Fred, l'amant au physique ingrat.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Fred, l'amant au physique ingrat.
Cela fait quelques mois, que ma relation avec Daniel s'est terminée.
Je ressens un vide énorme, bien sûr, on a cédé à la tentation, quelquefois, mais c'était lui faire plus de mal, ensuite.
Il m'a demandé de ne plus monter dans le bus, si je le vois à l'intérieur.
Du moins, au début, puis je resterai éloigné de lui.
Corinne aussi, ne voit plus Chris, depuis quelques mois auparavant.
Elle comble ses envies au club libertin.
Quand à moi, les lieux chauds pour hommes me soulagent, mais ne remplacent pas Daniel.
Cela dure quelques mois, ou je vois mon ancien amant s'afficher avec un autre homme.
On échange toujours un petit sourire, je suis heureux pour lui, malgré le manque.
Cette période de deuil amoureux a duré presque un an, puis j'ai repris gout à ma vie sans lui.
Corinne me parle d'un nouvel amant régulier, un libertin que lui a présenté, un amant occasionnel.
Ils s'entendent à merveille, et partage la même passion pour le sexe.
"Il me fait penser à Chris !". Me dit elle !
C'est quelque temps, après ce moment là qu'elle me parle d'une amie qui cherche un bon bricoleur pour aider Fred, son frère, moyennant rémunération sous le manteau.
"Il y en a pour deux Week-ends ! Elle lui a parlé de toi !".
"J'ai pas trop envie de passer mon temps libre à bricoler ! Mon amour !".
"Bon, écoutes ! Il vient ce soir avec ma copine ! Tu verras !".
L'entrevue se déroule bien, mais je vois bien que les regards de Fred sur moi n'ont rien d'amical.
Il a un physique ingrat et massif, avec dix centimètres de plus que moi.
Je n'arrive pas à deviner la taille, ni la forme de sa queue, seul un gros paquet difforme, gonfle sa braguette.
J'ai le sentiment qu'il cache son sexe avec des vêtements larges.
Durant toute l'entrevue, je n'ai qu'une crainte, que l'amie de ma femme devine la tension sexuelle entre son frère et moi.
Je conviens d'un rendez vous pour voir les lieux et donner ma réponse, c'est vrai que je suis un peu fainéant, si la tâche est trop difficile.
Quand ils sont partis, je demande à Corinne:
"Il est marié, Fred ?".
"Non, je crois pas ! Pourquoi ?".
"C'est bon, je pense qu'il est gay ! Il m'a pas lâché du regard, ce soir !".
"J'ai vu ! C'était gênant, d'ailleurs ! Il te plait ? Il est pas très beau pourtant !".
"Ben, tu sais que je réagi pas à la beauté, mais à ce qu'il dégage ! Et j'avoue qu'il m'a donné envie de lui ! Et puis, il a un visage sympathique, quand il sourit !".
"C'est vrai que ce qui compte, c'est comment il baise ! Ecoutes ! Tu fais comme tu le sens ! Si t'as envie, fonces !".
Le samedi matin convenu, il passe me prendre en voiture.
On plaisante un peu, mais on ne parvient pas à effacer une certaine gêne entre nous, J'ai la gorge nouée, ce type m'excite énormément.
Il me dit qu'il a 47 ans, me parle de son expérience professionnelle, je lui parle de la mienne.
Il me tapote sur la cuisse, en disant:
"Je suis content de te connaitre, depuis le temps que ma sœur me parle du mari de Corinne ! Je suis content que ce soit toi ! Si j'avais su ! J'aurai accepté de te connaitre plus tôt !".
Je suis saisi de frissons, lorsqu'il me serre le bas de la cuisse, puis l'enlève en voyant ma gêne.
"Excuses-moi !".
"Oh, c'est rien !".
Il me montre le travail à effectuer, la tache est immense.
La tension sexuelle est énorme entre nous.
Puis, on arrive devant une baie vitrée très poussiéreuse, mais on devine une vue magnifique à travers.
