franckdocile au Château
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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franckdocile au Château
franckdocile au Château - (suite de l'épisode N°613) -
Même si une certaine appréhension me traversait par le fait de me trouver devant ces deux rustres chasseurs aux regards vicieux, je dois bien avouer que j'adore me sentir comme cela à être le chien soumis d'hommes inconnus qui vont m’enculer et me prendre la bouche autant qu'ils le souhaitent. Je savais que j’aime obéir mais je me rends compte à ce moment que j'adore aussi me faire baiser. Je n'attends même pas d'ordre supplémentaire pour me mettre à quatre pattes et m'avancer langoureusement vers celui qui semble diriger les opérations. Il défait sa ceinture, tout en regardant son camarade d'un air complice et satisfait, puis il ouvre sa braguette et me tend sa bite déjà raide que je m'empresse d'engloutir avec gourmandise telle la pute qui vit en moi. Le Maître sait ce qu'il fait, avec toutes ces bites qu'il me fait sucer, je prends de l'expérience et je deviens un meilleur suceur, je pense. J'imagine déjà l’instant auquel j'aurai l'honneur de prendre en bouche la noble verge du Maître, je serai en mesure désormais de le satisfaire avec une fellation de qualité...
Le deuxième chasseur ne se fait pas prier pour me présenter lui aussi sa grosse queue contre mon visage. Je le branle dans un premier temps puis le prends lui aussi en bouche. Une bite dans chaque main, ma bouche va de l'une à l'autre. Que c'est bon de sentir le gland d’une des queues venir taper au fond de ma gorge puis reculer un peu pour revenir et ainsi de suite. J’alterne les gorges profondes entre ces deux bites tout en branlant l’autre et je me débrouille comme une vraie professionnelle. Que de changements depuis l'arrivée au Château ! Le fait de penser au Château me rappelle au souvenir qu'il me faudra être rentré à minuit et que je ne dois pas trop traîner avec ces deux pervers chasseurs. Je prends moi-même l'initiative de me reculer et de tendre mon cul vers ces deux rustres personnages qui se vantent entre eux qu'ils n'ont pas encore souvent vu un esclave ayant tellement envie de leur queue dans son cul de lope.
- Il a vraiment faim celui-là, regarde il nous tend déjà son cul de chien en chaleur ...
- Oui, on va lui péter la rondelle, à cette lopette, son cul va nous servir de garage à bites…- Et sa bouche aussi ! surenchérit son compère…
Tout en tenant ces vicieux propos, ils ne se font pas prier, et tandis que le premier présente déjà sa verge à l'entrée de mon anus en frottant son gland violacé contre ma raie, je reprends en bouche le second. Le premier crache sur sa main et commence à me lubrifier l'anus avec sa salive. Il n'attend pas bien longtemps et commence à pousser sur ma rondelle qui s'ouvre de plus en plus facilement au fur et à mesure des sodomies successives. Tandis que je suce le second chasseur, l’autre s'enfonce autant qu'il le peut et je le sens me posséder bien profondément dans mes entrailles. Puis il débute un va et vient d’abord doucement puis plus cadencé quand, au bout d’un long moment, ils alternent. En effet, le chasseur se retire complètement et son camarade fait de même pour changer chacun de trou, ainsi l'enfoncement de leur bite au plus profond de moi est complet dans mes deux orifices anal et buccal en même temps. Au bout d’un moment, le premier chasseur a maintenant décidé de garder sa place et recommence à me limer sans ménagement comme il se doit par de puissants coups de reins faisant claquer ses couilles contre mon fessier. Oui, l’homme va et vient en moi avec sa cadence virile et effrénée tout en me tenant fermement et me fessant les cuisses et les fesses. Il accélère encore et encore son rythme quand le chasseur ne tarde pas à éjaculer sur mon dos juste à temps par son rapide retrait de mon anus. Je recule ma bouche retirant ainsi le sexe du deuxième chasseur et j’ose lui demander gentiment :
- S'il vous plaît, est ce que vous pourrez me jouir dans la bouche, quand vous sentirez que ça vient ?
