Fred, l'amant de Lisa devient plus présent dans notre couple. - histoire érotique

Comme ils ne se gênaient plus, parce que j'étais au courant de leur relation, je les ai surpris de nombreuses fois.
Il y a eu aussi, une forme d'amitié, entre lui et moi. Je n'étais plus un obstacle à leurs rencontres.
Il lui arrivait de débarquer quand j'étais là, et ils baisaient sans s'occuper de moi.
Enfin, si on veux, puisque cela n'a duré que pendant les deux mois (été) d'absence de notre fille.
Lors de nos rares rapports, j'ai immanquablement remarqué les sollicitations abusives de son vagin, et la docilité de son anus, souvent déjà lubrifié intérieurement par le sperme de Fred.
Malgré tout, même si je suis candauliste, je ne me sens pas cocu soumis, donc ce n'est pas simple à gérer, j'avais l'impression de lui laisser la place et de ramasser les miettes, tout en étant demandeur.
Je pensais passer en second, je surveillais tout ça en demandant souvent à ma belle, si elle m'aimait toujours, elle m'a toujours rassuré.
Mais mon travail éteignait ma libido, je ne la sollicitai que pour faire l'amour tendrement et rarement.
Je me souviens, ça devait être un Lundi, puisqu'elle ne l'avait pas vu depuis 3 jours, et que nous n'avions pas baisé ensemble (ça arrive, même à nous!) pendant le week-end.
On est devant la télé, je la sens préoccupée et un peu sur les nerfs, il est 19 heures.
Puis la sonnette retentit, elle se jette sur l'interphone pour appuyer sur l'ouvre porte.
Fred arrive:"Bonsoir! Lisa, Patrick! Salut!".
"Pourquoi t'es en retard?".
"Oh, ma belle, on se calme, Jacques est venu me remplacer une heure plus tard! c'est pas grave non?".
Elle va s'assoir sur le canapé, il se place a coté d'elle et me dit:"Eh ben, je l'ai jamais vue comme ça!".
Je lui réponds:"Oui! Je pense qu'elle a besoin de se détendre, un peu!".
Il l'attrape par l'épaule et l'attire vers lui.
"Allez Lisa, calme-moi! Regarde ce que j'ai là!".
Il descend son short pour exhiber sa grosse bite en demi érection.
"Non, tu crois que marche comme ça! (il lui enfonce sa bite dans la gorge)Tu ... mmm,...glllll...".
"Voila, tu vois, ça te calme déjà, allez défoules toi sur elle!".
Je souris, il lui demande alors:"Ca va mieux là?".
"Glllllllrp, mmmm, oui!".
"Elle t'as manqué ma queue, j'imagine! Mais à elle aussi, tu lui as manqué, tu sais!".
Lisa répond:"C'est vrai?".
"Bien sûr! Trois jours sans te baiser c'est dur!".
Comme je deviens habitué de les voir baiser, je visionne la télé tout en regardant du coin de l'œil ce qu'ils font.
Elle le suce goulument pendant plus de 10 minutes.
Il lui défait sa jupe et baisse son string, puis son chemisier et son soutien gorge, elle est en bas et porte-jarretelles.
Il lui enlève sa grosse queue de la bouche, puis il place Lisa au dessus de lui, avec les seins pointés vers moi.
Il a clairement envie que je vois sa pénétration.
Elle lui dit:"Ohhh; oui, baises-moi, j'en ai envie!".
Il dirige son sexe sous ses fesses.
"Ouhh, non pas là, Fred, pas tout de suite!".
"Si, c'est ta punition, tu l'as méritée!".
Je le vois qui l'empoigne fermement en appuyant sur ses hanches pour l'empaler analement, par petits mouvements secs.
Elle mord la paume de sa main.
Je vois clairement, le gros gland s'enfouir, petit à petit, en elle.
Il utilise chaque cm de terrain gagné pour coulisser plus profondément à chaque retour dans son cul.
La progression est jouissive pour mes yeux, cela me parait interminablement délicieux à regarder, sous les gémissements de ma belle salope.
