Frédéric vs Frédérique (04)
Récit érotique écrit par Thma69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Frédéric vs Frédérique (04)
Salut à toi qui va lire mon histoire. Tu vas aimer, ou pas. Quoi qu’il en soit j’espère qu’elle ne te laissera pas indifférent. Alors, je te remercie de laisser un commentaire ou une critique. Cela me permettra de progresser et de te proposer de nouveaux récits. Merci d’avance et bonne lecture en espérant que tu prennes autant de plaisir à lire que moi à écrire.
Juste une drôle de sensation que de ne pas se reconnaitre, regarder le miroir et voir une autre. Juste une drôle de sensation que de se trouver jolie.
J’ai dû m’endormir après nos derniers ébats. Je suis réveillé par sa voix « Frédéric, tu as un trop beau cul, j’ai envie d’en manger. » et, joignant le geste à la parole, je le sens me caresser, m’embrasser les fesses et descendre entre elles vers mon sexe encore sensible de notre séance précédente. J’émerge sous ses caresses, je suis à plat ventre sur son lit, les jambes écartées, toujours en guêpière et bas mais je crois que mon string a disparu. Je le sens effectivement me manger le cul et le feu se rallume. J’aurais bien voulu protester, dire qu’il était trop tard mais ma volonté flancha. Au lieu de cela je relevais le bassin pour lui faciliter l’accès à mon puit de plaisir. Je finis par me retrouver à quatre pattes, la tête dans l’oreiller tandis que sa bouche et sa langue s’activaient. Elles disparurent soudain et furent remplacées par son sexe qui me pénétra d’une seule poussée vigoureuse. J’eut un cri de surprise et de bien-être. Ses m’agrippèrent alors par les hanches et il se lança dans une chevauchée effrénée. Je crois que je criais sous cet assaut violent. Oui, je criais de plaisir, c’était violent, sauvage, je sentais sa queue me labourer à une vitesse folle, son ventre claquait sur mes fesses, mon antre était en feu. Mon être tout entier avait disparu, je n’existais plus qu’au travers de mon cul et de ce sexe qui le ravageait. Sous cet assaut je jouissais rapidement pris de tremblements incontrôlables tandis que je sentais faire de même, abondamment, tentant sans doute d’éteindre le feu qu’il avait allumé.
Il s’est écroulé sur moi et sans un mot nous nous sommes rendormis. C’est en reprenant mes esprits que je me suis rendu compte de l’heure très tardive et qu’il fallait que je rentre en urgence. J’ai à peine eu le temps de le remercier avant de partir retrouver ma femme.
Le lendemain midi il m’appela :
- Hello Frédéric, ça va depuis hier ? Remis de tes émotions ? (petit rire)
- Salut Patrice, ça va et toi ?
- Ça va, tu m’as rendu dingue hier, j’ai un peu craqué après, tu ne m’en veux pas ?
- Non. Je ne dirai pas que c’est ce que je préfère mais sur le moment c’était bien.
- Juste bien ?
- Bon j’avoue, après la séance précédente, c’était très bon.
- Je te le dis, ton cul m’inspire.
- Que mon cul ?
- Non bien sûr, c’est un tout mais tu as le cul de mec le plus sexy que j’ai jamais vu et avec la guêpière qui le mettait en valeur, que du bonheur.
- …
- T’es toujours là ?
- Oui, oui.
- Écoute, j’aimerais que tu essayes quelque chose pour pousser un peu plus loin.
- Qu’est-ce que tu veux pousser un peu plus loin ?
- Et mon coquin, je ne parle pas de ton cul mais de ta tête ?
- Qu’est-ce qu’elle a ma tête ?
- J’aimerais que tu te maquilles, tu voudrais bien ?
- Écoute, si tu veux une nana tu peux t’en trouver une. Déjà que je porte des dessous pour te faire plaisir.
- Tu n’aimes pas ça ?
