Frigide - histoire érotique

Quand j'ai rencontré Richard, il m'a plu aussitôt. J'ai du lui taper dans l'œil avec ma stature, ma poitrine mon visage ovale de déesse grecque. Il a su me séduire. Tellement que je n'ai pas résisté à ses demandes pressantes de faire l'amour. Mes copines me disaient que lors du premier rapport je ne sentirai aucun plaisir et que par la suite je jouirai. Je cédais d'antan plus qu'avant il m'avait demandé de lui caresser le sexe. C'était naturel quand pour me remercier il m'embrassait tendrement. Au bout de quelques semaines je me suis donnée à lui. Comme prévu j'ai eu un peu mal pour cette première fois qui finalement était rapide. Ignorante totalement des choses du sexe, je me trouvais enceinte rapidement. Mes parents très stricts en la matière m'obligeaient à l'épouser.
Une fois marié et installés dans la vie, Richard me faisait l'amour souvent. Je ne sentais rien de bien particulier. Il me voulait, j'écartais les jambes, il s'installait sur moi, mettait son sexe dans le mien, faisait des aller et venues, sans que je ne ressente pas le moindre désirs. La seule chose que je sentais était son sperme quand il jouissait. J'en arrivais à me réfugier vers des migraines et autres excuses pour ne pas l'avoir dans mon corps.
J'ai appris un jour par une de mes amies que Richard, sans doute lassé par mon manque d'intérêt pour l'amour physique, avait une maîtresses. Au fond j'en étais satisfaite : il me ferai l'amour moins souvent. C'était mal le connaître : il continuait à me forcer à avoir des rapports honnis avec lui. Je décidais de me venger: je n'aimais pas faire l'amour alors que ce soit avec lui ou un autre je m'en moquai: je voulait le faire cocu. Je me regardais dans la glace: je n'avais pas changée. Comment faire pour trouver un amant. Je m'en ouvrais à Nicole, une amie depuis toujours. Elle pensait bien à quelque un, ne savait pas s'il voudrait de moi, sachant que j'étais frigide.
Elle me demandais d'aller chez elle un après midi. Elle me recevait comme d'habitude, par un baiser sur les joues, comme de bonne camarades. Toutefois son baiser glissait vers ma bouche. Ses lèvres venaient sur les miennes. Je sentais sa langue forcer pour entrer dans ma bouche. Je ne sais pas encore pourquoi j'ouvrais la bouche. Nos langues se caressaient et je trouvais que c'étai agréable. Comme ses mains sur mes seins qui me faisaient avoir un manque dans mon ventre. Sans mot dire, elle me déshabillait Je me trouvais pour la première fois de ma vie, nue devant une autre fille, je n'en avais même pas honte. Elle m'embrassait les seins, les pelotait. Ses lèvres venaient sucer mes mamelons. Je les sentais durcir. C'était bien la première fois que je sentais quelque chose d'agréable. Sa bouche venait sur mon nombril. Ses mains sur mes fesses me faisaient du bien. Je sentais sa bouche descendre en bas, vers mon sexe. Je me demandais ce qu'elle allait y faire. Accroupie devant moi, Nicole maintenant passait sa langue sur mon bouton. Je sursautais de plaisir. Je la laissait me lécher jusqu'au moment où je me crispais dans un moment d'intense plaisir: je venais de jouir.
Nicole rayonnante se relevait:
- Tu n'es pas frigide, tu es simplement mal baisée. Je n'ai pas l'habitude de faire l'amour avec les autres femmes Je l'ai fait simplement pour vérifier. Maintenant je voudrais que tu me lèches à mon tour.
J'avais un peu peur de lui rendre la pareille: elle se mettait nue. Je pouvais voir son bas ventre sans un poil. Elle s'asseyait sur un fauteuil les jambes bien ouvertes, je regardais tout son sexe avec curiosité. Elle voulait que je la fasse jouir. Je le faisais avec maladresse et reconnaissance. Je ne savais pas trop où mettre ma langue. Je léchais tout ce que je trouvais. Je devait bien accomplir de ma tâche puisqu'elle disait quelle jouissait.
Nicole me présentait un de ses amis: un homme aussi grand que Richard, à peu près les même proportions.
- Monique, je te présente Pierre, un ami.
- Enchantée, monsieur.
- Je ne m'appelle pas Monsieur, on me nomme Pierre;
- Excusez moi Pierre.
Nicole ne voulant pas tenir ma chandelle partait, nous laissant seuls.
- Nicole m'a dit que vous aviez un problème.
- Oui, c'est réglé maintenant.
- Tant mieux. On vous a déjà dit que vous étiez belle et sexy.
- Quelques fois : je ne le crois pas.
- Je peux vous le prouver !
- Comment ?
