tous mes collègues. Sans que ces culs bénis ne se rendent compte de rien. Je me suis mise en condition en prenant une douche, insistant sur ma chatte pour la sensibiliser. Puis je me suis introduit deux boules de geisha bien huilée dans le vagin. Les boules bien au chaud dans ma foufoune, rien que le contact de ma culotte déclenchait des ondes de plaisir que je devais refréner. Jusqu'à l'établissement, à chaque pas, je sentais les boules me masser les muqueuses, sensation exquise qui flattait ma perversité naturelle.
Le cours allaient commencer quand Mme la Directrice m'interpella.
Bonjour Mme la Directrice !
Ah ! Mlle Françoise. Justement je désirais vous parler ! ... Nous devons statuer sur le sort de l’élève Gautier. Passez à mon bureau à la récréationBien Madame !
En attendant, en classe, très vite, j'ai réalisé que j'aurais les plus grandes difficultés à retenir mon excitation. Je ne tiendrais jamais toute la matinée. Debout, c'était difficile, mais assise c'était pire ! À chaque frôlement de mes cuisses l'une contre l'autre m'arrachait de longs frissons. J'allais craquer, je ne croyais pas que ce serait aussi dur !
Au bout d'un moment, les regards des élèves, m'ont fait comprendre que je racontais n’importe quoi. Je sentais ma mouille qui coulait à flot le long de mes cuisses, empoissant ma culotte. Je finis debout contre le bureau et j'essayais d'enfoncer le coin entre mes fesses. Je maudissais l'épaisseur du tissu qui en amoindrissait le contact. Pendant que mes jeunes universitaires se débattaient avec le contrôle écrit, je laissais vagabonder mon esprit vers des rêveries qui n'avaient rien de pédagogiques. Dans mon esprit c'était une succession d'images de ces jeunes mâles nus. Tous ces jeunes hommes devant moi m'excitaient et je pouvais presque sentir leurs sexes me pénétrer. Je suçais mon stylo imitant des fellations, je rêvais de vrai gros sexes lourds de chair et de sang. Des queues vibrantes que j'enfonçais dans ma gorge jusqu'à la limite de l'étouffement. La pointe de mes seins me faisaient mal et mon sexe était en feu. À l'abri de mon bureau, j'ai hasardé une main dans ma culotte trempée de mouille. Je me suis mise à masser doucement ma vulve, ce qui n'a fait qu'empirer les choses. Les fantasmes qui me fascinait et me faisait le plus peur se concrétisait sous mes yeux . Deux formidables bites me pilonnaient les deux orifices tandis qu'une troisième éjaculait dans ma bouche. J'allais craquer. Mais je fut sauvée par la sonnerie de changement de cours. Le temps que la classe suivante s'installe, j'ai couru m'enfermer dans les toilettes, mon ventre était agité de spasmes intolérables. Je sentais que si cela continuais, j'allais tomber dans les pommes. J'ai retiré lentement les boules, serrant les dents pour ne pas crier. Mais trop excitée, j'éprouvais le besoin de me calmer. Il fallait que je me branle ! Et j'ai honte de le dire, mais en proie au désordre mental le plus complet, je me suis enfoncée la balayette dans le cul. Et quand tout a explosé, j'ai cru m'évanouir tant le plaisir a été fort.Je suis restée un moment sans bouger, à bout de souffle, baignant dans mes secrétions.
Débarrassée des boules, j'ai pu retourné donner cours dans des conditions beaucoup plus détendues.
Le week-end, j'étais censée aller chez mes parents, en province. Mais justement ce vendredi, ma bagnole a eu des problèmes sur la route. Par chance j'ai vu un garage encore ouvert à la sortie d'un village. Avec un peu de chance, il allait pouvoir réparer. Le garagiste était plutôt beau gosse. Mais ...j'allais devoir faire preuve de persuasion.
Désolé ma petite dame, j'ai terminé ma journée. Mon ouvrier est parti, j'ai pris ma douche et il y a du foot ce soir.
Vous ne voudriez pas jeter quand même un petit coup d’œil ?... On pourrait envisager une petite récompense !
C'est pas un pourboire qui va changer mon compte en banque ...
Qui parle d'argent ... à moins que vous ayez fait vœu de chasteté ! ...
Il a hésité quelques secondes, mais pour finir ...
Bon ... avancez à l'intérieur, je vais voir ce que je peux faire ... Mais je ne vous promet rien !
C'est sympa, merci ...
La panne était un souci à l'arrivée d'essence, il allait me faire une réparation de fortune. Mais lundi je devrais faire réparer cela plus sérieusement. En attendant, il me proposa d'aller attendre dans le bureau, la nuit commençait à tomber et le froid avec.
Dix minutes plus tard, le moteur tournait à nouveau normalement. C'était le signal que j'allais devoir tenir mes promesses, j'ai donc enlevé ma jupe et ma culotte. Me donner à un inconnu sans savoir si j'allais tomber sur une brute, un mauvais coup ou un timide m'excitait toujours au plus haut point. Mais la plupart du temps, les mecs étaient plutôt décontenancés par mon attitude et ça m'amusait de voir leur embarras. Normalement il allait bander rien qu'en reluquant mes fesses.
Voilà, c'est rép... ?! ... Bordel ! Vous ne perdez pas de temps ! ...
La vision de mon postérieur te fait de l'effet ?
Un max ma belle ! ... Tu es toujours aussi directe avec les mecs ?
Uniquement avec les garagiste qui me rendent service !
En bon garagiste, il est allé directement au carburateur. Ses doigts ont ouvert ma chatte et y sont entré sans trop de ménagement.
Attends ... Je suis sûre que tu aimerais que je te suces un peu pour que ça glisse mieux ? ...
Si tu y tiens ...
Je n'ai jamais rencontré un homme dire non à une bonne pipe. Mon garagiste n'a pas fait exception. Finalement, sa queue a prit une taille honorable.
C'est déjà fini la turlute ? ...
On n'a pas que ça à faire, et n'oublie pas ... il y a du foot ce soir !
Je sorti un préservatif pour le lui enfiler. Et puis ce fut lui qui m'enfila sa bite dans la chatte. Ils s'est mi à me tringler sans ménagement. Mais après une semaine d'onanisme, un peu de brutalité machiste n'était pas déplaisante.
Tiens, tiens !
Hééé ! Doucement ! ... Tu es sûr de tenir ce rythme ?
T'en fais pas ... tu auras le temps de prendre ton pied !
Putain ce que tu es bonne ! Je ... j'aimerais te prendre en levrette !
Ses désirs étaient des ordres, je me suis retournée pour m'appuyer sur son bureau et il pressa sa bite contre mes fesses.
Mais, attention, le petit trou est zone interdite !
Et c'est bien dommage ... Un petit plissé comme ça, on en mangerait à tous les repas !
Mais il ne devait pas avoir l'habitude d'obéir aux interdictions. Tandis que sa queue me pilonnait avec toujours la même énergie, il m'a enfoncé un doigt dans l'anus.
Ah, non ! J'avais dit pas ça !
Bah ! Sois cool ... ce n'est qu'un doigt ! ... Tu sens ma bite et mon doigt qui te fouillent en même temps ? ... N'as-tu jamais rêvé d'être prise pas deux mecs en même temps ? ...
C'était incroyable, ce type m'avait devinée. Effectivement, mon fantasme favori envahissait mon esprit. J'ai abandonné toute velléité et j'ai laissé le plaisir monter en moi !
AAAH OOOUIII !!!! SALAUD ! POUSSE, POUSSE PLUS FORT ! ...
Il était rare que je prenne mon pied la première fois. Mais là, je l'ai laissé venir et j'ai explosé. Mais lui ne jouissait pas ! Soudain, il s'est retiré et a enlevé sa capote ! Je n'ai réalisé ses intentions que quand il a commencé à branler son sexe près de mon visage. Assis sur moi et m’écrasant de tout son poids, il a éjaculé avec un râle de bête blessée. Puis profitant de ma bouche ouverte,il s'est enfoncé entre mes lèvres tout en continuant à évacuer une quantité de sperme incroyable. Et malgré cela il à continué a imprimer à sa verge un mouvement de v et viens se servant de ma bouche comme d'un sexe. Son gland butait contre ma glotte, cherchant le passage et son sperme me donnait la nausée. C'était une sensation horrible et enivrante à la fois. Bientôt totalement chavirée, je l'ai aidée à glisser le plus profond possible. C'était la première fois que je pratiquais une gorge profonde.Ses couilles battaient contre mon menton. Je sentais la hampe de sa queue tressauter dans ma gorge. Je l'avalais avec des râles et des bruits de sussions obscènes. Ma mouille coulait à flot et j'ai joui quand à nouveau il s'est vidé dans des jets de spermes presque aussi puissant que les premiers.
En reprenant le volant, une douleur à la mâchoire et un goût persistant de foutre dans la bouche m'ont fais penser que j'étais un peu inconsciente de provoquer ainsi des inconnus. Un jour ça allait mal se terminer. Mais quelques heures plus tard, en pénétrant dans un restaurant où j'avais mes habitudes, j'étais prête à repartir en chasse.
Oh chère amie ; quel plaisir de vous revoir !
Bonsoir Georges.
À côté de ma table un couple se disputait à voix basse, si j'avais bien compris, ils parlaient de divorce. Le type était canon, genre armoire à glace. Mais la femme se leva et lui lança un verre à la figure. Le type lui, prenait la situation avec humour et m'est tout de suite apparu sympathique.
C'est du champagne ... ça ne tâche pas !
Mais vous voilà seul pour la soirée !
Vous semblez l'être aussi ... si c'est le cas, nous pourrions unir nos solitudes ... Vous n'avez pas encore commandé et nous n'en étions qu'aux hors-d’œuvre ... Je vous invite ... ailleurs !
Pourquoi pas !
