Francois 1
Récit érotique écrit par LeprinceEric [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-09-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Francois 1
Le piège de Marvin
Partie 1:
Trou de mémoire
" Tu vas voir François, tu vas adorer ça. Cesse de faire ton intéressant. Un jour tu verras, tu en redemanderas. Il faut seulement te laisser aller et tu découvriras qui tu es réellement. Et quand ce jour arrivera, n'oublie pas de passer me voir". Les lèvres de Marvin me sourirent avant de rejoindre son verre de vin et ses yeux verts furent la dernière chose que je me rappelais avoir vu ce jour là.
Où suis-je ? Ce furent les premiers mots que je prononçais quand je revins à moi. Une violente migraine me pris et comme par réflexe je tirais ma main pour la poser sur ma tête. Mais voilà ! Ma main est attachée à quelque chose. J'ouvris les yeux et je me vis menotté dans un lit. La panique s'empara de moi mais je ne trouvais pas la force pour crier. Où étais-je et pourquoi suis-je attaché nu dans un lit ? Aucun élément de réponse ne se présenta à moi.
J'examinais la chambre dans laquelle j'étais. Elle était large et les murs roses égayaient la salle. Tout était parfaitement arrangé à part mes habits par terre. J'entendis un bruit qui semblait venir d'une salle de bain et dans une poignée de seconde la porte de la chambre s'ouvrit. Un homme, serviette à la taille, resté à l'embrasure de la porte me regardait en souriant. C'était un blondinet de taille normal pas vraiment beau garçon. Alors qu'il me regardait il se baladait la main sur le torse peu musclé qu'il avait. J'ai eu un peu de gêne me rappelant qu'en ce moment j'étais nu, le corps bien exposé à la vue de cet inconnu.
" Enfin réveillé François!"
Il connaissait mon nom.
" Où suis-je ? Demandais-je
– Dans mon appart petit chéri.
Le ton efféminé du gars ne me rassura pas du tout. Petit à petit je prenais conscience de l'état dans lequel j'étais.
– Pourquoi suis-je menotté?
– Ça c'était ton idée, et elle a été super. J'ai adoré ce moment que nous avons passé ensemble.
Tout en parlant il se rapprochait et du lit et de moi qui y étais attaché. J'essayais de me défaire mais je n'y arrivais pas. Le blondinet était déjà proche.
– Tout doux mon poussin. Ce matin il me prend une folle envie de faire un tour sur ta belle bagnole.
– J'ai couché avec vous?
Je n'arrivais pas à croire ce que cet homme me disait. Cela n'était pas possible, me connaissant parfaitement hétéro je m'imaginais mal prendre du plaisir avec cet homme.
– Et oui mon trésor.
– Non, non, ce n'est pas possible … je … je …
– Oh ! Je comprends, c'est un de tes jeux. Tu fait semblant d'être amnésique et moi je serai sensé te rafraîchir la mémoire par mes caresses et mes baisers. J'adore ton sens de créativité.
– Non, non. C'est une erreur.
– Tais toi. Laisse moi faire.
Il sorti de nul part un ruban d'adhésif qu'il appliqua sur ma bouche. Il monta sur le lit et laissa tomber sa serviette.
– Te souviens tu de ça ?
Il me montra un étrange monstre que même hétéro je ne pouvais m'empêcher d'admirer. Un superbe pénis de 23 cm tout rose dont le gland violacé bavait. J'avalais ma salive. Il se coucha sur moi et commença à me caresser le corps, lécher mon torse, me presser les fesses. J'essayais de toutes mes forces à l'en empêcher, mais quand il prit le lobe de mes oreilles avec sa langue, je me sentis complètement relâché. C'est à ce moment que je me rendis compte que je bandais. Sa main empoigna soudainement ma bite et commença à me branler tandis qu'il me suçait l'oreille. Je sentis l'excitation monter en moi. Finalement ce que ce type faisait ne me déplaisait pas et je me laissais aller. Sa bouche si chaleureuse abandonna mon oreille pour mon gland. Il posa doucement sa bouche sur la tête de mon pieu pour la glisser jusqu'a mes couilles. Je sentis mon bas ventre s'embraser sous l'effet de cette douce fellation. De toutes mes relations sexuelles c'était la première fois qu'une fellation me paraissait si agréable. Malgré le ruban d'adhésif sur les lèvres, je ne pouvais m'empêcher de crier tellement le plaisir était si proche. Il aspirait si bien ma pine que lorsqu'il remontait sa bouche j'ai cru qu'il allait l'avaler. Vraiment, il avait su me soumettre à lui. J'étais devenu sien.