A chaque mouvement vers l'extérieur, sa queue est plus lubrifiée encore, facilitant un retour plus en profondeur.
Elle commence à râler de bonheur, puis, enfin, il se cale en touchant le fond de son cul.
"Arhhhhhhh, salaud! T'as pas le droit!".
"Arrêtes un peu, dans deux minutes, tu vas me demander de te défoncer le cul!".
Il la fait glisser plusieurs fois sur son gros pieu en lui écartelant les parois anales.
"Arhhhhhhhhh! Arhhhhhhhhh! Arhhhhhhhhh!".
En à peine 3 minutes, sa bite est brillante de sécrétions anales.
"Arhhhhhhhhh! Arhhhhhhhhh! Arhhhhhhhhh! Ohhh, ouiiiiiiiiii, défonces-moi ouiiiiiiiiii!".
"Tu vois, que je te connais bien! Hein salope!".
"Oui, t'arrêtes pas! Je vais jouir du cul, Arhhhhhhhhh!".
"Déjà? Eh ben, c'était une grosse envie ça!".
Je ne regarde plus l'écran, tant la scène est grandiose, ma belle se pâme d'orgasme anal, empalée magnifiquement par l'énorme bite de Fred.
Malgré l'orgasme puissant de ma belle, il continue de l'empaler sur sa bite à un rythme soutenu et profond.
Je vois Lisa se déformer le visage de plaisir et 5 minutes plus tard, son trait se détend pour ouvrir sa bouche en râlant.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh! Je... jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii".
Il ne s'arrête pas pour autant, ses couilles sont recouvertes des sécrétions transparentes de ma salope.
Il augmente son rythme en rapidité et en l'enculant encore plus fort.
Sa défonce anale est très très longue, Lisa orgasme encore à deux reprises.
Le salaud doit l'enculer souvent pour tenir aussi longtemps.
J'entend ma belle salope gémir plus fort et plus longuement encore, puis quand je ne m'y attendais pas, elle crie un puisant orgasme.
Des jets énormes de cyprine s'expulsent de sa chatte, à chaque fois qu'il s'enfonce en elle.
Je ne l'ai jamais vu gicler aussi loin et aussi abondamment.
Je me mets à bander comme jamais.
Quand il voit que les éjections deviennent moins puissantes, il calme le jeu et dit:"Voilà, maintenant, t'as eu ton compte!".
Elle s'écroule sur coté:"Ouhh, tu m'as éclaté le cul! J'ai trop joui!".
"Ca va mieux, je vois, t'es calmée!".
"Oui, là, ça va!".
il se lève pour aller dans la salle de bain, afin d'essuyer les effluves de ma belle, sur sa queue et ses couilles.
Il ramène la serviette en la donnant à Lisa.
Elle s'essuie la chatte et l'anus, puis se blottit contre lui.
Je regarde l'heure et remarque qu'il lui a fallu plus d'une demi heure de sodomie pour la faire gicler, je note ce détail pour renouveler l'expérience avec elle.
L'ambiance se détend, et on regarde les infos.
Quelque minutes après, Je suis détourné par un gémissement de Fred.
Ma belle se déforme la gorge avec sa bite.
Je suis surpris de l'avidité avec laquelle, elle lui dévore la queue.
Elle a l'air de savoir le contenter, puisqu'il gémit de plaisir sans arrêt.
Elle n'a aucune limite dans sa fellation, tout y passe, même ses couilles.
A un moment, j'ai l'impression qu'elle lui fait l'amour avec sa bouche, mais je sais aussi, qu'elle est passionnée par les pipes et les belles queues.
Leur plaisir mutuel est long, très long, puis il attrappe les bords du canapé en se cambrant en arrière, je vois sa bite prise de secousses, enfoncée dans la gorge de ma femme.
"Glllllllllllllllrppppp,..... glllllllllllllllrppppp,...... glllllllllllllllrppppp,....glllllllllllllllrppppp!".