Sans un mot il venait vers moi, me prenait dans ses bras et m'embrassait. Nos langues venaient à la rencontre. Il me serrait tant qu'il me faisait presque mal. Ses mains venaient sur ma poitrine. Je ne protestais pas. Très lentement il me mettait nue. Pour la seconde fois je me trouvais en tenue d'Ève devant quelque un. Il ma caressé partout. Je sentais ses mains parcourir mon corps comme s'il le lisait. Sa bouche est venue me lécher les seins, le nombril pour descendre vers ma fourrure. J'attendais avec impatience, moi qui n'aimait pas faire l'amour avec Richard, j'attendais que sa langue trouve comme l'avait fait Nicole le bouton. Il faisait encore mieux il le prenait dans sa bouche: sa langue le caressait à l'intérieur de ses lèvres. Je ne savais plus comment me mettre. Il me couchait sur le divan pour que je sois plus confortable. J'écartais mes jambes avec plaisir. En plus de sa bouche, il me mettait deux doigts dans mon sexe où personne à part mon époux n'était rentré. Ses deux doigts réunis faisait comme la bite de Richard: ils les faisait aller et venir. Je ne sais pas encore ce qui m'a faite jouir: sa langue ou ses doigts. Je ne savais pas quoi faire pour le remercier de ce premier orgasme en couple. Lui savait fort bien la suite: il me demandait de rester comme j'étais, les jambes bien ouvertes. Il venait sur moi. J'étais prête à compter les fentes du plafond. Dès qu'il me la mise j'ai du fermer les yeux devant le plaisir qu'il m'offrait. Je me sentais flotter dans je ne sais qu'elle planète. Je jouissais pratiquement sans arrêt. Je le sentais jouir en moi en jetant son sperme au fond de mon vagin. Quand il en sortait je ne sais qu'elle mouche me piquait: je lui prenais sa bite dans ma bouche. Je la léchais pour la nettoyer. Elle me semblait énorme et pourtant elle m'avait donné un plaisir complet, c'est-ce que je croyais.
Nous nous sommes revus dès le lendemain. Cette fois, pas de chichi entre nous: c'est moi qui l'embrassais la première. J'allais au delà de ses espoirs: je lui sortais la bite du pantalon. Je me baissais pour l'embrasser juste sur le bout: elle m'avait donné tant de plaisirs. Nous nous sommes mis nus chacun de notre coté pour aller plus vite. Cette fois nous avions un lit: nous nous y sommes vite allongés. Il voulait m'apprendre certaines choses, de toutes petites choses.
Je le voulais en moi. Il me disait qu'il me prendrait tout à l'heure, avant je devais apprendre à me masturber. J'avais honte de cette façon de prendre du plaisir, surtout devant lui. Pour me montrer que c'était naturel, il prenait sa bite entre ses doigts : il les faisait coulisser le long de son vit. Il s'arrêtait bientôt pour ne pas jouir. J'étais obligée de me donner du plaisir devant lui. A dire vrai-je ne m'en étais jamais donné. Je mettais mes mains dans ma fente à la recherche de mon clitoris. J'y passais deux doigts sans y appuyer. Grande surprise pour moi, je pouvais ressentir un nouveau plaisir. Je continuais en le regardant. Je n'arrivais pas à arrêter. Je poussais ma caresse jusqu'à la limite quand je jouissais en me promettant de recommencer souvent seule.
Pour la suite il se mettait sur le dos, me demandais de me tourner complètement pour que je prenne sa queue dans la bouche. Je l'avais déjà fait pu la nettoyer. Je commençais à l'embrasser avant de la prendre complètement dans la bouche. Il me demandait de mettre mes jambes autour de sa tête. Je sentais ses lèvres sur mon sexe en entier. Il commençait par me mettre sa langue sur mon petit trou. C'était très excitant quand il l'enfonçait. J'écartais mes fesses de moi-même. Il montait jusqu'à l'entrée de ma grotte sa langue venait en exploration ans mon vagin. Enfin je jouissais encore quand il léchais mon clitoris Je ne pensais jamais pouvoir jouir autant à la fois.
Ce n'était pas fini : il me disait comment réussir ma fellation. Je suivais ses directives. Avant de jouir, il me demandais s'il devait se retirer où goûter son sperme. Je voulais tout de lui. Il giclait dans ma bouche. J'étais surprise de la vigueur du jet et de la saveur finalement agréable de sa semence. Il me demandait de venir l'embrasser avec un peu de sperme dans la bouche: c'était trop tard, j'avais tout avalé. Je sentais sa queue devenir molle dans ma bouche. Je ne le voulais pas. Il avait beau m'expliquait que c'était naturel je ne le croyais pas. Aussi je le gardais dans ma bouche. Ma mangue léchait sans arrêt son gland. Je gagnais puisqu'il bandait à nouveau.
Cette fois il allait m'apprendre une autre façon de jouir. Je me demandais bien comment. Il passait ses doigts sur mon petit trou, là où j'avais trouvé agréable sa langue. Il les enfonçait petit à petit. J'étais totalement détendue il pouvait mettre tous ses doigts sans que je soit dérangée. Il prenait de ma mouille la déposait sur mon anus. Ses doigts caressais le tour de mon cul: c'était terriblement agréable.
Il me faisait mettre à quatre pattes en levrette comme il disait. Il venait derrière moi me prenait les seins pour les caresser. Il me demandait de guider sa bite vers mon cul. C'était excitant: je prenais sa queue à pleine main, je le branlais un peu avant et enfin je la posais sur mon entrée vierge. Toujours très détendue, je le laissait entrer lentement. Au début ce n'était pas très agréable. Ça l'est devenu quand il y était à fond. Il commençait ses aller et venue. Je jouissais encore plusieurs fois. Je ne pouvais me retenir: je me masturbais aussi; je devenais folle de jouissance.
Depuis j'ai largué mon mari. Je vis seule avec des amis qui viennent souvent me rendre honneur. Il m'arrive quelque fois de baiser Nicole quand elle est en panne d'amant ou que je le suis. Et surtout je me masturbe souvent.