Fratrie de Wintzt 3
Récit érotique écrit par PassifChaud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-08-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Fratrie de Wintzt 3
Il nous fallait penser à notre rentrée universitaire… Paul, avec une partie de son héritage, avait acheté un magnifique appartement à Berlin qu’il m’avait laissé choisir. Moderne, spacieux, avec une immense terrasse, immense living, 2 suites de maître (pour sauver les apparences), 2 bureaux, 2 chambres d’amis et une cuisine somptueuse dont j’avais réglé tous les détails. Paul savait que j’adorais faire la cuisine et même, comme tous les hommes, si ça le saoulait de faire le marché avec moi, il était trop content de décider ce qu’il voulait….
L’appartement était prêt en Septembre, j’avais choisi toute la déco, avec son accord, bien sûr, jamais nous n’avons pris une décision l’un sans l’autre, et une fois nos inscriptions validées, lui dans une grande entreprise et moi, en Fac de Lettres avec allemand renforcé, à l’oral et à l’écrit, pour maitrise totale de la langue, 10 heures par semaine en plus.
Paul avait une voiture, bien évidemment, et une fois toutes nos formalités achevées, ou plutôt leur contrôle car tout était déjà prêt, nous nous sommes rendus dans notre appartement. Paul était excité comme un fou, son sexe faisait une barre énorme dans son pantalon, et même malgré mes caresses, je n’arrivais pas à le calmer…
Il roulait comme un diable dans Berlin, dans sa hâte de rejoindre au plus vite ce nid d’amour que nous avions choisi ensemble…
C’est en un éclair que la voiture a été garée au parking en sous-sol, ascenseur privatif déverrouillé avec sa clef, et au dernier étage, les portes se sont ouvertes… Comme en France, il m’a pris dans ses bras et m’a amené jusqu’à notre suite… Mais ce n’était pas pareil, c’était à Lui et à lui seul, c’était son écrin, celui où il pouvait me posséder à fond, partout, notre foyer, et en quelques secondes, je me suis retrouvé nu sur notre lit, Lui nu aussi vite et son sexe s’est enfoncé dans moi d’un coup, d’une traite….
Même si j’étais habitué à ses assauts violents, ce n’était pas la même chose… Il voulait marquer de toute sa trace ce sublime appartement…. Il ne débandait pas…. Il jouissait, et il m’amenait dans une autre pièce pour me posséder, encore… Je ne sais pas combien de fois j’ai été à lui cette nuit-là, mais épuisés, nous nous sommes enfin allongés sur notre lit… Mon corps était rempli de sa semence, tellement abondante que, profitant de son sommeil, je suis allé me soulager, pour me blottir contre lui après, ses poils collés contre mon dos, sentant son odeur de mâle repu...
C’est serein que je le suis endormi contre lui… Et c’est pleinement heureux que notre nouvelle vie à Berlin a commencé.
Paul… Mon Paul…
Mes études me passionnaient, j’y passais des heures et des heures, en cours, à la bibliothèque de la fac, sur Internet, mon investissement en Allemand était total. J’étais avide de cette langue, de ce pays, de cette culture, de son Histoire à laquelle ma famille y avait largement contribué, je crois que c’était dans mes gênes, un des rares de mon père.
Paul admirait mon acharnement, ma passion et mes progrès fulgurants. Quand nous nous baladions main dans la main au KuDamm, ou assis dans un café, la conversation s’engageait quelquefois avec d’autres, qui me demandaient … De leur présenter mon ami français… !!!
Ce qui le faisait bien sourire, il ne s’était jamais départi d’un léger « accent français » alors que moi, je commençais à parler français avec un léger « accent allemand »
Notre vie berlinoise s’est organisée petit à petit, avec cette fusion totale et permanente qui explosait, chez nous bien sûr, mais aussi, partout où elle pouvait s’exprimer, la soif l’un de l’autre n’avait pas faibli, et n’a jamais faibli d’ailleurs, toujours avec la même intensité et la même puissance.
Notre vie s’est aussi mise en place, recevant d’abord ses collègues, puis aussi des potes de fac… Un vrai couple social s’est instauré et ouvert à la convivialité, et si les sorties en amoureux étaient les plus fréquentes, Berlin, Potsdam… Sans oublier le théâtre et l’Opéra, dont j’étais très friand où nous assistions à presque toutes les représentations.
Par chance, comme je vous l’avais décrit, nos apparences physiques étaient très différentes et aucun membre de notre entourage ne pouvait penser que nous étions frères. D’un commun accord, tacite, sans jamais en parler ensemble, nous n’avions pas évoqué, devant nos proches, les liens de sang qui nous unissaient, même si nous ne pouvions pas cacher nos liens du corps.
