FRANCK
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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FRANCK
Moi c'est Bob, en fait je m'appelle pas Bob mais j'ai un double prénom ridicule alors ... Moi c'est Bob ! En plus Bob, c'est le premier mot que j'ai prononcé quand j'était tout petit, alors depuis tout le monde m'appelle Bob. J'ai 43 ans 1M70 , 72 kilo...
Franck est un garçon absolument adorable. Je l'ai rencontré il y a environ un an, j'étais tranquillement en trains de pisser dans les toilettes d'un bar, concentré à pisser en dirigeant le jet au travers de ma cage de chasteté, je n'avais pas vu que quelqu'un arrivais à côté de moi ! Il s'était lui aussi mis à pisser quand il vit mon dispositif, à ce moment je regardais dans sa direction et ... il avait une bitte énorme et commençait aussitôt à bander. Je regardais son visage, il avait les yeux rivés sur ma bitte et sa cage ... et en même temps il avait un beau sourire. Au bout de quelques instants il bandait tellement qu'il ne pouvait plus pisser, ce qui me fit rire ... et lui aussi. Je terminais tranquillement tout en me marrant puis passais au lavabo ou je prenais le temps de le laisser me rejoindre en me lavant les mains. Il se dépêchais de terminer puis essayais de ranger son matos dans son pantalon, ce qui ne semblait pas si facile dans l'état ou il était. Il me rejoignait sans tenter de dissimuler son entre jambe, il bandait a fond et c'était énorme, il se plaçait à côté de moi et en me regardant dans le miroir.
Franck : Tu porte toujours ce genre de dispositif sur toi, Oula, ça doit faire mal ?
Moi : Et toi , tu portes toujours cette matraque sur toi ? Oula, ça doit être dangereux ?
Franck : Je te paye un verre, on pourra discuter un peut ?
Moi : Avec plaisir !
Avant de sortir des toilettes Il sortit sa chemise de son pantalon, ça faisait un peut négligé mais c'était plus discret, on voyait moins qu'il bandait
On a bu quelque verres, on a bien rigolé, il m'a invité chez lui, il m'a baisé fort de ses 22 cm sur plus de 5 , on s'est revu, puis il est devenu mon keyholder ... Aujourd'hui il m'a invité à souper avec insistance en me disant...
F :Viens ce soir, j'ai une petite surprise pour toi.
M : J'adore les surprises, c'est quoi ? c'est quoi ? C'est quoi ? ...
F : Si je te le dis, ce ne sera plus une surprise .
M : Bon d'accord , 19 H , j'emmène le pinard ...
J'ai prévu deux bouteille de bordeaux grand cru ''Haut médoc'' soyons fous. On va terminer bourrés mais c'est pas grave. Les relations que j'ai avec Franck ne sont pas du genre SM , dominant dominé, c'est en fait une relation très cool, une relations d'amants qui aiment bien baiser ensemble, simplement un des deux est encagé... Il ne m'a libéré que deux fois, depuis un an, et la dernière fois c'était il y a bientôt sept mois... Alors autant dire que j'ai toujours le feu au cul ! Mais bon il assure, et il a ce qu'il faut pour me satisfaire 22 cm sur 5 ... Tout de même ... Belle gueule, 1 mètre 85, physique bien proportionné agréablement musclé. Bien quoi , je suis verni !
Franck habite en pleine campagne, près d'un petit village bien perdu et bien tranquille, il a un jardin très privatif ou on peut bronzer à poil sans problème. Une route secondaire, puis un large chemin et pour terminer une allée, là on passe le portail puis au bout une petite maison, ancienne mais bien entretenue, très sympathique avec une cheminée, en hiver c'est le pied, et voilà je suis arrivé. Sa maison est super bien décorée, il travaille dans un atelier ou il fabrique tout un tas d'objets en métal et en bois, depuis les lampes de chevet, le petit mobilier, jusqu'aux objet de décoration de tout type ... Récemment il m'a montré sa dernière réalisation, un petit moteur stirling qui fonctionne parfaitement, une commande spéciale pour un collectionneur.
Je sonnais pour lui annoncer mon arrivée, j'entrais, il arrivait pour m'accueillir et me prenant les bouteilles des mains, il me donnais un baiser.
F : Ouah , Bordeaux Grand Cru ... Haut Médoc, ouais, ça c'est du pinard ... allez on va y goûter ... Je te laisse t'installer, tu connais la maison, je vais chercher les verres.
M : Mais dis-moi, pourquoi insistais-tu tellement pour m'inviter ce soir ?
F : Quoi tu te rappelle pas, là tu me fais de la peine ... Snif ... Allons quand même...
M : J'ai bien une petite idée mais je suis pas sûr .
F : Si, si c'est bien ça, toi et les dates tu n'y arriveras jamais ...
M : Alors c'est ce soir notre premier anniversaire .
F : Le premier anniversaire de notre rencontre, tu te souviens? Une soirée inoubliable.
J'ai kiffé grave sur ton bazar . Tu veux pas me faire plaisir, fou toi à poil!
Pendant qu'il ouvrait un bouteille et choisissait les verres, je me déshabillais, et me vautrais sur le canapé, les jambes écartées, mon dispositif de chasteté bien en évidence.
M : Tu kiffes toujours autant de me voir à poil avec ma cage de chasteté? Non ?
Il revenait avec deux verres pleins et la bouteille sur un plateau, et pour seule réponse il me tendais un verre avec un grand sourire. Il s'était habillé ... pantalon du dimanche, une chemise, veste cravate, et moi j'étais à poil ...
M : Mais t'es beau comme un pape, je ne savais pas que c'était une soirée habillée, j'aurais mis un noeud papillon.
F : Tu kiffe sur moi quand je suis en costume, et moi c'est quand tu es à poil, surtout avec ton petit dispositif, alors tout le monde est comptant.
Je me relevais pour trinquer, je l'embrassais et lui me caressait le bas ventre.
M : Alors cette surprise ? C'est quoi dis ? C'est quoi ?
F : Il faudra attendre pas avant la fin du repas !
M : Bon alors on passe à table !
Je me levais et faisait deux pas en direction de la table. Il m'arrêtais en attrapant mes couilles et tout en me les caressant doucement ...
F : Du calme on va d'abord terminer cette excellent pinard. On garde la seconde pour le repas, on va être bourré mais bon c'est un grand jour.
M : On va être bourré ? JE vais être bourré ! Et je sais par qui .
F : Mais tu râle ou quoi ! Quel caractère, je t'ai promis une surprise et tu râle. Si tu continues je te supprime la surprise ...
M : Non pas la surprise.
On continuait à discuter un moment avant de passer à table, il n'a rien voulu me dire sur la surprise, sinon que, bien sûr c'était en rapport avec l'anniversaire et que ça allait me plaire et me faire délirer .
