Francesca 2

- Par l'auteur HDS DXD -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Francesca 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-01-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(8.5 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Francesca 2
Il s'était passé deux semaines depuis que Francesca et moi avions couché ensemble. Comme nous suivions les mêmes cours à la fac, la belle italienne et moi nous étions pratiquement revus tous les jours, mais nous n'avions jusque là jamais remis le couvert. Ce n'était pas que Francesca ne m'attirait pas : elle était très sexy avec son visage ravissant, encadré par sa belle chevelure brune légèrement bouclée, ses grands yeux marrons, sa bouche pulpeuse, et son corps de rêve, parfaitement dessiné avec sa taille fine, ses fesses rondes, et sa belle poitrine (90 C). J'ajoute que son accent italien me faisait complètement craquer. Quant à elle, je sentais bien que je l'attirais aussi énormément. Pourtant, en deux semaines il ne s'était rien passé entre nous, nous nous voyions tous les jours en cours, mangions ensemble, passions du temps à la bibliothèque, puis le soir venu, nous faisions la bise (avec toujours un petit frisson qui nous secouait l'un et l'autre), avant de nous séparer.

Vint un jour cependant où les choses changèrent. La journée s'annonçait pourtant difficile : dés le matin, une grève des transports était annoncée, et entre problèmes de bus, de trains et de métros, j'eus toutes les peines du monde à aller à la fac. Une fois arrivé, je rejoignis mon premier cours, et m'installai dans l'amphi. Le cours avait commencé depuis 10 minutes environ, lorsque Francesca entra. En retard, elle se faufila discrètement et s'assit sur un banc assez loin du mien. Nos regards se croisèrent néanmoins, et je lui fis un signe de main, auquel elle répondit par un léger sourire. Je fus surpris tant par son retard que par son air fatigué : elle habitait dans un logement étudiant à quelques pas de la fac, et n'avait généralement ni de problème de fatigue, ni de problème de retards. Je me dis que je lui en parlerai plus tard.

Après les cours du matin, j'allai à la cantine de la fac, et m'installai à une table. Francesca m'y rejoignit quelque minutes plus tard. Elle avait toujours l'air fatigué, et aussi de mauvaise humeur, ce qui était rare chez elle. D'ordinaire elle était plutôt timide mais enjouée.

"Ça va pas ? Lui demandai je."
"Non dit elle, j'ai pas dormi de la nuit."
"Oh, et pourquoi ?"
"Sarah, ma voisine s'est envoyée en l'air toute la nuit avec un mec, ils ont crié tout le long, et ils se sont calmés que vers 3h du matin."
"Oh ma pauvre ! Compatis je. Tu leur as pas dit de se calmer ?"
"J'ai tapé contre le mur, mais Sarah s'en foutait. Elle m'en veut depuis que..."
Francesca rougit légèrement et ne finit pas sa phrase.

"Depuis qu'on a couché ensemble, et que le bruit qu'on a fait l'a dérangé ? Lui dis je en souriant."
Elle rougit encore plus, mais acquiesça et dit :
"Oui, c'est ça. Et depuis qu'on l'a fait, Sarah couche avec plein de garçons et à chaque fois, elle s'arrange pour faire un maximum de bruit... Ca commence à me soûler, surtout que depuis tout ce temps, moi j'ai couché avec personne..."
"Tu sais on l'a fait y a deux semaines, c'est plutôt normal de coucher avec personne en deux semaines."
"Mais elle, elle a couché avec un nouveau mec presque tous les deux jours, et moi avec aucun.... Répondit Francesca avec une petite moue."
"Elle est plus aguicheuse que toi, c'est pour ça. Toi, tu es plus timide, mais pas moins sexy, ajoutai je avec un clin d'oeil."
Elle eut un petit sourire, et changea de sujet. Je sentais néanmoins qu'une certaine tension s'était installée entre nous : parler de nos ébats d'il y a 15 jours nous rappelait à tous deux de délicieux souvenirs...