Je fais un rond de propreté avec ma main pour regarder à travers, avec une idée salace derrière la tête.
Le rond est au niveau de mon ventre, au lieu de mon œil, je me baisse en cambrant les fesses pour admirer la vue.
Je lui dis:
"Je comprend pourquoi, tu tiens à cet endroit, c'est une vue magnifique !".
"Oui, mais j'en ai une autre aujourd'hui ! Ne restes pas comme ça, s'il te plait !".
Je me tourne et comprend qu'il matait mon cul, il a compris le message, j'ai réussi mon coup.
Il s'approche et m'enserre en ajoutant:
"C'est pas grave, si tu veux pas bosser avec moi, mais tu me plais trop ! Pascal ! Ca fait trop longtemps que tu me plais !".
"Trop longtemps ? Comment ça ? On se connait depuis une semaine !".
"Non, je t'ai déja vu !".
"Ou ça ?".
"Au Sex Shop ! Plusieurs fois ! Je t'ai vu 2 fois, te faire baiser par le métis de la caisse ! Et tu le sais pas, mais tu m'as sucé sans le savoir ! La deuxième fois j'en ai profité pour passer ma queue dans le Glory Hole !".
"Ah ! Désolé, je suis surpris, je ne t'ai pas remarqué ! J'espère que je t'ai pas déçu !".
"Oh, non, j'ai adoré ! Surtout quand j'ai compris que tu restais enfoncé sur ma bite, quand j'ai éjaculé, c'était génial !".
"Mais pourquoi, tu ne m'as pas abordé ?".
"T'as vu ma gueule ! Quand j'ai vu le métis te baiser, je me suis dis que je n'avais aucune chance ! C'est un beau mec !"
Pour lui répondre, je caresse sa bite et l'embrasse aussitôt.
Il me pousse avec douceur vers une table ancienne qui lui sert à bricoler.
On agit dans l'urgence, je me retrouve nu devant lui.
Il me pivote pour me dévorer l'anus comme un affamé.
Il me lèche très longuement tout en se déshabillant.
Il me parle en me dévorant l'anus, me couvre de phrases qui trahissent son désir envers moi.
Puis il me retourne encore, et me laisse le sucer à ma guise, encore plus longuement.
Je suis surpris par son développement d'érection, elle est énorme !
"Ohhhhhhhhhhh ! Pascal, tu suces tellement bien ! J'ai eu envie de toi, dès que je t'ai vu ! Ca va ? Ma bite ne te fais pas peur ?".
C'est vrai qu'il est très large, plus encore que la bite de Daniel, d'un bon centimètre et demi, beaucoup moins long, mais avec une très, très grosse circonférence.
En regardant sa grosse queue, je pense à un gros avant bras de 23 cm, par 6,5.
Je suis frustré de ne pas pouvoir le sucer comme il le mériterait, sa largeur extrême, m'empêche de faire comme d'habitude, mes lèvres sont trop écartelées.
"Tu es prêt ? Je peux essayer de te prendre ?".
"Euh, je suis curieux de savoir comment ça va se passer, j'ai peur et très envie à la fois !".
"On va voir ça, j'en peux plus d'attendre !".
Je me place au dessus de la table en lui offrant mon cul.
"On t'as déjà dit que t'avais un cul magnifique ?".
"Chhht, prends-moi ! Il sera moins beau, une fois que tu m'auras enculé ! Tu vas me détruire, je le sens !".
Il me salive encore abondamment l'anus, puis entreprend de me pénétrer enfin, en guidant sa grosse bite en se tenant à la base.
Je l'aide en écartelant mes fesses avec mes mains.
Il fait de courtes incursions de plus en plus profondes, puis son gland passe ma collerette anale en me faisant crier d'écartèlement extrême.
Je râle de bonheur et de légère douleur.
"Hummm, je sens que tu vas me plaire Pascal, j'aime déjà t'entendre ! J'adorai me branler pendant qu'on t'enculait dans la cabine, à coté de la mienne !".
