Friche industrielle 02

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Friche industrielle 02 Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Friche industrielle 02
Friche industrielle 02

Le brun s'amusait à faire durer le plaisir, il appuyait sur ma tête, il enfonçait ainsi sa queue bien à fond dans ma gorge. Je devait être tout rouge à ce moment, j'avais du mal à respirer, je ne parvenais pas synchroniser ma respiration.

Mais il faut dire qu'ils m'avaient bien chauffé la cervelle tous les deux. J'avais envie d'une bite dans la bouche, dans le cul … J'avais envie d'une bite et même si j'avais du mal je l'avalais jusqu'au fond de ma gorge.

Il me laissait de temps en temps relever la tête, je prenais alors une grande inspiration et j'y retournais.

Au bout d'un petit moment le bonhomme commençait aussi à s'énerver. Il relevait alors le bassin et me donnait en même temps de violent coups de bite dans le fond de la gorge. J'encaissais, je ne dis pas que c'était facile mais j'en avait tellement envie que j'encaissais, et avec délectation même.

Je lui caressais le corps avec douceur, il était totalement épilé, je lui tripotais les couilles en même temps que j'avalais sa queue, il me laissais faire et se contentait juste d'appuyer sur ma tête.

Il ne me prévenait pas et se relevait brusquement. Je suivais le mouvement et continuais à lui sucer la queue, il me balançait quelques coup de queue avant de me repousser sur le tapis, là ou il était allongé. Je me retrouvais donc sur le dos, les quatre pattes en l'air.

Il s'allongeait sur moi, je refermais mes bras autour de son cou et mes jambes autour de ses reins. Je sentais la chaleur de tout sont corps doux et lisse. Il m'embrassait sur les lèvres puis son visage descendait vers mes tétons, il me les mordillait. Je gémissais de plaisir.

Ensuite, toujours sans me demander ce que j'en pensais il me lubrifiait généreusement le cul, je le laissais faire et j'écartais seulement les jambes.

C'était pas désagréable finalement, il me glissait un doigt puis un second dans le cul, il en profitait pour me masser la prostate et le plaisir montait. De nouveau il s'allongeait sur moi, m'embrassait et assez vigoureusement me glissait sa queue dans le cul.

Ça rentrait tout seul, il avait bien lubrifié et ça glissait sans aucune résistance. C'était bon, je gémissait de plaisir, il en avait un belle et il ne lui fallait que quelques secondes pour bien me remplir. Je le sentais m'envahir, me remplir. Au moment ou son ventre s'écrasait contre mes fesses, sa queue appuyait bien au fond de mes entrailles, appuyait je ne sais pas vraiment ou mais je le sentais bien, c'était pas vraiment agréable mais je n'avais pas envie qu'il arrête, j'en bavais mais je voulais qu'il continue.

Quand il me demandait …
– Ça va ?

Je lui répondais, toujours avec une voix crispée …
– Vas y défonce moi le cul !

C'est sûr que je ne pouvais pas me plaindre après ça. Il accélérait le mouvement, il augmentait l'amplitude des ses mouvements, il se retirait presque totalement de mon cul avant de revenir bien à fond.

Je me cramponnais ou je pouvais, j'étais sur un tapis posé sur une pile de palettes. Je me cramponnais aux palettes et je le laissais faire. Il plaçait mes cheville au niveau de ses épaules, il pouvait mieux me retenir ainsi.

Il me tirait vers lui en me passant ses mains sur mes cuisses et quand sa queue arrivait au fond il me balançait un violent coup de bassin. C'est avec violence que sa queue se logeait dans mon cul et là j'avais l'impression qu'il était au fond, qu'il s'écrasait au fond.

Par moment ça faisait mal mais je continuer à lui gueuler ; '' Vas y défonce moi le cul !''. Et c'est ce qu'il faisait l'animal.

Je ne sais pas combien de temps ça a duré. Mon cœur battait fort, ma respiration était rapide et forte également. Je râlais quand je ne gueulais pas. Lui aussi râlait, il gémissait fort à ce moment, il gémissait très fort et c'est dans un cri qu'il déchargeait , il jutais, il éjaculait avec force, en tout cas il avec des cris.

J'en prenais plein le cul à ce moment les derniers coups que j'ai reçu étaient particulièrement puissant. Il ne se retenait plus du tout. Ceci dit je n'avais pas vraiment l'impression qu'il se retenait juste avant.

Il se penchait une dernière fois vers moi, me faisait un câlin et m'embrassait. C'est pas mignon ça ?

Il était attentif à moi quand il me lâchait les jambes, il me caressait avec douceur. Il se retournait alors vers son camarade qui avait observé tout la scène, il n'était pas bien loin.

Ils rigolaient de bon cœur, se félicitaient l'un l'autre et continuaient à discuter entre eux. Mon cœur continuait à battre très fort, je ne les écoutais pas, et avec l'écho qu'il y avait dans cette grande salle vide je ne comprenais même pas ce qu'il disaient.

Je récupérais doucement, je relevais la tête, ils me regardaient et me souriaient. Le blond s'approchait de moi.

– On dirait que tu as bien aimé toi ?

Je rigolais avant de lui répondre.

– Et tu crois que je peux faire quoi d'autre ?

Il me caressait les couilles et s'amusait quelques instants avec ma cage.

– Et ce truc tu le porte tout le temps ?
– Bein oui, là j'ai même pas la clé.
– Pas de chance alors …
J'allais répondre mais il m'enfonçait sa queue dans le cul, sans prévenir. Je ne l'avais pas vu venir. Enfin je l'avais vu s'approcher mais ça je ne l'avais pas vu venir.