Un peu plus tard, nous étions à la fin du repas, quand l'air de rien, Francesca me demanda :
"Et toi, c'est quand la dernière fois que tu as couché avec une fille ?"
Je retins une grimace : la dernière fille avec qui j'avais couché, était précisément Sarah, ce qui ne lui ferait sans doute pas plaisir...

"Euh... c'était la semaine dernière."
"Avec qui ? Me demanda Francesca en souriant."

"Eh bien... avec Sarah. Avouai je."
Le sourire de Francesca disparut. Je m'empressai de me justifier :
"Je savais pas qu'il y avait une guerre entre vous, elle m'a sauté dessus et... voilà."
Francesca fit la moue, mais ne dit rien, et changea à nouveau de sujet. Je me sentais un peu coupable, mais elle ne semblait pas m'en vouloir. Je sentais un léger trouble en elle, et je compris que m'imaginer moi et Sarah coucher ensemble devait l'exciter légèrement. Ca pouvait se comprendre, ça faisait deux semaines que la pauvre n'avait rien fait, et pendant ces deux semaines elle avait été condamnée à écouter Sarah s'éclater sexuellement. L'imaginer coucher avec moi avait du sans doute porter sa frustration à son comble.

Le reste de la journée passa lentement, mais quand elle fut enfin finie, j'eus une mauvaise surprise : la grève des transports avait atteint son paroxysme, et je n'avais plus de train pour rentrer chez moi. Je ne savais que faire, j'habitais trop loin de la fac pour rentrer sans transports en commun, et n'avais bien sur pas assez d'argent pour me payer un hôtel. Heureusement, Francesca me proposa :
"Tu n'as qu'à venir chez moi si tu veux... Au moins tu passeras pas la nuit dehors."
Je souris, finalement ravi de la tournure des événements.

"Oui carrément que je veux ! Tu me sauves la vie, merci !"
"Tout le plaisir est pour moi répondit elle avec un sourire un brin coquin."
Je bouillonnais d'excitation. Je sentais bien que le désir s'était réinstallé entre nous, et que la soirée s'annonçait chaude. J'avais hâte que les choses sérieuses commencent...

Une fois chez elle, nous dînâmes, passâmes chacun notre tour sous la douche, pour finalement regarder un film sur son ordinateur. Elle se pelotonna contre moi, mais ne fit rien de plus. C'en était frustrant ! Jusque là, elle n'avait rien tenté, et vu sa nature timide, je n'osais pas faire le premier pas. Pour l'instant, elle était égale à elle même, enjouée souriante, mais aussi pudique. Je rêvais de retrouver la Francesca bouillante et sauvage avec qui j'avais couché voilà deux semaines. J'en rêvais d'autant plus qu'elle était très sexy dans son jean moulant, et son T-shirt noir resserré, qui moulait sa belle poitrine. J'attendais donc avec impatience la suite des événements.

Cela faisait une heure environ que nous regardions ce stupide film, et que Francesca était contre moi sans faire un mouvement pour aller plus loin avec moi. Jusqu'à ce que nous entendîmes un bruit de porte claquer venant de la chambre d'à côté, de la chambre de Sarah. Francesca sourit et dit :
"Ah enfin ! J'ai cru qu'elle n'arriverait jamais."
Elle se redressa, et souriante, m'embrassa langoureusement. Un peu surpris, je lui rendis son baiser, sans toutefois comprendre pourquoi elle passait à l'action maintenant. Francesca augmenta progressivement le rythme de notre baiser, jusqu'à nous laisser hors d'haleine tous deux.

"Je peux savoir pourquoi t'as attendu tout ce temps ? Demandai je avec un sourire."
"J'attendais que Sarah soit rentrée. Je veux qu'elle m'entende te baiser."
"En gros je te sers d'instrument de vengeance quoi ?"
"Exactement."
En réalité, je n'étais pas plus vexé que ça, mais j'avais envie de provoquer Francesca, et de la pousser à se montrer sauvage. Je la saisis par les épaules, et la plaquai contre le matelas.