Le repas se passait très bien il avait mis les petits pots dans les grands dîner aux chandelles, comme il me trouvais un peut trop négligé, évidemment j'étais toujours à poil, il m'avait donné un nœud papillon. C'est fou mais il faut le reconnaître un rien m'habille!
On se retrouvait sur le canapé du salon, bien allumés, évidemment la seconde bouteille était presque vide à son tour. Il lançait un film porno, un truc bien hard, j'aime bien, un film dans lequel un mec bourré se faisait violé par son meilleur pote qui l'avait attaché, profitant de son état. Je disait rien, j'attendais qu'il aborde le sujet, la surprise, je le regardais avec un sourire complice, il me rendait mon sourire et mon regard.
F : Tu dis plus rien. Alors la surprise ça ne t'intéresse plus.
M : (prenant l'air dégoûté) Non finalement non plus maintenant ...
Je lui jetais un regard puis reprenais.
M : Alors c'est quoi cette surprise ? Je craque !
F : Mon cul !
M : Mais je t'en pris, soit polis, non mais c'est pas parce que tu vas m'enculer...
F : La surprise , c'est mon cul, je veux que tu m'encule, comme dans ce film. Tu vas m'attacher, me bâillonner,puis m'enculer. Je veux savoir ce que ça fait de se faire violer.
Après un court silence...
M : T'es sûr ?
F : Oui j'en suis sûr. Ça fait un an que je te défonce le cul régulièrement, tu ne peux même pas te branler. Ça fait un an que tu me suce à chaque fois que j'en ai envi, que je te retourne comme je l'entends, alors je veux savoir ce que ça fait de se faire défoncer le cul, de se faire limer, de prendre des coups de butoirs sans ménagement, en un mot ce que je te fais subir depuis un an.
Je le regardais sans savoir quoi dire et je restais là, comme un con la bouche ouverte sans prononcer un mot, je le regardais sans trop y croire. Il ne s'était jamais fait sodomisé ...
F : Alors quoi , dis quelque chose, reste pas comme ça, et ferme la bouche tu vas avaler de l'air.
M : D'accord!
Il me répondais par un sourire, et avalait une grande gorgée de vin, j'en faisais de même.
M : Mais tu t'es jamais fais sodomisé .
F : Non jamais!
M : ça va faire mal!
F : C'est pour ça que je veux être attaché.
M : T'es sûr.
F : Tu me l'as déjà demandé, oui je suis sûr.
M : Mais ça va faire très mal !
F : Moi quand je te défonce le cul, ça te fais pas mal!
M : Mais moi j'ai l'habitude, et j'aime bien ta grosse queue!
(un moment de silence)
M : Mais ça va faire vraiment très mal!
F : Ta queue est plus petite que la mienne, non ?
M : Pas tellement en diamètre, en longueur oui largement, mais pas tellement en diamètre.
F : M'en fou, je veux que ce soit toi qui m'encule. Ça fait déjà un moment que j'y pense. Je veux savoir ce que ça fait que de se faire violer.
M : Attaché !
F : Oui au cas ou je trouverais ça vraiment trop insupportable, au cas ou ça ferait vraiment trop mal. Je serais obligé de subir jusqu'à la fin...
M : Au cas ou ça ferait vraiment trop mal . Tu as pensé à tout ! Mais ça va faire vraiment ...
F : ''Je sais! '' me dit – il fermement en me coupant la parole !
M : Bâillonné !
F : Comme ça je pourrais pas gueuler, de toute façons la maison est isolée, mais c'est pour toi. J'ai peur que tu renonce si tu m'entends gueuler.
M : Tu as pensé à tout ! Mais tu vas gueuler tout de même et pas seulement.
F : Pas seulement ?
M : Tu vas pleurer !
F : Je suis un vrai mec, je pleure pas !
M : Un vrai mec se fait pas enculer!
F : Tu te fais bien enculer toi , pourtant tu es un mec !
M : C'est pas pareil, moi j'aime ça. Et puis j'ai peur de te faire mal, de te blesser.
F : C'est un risque à prendre, c'est un risque que je prends !
(nouveau silence)
F : Je serai attaché pour ne pas pouvoir me dégager, bâillonné pour ne pas gueuler dans tes oreilles, et si je pleure donne moi des coup de reins encore plus violents. Je veux un viol, et un viol ce n'est ni tendre ni doux, c'est violent et ça fait mal. Alors vas y carrément ! C'est moi qui te le demande. J'ai mes raisons et je ne désire pas en parler, pas pour l'instant. Est tu partant oui ou merde!
M : D'accord ! Mais tu vas pleurer ta mère !
F : J'ai tout prévu, j'ai même mis un stimulant sexuel dans le repas, tu ne devrais pas avoir de mal à bander ...
Il se levait et me fit signe de le suivre au sous sol.
F : Ça fait combien de temps que t'as pas joui ... avec ta queue je veux dire ...
M : Ça fera 29 semaines dimanche prochain.
F : Tu jouis jamais alors?
M : Si mais, c'est pas pareil, tu me fais jouir avec ta grosse queue, quand tu me lime, les coups de reins bien à fond.
F : Tu crois que moi, je vais jouir ?
M : Non, toi tu vas avoir mal !
On arrivait dans l'atelier. Il avait dégagé son établi pour pouvoir y être attaché, tout était près les cordes pour les pieds garderaient les jambes bien écartées le cul bien offert, les bras attachés de chaque coté le bloquerait totalement, il ne pourrait pas bouger. Il avait aussi prévu un gros bâillon , il ne pourrais pas gueuler. Pendant que je faisait le tour de l'établi il se déshabillais rapidement ne gardant sur lui qu'une clée autour du coup. On était bien à moitié ivres et plus même, je sentais ma bitte se raidir dans sa cage, la situation ou le stimulant faisait son effet. Il était totalement à poil, se retournant vers moi.
F : Puceau du cul ... je me livre à toi, dépucelle moi comme je t'ai demandé, sans ménagement...
Il se retournais et se mettais en position, allongé au dessus de son établi, les bras dans le vide, les pieds bien écartés. Je lui caressais les fesses doucement avant de lui attacher les mains doucement mais fermement , il surveillait en même temps ce que je faisait et me fit signe que c'était bon. À ce moment il me dit '' les pieds maintenant !'' . Je lui attachais les pieds toujours en douceur, évidemment il n'essayait pas de résister, au contraire, il positionnait ses pieds pour être bien immobilisé... Arrivé à ce moment je me plaçait en face de lui et marquais une pause ...
F : Tu prends les clées à mon coup, tu me bâillonne, et ensuite ... Comme je t'ai dis, sans ménagement, direct bien à fond, violent coup de rein... Dépêche toi avant que je ne change d'avis.
Je prenais les clées ...
M : T'es sûr ? Au moment ou tu auras le bâillon sur la bouche, ça sera parti, je ne m'arrêterais plus.
Il me répondit en gueulant.