Je venais de craquer. Nous avons pris sa voiture et alors qu'il nous amenait dans un autre restaurant, j'ai appris qu'il s'appelait Serge. Il exploitait avec sa femme, Brigitte un centre de culturisme et de remise en forme. Ils avaient chacun des aventures, mais ils ne se cachaient rien. On dit des culturistes sont des muscles sans tête. Ce n'était pas son cas, drôle et cultivé il était très séduisant. Pendant le repas, je suis totalement tombée sous son charme et plus tard dans l’ascenseur de son hôtel, il m'embrassa et fit courir ses mains sur tout mon corps. Dans sa chambre, nous nous sommes vite retrouvés nus dans le lit. Je n'avais jamais connu d'amant de ce gabarit, une telle masse musculaire était fascinante. J'étais excitée comme une gamine faisant l'amour pour la première fois. Son sexe était en rapport avec le reste de son corps. Épilé entièrement, couilles comprises, il était chaud et doux au toucher. Serge savait prendre son temps et faire durer le plaisir, il m'a fait jouir uniquement en me masturbant avec sa langue est ses doigts. Je n'en pouvais plus, je voulais qu'il me baise au plus vite en faisant entrer cette grosse bite en moi. Quand je le lui dis, il m'a relevé les jambes sur le torse m'écartelant au maximum, puis s'est enfoncé en moi m'arrachant des cris de bête. Il s'est mis à me bourrer avec une régularité de marteau piqueur, variant les positions toujours insolites. Parfois très inconfortables, mais sources d'un plaisir intense.J'étais littéralement sa chose, les orgasme s’enchaînaient les uns aux autres. Ses mains puissantes m'écartaient les fesses et je le devinait se délectant de la vue de mon petit trou ; Ce qui ravivait mon fantasme favori ... sa grosse queue s'enfonçant dans mon cul décuplât mon plaisir.
Hmmm ... Je ... Je viens ! ...
Haaaa ! ... Sur moi ... décharge toi sur mon ventre ! ...
Me dominant, il s'est répandu en un flot de sperme chaud et poisseux dont je me suis enduite le ventre avec délectation. Sa bite formidable qui dans un mouvement de va et vient frottait mon clitoris m'a procuré un nouvel orgasme. Mais insatiable, je m'employais à lui redonner vigueur. J'avais abandonné toute pudeur. Je n'étais plus qu'une pompe à foutre, je voulais qu'il me prenne encore et encore. Nous avons fait l'amour trois fois de suite. J'avais mal à la mâchoire à force de la sucer et la chatte douloureuse à force de baiser. Mais ils bandait toujours.
Tu n'as jamais essayé la sodomie ?
Non, je ... je ne veux pas ... ça fait mal ! ...
Pas si on sait s'y prendre ... c'est une sensation unique, tu sais ... une jouissance très particulière !
Tout en énonçant ses arguments, il caressait doucement mon anus qui se mit à frémir sous ses doigts. Je résistais pour la forme. Mais je sentais que j'allais accepter. D’instinct, il avait compris qu'il avait gagné. Il s'est emparé d'un pot de vaseline dans la table de nuit ; sans doute destinée à la femme du restaurant.
Elle aimait que tu la prennes comme ça l'autre ?
Beaucoup ... et dans des positions que tu ne peux imaginer ...
Son doigt couvert de vaseline n'a eu aucune difficulté pour s'enfoncer dans mon rectum.
Mmm ... Tu n'as peut-être jamais fais ça avec un homme, mais tu as déjà essayé avec un godemiché ... avoue !
Ooooh ! ... Oui ... oui ...
Quand j'ai senti son gros gland contre mon anus, je me suis mise à trembler ; de peur autant que d'excitation. Et d'un coup, il a forcé le passage. J'ai eu mal, mais pire que la douleur, une étrange impression que j'allais vomir m'envahissait. Serge me défonçait la pastille sans se soucier de mes plaintes. Puis la douleur s'est estompée et j'ai réalisé que cette sensation de nausée était juste le déclenchement de la jouissance. Je geignais, je pleurais, je hurlais n'importe quoi. Quand son foutre brûlant a envahi mes entrailles, je n'étais plus qu'un éparpillement de particules vibrantes de voluptés satisfaites. Il a continué jusqu'à ce que sa bite se rétracte, laissant mon anus béant et agité de spasmes. Son sperme ainsi rejeté coulait sur ma vulve me créant un ultime frisson de plaisir. Combien d'autres avant moi avait-il initiées à la sodomie ? Je me suis endormie avec le sentiment d'être aussi comblée qu'une femme peut l'être.
Je me suis réveillée la première sur le coup de midi. Je suis allée aux toilettes pour satisfaire un besoin naturel. Je pensais toujours à sa queue quand il est entré dans la salle de bain.
J'adore voir une jolie femme pisser ...
Hmm ... Approche ! ... J'adore sucer un bel homme quand je pisse ...
Et c'était reparti pour un tour. En fait, je me souviens pas que nous ayons fait grand chose d'autre pendant ce week-end, à part baiser. Ni pendant les week-end suivants, car passant outre la règle de ne jamais revoir deux fois le même amant, j'ai continué à le voir. Profitant de l'absence de sa femme pour le retrouver chaque vendredi. J'étais totalement folle de son corps et nous faisions l'amour tout le temps et n'importe où. Dans sa voiture, dans une cabane d'ouvriers sur un chantier désert et une nuit, Serge a réussi à ce que je le laisse m'enculer sous le porche d'un immeuble à deux pas d'un boulevard très fréquenté.
Puis Serge a disparu, plusieurs semaines ont passé sans aucune nouvelle de lui. J'étais incapable de le chasser de mon esprit. La drague ne m'intéressait plus. Je ne pensais qu'aux bras de Serge, qu'à son corps musclé et ... à sa bite prodigieuse. Bref, j'étais amoureuse. Mais je me demandais où il étais et s'il m'avait remplacée. J'étais folle, ce n'était qu'un homme avec une grosse queue, rien de plus. Mais c'était aussi Serge ...
Un soir, à la sortie de mon travail, alors que j'étais plongée dans de sombres pensées.
Mlle Françoise ? ...
Je suis Brigitte, la femme de Serge.
La très jolie jeune femme qui m'avait interpellée n'était pas du genre à passer inaperçue. Mais je l'ai reconnue, le sol s'est dérobé sous mes pieds.
Que voulez-vous ?
Parler ... de vous, de Serge, de votre liaison ... Quel scandale si votre directrice apprenait ce que vous faites chaque fin de semaine ! ...
Vous voulez me faire chanter ? ...
Quelle idée ! Il est normal que je veuille faire la connaissance de la femme dont mon mari est amoureux.
Mon cœur a sauté dans ma poitrine ; j'avais bien entendu. Serge était amoureux de moi. Cela faisait pourtant plus d'un mois sans nouvelle de lui. Mais sa femme insistait, elle voulait en parler avec moi, mais dans un endroit plus discret. J'ai hésité quelques secondes. Elle était capable de faire un scandale en pleine rue, je l'ai donc invitée chez moi.
Dans mon salon elle se comporta comme en terrain conquis. Quand elle a enlevé son blouson, j'ai ressenti le même trouble qu'avec Serge à la vue de son corps musclé. Elle s'installa et me tendit une série de photos. Il s'agissait de photos de Serge et de moi qui ne laissaient aucun doute sur l'état de notre relation. Ça avait été prit au téléobjectif et à l'infrarouge la nuit. On me voyait le sucer, me faire sodomiser et autres pratiques dans tous les endroits visité.
Dans quel piège m'étais-je fourrée, où cette femme voulait-elle en venir ? Je crevais de trouille.
Serge est au courant pour les photos ?...
Pas du tout ! Pauvre chou, il se consume d'amour pour vous. C'est pour respecter nos accord qu'il ne vous voit plus ! Vous comprenez Françoise, que vous aimez Serge, c'est normal ; toutes les nanas qu'il baise sont amoureuses de lui ... Mais que lui soit amoureux d'une autre que moi, ça, ça m'emmerde ... Aussi, je ne vois qu'une solution ... que vous soyez aussi ma maîtresse. Qui sait ; peut-être, je vais aussi tomber amoureuse de vous ! ...
Vous êtes folle ! ... Je ne suis, ...
Pas gouine ? ... Moi non plus. Ça n'empêche pas de s'envoyer en l'air de temps en temps avec une femme.
Ensuite les choses se sont passées simplement. Nous avons pris un café en discutant comme deux vieilles amies qui se retrouvent. Elle était directe et je commençais à la trouver sympathique. Puis ... on s'est embrassées. Le contact de ses mains, de sa bouche me faisait frissonner de la tête aux pieds. Comme prise d'une subite torpeur, je laissais Brigitte me dévêtir sans réagir.
Mmm... Tu as de beaux seins et ta peau est douce ; tu es belle quand tu es émue... J'ai terriblement envie de toi !
Sa voix chaude et sourde, aux intonations fluctuantes créait une atmosphère sensuelle.
Comme c'est mignon ! Une touffe, Serge ne t'as pas convertie au sexe épilé ?!... Mais tu mouille ma chérie. Mmmh ... divin nectar ! ...
Sa langue dans mon sexe m’a électrisée. Prise d'une soudaine frénésie, je me suis mise à désirer cette femme intensément.
Ton corps, je veux jouir de ton corps ! ...
Hooo, quelle fougue ! Doucement, mon cœur, on a toute la nuit devant nous.
Nous avons roulé sur la moquette.
Hé ! Cochonne ! ... Tu ne mets pas de culotte ?
Jamais, c'est super quand je roule à moto ! ...
à force de s'embrasser, se caresser, se lécher on s'est retrouvée dans la position du soixante-neuf. La langue de Brigitte s'activait sur mon clitoris. J’avais le visage englué de sa mouille abondante et d'une odeur enivrante. Tout comme son mari, Brigitte ne manquait pas d'imagination. Plus le temps passait, plus nos jeux devenaient pervers. Il faut dire qu'elle avait apporté le matériel pour. Un gode dans sa chatte et des boules de geisha dans le cul. Serge m'avait initiée à la sodomie, elle aussi avait quelque chose à me faire découvrir. Elle utilisa le gode dans ma chatte et ses doigts dans mon cul.
Nous avons joui chacune plusieurs fois, mais Brigitte n'était pas rassasiée. J'avais cédé devant son caractère dominant et je me laissais faire comme une pucelle face à son premier amant.
Écarte bien les cuisses chérie, je vais t'apprendre un jeu fascinant ! ...
Mmh ... Que vas tu faire ?
Elle s'est mise à me lécher la fente réveillant dans mes entrailles un feu qu n'était que partiellement éteint.
Hooo ! Tu me tues !
D’abord je lubrifie bien le passage ... Hmm ... J'adore l'odeur de ta chatte ! ... Puis j’introduis deux doigts ...
Ho, Brigitte ! ...
Un à un ses doigts ont disparus dans ma chatte m'arrachant des plaintes sourde. Mon ventre agité de spasme, se tordait de plaisir.