Il éclate de rire et c’est avec une ironie humiliante, qu’il me répond :
- Ecoute moi-ça ! Comme t'es gentil le chienchien ! Je veux bien te jouir dans ta gueule de petite pute…
Quelle humiliation, de devoir demander à ce rustre de bien vouloir me jouir dans la bouche… Il se trouve que ce chasseur est plus endurant que le premier et que cela fait un bout de temps qu'il me ramone le fond de ma gorge avec ardeur et qu'il semble toujours en pleine forme. Je suis toujours à genoux devant lui, mon cul est maintenant bien ouvert et il va se positionner derrière moi et s'introduit en moi dans mon anus de manière toujours aussi vivace durant un bon moment et quand l’envie d’éjaculer le prend, il se retire de mon cul passe rapidement devant moi, sa queue à hauteur de ma bouche et il me dit, sans concession :
- Allez viens, t'es une bonne chienne en chaleur, viens sucer ta récompense.
- Merci Monsieur
Je prends cette grosse queue, qui vient de me défoncer le cul, en bouche et la suce ardemment. Il se lâche soudain en un grand râle et vide dans ma bouche de longs flots de sperme que je m'applique à garder. Ils m'observent tous les deux avec approbation.
- T'es vraiment un bon chien toi ! Allez, rentre chez le Maître, Monsieur le Marquis… Le Château, c'est par là, à un quart d'heure à pied en suivant ce sentier tout droit, tu ne risques pas de te perdre si tu restes dans le chemin.
- Merci beaucoup Monsieur
Les deux chasseurs se regardent avec malice et complicité. Ils ramassent mes habits, les jette dans leur 4x4 et démarrent en trombe sans aucun autre mot. Me voilà nu au milieu de la forêt couvert de foutre ainsi que ma bouche pleine de sperme. La situation devrait me mettre au plus mal mais je me sens au contraire très fier d'être en mesure de satisfaire le Maître en réussissant ma mission. Je ne suis plus très loin du Château, j'ai le sperme en bouche et je connais le chemin. Mes habits n'avaient que peu d'importance vu qu'ici de toute façon tout le monde me voit nu à longueur de temps et tout le monde peut abuser de moi autant qu'il le souhaite... Je suis rassuré d’être sur les Terres de Monsieur le Marquis d’Evans. C’est donc avec confiance que je m'engage sur le chemin indiqué en pensant n'être plus qu'à quelques centaines de mètres du Château et que j’aurai donc réussi ma mission.
J'entends soudain un 4x4 arriver dans mon dos. Je me demande ce que peuvent bien vouloir encore ces chasseurs. Je me mets sur le côté pour me cacher dans le petit talus en m'abritant quelque peu derrière un arbuste et j'observe le 4x4 arriver. Mais ce n'est pas celui des chasseurs ! C'est une femme au volant. Elle passe doucement, et je la reconnais, c'est Marie, la perverse cuisinière, je pense qu'elle ne m'a pas vu. Malheureusement quelques mètres plus loin les lumières rouges des freins s'allument, puis les lumières blanches de la marche arrière. Elle recule jusqu'à ma hauteur. Elle ouvre la fenêtre :
- Qui se cache ici ?
Je sors de mon arbuste et me présente nu devant elle.
- Toi ? Mais qu'est-ce que tu fous ici à poil ?
Je ne peux pas répondre, ayant la bouche pleine, et lui indique avec l'index la direction du Château en espérant qu'elle comprenne que c'est là-bas que je me rends. Madame Marie n’a pas l’air contente. Elle sort de son véhicule une grosse corde en forme de lasso et m’enserre la taille avec tout en serrant le nœud coulant. Puis, elle attache, au timon de son véhicule, l’autre extrémité de la corde. Madame Marie s’approche de nouveau de moi et m’empoigne mes couilles et les enserre fortement, ce qui me fait crier, puis elle tire sur ma nouille et avec un ton sévère, elle me regarde droit dans les yeux, pour me dire sèchement :
- Tu vas me suivre ainsi le chien, attaché et en petites foulées, obligé de suite la vitesse lente du 4x4.
Je suis donc obligé de trotter étant tiré par la corde qui me blesse un peu la peau du bas du dos. Marie la cuisinière emprunte un petit sentier qui part sur la droite puis arrête le moteur. Elle prend un sac de sport sur la banquette arrière et m’exige de la suivre.