F : Mais qu'est-ce que tu attends, tu devrais déjà être en train de m'exploser la rondelle, bordel! Merde quoi, vas y défonce moi l...
Je lui coupais la parole en lui posant le bâillon. Je retirais ma cage, l'anneau en prenant bien mon temps, il observais le moindre de mes mouvements, l'attente faisait parti du viol. Je bandais ! Puis je me massais doucement ma bite. Il avalait sa salive. Il regrettait peut être déjà... Trop tard !
Je continuais en me lubrifiant longuement la bite, puis lui caressais les fesses en les lubrifiant longuement aussi. Il se mit à réagir, gromela dans son bâillon, j'étais trop long et l'attente devenait trop longue. Toujours tout doucement je continuais lui introduisait un doigt puis deux doigts dans le cul toujours pour bien lubrifier. À partir de ce moment il ne bougeait plus... Sans prévenir, je lui enfonçais ma bite d'un coup, jusqu'à la garde pour terminer par un violent coup de rein! Il tentait alors de se redresser en contractant tous ses muscle et c'est certainement un hurlement de douleur que le bâillon dut étouffer à ce moment là ... Face à ce résultat, je me retirais un peu et revenais à la charge avec un gros coup de rein de nouveau, il relevais la tête en hurlant de tout son souffle au travers de son bâillon, il tendait tous ses muscles mais sans essayer de se dégager, il savait qu'il ne le pouvait pas. Moi de mon coté je commençais des vas et viens réguliers plus ou moins rapides, quelques mouvements rapides suivis de mouvement plus amples avec de temps en temps un violent coup de rein, c'est ce qui le faisait réagir plus bruyamment, là c'était vraiment de douleur terrible, mais à chacun de mes mouvements il réagissait avec force.
Après quelques minutes de ce traitement, il était en sueur, semblait être à bout, il tirait sur les cordes de toutes ses forces et tentait vraiment de se dégager mais il ne retournait pas la tête pour me regarder, il aurait pu essayer de communiquer, tenter de me faire savoir qu'il n'en pouvait plus...
Non, il encaissait, c'est tout ! Je lubrifiait au maximum car il était étroit le mec mais vue que ça faisait presque 7 mois que j'avais pas éjaculé ... ça ne devait pas durer beaucoup plus longtemps.
Je finissais par ce qui me semblait une super éjaculation accompagnée d'un violent coup de rein, et je m'effondrais sur lui. Son corps était tendu, il était en sueur, son souffle était intense, il tremblait, il gémissait, il pleurait ! J'avais joui, comme ... comme je ne me souvenais pas auparavant, je me retirais doucement lui arrachant encore quelques gémissements, tout allait bien mais lui il devait avoir vraiment mal ! Je lui caressais le dos avec douceur, mais lui se contractait à mon contact, il avait la tête penchée en avant , il chialait vraiment !
Moi : Ça va ?
Lui : Hen , hen . '' tout en bougeant la tête de haut en bas .
Moi : Bien on va remettre ça ...
Là il se mit gigoter dans tous les sens et à hurler au travers du bâillon, il devait fou. Je commençais à lui caresser le dos tout doucement en lui disant ...
Moi : C'est bon je déconne, c'est fini, c'est fini.
Il se calmais, je lui retirais le bâillon, il continuait à gémir, le l'embrassais sur le dos tout en lui disant.
Moi : Reste calme, ne bouge plus, je vais te détacher.
Je lui détachais les pieds , puis les mains, je m'accroupissais devant lui, il avait une salle gueule, je lui caressais le visage. Il avait les yeux rouges, il arrêtait de pleurer!
Franck : Merci !
Moi : merci pour ? T'avoir enculé .
F : Non merci pour cette tendresse que tu me manifeste, c'est moi qui t'es demandé de m'enculer et je le regrette, mais pour le reste tu aurais pu te foutre de ma gueule parce que je pleure, tu aurais pu en rajouter, tu bande encore, tu aurais pu continuer. Je voulais savoir ... Maintenant je sais ... J'ai bien choisi la personne ... Merci ! Mais putain ça fait mal, à ce point là je le croyais pas.
Il restait un moment sans bouger, râlant régulièrement ... '' Ça fait mal, ça fait vraiment mal ton truc, j'espère que tu en as bien profité, c'est pas demain que tu pourras recommencer...''
Toujours en râlant il se relevais lourdement, s'étirait ...
F : Ça fait vraiment mal ton truc, je recommencerai pas, y reste du pinard ?''
M : Non, voilà tout ce qu'il reste . '' Je lui tendais son verre, il n'en restait qu'un fond.
Il avalait les dernières goûtes vin d'un geste rapide.
F : Bon il nous reste la bière, j'en ai tout un stock, je vais me passer le cul à l'eau froide, ça fait vraiment mal ton gros machin, on va pas tarder à le remettre en cage histoire que tu ne fasses plus mal à personne pendant un bon moment ... On se retrouve au salon, tu sais ou est la bière.
Un quart d'heure plus tard je le voyais rappliquer au salon, en râlant, Ça fait vraiment mal ton truc, je sais pas comment tu peut le supporter toi ?''. J'entamais ma deuxième bière, il prit une bière et se laissa tomber sur le canapé à coté de moi.
F : '' Alors tu apprécie ta soirée de liberté? T'inquiète elle est pas finie. Il y a toujours la surprise ..
M : La surprise, alors c'était pas ça la surprise? ...
F: En partie, seulement en partie .''
On a continué la soirée en buvant quelques bières en regardant la fin du film à la télé, quand il s'est terminé, j'étais complètement saoul, saoul mais content, je me branlais tranquillement Franck me laissait faire en me disant seulement
''Profites en, tu as la soirée de libre, après ... retour en cage pour une longue période ...''
Puis il releva, mit un autre film, revint vers moi, se pencha sur moi et sans dire un mot commençait à me sucer longuement la bitte, c'était la première fois qu'il me le faisait. IL s'y prenait bien, il avait du y penser longuement auparavant, il faut dire que je lui avait souvent montré l'exemple. Il devenait de plus en plus entreprenant, il me masturbait, me suçait, m'embrassait, ses caresses devenaient de plus en plus intenses et son étreinte de plus en plus forte. Brusquement il se redressait me retournait et me pénétrait avec force, il m'enfilait ses 22 cm jusqu'à la garde terminait par un violent coup de rein, je le laissait faire ... C'est en gémissant que je laissais échapper '' Oui c'est bon !''
F : Tu aime ça dis, ça te fais pas mal ?...
M : Non , c'est bon, vas y continue, oh oui.
