Frédéric vs Frédérique (05) - histoire érotique

Salut à toi qui va lire mon histoire. Tu vas aimer, ou pas. Quoi qu’il en soit j’espère qu’elle ne te laissera pas indifférent. Alors, je te remercie de laisser un commentaire ou une critique. Cela me permettra de progresser et de te proposer de nouveaux récits. Merci d’avance et bonne lecture en espérant que tu prennes autant de plaisir à lire que moi à écrire.

Juste une drôle de sensation que de se sentir un autre, une autre. Juste une drôle de sensation que de lâcher prise et de se laisser porter par l’inconnu.

De retour chez lui il me proposa un verre.
- Un whisky s’il te plait, il faut que je me remette. Ce n’est pas sympa ce que tu as fait, d’abord j’ai eu mal et en plus tout le monde a su ce que tu avais fait. J’ai eu l’air de quoi moi ? D’une trainée que l’on trousse dans les chiottes ?
- Excuse moi. Me dit-il en me versant une belle rasade de whisky. Je n’ai pas résisté, tu étais tellement attirante, tu m’as mis en rut.
- Attirante ? En rut ? Ca y est, je suis une femme maintenant et même pas, une biche. S’en est trop, merci pour la soirée mais je crois que je vais y aller.
- Pardon, je m’exprime mal, tu me troubles. Reste un peu, fini ton whisky et tu verras.
- Humm ! Dis-je en prenant mon verre et avalant une gorgée.
- Non, tu n’es pas une femme, je le sais bien, tu as un quelque chose en plus que j’aime beaucoup mais ton côté féminin est transcendé par ta tenue et ton maquillage. Toi même tu sembles plus féminine, tu marches différemment, tu ris et parles autrement. Je n’ai plus l’impression d’être avec Frédéric mais avec FrériQUE.
- ….
- Dis-moi que tu n’aimes pas, redeviens Frédéric si tu préfères mais finissons la soirée ensemble s’il te plait.
- Ce n’est pas que je n’aime pas, j’avoue que je me prends au jeu et que je me sens différent ainsi mais si tu deviens incontrôlable et brutal ce n’est pas possible pour moi.
- Je comprends, excuses moi encore. Ce n’est pas une excuse mais c’est la première fois que je rencontre quelqu’un comme toi qui a à la fois un côté masculin et un côté féminin aussi superbes l’un que l’autre. J’ai perdu la tête, ça ne se reproduira plus, promis.
- Ok, je veux bien te pardonner si tu me ressers un whisky.
Il ne se fait pas prier, il me ressert et en profite pour me donner un léger baiser avant de retourner sur son fauteuil.
- Dis-moi, je pourrais t’appeler ma chérie ? Me demande-t-il à brule pourpoint.
- Tu pousses Patrice et quoi encore ?
- S’il te plaiiiit.

Il avait un regard tellement suppliant que je finis par accepter. Il me demanda alors de venir sur ses genoux pour qu’il puisse se faire pardonner. Je me levais donc et m’assis en travers de ses jambes. Un bras m’enserrant les épaules, je posais ma tête sur la sienne. Après le repas et les deux whiskys, je me sentais bien comme et je fermais les yeux. Lorsque je sentis sa bouche sur la mienne, je gardais les yeux fermés et entrouvrais les lèvres l’invitant à venir chercher ma langue. Il ne tarda pas à la trouver et nos deux organes débutèrent une danse douce et sensuelle qui alluma des étincelles dans mon ventre. Sa main libre commença à me caresser le visage, je gardais les yeux fermés et, sans bouger, profitais de ce moment paisible. Ressentant malgré tout une drôle de sensation que de me sentir un autre, une autre. Juste une drôle de sensation que de lâcher prise et de se laisser porter par l’inconnu.

Sa main descendit dans mon cou, sur mes épaules, sur mes bras, sur mon torse, sur mon ventre, sur mon sexe, sur mes cuisses. C’était doux, lent, sensuel et je frissonnais de plaisir. Sa main remonta, reprenant le même chemin, électrifiant mon corps sur son passage. Il redescendit et sa main, en remontant passa sous ma jupe, elle arriva à la frontière des bas, la franchit et trouva ma peau, me faisant frissonner. Elle resta là un moment, jouant avec les jarretelles puis repris sa progression. Malgré sa bouche soudée à la mienne, je lâchais un gémissement lorsqu’il arriva sur mon sexe tendu. Il commença à le parcourir du bout des doigts mais fut bientôt arrêté par ma jupe.