Notre désir l’un pour l’autre était si flagrant, qu’il était trop explicite, Paul bandait comme un âne à chaque fois que j’étais à ses côtés et ce désir, au vu de la taille avec laquelle il s’exprimait, ne pouvait qu’être… très explicite…
Aux yeux de tous, dans ce Berlin si ouvert, nous étions un couple Gay tellement passionné l’un de l’autre, que toutes les tentatives de séduction auprès de Paul ou moi, tant amicales, provocatrices ou par jeu, s’étaient soldées par un sévère échec, voire cinglant quand il s’avérait trop insistant.
Malgré une réponse toujours très vague de notre part lorsqu’on nous posait une question à notre sujet, souvent sans aucune curiosité mal placée, juste pour mieux nous connaitre, restait un problème fondamental auquel nous n’avions pas la solution.
Nous portions le même nom… !!! Et « de Wintzt » n’est ni « Schmidt » ni « Müller » en Allemagne. Aucune de nos connaissances ne pouvait l’ignorer, que ce soit parmi les collègues de Paul, mes potes de fac ou autres.
Ce nom de « de Wintzt » que nous vénérions Paul et moi, que nous portions avec fierté, sa rareté allait nous trahir.
L’Allemagne était très ouverte à l’homosexualité, mais sans doute pas à une vie incestueuse entre deux frères…
C’était oppressant pour nous deux, et nous avions peur de l’Epée de Damoclès qui risquait de nous tomber dessus.
Après une soirée entre amis fort conviviale, certains propos, quelque peu insidieux ont commencé à surgir, du genre…. « de Wintzt »… et des murmures… Attentif au bien être de nos invités, je ne me suis rendu compte de rien, mais je voyais les yeux de Paul devenir de plus froids, et son visage, se tétaniser peu à peu….
Je me suis approché de Lui, et pour la première fois, il m’a repoussé en me disant d’une voix sèche…. Laisse-moi…
La soirée s’étiolait un peu et Paul en a profité pour prétexter une extrême fatigue et de prier nos convives de le laisser se reposer… Je n’avais jamais vu Paul fatigué…. Même après des nuits de possession torrides où si moi, j’étais épuisé, lui…. Jamais…
Une fois tout le monde dehors, je rangeais un peu le désordre… Paul est venu vers moi et m’a empoigné violemment, jusqu’à notre chambre et mis nu en quelques secondes…
Son sexe avait grossi encore depuis le temps de notre premier acte d’amour, et il s’est enfoncé dans moi comme un fou…. D’une traite…
25 Cm de la chair de mon homme me laminaient, sa jouissance ne le faisait pas faiblir, il restait toujours aussi gros, aussi dur… Il m’a possédé pendant plus de 2 heures… Par tous les trous, dans toutes les positions…. Jouissant, encore et encore, recommençant comme s’il ne voulait jamais s’arrêter… Ohne Ende… Nur und Nur….
Jamais je n’avais eu mon frère aussi affamé, aussi insatiable… Il me pilonnait au fond de sa puissance, cherchant à me posséder jusqu’au dernier millimètre de son membre, son corps empestait la sueur, l’odeur du mâle en rut, et il me tenait de ses bras puissants pour que je prenne ses assauts qui me semblaient ne jamais se terminer….
Nos parties de sexe avaient souvent été endiablées, mais c’était la première fois que Paul me possédait comme ça, que son sexe ne débandait pas, ne serait-ce qu’une minute…
A sa sixième jouissance en moi, il s’est écroulé, nos corps ne faisaient qu’un et nos torses s’épousaient au centimètre près, ses poils, trempés faisaient ventouse sur ma peau…
Quelques secondes après, mon Paul, mon homme, ce mâle si fort, mon frère ce héros, a explosé en larmes…. Plus il pleurait, et plus il me serrait fort contre moi, à m’en étouffer… Je ne parvenais pas à tarir ce flot…. Son corps sur moi, son merveilleux sexe encore dans moi, avec une taille toujours aussi conséquente, Paul pleurait dans mon cou à chaudes larmes.
J’ai mis plusieurs minutes à le calmer, avec des baisers, des caresses, sur son dos, sur son torse, sur ses lèvres…. J’avais l’impression d’avoir, dans mes bras, une cocotte-minute qui avait explosé.
Il s’est redressé, a repris toute sa puissance, et après un baiser fougueux….
