Fred, l'amant au physique ingrat.2
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Fred, l'amant au physique ingrat.2
Ma relation avec Fred a évolué vers une complicité sexuelle, mais très perverse et vicieuse surtout.
A notre deuxième rencontre, dix jours après la première, il m'a fait des reproches:
"Pourquoi t'es pas venu plus tôt ? J'ai été obligé de me retaper un des deux vieux du Sex-Shop ! T'es pas sympa !".
"Excuses-moi, mais tu m'a laissé des traces ! J'avais besoin de cicatriser !".
"Oups ! Désolé ! Ca va mieux ?".
"Oui ! Sinon, je ne serai pas là !".
"Génial, installes toi dans le salon, je te sers un verre !".
Je fais ce qu'il me dit, pendant qu'il ramène de quoi boire, puis, il s'excuse:
"Ne m'en veux pas, je t'avoues que je suis en manque, quand t'es pas là ! J'ai pas arrêté de penser à l'autre jour ! Du coup, j'ai cru que tu m'avais trouvé trop pervers !".
"Ah, ah, mais non, au contraire, Je suis aussi vicieux que toi, je crois ! J'ai adoré tout ce qu'on a fait !".
Il me parle de son coté vicieux.
"Donc tu as aimé quand je t'ai demandé de faire couler mon sperme de ton cul, la dernière fois ?".
"Oui, j'ai aimé !".
"Je peux me lâcher alors ?".
"Oui, ça ne me déranges pas du tout ! Pourquoi, tu me dis ça ?".
Il appuie sur le bouton du magnétoscope et change le canal de sa TV, pour trouver le canal vidéo.
Un film porno montre un jeune blanc, qui pourrai être moi, se faire entreprendre par un homme mûr, de couleur.
"Parce que j'adore regarder des films pornos avec des jeunes comme toi ! Ca te choque ?".
"Pas du tout ! Mais je préfère le faire, que le voir !".
Sur l'écran, le jeune se fait violer la gorge par le black, il salive énormément sur le gros sexe noir.
"Tu veux pas te foutre à poil que je te fasse la même chose ?".
Je lui fais un grand sourire en me dévoilant devant ses yeux.
Il enlève son pantalon, son énorme sexe est dressé devant moi, comme un obus.
"J'ai envie que tu sois ma salope, j'aimerai réaliser mes fantasmes avec toi !".
"Ecoutes ! Fais toi plaisir ! Pour le moment, je prend du plaisir ! Donc allons y !".
Je pose mes doigts autour de son énorme pieu, sans pouvoir en faire le tour.
J'ouvre mes lèvres au maximum, il s'engouffre dans ma gorge.
Il me laisse d'abord le lécher amoureusement, de son gland, jusqu'aux testicules.
Je me déforme la gorge en m'enfonçant à l'extrême sur son gland.
Puis il prend la direction de la fellation, en me défonçant la gorge.
"Oui, comme ça, ouvres la bouche, sale pute ! Tu l'aimes ma grosse bite, pas vrai ?".
"Rhhhhlllllllhhhhrrrrrrrrrr ! Rhhhhlllllllhhhhrrrrrrrrrr ! Rhhhhlllllllhhhhrrrrrrrrrr !".
Je ne peux évidement pas répondre, ses allers retours vicieux me font bander d'excitation.
Je ne sais pas pourquoi, mais son physique ingrat et sa relative laideur ajoute à mon plaisir cérébral.
J'aime me dire que cet homme, repoussant pour les autres, fasse de moi sa pute.
Il me fait jouir, et c'est le principal.
Il me fait abondamment saliver sur son sexe, puis il m'attrape par le haut du bras pour me placer en bout de table, comme une poupée gonflable.
Il revient avec des doses de gel, prises au Sex-Shop.
Il en ouvre une et m'appuie sur le creux du dos pour m'enduire l'anus.
"Regardes comme il se fait défoncer, le jeune ! Toi aussi, tu vas y passer, je vais te casser le cul !".
En effet, le garçon se fait éclater l'anus par le vieux black, qui a une queue très longue, mais beaucoup moins large que Fred !
"Oui, mais lui, il est moins gros que toi ! Huhhhhhhhhhhhh !".
Son gland est collé contre mon œillet, qui ressent déjà sa forte poussée.