- Si bien sûr sinon je ne le ferais pas mais de là à me travestir totalement il y a une limite.
- Ok, je comprends tant pis. On peu quand même se voir en fin de semaine, je crois que je deviens accro ?
- Désolé, ça ne va pas être possible. Je te dis dès que j’ai un créneau, ok ?
- Ok, à bientôt, bye.
- Bye.
Non mais franchement, quel con, s’il veut une pouffiasse il n’a qu’à s’en trouver une. Je veux bien porter de la lingerie pour lui faire plaisir mais faut pas pousser quand même. Agacé je me plongeais dans le travail pour oublier cette conversation ridicule.
Sur le chemin du retour à la maison j’y repensais, c’est vrai que je prenais du plaisir à porter de la lingerie, me travestir en quelque sorte, pour lui faire plaisir, l’idée ne me serait jamais venue. C’est vrai aussi qu’avec lui, je perdais une part de ma virilité et que je me découvrais un nouveau sexe. C’est encore vrai que la dernière fois je me suis sentis plus féline que félin. N’importe quoi, je délire. J’en restais là de mes réflexions.
Mais elles revinrent le lendemain sur la route du boulot. Je me dis qu’après tout, autant aller au bout et tout tenter. Et puis non, on en parle plus trop c’est trop, j’arrête là notre relation, il est nocif. En arrivant au boulot, j’allumais mon téléphone pour le supprimer de mes contacts mais au dernier moment je lui envoyais un sms : « Ok et Ok ». Je reçus un SMS presque immédiatement : « Ok pour vendredi et Ok pour le maquillage ? ». Je répondis par l’affirmative et il me renvoya un message « Tu pourrais rester la nuit ? ». Comme cela tombait le jour des vacances scolaires et que ma femme devait partir chez ses parents avec les enfants je répondis par l’affirmative et il me renvoya « Ok, rdv à 15h chez moi ».
Le jour et l’heure dite venus, je me présentais chez lui, il me reçu avec un grand sourire et il me remercia chaleureusement d’avoir accepté qu’il manifesta par un baiser très doux. Le rituel installé se déroula, café, douche, épilation et habillage. Cette fois-ci il avait choisi un ensemble en satin noir avec des dentelles rouges : guêpière, string et bas noirs avec une jarretière en dentelles rouges. Une fois ajustée je fus à nouveau surpris par la forme donnée à mon corps, il avait des courbes presque féminines. Je remettais le reste de mes vêtements et sortis de la salle de bain. Je fus surpris de le voir en compagnie d’une femme de nos âges qu’il me présenta comme étant une amie qui tenait un salon de beauté et qui allait s’occuper de mon maquillage. Trop tard pour me dérober, Séverine, c’était son prénom m’installa sur une chaise face à un miroir. Je passe sur la partie technique des opérations qu’il a fallu qu’elle mette en pratique pour arriver au résultat. Le travail réalisé est incroyable, je ne me reconnais pas et c’est une drôle de sensation que de ne pas se reconnaitre, regarder le miroir et voir une autre. Juste une drôle de sensation que de se trouver jolie. Oui, je trouvais jolie la femme qui me regardait. J’avais un maquillage léger mais qui réussissait à transformer mon visage, jusqu’au yeux qui semblaient avoir pris une autre forme et une autre intensité. Le tout accentuer par une perruque mi-longue, châtain clair avec un frange qui descendait presque jusqu’aux yeux. Les mains n’étaient pas en reste avec de faux ongles d’un rouge discret assorti au rouge à lèvre.
Fière de son travail elle nous laissa sur un « Bonne soirée les mecs ». Patrice, qui me découvrit à son départ, en resta sans voix en me découvrant. « Tu es magnifique ! » réussi-t-il finalement à bredouiller. « La touche finale si tu veux bien », il disparu et revint avec des vêtements féminins.