- Partons Marc, quittons tout, vivons ailleurs, dans un pays où personne ne saura que nous sommes frères et où je pourrais enfin être pleinement ton Mari- On peut pas Paul Chéri… Notre vie ici, notre famille, l’entreprise que tu diriges déjà- M’en fous, Matthieu est là et il attend que ça…- Et nous ? Notre vie ?
- Notre vie…. C’est toi et moi pour toujours et depuis toujours. Je n’ai connu personne autre que toi Marc, et je ne le peux pas…
Il s’est enfin apaisé, s’est enfin endormi dans mes bras, son sexe toujours en moi.
Je n’ai pas pu dormir de la nuit, ressassant sans cesse ce que Paul m’avait dit et comprenant que cette situation, intenable, devait trouver une solution…
J’en avais une… Impensable, quasi irréalisable, demandant des forces auxquelles je n’étais pas sûr de pouvoir y parvenir pour la réaliser…Le matin, je me suis levé, péniblement, Paul toujours ancré sur moi et dans moi, pour aller nous préparer le petit déjeuner…
Mon frère s’est approché de moi revigoré par les bonnes odeurs, m’a pris dans ses bras et dans un baiser fougueux, j’ai entendu « je t’aime » avant que nos lèvres ne se joignent…
- Paul- Oui mon Ange- Je veux que tu m’amènes à l’Est- A l’Est ? mais où ? pourquoi ?
- Je veux aller voir notre château, celui de nos ancêtres- Mais jamais personne de notre famille n’y est allé depuis plus d’un siècle, il doit être dans une telle décrépitude maintenant…- Je veux y aller… Avec Toi mon Paul Chéri, mon frère adoré… C’est Notre Terre... !!!
- Drôle d’idée mon cœur… Mais, je suis d’accord…
Deux jours plus tard, nous partions vers l’Est…
Paul était un scientifique, un ingénieur, mais j’étais un littéraire, féru d’histoire…
Je restais persuadé que fouler le sol de notre terre Ducale, si petite soit-elle maintenant et même si ce titre n’avait plus guère d’importance, de voir notre demeure historique, même en ruine actuellement, allaient m’aider en me renforcer dans la décision qui faisait germe en moi…
J’étais un « de Wintzt », et je voulais le rester à jamais… Que ce soit au titre de Monsieur de Wintzt, ou au titre de Madame de Wintzt…
(Juste une parenthèse… Pour vous offrir des textes de qualité et agréables, je me relis, plusieurs fois, corrigeant sans cesse les moindres défauts possible, pour que ce que je publie semble réel, ou non…. Je n’en demande pas autant… mais un petit effort, et le correcteur d’orthographe existe… C’est tellement plus agréable à lire quand c’est bien écrit)
L’appartement était prêt en Septembre, j’avais choisi toute la déco, avec son accord, bien sûr, jamais nous n’avons pris une décision l’un sans l’autre, et une fois nos inscriptions validées, lui dans une grande entreprise et moi, en Fac de Lettres avec allemand renforcé, à l’oral et à l’écrit, pour maitrise totale de la langue, 10 heures par semaine en plus.
Paul avait une voiture, bien évidemment, et une fois toutes nos formalités achevées, ou plutôt leur contrôle car tout était déjà prêt, nous nous sommes rendus dans notre appartement. Paul était excité comme un fou, son sexe faisait une barre énorme dans son pantalon, et même malgré mes caresses, je n’arrivais pas à le calmer…
Il roulait comme un diable dans Berlin, dans sa hâte de rejoindre au plus vite ce nid d’amour que nous avions choisi ensemble…
C’est en un éclair que la voiture a été garée au parking en sous-sol, ascenseur privatif déverrouillé avec sa clef, et au dernier étage, les portes se sont ouvertes… Comme en France, il m’a pris dans ses bras et m’a amené jusqu’à notre suite… Mais ce n’était pas pareil, c’était à Lui et à lui seul, c’était son écrin, celui où il pouvait me posséder à fond, partout, notre foyer, et en quelques secondes, je me suis retrouvé nu sur notre lit, Lui nu aussi vite et son sexe s’est enfoncé dans moi d’un coup, d’une traite….
Même si j’étais habitué à ses assauts violents, ce n’était pas la même chose… Il voulait marquer de toute sa trace ce sublime appartement…. Il ne débandait pas…. Il jouissait, et il m’amenait dans une autre pièce pour me posséder, encore… Je ne sais pas combien de fois j’ai été à lui cette nuit-là, mais épuisés, nous nous sommes enfin allongés sur notre lit… Mon corps était rempli de sa semence, tellement abondante que, profitant de son sommeil, je suis allé me soulager, pour me blottir contre lui après, ses poils collés contre mon dos, sentant son odeur de mâle repu...