"Et alors ? Salope ! Tu l'as encaissé la dernière fois ! Non ?".
"Arhhh ! Oui ! Mais vas y doucement, je veux ressentir que du plaisir !".
"T'inquiètes pas, je vais y aller doucement ! Mais pas trop, non plus, j'en peux plus ! Moi !".
Il m'imprime de nombreux petits assauts qui commencent à m'ouvrir un peu analement.
Je me sens déjà écartelé au maximum, mais son gland ne passe toujours pas ma corole anale.
"Arhhhhhhhhhh ! Arrêtes Fred ! On va faire autrement ! Je veux pas saigner ! Allonges toi sur la table !".
Il se place sous moi, puis m'impose de lui tourner le dos pour m'empaler sur lui.
Il guide son pieu entre mes fesses, puis me laisse faire.
"Allez vas-y salope ! Encules-toi !".
"Arhhhhhhhh ! Oh Putain, j'avais oublié comme tu étais gros ! Ouhhhhhhhhhffffff !".
La position est tout de même plus propice à la pénétration, je sens que mon anus se détend, peu à peu.
Décidément, l'anus a des possibilités énormes, très lentement, sous mon propre poids, il s'ouvre progressivement.
Il me donne une impression d'écartèlement anal immense.
Puis après plusieurs minutes, j'ai un très long râle en le sentant me transpercer et me déchirer les parois intestinales.
Il entre en moi très lentement.
"Arhhhhhhhhhh ! Fred ! Arhhhhhhhhhh !".
"Oh, c'est trop bon, enfin, je suis dans ton cul ! Allez, baises-moi maintenant !".
A chaque enfoncement, je pousse un long râle, je prend très rapidement un orgasme intense.
Après cinq bonnes minutes, mon anus commence à lubrifier sa grosse bite.
Je coulisse de plus en plus aisément sur lui.
Il profite d'un moment ou je me reprend, enfoncé à fond jusqu'à ses couilles, pour me soulever et me remettre en levrette.
"Maintenant, à moi ! Je vais te casser le cul comme tu le mèrites ! T'es ma pute ! N'oublies pas !".
Il s'enfonce d'un coup sec, aidé de mon jus anal, et se déchaine aussitôt.
"Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Fred ! T'es dingue ! Arhhhhhhhhhh !".
Il continue en m'insultant, m'ordonne de lui dire que je suis sa pute, etc...
Je lui avoue que j'adore être sa chose, je veux qu'il profite de moi à sa guise.
Lors d'un changement de position, je lui dis:
"Oh, Putain ! Fred ! J'arrête pas de jouir du cul ! Tu me rends dingue ! J'adore être ta salope !".
"T'es génial ! Ca fait longtemps que je rêve d'un mec comme toi ! Je vais encore te casser le cul ! Tiens !".
"Argggggggggggghhhhhhhhh ! Oui ! Encorrrrrrrrrrrrrrrrre !".
Il me défonce sur le dos, je suis vouté sous lui, je vois son énorme bite qui m'écartèle l'anus.
Il voit que je bande pendant qu'il me transperce le cul.
"Tu veux que je te branle ?".
"Argggggggggggghhhhhhhhh ! Non, c'est pas la peine, je vais lâcher mon jus quand même !".
Ma bite est secouée par ses coups violents, puis un filet de sperme me coule sur le menton.
Plusieurs écoulements profitent de ma bouche ouverte par mes râles de jouissance, pour s'y engouffrer.
Fred ne contrôle rien et mon visage se retrouve maculé également.
"Putain ! Pascal, tu m'excites trop ! J'adore t'enculer comme ça ! Je vais lâcher ma purée, moi aussi !".
Il me fait retomber aà l'horizontale et se déchaine pour éjaculer.
A peine deux minutes plus tard, il enchaine les râles et les grognements en se déversant dans mon cul.
Je suis pris d'écoulement de liquide doré, pendant ses derniers assauts, je me macule le ventre en jouissant une dernière fois avec lui.
"Ouah, c'est quoi ça ? J'adore !".
"Je sais pas trop, ça sent moins que l'urine, mais c'est super fort comme plaisir, c'est parce que tu me sollicites beaucoup la prostate !".
"Hummm ! C'est pervers, j'adore !".
Il sort de mon anus éclaté et va chercher un verre vide.