Il fait deux nouvelles incursions, puis il pousse plus fermement, il s'oppose à ma résistance anale naturelle.
Mais il me colle contre la table et utilise toutes ses forces pour pousser dans mon anus et s'enfonce d'une traite.
Je râle encore plus fort, sa grosse queue me provoque de nombreux picotements autour de ma corolle anale.
Il vient de repousser mes limites anales en me provoquant de nouvelles déchirures.
"Ca va ? Pascal ?".
"Aïe ! Ouhhhh ! J'ai un peu mal, mais continues, c'est bon quand même ! Maintenant que tu y es ! Encules-moi ! Ce serait dommage de s'arrêter là ! Arhhhhhhhhhh ! Aïe !".
Ses premiers mouvements me font très vite orgasmer, le plaisir connu avec Daniel s'efface, je joui plus fort qu' avec lui.
Il déplace la table pendant sa saillie extrême, ses enfoncements sont accompagnés des crissements du meuble.
Fred me fait pivoter encore en m'enculant sur le dos, toujours sur la table.
Son retrait et son retour en moi me font crier encore.
"Aïe ! Arhhhhhhhhhh ! Oh putain Fred ! C'est trop gros ! Arhhhhhhhhhh !".
Il me burine sans fin en me disant qu'il adore mon corps et mon cul.
A force de coups de queues profonds, au fond de mon cul ou il frappe mes fesses avec ses couilles, il me fait abondamment couler de jus anal.
"Arhhhhhhhhh ! Ca j'adore ! T'as un cul génial ! Pascal ! Oh putain ! Qu'est-ce que c'est bon !".
Mon œillet est anesthésié par l'écartèlement extrême causé par sa taille, mais il reste surtout le plaisir qu'il me provoque en coulissant dans mon conduit anal.
Et c'est énorme, je joui sans discontinuer.
Il ne tient plus très longtemps, et se déverse en moi, qui vit mon énième orgasme anal.
Son éjaculation est agréablement longue, je ressens étonnamment bien ses éjections chaudes.
Ses mains puissantes me maintiennent enfoncé sur son membre, pris de spasmes.
Lentement, il fait coulisser sa grosse queue, hors de mon anus.
J'ai l'œillet éclaté, mais je serre les fesses puissamment.
"Fais moi plaisir ! Fais sortir mon sperme, j'adore voir ça !".
Je n'ai pas besoin de pousser, il me suffit de relâcher mon muscle pour que son foutre se repende entre mes fesses.
"Putain, c'est trop beau ! J'adore ce truc !".
J'en profite pour me vider complètement, pendant qu'il s'amuse à me remettre son gros sexe par moment.
Puis, je me rhabille devant lui, qui me dit:
"C'était bien ! Tu trouves pas ? J'aimerai bien te revoir ! Qu'est-ce que t'en penses ?".
Je lui souris.
"Aïe ! Oui ! Je veux bien ! Malgré la douleur, j'ai adoré moi aussi ! Ta sœur sait que tu aimes les mecs ?".
"Non ! Comme Corinne qui doit pas savoir que tu aimes te faire baiser !".
"Justement ! Elle le sait, elle accepte !".
"Non ! Putain, t'as de la chance !".
"Par contre, pour le boulot, je me sens pas ! Je suis trop fatigué quand je rentre du mien ! Désolé !".
"Pas grave, je m'en fous, je trouverai quelqu'un d'autre ! Mais tu me conviens mieux pour autre chose ! On va chez moi ? T'es pressé ?".
"Non, pas du tout ! Mais tu me laisses pas me remettre ? J'ai le cul en mauvais état ! J'ai besoin de réfléchir !".
"Super ! Merci Pascal !".
"Mais tu baises souvent des mecs au Sex-Shop ?".
"Ca va, mais c'est toujours les mêmes ! J'ai pas trop le choix !".
"C'est à dire ?".