"Et si l'instrument se rebelle, tu fais quoi ? Lui dis je pour la narguer."
Elle enroula ses jambes autour de ma taille, et me renversa, venant au dessus de moi.

"Si il se rebelle, je le mâte, me dit elle avec son adorable et sexy accent italien."
Elle se pencha sur moi, et m'embrassa langoureusement. Tout en lui rendant son baiser, je décidai de me laisser faire pour l'instant, ça ne me ferait pas de mal... Lorsque Francesca me retira mon T-shirt, et commença à me lécher de partout, je ne regrettai pas mon choix !

"Hmmm j'adore ton corps, en Italie les garçons sont pas aussi beaux !"
Je souris sous le compliment, mais n'eut même pas le temps de la remercier : Francesca était déjà repartie à l'assaut de mon corps. Elle passa lentement sa langue sur mon ventre, serpentant entre les abdos, remonta sur mon torse m'embrassant les pectoraux, avant de finalement arriver sur ma bouche, qu'elle embrassa avidement. Puis, un sourire coquin aux lèvres, elle me retira le pantalon.

"On arrive à mon moment préféré, me dit elle les yeux brillants."
"J'avoue que c'est le mien aussi. Lui dis je tout excité."
Son sourire coquin toujours aux lèvres, Francesca me retira doucement le caleçon, libérant mon sexe. Elle fit glisser son indexe le long de ma verge tendue au maximum, m'arrachant un petit frisson de plaisir. Puis, lentement, elle se pencha sur moi, et presque délicatement, me prit en bouche. Elle entama de doux va-et-vient, bougeant sa tête à un rythme lent, tout en m'observant, comme si elle voulait ne pas perdre une miette de mes réactions. Je commençai à grimacer de plaisir, et à avoir de petits frissons sous l'effet de sa fellation, ce qui semblait lui faire grand plaisir. Il faut dire que même si elle allait lentement, elle s'appliquait dans sa tâche, m'enserrant délicieusement avec ses lèvres, allant de haut en bas, sortant en même temps sa langue et asticotant mon gland avec, le tout, en me regardant droit dans les yeux. Puis, elle cessa ses vas et viens, et fit courir sa langue le long de mon sexe, partant du haut pour arriver en bas. Elle le fit à plusieurs reprises, m'arrachant des frémissements d'extase. Elle me reprit ensuite en bouche, et reprit ses lents va-et-vient, avant de soudainement accélérer le rythme, me suçant comme une furie. Pris par surprise, je sentis une vague de plaisir me submerger, et poussai un grand cri. Ravie de m'avoir arraché un cri, Francesca ralentit le rythme, aussi soudainement qu'elle l'avait accéléré. Elle s'amusa ainsi à me rendre fou pendant de longues et délicieuses minutes, changeant de rythme à son gré, me faisant perdre la tête.

« C'est trop bon tu me rends dingue ! Criai je. »
Fière d'elle, Francesca sentit qu'il était temps d'en finir : elle se mit à me sucer à un rythme élevé, me pompant de bas en haut comme une furie, me faisant gémir en continu. Je sentis le plaisir monter en moi, et je finis par exploser dans un délicieux orgasme, inondant la bouche de Francesca.

« Qu'est ce que t'es douée, soufflai-je. T'es sûrement la fille la plus douée en fellation que je connaisse! »
Francesca eut un large sourire, et me fis une bise.