Il m'ordonne, en collant le bord du récipient sous mon anus.
"Allez salope, montres-moi ce que je t'ai mis ! Vides-toi le cul !".
Son vice me perturbe, mais je fais ce qu'il dit, je pousse très peu, le foutre épais et gluant s'écoule dans le verre, en plusieurs coulées abondantes.
Il vient vers moi et ajoute:
"Allez ! Bois mon foutre ! Faut pas gâcher !".
Je m'exécute, soumis à ses désirs pervers.
Puis, il s'assoie sur son canapé.
Je l'y rejoins en m'allongeant avec la tête sur sa queue.
"Lèches-moi, comme au Glory Hole, j'adore ça !".
Je lui donne avec envie ce plaisir partagé.
La sensation de mon anus qui est anesthésié par la sodomie, ajoute à ma perversité.
"J'ai bien joui, ma petite salope ! C'était bon ! Tu reviendras vite ! D'accord ?".
"Oui ! Mais j'ai une vie de couple aussi !".
"Je m'en fous ! T'es ma pute, je veux te baiser plus souvent ! S'il le faut, j'en parlerai à ta femme !".
"Euh, t'es fou !".
"Pourquoi pas, elle sait que je te baise non ?".
"Oui !".
"Ben, alors !".
A force de longue fellation passionnée de remerciement, je me rend compte qu'il ne débande pas.
"Fred ! Tu bandes toujours, c'est normal ?".
"Je suis trop excité, tu vas encore te faire démonter mon chéri ! Fermes les yeux, je veux pas que tu vois ce que je fais !".
Je l'entend faire plusieurs bruits suspects, puis éteindre un appareil, éjecter une cassette vidéo et en mettre une autre.
Il me place encore, en bout de table, met un coussin sous moi et me pénètre d'un coup très profondément.
"C'est bon, tu peux ouvrir les yeux !".
Je suis face a la télévision qui me montre en train de me faire défoncer la gorge par Fred, il m'a filmé à mon insu !
"Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Fred ! Pourquoi tu m'as pas demandé ! Arhhhhhhhhhh !".
"T'es ma pute ! Je fais ce que je veux ! Regardes comme t'es une bonne salope !".
Je joui analement en fixant l'écran.
Les sodomies sauvages s'enchainent, il me détruit l'anus encore plus longtemps que la première fois.
La vue de son énorme bite qui me déchire le cul m'a rendu dingue, et je joui encore avec elle, je suis aux anges !
J'ai le spectacle de mon anus éclaté sur l'écran qui rejette son foutre dans le verre, il m'a transformé en soumis extrême.
Il lui faut encore un long moment, avant de sortir de mon cul et m'embrocher la gorge pour se vider de sa deuxième éjaculation.
Le sol est maculé de mes écoulements liquides.
Lorsqu'il a terminé de se vider les couilles, il s'écarte pour se laisser tomber sur son canapé.
"Ouuuaaahhhhh ! J'ai jamais été comme ça ! C'était géant ! Putain, Tu m'as vidé !".
Quand à moi, je me laisse tomber au sol et reprend lentement mes esprits.
"Pascal ? Tu dis plus rien ? Ca va ?".
Ma première réaction est de laisser échapper une énorme flatulence anale.
"Putain, j'ai jamais eu le cul dans cet état ! T'es un fou !".
Après un petit instant de repos, il m'aide à me relever et je vais me doucher avec lui.
Il devient plus tendre et sensuel, la tension sexuelle est tombée.
Il me prodigue de nombreux baisers passionnés.
Puis, on ressort nus et séchés, ensemble.
"Tu t'en vas ?". Me dit-il.
"T'es fou, je peux pas rentrer comme ça, je vais attendre que mon cul se remette un peu !".
On constate les dégâts sur le sol, il va dans la cuisine pour prendre un rouleau d'essuie tout.
Je l'aide, et il en profite pour stopper la caméra.
"Tu filmais encore ? J'y crois pas !".
"N'aie pas peur, c'est que pour mon plaisir personnel !".
"Ok, mais si on arrête de se voir, tu vas en faire quoi ?".
"Je les effacerai ! Je te le promets, mais t'as qu'à rester avec moi ! C'est simple !".
Désormais, en allant le voir, j'assisterai à nos ébats les plus récents, comme film porno.