Il continuait à me bourrer le cul sans aucune retenue, et les cris que je poussais n'étaient pas des cris de douleur... Tous en me défonçant le cul, il passait ses mains devant moi, me retenant avec une et me masturbant avec l'autre, ça aussi c'était une première. Avec la cage de chasteté c'était de toutes façons impossible, mais ce soir là il en profitait et m'en faisait profiter. A plusieurs reprise j'ai failli jouir mais il s'arrêtait toujours à temps et faisait monter encore plus le plaisir. Il me retournait brusquement sur le dos, les chevilles sur ses épaules, dans cette position, ça rentre bien à fond.
Je finissais par éjaculer dans un râle de plaisir et de jouissance aussi intense que la première fois, c'était vraiment bon, il ne ralentissait pas ses mouvements et continuais à me masturber et à me limer le cul. Je commençais à me tortiller tentant de me dégager, tentant surtout d'arrêter sa main, la sensation sur ma queue n'était plus agréable mais presque douloureuse après deux éjaculation. Mais Franck est plus fort que moi, il me retenait les deux poignets par une main, me masturbait de l'autre main, et me limait gaillardement le cul avec sa grosse bitte. la sensation devenait intense, je commençais à jouir par la prostate et à ce moment précis, si je me tordais dans tous les sens,ce n'était plus pour me dégager, c'était seulement que je ne contrôlais plus rien. J'avais l'impression d'éjaculer en permanence mais rien ne venais et j'avais aussi l'impression que ma prostate allait exploser. J'étais dans cet état quand je l'entendis hurler "Oh oui , Oh oui , Oh c'est bon'' et dans un même temps il me donnait quelques coup de reins plus lent mais très violents qui me firent mal, je me cramponnais au canapé, il cessait de me masturber et la queue toujours bien enfoncée au fond de mon anus, il me regardais dans les yeux, et se laissait tomber sur moi de tout son poids, je le prenais dans les bras, je tremblais de plaisir, il me prenait lui aussi dans ses bras, m'embrassait et nous restions ainsi sans bouger pendant un long moment.
Nous retrouvions tout doucement nos esprits et notre souffle, puis Franck se relevait, vif et décidé, et s'exclamait, : "" Encore une p'tite bière ?! ''. Il en attrapait une , l'ouvrait et me la tendait, il s'en servait une également, puis se laissant retomber lourdement a cote de moi ...
F : Alors, si on parlait de la petite surprise ...
M : Tiens je l'avais complètement oubliée celle la !
F : Tu te moques!
M : Franchement' après cette soirée je ne m'attendais plus à rien.
Il se relevait avec un sourire et se penchant vers moi me donnait un baiser. Il est alors allé dans sa chambre d'où il est revenu quelques instants plus tard, il avait dans les mains une petite boite enveloppée dans un joli papier cadeau avec un joli ruban rouge.
F : J'ai la petite surprise enveloppée dans un joli papier cadeau avec un joli ruban rouge ... (Puis après un instant de silence) ... C'est moi qui l'ai fait.
J'éclatais de rire... Et en insistant lourdement sur le mot 'joli' je continuais...
M : C'est toi qui l'a fait...! Mais c'est vrai, ça c'est une jolie petite boite avec un joli papier cadeau et un très joli ruban rouge. Mais il ne fallait pas, c'est trop. C'est trop, je suis comblé.
F : Arrêtes tes conneries, et ouvre ton cadeau!
M : Non j'ai pas envie, je veux pas abîmer une aussi jolie boite... Je vais la garder comme ça, je l'ouvrirai peut être pour Noël ou une grande occasion comme...
Tout en rigolant, il me coupait la parole en gueulant ...
F : Mais vas tu ouvrir ton cadeau, espèce de grosse bourrique !
M : Alors là tu me vexe, bourrique je veux bien, mais 'grosse' là tu me vexe, avec tous les efforts que je fais pour garder la ligne...
Il me regardais l'ai agacé avec un sourire de travers...
F : Bon si tu veux pas de mon cadeau...(il fit un geste pour me reprendre la jolie petite boite)
Saisissant fermement la boite dans les mains...
M : OK, OK je vais l'ouvrir!
Tout en ouvrant le cadeaux, je décrivais le moindre de mes gestes...
M : Alors, je défais le joli petit nœud du joli petit ruban rouge ...
F : Tu fais bien de parler de nœud, avec ta tète de ... d'abruti. (M'interrompit Franck d'un ton agacé !)
M : Arrêtes de l'interrompre, j'aurais déjà ouvert la boite sans ça. Bon maintenant je retire le joli ruban rouge.
Franck levait les yeux au ciel ...
M : Maintenant je retire le joli papier cadeau ... Mais ... Il y a du ruban adhesif, cela va compliquer le travail...
Grand soupir non dissimulé de la part de Franck...
M : Bon j'arrache tout ! Je suis maintenant devant une petite boite en carton blanc, c'est une jolie boite blanche, en carton, il ne fallait pas, c'est trop, c'est trop.
F : C'est pas croyable, soupira Franck ...
M : Bon maintenant j'ouvre la boite et je regarde dedans...
Mon regard restait figé, rivé au fond la petite boite... Un dispositif de chasteté similaire a celui que je portais mas en métal, brillant et argenté. Franck se redressait brusquement sur le canapé visiblement content de lui.
F : C'est un dispositif de chasteté copié sur le tien. Celui ci est en métal, acier inoxydable massif qualité chirurgicale, garanti inoxydable, inaltérable. Il a l'air plus petit que le tien, c'est parce qu'il y a moins de matière, par endroit ton dispositif est épais de près de un cm, au même endroit celui-ci ne fait pas plus de 1 mm mais les dimensions internes sont les même. Il n'y a pas de cadenas car la cerrure est incorporée dans la cage, à l'endroit ou elle se fixe à l'anneau support.... Et ... C'EST MOI QUI L'AI FAIT. Na!
Je restais sans voix...
M : Whaou...
C'est tout ce que j'arrivais a dire ! Franck jubilais, il se marrait le con ...
F : Aller essayes la...
Sans aucune hésitation je passais l'anneau, le contact était différent de ce que je connaissais. La finition était parfaite ! Je passais ensuite à la cage... J'y introduisait ma queue, confortable, la taille était bonne, puis je l'enclenchais sur l'anneau ...''clic '' .
M :Clic?
F : Le dispositif n'est pas encore verrouillé, dans la petite serrure il faut maintenant introduire la clee. Elle est dans laboite.
Il restait dans la boite une sorte de clous profilé comme une clef avec la tète de la clef lisse et argentée comme le reste du dispositif. J'introduisais ce dernier dispositif dans la serrure, Franck m'encourageait de gestes de la tète, je poussais la clef à fond 'clic' ...
F : Vas te regarder dans la glace.
L'objet était était élégant, moins encombrant mais pas moins confortable.
M : Et la clef, pour ouvrir, ça marche comment ?
Franck arrivait derrière moi, me passait un bras autour de la ceinture, m'embrassait tendrement dans le cou,
F : Pour ce qui est d'ouvrir ... On peut pas ouvrir ... Le seul moyen c'est de découper le bazar, mais, tu peux me croire c'est de l'acier de qualité, ça sera pas facile! ...