C'est maintenant que ça se passe chérie ... ne te crispe pas ... ouvre toi complètement.
Sa main tout entière a disparu dans mon vagin ... J'ai poussé un cri de surprise et de douleur.
Aaah, non ! Arrête ! Pas ça ! ... Tu es folle !
En fait, c'est moi qui avait l'impression de devenir folle. Écartelée, déchirée, je hurlais, suppliais en vain. Je sentais ses doigts s'agiter dans mes chairs, dans le clapotement de mes propres sécrétions. Puis ce fut l'orgasme, puissant, énorme et dévastateur. Je m’arque boutais, me tendais et me tordais dans tous les sens, hurlant, bavant mon plaisir. Baisée et rebaisée par cette main infatigable qui m'ouvrait en deux et s'agitait tel un animal pris au piège.
Tu as aimé, ma beauté rousse ? ...
Ooh, chérie, tu m'as fais mal, tu m'as déchiré la chatte ... Tu es une vilaine et c'était fabuleux ! ...
La douche qui suivit, a été un prétexte à de nouvelles caresses. Enfin nous avons improvisé un petit repas et avons parlé de Serge.
... et si nous lui rendions un petit hommage ? ...
C'est à dire ! ...
Ça s'appelle un double dong. Et qui sait si bien nous enculer sans nous faire mal et en nous procurant beaucoup de plaisir ? ...
Serge ! Hi ! Hi ! Hi !
Elle venais de sortit un gode flexible à deux têtes.
Tu veux qu'on s'enfile ça dans la chatte ...
Dans le cul ! En l'honneur de Serge et de ses talents sodomites.
Ho !
Voilà, on lubrifie le trou avec un peu vaseline...
Quelle cochonne ... tu fais ! ... T'es vraiment perverse !
Après c'est toi qui va me tartine la pastille ...
Je ne me suis pas fait prier, la confiture dans mon rectum m'excitait et je me suis mise à mouiller. Le gode s'est enfoncé sans difficulté, nous étions toutes les deux dans un tel état que l'odeur de nos sécrétions a de nouveau envahi la pièce. La barre de caoutchoucs était aussi souple qu'une vraie verge. Brigitte l'actionnait lentement, ce qui a fini de me mettre en transe.
Hooo ! ... Brigitte ... C'est ... c'est booon !!!
Brigitte s'est enfilée l'autre bout, nous devions avoir l'air un peu bête dans cette position, mais c'était la dernière de nos préoccupations.
Voilà ... doucement ... ça rentre bien ... Haaa ! ...
Nous nous sommes activées du cul et des hanches, nous enfonçant le gode jusqu'à ce que nos croupes hystériques cognent l'une contre l'autre. Pendant ce temps nos doigts clapotaient allégrement dans nos vulves dilatées !
Ça s'est terminé dans un festival de cris, de râles et de hurlements de plaisir qui m'ont fait apprécier le fait de ne pas avoir de proches voisins. J’avais passé mon examen avec mention très bien. J'avais donc le droit de revoir Serge.
Nous nous sommes donc retrouvés à trois dans une villa prêtée par des amis de Serge et Brigitte. Nous étions prêt pour un week-end d'enfer.
Mes deux amours ; je vous promet de vous être toujours fidèle !
Tu as intérêt !
De toutes façons on va tellement le pomper qu'il aura du mal à aller voir ailleurs ! ... N’est-ce pas Françoise ! ... Ha ! Ha ! Ha !...
Le week-end fut entièrement consacré au sexe, jamais notre trio ne se sépara pour qu'un couple puisse en profiter seul. Les capacités sexuelles de Serge étaient fantastiques. Il n'a épargné aucun de nos orifices et nous n'avons pas laissé à sa queue beaucoup de péri.
Je me suis sacrifiée au demande du couple en me rasant le pubis, Brigitte quand à elle a débarrassé mon anus du duvet qui l'encombrait. Ce qui selon elle, rend le léchage du trou du cul plus suave. Ils m'ont ensuite initié au culturisme sexuel. Ils m’ont fait un programme d'exercices qui m'a fait découvrir l les charmes de la musculation, mais aussi ses douleurs. Toutefois les séances de culture physique étaient prétextes à des dérives sexuelles. Par exemple, j'ai fais soulever des poids avec une bite dans le cul, des développé avec une bite en bouche et la langue de Brigitte dans ma chatte ou encore j'ai sucé un clitoris en faisant des des exercices de jambes.
J'avais confié au couple mon fantasme et la peur de la réaliser qui en découlait.
C'est un problème qui peur facilement se résoudre.
C'est à dire ?
Bah ; on verra ça plus tard ! ...
J'avais appris à me méfier quand Brigitte avait ce petit sourire ; qu'allait-elle encore inventer ?
Plus tard, ça a été quand Serge et moi revenions d'une ferme voisine où nous étions allés acheter des œufs. Un orage aussi subite que violent nous avait trempé jusqu'aux os.
Ouf ! Quel déluge ! ...
Allons nous sécher à la salle de bain ... gare à la bronchite ! ...
Et naturellement en se séchant ...
Tu es belle Françoise ! ...
Oh, Serge ! ...
... on s'embrasse, on se caresse et le désir monte lentement. Pour finir la salle de bain s'emplit du bruit de nos soupirs et de celui de nos bouches impatientes parcourant nos corps brûlant.
Et bien mes salauds ... on formique dans mon dos ! ... A trois c'est toujours mieux qu'a deux ...
Nous avons donc continué à trois dans la salle de gym. Comme à son habitude Serge était en super forme et Brigitte débordante d'énergie.
Je vais vous défoncer, mes petites chattes, et après j'éjaculerai sur vos jolies petites bouches ! ...
A moi, Serge viens me baiser, à mon tour ! ...
Mais oui, chérie, à ton tour ...
Humm ... Brigitte je vais te dévorer ! ...
Serge était capable de se retenir très longtemps. Et cela se termina comme prévu ; un flot de sperme brûlant sur nos visage.
Serge nous à laisse et nous nous sommes très vite retrouvées chacune le nez dans la foufoune de l'autre. Brigitte n'avait pas son pareil pour me faire jouir avec sa langue.
Aaah ! Brigitte, je n'en peux plus ! ... Baise -moi ! Baise-moi !!!
Oui, mon amour, je vais te baiser comme tu ne l'as jamais été ! ...
Ne laisse pas refroidir le moteur, ma belle, je reviens tout de suite ! ...
Elle n'est effectivement pas restée très longtemps absente.
Oh ! Chérie ! Je me doutais que tu trouverais quelque chose dans ce genre là ! ...
Brigitte est revenue arborant une ceinture godemiché. Sa musculature lui donnait l'aspect troublant d'un beau travelo.
Elle te plaît ? ... Suce la un peu ... tu sais que tu es très belle quand tu suces ...
Brigitte, ton corps splendide plus une bite d'étalon ! ...
J'ai sucé avec la même délectation que s'il s'agissait d'un vrai sexe.
C'est bien, mon bébé ... Salive la bien, elle ne rentrera que mieux ! ...
L'odeur des sécrétions de Brigitte m'emplissait les narines et augmentait mon impatience d'être pénétrée.
Voilà ... Maintenant, juste une petite formalité ! ...
Elle me banda les yeux et j’eus un petit moment de panique.
Que ... que fais-tu ?
N'aie pas peur, ça fait parie du jeu !
Je n'étais pas trop rassurée. Mais je me suis laissée faire. Elle m'a guidée vers la queue en latex.
Là ... doucement, laisse toi glisser ... doucement ...
J'ai senti le gros gland synthétique buter contre ma vulve. Je me suis laissée glisser sur la hampe du godemiché qui s'est enfoncé avec douceur. J'en ait frémi de plaisir. Je me suis mise alors à onduler de la croupe, montant et descendant sur cette colonne aussi souple qu'une vraie.
Oooh ! ... Brigitte, oui ... ouiii !
Soudain, j'ai deviné la présence de Serge dans mon dos. Il m'a basculée en avant avec autorité. J'ai l'impression que mon cœur s'arrêtait de battre quand de ses doigts puissants il m'a écarté les fesses et que son sexe est venu frémir contre l'orifice de mon anus.
Aaaah ! ... Non Serge ! Pas ça ! Je t'en prie ! ...
Mes précédentes expériences sodomites avaient rendu mon anus souple et élastique et Serge n'a au aucune difficulté à glisser sa verge entre mes reins.
Aaarh ! Oh ! Non ! ... Salaud !!! Aaah ! Çà fait trop mal ! Oh8 Mon dieu, c'est bon !!!
Ma « cécité » amplifiait mon angoisse. Les deux verges qui s'activaient en moi me tordaient les tripes. Je me suis surprise à tirer la langue à la recherche d'une troisième bite imaginaire. Les deux œuvraient en silence. Mes cris couvraient les soupirs de mes deux amants et à chaque fois que, après s'être retiré, Serge s'enfonçait en moi. Mon anus avalait l'intégralité de son membre telle une bouche aux lèvres avides.
Aaaah ! Ouii ! Ne me ménagez pas ! Aaaah ... Ouiii !!!
Je jouissais à fond ! Tout avait basculé dans une frénésie de rûte sauvage. Je jouissais encore et encore.
Aah ! ... Je ... je viens !
Serge a éjaculé sur mes fesses empoissant mes reins de son sperme épais et chaud. Nous sommes resté un long moment immobile. Dans la pièce flottait une odeur de transpiration.
Méchants ! Vous m'avez fait très mal, mais j'ai aussi beaucoup joui ... Je vous aime ! ...
Ce soir, ce sera mon tour ... Tu vas pouvoir te venger ! ...
D'accord ... mais c'est moi qui te sodomise ! ...
Le printemps se passa ainsi. Mon travail qui ne m'avait jamais vraiment passionnée, m'était devenu pesant et si je continuais à jouer les frigides farouche, c'était plus par habitude que par goût.
Je ne vivais plus que dans l'attente du week-end. Brigitte ayant décidé de filmer nos ébats. Je passais mes soirées a visionner et à revisionner les films. Je ne me lassais pas de me repaître de nos jeux amoureux, qui au fil du temps, devenaient de plus en plus pervers. Bondage avec le gode fixé sur ma bouche, masturbation de Serge etc ...
Ces séances vidéos me mettaient dans un tel état que je ne trouvais le sommeil qu'après m'être fait jouir plusieurs fois.