Il me dit qu'il se branle sans arrêt en matant mes exploits.
Je suis rentré avec encore quelques fissures anales, mais de moindre importance que la première fois.
A notre deuxième rencontre, dix jours après la première, il m'a fait des reproches:
"Pourquoi t'es pas venu plus tôt ? J'ai été obligé de me retaper un des deux vieux du Sex-Shop ! T'es pas sympa !".
"Excuses-moi, mais tu m'a laissé des traces ! J'avais besoin de cicatriser !".
"Oups ! Désolé ! Ca va mieux ?".
"Oui ! Sinon, je ne serai pas là !".
"Génial, installes toi dans le salon, je te sers un verre !".
Je fais ce qu'il me dit, pendant qu'il ramène de quoi boire, puis, il s'excuse:
"Ne m'en veux pas, je t'avoues que je suis en manque, quand t'es pas là ! J'ai pas arrêté de penser à l'autre jour ! Du coup, j'ai cru que tu m'avais trouvé trop pervers !".
"Ah, ah, mais non, au contraire, Je suis aussi vicieux que toi, je crois ! J'ai adoré tout ce qu'on a fait !".
Il me parle de son coté vicieux.
"Donc tu as aimé quand je t'ai demandé de faire couler mon sperme de ton cul, la dernière fois ?".
"Oui, j'ai aimé !".
"Je peux me lâcher alors ?".
"Oui, ça ne me déranges pas du tout ! Pourquoi, tu me dis ça ?".
Il appuie sur le bouton du magnétoscope et change le canal de sa TV, pour trouver le canal vidéo.
Un film porno montre un jeune blanc, qui pourrai être moi, se faire entreprendre par un homme mûr, de couleur.
"Parce que j'adore regarder des films pornos avec des jeunes comme toi ! Ca te choque ?".
"Pas du tout ! Mais je préfère le faire, que le voir !".
Sur l'écran, le jeune se fait violer la gorge par le black, il salive énormément sur le gros sexe noir.
"Tu veux pas te foutre à poil que je te fasse la même chose ?".
Je lui fais un grand sourire en me dévoilant devant ses yeux.
Il enlève son pantalon, son énorme sexe est dressé devant moi, comme un obus.
"J'ai envie que tu sois ma salope, j'aimerai réaliser mes fantasmes avec toi !".
"Ecoutes ! Fais toi plaisir ! Pour le moment, je prend du plaisir ! Donc allons y !".
Je pose mes doigts autour de son énorme pieu, sans pouvoir en faire le tour.
J'ouvre mes lèvres au maximum, il s'engouffre dans ma gorge.
Il me laisse d'abord le lécher amoureusement, de son gland, jusqu'aux testicules.
Je me déforme la gorge en m'enfonçant à l'extrême sur son gland.
Puis il prend la direction de la fellation, en me défonçant la gorge.
"Oui, comme ça, ouvres la bouche, sale pute ! Tu l'aimes ma grosse bite, pas vrai ?".
"Rhhhhlllllllhhhhrrrrrrrrrr ! Rhhhhlllllllhhhhrrrrrrrrrr ! Rhhhhlllllllhhhhrrrrrrrrrr !".
Je ne peux évidement pas répondre, ses allers retours vicieux me font bander d'excitation.
Je ne sais pas pourquoi, mais son physique ingrat et sa relative laideur ajoute à mon plaisir cérébral.
J'aime me dire que cet homme, repoussant pour les autres, fasse de moi sa pute.
Il me fait jouir, et c'est le principal.
Il me fait abondamment saliver sur son sexe, puis il m'attrape par le haut du bras pour me placer en bout de table, comme une poupée gonflable.
Il revient avec des doses de gel, prises au Sex-Shop.
Il en ouvre une et m'appuie sur le creux du dos pour m'enduire l'anus.
"Regardes comme il se fait défoncer, le jeune ! Toi aussi, tu vas y passer, je vais te casser le cul !".
En effet, le garçon se fait éclater l'anus par le vieux black, qui a une queue très longue, mais beaucoup moins large que Fred !
"Oui, mais lui, il est moins gros que toi ! Huhhhhhhhhhhhh !".
Son gland est collé contre mon œillet, qui ressent déjà sa forte poussée.
"Et alors ? Salope ! Tu l'as encaissé la dernière fois ! Non ?".