- Si tu veux que je t’emmène au restaurant, tu ne peux pas y aller habiller comme ça avec cette tête-là.
- Mais je ne peux pas sortir comme ça, c’est hors de question, je croyais que c’était un jeu juste entre nous.
- C’est comme tu veux mais le restaurant en question est spécial, c’est un lieu gay et personne ne fera attention à toi et puis comme ça, personne ne te reconnaitrait.
- Bon, j’essaye tes fringues et on verra.
Les fringues en question sont composées d’une jupe droite en lin qui m’arrive à mi-cuisses, d’une veste en lin coordonnée et d’un chemisier ton crème. Il y a même des escarpins avec des talons plats. Le tout me va parfaitement bien et je me trouve très classe et très jolie. Patrice semble du même avis aux regards qu’il me lance et, craignant qu’il ne se jette sur moi tant son regard est empli de désir, je lance « Bon on y va à ce resto ». Il redescend sur terre, il semble tout intimidé, il est trop mignon et c’est trop bon de se sentir désiré comme ça. Frédérique, tu es magnifique et c’est un honneur que de t’accompagner. « Si Madame veut bien se donner la peine » me dit-il en m’ouvrant la porte. Touché par ce Madame, je jouais le jeu et me dirigeais vers sa voiture en ondulant du bassin. Il m’ouvrit la porte de la voiture, je m’installais et nous partîmes. Arrivé au restaurant je ne remarquais rien de bizarre si ce n’est peut être quelques travestis mais en était ce ? Un peu mal à l’aise je suivais le serveur vers notre table. Le repas fut fort sympathique, je ne cherchais plus à masquer quoi que ce soit et ne m’offusquais pas lorsque la jarretière de mes bas apparaissait lors de mes croisements de jambes. Je tentais de jouer le jeu de ma condition, jeux de doigts sur la table, jeux de pieds sous la table, œillades, bisous. Le repas terminé, avant de partir, je passais me refaire une beauté, remettre un peu de rouge à lèvres.
Seul, seule ?, dans les toilettes pour dame, je tentais de remettre du rouge lorsque j’entendis quelqu’un entrer et que je vis Patrice venir se coller dans mon dos. Il commença alors à me caresser et m’embrasser dans le cou. « Arrête s’il te plait c’est déjà assez difficile comme ça !». Mais il ne s’arrêta pas et je sentis son envie contre mes fesses tandis que sa main venait me caresser le sexe. « Hum ! Tu es si belle, j’ai envie de toi tout de suite » me dit-il en remontant ma jupe. « Non, pas ici » protestais-je en tentant de maintenir ma jupe mais je sentais l’excitation monter. Je le sentis dégrafer son pantalon et lorsque je sentis son sexe libre contre ma jupe, je perdis pied, il en profita pour remonter ma jupe écarter mon string et se présenter à l’entrée de mon sexe.
Mal préparée, l’introduction fut difficile et douloureuse mais il passa en force, m’arrachant un cri de douleur. Dans ma détresse j’aperçus un distributeur de préservatifs, j’en attrapais un et le lui tendis par-dessus mon épaule. Il s’en empara me libéra, s’habilla et me pénétra à nouveau. Ce fut plus agréable. Il m’a prise alors que nos regards se soudaient dans le miroir. Dans l’excitation du moment je cambrais les hanches et me penchais vers les lavabos. Il me prit par une hanche d’une main tandis que l’autre trouvait mon sexe qu’il caressait au rythme de ses assauts. J’oubliais vite la douleur initiale remplacée par un plaisir presque bestial. Ce fut intense et bref, je me répandais sur le carrelage tandis qu’il se vidait dans le préservatif. Il me libéra rapidement et, après un regard et un bisou dans le cou, sortit des toilettes. Je rajustais ma jupe, retouchais mon maquillage et sortais à mon tour. En entrant dans la salle de restaurant tous les regards étaient tournés vers moi et chaque visage affichait un grand sourire. Un peu honteuse je rejoignais Patrice et le pressait de partir.