- Les chiens doivent répondre quand on leur parle, les chiens n'ont pas à se promener comme ça, nu dans la forêt. Tu vas être puni. Tu ne voulais pas parler, et ben que je ne t'entende pas maintenant, sinon gare à toi. Passe tes bras autour de ce grand chêne, me dit-elle tout en détachant la corde au timon et m’approchant du gros arbre.
La perverse cuisinière m'attache à ce grand chêne en reliant mes deux poignets avec la corde lasso. Très efficace me voilà face à l'arbre, cul vers elle à sa merci. Je ne pense qu'à une chose, ne pas cracher le sperme. Je la sens s'affairer dans son sac pendant quelques minutes.
- Tu vas prendre dix coups de fouets et ensuite je vais t'enculer avec mon gode-ceinture, ça t'apprendra à ne pas me répondre et à te promener nu en forêt.
Le premier coup de fouet est une horreur. C'est une douleur immense qui me fend le bas du dos, les fesses et je me dis que je ne voudrais jamais plus subir cela et pourtant il va falloir en encaisser neuf autres. Le problème est que la douleur des autres coups est toute aussi immense et que je ne peux laisser éclater ma douleur par peur de cracher le sperme de ma bouche. Je retiens mes cris mais pas mes larmes qui coulent sur mes joues. Mes reniflements entravant ma respiration ce qui me force à cesser de pleurer au risque de devoir respirer par la bouche. Ma douleur a attisé le plaisir sadique de Marie qui prend un plaisir incroyable à me voir souffrir ainsi. Le comble est que cette douleur, la situation à laquelle je me trouve, m’excite au plus point ! En effet, je me surprends de bander et fortement en plus ! Oui, une forte érection gonfle mon sexe au fur et à mesure que les coups de fouet s’abattent sur moi. Ma nouille dressée trouve difficilement sa place entre mon bas-ventre et l’écorce de l’arbre qui titille mon gland par sa rugosité.
Madame Marie s’arrête au dixième coup et caresse avec perversité mes fesses rougies. Après quelques secondes d’attente dans un silence complet, elle enfile sans tarder un gode-ceinture et se présente derrière moi en observant ma souffrance en me tirant les cheveux en arrière afin de me faire relever la tête. Elle me tient ainsi la tête pour m'observer et présente l'épais et long gode à l'entrée de mon cul encore béant des sodomies des deux chasseurs. La perverse cuisinière ne tarde pas à me l'enfoncer bien profondément et sans prévenir d’un seul coup, ce qui me fait d’abord crier de douleurs. Elle reste attentive à chaque lente pénétration, à chaque va et vient profond mais lent, du mélange de souffrance et du plaisir qui se lit sur mon visage. Elle m'encule comme ça en prenant le plus grand plaisir à appuyer chacune de ses pénétrations pendant de longues minutes mais avec une perverse lenteur afin de bien me faire sentir qu’elle prend totalement possession de mon fondement. Peu à peu la douleur laisse place à l'excitation de se sentir ainsi possédé, humilié, enculé. La perverse cuisinière desserre un peu la corde afin de se saisir soudain de ma queue raide et commence à me masturber ce qui contribue à augmenter encore plus le plaisir ressenti. Madame Marie alterne et mélange ainsi sodomie et masturbation énergique durant de longs coïts profonds où elle reste ainsi bien plantée dans mes entrailles. Mon cerveau perd le contrôle des sensations et je ne me concentre que sur une seule chose : ne pas cracher le sperme de ma bouche. Au bout d’un moment, je ne tiens plus de sa branlette effrénée et c’est dans une jouissance extrême, que je lâche le sperme sur le tronc de l'arbre. Marie profite de cette éjaculation pour me donner d’ultimes coups de boutoirs profonds en de vigoureux coups de reins et ainsi elle m’encule jusqu’à la garde. J'en mets un peu, du foutre, sur la main de Marie, qu'elle essuie négligemment sur mon cul tout en m’insultant vigoureusement. Puis, Madame Marie se retire calmement, range ses affaires, les met dans le 4x4 et dans un élan de bonté me détache de l'arbre. Elle me dit de me dépêcher de rentrer au Château, et d’arriver comme le chien que je suis c’est-à-dire qu’une fois arrivé aux abords de la noble demeure, je devrais traverser le parc à quatre pattes jusqu’aux grandes portes en haut du perron …
(A suivre …)
Même si une certaine appréhension me traversait par le fait de me trouver devant ces deux rustres chasseurs aux regards vicieux, je dois bien avouer que j'adore me sentir comme cela à être le chien soumis d'hommes inconnus qui vont m’enculer et me prendre la bouche autant qu'ils le souhaitent. Je savais que j’aime obéir mais je me rends compte à ce moment que j'adore aussi me faire baiser. Je n'attends même pas d'ordre supplémentaire pour me mettre à quatre pattes et m'avancer langoureusement vers celui qui semble diriger les opérations. Il défait sa ceinture, tout en regardant son camarade d'un air complice et satisfait, puis il ouvre sa braguette et me tend sa bite déjà raide que je m'empresse d'engloutir avec gourmandise telle la pute qui vit en moi. Le Maître sait ce qu'il fait, avec toutes ces bites qu'il me fait sucer, je prends de l'expérience et je deviens un meilleur suceur, je pense. J'imagine déjà l’instant auquel j'aurai l'honneur de prendre en bouche la noble verge du Maître, je serai en mesure désormais de le satisfaire avec une fellation de qualité...
