Francois 7
Récit érotique écrit par LeprinceEric [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-07-2011 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Francois 7
Dernières explications
Résumé du dernier récit
Je m'étais endormi sur le bureau où l'on m'avait baisé. Je me rhabillai et sorti du bureau. Je passai devant le bureau de Patrick le secrétaire de mon patron et vit qu'il était toujours là. " Je m'en vais maintenant, me dit-il. Tu veux que je te conduise quelque part? - Oui, merci. J'aimerais me rendre chez Marvin." D'ici dix minutes nous étions déjà dans la voiture de Patrick. Il était 18H15mn. Patrick changea de route et s'enfonça dans une sombre ruelle. Il stationna et verrouilla toutes les portes. " Tu sais, commença-t-il, j'ai toujours su qu'un jour tu prendra ma place." Patrick était plus jeune que moi. Maintenant que j'y pense, il vient juste de fêter ses 23 ans. Et c'est vraiment rare de trouver des employé qui ne dépasse pas 25 ans toucher un salaire comme le sien. J'ai compris à ce moment la phrase qu'il m'a lancé. J'ai compris qu'avant moi, Robert et Julien couchait avec lui. C'était donc en couchant avec eux qu'il se faisait de l'argent pour s'acheter cette belle caisse. Atterré par ce que je venais d'apprendre je ne répondis aucun mot. Patrick mis sa main entre mes jambes. Je frémissais déjà à l'idée de ce qui allait se passer dans cette voiture. Patrick se pencha sur moi et prit ma verge dans sa bouche. Cela se sentais qu'il était un expert en suçage de bites. Il dégrafa son pantalon et j'ai compris qu'il voulait que je lui rende la pareille. C'est ce que je fis. Loin d'être longue ou de longueur normale, elle était petite. Si la queue de Patrick n'était pas efficace pour la sodomie, elle l'était pour la fellation. Son sperme avait bon gout. Nous étions en sueurs et trempions les chemises que nous portions. Patrick me conseilla de passer sur la banquette arrière où nous serions plus à l'aise. Je passai le premier puis il vint me rejoindre en se mettant en califourchon sur moi, les jambes très écartées, me donnant face. Les mains posés sur ses hanches, je guidai le mouvement de haut en bas qu'il faisait sur ma pine. Il ne tarda pas à crier comme une gonzesse. Je le faisais monter au plafond dans les deux sens du termes. Dans quelques instants seulement, je jutai en lui et lui sur ma chemise bleue qu'il tacha.
La voiture s'arrêta devant l'immeuble où vit Marvin. Je saluai Patrick une dernière fois avant d'y entrer. Dans l'ascenseur j'ai croisé une vieille dame qui regardait la tache de sperme que Patrick avait éjaculée sur ma chemise bleue. Sans trop savoir pourquoi je lui ai lancé que je branlais un pote. Elle a détourné les yeux avec dédain et stoppa l'ascenseur. Voilà que je suis maintenant victime de l'homophobie.
Je suis arrivé à l'étage de Marvin et quand je frappai à la porte, je fus étonné de la trouver ouverte. Je trouvai Marvin assis, nu, sur dans son fauteuil et son inséparable verre à la main. De cette scène allait naitre la conversation qui révèlera la vérité.
" Alors François, tu as finalement appris la vérité?
- Que ce qui c'était passé entre nous hier n'était que du cinéma destiné au patron et à Robert.
- Oui. Tu as raison. Mais tout étais faux.
- Quand tu parles de tout …
- Dès le début. Robert, Julien et moi, nous nous ennuyons de nos baises. C'était devenu lassant. Et quand tu es arrivé on avait envi de chaire fraiche. Donc on m'a lancé le défi de faire de toi la nouvelle recrue.
- Nouvelle?
- Oui. Il y en a d'autres. Patrick, Darwin, Nicolas et même le facteur.
- Vous vous ennuyez quand même avec tout ces mecs. Il y en a ceux qui n'ont duré qu'une seule nuit et ceux qui ont le cul élargi et trop dilaté.
- Et comment tu as su que j'allais cédé?
- C'était simple. J'avais déjà remarqué que tu me matais. Et quand on c'est croisé aux toilettes et que tu m'as félicité pour ma cravate j'ai enchéri cette hypothèse. Ce n'est qu'en t'invitant dans le bar et en te confessant mon orientation sexuelle que j'aurais été sur. Et quand j'ai vu que tu n'as rien dis alors …
- Cette soirée à se souler n'était qu'un prétexte?