Il abandonna ma queue et vint enlever le ruban adhésif de mes lèvres.
" Tu aimes ça?
Pour toute réponse d'une voix à peine audible je lui lançais :
– Continue.
Il me sourit puis vint poser ses lèvres sur les miennes. J'ai accepté son baisé. Déjà que je lui redemande de me sucer je ne pouvais pas lui refuser ça. Sa langue fouillait ma bouche à la recherche de la mienne et quand elles se rencontrèrent, elles se malaxèrent suavement. Je n'avais pas de mérite. Mon homme était doué en baisé aussi bien qu'en fellation.
Il retourna à sa besogne et recommença à m'astiquer la pine bien raide. Cette fois ci il allait plus vite et sa langue titillait de temps en temps le frein de mon gland. Je ne pouvais plus me retenir, j'étais au bord de l'extase. Je m'étonnais moi même entrain de pousser des cris à remplir toute la pièce. Je sentais la jouissance monter en moi. En un rien peu de temps j'allais jouir, je le lui ai dit, mais il n'en fit qu'à sa tête. J'éjaculais en jets dans sa bouche. Il me purgea la pine jusqu'a sa dernière goutte. Le va et vient de sa pomme d'Adam me fit comprendre qu'il avait avalé mon foutre et sans comprendre comment, cela m'excitait.
Il remonta sa bouche vers la mienne pour partager par un baiser le reste de sperme qu'il lui restait. J'étais vraiment devenu homo. D'abord je laisse un gars me sucer, ensuite je le laisse m'embrasser et enfin il me partage mon foutre.
– Ce n'est pas fini joli cœur.
Cette dernière phrase qu'il dit ne me rassura pas. Il se leva du lit et se dirigea vers une petite table où il prit un condom. J'eus un cri d'horreur.
– Relaxe chou, on a déjà fait ça hier soir. Cela ne te fera pas aussi mal.
En vérité quand il enfonça un doigts dans mon trou une douleur me révéla que son pieu était déjà passé par là. Il me doigta avec trois doigts pour me dilater, mais ne me rappelant pas de ce que nous avions fait hier soir, j'eu du mal pour me laisser faire. Il enfila le préservatif sur sa queue et la présenta à l'entrée de mon trou. Il me regarda dans les yeux et me dit de me détendre. Je serrais mon anus mais en pensant à ce que nous avions déjà fait, ce n'était pas la peine de tenir prise.
Son pénis entra lentement en moi. Je sentais toute la circonférence élargir mon anus. Je ressentis à ce moment là une vive douleur. Le blondinet s'arrêta le temps que la douleur disparaisse mais recommença à sortir et entrer sa queue en moi. Il avait relevé mon cul pour mieux facilité le va et vient. A force qu'il me limait, la douleur s'estompait et le plaisir prenait place. J'ignorais comment mais je prenais mon pied. Comme une femme, je me mettais involontairement à bouger des reins.
J'avais une folle envie de me faire tout ses 23 cm. Je ne parvenais plus à me contrôler ma bouche s'ouvrit et je me mis à lancer des cochonneries avec une voix plus efféminée que mon blondinet.
– Vas y… défonce moi le cul… encule moi… plus vite… oui… c'est bon…t'arrêtes pas…mhhhh…c'est bon…vas au fond…ahhhhh…
Et à lui de répondre.
– Tu veux de ma queue…je vais t'éclater la rondelle…prend sa dans ton cul…j'adore ton cul…mhhhhh… tu aimes ça salope…je vais t'en donner de mon bâton…
Les mots qu'on se lançait avaient accru le désir en nous. Je le sentis me labourer de plus en plus vite les reins. Je me sentais en feu surtout dans mon cul. Tout c'est frottement avait généré une telle chaleur en moi que je pensais délirer. J'avais envi que cela dure toujours, pourtant il a fallut que cela se termine. Le blondinet, dont maintenant le nom me revenait, cria et je sentis un liquide baigner mon intérieure, cela me calma un peu.
Le blondinet, dont le nom était Thomas tomba sur moi. Nous corps en sueurs se collèrent. Et nos lèvres en firent de même. Sans aucun scrupule j'avais embrassé Tom, je su alors que je m'acceptait comme gay.
Quelques minutes après qu'on ait baisé Tom me détacha puis on prit la douche ensemble. L'eau froide sur ma peau m'aida à me rappeler de certaines choses.
Ce n'est que lorsque je montais sa voiture et qu'il me demanda où me déposer que tout souvenir me revint.