Le deuxième chasseur ne se fait pas prier pour me présenter lui aussi sa grosse queue contre mon visage. Je le branle dans un premier temps puis le prends lui aussi en bouche. Une bite dans chaque main, ma bouche va de l'une à l'autre. Que c'est bon de sentir le gland d’une des queues venir taper au fond de ma gorge puis reculer un peu pour revenir et ainsi de suite. J’alterne les gorges profondes entre ces deux bites tout en branlant l’autre et je me débrouille comme une vraie professionnelle. Que de changements depuis l'arrivée au Château ! Le fait de penser au Château me rappelle au souvenir qu'il me faudra être rentré à minuit et que je ne dois pas trop traîner avec ces deux pervers chasseurs. Je prends moi-même l'initiative de me reculer et de tendre mon cul vers ces deux rustres personnages qui se vantent entre eux qu'ils n'ont pas encore souvent vu un esclave ayant tellement envie de leur queue dans son cul de lope.
- Il a vraiment faim celui-là, regarde il nous tend déjà son cul de chien en chaleur ...
- Oui, on va lui péter la rondelle, à cette lopette, son cul va nous servir de garage à bites…- Et sa bouche aussi ! surenchérit son compère…
Tout en tenant ces vicieux propos, ils ne se font pas prier, et tandis que le premier présente déjà sa verge à l'entrée de mon anus en frottant son gland violacé contre ma raie, je reprends en bouche le second. Le premier crache sur sa main et commence à me lubrifier l'anus avec sa salive. Il n'attend pas bien longtemps et commence à pousser sur ma rondelle qui s'ouvre de plus en plus facilement au fur et à mesure des sodomies successives. Tandis que je suce le second chasseur, l’autre s'enfonce autant qu'il le peut et je le sens me posséder bien profondément dans mes entrailles. Puis il débute un va et vient d’abord doucement puis plus cadencé quand, au bout d’un long moment, ils alternent. En effet, le chasseur se retire complètement et son camarade fait de même pour changer chacun de trou, ainsi l'enfoncement de leur bite au plus profond de moi est complet dans mes deux orifices anal et buccal en même temps. Au bout d’un moment, le premier chasseur a maintenant décidé de garder sa place et recommence à me limer sans ménagement comme il se doit par de puissants coups de reins faisant claquer ses couilles contre mon fessier. Oui, l’homme va et vient en moi avec sa cadence virile et effrénée tout en me tenant fermement et me fessant les cuisses et les fesses. Il accélère encore et encore son rythme quand le chasseur ne tarde pas à éjaculer sur mon dos juste à temps par son rapide retrait de mon anus. Je recule ma bouche retirant ainsi le sexe du deuxième chasseur et j’ose lui demander gentiment :
- S'il vous plaît, est ce que vous pourrez me jouir dans la bouche, quand vous sentirez que ça vient ?