« Merci ! En tout cas je suis contente, je t'ai bien fait gémir, Sarah a dû tout entendre à côté ! Je vais me rincer la bouche, et je reviens, essaye de récupérer pendant ce temps. »
Francesca mit le temps pour se rincer. Lorsqu'elle revint, j'étais de nouveau chaud bouillant. Je l'attrapai par la ceinture de son jean, et l'attirai contre moi, l'embrassant langoureusement. Elle m'enlaça, et me rendit mon baiser, me poussant lentement vers son lit. Cependant, je n'avais pas envie de me laisser faire. Je la soulevai, et, la portant, je l'étalai sur la table. Je lui retirai son T-shirt, et partis à l'exploration de corps, lui léchant le ventre, et massant ses seins à travers son soutif noir. Puis, je lui retirai son jean, et lui embrassai ses belles jambes, remontant lentement vers les cuisses, avant de lui enlever son shorty. Je lui fis ensuite un délicieux cuni, faisant tournoyer ma langue sur son intimité trempée, lui léchant avidement son clito. Elle poussait de grands gémissements, et se tordait sur la table. Je lui fis ceci pendant de longues minutes, jusqu'à ce qu'elle soit toute tremblante d'extase. Alors, je la pris à nouveau, et la portai jusqu'au lit, et l'y jetai.

Je la fis se mettre à quatre pattes, et la pris en levrette. La tenant fermement par les hanches, je la pénétrai d'un coup sec, et entamai de puissants va-et-vient. Je n'allai pas très vite, mais chaque coup était vigoureux, et je la pénétrai profondément. A chaque fois, elle poussait un petit cri, ce que ne devait pas manquer d'entendre Sarah. De temps en temps, je ponctuai mes coups de reins d'une bonne claque sur ses belles fesses, ce qu'elle semblait adorer. Au bout d'un moment, je me mis à aller franchement plus vite, la pilonnant à un rythme élevé, la faisant gémir en continu. Je lui tirai les cheveux en même temps, sachant très bien que plus je la provoquerai, plus elle sera sauvage et me fera du bien après. La sentant en proie à un plaisir extrême, je me mis à la baiser encore plus vite et plus fort, lui faisant pousser un véritable hurlement. Je poursuivis mes assauts, jusqu'à ce que je la sentis proche de l'explosion, de l'orgasme, alors, je cessai d'un coup mes coups de reins, et me retirai d'elle.

« Qu'est ce que tu fais ? Me demanda-t-elle haletante. J'allais jouir là ! »
« Je sais bien, lui répondis-je, mais j'avais pas envie de te satisfaire. »
« Dans ce cas, je vais me satisfaire moi même ! Répliqua-t-elle. »
Elle me plaqua contre le matelas, et me grimpa dessus, une lueur sauvage dans les yeux, un sourire coquin aux lèvres. Je sus que j'allais vivre un délicieux moment, et me félicitai de l'avoir provoquée.

Francesca s'empala sur moi et commença de brûlants va-et-vient, allant à un rythme élevé, bien décidée à avoir son orgasme. Elle me baisait délicieusement bien, se déhanchant magnifiquement, et se maintenant sur un rythme élevé, tout en gémissant à pleine voix. Le plaisir était tel que ma vue se brouillait, et je ne tardai pas à pousser des cris de plaisir. Tout en me chevauchant, Francesca me regardait droit dans les yeux, et me lançait un sourire provocateur à chaque fois que je poussais un cri.

« Tu aimes ce que je te fais pas vrai ? Me dit elle d'un ton suave. Tu aimes comme je te cavalco, mon chéri ? »
Tout en me parlant, elle accéléra le rythme de ses attaques, ce qui me fit pousser un nouveau cri. Avec peine, je répondis :
« T'es une bombe Francesca… tu me fais perdre la tête. »Mais elle même semblait en proie à un grand plaisir, et ne tarda pas à avoir enfin son orgasme, dans un grand gémissement. Elle ne semblait cependant pas en avoir fini avec moi. Haletante et le visage rougi par le plaisir et l'effort, elle reprit néanmoins ses va-et-vient, retrouvant bien vite un rythme élevé.
« T'en as pas eu assez ? Lui demandai-je entre deux cris. »
« Non ça fait deux semaines que j'attends ça, alors j'en veux plus ! »
Elle accéléra le rythme, et me griffa le torse. Échaudé, je voulus reprendre le dessus, mais Francesca me gifla.