"En fait, c'est deux vielles salopes ! J'aime pas particulièrement les baiser, mais il faut bien que je me défoule ! Ils sont tellement éclatés du cul, qu'ils n'ont plus l'air de ressentir grand chose ! Alors que toi, Tu jouis vraiment !".
"Du coup, j'ai la pression, je peux plus te dire non, pour tout à l'heure !".
Il m'embrasse avec vice et me conduit chez lui.
Il m'a encore enculé plusieurs fois, en me parlant crument.
Je le découvre, avec bonheur, très cérébral, et j'adore ça !
Malgré les fissures anales qu'il m'a provoqué, je joui comme rarement auparavant.
Il éjacule à la fin, en m'arrosant le visage et la gorge de son sperme chaud et salé.
Je suis rentré à mon appartement, avec les fesses anesthésiées, en allant m'assoir directement sur le canapé.
J'ai esquissé une grimace en posant mon cul, qui me fait mal, à cause des fissures, ce qui provoque une question de ma femme.
"Qu'est ce que tu as ? Ca s'est passé comment avec Fred ?".
"Super bien, mais désolé, j'irai pas bosser pour lui !".
"C'est pas grave, vous avez baisé ?".
"Oui ! Sur le chantier et chez lui ! Et je peux te dire que je l'ai senti passer !".
"Alors, il est comment ?".
"Très vicieux ! Mais je te raconterais ! Euh, je vais aux toilettes ! Désolé !".
Je me vide de nouvelles éjections de coulées anales, puis je m'essuie l'anus.
Je constate, comme je m'y attendais, que je saigne encore, cela faisait très longtemps que cela ne m'était plus arrivé.
Cette désagréable conséquence a duré quelques jours.
J'ai volontairement laissé passer du temps avant de revoir Fred.
Dans les semaines qui suivirent, Corinne m'a annoncé une bonne nouvelle, elle était enceinte de notre premier enfant.
Nous avons donc vu nos amants à l'extérieur pour respecter notre famille.
Puis, elle a très vite, mis ses écarts en stand by, jusqu'à environ une année, après sa grossesse.
Je ressens un vide énorme, bien sûr, on a cédé à la tentation, quelquefois, mais c'était lui faire plus de mal, ensuite.
Il m'a demandé de ne plus monter dans le bus, si je le vois à l'intérieur.
Du moins, au début, puis je resterai éloigné de lui.
Corinne aussi, ne voit plus Chris, depuis quelques mois auparavant.
Elle comble ses envies au club libertin.
Quand à moi, les lieux chauds pour hommes me soulagent, mais ne remplacent pas Daniel.
Cela dure quelques mois, ou je vois mon ancien amant s'afficher avec un autre homme.
On échange toujours un petit sourire, je suis heureux pour lui, malgré le manque.
Cette période de deuil amoureux a duré presque un an, puis j'ai repris gout à ma vie sans lui.
Corinne me parle d'un nouvel amant régulier, un libertin que lui a présenté, un amant occasionnel.
Ils s'entendent à merveille, et partage la même passion pour le sexe.
"Il me fait penser à Chris !". Me dit elle !
C'est quelque temps, après ce moment là qu'elle me parle d'une amie qui cherche un bon bricoleur pour aider Fred, son frère, moyennant rémunération sous le manteau.
"Il y en a pour deux Week-ends ! Elle lui a parlé de toi !".
"J'ai pas trop envie de passer mon temps libre à bricoler ! Mon amour !".
"Bon, écoutes ! Il vient ce soir avec ma copine ! Tu verras !".
L'entrevue se déroule bien, mais je vois bien que les regards de Fred sur moi n'ont rien d'amical.
Il a un physique ingrat et massif, avec dix centimètres de plus que moi.
Je n'arrive pas à deviner la taille, ni la forme de sa queue, seul un gros paquet difforme, gonfle sa braguette.
J'ai le sentiment qu'il cache son sexe avec des vêtements larges.