Puis ce fut les vacances d'été. Serge et Brigitte avaient fermé leur centre au grand public et accueillaient des couples riches et amateurs de body-building, autant que de sensations sexuelles fortes. J'y étais invitée gratuitement et le voyage qui me séparait de mes amants me paraissait interminable. J'étais dans un état d’excitation indescriptible. Je repensais à tous ces mois passés ensemble et l'évocation de nos folies eut pour effet de tremper ma petite culotte.
Dans le train, quand je suis allée aux toilettes, je n'ai pas résisté au désir de me masturber. Et à la gare, Brigitte m'attendait. Mon cœur a sauté dans ma poitrine, j'étais émue comme une collégienne qui va à son premier rendez-vous. Plus le temps passait, plus j'étais amoureuse.
Tu as fait bon voyage, chérie ? ...
Un peu long, mais c'est passé ... je suis si heureuse de passer tout un mois avec vous ...
J'aurais voulu pouvoir prendre Brigitte dans mes bras et lui rouler une pelle d'enfer, mais il parait que ça ne se fait pas en public.
Ce soir nous avons organisé une petite fête en ton honneur !
Au bout de quelques kilomètres, Brigitte a bifurqué dans un chemin de traverse. Elle a arrêté la voiture à l'abri d'un sous-bois.
Mmmh ... Ma jolie poupée rousse ... j'attendais ce moment depuis longtemps ! ...
Oh moi aussi, ma chérie ! ... Vite, embrasse-moi ! ...
Nous avons fougueusement mélangé nos langues et égaré nos mains sous nos jupes. Bref, nous avons fait l'amour dans la voiture.
Mmm ... Ouiiii, tête-moi bien, c'est bon ! ...
Tes seins ... si lourds et si bons ...
Nous n'avons pas tardé à jouir ensemble.
Plus tard nous sommes arrivées, la propriété était splendide. Le type qui nous a ouvert le portail était impressionnant, une véritable montagne de muscles avec simplement un string.
Pas la peine de t'exciter sur les fesses de John,il est gay. Mais ne t'en fais pas, il y a ici suffisamment de beaux mecs et de superbe nanas pour te satisfaire pleinement.
J'ai réalisé que le sexe allait rimer avec partouze. Ce n'était pas exactement ce à quoi je rêvais,mais une fois de plus, Brigitte décidait pour moi.
Serge n'est pas là ? ...
Il est en voyage d'affaires jusque demain ... Tant pis ... On se passera de lui pour la fête ! ... Viens je vais te montrer la piscine ...
Là, nous attendaient un groupes d'hommes et de femmes bodybuildé et nus.
Les amis je vous présente Françoise.
Hello ...
Oh, jolie ! ...
Oui, mais peut-on en voir plus ? ...
Bien sûr ...
Avant que j'ai pu réaliser quoi que ce soit, Brigitte m'avait dépouillée de ma robe. Je me suis retrouvée uniquement vêtue de mes bas, mon porte-jarretelles et de mon soutien-gorge devant des inconnus hilares.
Oh ! Elle a rougi ! ... Je ne savais pas que ça existait encore ! ... Ha ! Ha ! Ha !
La chatte toute épilée, comme c'est mignon ! ...
Elle manque un peu de muscles, non ? ...
Ça a aussi son charme ! ...
J'avais pris le parti d'en rire vu que Brigitte mise à part, tout le monde était à poil. Mais très vite mon soutien disparu aussi et une femme genre « armoire à glace » est venue soupeser ma poitrine.
Quels magnifiques nichons ! ... Tu as de la chance ! ...
Doucement Solange ! Ne vas pas nous l'épuiser avant ce soir ! ...
Brigitte m'emmena pour que je puisse me relaxer un peu.
Viens ... je vais te montrer ta chambre ... Tu as peut-être envie de prendre une douche ? ...
La chambre était superbe. Brigitte m'a regardée in long moment me doucher en silence puis ...
Après je t'aiderai à te maquiller ... J'ai choisi pour toi une jolie tenue pour la fête.
Ah, parce que c'est une soirée habillée !? ...
Déguisée plutôt ... Mais tu verras c'est une surprise ! ...
Les surprises de Brigitte étaient toujours ... surprenantes. M ais je savais qu'il était inutile d'essayer d'en savoir plus. Elle décidait et je n'avais qu'à suivre.
Elle m'a parfumée et maquillée de façon outrancière.
Tu es terrible comme ça ... Mais je dois aller me préparer moi aussi ... Je te laisse entre les mains de ma soubrette pour t'aider à t'habiller ... Traite la comme une chienne ... Elle paie cher pour ça ! ...
J'étais nerveuse, Serge me manquait et parfois Brigitte me faisait un peu peur ... Le style de la soi disant soubrette ne laissait aucun doute sur ses goûts soda-masochiste. Un ensemble en cuir noir laissait ses atouts sexuels accessibles.
Bonsoir madame ... Ma maîtresse m'a ordonnée de vous servir ... Je suis votre esclave ...
Elle m'a aidé à enfiler un ensemble aussi en cuir noir, mais avec une cape et un masque en dentelles.
Tu es magnifique Françoise ! ...
Tu n'es pas mal non plus Brigitte !
Elle avait le même genre que moi, mais avec un masque orné de cormes, une vraie maîtresse dominatrice.
Dans la grande salle, la bonne humeur des amis de Brigitte m'a convaincu. L'ambiance était chaleureuse, suave et très érotique. Tous avais des déguisement dans le même style que nous et je trouvais ça de plus en plus excitant tout en craignant ce que la suite allait me réserver.
Après plusieurs verres de champagne au goût un peu bizarre.
Je ... je me sens toute chose ... qu'est ce que vous avez mis dans ce champagne ?
Euphorisant et excitant ... Tu vas mouiller comme une folle ! ...
J'avais pas besoin de ça ! ...
C'est vraie, elle est trempée ! ...
Toutes femmes se sont jetées sur moi et j'eus droit à la totale, léchage des seins, de la chatte, du cul, langues jouant dans ma bouche etc ...
J'étais dans un état second, j'avais l'impression de flotter dans un univers sans pesanteur, cotonneux ... Les sons m'arrivaient sourds et confus ... Mon esprit avait cessé de fonctionner. Seul mon corps vibrait sous les corps, les mains et les bouches de mes amantes véritable instrument dont elles jouaient en musiciennes confirmées ... Ce n'étaient que soupirs, râles bruits de succions mouillés et de clapotis de doigts dans nos fentes avides ... Léchée, baisée, sodomisée, je jouissais en boucle ... Et plus je jouissais, plus j'avais le désir de jouir encore.
Les mecs se contentaient de regarder le spectacle. L'excitation leur donnait une formidable érection, que la soubrette s'employait à maintenir en passant d'une bite à l'autre méthodiquement. Elle s'occupa même des deux gays qui, perdus dans leur trip homosexuel ne demandaient rien à personne et se suffisaient à eux mêmes.
Soudain, je me suis sentie soulevée comme un fétu de paille par les deux femmes les plus musclées.
Ooh ... que faites-vous ?! ...
Elles m'ont transportée en gloussant, telle une victime expiatoire jusqu'au sexe dressé du mieux membré du groupe. Elle m'ont empalée sur cette formidable colonne de chair. Mon vagin dégoulinant de mouille a avalé la queue de l'homme à la manière d'une bouche vorace ! ... Je prenais un pied d'enfer, tous m'entouraient accompagnant mes cris de commentaires joyeux. Je me suis vite retrouvée avec une queue dans la bouche et je ne l'ai pas refusée.
Brigitte n'était pas restée inactive, elle s'est mise à me fouiller l'anus avec sa langue, puis ses doigts enduit de crème chantilly m’ont lubrifié le rectum. Cette fois-ci j'allais y passer ... Mais j'étais trop dans un état second que pour m'en formaliser, ou avoir peur.
Une bite en bouche, une autre dans la chatte, j'étais loin de m'imaginer que l'homme qui m'enculait avec tant de fougue n'était autre que Serge, apparemment pas si absent que çà. Je sentais les deux verges s'entrechoquer au plus profond de mon ventre et de mon rectum. Prise de frénésie, j'enfonçais la troisième aussi loin que possible dans ma gorge ... Cela a duré longtemps, j'avais l'impression de devenir folle tant le plaisir était puissant. D'autant plus que mes infatigables tourmenteurs variaient les positions. Mais tout à une fin, même les capacités des super baiseurs. Tous les trois eurent à cœur de me maculer de leur foutre.
Je suis restée inerte, baignant dans la sueur, le sperme et dans ma propre mouille. Mes amants et nos spectateurs étaient partis vers de nouvelles débauches, sans moi. J'avais la chatte et le trou du cul endoloris. J'étais lessivée, vannée, incapable de faire le moindre geste.
C'est alors que j'ai compris que pour Serge et Brigitte, je n'étais qu'un amusement, une poupée qui joue au sexe et à l'amour. Je ne leur en voulais pas, je me croyais perverse et j'avais trouvé mes maîtres. Il me restait encore beaucoup à apprendre et j'avais tout un mois pour cela.
Fin ...
Je m'appelle Françoise et mon histoire se passe dans les années 80. J'avais 25 ans à cette époque et j'étais enseignante dans une école privée. Un poste que j'avais eu grâce au piston d'un vague cousin député du coin.
Les cheveux tirés en chignon, des lunettes ( dont je n'avais nullement besoin), jupe jusqu'au chevilles, je passais pour très vertueuse et farouchement vierge aux yeux de tout le monde. J'éprouvais un plaisir pervers à donner de moi cette image parfaitement fausse.
Tous ceux qui me connaissaient sous cet aspect auraient été très étonnés de la métamorphose le soir venu, alors que j'avais rejoint mon appartement de fonction. Car une fois débarrassée de mes oripeaux de parfaite grenouille de bénitier. C'était une autre Françoise provocante et lascive qui prenait vie !
J’enfilais un fin déshabillé en dentelles noires et je m'installais devant mon magnéto. J'avais une collection de cassettes porno que je ne regardais jamais sans une trouble fébrile, car en fait la seule chose qui m'intéressait vraiment était mon plaisir sexuel. Les scènes érotiques des films me créaient toujours une excitation aussi forte qu'irrésistible.
Je commençais par me caresser doucement la vulve tout en évitant de me toucher le clitoris. Quand les premières ondes de plaisir s'emparaient de mon ventre, j'étais prise de tremblements. Je stoppais ça en me tirant fortement sur les poils pubiens. Je restais alors inerte, me contentant de regarder les images sur l'écran du téléviseur.