Il éclate de rire et c’est avec une ironie humiliante, qu’il me répond :
- Ecoute moi-ça ! Comme t'es gentil le chienchien ! Je veux bien te jouir dans ta gueule de petite pute…
Quelle humiliation, de devoir demander à ce rustre de bien vouloir me jouir dans la bouche… Il se trouve que ce chasseur est plus endurant que le premier et que cela fait un bout de temps qu'il me ramone le fond de ma gorge avec ardeur et qu'il semble toujours en pleine forme. Je suis toujours à genoux devant lui, mon cul est maintenant bien ouvert et il va se positionner derrière moi et s'introduit en moi dans mon anus de manière toujours aussi vivace durant un bon moment et quand l’envie d’éjaculer le prend, il se retire de mon cul passe rapidement devant moi, sa queue à hauteur de ma bouche et il me dit, sans concession :
- Allez viens, t'es une bonne chienne en chaleur, viens sucer ta récompense.
- Merci Monsieur
Je prends cette grosse queue, qui vient de me défoncer le cul, en bouche et la suce ardemment. Il se lâche soudain en un grand râle et vide dans ma bouche de longs flots de sperme que je m'applique à garder. Ils m'observent tous les deux avec approbation.
- T'es vraiment un bon chien toi ! Allez, rentre chez le Maître, Monsieur le Marquis… Le Château, c'est par là, à un quart d'heure à pied en suivant ce sentier tout droit, tu ne risques pas de te perdre si tu restes dans le chemin.
- Merci beaucoup Monsieur
Les deux chasseurs se regardent avec malice et complicité. Ils ramassent mes habits, les jette dans leur 4x4 et démarrent en trombe sans aucun autre mot. Me voilà nu au milieu de la forêt couvert de foutre ainsi que ma bouche pleine de sperme. La situation devrait me mettre au plus mal mais je me sens au contraire très fier d'être en mesure de satisfaire le Maître en réussissant ma mission. Je ne suis plus très loin du Château, j'ai le sperme en bouche et je connais le chemin. Mes habits n'avaient que peu d'importance vu qu'ici de toute façon tout le monde me voit nu à longueur de temps et tout le monde peut abuser de moi autant qu'il le souhaite... Je suis rassuré d’être sur les Terres de Monsieur le Marquis d’Evans. C’est donc avec confiance que je m'engage sur le chemin indiqué en pensant n'être plus qu'à quelques centaines de mètres du Château et que j’aurai donc réussi ma mission.
J'entends soudain un 4x4 arriver dans mon dos. Je me demande ce que peuvent bien vouloir encore ces chasseurs. Je me mets sur le côté pour me cacher dans le petit talus en m'abritant quelque peu derrière un arbuste et j'observe le 4x4 arriver. Mais ce n'est pas celui des chasseurs ! C'est une femme au volant. Elle passe doucement, et je la reconnais, c'est Marie, la perverse cuisinière, je pense qu'elle ne m'a pas vu. Malheureusement quelques mètres plus loin les lumières rouges des freins s'allument, puis les lumières blanches de la marche arrière. Elle recule jusqu'à ma hauteur. Elle ouvre la fenêtre :
- Qui se cache ici ?
Je sors de mon arbuste et me présente nu devant elle.
- Toi ? Mais qu'est-ce que tu fous ici à poil ?
Je ne peux pas répondre, ayant la bouche pleine, et lui indique avec l'index la direction du Château en espérant qu'elle comprenne que c'est là-bas que je me rends. Madame Marie n’a pas l’air contente. Elle sort de son véhicule une grosse corde en forme de lasso et m’enserre la taille avec tout en serrant le nœud coulant. Puis, elle attache, au timon de son véhicule, l’autre extrémité de la corde. Madame Marie s’approche de nouveau de moi et m’empoigne mes couilles et les enserre fortement, ce qui me fait crier, puis elle tire sur ma nouille et avec un ton sévère, elle me regarde droit dans les yeux, pour me dire sèchement :
- Tu vas me suivre ainsi le chien, attaché et en petites foulées, obligé de suite la vitesse lente du 4x4.
Je suis donc obligé de trotter étant tiré par la corde qui me blesse un peu la peau du bas du dos. Marie la cuisinière emprunte un petit sentier qui part sur la droite puis arrête le moteur. Elle prend un sac de sport sur la banquette arrière et m’exige de la suivre.