- Exactement. Le but était de te faire avaler une drogue inoffensive qui t'aurait fait faire ce que tu voulais réellement faire.
- Et pourquoi tu n'as pas couché avec moi ce soir là?
- La séduction homosexuelle n'est pas la même que celle des hétéro. Il fallait que je me fasse désiré mais qu'en même temps tu connaisse les joies de la sodomie. Le meilleur moyen était de te glisser dans le lit de Thomas. Même là il y avait un risque que tu n'aime pas. Ce n'est que lorsque tu es revenu que je savais que j'avais gagné.
- Pourtant ce jour l'a on a fait l'amour avec dégout. Je croyais que c'était bien clair que je ne voulais plus de toi. En plus toi aussi tu n'as rien fait pour me retrouver.
- Je sais. En faisant l'amour avec toi la première fois, j'avais réaliser un de tes désirs. Tu en avais deux. Le premier était de me faire l'amour, le second était de le faire avec mon consentement.
- Alors Robert, Julien et toi aviez manigancé le truc du dossier important sur lequel on devait travaillé ensemble.
- Non. C'était par chance que le hasard nous envoya ces dossiers.
- Et la caméra?
- C'était pour quelqu'un d'autre que j'ai reçu une heure plus tôt. J'avais oublié de la fermer. Quand Julien passa récupérer la camera il fut étonné de voir qu'on avait été filmé. Alors il m'appela pour m'avertir.
- Alors c'est ça, tu as gagné!
- Oui.
- Et quelle est ta récompense?
- Une promotion pour l'annexe du bureau qui se trouve à l'autre bout du pays.
- Tu vas déménager.
- Oui.
- Reste.
- Pourquoi?
- Parce que je veux que tu reste près de moi. Je t'aime Marvin… Est-ce que tu m'aime?
- …Non… je suis désolé.
- … je ne te crois pas.
- Je dis la vérité.
- Alors pourquoi tu n'es pas venu aujourd'hui au bureau. Robert, Julien et toi auriez pris encore mieux votre pied?
- Je …
- Après qu'on ait fait l'amour dans le bureau, en voiture tu n'as dit un mot. Tu n'es pas venu parce que tu aurais l'impression d'abuser de moi. Et ça tu ne le pourrais pas parce que tu m'aime.
- Je ne suis pas venu parce que celui que j'attendais hier est revenu au cours de la nuit.
- Si cela est vrai, dit moi de qui il s'agit.
- C'est confidentiel.
- Bien sur. Tu m'as bien eu Marvin. Tout ce que je viens de vivre n'a plus d'importance pour moi maintenant que tu m'avoues ne pas m'aimer. J'ai tout supporté par amour pour toi.
- Mais si cela a de l'importance. Grace a moi tu as connu les joies de l'homosexualité et tu en as joui. Ta vie était fade avant, cela est un petit piment qui égayera le reste de ta vie.
- Alors, c'est fini? On arrête tout maintenant.
- Oui. Tout est fini. Adieu François.
- Adieu Marvin."
Je me rapprochai de Marvin pour lui poser un baiser sur la joue. Alors que je reculais, sa main s'agrippa à la mienne et il me tira pour que je l'embrasse sur les lèvres. Ce fut de toute ma vie le baiser que je partageai avec le plus d'émotion. Il me déshabilla et pour la première je me rendis dans sas chambre pour y faire l'amour. Couché sur le dos, Marvin m'offrait jambes ouvertes son cul que tant d'hommes ont pénétré avant moi. J'y enfonçai mon pénis avec douceur. Et quand nous nous sentîmes a l'aise je me mis à aller et venir en lui. Je voyais ses yeux se plonger dans mes yeux tandis que je le limais. Je lui faisais du bien. Quand j'éjaculai en lui, je restai un bon moment collé contre lui comme pour savourer ces derniers instants. Ensuite … je me rhabillai et je partis pour chez moi.
Ce fut la dernière fois que je vit Marvin et pourtant je le gardais toujours au fond de mon cœur. J'ai connu d'autres hommes après, mais jamais un comme lui. Marvin, celui à qui je dois mon homosexualité. Marvin, le premier homme que j'ai aimé.