"Arhhh ! Oui ! Mais vas y doucement, je veux ressentir que du plaisir !".
"T'inquiètes pas, je vais y aller doucement ! Mais pas trop, non plus, j'en peux plus ! Moi !".
Il m'imprime de nombreux petits assauts qui commencent à m'ouvrir un peu analement.
Je me sens déjà écartelé au maximum, mais son gland ne passe toujours pas ma corole anale.
"Arhhhhhhhhhh ! Arrêtes Fred ! On va faire autrement ! Je veux pas saigner ! Allonges toi sur la table !".
Il se place sous moi, puis m'impose de lui tourner le dos pour m'empaler sur lui.
Il guide son pieu entre mes fesses, puis me laisse faire.
"Allez vas-y salope ! Encules-toi !".
"Arhhhhhhhh ! Oh Putain, j'avais oublié comme tu étais gros ! Ouhhhhhhhhhffffff !".
La position est tout de même plus propice à la pénétration, je sens que mon anus se détend, peu à peu.
Décidément, l'anus a des possibilités énormes, très lentement, sous mon propre poids, il s'ouvre progressivement.
Il me donne une impression d'écartèlement anal immense.
Puis après plusieurs minutes, j'ai un très long râle en le sentant me transpercer et me déchirer les parois intestinales.
Il entre en moi très lentement.
"Arhhhhhhhhhh ! Fred ! Arhhhhhhhhhh !".
"Oh, c'est trop bon, enfin, je suis dans ton cul ! Allez, baises-moi maintenant !".
A chaque enfoncement, je pousse un long râle, je prend très rapidement un orgasme intense.
Après cinq bonnes minutes, mon anus commence à lubrifier sa grosse bite.
Je coulisse de plus en plus aisément sur lui.
Il profite d'un moment ou je me reprend, enfoncé à fond jusqu'à ses couilles, pour me soulever et me remettre en levrette.
"Maintenant, à moi ! Je vais te casser le cul comme tu le mèrites ! T'es ma pute ! N'oublies pas !".
Il s'enfonce d'un coup sec, aidé de mon jus anal, et se déchaine aussitôt.
"Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Fred ! T'es dingue ! Arhhhhhhhhhh !".
Il continue en m'insultant, m'ordonne de lui dire que je suis sa pute, etc...
Je lui avoue que j'adore être sa chose, je veux qu'il profite de moi à sa guise.
Lors d'un changement de position, je lui dis:
"Oh, Putain ! Fred ! J'arrête pas de jouir du cul ! Tu me rends dingue ! J'adore être ta salope !".
"T'es génial ! Ca fait longtemps que je rêve d'un mec comme toi ! Je vais encore te casser le cul ! Tiens !".
"Argggggggggggghhhhhhhhh ! Oui ! Encorrrrrrrrrrrrrrrrre !".
Il me défonce sur le dos, je suis vouté sous lui, je vois son énorme bite qui m'écartèle l'anus.
Il voit que je bande pendant qu'il me transperce le cul.
"Tu veux que je te branle ?".
"Argggggggggggghhhhhhhhh ! Non, c'est pas la peine, je vais lâcher mon jus quand même !".
Ma bite est secouée par ses coups violents, puis un filet de sperme me coule sur le menton.
Plusieurs écoulements profitent de ma bouche ouverte par mes râles de jouissance, pour s'y engouffrer.
Fred ne contrôle rien et mon visage se retrouve maculé également.
"Putain ! Pascal, tu m'excites trop ! J'adore t'enculer comme ça ! Je vais lâcher ma purée, moi aussi !".
Il me fait retomber aà l'horizontale et se déchaine pour éjaculer.
A peine deux minutes plus tard, il enchaine les râles et les grognements en se déversant dans mon cul.
Je suis pris d'écoulement de liquide doré, pendant ses derniers assauts, je me macule le ventre en jouissant une dernière fois avec lui.
"Ouah, c'est quoi ça ? J'adore !".
"Je sais pas trop, ça sent moins que l'urine, mais c'est super fort comme plaisir, c'est parce que tu me sollicites beaucoup la prostate !".
"Hummm ! C'est pervers, j'adore !".
Il sort de mon anus éclaté et va chercher un verre vide.
Il m'ordonne, en collant le bord du récipient sous mon anus.