A suivre …
Partie 1:
Trou de mémoire
" Tu vas voir François, tu vas adorer ça. Cesse de faire ton intéressant. Un jour tu verras, tu en redemanderas. Il faut seulement te laisser aller et tu découvriras qui tu es réellement. Et quand ce jour arrivera, n'oublie pas de passer me voir". Les lèvres de Marvin me sourirent avant de rejoindre son verre de vin et ses yeux verts furent la dernière chose que je me rappelais avoir vu ce jour là.
Où suis-je ? Ce furent les premiers mots que je prononçais quand je revins à moi. Une violente migraine me pris et comme par réflexe je tirais ma main pour la poser sur ma tête. Mais voilà ! Ma main est attachée à quelque chose. J'ouvris les yeux et je me vis menotté dans un lit. La panique s'empara de moi mais je ne trouvais pas la force pour crier. Où étais-je et pourquoi suis-je attaché nu dans un lit ? Aucun élément de réponse ne se présenta à moi.
J'examinais la chambre dans laquelle j'étais. Elle était large et les murs roses égayaient la salle. Tout était parfaitement arrangé à part mes habits par terre. J'entendis un bruit qui semblait venir d'une salle de bain et dans une poignée de seconde la porte de la chambre s'ouvrit. Un homme, serviette à la taille, resté à l'embrasure de la porte me regardait en souriant. C'était un blondinet de taille normal pas vraiment beau garçon. Alors qu'il me regardait il se baladait la main sur le torse peu musclé qu'il avait. J'ai eu un peu de gêne me rappelant qu'en ce moment j'étais nu, le corps bien exposé à la vue de cet inconnu.
" Enfin réveillé François!"
Il connaissait mon nom.
" Où suis-je ? Demandais-je
– Dans mon appart petit chéri.
Le ton efféminé du gars ne me rassura pas du tout. Petit à petit je prenais conscience de l'état dans lequel j'étais.
– Pourquoi suis-je menotté?
– Ça c'était ton idée, et elle a été super. J'ai adoré ce moment que nous avons passé ensemble.
Tout en parlant il se rapprochait et du lit et de moi qui y étais attaché. J'essayais de me défaire mais je n'y arrivais pas. Le blondinet était déjà proche.
– Tout doux mon poussin. Ce matin il me prend une folle envie de faire un tour sur ta belle bagnole.
– J'ai couché avec vous?
Je n'arrivais pas à croire ce que cet homme me disait. Cela n'était pas possible, me connaissant parfaitement hétéro je m'imaginais mal prendre du plaisir avec cet homme.
– Et oui mon trésor.
– Non, non, ce n'est pas possible … je … je …
– Oh ! Je comprends, c'est un de tes jeux. Tu fait semblant d'être amnésique et moi je serai sensé te rafraîchir la mémoire par mes caresses et mes baisers. J'adore ton sens de créativité.
– Non, non. C'est une erreur.
– Tais toi. Laisse moi faire.
Il sorti de nul part un ruban d'adhésif qu'il appliqua sur ma bouche. Il monta sur le lit et laissa tomber sa serviette.
– Te souviens tu de ça ?
Il me montra un étrange monstre que même hétéro je ne pouvais m'empêcher d'admirer. Un superbe pénis de 23 cm tout rose dont le gland violacé bavait. J'avalais ma salive. Il se coucha sur moi et commença à me caresser le corps, lécher mon torse, me presser les fesses. J'essayais de toutes mes forces à l'en empêcher, mais quand il prit le lobe de mes oreilles avec sa langue, je me sentis complètement relâché. C'est à ce moment que je me rendis compte que je bandais. Sa main empoigna soudainement ma bite et commença à me branler tandis qu'il me suçait l'oreille. Je sentis l'excitation monter en moi. Finalement ce que ce type faisait ne me déplaisait pas et je me laissais aller. Sa bouche si chaleureuse abandonna mon oreille pour mon gland. Il posa doucement sa bouche sur la tête de mon pieu pour la glisser jusqu'a mes couilles. Je sentis mon bas ventre s'embraser sous l'effet de cette douce fellation. De toutes mes relations sexuelles c'était la première fois qu'une fellation me paraissait si agréable. Malgré le ruban d'adhésif sur les lèvres, je ne pouvais m'empêcher de crier tellement le plaisir était si proche. Il aspirait si bien ma pine que lorsqu'il remontait sa bouche j'ai cru qu'il allait l'avaler. Vraiment, il avait su me soumettre à lui. J'étais devenu sien.
Il abandonna ma queue et vint enlever le ruban adhésif de mes lèvres.
" Tu aimes ça?
Pour toute réponse d'une voix à peine audible je lui lançais :
– Continue.