Durant toute l'entrevue, je n'ai qu'une crainte, que l'amie de ma femme devine la tension sexuelle entre son frère et moi.
Je conviens d'un rendez vous pour voir les lieux et donner ma réponse, c'est vrai que je suis un peu fainéant, si la tâche est trop difficile.
Quand ils sont partis, je demande à Corinne:
"Il est marié, Fred ?".
"Non, je crois pas ! Pourquoi ?".
"C'est bon, je pense qu'il est gay ! Il m'a pas lâché du regard, ce soir !".
"J'ai vu ! C'était gênant, d'ailleurs ! Il te plait ? Il est pas très beau pourtant !".
"Ben, tu sais que je réagi pas à la beauté, mais à ce qu'il dégage ! Et j'avoue qu'il m'a donné envie de lui ! Et puis, il a un visage sympathique, quand il sourit !".
"C'est vrai que ce qui compte, c'est comment il baise ! Ecoutes ! Tu fais comme tu le sens ! Si t'as envie, fonces !".
Le samedi matin convenu, il passe me prendre en voiture.
On plaisante un peu, mais on ne parvient pas à effacer une certaine gêne entre nous, J'ai la gorge nouée, ce type m'excite énormément.
Il me dit qu'il a 47 ans, me parle de son expérience professionnelle, je lui parle de la mienne.
Il me tapote sur la cuisse, en disant:
"Je suis content de te connaitre, depuis le temps que ma sœur me parle du mari de Corinne ! Je suis content que ce soit toi ! Si j'avais su ! J'aurai accepté de te connaitre plus tôt !".
Je suis saisi de frissons, lorsqu'il me serre le bas de la cuisse, puis l'enlève en voyant ma gêne.
"Excuses-moi !".
"Oh, c'est rien !".
Il me montre le travail à effectuer, la tache est immense.
La tension sexuelle est énorme entre nous.
Puis, on arrive devant une baie vitrée très poussiéreuse, mais on devine une vue magnifique à travers.
Je fais un rond de propreté avec ma main pour regarder à travers, avec une idée salace derrière la tête.
Le rond est au niveau de mon ventre, au lieu de mon œil, je me baisse en cambrant les fesses pour admirer la vue.
Je lui dis:
"Je comprend pourquoi, tu tiens à cet endroit, c'est une vue magnifique !".
"Oui, mais j'en ai une autre aujourd'hui ! Ne restes pas comme ça, s'il te plait !".
Je me tourne et comprend qu'il matait mon cul, il a compris le message, j'ai réussi mon coup.
Il s'approche et m'enserre en ajoutant:
"C'est pas grave, si tu veux pas bosser avec moi, mais tu me plais trop ! Pascal ! Ca fait trop longtemps que tu me plais !".
"Trop longtemps ? Comment ça ? On se connait depuis une semaine !".
"Non, je t'ai déja vu !".
"Ou ça ?".
"Au Sex Shop ! Plusieurs fois ! Je t'ai vu 2 fois, te faire baiser par le métis de la caisse ! Et tu le sais pas, mais tu m'as sucé sans le savoir ! La deuxième fois j'en ai profité pour passer ma queue dans le Glory Hole !".
"Ah ! Désolé, je suis surpris, je ne t'ai pas remarqué ! J'espère que je t'ai pas déçu !".
"Oh, non, j'ai adoré ! Surtout quand j'ai compris que tu restais enfoncé sur ma bite, quand j'ai éjaculé, c'était génial !".
"Mais pourquoi, tu ne m'as pas abordé ?".
"T'as vu ma gueule ! Quand j'ai vu le métis te baiser, je me suis dis que je n'avais aucune chance ! C'est un beau mec !"
Pour lui répondre, je caresse sa bite et l'embrasse aussitôt.
Il me pousse avec douceur vers une table ancienne qui lui sert à bricoler.
On agit dans l'urgence, je me retrouve nu devant lui.