Puis je reprenais mon jeu, mais en m'interdisant toujours de jouir. Cela pouvait durer plus d'une heure. Je mouillais alors abondamment, et le goût très fort ainsi que l'odeur de mes secrétions intimes m'envahissaient au plus haut degré.
C'est alors seulement que je sortais mon vibromasseur et m'occupais doucement de mon clitoris. Je ne devais jamais attendre longtemps pour que le premier orgasme explose, énorme. Mais cela était rarement libérateur à ce stade d'excitation. Je ne pouvais plus retarder le moment de la pénétration. Tremblante de la tête aux pieds, j'enfonçais mon vibromasseur entre les lèvres de mon sexe dégoulinant de mouille. Comme prise d'hystérie, je m'abandonnais à la jouissance la plus bestiale sans plus aucune retenue.
Mais je n'étais vraiment et pleinement satisfaite que quand tous mes orifices étaient occupés. Alors je sortais une deuxième gode et je le l'enfonçais dans mon petit trou. Et là et là seulement, je me sentais d'être femme ... totalement et triomphalement femme ! À l'instar de ces vedettes du porno qui se donnent sans complexe à trois hommes à la fois. Mais pour moi, cela tenait de l'ordre du fantasme car dans la réalité je n'avais jamais osé le faire.
Mais un matin au réveil, je me suis fais un pari complètement farfelu. ... Jouir toute une matinée au nez et à la barbe de tous mes collègues. Sans que ces culs bénis ne se rendent compte de rien. Je me suis mise en condition en prenant une douche, insistant sur ma chatte pour la sensibiliser. Puis je me suis introduit deux boules de geisha bien huilée dans le vagin. Les boules bien au chaud dans ma foufoune, rien que le contact de ma culotte déclenchait des ondes de plaisir que je devais refréner. Jusqu'à l'établissement, à chaque pas, je sentais les boules me masser les muqueuses, sensation exquise qui flattait ma perversité naturelle.
Le cours allaient commencer quand Mme la Directrice m'interpella.
Bonjour Mme la Directrice !
Ah ! Mlle Françoise. Justement je désirais vous parler ! ... Nous devons statuer sur le sort de l’élève Gautier. Passez à mon bureau à la récréationBien Madame !
En attendant, en classe, très vite, j'ai réalisé que j'aurais les plus grandes difficultés à retenir mon excitation. Je ne tiendrais jamais toute la matinée. Debout, c'était difficile, mais assise c'était pire ! À chaque frôlement de mes cuisses l'une contre l'autre m'arrachait de longs frissons. J'allais craquer, je ne croyais pas que ce serait aussi dur !
Au bout d'un moment, les regards des élèves, m'ont fait comprendre que je racontais n’importe quoi. Je sentais ma mouille qui coulait à flot le long de mes cuisses, empoissant ma culotte. Je finis debout contre le bureau et j'essayais d'enfoncer le coin entre mes fesses. Je maudissais l'épaisseur du tissu qui en amoindrissait le contact. Pendant que mes jeunes universitaires se débattaient avec le contrôle écrit, je laissais vagabonder mon esprit vers des rêveries qui n'avaient rien de pédagogiques. Dans mon esprit c'était une succession d'images de ces jeunes mâles nus. Tous ces jeunes hommes devant moi m'excitaient et je pouvais presque sentir leurs sexes me pénétrer. Je suçais mon stylo imitant des fellations, je rêvais de vrai gros sexes lourds de chair et de sang. Des queues vibrantes que j'enfonçais dans ma gorge jusqu'à la limite de l'étouffement. La pointe de mes seins me faisaient mal et mon sexe était en feu. À l'abri de mon bureau, j'ai hasardé une main dans ma culotte trempée de mouille. Je me suis mise à masser doucement ma vulve, ce qui n'a fait qu'empirer les choses. Les fantasmes qui me fascinait et me faisait le plus peur se concrétisait sous mes yeux . Deux formidables bites me pilonnaient les deux orifices tandis qu'une troisième éjaculait dans ma bouche. J'allais craquer. Mais je fut sauvée par la sonnerie de changement de cours. Le temps que la classe suivante s'installe, j'ai couru m'enfermer dans les toilettes, mon ventre était agité de spasmes intolérables. Je sentais que si cela continuais, j'allais tomber dans les pommes. J'ai retiré lentement les boules, serrant les dents pour ne pas crier. Mais trop excitée, j'éprouvais le besoin de me calmer. Il fallait que je me branle ! Et j'ai honte de le dire, mais en proie au désordre mental le plus complet, je me suis enfoncée la balayette dans le cul. Et quand tout a explosé, j'ai cru m'évanouir tant le plaisir a été fort.Je suis restée un moment sans bouger, à bout de souffle, baignant dans mes secrétions.
Débarrassée des boules, j'ai pu retourné donner cours dans des conditions beaucoup plus détendues.
Le week-end, j'étais censée aller chez mes parents, en province. Mais justement ce vendredi, ma bagnole a eu des problèmes sur la route. Par chance j'ai vu un garage encore ouvert à la sortie d'un village. Avec un peu de chance, il allait pouvoir réparer. Le garagiste était plutôt beau gosse. Mais ...j'allais devoir faire preuve de persuasion.
Désolé ma petite dame, j'ai terminé ma journée. Mon ouvrier est parti, j'ai pris ma douche et il y a du foot ce soir.
Vous ne voudriez pas jeter quand même un petit coup d’œil ?... On pourrait envisager une petite récompense !
C'est pas un pourboire qui va changer mon compte en banque ...
Qui parle d'argent ... à moins que vous ayez fait vœu de chasteté ! ...
Il a hésité quelques secondes, mais pour finir ...
Bon ... avancez à l'intérieur, je vais voir ce que je peux faire ... Mais je ne vous promet rien !
C'est sympa, merci ...
La panne était un souci à l'arrivée d'essence, il allait me faire une réparation de fortune. Mais lundi je devrais faire réparer cela plus sérieusement. En attendant, il me proposa d'aller attendre dans le bureau, la nuit commençait à tomber et le froid avec.
Dix minutes plus tard, le moteur tournait à nouveau normalement. C'était le signal que j'allais devoir tenir mes promesses, j'ai donc enlevé ma jupe et ma culotte. Me donner à un inconnu sans savoir si j'allais tomber sur une brute, un mauvais coup ou un timide m'excitait toujours au plus haut point. Mais la plupart du temps, les mecs étaient plutôt décontenancés par mon attitude et ça m'amusait de voir leur embarras. Normalement il allait bander rien qu'en reluquant mes fesses.
Voilà, c'est rép... ?! ... Bordel ! Vous ne perdez pas de temps ! ...
La vision de mon postérieur te fait de l'effet ?
Un max ma belle ! ... Tu es toujours aussi directe avec les mecs ?
Uniquement avec les garagiste qui me rendent service !
En bon garagiste, il est allé directement au carburateur. Ses doigts ont ouvert ma chatte et y sont entré sans trop de ménagement.
Attends ... Je suis sûre que tu aimerais que je te suces un peu pour que ça glisse mieux ? ...
Si tu y tiens ...
Je n'ai jamais rencontré un homme dire non à une bonne pipe. Mon garagiste n'a pas fait exception. Finalement, sa queue a prit une taille honorable.
C'est déjà fini la turlute ? ...
On n'a pas que ça à faire, et n'oublie pas ... il y a du foot ce soir !
Je sorti un préservatif pour le lui enfiler. Et puis ce fut lui qui m'enfila sa bite dans la chatte. Ils s'est mi à me tringler sans ménagement. Mais après une semaine d'onanisme, un peu de brutalité machiste n'était pas déplaisante.
Tiens, tiens !
Hééé ! Doucement ! ... Tu es sûr de tenir ce rythme ?
T'en fais pas ... tu auras le temps de prendre ton pied !
Putain ce que tu es bonne ! Je ... j'aimerais te prendre en levrette !
Ses désirs étaient des ordres, je me suis retournée pour m'appuyer sur son bureau et il pressa sa bite contre mes fesses.
Mais, attention, le petit trou est zone interdite !
Et c'est bien dommage ... Un petit plissé comme ça, on en mangerait à tous les repas !
Mais il ne devait pas avoir l'habitude d'obéir aux interdictions. Tandis que sa queue me pilonnait avec toujours la même énergie, il m'a enfoncé un doigt dans l'anus.
Ah, non ! J'avais dit pas ça !
Bah ! Sois cool ... ce n'est qu'un doigt ! ... Tu sens ma bite et mon doigt qui te fouillent en même temps ? ... N'as-tu jamais rêvé d'être prise pas deux mecs en même temps ? ...
C'était incroyable, ce type m'avait devinée. Effectivement, mon fantasme favori envahissait mon esprit. J'ai abandonné toute velléité et j'ai laissé le plaisir monter en moi !
AAAH OOOUIII !!!! SALAUD ! POUSSE, POUSSE PLUS FORT ! ...
Il était rare que je prenne mon pied la première fois. Mais là, je l'ai laissé venir et j'ai explosé. Mais lui ne jouissait pas ! Soudain, il s'est retiré et a enlevé sa capote ! Je n'ai réalisé ses intentions que quand il a commencé à branler son sexe près de mon visage. Assis sur moi et m’écrasant de tout son poids, il a éjaculé avec un râle de bête blessée. Puis profitant de ma bouche ouverte,il s'est enfoncé entre mes lèvres tout en continuant à évacuer une quantité de sperme incroyable. Et malgré cela il à continué a imprimer à sa verge un mouvement de v et viens se servant de ma bouche comme d'un sexe. Son gland butait contre ma glotte, cherchant le passage et son sperme me donnait la nausée. C'était une sensation horrible et enivrante à la fois. Bientôt totalement chavirée, je l'ai aidée à glisser le plus profond possible. C'était la première fois que je pratiquais une gorge profonde.Ses couilles battaient contre mon menton. Je sentais la hampe de sa queue tressauter dans ma gorge. Je l'avalais avec des râles et des bruits de sussions obscènes. Ma mouille coulait à flot et j'ai joui quand à nouveau il s'est vidé dans des jets de spermes presque aussi puissant que les premiers.
En reprenant le volant, une douleur à la mâchoire et un goût persistant de foutre dans la bouche m'ont fais penser que j'étais un peu inconsciente de provoquer ainsi des inconnus. Un jour ça allait mal se terminer. Mais quelques heures plus tard, en pénétrant dans un restaurant où j'avais mes habitudes, j'étais prête à repartir en chasse.