Fin de la première saison de François : le piège de Marvin.
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Résumé du dernier récit
Je m'étais endormi sur le bureau où l'on m'avait baisé. Je me rhabillai et sorti du bureau. Je passai devant le bureau de Patrick le secrétaire de mon patron et vit qu'il était toujours là. " Je m'en vais maintenant, me dit-il. Tu veux que je te conduise quelque part? - Oui, merci. J'aimerais me rendre chez Marvin." D'ici dix minutes nous étions déjà dans la voiture de Patrick. Il était 18H15mn. Patrick changea de route et s'enfonça dans une sombre ruelle. Il stationna et verrouilla toutes les portes. " Tu sais, commença-t-il, j'ai toujours su qu'un jour tu prendra ma place." Patrick était plus jeune que moi. Maintenant que j'y pense, il vient juste de fêter ses 23 ans. Et c'est vraiment rare de trouver des employé qui ne dépasse pas 25 ans toucher un salaire comme le sien. J'ai compris à ce moment la phrase qu'il m'a lancé. J'ai compris qu'avant moi, Robert et Julien couchait avec lui. C'était donc en couchant avec eux qu'il se faisait de l'argent pour s'acheter cette belle caisse. Atterré par ce que je venais d'apprendre je ne répondis aucun mot. Patrick mis sa main entre mes jambes. Je frémissais déjà à l'idée de ce qui allait se passer dans cette voiture. Patrick se pencha sur moi et prit ma verge dans sa bouche. Cela se sentais qu'il était un expert en suçage de bites. Il dégrafa son pantalon et j'ai compris qu'il voulait que je lui rende la pareille. C'est ce que je fis. Loin d'être longue ou de longueur normale, elle était petite. Si la queue de Patrick n'était pas efficace pour la sodomie, elle l'était pour la fellation. Son sperme avait bon gout. Nous étions en sueurs et trempions les chemises que nous portions. Patrick me conseilla de passer sur la banquette arrière où nous serions plus à l'aise. Je passai le premier puis il vint me rejoindre en se mettant en califourchon sur moi, les jambes très écartées, me donnant face. Les mains posés sur ses hanches, je guidai le mouvement de haut en bas qu'il faisait sur ma pine. Il ne tarda pas à crier comme une gonzesse. Je le faisais monter au plafond dans les deux sens du termes. Dans quelques instants seulement, je jutai en lui et lui sur ma chemise bleue qu'il tacha.
La voiture s'arrêta devant l'immeuble où vit Marvin. Je saluai Patrick une dernière fois avant d'y entrer. Dans l'ascenseur j'ai croisé une vieille dame qui regardait la tache de sperme que Patrick avait éjaculée sur ma chemise bleue. Sans trop savoir pourquoi je lui ai lancé que je branlais un pote. Elle a détourné les yeux avec dédain et stoppa l'ascenseur. Voilà que je suis maintenant victime de l'homophobie.
Je suis arrivé à l'étage de Marvin et quand je frappai à la porte, je fus étonné de la trouver ouverte. Je trouvai Marvin assis, nu, sur dans son fauteuil et son inséparable verre à la main. De cette scène allait naitre la conversation qui révèlera la vérité.
" Alors François, tu as finalement appris la vérité?
- Que ce qui c'était passé entre nous hier n'était que du cinéma destiné au patron et à Robert.
- Oui. Tu as raison. Mais tout étais faux.
- Quand tu parles de tout …
- Dès le début. Robert, Julien et moi, nous nous ennuyons de nos baises. C'était devenu lassant. Et quand tu es arrivé on avait envi de chaire fraiche. Donc on m'a lancé le défi de faire de toi la nouvelle recrue.
- Nouvelle?
- Oui. Il y en a d'autres. Patrick, Darwin, Nicolas et même le facteur.
- Vous vous ennuyez quand même avec tout ces mecs. Il y en a ceux qui n'ont duré qu'une seule nuit et ceux qui ont le cul élargi et trop dilaté.
- Et comment tu as su que j'allais cédé?
- C'était simple. J'avais déjà remarqué que tu me matais. Et quand on c'est croisé aux toilettes et que tu m'as félicité pour ma cravate j'ai enchéri cette hypothèse. Ce n'est qu'en t'invitant dans le bar et en te confessant mon orientation sexuelle que j'aurais été sur. Et quand j'ai vu que tu n'as rien dis alors …
- Cette soirée à se souler n'était qu'un prétexte?