« Non, non ! Tu restes en mon pouvoir ! Me dit elle. »
Je fis mine de me laisser faire, et laissai Francesca continuer de mener la danse. Elle me chevauchait en s'appuyant sur mon torse, et le plaisir était tel, qu'elle releva la tête comme pour mieux savourer. Je choisis ce moment pour la saisir par les hanches, et la renverser. Elle poussa un petit cri de surprise.

Je la mis sur le côté, face à moi, et soulevant sa jambe, je la pénétrai, avant d'entamer de puissants va-et-vient, tout en la regardant droit dans les yeux, et en l'embrassant de temps en temps. Francesca poussa un long gémissement, et j'accélérai le rythme. Alors, son gémissement se transforma en un grand cri. Nous explosâmes tous deux dans un délicieux orgasme.

Essoufflés mais ravis, nous nous effondrâmes sur le lit, enlacés l'un contre l'autre.

« Tu sais toujours t'y prendre pour me faire tourner la tête, souffla Francesca. »
« Tu te débrouilles bien aussi, répondis-je. »
Je regardai l'heure, il était minuit.

« Tu crois que Sarah dort ? Demandai-je. »
« Avec le bruit qu'on a fait ? Ça m'étonnerait. »
« Elle a cours demain ? Demandai-je. »
« Oui, elle commence tôt en plus, elle sera crevée. Dit elle avec un sourire satisfait. »
Nous restâmes un moment l'un contre l'autre, puis Francesca me dit.

« Tu sais que j'ai encore envie ? »
« T'es jamais satisfaite toi ? Dis-je étonné »
Elle me sourit, et attira mon visage contre le sien. Nous nous embrassâmes pendant une délicieuse minute. Puis elle me dit :
« Comme ça je ferai avoir une vraie nuit blanche à Sarah ça devrait lui servir de leçon. »
Son petit air satisfait me donna une idée : je voulais voir à quel point elle deviendrait sauvage si je la poussais dans ses retranchements. Je me levai du lit, et ramassai des affaires par terre.

« Tu fais quoi ? Me demanda Francesca. »
Je souris et lui montrai les affaires que j'avais ramassées : nos ceintures de jean. Elle eut un petit frisson et dit :
« Tu comptes faire quoi avec ça ? »
Je lui souris sans lui répondre. Je vins sur le lit, et pris le bras de Francesca, et l'attacha à ses barreaux avec la ceinture. Elle ne se débattit pas, et me lança un regard brûlant : je sentais qu'elle avait envie de se laisser faire. Je lui attachai l'autre bras avec l'autre ceinture, elle ne se débattait toujours pas. Puis, je fouillai dans son placard jusqu'à y trouver ce que je voulais : un foulard. Je revins sur le lit, et lui dis :
« On va laisser cette pauvre Sarah dormir, qu'est ce que t'en dis ? »
Et je la bâillonnai, me servant du foulard comme bâillon. Elle se débattit, mais attachée, elle ne pouvait plus rien faire. Je savais que la priver de sa vengeance était un coup à réveiller la tigresse enfouie en elle, et toujours prompte à sortir.