Juste une drôle de sensation que de ne pas se reconnaitre, regarder le miroir et voir une autre. Juste une drôle de sensation que de se trouver jolie.
J’ai dû m’endormir après nos derniers ébats. Je suis réveillé par sa voix « Frédéric, tu as un trop beau cul, j’ai envie d’en manger. » et, joignant le geste à la parole, je le sens me caresser, m’embrasser les fesses et descendre entre elles vers mon sexe encore sensible de notre séance précédente. J’émerge sous ses caresses, je suis à plat ventre sur son lit, les jambes écartées, toujours en guêpière et bas mais je crois que mon string a disparu. Je le sens effectivement me manger le cul et le feu se rallume. J’aurais bien voulu protester, dire qu’il était trop tard mais ma volonté flancha. Au lieu de cela je relevais le bassin pour lui faciliter l’accès à mon puit de plaisir. Je finis par me retrouver à quatre pattes, la tête dans l’oreiller tandis que sa bouche et sa langue s’activaient. Elles disparurent soudain et furent remplacées par son sexe qui me pénétra d’une seule poussée vigoureuse. J’eut un cri de surprise et de bien-être. Ses m’agrippèrent alors par les hanches et il se lança dans une chevauchée effrénée. Je crois que je criais sous cet assaut violent. Oui, je criais de plaisir, c’était violent, sauvage, je sentais sa queue me labourer à une vitesse folle, son ventre claquait sur mes fesses, mon antre était en feu. Mon être tout entier avait disparu, je n’existais plus qu’au travers de mon cul et de ce sexe qui le ravageait. Sous cet assaut je jouissais rapidement pris de tremblements incontrôlables tandis que je sentais faire de même, abondamment, tentant sans doute d’éteindre le feu qu’il avait allumé.
Il s’est écroulé sur moi et sans un mot nous nous sommes rendormis. C’est en reprenant mes esprits que je me suis rendu compte de l’heure très tardive et qu’il fallait que je rentre en urgence. J’ai à peine eu le temps de le remercier avant de partir retrouver ma femme.
Le lendemain midi il m’appela :
- Hello Frédéric, ça va depuis hier ? Remis de tes émotions ? (petit rire)
- Salut Patrice, ça va et toi ?
- Ça va, tu m’as rendu dingue hier, j’ai un peu craqué après, tu ne m’en veux pas ?
- Non. Je ne dirai pas que c’est ce que je préfère mais sur le moment c’était bien.
- Juste bien ?
- Bon j’avoue, après la séance précédente, c’était très bon.
- Je te le dis, ton cul m’inspire.
- Que mon cul ?
- Non bien sûr, c’est un tout mais tu as le cul de mec le plus sexy que j’ai jamais vu et avec la guêpière qui le mettait en valeur, que du bonheur.
- …
- T’es toujours là ?
- Oui, oui.
- Écoute, j’aimerais que tu essayes quelque chose pour pousser un peu plus loin.
- Qu’est-ce que tu veux pousser un peu plus loin ?
- Et mon coquin, je ne parle pas de ton cul mais de ta tête ?
- Qu’est-ce qu’elle a ma tête ?
- J’aimerais que tu te maquilles, tu voudrais bien ?
- Écoute, si tu veux une nana tu peux t’en trouver une. Déjà que je porte des dessous pour te faire plaisir.
- Tu n’aimes pas ça ?
- Si bien sûr sinon je ne le ferais pas mais de là à me travestir totalement il y a une limite.
- Ok, je comprends tant pis. On peu quand même se voir en fin de semaine, je crois que je deviens accro ?
- Désolé, ça ne va pas être possible. Je te dis dès que j’ai un créneau, ok ?
- Ok, à bientôt, bye.
- Bye.