C’est serein que je le suis endormi contre lui… Et c’est pleinement heureux que notre nouvelle vie à Berlin a commencé.
Paul… Mon Paul…
Mes études me passionnaient, j’y passais des heures et des heures, en cours, à la bibliothèque de la fac, sur Internet, mon investissement en Allemand était total. J’étais avide de cette langue, de ce pays, de cette culture, de son Histoire à laquelle ma famille y avait largement contribué, je crois que c’était dans mes gênes, un des rares de mon père.
Paul admirait mon acharnement, ma passion et mes progrès fulgurants. Quand nous nous baladions main dans la main au KuDamm, ou assis dans un café, la conversation s’engageait quelquefois avec d’autres, qui me demandaient … De leur présenter mon ami français… !!!
Ce qui le faisait bien sourire, il ne s’était jamais départi d’un léger « accent français » alors que moi, je commençais à parler français avec un léger « accent allemand »
Notre vie berlinoise s’est organisée petit à petit, avec cette fusion totale et permanente qui explosait, chez nous bien sûr, mais aussi, partout où elle pouvait s’exprimer, la soif l’un de l’autre n’avait pas faibli, et n’a jamais faibli d’ailleurs, toujours avec la même intensité et la même puissance.
Notre vie s’est aussi mise en place, recevant d’abord ses collègues, puis aussi des potes de fac… Un vrai couple social s’est instauré et ouvert à la convivialité, et si les sorties en amoureux étaient les plus fréquentes, Berlin, Potsdam… Sans oublier le théâtre et l’Opéra, dont j’étais très friand où nous assistions à presque toutes les représentations.
Par chance, comme je vous l’avais décrit, nos apparences physiques étaient très différentes et aucun membre de notre entourage ne pouvait penser que nous étions frères. D’un commun accord, tacite, sans jamais en parler ensemble, nous n’avions pas évoqué, devant nos proches, les liens de sang qui nous unissaient, même si nous ne pouvions pas cacher nos liens du corps.
Notre désir l’un pour l’autre était si flagrant, qu’il était trop explicite, Paul bandait comme un âne à chaque fois que j’étais à ses côtés et ce désir, au vu de la taille avec laquelle il s’exprimait, ne pouvait qu’être… très explicite…
Aux yeux de tous, dans ce Berlin si ouvert, nous étions un couple Gay tellement passionné l’un de l’autre, que toutes les tentatives de séduction auprès de Paul ou moi, tant amicales, provocatrices ou par jeu, s’étaient soldées par un sévère échec, voire cinglant quand il s’avérait trop insistant.
Malgré une réponse toujours très vague de notre part lorsqu’on nous posait une question à notre sujet, souvent sans aucune curiosité mal placée, juste pour mieux nous connaitre, restait un problème fondamental auquel nous n’avions pas la solution.
Nous portions le même nom… !!! Et « de Wintzt » n’est ni « Schmidt » ni « Müller » en Allemagne. Aucune de nos connaissances ne pouvait l’ignorer, que ce soit parmi les collègues de Paul, mes potes de fac ou autres.
Ce nom de « de Wintzt » que nous vénérions Paul et moi, que nous portions avec fierté, sa rareté allait nous trahir.
L’Allemagne était très ouverte à l’homosexualité, mais sans doute pas à une vie incestueuse entre deux frères…
C’était oppressant pour nous deux, et nous avions peur de l’Epée de Damoclès qui risquait de nous tomber dessus.
Après une soirée entre amis fort conviviale, certains propos, quelque peu insidieux ont commencé à surgir, du genre…. « de Wintzt »… et des murmures… Attentif au bien être de nos invités, je ne me suis rendu compte de rien, mais je voyais les yeux de Paul devenir de plus froids, et son visage, se tétaniser peu à peu….
Je me suis approché de Lui, et pour la première fois, il m’a repoussé en me disant d’une voix sèche…. Laisse-moi…
La soirée s’étiolait un peu et Paul en a profité pour prétexter une extrême fatigue et de prier nos convives de le laisser se reposer… Je n’avais jamais vu Paul fatigué…. Même après des nuits de possession torrides où si moi, j’étais épuisé, lui…. Jamais…
Une fois tout le monde dehors, je rangeais un peu le désordre… Paul est venu vers moi et m’a empoigné violemment, jusqu’à notre chambre et mis nu en quelques secondes…
Son sexe avait grossi encore depuis le temps de notre premier acte d’amour, et il s’est enfoncé dans moi comme un fou…. D’une traite…
25 Cm de la chair de mon homme me laminaient, sa jouissance ne le faisait pas faiblir, il restait toujours aussi gros, aussi dur… Il m’a possédé pendant plus de 2 heures… Par tous les trous, dans toutes les positions…. Jouissant, encore et encore, recommençant comme s’il ne voulait jamais s’arrêter… Ohne Ende… Nur und Nur….