Une fois Francesca attachée, et bâillonnée, je me m'ingéniai à la rendre folle, lui dévorant le corps avec ma bouche, me branlant avec ses merveilleux seins, lui léchant l'intimité, lui asticotant le clito avec ma langue, bref, lui faisant la totale. Francesca se tordait de plaisir, et poussait des gémissements étouffés par le bâillon. Ensuite, je la pénétrai d'un coup sec, et me mis à la baiser plus sauvagement que jamais, allant et venant en elle à un rythme élevé et soutenu, cognant le fond de son intimité à chaque coup. Je prenais totalement possession de son corps, tout en la regardant droit dans les yeux, pour qu'elle sente bien toute l'intensité du moment. Je la pris ainsi pendant plusieurs dizaines de minutes, la baisant intensément, sauvagement et silencieusement. Sarah devait dormir profondément maintenant, la vengeance de Francesca ne serait pas complète. La belle brune vibrait de plaisir, se tordait sous mes assauts, poussait des gémissements étouffés, et se débattait comme une diablesse, mais les ceintures semblaient la tenir trop solidement. Je pus la baiser à ma guise pendant un long moment, prenant un pied énorme.

Je n'avais pas l'intention de vraiment la dominer, mais j'avais bien compris que sous ses airs de prude timide, se cachait en Francesca une véritable lionne qui ne demandait qu'à être titillée pour jaillir. Je me disais que l'attacher à son propre lit, lui faire l'amour comme un fou, et en plus la priver de sa vengeance sur Sarah devrait la rendre plus sauvage qu'elle ne l'avait jamais été. J'avais l'intention de la détacher, et de profiter de cette tigresse que j'avais réveillée et déchaînée, mais Francesca ne m'en laissa pas le temps : à force de se débattre, elle avait fini par desserrer ses liens. Elle se libéra elle même, et m'attrapant par la nuque, me plaqua contre le matelas.

Elle retira son bâillon, et haletante, elle me dit :
« Aucun mec m'a fait ce que tu viens de faire. »
« Je sais bien, lui répondis-je avec un sourire narquois. »
Elle me saisit par le menton, et me dit avec un tel accent italien que j'eus un peu de mal à comprendre :
« Je vais te baiser tellement bien que tu vas hurler, et tu vas crier tellement fort que tout le monde va t'entendre. Non seulement Sarah, mais aussi tout le campus. Cette nuit, tu vas t'en souvenir jusqu'à ta mort ! »
J'espère que vous ne vous moquerez pas de moi, si je vous dis qu'à ce moment j'eus presque peur en voyant la lueur animale qui brillait dans les yeux de Francesca. En même temps, j'étais terriblement excité…
Elle prit mon sexe, et s'empala dessus. Et alors débuta l'une des meilleures chevauchées de ma vie. Même Katherine m'a rarement baisé aussi bien. Francesca entama de sauvages va-et-vient d'avant en arrière, me culbutant si fort que le lit cognait contre le mur. Elle me chevauchait comme une amazone, me regardant droit dans les yeux pour me défier, tout en me tenant par les épaules pour me maintenir en son pouvoir. ses hanches allant si vite qu'on avait le tournis en les regardant, ses seins se balançaient au rythme de ses assauts, et ses cheveux bouclés suivaient le mouvement du reste de son corps, et allaient d'avant en arrière. De temps à autre, elle changeait soudainement ses attaques, et se déhanchait plutôt de gauche à droite, ou sautait sur mon sexe de haut en bas, me procurant de nouvelles et délicieuses sensations, et me déstabilisant totalement. Elle me rendait complètement dingue et je me mis bien vite à pousser de grands cris. Francesca prenait elle aussi un pied énorme, et ses cris se joignirent bientôt aux miens.