Il me pivote pour me dévorer l'anus comme un affamé.
Il me lèche très longuement tout en se déshabillant.
Il me parle en me dévorant l'anus, me couvre de phrases qui trahissent son désir envers moi.
Puis il me retourne encore, et me laisse le sucer à ma guise, encore plus longuement.
Je suis surpris par son développement d'érection, elle est énorme !
"Ohhhhhhhhhhh ! Pascal, tu suces tellement bien ! J'ai eu envie de toi, dès que je t'ai vu ! Ca va ? Ma bite ne te fais pas peur ?".
C'est vrai qu'il est très large, plus encore que la bite de Daniel, d'un bon centimètre et demi, beaucoup moins long, mais avec une très, très grosse circonférence.
En regardant sa grosse queue, je pense à un gros avant bras de 23 cm, par 6,5.
Je suis frustré de ne pas pouvoir le sucer comme il le mériterait, sa largeur extrême, m'empêche de faire comme d'habitude, mes lèvres sont trop écartelées.
"Tu es prêt ? Je peux essayer de te prendre ?".
"Euh, je suis curieux de savoir comment ça va se passer, j'ai peur et très envie à la fois !".
"On va voir ça, j'en peux plus d'attendre !".
Je me place au dessus de la table en lui offrant mon cul.
"On t'as déjà dit que t'avais un cul magnifique ?".
"Chhht, prends-moi ! Il sera moins beau, une fois que tu m'auras enculé ! Tu vas me détruire, je le sens !".
Il me salive encore abondamment l'anus, puis entreprend de me pénétrer enfin, en guidant sa grosse bite en se tenant à la base.
Je l'aide en écartelant mes fesses avec mes mains.
Il fait de courtes incursions de plus en plus profondes, puis son gland passe ma collerette anale en me faisant crier d'écartèlement extrême.
Je râle de bonheur et de légère douleur.
"Hummm, je sens que tu vas me plaire Pascal, j'aime déjà t'entendre ! J'adorai me branler pendant qu'on t'enculait dans la cabine, à coté de la mienne !".
Il fait deux nouvelles incursions, puis il pousse plus fermement, il s'oppose à ma résistance anale naturelle.
Mais il me colle contre la table et utilise toutes ses forces pour pousser dans mon anus et s'enfonce d'une traite.
Je râle encore plus fort, sa grosse queue me provoque de nombreux picotements autour de ma corolle anale.
Il vient de repousser mes limites anales en me provoquant de nouvelles déchirures.
"Ca va ? Pascal ?".
"Aïe ! Ouhhhh ! J'ai un peu mal, mais continues, c'est bon quand même ! Maintenant que tu y es ! Encules-moi ! Ce serait dommage de s'arrêter là ! Arhhhhhhhhhh ! Aïe !".
Ses premiers mouvements me font très vite orgasmer, le plaisir connu avec Daniel s'efface, je joui plus fort qu' avec lui.
Il déplace la table pendant sa saillie extrême, ses enfoncements sont accompagnés des crissements du meuble.
Fred me fait pivoter encore en m'enculant sur le dos, toujours sur la table.
Son retrait et son retour en moi me font crier encore.
"Aïe ! Arhhhhhhhhhh ! Oh putain Fred ! C'est trop gros ! Arhhhhhhhhhh !".
Il me burine sans fin en me disant qu'il adore mon corps et mon cul.
A force de coups de queues profonds, au fond de mon cul ou il frappe mes fesses avec ses couilles, il me fait abondamment couler de jus anal.
"Arhhhhhhhhh ! Ca j'adore ! T'as un cul génial ! Pascal ! Oh putain ! Qu'est-ce que c'est bon !".
Mon œillet est anesthésié par l'écartèlement extrême causé par sa taille, mais il reste surtout le plaisir qu'il me provoque en coulissant dans mon conduit anal.
Et c'est énorme, je joui sans discontinuer.
Il ne tient plus très longtemps, et se déverse en moi, qui vit mon énième orgasme anal.