Je le regardais, sans voix, il me souriait puis il m'embrassait tendrememt ...
Franck est un garçon absolument adorable. Je l'ai rencontré il y a environ un an, j'étais tranquillement en trains de pisser dans les toilettes d'un bar, concentré à pisser en dirigeant le jet au travers de ma cage de chasteté, je n'avais pas vu que quelqu'un arrivais à côté de moi ! Il s'était lui aussi mis à pisser quand il vit mon dispositif, à ce moment je regardais dans sa direction et ... il avait une bitte énorme et commençait aussitôt à bander. Je regardais son visage, il avait les yeux rivés sur ma bitte et sa cage ... et en même temps il avait un beau sourire. Au bout de quelques instants il bandait tellement qu'il ne pouvait plus pisser, ce qui me fit rire ... et lui aussi. Je terminais tranquillement tout en me marrant puis passais au lavabo ou je prenais le temps de le laisser me rejoindre en me lavant les mains. Il se dépêchais de terminer puis essayais de ranger son matos dans son pantalon, ce qui ne semblait pas si facile dans l'état ou il était. Il me rejoignait sans tenter de dissimuler son entre jambe, il bandait a fond et c'était énorme, il se plaçait à côté de moi et en me regardant dans le miroir.
Franck : Tu porte toujours ce genre de dispositif sur toi, Oula, ça doit faire mal ?
Moi : Et toi , tu portes toujours cette matraque sur toi ? Oula, ça doit être dangereux ?
Franck : Je te paye un verre, on pourra discuter un peut ?
Moi : Avec plaisir !
Avant de sortir des toilettes Il sortit sa chemise de son pantalon, ça faisait un peut négligé mais c'était plus discret, on voyait moins qu'il bandait
On a bu quelque verres, on a bien rigolé, il m'a invité chez lui, il m'a baisé fort de ses 22 cm sur plus de 5 , on s'est revu, puis il est devenu mon keyholder ... Aujourd'hui il m'a invité à souper avec insistance en me disant...
F :Viens ce soir, j'ai une petite surprise pour toi.
M : J'adore les surprises, c'est quoi ? c'est quoi ? C'est quoi ? ...
F : Si je te le dis, ce ne sera plus une surprise .
M : Bon d'accord , 19 H , j'emmène le pinard ...
J'ai prévu deux bouteille de bordeaux grand cru ''Haut médoc'' soyons fous. On va terminer bourrés mais c'est pas grave. Les relations que j'ai avec Franck ne sont pas du genre SM , dominant dominé, c'est en fait une relation très cool, une relations d'amants qui aiment bien baiser ensemble, simplement un des deux est encagé... Il ne m'a libéré que deux fois, depuis un an, et la dernière fois c'était il y a bientôt sept mois... Alors autant dire que j'ai toujours le feu au cul ! Mais bon il assure, et il a ce qu'il faut pour me satisfaire 22 cm sur 5 ... Tout de même ... Belle gueule, 1 mètre 85, physique bien proportionné agréablement musclé. Bien quoi , je suis verni !
Franck habite en pleine campagne, près d'un petit village bien perdu et bien tranquille, il a un jardin très privatif ou on peut bronzer à poil sans problème. Une route secondaire, puis un large chemin et pour terminer une allée, là on passe le portail puis au bout une petite maison, ancienne mais bien entretenue, très sympathique avec une cheminée, en hiver c'est le pied, et voilà je suis arrivé. Sa maison est super bien décorée, il travaille dans un atelier ou il fabrique tout un tas d'objets en métal et en bois, depuis les lampes de chevet, le petit mobilier, jusqu'aux objet de décoration de tout type ... Récemment il m'a montré sa dernière réalisation, un petit moteur stirling qui fonctionne parfaitement, une commande spéciale pour un collectionneur.
Je sonnais pour lui annoncer mon arrivée, j'entrais, il arrivait pour m'accueillir et me prenant les bouteilles des mains, il me donnais un baiser.
F : Ouah , Bordeaux Grand Cru ... Haut Médoc, ouais, ça c'est du pinard ... allez on va y goûter ... Je te laisse t'installer, tu connais la maison, je vais chercher les verres.
M : Mais dis-moi, pourquoi insistais-tu tellement pour m'inviter ce soir ?
F : Quoi tu te rappelle pas, là tu me fais de la peine ... Snif ... Allons quand même...
M : J'ai bien une petite idée mais je suis pas sûr .
F : Si, si c'est bien ça, toi et les dates tu n'y arriveras jamais ...
M : Alors c'est ce soir notre premier anniversaire .
F : Le premier anniversaire de notre rencontre, tu te souviens? Une soirée inoubliable.
J'ai kiffé grave sur ton bazar . Tu veux pas me faire plaisir, fou toi à poil!
Pendant qu'il ouvrait un bouteille et choisissait les verres, je me déshabillais, et me vautrais sur le canapé, les jambes écartées, mon dispositif de chasteté bien en évidence.
M : Tu kiffes toujours autant de me voir à poil avec ma cage de chasteté? Non ?
Il revenait avec deux verres pleins et la bouteille sur un plateau, et pour seule réponse il me tendais un verre avec un grand sourire. Il s'était habillé ... pantalon du dimanche, une chemise, veste cravate, et moi j'étais à poil ...
M : Mais t'es beau comme un pape, je ne savais pas que c'était une soirée habillée, j'aurais mis un noeud papillon.
F : Tu kiffe sur moi quand je suis en costume, et moi c'est quand tu es à poil, surtout avec ton petit dispositif, alors tout le monde est comptant.
Je me relevais pour trinquer, je l'embrassais et lui me caressait le bas ventre.
M : Alors cette surprise ? C'est quoi dis ? C'est quoi ?
F : Il faudra attendre pas avant la fin du repas !
M : Bon alors on passe à table !
Je me levais et faisait deux pas en direction de la table. Il m'arrêtais en attrapant mes couilles et tout en me les caressant doucement ...
F : Du calme on va d'abord terminer cette excellent pinard. On garde la seconde pour le repas, on va être bourré mais bon c'est un grand jour.
M : On va être bourré ? JE vais être bourré ! Et je sais par qui .
F : Mais tu râle ou quoi ! Quel caractère, je t'ai promis une surprise et tu râle. Si tu continues je te supprime la surprise ...
M : Non pas la surprise.
On continuait à discuter un moment avant de passer à table, il n'a rien voulu me dire sur la surprise, sinon que, bien sûr c'était en rapport avec l'anniversaire et que ça allait me plaire et me faire délirer .
Le repas se passait très bien il avait mis les petits pots dans les grands dîner aux chandelles, comme il me trouvais un peut trop négligé, évidemment j'étais toujours à poil, il m'avait donné un nœud papillon. C'est fou mais il faut le reconnaître un rien m'habille!