Oh chère amie ; quel plaisir de vous revoir !
Bonsoir Georges.
À côté de ma table un couple se disputait à voix basse, si j'avais bien compris, ils parlaient de divorce. Le type était canon, genre armoire à glace. Mais la femme se leva et lui lança un verre à la figure. Le type lui, prenait la situation avec humour et m'est tout de suite apparu sympathique.
C'est du champagne ... ça ne tâche pas !
Mais vous voilà seul pour la soirée !
Vous semblez l'être aussi ... si c'est le cas, nous pourrions unir nos solitudes ... Vous n'avez pas encore commandé et nous n'en étions qu'aux hors-d’œuvre ... Je vous invite ... ailleurs !
Pourquoi pas !
Je venais de craquer. Nous avons pris sa voiture et alors qu'il nous amenait dans un autre restaurant, j'ai appris qu'il s'appelait Serge. Il exploitait avec sa femme, Brigitte un centre de culturisme et de remise en forme. Ils avaient chacun des aventures, mais ils ne se cachaient rien. On dit des culturistes sont des muscles sans tête. Ce n'était pas son cas, drôle et cultivé il était très séduisant. Pendant le repas, je suis totalement tombée sous son charme et plus tard dans l’ascenseur de son hôtel, il m'embrassa et fit courir ses mains sur tout mon corps. Dans sa chambre, nous nous sommes vite retrouvés nus dans le lit. Je n'avais jamais connu d'amant de ce gabarit, une telle masse musculaire était fascinante. J'étais excitée comme une gamine faisant l'amour pour la première fois. Son sexe était en rapport avec le reste de son corps. Épilé entièrement, couilles comprises, il était chaud et doux au toucher. Serge savait prendre son temps et faire durer le plaisir, il m'a fait jouir uniquement en me masturbant avec sa langue est ses doigts. Je n'en pouvais plus, je voulais qu'il me baise au plus vite en faisant entrer cette grosse bite en moi. Quand je le lui dis, il m'a relevé les jambes sur le torse m'écartelant au maximum, puis s'est enfoncé en moi m'arrachant des cris de bête. Il s'est mis à me bourrer avec une régularité de marteau piqueur, variant les positions toujours insolites. Parfois très inconfortables, mais sources d'un plaisir intense.J'étais littéralement sa chose, les orgasme s’enchaînaient les uns aux autres. Ses mains puissantes m'écartaient les fesses et je le devinait se délectant de la vue de mon petit trou ; Ce qui ravivait mon fantasme favori ... sa grosse queue s'enfonçant dans mon cul décuplât mon plaisir.
Hmmm ... Je ... Je viens ! ...
Haaaa ! ... Sur moi ... décharge toi sur mon ventre ! ...
Me dominant, il s'est répandu en un flot de sperme chaud et poisseux dont je me suis enduite le ventre avec délectation. Sa bite formidable qui dans un mouvement de va et vient frottait mon clitoris m'a procuré un nouvel orgasme. Mais insatiable, je m'employais à lui redonner vigueur. J'avais abandonné toute pudeur. Je n'étais plus qu'une pompe à foutre, je voulais qu'il me prenne encore et encore. Nous avons fait l'amour trois fois de suite. J'avais mal à la mâchoire à force de la sucer et la chatte douloureuse à force de baiser. Mais ils bandait toujours.
Tu n'as jamais essayé la sodomie ?
Non, je ... je ne veux pas ... ça fait mal ! ...
Pas si on sait s'y prendre ... c'est une sensation unique, tu sais ... une jouissance très particulière !
Tout en énonçant ses arguments, il caressait doucement mon anus qui se mit à frémir sous ses doigts. Je résistais pour la forme. Mais je sentais que j'allais accepter. D’instinct, il avait compris qu'il avait gagné. Il s'est emparé d'un pot de vaseline dans la table de nuit ; sans doute destinée à la femme du restaurant.
Elle aimait que tu la prennes comme ça l'autre ?
Beaucoup ... et dans des positions que tu ne peux imaginer ...
Son doigt couvert de vaseline n'a eu aucune difficulté pour s'enfoncer dans mon rectum.
Mmm ... Tu n'as peut-être jamais fais ça avec un homme, mais tu as déjà essayé avec un godemiché ... avoue !
Ooooh ! ... Oui ... oui ...
Quand j'ai senti son gros gland contre mon anus, je me suis mise à trembler ; de peur autant que d'excitation. Et d'un coup, il a forcé le passage. J'ai eu mal, mais pire que la douleur, une étrange impression que j'allais vomir m'envahissait. Serge me défonçait la pastille sans se soucier de mes plaintes. Puis la douleur s'est estompée et j'ai réalisé que cette sensation de nausée était juste le déclenchement de la jouissance. Je geignais, je pleurais, je hurlais n'importe quoi. Quand son foutre brûlant a envahi mes entrailles, je n'étais plus qu'un éparpillement de particules vibrantes de voluptés satisfaites. Il a continué jusqu'à ce que sa bite se rétracte, laissant mon anus béant et agité de spasmes. Son sperme ainsi rejeté coulait sur ma vulve me créant un ultime frisson de plaisir. Combien d'autres avant moi avait-il initiées à la sodomie ? Je me suis endormie avec le sentiment d'être aussi comblée qu'une femme peut l'être.
Je me suis réveillée la première sur le coup de midi. Je suis allée aux toilettes pour satisfaire un besoin naturel. Je pensais toujours à sa queue quand il est entré dans la salle de bain.
J'adore voir une jolie femme pisser ...
Hmm ... Approche ! ... J'adore sucer un bel homme quand je pisse ...
Et c'était reparti pour un tour. En fait, je me souviens pas que nous ayons fait grand chose d'autre pendant ce week-end, à part baiser. Ni pendant les week-end suivants, car passant outre la règle de ne jamais revoir deux fois le même amant, j'ai continué à le voir. Profitant de l'absence de sa femme pour le retrouver chaque vendredi. J'étais totalement folle de son corps et nous faisions l'amour tout le temps et n'importe où. Dans sa voiture, dans une cabane d'ouvriers sur un chantier désert et une nuit, Serge a réussi à ce que je le laisse m'enculer sous le porche d'un immeuble à deux pas d'un boulevard très fréquenté.
Puis Serge a disparu, plusieurs semaines ont passé sans aucune nouvelle de lui. J'étais incapable de le chasser de mon esprit. La drague ne m'intéressait plus. Je ne pensais qu'aux bras de Serge, qu'à son corps musclé et ... à sa bite prodigieuse. Bref, j'étais amoureuse. Mais je me demandais où il étais et s'il m'avait remplacée. J'étais folle, ce n'était qu'un homme avec une grosse queue, rien de plus. Mais c'était aussi Serge ...
Un soir, à la sortie de mon travail, alors que j'étais plongée dans de sombres pensées.
Mlle Françoise ? ...
Je suis Brigitte, la femme de Serge.
La très jolie jeune femme qui m'avait interpellée n'était pas du genre à passer inaperçue. Mais je l'ai reconnue, le sol s'est dérobé sous mes pieds.
Que voulez-vous ?
Parler ... de vous, de Serge, de votre liaison ... Quel scandale si votre directrice apprenait ce que vous faites chaque fin de semaine ! ...
Vous voulez me faire chanter ? ...
Quelle idée ! Il est normal que je veuille faire la connaissance de la femme dont mon mari est amoureux.
Mon cœur a sauté dans ma poitrine ; j'avais bien entendu. Serge était amoureux de moi. Cela faisait pourtant plus d'un mois sans nouvelle de lui. Mais sa femme insistait, elle voulait en parler avec moi, mais dans un endroit plus discret. J'ai hésité quelques secondes. Elle était capable de faire un scandale en pleine rue, je l'ai donc invitée chez moi.
Dans mon salon elle se comporta comme en terrain conquis. Quand elle a enlevé son blouson, j'ai ressenti le même trouble qu'avec Serge à la vue de son corps musclé. Elle s'installa et me tendit une série de photos. Il s'agissait de photos de Serge et de moi qui ne laissaient aucun doute sur l'état de notre relation. Ça avait été prit au téléobjectif et à l'infrarouge la nuit. On me voyait le sucer, me faire sodomiser et autres pratiques dans tous les endroits visité.
Dans quel piège m'étais-je fourrée, où cette femme voulait-elle en venir ? Je crevais de trouille.
Serge est au courant pour les photos ?...
Pas du tout ! Pauvre chou, il se consume d'amour pour vous. C'est pour respecter nos accord qu'il ne vous voit plus ! Vous comprenez Françoise, que vous aimez Serge, c'est normal ; toutes les nanas qu'il baise sont amoureuses de lui ... Mais que lui soit amoureux d'une autre que moi, ça, ça m'emmerde ... Aussi, je ne vois qu'une solution ... que vous soyez aussi ma maîtresse. Qui sait ; peut-être, je vais aussi tomber amoureuse de vous ! ...
Vous êtes folle ! ... Je ne suis, ...
Pas gouine ? ... Moi non plus. Ça n'empêche pas de s'envoyer en l'air de temps en temps avec une femme.
Ensuite les choses se sont passées simplement. Nous avons pris un café en discutant comme deux vieilles amies qui se retrouvent. Elle était directe et je commençais à la trouver sympathique. Puis ... on s'est embrassées. Le contact de ses mains, de sa bouche me faisait frissonner de la tête aux pieds. Comme prise d'une subite torpeur, je laissais Brigitte me dévêtir sans réagir.
Mmm... Tu as de beaux seins et ta peau est douce ; tu es belle quand tu es émue... J'ai terriblement envie de toi !
Sa voix chaude et sourde, aux intonations fluctuantes créait une atmosphère sensuelle.
Comme c'est mignon ! Une touffe, Serge ne t'as pas convertie au sexe épilé ?!... Mais tu mouille ma chérie. Mmmh ... divin nectar ! ...
Sa langue dans mon sexe m’a électrisée. Prise d'une soudaine frénésie, je me suis mise à désirer cette femme intensément.
Ton corps, je veux jouir de ton corps ! ...
Hooo, quelle fougue ! Doucement, mon cœur, on a toute la nuit devant nous.
Nous avons roulé sur la moquette.
Hé ! Cochonne ! ... Tu ne mets pas de culotte ?
Jamais, c'est super quand je roule à moto ! ...