- Les chiens doivent répondre quand on leur parle, les chiens n'ont pas à se promener comme ça, nu dans la forêt. Tu vas être puni. Tu ne voulais pas parler, et ben que je ne t'entende pas maintenant, sinon gare à toi. Passe tes bras autour de ce grand chêne, me dit-elle tout en détachant la corde au timon et m’approchant du gros arbre.
La perverse cuisinière m'attache à ce grand chêne en reliant mes deux poignets avec la corde lasso. Très efficace me voilà face à l'arbre, cul vers elle à sa merci. Je ne pense qu'à une chose, ne pas cracher le sperme. Je la sens s'affairer dans son sac pendant quelques minutes.
- Tu vas prendre dix coups de fouets et ensuite je vais t'enculer avec mon gode-ceinture, ça t'apprendra à ne pas me répondre et à te promener nu en forêt.
Le premier coup de fouet est une horreur. C'est une douleur immense qui me fend le bas du dos, les fesses et je me dis que je ne voudrais jamais plus subir cela et pourtant il va falloir en encaisser neuf autres. Le problème est que la douleur des autres coups est toute aussi immense et que je ne peux laisser éclater ma douleur par peur de cracher le sperme de ma bouche. Je retiens mes cris mais pas mes larmes qui coulent sur mes joues. Mes reniflements entravant ma respiration ce qui me force à cesser de pleurer au risque de devoir respirer par la bouche. Ma douleur a attisé le plaisir sadique de Marie qui prend un plaisir incroyable à me voir souffrir ainsi. Le comble est que cette douleur, la situation à laquelle je me trouve, m’excite au plus point ! En effet, je me surprends de bander et fortement en plus ! Oui, une forte érection gonfle mon sexe au fur et à mesure que les coups de fouet s’abattent sur moi. Ma nouille dressée trouve difficilement sa place entre mon bas-ventre et l’écorce de l’arbre qui titille mon gland par sa rugosité.
Madame Marie s’arrête au dixième coup et caresse avec perversité mes fesses rougies. Après quelques secondes d’attente dans un silence complet, elle enfile sans tarder un gode-ceinture et se présente derrière moi en observant ma souffrance en me tirant les cheveux en arrière afin de me faire relever la tête. Elle me tient ainsi la tête pour m'observer et présente l'épais et long gode à l'entrée de mon cul encore béant des sodomies des deux chasseurs. La perverse cuisinière ne tarde pas à me l'enfoncer bien profondément et sans prévenir d’un seul coup, ce qui me fait d’abord crier de douleurs. Elle reste attentive à chaque lente pénétration, à chaque va et vient profond mais lent, du mélange de souffrance et du plaisir qui se lit sur mon visage. Elle m'encule comme ça en prenant le plus grand plaisir à appuyer chacune de ses pénétrations pendant de longues minutes mais avec une perverse lenteur afin de bien me faire sentir qu’elle prend totalement possession de mon fondement. Peu à peu la douleur laisse place à l'excitation de se sentir ainsi possédé, humilié, enculé. La perverse cuisinière desserre un peu la corde afin de se saisir soudain de ma queue raide et commence à me masturber ce qui contribue à augmenter encore plus le plaisir ressenti. Madame Marie alterne et mélange ainsi sodomie et masturbation énergique durant de longs coïts profonds où elle reste ainsi bien plantée dans mes entrailles. Mon cerveau perd le contrôle des sensations et je ne me concentre que sur une seule chose : ne pas cracher le sperme de ma bouche. Au bout d’un moment, je ne tiens plus de sa branlette effrénée et c’est dans une jouissance extrême, que je lâche le sperme sur le tronc de l'arbre. Marie profite de cette éjaculation pour me donner d’ultimes coups de boutoirs profonds en de vigoureux coups de reins et ainsi elle m’encule jusqu’à la garde. J'en mets un peu, du foutre, sur la main de Marie, qu'elle essuie négligemment sur mon cul tout en m’insultant vigoureusement. Puis, Madame Marie se retire calmement, range ses affaires, les met dans le 4x4 et dans un élan de bonté me détache de l'arbre. Elle me dit de me dépêcher de rentrer au Château, et d’arriver comme le chien que je suis c’est-à-dire qu’une fois arrivé aux abords de la noble demeure, je devrais traverser le parc à quatre pattes jusqu’aux grandes portes en haut du perron …
(A suivre …)
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