N’y tenant plus, je soulevais les fesses et la remontais pour lui donner libre accès. Il le caressa sur toute sa longueur du bout de doigts. Joua avec mon gland au travers du string dans lequel il passa la main, m’arrachant un nouveau gémissement. Il me caressa de la main pendant un moment, utilisant mon liquide pré-séminal que je sentais couler abondamment comme d’un lubrifiant. Puis elle descendit, passa mes testicules, s’aventura plus loin, j’écartais les jambes sans y réfléchir et il trouva mon nouveau sexe qu’un doigt inquisiteur vint titiller me provoquant un frisson. Je gémis à nouveau lorsqu’il força doucement l’entrée de ma grotte et trouva un passage. Il joua en moi, transformant les étincelles en brasier. Un deuxième doigt rejoint le premier et ils commencèrent à jouer à deux, allant et venant doucement tandis que son avant-bras frottait mon sexe. Je commençais à onduler, me frottant sur lui, enfonçant ses doigts en moi en gardant son rythme lent. Tout mon corps était en feu, je ressentais des vagues de plaisir le submerger. Je lâchais ses lèvres pour trouver de l’air et laisser sortir le trop plein de plaisir par des gémissements. Finalement, ses caresses ont eu raison de moi et dans un tsunami de félicité je laissais exploser mon orgasme. Mon corps fut envahi de soubresauts, contrecoup des vagues de plaisir qui irradiaient de mon bas ventre.

L’ouragan passé, j’osais ouvrir les yeux, il me regardait avec un sourire. « Tu es belle qui tu jouies ma chérie ». Que pouvais-je répondre à cela ? J’attrapais sa nuque et le guidait vers mes lèvres. Tandis qu’il m’embrassait je me rendis compte de son sexe tendu contre ma cuisse droite, j’y fis descendre une main pour vérifier et trouvais effectivement son sexe tendu sous son pantalon. J’entrepris alors de le libérer de cette cage. Je pus alors passer une main sous son pantalon, sous son boxer et le trouver bien vivant et pulsant. J’entrepris alors les mêmes caresses qu’il m’avait infligé plus tôt et je sentis son souffle s’accélérer. Je m’attardais sur son gland du bout des doigts avant de descendre, du plat de la main, vers ses testicules. Je décidais que cet animal avait besoin de plus de liberté et tout en descendant de ses genoux je lui enlevais son pantalon et son boxer.

À genoux entre ses cuisses je repris mes caresses manuelles, alternant masturbation et caresses. Levant la tête, je le vis la tête renversée dans le fauteuil, tout à la merci de mes caresses. Flattée que cela lui plaise, je poursuivais sur le même rythme de ses précédentes caresses. Mais ce bout de chaire me faisait saliver et bientôt ma langue rejoint ma main pour une partie à deux. Un grognement m’apprit que cette nouvelle activité lui plaisait bien alors, affamée, j’avalais son sexe jusqu’à la garde. Puis doucement, très doucement, je remontais vers son gland, je le massais de la langue, m’arrêtais à son extrémité, juste les lèvres posées sur lui puis je l’aspirais à nouveau jusqu’à m’écraser le nez sur son pubis. Je recommençais ainsi plusieurs fois, je le sentais frissonner à chaque fois que je l’avais tout en bouche, puis j’y ajoutais une main qui s’amusa à aller à l’encontre de ma bouche. Son souffle ne tarda pas à s’accélérer et ses mains se crispèrent lorsqu’il explosa au fond de ma gorge. J’valais son nectar et poursuivais quelques mouvements avant de remonter vers lui. Il avait toujours les yeux fermés et lorsque son rythme cardiaque se calma, il les ouvrit. Je ne pus pas m’empêcher de lui lancer « Tu es beau quand tu jouis mon chéri » avant de l’embrasser.