à force de s'embrasser, se caresser, se lécher on s'est retrouvée dans la position du soixante-neuf. La langue de Brigitte s'activait sur mon clitoris. J’avais le visage englué de sa mouille abondante et d'une odeur enivrante. Tout comme son mari, Brigitte ne manquait pas d'imagination. Plus le temps passait, plus nos jeux devenaient pervers. Il faut dire qu'elle avait apporté le matériel pour. Un gode dans sa chatte et des boules de geisha dans le cul. Serge m'avait initiée à la sodomie, elle aussi avait quelque chose à me faire découvrir. Elle utilisa le gode dans ma chatte et ses doigts dans mon cul.
Nous avons joui chacune plusieurs fois, mais Brigitte n'était pas rassasiée. J'avais cédé devant son caractère dominant et je me laissais faire comme une pucelle face à son premier amant.
Écarte bien les cuisses chérie, je vais t'apprendre un jeu fascinant ! ...
Mmh ... Que vas tu faire ?
Elle s'est mise à me lécher la fente réveillant dans mes entrailles un feu qu n'était que partiellement éteint.
Hooo ! Tu me tues !
D’abord je lubrifie bien le passage ... Hmm ... J'adore l'odeur de ta chatte ! ... Puis j’introduis deux doigts ...
Ho, Brigitte ! ...
Un à un ses doigts ont disparus dans ma chatte m'arrachant des plaintes sourde. Mon ventre agité de spasme, se tordait de plaisir.
C'est maintenant que ça se passe chérie ... ne te crispe pas ... ouvre toi complètement.
Sa main tout entière a disparu dans mon vagin ... J'ai poussé un cri de surprise et de douleur.
Aaah, non ! Arrête ! Pas ça ! ... Tu es folle !
En fait, c'est moi qui avait l'impression de devenir folle. Écartelée, déchirée, je hurlais, suppliais en vain. Je sentais ses doigts s'agiter dans mes chairs, dans le clapotement de mes propres sécrétions. Puis ce fut l'orgasme, puissant, énorme et dévastateur. Je m’arque boutais, me tendais et me tordais dans tous les sens, hurlant, bavant mon plaisir. Baisée et rebaisée par cette main infatigable qui m'ouvrait en deux et s'agitait tel un animal pris au piège.
Tu as aimé, ma beauté rousse ? ...
Ooh, chérie, tu m'as fais mal, tu m'as déchiré la chatte ... Tu es une vilaine et c'était fabuleux ! ...
La douche qui suivit, a été un prétexte à de nouvelles caresses. Enfin nous avons improvisé un petit repas et avons parlé de Serge.
... et si nous lui rendions un petit hommage ? ...
C'est à dire ! ...
Ça s'appelle un double dong. Et qui sait si bien nous enculer sans nous faire mal et en nous procurant beaucoup de plaisir ? ...
Serge ! Hi ! Hi ! Hi !
Elle venais de sortit un gode flexible à deux têtes.
Tu veux qu'on s'enfile ça dans la chatte ...
Dans le cul ! En l'honneur de Serge et de ses talents sodomites.
Ho !
Voilà, on lubrifie le trou avec un peu vaseline...
Quelle cochonne ... tu fais ! ... T'es vraiment perverse !
Après c'est toi qui va me tartine la pastille ...
Je ne me suis pas fait prier, la confiture dans mon rectum m'excitait et je me suis mise à mouiller. Le gode s'est enfoncé sans difficulté, nous étions toutes les deux dans un tel état que l'odeur de nos sécrétions a de nouveau envahi la pièce. La barre de caoutchoucs était aussi souple qu'une vraie verge. Brigitte l'actionnait lentement, ce qui a fini de me mettre en transe.
Hooo ! ... Brigitte ... C'est ... c'est booon !!!
Brigitte s'est enfilée l'autre bout, nous devions avoir l'air un peu bête dans cette position, mais c'était la dernière de nos préoccupations.
Voilà ... doucement ... ça rentre bien ... Haaa ! ...
Nous nous sommes activées du cul et des hanches, nous enfonçant le gode jusqu'à ce que nos croupes hystériques cognent l'une contre l'autre. Pendant ce temps nos doigts clapotaient allégrement dans nos vulves dilatées !
Ça s'est terminé dans un festival de cris, de râles et de hurlements de plaisir qui m'ont fait apprécier le fait de ne pas avoir de proches voisins. J’avais passé mon examen avec mention très bien. J'avais donc le droit de revoir Serge.
Nous nous sommes donc retrouvés à trois dans une villa prêtée par des amis de Serge et Brigitte. Nous étions prêt pour un week-end d'enfer.
Mes deux amours ; je vous promet de vous être toujours fidèle !
Tu as intérêt !
De toutes façons on va tellement le pomper qu'il aura du mal à aller voir ailleurs ! ... N’est-ce pas Françoise ! ... Ha ! Ha ! Ha !...
Le week-end fut entièrement consacré au sexe, jamais notre trio ne se sépara pour qu'un couple puisse en profiter seul. Les capacités sexuelles de Serge étaient fantastiques. Il n'a épargné aucun de nos orifices et nous n'avons pas laissé à sa queue beaucoup de péri.
Je me suis sacrifiée au demande du couple en me rasant le pubis, Brigitte quand à elle a débarrassé mon anus du duvet qui l'encombrait. Ce qui selon elle, rend le léchage du trou du cul plus suave. Ils m'ont ensuite initié au culturisme sexuel. Ils m’ont fait un programme d'exercices qui m'a fait découvrir l les charmes de la musculation, mais aussi ses douleurs. Toutefois les séances de culture physique étaient prétextes à des dérives sexuelles. Par exemple, j'ai fais soulever des poids avec une bite dans le cul, des développé avec une bite en bouche et la langue de Brigitte dans ma chatte ou encore j'ai sucé un clitoris en faisant des des exercices de jambes.
J'avais confié au couple mon fantasme et la peur de la réaliser qui en découlait.
C'est un problème qui peur facilement se résoudre.
C'est à dire ?
Bah ; on verra ça plus tard ! ...
J'avais appris à me méfier quand Brigitte avait ce petit sourire ; qu'allait-elle encore inventer ?
Plus tard, ça a été quand Serge et moi revenions d'une ferme voisine où nous étions allés acheter des œufs. Un orage aussi subite que violent nous avait trempé jusqu'aux os.
Ouf ! Quel déluge ! ...
Allons nous sécher à la salle de bain ... gare à la bronchite ! ...
Et naturellement en se séchant ...
Tu es belle Françoise ! ...
Oh, Serge ! ...
... on s'embrasse, on se caresse et le désir monte lentement. Pour finir la salle de bain s'emplit du bruit de nos soupirs et de celui de nos bouches impatientes parcourant nos corps brûlant.
Et bien mes salauds ... on formique dans mon dos ! ... A trois c'est toujours mieux qu'a deux ...
Nous avons donc continué à trois dans la salle de gym. Comme à son habitude Serge était en super forme et Brigitte débordante d'énergie.
Je vais vous défoncer, mes petites chattes, et après j'éjaculerai sur vos jolies petites bouches ! ...
A moi, Serge viens me baiser, à mon tour ! ...
Mais oui, chérie, à ton tour ...
Humm ... Brigitte je vais te dévorer ! ...
Serge était capable de se retenir très longtemps. Et cela se termina comme prévu ; un flot de sperme brûlant sur nos visage.
Serge nous à laisse et nous nous sommes très vite retrouvées chacune le nez dans la foufoune de l'autre. Brigitte n'avait pas son pareil pour me faire jouir avec sa langue.
Aaah ! Brigitte, je n'en peux plus ! ... Baise -moi ! Baise-moi !!!
Oui, mon amour, je vais te baiser comme tu ne l'as jamais été ! ...
Ne laisse pas refroidir le moteur, ma belle, je reviens tout de suite ! ...
Elle n'est effectivement pas restée très longtemps absente.
Oh ! Chérie ! Je me doutais que tu trouverais quelque chose dans ce genre là ! ...
Brigitte est revenue arborant une ceinture godemiché. Sa musculature lui donnait l'aspect troublant d'un beau travelo.
Elle te plaît ? ... Suce la un peu ... tu sais que tu es très belle quand tu suces ...
Brigitte, ton corps splendide plus une bite d'étalon ! ...
J'ai sucé avec la même délectation que s'il s'agissait d'un vrai sexe.
C'est bien, mon bébé ... Salive la bien, elle ne rentrera que mieux ! ...
L'odeur des sécrétions de Brigitte m'emplissait les narines et augmentait mon impatience d'être pénétrée.
Voilà ... Maintenant, juste une petite formalité ! ...
Elle me banda les yeux et j’eus un petit moment de panique.
Que ... que fais-tu ?
N'aie pas peur, ça fait parie du jeu !
Je n'étais pas trop rassurée. Mais je me suis laissée faire. Elle m'a guidée vers la queue en latex.
Là ... doucement, laisse toi glisser ... doucement ...
J'ai senti le gros gland synthétique buter contre ma vulve. Je me suis laissée glisser sur la hampe du godemiché qui s'est enfoncé avec douceur. J'en ait frémi de plaisir. Je me suis mise alors à onduler de la croupe, montant et descendant sur cette colonne aussi souple qu'une vraie.
Oooh ! ... Brigitte, oui ... ouiii !
Soudain, j'ai deviné la présence de Serge dans mon dos. Il m'a basculée en avant avec autorité. J'ai l'impression que mon cœur s'arrêtait de battre quand de ses doigts puissants il m'a écarté les fesses et que son sexe est venu frémir contre l'orifice de mon anus.
Aaaah ! ... Non Serge ! Pas ça ! Je t'en prie ! ...
Mes précédentes expériences sodomites avaient rendu mon anus souple et élastique et Serge n'a au aucune difficulté à glisser sa verge entre mes reins.
Aaarh ! Oh ! Non ! ... Salaud !!! Aaah ! Çà fait trop mal ! Oh8 Mon dieu, c'est bon !!!
Ma « cécité » amplifiait mon angoisse. Les deux verges qui s'activaient en moi me tordaient les tripes. Je me suis surprise à tirer la langue à la recherche d'une troisième bite imaginaire. Les deux œuvraient en silence. Mes cris couvraient les soupirs de mes deux amants et à chaque fois que, après s'être retiré, Serge s'enfonçait en moi. Mon anus avalait l'intégralité de son membre telle une bouche aux lèvres avides.