« C'est tellement bon ce que tu me fais, continue ! M'exclamai-je. »
« J'aime trop moi aussi ! C'est si délicieux de te baiser comme ça ! Gémit Francesca. »
Comme j'étais curieux de voir ce qui se passerait, si je la provoquais encore plus, je lui saisis les hanches, et me mis à donner de puissants coups de reins par en dessous. Francesca poussa un grand cri de plaisir, et répliqua par des coups de reins plus rapides, et plus délicieux encore. Nous nous partîmes ainsi dans un délicieux rodéo, chacun baisant l'autre avec le plus de sauvagerie possible. Nous nous regardions droit dans les yeux, en signe de défi, chacun frémissant aux assauts de l'autre. Nous fûmes bien vite couverts de sueur et tremblants de plaisir. A chaque coup de rein, je m'appliquai pour baiser Francesca le plus fort, et le plus profondément possible, la faisant décoller, et arrachant à chaque fois un petit gémissement à ma cowgirl italienne. A chacun de mes coups de reins, je voyais une petite lueur s'allumer dans les yeux de la belle brune, et elle répliquait par un coup de rein aussi rapide et fort qu'elle pouvait, m'arrachant un grand cri, et me brouillant la vue. Au bout d'un moment, épuisé par l'effort, et sonné par le plaisir, je dus arrêter à mes coups de reins, et laisser la maîtrise de la situation à Francesca.

« Tu capitules, ça y est ? Me nargua-t-elle. »« J'abandonne, confirmai-je, tu es trop douée ! »
Maîtresse de la situation, Francesca se mit à glisser le long de mon sexe de haut en bas, tout en gémissant et gardant les yeux mi-clos. Toujours désireux de la provoquer, je l'attrapai par les hanches, et voulus la renverser. Elle m'attrapa les poignets, les plaqua contre le matelas, me maintenant en son pouvoir. Après quoi, elle me donna une délicieuse gifle, avant de me griffer le torse.

« Je fais de toi ce que je veux dit elle, tu mi appartieni ! »
Elle se mit à onduler du bassin faisant des petits cercles avec, pratiquant une merveilleuse danse du ventre sur mon sexe, tout en se massant les seins, m'offrant un spectacle délicieux. A chaque coup, elle allait plus vite qu'au précédent, me faisant littéralement perdre la tête. Je gémissais en continu, tout en serrant les dents pour tenter de contenir la vague de plaisir qui montait dangereusement en moi. Sentant ma résistance, Francesca accéléra encore le rythme afin d'en venir à bout, tout en me regardant droit dans les yeux en signe de défi. Je lui opposai une héroïque résistance, et elle dut s'activer sur moi pendant encore de longues et magnifiques minutes. Je ne pus évidemment contenir longtemps le plaisir qu'elle m'infligeait. Je finis par exploser dans un merveilleux orgasme, qui me fit craindre un temps de m'évanouir.

Francesca elle n'avait pas eu d'orgasme, aussi, elle vint s'asseoir sur mon visage, et m'ordonna :
« Lèche moi mon beau français, lèche moi jusqu'à ce que je jouisse ! »
Bien décidé à exécuter ses ordres, je saisis ses cuisses, et fis tourbillonner ma langue sur son intimité, lui suçant le clito avec avidité, ne laissant jamais ma langue au repos. Au dessus de moi, Francesca se mit à hurler, et à se démener comme si elle était assise sur des charbons ardents. Elle finit bien vite par avoir un merveilleux orgasme, qui la fit s'effondrer sur le lit, haletante et comblée.

Nous nous pelotonnâmes l'un contre l'autre, je vis qu'il était déjà 3h du matin. Épuises, et ravis, nous nous endormîmes paisiblement.

Le lendemain, alors que j'allais cours, je reçus un SMS. En y regardant de plus près, je vis qu'il avait été envoyé par Sarah. Il disait ceci :
« Je sais que c'est toi qui étais avec Francesca cette nuit. Vu que la première leçon t'a pas suffi, tu reviendras vendredi te faire punir… »
Je souris, ravi : décidément être au cœur d'un conflit de voisinage entre deux séduisantes étudiantes avait du bon !



Voilà cette histoire est terminée, j'espère qu'elle vous a plu. Si vous l'avez aimé, n'hésitez pas à le dire dans les commentaires, ça me fait toujours plaisir ! N'hésitez pas non plus à me faire part de vos critiques/remarques impressions ou suggestions sur le scénario, les personnages et autre. Je rappelle que ceux ci me sont très utiles !

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Texte coquin : Francesca 2
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