On se retrouvait sur le canapé du salon, bien allumés, évidemment la seconde bouteille était presque vide à son tour. Il lançait un film porno, un truc bien hard, j'aime bien, un film dans lequel un mec bourré se faisait violé par son meilleur pote qui l'avait attaché, profitant de son état. Je disait rien, j'attendais qu'il aborde le sujet, la surprise, je le regardais avec un sourire complice, il me rendait mon sourire et mon regard.
F : Tu dis plus rien. Alors la surprise ça ne t'intéresse plus.
M : (prenant l'air dégoûté) Non finalement non plus maintenant ...
Je lui jetais un regard puis reprenais.
M : Alors c'est quoi cette surprise ? Je craque !
F : Mon cul !
M : Mais je t'en pris, soit polis, non mais c'est pas parce que tu vas m'enculer...
F : La surprise , c'est mon cul, je veux que tu m'encule, comme dans ce film. Tu vas m'attacher, me bâillonner,puis m'enculer. Je veux savoir ce que ça fait de se faire violer.
Après un court silence...
M : T'es sûr ?
F : Oui j'en suis sûr. Ça fait un an que je te défonce le cul régulièrement, tu ne peux même pas te branler. Ça fait un an que tu me suce à chaque fois que j'en ai envi, que je te retourne comme je l'entends, alors je veux savoir ce que ça fait de se faire défoncer le cul, de se faire limer, de prendre des coups de butoirs sans ménagement, en un mot ce que je te fais subir depuis un an.
Je le regardais sans savoir quoi dire et je restais là, comme un con la bouche ouverte sans prononcer un mot, je le regardais sans trop y croire. Il ne s'était jamais fait sodomisé ...
F : Alors quoi , dis quelque chose, reste pas comme ça, et ferme la bouche tu vas avaler de l'air.
M : D'accord!
Il me répondais par un sourire, et avalait une grande gorgée de vin, j'en faisais de même.
M : Mais tu t'es jamais fais sodomisé .
F : Non jamais!
M : ça va faire mal!
F : C'est pour ça que je veux être attaché.
M : T'es sûr.
F : Tu me l'as déjà demandé, oui je suis sûr.
M : Mais ça va faire très mal !
F : Moi quand je te défonce le cul, ça te fais pas mal!
M : Mais moi j'ai l'habitude, et j'aime bien ta grosse queue!
(un moment de silence)
M : Mais ça va faire vraiment très mal!
F : Ta queue est plus petite que la mienne, non ?
M : Pas tellement en diamètre, en longueur oui largement, mais pas tellement en diamètre.
F : M'en fou, je veux que ce soit toi qui m'encule. Ça fait déjà un moment que j'y pense. Je veux savoir ce que ça fait que de se faire violer.
M : Attaché !
F : Oui au cas ou je trouverais ça vraiment trop insupportable, au cas ou ça ferait vraiment trop mal. Je serais obligé de subir jusqu'à la fin...
M : Au cas ou ça ferait vraiment trop mal . Tu as pensé à tout ! Mais ça va faire vraiment ...
F : ''Je sais! '' me dit – il fermement en me coupant la parole !
M : Bâillonné !
F : Comme ça je pourrais pas gueuler, de toute façons la maison est isolée, mais c'est pour toi. J'ai peur que tu renonce si tu m'entends gueuler.
M : Tu as pensé à tout ! Mais tu vas gueuler tout de même et pas seulement.
F : Pas seulement ?
M : Tu vas pleurer !
F : Je suis un vrai mec, je pleure pas !
M : Un vrai mec se fait pas enculer!
F : Tu te fais bien enculer toi , pourtant tu es un mec !
M : C'est pas pareil, moi j'aime ça. Et puis j'ai peur de te faire mal, de te blesser.
F : C'est un risque à prendre, c'est un risque que je prends !
(nouveau silence)
F : Je serai attaché pour ne pas pouvoir me dégager, bâillonné pour ne pas gueuler dans tes oreilles, et si je pleure donne moi des coup de reins encore plus violents. Je veux un viol, et un viol ce n'est ni tendre ni doux, c'est violent et ça fait mal. Alors vas y carrément ! C'est moi qui te le demande. J'ai mes raisons et je ne désire pas en parler, pas pour l'instant. Est tu partant oui ou merde!
M : D'accord ! Mais tu vas pleurer ta mère !
F : J'ai tout prévu, j'ai même mis un stimulant sexuel dans le repas, tu ne devrais pas avoir de mal à bander ...
Il se levait et me fit signe de le suivre au sous sol.
F : Ça fait combien de temps que t'as pas joui ... avec ta queue je veux dire ...
M : Ça fera 29 semaines dimanche prochain.
F : Tu jouis jamais alors?
M : Si mais, c'est pas pareil, tu me fais jouir avec ta grosse queue, quand tu me lime, les coups de reins bien à fond.
F : Tu crois que moi, je vais jouir ?
M : Non, toi tu vas avoir mal !
On arrivait dans l'atelier. Il avait dégagé son établi pour pouvoir y être attaché, tout était près les cordes pour les pieds garderaient les jambes bien écartées le cul bien offert, les bras attachés de chaque coté le bloquerait totalement, il ne pourrait pas bouger. Il avait aussi prévu un gros bâillon , il ne pourrais pas gueuler. Pendant que je faisait le tour de l'établi il se déshabillais rapidement ne gardant sur lui qu'une clée autour du coup. On était bien à moitié ivres et plus même, je sentais ma bitte se raidir dans sa cage, la situation ou le stimulant faisait son effet. Il était totalement à poil, se retournant vers moi.
F : Puceau du cul ... je me livre à toi, dépucelle moi comme je t'ai demandé, sans ménagement...
Il se retournais et se mettais en position, allongé au dessus de son établi, les bras dans le vide, les pieds bien écartés. Je lui caressais les fesses doucement avant de lui attacher les mains doucement mais fermement , il surveillait en même temps ce que je faisait et me fit signe que c'était bon. À ce moment il me dit '' les pieds maintenant !'' . Je lui attachais les pieds toujours en douceur, évidemment il n'essayait pas de résister, au contraire, il positionnait ses pieds pour être bien immobilisé... Arrivé à ce moment je me plaçait en face de lui et marquais une pause ...
F : Tu prends les clées à mon coup, tu me bâillonne, et ensuite ... Comme je t'ai dis, sans ménagement, direct bien à fond, violent coup de rein... Dépêche toi avant que je ne change d'avis.
Je prenais les clées ...
M : T'es sûr ? Au moment ou tu auras le bâillon sur la bouche, ça sera parti, je ne m'arrêterais plus.
Il me répondit en gueulant.
F : Mais qu'est-ce que tu attends, tu devrais déjà être en train de m'exploser la rondelle, bordel! Merde quoi, vas y défonce moi l...