Il râle longuement, pendant que ma belle amplifie ses mouvements buccaux:"Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh! ouaiiiiiiiiiiiiiiiiss, avales ..........touuuuuuuuuuut! ...........saloooooooooooooooooope!".
"Glllllllllllllllrppppp,..... glllllllllllllllrppppp,...... glllllllllllllllrppppp,....glllllllllllllllrppppp!".
"Oh, putain, arhhhhhh,... elle est.... géniale... ta arhhhhh,...femme, mec!".
"Glllllllllllllllrppppp,..... glllllllllllllllrppppp,......glllllllllllllllrppppp!................................................"Glllllllllllllllrppppp!".
Elle quitte sa bite en me regardant avec la bouche ouverte, elle a tout avalé, mais sa bouche est pleine de fils de sperme, qui vont de sa langue à son palais.
"Ca te plait ça! Salope!" demande Fred.
"J'adore!".
Il reste avec nous, pour le diner, et nous impose de nous payer des pizzas, puis après manger, je les quitte pour aller me coucher.
Je les entend baiser, un petit moment, avant de sombrer, mort de fatigue.
Je suis réveillé par la bouche de ma belle qui me suce, elle profite de mon érection nocturne pour me faire éjaculer dans sa bouche, je retombe dans mon sommeil, tout de suite après.
Le matin, très tôt, je me lève sans réveiller ma belle salope.
Je me prépare mon café, puis avant de partir, je vais dans le salon pour prendre mon blouson.
Je vois Fred, endormi sur le canapé, et de nouvelles taches sur la table de salon, je sais déjà que la journée va être agitée pour eux.
Aujourd'hui, je suis nostalgique de cette époque, je pense que je me suis mis en retrait exprès, mais inconsciemment.
Il m'arrivait en rentrant du travail (bizarre, quand j'y repense) de m'arrêter au petit jardin, sur le chemin du retour.
J'adorai faire des fellations 2 à 3 fois par semaine, à un homme qui m'attendait le soir.
Je n'oublierai jamais ce type (dont je n'ai jamais su le prénom), sa queue était magnifique et son sperme délicieux (un gout mielleux, presque un dessert!).
Je n'ai jamais retrouvé ça! Il adorait ma bouche (autant que moi, sa bite et son foutre). C'était en quelque sorte, un service réciproque et un rituel, par contre, il ne m'a jamais baisé!
J'ai eu le bonheur de le croiser un matin, sur un marché aux puces, il m'a suivi jusqu'à une bâtisse abandonnée, et je l'ai sucé à nouveau. C'était risqué, mais excitant.
Mais, revenons à Lisa et Fred, qui ont continué à se voir en respectant les horaires d'écoles, jusqu'à mes congés que j'ai pris mi-Septembre.
Mes rapports avec Lisa, ont donc retrouvé un rythme normal et plus fréquent.
Cela a perturbé leur fréquence de Rendez-vous, puis fin Octobre, elle m'a annoncé qu'elle ne le voyait plus, depuis deux semaines.
"Ah bon! Pourquoi?".
"Le fait que je refasse l'amour plus souvent avec toi, et que j'ai moins besoin de lui, l'a rendu jaloux, il est devenu incontrôlable! A la fin, il voulait que je te quittes, parce qu'il ne pouvait pas se passer de moi! Je suis désolée, mais au départ, c'est pas ce qu'on avait convenu! Moi je ne l'aime pas, alors c'est dur, parce qu'il va me manquer, mais j'en trouverai un autre! C'est toi que j'aime, et personne ne pourra changer ça! (Elle avait tort, puisqu'elle a aimé deux autres hommes et a failli me quitter deux fois!)".
Fred lui a manqué, inévitablement, à moi aussi (Quel dommage, il a tout gâché! Il lui suffisait d'attendre la fin de mes congés!), j'aimai ses visites quasi journalières et l'aisance qu'ils avaient à baiser sans se soucier de ma présence. Je pense qu'on était conscient que chacun y trouvait un plaisir pervers, moi de les voir et eux de s'exhiber.