- Exactement. Le but était de te faire avaler une drogue inoffensive qui t'aurait fait faire ce que tu voulais réellement faire.
- Et pourquoi tu n'as pas couché avec moi ce soir là?
- La séduction homosexuelle n'est pas la même que celle des hétéro. Il fallait que je me fasse désiré mais qu'en même temps tu connaisse les joies de la sodomie. Le meilleur moyen était de te glisser dans le lit de Thomas. Même là il y avait un risque que tu n'aime pas. Ce n'est que lorsque tu es revenu que je savais que j'avais gagné.
- Pourtant ce jour l'a on a fait l'amour avec dégout. Je croyais que c'était bien clair que je ne voulais plus de toi. En plus toi aussi tu n'as rien fait pour me retrouver.
- Je sais. En faisant l'amour avec toi la première fois, j'avais réaliser un de tes désirs. Tu en avais deux. Le premier était de me faire l'amour, le second était de le faire avec mon consentement.
- Alors Robert, Julien et toi aviez manigancé le truc du dossier important sur lequel on devait travaillé ensemble.
- Non. C'était par chance que le hasard nous envoya ces dossiers.
- Et la caméra?
- C'était pour quelqu'un d'autre que j'ai reçu une heure plus tôt. J'avais oublié de la fermer. Quand Julien passa récupérer la camera il fut étonné de voir qu'on avait été filmé. Alors il m'appela pour m'avertir.
- Alors c'est ça, tu as gagné!
- Oui.
- Et quelle est ta récompense?
- Une promotion pour l'annexe du bureau qui se trouve à l'autre bout du pays.
- Tu vas déménager.
- Oui.
- Reste.
- Pourquoi?
- Parce que je veux que tu reste près de moi. Je t'aime Marvin… Est-ce que tu m'aime?
- …Non… je suis désolé.
- … je ne te crois pas.
- Je dis la vérité.
- Alors pourquoi tu n'es pas venu aujourd'hui au bureau. Robert, Julien et toi auriez pris encore mieux votre pied?
- Je …
- Après qu'on ait fait l'amour dans le bureau, en voiture tu n'as dit un mot. Tu n'es pas venu parce que tu aurais l'impression d'abuser de moi. Et ça tu ne le pourrais pas parce que tu m'aime.
- Je ne suis pas venu parce que celui que j'attendais hier est revenu au cours de la nuit.
- Si cela est vrai, dit moi de qui il s'agit.
- C'est confidentiel.
- Bien sur. Tu m'as bien eu Marvin. Tout ce que je viens de vivre n'a plus d'importance pour moi maintenant que tu m'avoues ne pas m'aimer. J'ai tout supporté par amour pour toi.
- Mais si cela a de l'importance. Grace a moi tu as connu les joies de l'homosexualité et tu en as joui. Ta vie était fade avant, cela est un petit piment qui égayera le reste de ta vie.
- Alors, c'est fini? On arrête tout maintenant.
- Oui. Tout est fini. Adieu François.
- Adieu Marvin."
Je me rapprochai de Marvin pour lui poser un baiser sur la joue. Alors que je reculais, sa main s'agrippa à la mienne et il me tira pour que je l'embrasse sur les lèvres. Ce fut de toute ma vie le baiser que je partageai avec le plus d'émotion. Il me déshabilla et pour la première je me rendis dans sas chambre pour y faire l'amour. Couché sur le dos, Marvin m'offrait jambes ouvertes son cul que tant d'hommes ont pénétré avant moi. J'y enfonçai mon pénis avec douceur. Et quand nous nous sentîmes a l'aise je me mis à aller et venir en lui. Je voyais ses yeux se plonger dans mes yeux tandis que je le limais. Je lui faisais du bien. Quand j'éjaculai en lui, je restai un bon moment collé contre lui comme pour savourer ces derniers instants. Ensuite … je me rhabillai et je partis pour chez moi.
Ce fut la dernière fois que je vit Marvin et pourtant je le gardais toujours au fond de mon cœur. J'ai connu d'autres hommes après, mais jamais un comme lui. Marvin, celui à qui je dois mon homosexualité. Marvin, le premier homme que j'ai aimé.
Fin de la première saison de François : le piège de Marvin.
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