Jamais je n’avais eu mon frère aussi affamé, aussi insatiable… Il me pilonnait au fond de sa puissance, cherchant à me posséder jusqu’au dernier millimètre de son membre, son corps empestait la sueur, l’odeur du mâle en rut, et il me tenait de ses bras puissants pour que je prenne ses assauts qui me semblaient ne jamais se terminer….
Nos parties de sexe avaient souvent été endiablées, mais c’était la première fois que Paul me possédait comme ça, que son sexe ne débandait pas, ne serait-ce qu’une minute…
A sa sixième jouissance en moi, il s’est écroulé, nos corps ne faisaient qu’un et nos torses s’épousaient au centimètre près, ses poils, trempés faisaient ventouse sur ma peau…
Quelques secondes après, mon Paul, mon homme, ce mâle si fort, mon frère ce héros, a explosé en larmes…. Plus il pleurait, et plus il me serrait fort contre moi, à m’en étouffer… Je ne parvenais pas à tarir ce flot…. Son corps sur moi, son merveilleux sexe encore dans moi, avec une taille toujours aussi conséquente, Paul pleurait dans mon cou à chaudes larmes.
J’ai mis plusieurs minutes à le calmer, avec des baisers, des caresses, sur son dos, sur son torse, sur ses lèvres…. J’avais l’impression d’avoir, dans mes bras, une cocotte-minute qui avait explosé.
Il s’est redressé, a repris toute sa puissance, et après un baiser fougueux….
- Partons Marc, quittons tout, vivons ailleurs, dans un pays où personne ne saura que nous sommes frères et où je pourrais enfin être pleinement ton Mari- On peut pas Paul Chéri… Notre vie ici, notre famille, l’entreprise que tu diriges déjà- M’en fous, Matthieu est là et il attend que ça…- Et nous ? Notre vie ?
- Notre vie…. C’est toi et moi pour toujours et depuis toujours. Je n’ai connu personne autre que toi Marc, et je ne le peux pas…
Il s’est enfin apaisé, s’est enfin endormi dans mes bras, son sexe toujours en moi.
Je n’ai pas pu dormir de la nuit, ressassant sans cesse ce que Paul m’avait dit et comprenant que cette situation, intenable, devait trouver une solution…
J’en avais une… Impensable, quasi irréalisable, demandant des forces auxquelles je n’étais pas sûr de pouvoir y parvenir pour la réaliser…Le matin, je me suis levé, péniblement, Paul toujours ancré sur moi et dans moi, pour aller nous préparer le petit déjeuner…
Mon frère s’est approché de moi revigoré par les bonnes odeurs, m’a pris dans ses bras et dans un baiser fougueux, j’ai entendu « je t’aime » avant que nos lèvres ne se joignent…
- Paul- Oui mon Ange- Je veux que tu m’amènes à l’Est- A l’Est ? mais où ? pourquoi ?
- Je veux aller voir notre château, celui de nos ancêtres- Mais jamais personne de notre famille n’y est allé depuis plus d’un siècle, il doit être dans une telle décrépitude maintenant…- Je veux y aller… Avec Toi mon Paul Chéri, mon frère adoré… C’est Notre Terre... !!!
- Drôle d’idée mon cœur… Mais, je suis d’accord…
Deux jours plus tard, nous partions vers l’Est…
Paul était un scientifique, un ingénieur, mais j’étais un littéraire, féru d’histoire…
Je restais persuadé que fouler le sol de notre terre Ducale, si petite soit-elle maintenant et même si ce titre n’avait plus guère d’importance, de voir notre demeure historique, même en ruine actuellement, allaient m’aider en me renforcer dans la décision qui faisait germe en moi…
J’étais un « de Wintzt », et je voulais le rester à jamais… Que ce soit au titre de Monsieur de Wintzt, ou au titre de Madame de Wintzt…
(Juste une parenthèse… Pour vous offrir des textes de qualité et agréables, je me relis, plusieurs fois, corrigeant sans cesse les moindres défauts possible, pour que ce que je publie semble réel, ou non…. Je n’en demande pas autant… mais un petit effort, et le correcteur d’orthographe existe… C’est tellement plus agréable à lire quand c’est bien écrit)
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