Je lui coupais la parole en lui posant le bâillon. Je retirais ma cage, l'anneau en prenant bien mon temps, il observais le moindre de mes mouvements, l'attente faisait parti du viol. Je bandais ! Puis je me massais doucement ma bite. Il avalait sa salive. Il regrettait peut être déjà... Trop tard !
Je continuais en me lubrifiant longuement la bite, puis lui caressais les fesses en les lubrifiant longuement aussi. Il se mit à réagir, gromela dans son bâillon, j'étais trop long et l'attente devenait trop longue. Toujours tout doucement je continuais lui introduisait un doigt puis deux doigts dans le cul toujours pour bien lubrifier. À partir de ce moment il ne bougeait plus... Sans prévenir, je lui enfonçais ma bite d'un coup, jusqu'à la garde pour terminer par un violent coup de rein! Il tentait alors de se redresser en contractant tous ses muscle et c'est certainement un hurlement de douleur que le bâillon dut étouffer à ce moment là ... Face à ce résultat, je me retirais un peu et revenais à la charge avec un gros coup de rein de nouveau, il relevais la tête en hurlant de tout son souffle au travers de son bâillon, il tendait tous ses muscles mais sans essayer de se dégager, il savait qu'il ne le pouvait pas. Moi de mon coté je commençais des vas et viens réguliers plus ou moins rapides, quelques mouvements rapides suivis de mouvement plus amples avec de temps en temps un violent coup de rein, c'est ce qui le faisait réagir plus bruyamment, là c'était vraiment de douleur terrible, mais à chacun de mes mouvements il réagissait avec force.
Après quelques minutes de ce traitement, il était en sueur, semblait être à bout, il tirait sur les cordes de toutes ses forces et tentait vraiment de se dégager mais il ne retournait pas la tête pour me regarder, il aurait pu essayer de communiquer, tenter de me faire savoir qu'il n'en pouvait plus...
Non, il encaissait, c'est tout ! Je lubrifiait au maximum car il était étroit le mec mais vue que ça faisait presque 7 mois que j'avais pas éjaculé ... ça ne devait pas durer beaucoup plus longtemps.
Je finissais par ce qui me semblait une super éjaculation accompagnée d'un violent coup de rein, et je m'effondrais sur lui. Son corps était tendu, il était en sueur, son souffle était intense, il tremblait, il gémissait, il pleurait ! J'avais joui, comme ... comme je ne me souvenais pas auparavant, je me retirais doucement lui arrachant encore quelques gémissements, tout allait bien mais lui il devait avoir vraiment mal ! Je lui caressais le dos avec douceur, mais lui se contractait à mon contact, il avait la tête penchée en avant , il chialait vraiment !
Moi : Ça va ?
Lui : Hen , hen . '' tout en bougeant la tête de haut en bas .
Moi : Bien on va remettre ça ...
Là il se mit gigoter dans tous les sens et à hurler au travers du bâillon, il devait fou. Je commençais à lui caresser le dos tout doucement en lui disant ...
Moi : C'est bon je déconne, c'est fini, c'est fini.
Il se calmais, je lui retirais le bâillon, il continuait à gémir, le l'embrassais sur le dos tout en lui disant.
Moi : Reste calme, ne bouge plus, je vais te détacher.
Je lui détachais les pieds , puis les mains, je m'accroupissais devant lui, il avait une salle gueule, je lui caressais le visage. Il avait les yeux rouges, il arrêtait de pleurer!
Franck : Merci !
Moi : merci pour ? T'avoir enculé .
F : Non merci pour cette tendresse que tu me manifeste, c'est moi qui t'es demandé de m'enculer et je le regrette, mais pour le reste tu aurais pu te foutre de ma gueule parce que je pleure, tu aurais pu en rajouter, tu bande encore, tu aurais pu continuer. Je voulais savoir ... Maintenant je sais ... J'ai bien choisi la personne ... Merci ! Mais putain ça fait mal, à ce point là je le croyais pas.
Il restait un moment sans bouger, râlant régulièrement ... '' Ça fait mal, ça fait vraiment mal ton truc, j'espère que tu en as bien profité, c'est pas demain que tu pourras recommencer...''
Toujours en râlant il se relevais lourdement, s'étirait ...
F : Ça fait vraiment mal ton truc, je recommencerai pas, y reste du pinard ?''
M : Non, voilà tout ce qu'il reste . '' Je lui tendais son verre, il n'en restait qu'un fond.
Il avalait les dernières goûtes vin d'un geste rapide.
F : Bon il nous reste la bière, j'en ai tout un stock, je vais me passer le cul à l'eau froide, ça fait vraiment mal ton gros machin, on va pas tarder à le remettre en cage histoire que tu ne fasses plus mal à personne pendant un bon moment ... On se retrouve au salon, tu sais ou est la bière.
Un quart d'heure plus tard je le voyais rappliquer au salon, en râlant, Ça fait vraiment mal ton truc, je sais pas comment tu peut le supporter toi ?''. J'entamais ma deuxième bière, il prit une bière et se laissa tomber sur le canapé à coté de moi.
F : '' Alors tu apprécie ta soirée de liberté? T'inquiète elle est pas finie. Il y a toujours la surprise ..
M : La surprise, alors c'était pas ça la surprise? ...
F: En partie, seulement en partie .''
On a continué la soirée en buvant quelques bières en regardant la fin du film à la télé, quand il s'est terminé, j'étais complètement saoul, saoul mais content, je me branlais tranquillement Franck me laissait faire en me disant seulement
''Profites en, tu as la soirée de libre, après ... retour en cage pour une longue période ...''
Puis il releva, mit un autre film, revint vers moi, se pencha sur moi et sans dire un mot commençait à me sucer longuement la bitte, c'était la première fois qu'il me le faisait. IL s'y prenait bien, il avait du y penser longuement auparavant, il faut dire que je lui avait souvent montré l'exemple. Il devenait de plus en plus entreprenant, il me masturbait, me suçait, m'embrassait, ses caresses devenaient de plus en plus intenses et son étreinte de plus en plus forte. Brusquement il se redressait me retournait et me pénétrait avec force, il m'enfilait ses 22 cm jusqu'à la garde terminait par un violent coup de rein, je le laissait faire ... C'est en gémissant que je laissais échapper '' Oui c'est bon !''
F : Tu aime ça dis, ça te fais pas mal ?...
M : Non , c'est bon, vas y continue, oh oui.
Il continuait à me bourrer le cul sans aucune retenue, et les cris que je poussais n'étaient pas des cris de douleur... Tous en me défonçant le cul, il passait ses mains devant moi, me retenant avec une et me masturbant avec l'autre, ça aussi c'était une première. Avec la cage de chasteté c'était de toutes façons impossible, mais ce soir là il en profitait et m'en faisait profiter. A plusieurs reprise j'ai failli jouir mais il s'arrêtait toujours à temps et faisait monter encore plus le plaisir. Il me retournait brusquement sur le dos, les chevilles sur ses épaules, dans cette position, ça rentre bien à fond.