Il me sourit puis vint poser ses lèvres sur les miennes. J'ai accepté son baisé. Déjà que je lui redemande de me sucer je ne pouvais pas lui refuser ça. Sa langue fouillait ma bouche à la recherche de la mienne et quand elles se rencontrèrent, elles se malaxèrent suavement. Je n'avais pas de mérite. Mon homme était doué en baisé aussi bien qu'en fellation.
Il retourna à sa besogne et recommença à m'astiquer la pine bien raide. Cette fois ci il allait plus vite et sa langue titillait de temps en temps le frein de mon gland. Je ne pouvais plus me retenir, j'étais au bord de l'extase. Je m'étonnais moi même entrain de pousser des cris à remplir toute la pièce. Je sentais la jouissance monter en moi. En un rien peu de temps j'allais jouir, je le lui ai dit, mais il n'en fit qu'à sa tête. J'éjaculais en jets dans sa bouche. Il me purgea la pine jusqu'a sa dernière goutte. Le va et vient de sa pomme d'Adam me fit comprendre qu'il avait avalé mon foutre et sans comprendre comment, cela m'excitait.
Il remonta sa bouche vers la mienne pour partager par un baiser le reste de sperme qu'il lui restait. J'étais vraiment devenu homo. D'abord je laisse un gars me sucer, ensuite je le laisse m'embrasser et enfin il me partage mon foutre.
– Ce n'est pas fini joli cœur.
Cette dernière phrase qu'il dit ne me rassura pas. Il se leva du lit et se dirigea vers une petite table où il prit un condom. J'eus un cri d'horreur.
– Relaxe chou, on a déjà fait ça hier soir. Cela ne te fera pas aussi mal.
En vérité quand il enfonça un doigts dans mon trou une douleur me révéla que son pieu était déjà passé par là. Il me doigta avec trois doigts pour me dilater, mais ne me rappelant pas de ce que nous avions fait hier soir, j'eu du mal pour me laisser faire. Il enfila le préservatif sur sa queue et la présenta à l'entrée de mon trou. Il me regarda dans les yeux et me dit de me détendre. Je serrais mon anus mais en pensant à ce que nous avions déjà fait, ce n'était pas la peine de tenir prise.
Son pénis entra lentement en moi. Je sentais toute la circonférence élargir mon anus. Je ressentis à ce moment là une vive douleur. Le blondinet s'arrêta le temps que la douleur disparaisse mais recommença à sortir et entrer sa queue en moi. Il avait relevé mon cul pour mieux facilité le va et vient. A force qu'il me limait, la douleur s'estompait et le plaisir prenait place. J'ignorais comment mais je prenais mon pied. Comme une femme, je me mettais involontairement à bouger des reins.
J'avais une folle envie de me faire tout ses 23 cm. Je ne parvenais plus à me contrôler ma bouche s'ouvrit et je me mis à lancer des cochonneries avec une voix plus efféminée que mon blondinet.
– Vas y… défonce moi le cul… encule moi… plus vite… oui… c'est bon…t'arrêtes pas…mhhhh…c'est bon…vas au fond…ahhhhh…
Et à lui de répondre.
– Tu veux de ma queue…je vais t'éclater la rondelle…prend sa dans ton cul…j'adore ton cul…mhhhhh… tu aimes ça salope…je vais t'en donner de mon bâton…
Les mots qu'on se lançait avaient accru le désir en nous. Je le sentis me labourer de plus en plus vite les reins. Je me sentais en feu surtout dans mon cul. Tout c'est frottement avait généré une telle chaleur en moi que je pensais délirer. J'avais envi que cela dure toujours, pourtant il a fallut que cela se termine. Le blondinet, dont maintenant le nom me revenait, cria et je sentis un liquide baigner mon intérieure, cela me calma un peu.
Le blondinet, dont le nom était Thomas tomba sur moi. Nous corps en sueurs se collèrent. Et nos lèvres en firent de même. Sans aucun scrupule j'avais embrassé Tom, je su alors que je m'acceptait comme gay.
Quelques minutes après qu'on ait baisé Tom me détacha puis on prit la douche ensemble. L'eau froide sur ma peau m'aida à me rappeler de certaines choses.
Ce n'est que lorsque je montais sa voiture et qu'il me demanda où me déposer que tout souvenir me revint.
A suivre …
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
woaw... ca c'est de l'histoire...
Excellent, ça donne très envie du subir la même chose....tu m'a fait bander !!!
tres belle histoire
SUPER HISTOIRE ;BANDANTE AU POSSIBLE
très bandante ton histoire!
bon debut... j'adore