Il y allait direct, et d’emblée il y mettait toute la force et la violence dont il était capable. Enfin je suppose, je n'imagine pas qu'on puisse faire plus violent. Son ventre claquait contre mes fesses.

Il appuyait alors son ventre contre mon cul, il y mettait tout son poids. Puis il se retirait, mais c'était pour mieux revenir. Il marquait juste une petite pause puis revenait, il revenait avec force et faisait claquer son ventre contre mes fesses.

Ses attaques étaient espacées, si les coups de bite que je recevais étaient espacés, ils restaient violents. Plus violent peur être qu'avec son camarade. Je me contractait à chaque coup. Il s'en amusait et semblait y mettre encore plus de conviction.

Je gémissait mais là il y avait aussi de la douleur. Il y avait heureusement un immense plaisir mais il y avait aussi de la douleur.

– A mon avis il ne tiendra pas longtemps à ce rythme ! Commentait son camarade, le petit brun.
– Je pense aussi, mais je vais le pousser jusqu'à ses limites.

Et là je ne sais pas ce qui m'a pris mais je répondais.

– Vous parlez de quoi les filles. Bande de p'tit bites je sens presque rien là.

J'avais loupé une occasion de me taire moi à ce moment. Rapidement il frappait plus vite, toujours aussi fort mais plus vite, les claquements sur mes fesses devenaient réguliers mais de plus en plus rapide. Il marquait toujours un semblant de pause quand il ressortait sa queue de mon cul puis revenait avec violence, toujours la même violence et peut être même encore plus.

Je faisais une grimace qui les amusait, je me crispais et me retenais comme je pouvais. Il se penchait sur moi en repliant mes jambes, puis il s'appuyait sur mes jambes, mes genoux étaient au niveau de mes cotes. Mon cul était totalement offert et il en profitait.

J'avais le vertige, la douleur que j'avais ressenti à différents moments avait disparue, je tremblais, je frémissais, je gémissait mais ce n'était que du plaisir. J'étais alors submergé par le plaisir, tout mon corps vibrait sous l'effet de ces assauts. Je ne pouvais plus bouger ou alors j'en n'avais pas du tout envie.

Et ça a duré, ça a duré, je ne sais pas combien de temps, je n'avais aucun repère, je ne pouvais même plus compter les coups ils étaient trop nombreux, trop rapide trop violent.

Je l'ai senti se contracter, brusquement il ne bougeait presque plus. Je le regardais dans les yeux, il ouvrait la bouche, faisait une sorte de grimace, je devinais, il jouissait dans mon cul.

Il s'est alors retiré et plusieurs giclées de sperme sont retombées sur mon ventre, quelques goutte sur mon nez. Il prenait son pied, ça se voyait.

C'est aussi à ce moment, juste quand sa queue se retirait de mon cul que je ressentais un plaisir qui m'envahissait moi aussi, c'était un autre plaisir que celui qu'il m'avait donné avec sa queue contre mon cul et contre ma prostate. C'était un plaisir qui venait en complément, j'éjaculais, plusieurs giclées arrivaient sur mon torse et sur mon visage.

Il me regardait il avait l'air admiratif, il me faisait un grand sourire.

– Alors là toi tu m'épate ! Me disait le blond.
– Il a encaissé. Rajoutais son camarade.
– Vous vous attendiez à quoi bande de petite bite ? Rajoutais-je.

Oui je sais, là encore j'aurais du me taire mais bon, ils étaient impressionnés alors j'en profitais. Et puis, je n'avais pas vraiment mal au cul en fait. J'avais bien un peu mal mais c'était plus profond. J'aurais bien remis ça !

Ils étaient prévoyants, ils avaient tout ce qu'il fallait pour s'essuyer et j'y ai eu droit. Ensuite on retrouvait tous notre calme.

On est resté là à déambuler dans les dédales des salles et des couloirs. On est resté à poil, j'avais mon appareil photo, et ils m'ont pris en photo dans toutes les position, des plus sages, des plus artistiques aux plus suggestives. Je les ai aussi photographié. On a bien rigolé finalement, je me sentais bien, terriblement bien.

Il faut dire aussi que j'avais pris un grand, un grand très grand plaisir. J'avais pris on pied comme jamais. Jamais peut être pas mais c'est ce qu'on dit après avoir joui de la sorte, surtout que ça ne m'arrivait pas tous les jours.

Quand on se rapprochait on se touchait, on se caressait. Par moment un des deux m'embrassait, je répondais à ses approches, je redoutais qu'il ne décide de remettre ça et n'ait l'idée de me défoncer le cul une nouvelle fois, mais je l'espérais aussi un peu. En tout cas je l'aurait laissé faire.

Ils avaient de belles grosses queues qui se balançaient lourdement à chaque mouvement de leur part.

J'avais l'impression de rêver. La soirée avançait, on a pris quelques dernières photos en profitant de la lumière du soleil couchant, le calme total était revenu. Il n'y avait aucun bruit dans le bâtiment à par nous il n'y avait personne.

On a fini par se rhabiller, on s'est salué, on s'est un peu embrassé, ils m'ont un peu tripoter, histoire de bien s'assurer que c'était bien réel mon truc, ma cage à bite.

Puis on s'est quitté.

J'ai rejoins ma voiture en regardant les photos que j'avais.

C'est là que j'ai réagi. C'était une rencontre qui avait été comme un rêve mais on n'avait même pas échangé nos prénoms. Je ne savais rien d'eux …
Fin

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Texte coquin : Friche industrielle 02
Histoire sexe : Une rose rouge
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