Je finissais par éjaculer dans un râle de plaisir et de jouissance aussi intense que la première fois, c'était vraiment bon, il ne ralentissait pas ses mouvements et continuais à me masturber et à me limer le cul. Je commençais à me tortiller tentant de me dégager, tentant surtout d'arrêter sa main, la sensation sur ma queue n'était plus agréable mais presque douloureuse après deux éjaculation. Mais Franck est plus fort que moi, il me retenait les deux poignets par une main, me masturbait de l'autre main, et me limait gaillardement le cul avec sa grosse bitte. la sensation devenait intense, je commençais à jouir par la prostate et à ce moment précis, si je me tordais dans tous les sens,ce n'était plus pour me dégager, c'était seulement que je ne contrôlais plus rien. J'avais l'impression d'éjaculer en permanence mais rien ne venais et j'avais aussi l'impression que ma prostate allait exploser. J'étais dans cet état quand je l'entendis hurler "Oh oui , Oh oui , Oh c'est bon'' et dans un même temps il me donnait quelques coup de reins plus lent mais très violents qui me firent mal, je me cramponnais au canapé, il cessait de me masturber et la queue toujours bien enfoncée au fond de mon anus, il me regardais dans les yeux, et se laissait tomber sur moi de tout son poids, je le prenais dans les bras, je tremblais de plaisir, il me prenait lui aussi dans ses bras, m'embrassait et nous restions ainsi sans bouger pendant un long moment.
Nous retrouvions tout doucement nos esprits et notre souffle, puis Franck se relevait, vif et décidé, et s'exclamait, : "" Encore une p'tite bière ?! ''. Il en attrapait une , l'ouvrait et me la tendait, il s'en servait une également, puis se laissant retomber lourdement a cote de moi ...
F : Alors, si on parlait de la petite surprise ...
M : Tiens je l'avais complètement oubliée celle la !
F : Tu te moques!
M : Franchement' après cette soirée je ne m'attendais plus à rien.
Il se relevait avec un sourire et se penchant vers moi me donnait un baiser. Il est alors allé dans sa chambre d'où il est revenu quelques instants plus tard, il avait dans les mains une petite boite enveloppée dans un joli papier cadeau avec un joli ruban rouge.
F : J'ai la petite surprise enveloppée dans un joli papier cadeau avec un joli ruban rouge ... (Puis après un instant de silence) ... C'est moi qui l'ai fait.
J'éclatais de rire... Et en insistant lourdement sur le mot 'joli' je continuais...
M : C'est toi qui l'a fait...! Mais c'est vrai, ça c'est une jolie petite boite avec un joli papier cadeau et un très joli ruban rouge. Mais il ne fallait pas, c'est trop. C'est trop, je suis comblé.
F : Arrêtes tes conneries, et ouvre ton cadeau!
M : Non j'ai pas envie, je veux pas abîmer une aussi jolie boite... Je vais la garder comme ça, je l'ouvrirai peut être pour Noël ou une grande occasion comme...
Tout en rigolant, il me coupait la parole en gueulant ...
F : Mais vas tu ouvrir ton cadeau, espèce de grosse bourrique !
M : Alors là tu me vexe, bourrique je veux bien, mais 'grosse' là tu me vexe, avec tous les efforts que je fais pour garder la ligne...
Il me regardais l'ai agacé avec un sourire de travers...
F : Bon si tu veux pas de mon cadeau...(il fit un geste pour me reprendre la jolie petite boite)
Saisissant fermement la boite dans les mains...
M : OK, OK je vais l'ouvrir!
Tout en ouvrant le cadeaux, je décrivais le moindre de mes gestes...
M : Alors, je défais le joli petit nœud du joli petit ruban rouge ...
F : Tu fais bien de parler de nœud, avec ta tète de ... d'abruti. (M'interrompit Franck d'un ton agacé !)
M : Arrêtes de l'interrompre, j'aurais déjà ouvert la boite sans ça. Bon maintenant je retire le joli ruban rouge.
Franck levait les yeux au ciel ...
M : Maintenant je retire le joli papier cadeau ... Mais ... Il y a du ruban adhesif, cela va compliquer le travail...
Grand soupir non dissimulé de la part de Franck...
M : Bon j'arrache tout ! Je suis maintenant devant une petite boite en carton blanc, c'est une jolie boite blanche, en carton, il ne fallait pas, c'est trop, c'est trop.
F : C'est pas croyable, soupira Franck ...
M : Bon maintenant j'ouvre la boite et je regarde dedans...
Mon regard restait figé, rivé au fond la petite boite... Un dispositif de chasteté similaire a celui que je portais mas en métal, brillant et argenté. Franck se redressait brusquement sur le canapé visiblement content de lui.
F : C'est un dispositif de chasteté copié sur le tien. Celui ci est en métal, acier inoxydable massif qualité chirurgicale, garanti inoxydable, inaltérable. Il a l'air plus petit que le tien, c'est parce qu'il y a moins de matière, par endroit ton dispositif est épais de près de un cm, au même endroit celui-ci ne fait pas plus de 1 mm mais les dimensions internes sont les même. Il n'y a pas de cadenas car la cerrure est incorporée dans la cage, à l'endroit ou elle se fixe à l'anneau support.... Et ... C'EST MOI QUI L'AI FAIT. Na!
Je restais sans voix...
M : Whaou...
C'est tout ce que j'arrivais a dire ! Franck jubilais, il se marrait le con ...
F : Aller essayes la...
Sans aucune hésitation je passais l'anneau, le contact était différent de ce que je connaissais. La finition était parfaite ! Je passais ensuite à la cage... J'y introduisait ma queue, confortable, la taille était bonne, puis je l'enclenchais sur l'anneau ...''clic '' .
M :Clic?
F : Le dispositif n'est pas encore verrouillé, dans la petite serrure il faut maintenant introduire la clee. Elle est dans laboite.
Il restait dans la boite une sorte de clous profilé comme une clef avec la tète de la clef lisse et argentée comme le reste du dispositif. J'introduisais ce dernier dispositif dans la serrure, Franck m'encourageait de gestes de la tète, je poussais la clef à fond 'clic' ...
F : Vas te regarder dans la glace.
L'objet était était élégant, moins encombrant mais pas moins confortable.
M : Et la clef, pour ouvrir, ça marche comment ?
Franck arrivait derrière moi, me passait un bras autour de la ceinture, m'embrassait tendrement dans le cou,
F : Pour ce qui est d'ouvrir ... On peut pas ouvrir ... Le seul moyen c'est de découper le bazar, mais, tu peux me croire c'est de l'acier de qualité, ça sera pas facile! ...
Je le regardais, sans voix, il me souriait puis il m'embrassait tendrememt ...
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