Aaaah ! Ouii ! Ne me ménagez pas ! Aaaah ... Ouiii !!!
Je jouissais à fond ! Tout avait basculé dans une frénésie de rûte sauvage. Je jouissais encore et encore.
Aah ! ... Je ... je viens !
Serge a éjaculé sur mes fesses empoissant mes reins de son sperme épais et chaud. Nous sommes resté un long moment immobile. Dans la pièce flottait une odeur de transpiration.
Méchants ! Vous m'avez fait très mal, mais j'ai aussi beaucoup joui ... Je vous aime ! ...
Ce soir, ce sera mon tour ... Tu vas pouvoir te venger ! ...
D'accord ... mais c'est moi qui te sodomise ! ...
Le printemps se passa ainsi. Mon travail qui ne m'avait jamais vraiment passionnée, m'était devenu pesant et si je continuais à jouer les frigides farouche, c'était plus par habitude que par goût.
Je ne vivais plus que dans l'attente du week-end. Brigitte ayant décidé de filmer nos ébats. Je passais mes soirées a visionner et à revisionner les films. Je ne me lassais pas de me repaître de nos jeux amoureux, qui au fil du temps, devenaient de plus en plus pervers. Bondage avec le gode fixé sur ma bouche, masturbation de Serge etc ...
Ces séances vidéos me mettaient dans un tel état que je ne trouvais le sommeil qu'après m'être fait jouir plusieurs fois.
Puis ce fut les vacances d'été. Serge et Brigitte avaient fermé leur centre au grand public et accueillaient des couples riches et amateurs de body-building, autant que de sensations sexuelles fortes. J'y étais invitée gratuitement et le voyage qui me séparait de mes amants me paraissait interminable. J'étais dans un état d’excitation indescriptible. Je repensais à tous ces mois passés ensemble et l'évocation de nos folies eut pour effet de tremper ma petite culotte.
Dans le train, quand je suis allée aux toilettes, je n'ai pas résisté au désir de me masturber. Et à la gare, Brigitte m'attendait. Mon cœur a sauté dans ma poitrine, j'étais émue comme une collégienne qui va à son premier rendez-vous. Plus le temps passait, plus j'étais amoureuse.
Tu as fait bon voyage, chérie ? ...
Un peu long, mais c'est passé ... je suis si heureuse de passer tout un mois avec vous ...
J'aurais voulu pouvoir prendre Brigitte dans mes bras et lui rouler une pelle d'enfer, mais il parait que ça ne se fait pas en public.
Ce soir nous avons organisé une petite fête en ton honneur !
Au bout de quelques kilomètres, Brigitte a bifurqué dans un chemin de traverse. Elle a arrêté la voiture à l'abri d'un sous-bois.
Mmmh ... Ma jolie poupée rousse ... j'attendais ce moment depuis longtemps ! ...
Oh moi aussi, ma chérie ! ... Vite, embrasse-moi ! ...
Nous avons fougueusement mélangé nos langues et égaré nos mains sous nos jupes. Bref, nous avons fait l'amour dans la voiture.
Mmm ... Ouiiii, tête-moi bien, c'est bon ! ...
Tes seins ... si lourds et si bons ...
Nous n'avons pas tardé à jouir ensemble.
Plus tard nous sommes arrivées, la propriété était splendide. Le type qui nous a ouvert le portail était impressionnant, une véritable montagne de muscles avec simplement un string.
Pas la peine de t'exciter sur les fesses de John,il est gay. Mais ne t'en fais pas, il y a ici suffisamment de beaux mecs et de superbe nanas pour te satisfaire pleinement.
J'ai réalisé que le sexe allait rimer avec partouze. Ce n'était pas exactement ce à quoi je rêvais,mais une fois de plus, Brigitte décidait pour moi.
Serge n'est pas là ? ...
Il est en voyage d'affaires jusque demain ... Tant pis ... On se passera de lui pour la fête ! ... Viens je vais te montrer la piscine ...
Là, nous attendaient un groupes d'hommes et de femmes bodybuildé et nus.
Les amis je vous présente Françoise.
Hello ...
Oh, jolie ! ...
Oui, mais peut-on en voir plus ? ...
Bien sûr ...
Avant que j'ai pu réaliser quoi que ce soit, Brigitte m'avait dépouillée de ma robe. Je me suis retrouvée uniquement vêtue de mes bas, mon porte-jarretelles et de mon soutien-gorge devant des inconnus hilares.
Oh ! Elle a rougi ! ... Je ne savais pas que ça existait encore ! ... Ha ! Ha ! Ha !
La chatte toute épilée, comme c'est mignon ! ...
Elle manque un peu de muscles, non ? ...
Ça a aussi son charme ! ...
J'avais pris le parti d'en rire vu que Brigitte mise à part, tout le monde était à poil. Mais très vite mon soutien disparu aussi et une femme genre « armoire à glace » est venue soupeser ma poitrine.
Quels magnifiques nichons ! ... Tu as de la chance ! ...
Doucement Solange ! Ne vas pas nous l'épuiser avant ce soir ! ...
Brigitte m'emmena pour que je puisse me relaxer un peu.
Viens ... je vais te montrer ta chambre ... Tu as peut-être envie de prendre une douche ? ...
La chambre était superbe. Brigitte m'a regardée in long moment me doucher en silence puis ...
Après je t'aiderai à te maquiller ... J'ai choisi pour toi une jolie tenue pour la fête.
Ah, parce que c'est une soirée habillée !? ...
Déguisée plutôt ... Mais tu verras c'est une surprise ! ...
Les surprises de Brigitte étaient toujours ... surprenantes. M ais je savais qu'il était inutile d'essayer d'en savoir plus. Elle décidait et je n'avais qu'à suivre.
Elle m'a parfumée et maquillée de façon outrancière.
Tu es terrible comme ça ... Mais je dois aller me préparer moi aussi ... Je te laisse entre les mains de ma soubrette pour t'aider à t'habiller ... Traite la comme une chienne ... Elle paie cher pour ça ! ...
J'étais nerveuse, Serge me manquait et parfois Brigitte me faisait un peu peur ... Le style de la soi disant soubrette ne laissait aucun doute sur ses goûts soda-masochiste. Un ensemble en cuir noir laissait ses atouts sexuels accessibles.
Bonsoir madame ... Ma maîtresse m'a ordonnée de vous servir ... Je suis votre esclave ...
Elle m'a aidé à enfiler un ensemble aussi en cuir noir, mais avec une cape et un masque en dentelles.
Tu es magnifique Françoise ! ...
Tu n'es pas mal non plus Brigitte !
Elle avait le même genre que moi, mais avec un masque orné de cormes, une vraie maîtresse dominatrice.
Dans la grande salle, la bonne humeur des amis de Brigitte m'a convaincu. L'ambiance était chaleureuse, suave et très érotique. Tous avais des déguisement dans le même style que nous et je trouvais ça de plus en plus excitant tout en craignant ce que la suite allait me réserver.
Après plusieurs verres de champagne au goût un peu bizarre.
Je ... je me sens toute chose ... qu'est ce que vous avez mis dans ce champagne ?
Euphorisant et excitant ... Tu vas mouiller comme une folle ! ...
J'avais pas besoin de ça ! ...
C'est vraie, elle est trempée ! ...
Toutes femmes se sont jetées sur moi et j'eus droit à la totale, léchage des seins, de la chatte, du cul, langues jouant dans ma bouche etc ...
J'étais dans un état second, j'avais l'impression de flotter dans un univers sans pesanteur, cotonneux ... Les sons m'arrivaient sourds et confus ... Mon esprit avait cessé de fonctionner. Seul mon corps vibrait sous les corps, les mains et les bouches de mes amantes véritable instrument dont elles jouaient en musiciennes confirmées ... Ce n'étaient que soupirs, râles bruits de succions mouillés et de clapotis de doigts dans nos fentes avides ... Léchée, baisée, sodomisée, je jouissais en boucle ... Et plus je jouissais, plus j'avais le désir de jouir encore.
Les mecs se contentaient de regarder le spectacle. L'excitation leur donnait une formidable érection, que la soubrette s'employait à maintenir en passant d'une bite à l'autre méthodiquement. Elle s'occupa même des deux gays qui, perdus dans leur trip homosexuel ne demandaient rien à personne et se suffisaient à eux mêmes.
Soudain, je me suis sentie soulevée comme un fétu de paille par les deux femmes les plus musclées.
Ooh ... que faites-vous ?! ...
Elles m'ont transportée en gloussant, telle une victime expiatoire jusqu'au sexe dressé du mieux membré du groupe. Elle m'ont empalée sur cette formidable colonne de chair. Mon vagin dégoulinant de mouille a avalé la queue de l'homme à la manière d'une bouche vorace ! ... Je prenais un pied d'enfer, tous m'entouraient accompagnant mes cris de commentaires joyeux. Je me suis vite retrouvée avec une queue dans la bouche et je ne l'ai pas refusée.
Brigitte n'était pas restée inactive, elle s'est mise à me fouiller l'anus avec sa langue, puis ses doigts enduit de crème chantilly m’ont lubrifié le rectum. Cette fois-ci j'allais y passer ... Mais j'étais trop dans un état second que pour m'en formaliser, ou avoir peur.
Une bite en bouche, une autre dans la chatte, j'étais loin de m'imaginer que l'homme qui m'enculait avec tant de fougue n'était autre que Serge, apparemment pas si absent que çà. Je sentais les deux verges s'entrechoquer au plus profond de mon ventre et de mon rectum. Prise de frénésie, j'enfonçais la troisième aussi loin que possible dans ma gorge ... Cela a duré longtemps, j'avais l'impression de devenir folle tant le plaisir était puissant. D'autant plus que mes infatigables tourmenteurs variaient les positions. Mais tout à une fin, même les capacités des super baiseurs. Tous les trois eurent à cœur de me maculer de leur foutre.
Je suis restée inerte, baignant dans la sueur, le sperme et dans ma propre mouille. Mes amants et nos spectateurs étaient partis vers de nouvelles débauches, sans moi. J'avais la chatte et le trou du cul endoloris. J'étais lessivée, vannée, incapable de faire le moindre geste.
C'est alors que j'ai compris que pour Serge et Brigitte, je n'étais qu'un amusement, une poupée qui joue au sexe et à l'amour. Je ne leur en voulais pas, je me croyais perverse et j'avais trouvé mes maîtres. Il me restait encore beaucoup à apprendre et j'avais tout un mois pour cela.
Fin ...
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