Non mais franchement, quel con, s’il veut une pouffiasse il n’a qu’à s’en trouver une. Je veux bien porter de la lingerie pour lui faire plaisir mais faut pas pousser quand même. Agacé je me plongeais dans le travail pour oublier cette conversation ridicule.
Sur le chemin du retour à la maison j’y repensais, c’est vrai que je prenais du plaisir à porter de la lingerie, me travestir en quelque sorte, pour lui faire plaisir, l’idée ne me serait jamais venue. C’est vrai aussi qu’avec lui, je perdais une part de ma virilité et que je me découvrais un nouveau sexe. C’est encore vrai que la dernière fois je me suis sentis plus féline que félin. N’importe quoi, je délire. J’en restais là de mes réflexions.
Mais elles revinrent le lendemain sur la route du boulot. Je me dis qu’après tout, autant aller au bout et tout tenter. Et puis non, on en parle plus trop c’est trop, j’arrête là notre relation, il est nocif. En arrivant au boulot, j’allumais mon téléphone pour le supprimer de mes contacts mais au dernier moment je lui envoyais un sms : « Ok et Ok ». Je reçus un SMS presque immédiatement : « Ok pour vendredi et Ok pour le maquillage ? ». Je répondis par l’affirmative et il me renvoya un message « Tu pourrais rester la nuit ? ». Comme cela tombait le jour des vacances scolaires et que ma femme devait partir chez ses parents avec les enfants je répondis par l’affirmative et il me renvoya « Ok, rdv à 15h chez moi ».
Le jour et l’heure dite venus, je me présentais chez lui, il me reçu avec un grand sourire et il me remercia chaleureusement d’avoir accepté qu’il manifesta par un baiser très doux. Le rituel installé se déroula, café, douche, épilation et habillage. Cette fois-ci il avait choisi un ensemble en satin noir avec des dentelles rouges : guêpière, string et bas noirs avec une jarretière en dentelles rouges. Une fois ajustée je fus à nouveau surpris par la forme donnée à mon corps, il avait des courbes presque féminines. Je remettais le reste de mes vêtements et sortis de la salle de bain. Je fus surpris de le voir en compagnie d’une femme de nos âges qu’il me présenta comme étant une amie qui tenait un salon de beauté et qui allait s’occuper de mon maquillage. Trop tard pour me dérober, Séverine, c’était son prénom m’installa sur une chaise face à un miroir. Je passe sur la partie technique des opérations qu’il a fallu qu’elle mette en pratique pour arriver au résultat. Le travail réalisé est incroyable, je ne me reconnais pas et c’est une drôle de sensation que de ne pas se reconnaitre, regarder le miroir et voir une autre. Juste une drôle de sensation que de se trouver jolie. Oui, je trouvais jolie la femme qui me regardait. J’avais un maquillage léger mais qui réussissait à transformer mon visage, jusqu’au yeux qui semblaient avoir pris une autre forme et une autre intensité. Le tout accentuer par une perruque mi-longue, châtain clair avec un frange qui descendait presque jusqu’aux yeux. Les mains n’étaient pas en reste avec de faux ongles d’un rouge discret assorti au rouge à lèvre.
Fière de son travail elle nous laissa sur un « Bonne soirée les mecs ». Patrice, qui me découvrit à son départ, en resta sans voix en me découvrant. « Tu es magnifique ! » réussi-t-il finalement à bredouiller. « La touche finale si tu veux bien », il disparu et revint avec des vêtements féminins.
- Si tu veux que je t’emmène au restaurant, tu ne peux pas y aller habiller comme ça avec cette tête-là.
- Mais je ne peux pas sortir comme ça, c’est hors de question, je croyais que c’était un jeu juste entre nous.
- C’est comme tu veux mais le restaurant en question est spécial, c’est un lieu gay et personne ne fera attention à toi et puis comme ça, personne ne te reconnaitrait.
- Bon, j’essaye tes fringues et on verra.