Son éjaculation est agréablement longue, je ressens étonnamment bien ses éjections chaudes.
Ses mains puissantes me maintiennent enfoncé sur son membre, pris de spasmes.
Lentement, il fait coulisser sa grosse queue, hors de mon anus.
J'ai l'œillet éclaté, mais je serre les fesses puissamment.
"Fais moi plaisir ! Fais sortir mon sperme, j'adore voir ça !".
Je n'ai pas besoin de pousser, il me suffit de relâcher mon muscle pour que son foutre se repende entre mes fesses.
"Putain, c'est trop beau ! J'adore ce truc !".
J'en profite pour me vider complètement, pendant qu'il s'amuse à me remettre son gros sexe par moment.
Puis, je me rhabille devant lui, qui me dit:
"C'était bien ! Tu trouves pas ? J'aimerai bien te revoir ! Qu'est-ce que t'en penses ?".
Je lui souris.
"Aïe ! Oui ! Je veux bien ! Malgré la douleur, j'ai adoré moi aussi ! Ta sœur sait que tu aimes les mecs ?".
"Non ! Comme Corinne qui doit pas savoir que tu aimes te faire baiser !".
"Justement ! Elle le sait, elle accepte !".
"Non ! Putain, t'as de la chance !".
"Par contre, pour le boulot, je me sens pas ! Je suis trop fatigué quand je rentre du mien ! Désolé !".
"Pas grave, je m'en fous, je trouverai quelqu'un d'autre ! Mais tu me conviens mieux pour autre chose ! On va chez moi ? T'es pressé ?".
"Non, pas du tout ! Mais tu me laisses pas me remettre ? J'ai le cul en mauvais état ! J'ai besoin de réfléchir !".
"Super ! Merci Pascal !".
"Mais tu baises souvent des mecs au Sex-Shop ?".
"Ca va, mais c'est toujours les mêmes ! J'ai pas trop le choix !".
"C'est à dire ?".
"En fait, c'est deux vielles salopes ! J'aime pas particulièrement les baiser, mais il faut bien que je me défoule ! Ils sont tellement éclatés du cul, qu'ils n'ont plus l'air de ressentir grand chose ! Alors que toi, Tu jouis vraiment !".
"Du coup, j'ai la pression, je peux plus te dire non, pour tout à l'heure !".
Il m'embrasse avec vice et me conduit chez lui.
Il m'a encore enculé plusieurs fois, en me parlant crument.
Je le découvre, avec bonheur, très cérébral, et j'adore ça !
Malgré les fissures anales qu'il m'a provoqué, je joui comme rarement auparavant.
Il éjacule à la fin, en m'arrosant le visage et la gorge de son sperme chaud et salé.
Je suis rentré à mon appartement, avec les fesses anesthésiées, en allant m'assoir directement sur le canapé.
J'ai esquissé une grimace en posant mon cul, qui me fait mal, à cause des fissures, ce qui provoque une question de ma femme.
"Qu'est ce que tu as ? Ca s'est passé comment avec Fred ?".
"Super bien, mais désolé, j'irai pas bosser pour lui !".
"C'est pas grave, vous avez baisé ?".
"Oui ! Sur le chantier et chez lui ! Et je peux te dire que je l'ai senti passer !".
"Alors, il est comment ?".
"Très vicieux ! Mais je te raconterais ! Euh, je vais aux toilettes ! Désolé !".
Je me vide de nouvelles éjections de coulées anales, puis je m'essuie l'anus.
Je constate, comme je m'y attendais, que je saigne encore, cela faisait très longtemps que cela ne m'était plus arrivé.
Cette désagréable conséquence a duré quelques jours.
J'ai volontairement laissé passer du temps avant de revoir Fred.
Dans les semaines qui suivirent, Corinne m'a annoncé une bonne nouvelle, elle était enceinte de notre premier enfant.
Nous avons donc vu nos amants à l'extérieur pour respecter notre famille.
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