"Allez salope, montres-moi ce que je t'ai mis ! Vides-toi le cul !".
Son vice me perturbe, mais je fais ce qu'il dit, je pousse très peu, le foutre épais et gluant s'écoule dans le verre, en plusieurs coulées abondantes.
Il vient vers moi et ajoute:
"Allez ! Bois mon foutre ! Faut pas gâcher !".
Je m'exécute, soumis à ses désirs pervers.
Puis, il s'assoie sur son canapé.
Je l'y rejoins en m'allongeant avec la tête sur sa queue.
"Lèches-moi, comme au Glory Hole, j'adore ça !".
Je lui donne avec envie ce plaisir partagé.
La sensation de mon anus qui est anesthésié par la sodomie, ajoute à ma perversité.
"J'ai bien joui, ma petite salope ! C'était bon ! Tu reviendras vite ! D'accord ?".
"Oui ! Mais j'ai une vie de couple aussi !".
"Je m'en fous ! T'es ma pute, je veux te baiser plus souvent ! S'il le faut, j'en parlerai à ta femme !".
"Euh, t'es fou !".
"Pourquoi pas, elle sait que je te baise non ?".
"Oui !".
"Ben, alors !".
A force de longue fellation passionnée de remerciement, je me rend compte qu'il ne débande pas.
"Fred ! Tu bandes toujours, c'est normal ?".
"Je suis trop excité, tu vas encore te faire démonter mon chéri ! Fermes les yeux, je veux pas que tu vois ce que je fais !".
Je l'entend faire plusieurs bruits suspects, puis éteindre un appareil, éjecter une cassette vidéo et en mettre une autre.
Il me place encore, en bout de table, met un coussin sous moi et me pénètre d'un coup très profondément.
"C'est bon, tu peux ouvrir les yeux !".
Je suis face a la télévision qui me montre en train de me faire défoncer la gorge par Fred, il m'a filmé à mon insu !
"Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Fred ! Pourquoi tu m'as pas demandé ! Arhhhhhhhhhh !".
"T'es ma pute ! Je fais ce que je veux ! Regardes comme t'es une bonne salope !".
Je joui analement en fixant l'écran.
Les sodomies sauvages s'enchainent, il me détruit l'anus encore plus longtemps que la première fois.
La vue de son énorme bite qui me déchire le cul m'a rendu dingue, et je joui encore avec elle, je suis aux anges !
J'ai le spectacle de mon anus éclaté sur l'écran qui rejette son foutre dans le verre, il m'a transformé en soumis extrême.
Il lui faut encore un long moment, avant de sortir de mon cul et m'embrocher la gorge pour se vider de sa deuxième éjaculation.
Le sol est maculé de mes écoulements liquides.
Lorsqu'il a terminé de se vider les couilles, il s'écarte pour se laisser tomber sur son canapé.
"Ouuuaaahhhhh ! J'ai jamais été comme ça ! C'était géant ! Putain, Tu m'as vidé !".
Quand à moi, je me laisse tomber au sol et reprend lentement mes esprits.
"Pascal ? Tu dis plus rien ? Ca va ?".
Ma première réaction est de laisser échapper une énorme flatulence anale.
"Putain, j'ai jamais eu le cul dans cet état ! T'es un fou !".
Après un petit instant de repos, il m'aide à me relever et je vais me doucher avec lui.
Il devient plus tendre et sensuel, la tension sexuelle est tombée.
Il me prodigue de nombreux baisers passionnés.
Puis, on ressort nus et séchés, ensemble.
"Tu t'en vas ?". Me dit-il.
"T'es fou, je peux pas rentrer comme ça, je vais attendre que mon cul se remette un peu !".
On constate les dégâts sur le sol, il va dans la cuisine pour prendre un rouleau d'essuie tout.
Je l'aide, et il en profite pour stopper la caméra.
"Tu filmais encore ? J'y crois pas !".
"N'aie pas peur, c'est que pour mon plaisir personnel !".
"Ok, mais si on arrête de se voir, tu vas en faire quoi ?".
"Je les effacerai ! Je te le promets, mais t'as qu'à rester avec moi ! C'est simple !".
Désormais, en allant le voir, j'assisterai à nos ébats les plus récents, comme film porno.
Il me dit qu'il se branle sans arrêt en matant mes exploits.
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