Les fringues en question sont composées d’une jupe droite en lin qui m’arrive à mi-cuisses, d’une veste en lin coordonnée et d’un chemisier ton crème. Il y a même des escarpins avec des talons plats. Le tout me va parfaitement bien et je me trouve très classe et très jolie. Patrice semble du même avis aux regards qu’il me lance et, craignant qu’il ne se jette sur moi tant son regard est empli de désir, je lance « Bon on y va à ce resto ». Il redescend sur terre, il semble tout intimidé, il est trop mignon et c’est trop bon de se sentir désiré comme ça. Frédérique, tu es magnifique et c’est un honneur que de t’accompagner. « Si Madame veut bien se donner la peine » me dit-il en m’ouvrant la porte. Touché par ce Madame, je jouais le jeu et me dirigeais vers sa voiture en ondulant du bassin. Il m’ouvrit la porte de la voiture, je m’installais et nous partîmes. Arrivé au restaurant je ne remarquais rien de bizarre si ce n’est peut être quelques travestis mais en était ce ? Un peu mal à l’aise je suivais le serveur vers notre table. Le repas fut fort sympathique, je ne cherchais plus à masquer quoi que ce soit et ne m’offusquais pas lorsque la jarretière de mes bas apparaissait lors de mes croisements de jambes. Je tentais de jouer le jeu de ma condition, jeux de doigts sur la table, jeux de pieds sous la table, œillades, bisous. Le repas terminé, avant de partir, je passais me refaire une beauté, remettre un peu de rouge à lèvres.
Seul, seule ?, dans les toilettes pour dame, je tentais de remettre du rouge lorsque j’entendis quelqu’un entrer et que je vis Patrice venir se coller dans mon dos. Il commença alors à me caresser et m’embrasser dans le cou. « Arrête s’il te plait c’est déjà assez difficile comme ça !». Mais il ne s’arrêta pas et je sentis son envie contre mes fesses tandis que sa main venait me caresser le sexe. « Hum ! Tu es si belle, j’ai envie de toi tout de suite » me dit-il en remontant ma jupe. « Non, pas ici » protestais-je en tentant de maintenir ma jupe mais je sentais l’excitation monter. Je le sentis dégrafer son pantalon et lorsque je sentis son sexe libre contre ma jupe, je perdis pied, il en profita pour remonter ma jupe écarter mon string et se présenter à l’entrée de mon sexe.
Mal préparée, l’introduction fut difficile et douloureuse mais il passa en force, m’arrachant un cri de douleur. Dans ma détresse j’aperçus un distributeur de préservatifs, j’en attrapais un et le lui tendis par-dessus mon épaule. Il s’en empara me libéra, s’habilla et me pénétra à nouveau. Ce fut plus agréable. Il m’a prise alors que nos regards se soudaient dans le miroir. Dans l’excitation du moment je cambrais les hanches et me penchais vers les lavabos. Il me prit par une hanche d’une main tandis que l’autre trouvait mon sexe qu’il caressait au rythme de ses assauts. J’oubliais vite la douleur initiale remplacée par un plaisir presque bestial. Ce fut intense et bref, je me répandais sur le carrelage tandis qu’il se vidait dans le préservatif. Il me libéra rapidement et, après un regard et un bisou dans le cou, sortit des toilettes. Je rajustais ma jupe, retouchais mon maquillage et sortais à mon tour. En entrant dans la salle de restaurant tous les regards étaient tournés vers moi et chaque visage affichait un grand sourire. Un peu honteuse je rejoignais Patrice et le pressait de partir.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire joliment écrite qui donne envie de vivre une situation identique.
J'aime beaucoup le côté soft et surtout le plaisir partagé que les deux protagonistes ont vécu.
Vivement les prochaines aventures.
J'aime beaucoup le côté soft et surtout le plaisir partagé que les deux protagonistes ont vécu.
Vivement les prochaines aventures.