Frigide ou non ?
Récit érotique écrit par Sexapile33 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Frigide ou non ?
Je suis d’origine Marocaine, je m’appelle Leïla et j’ai vécu dans une famille puritaine. Seuls, les
garçons, ont le droit de parole et, avec ma sœur, nous sommes vouées au silence. On m’a mariée à
Saïd, un garçon gentil, qui me permet de vivre un peu plus à la mode occidentale.
J’ai réussi à avoir un métier dans une agence de tourisme où je parle les trois langues apprises
durant mes études et, de temps en temps, l’arabe pour gérer les locations dans le nord de l’Afrique.
Ma sexualité est quasiment inexistante hormis le devoir conjugal que j’honore suivant les désirs de
mon mari.
Suite à mon emménagement dans une proche banlieue de Lyon, j’ai changé de gynécologue avec l’accord
de mon mari. Le premier rendez-vous, avec mon mari, lui a permis de voir la doctoresse et de valider
ce choix.
Pendant les rapports, je n’éprouve aucun plaisir, mon corps reste sec et j’ai même des douleurs. Mon
mari m’a mise en demeure de trouver la solution sinon, il irait se plaindre à mes parents pour
réclamer des dommages pour cette femme froide et sans saveur qu’on lui avait donné.
Depuis, j’ai un rendez-vous avec ma gynécologue tous les quinze jours pour trouver les solutions.
A la troisième visite, la doctoresse m’a affirmée que j’étais normale et que c’était à l’homme de
trouver le chemin du plaisir pour sa femme. Cet aveu me fait plaisir mais je ne peux pas dire à mon
mari que la faute lui revient. C’est comme signer mon arrêt de mort.
J’ai supplié la doctoresse de m’aider et elle me donna une crème pour lubrifier mon intimité.
Il y a une amélioration car mon mari glisse en moi sans me faire mal et je peux vivre mieux avec la
satisfaction de rendre mon mari heureux. Malgré tout, je veux trouver ce plaisir que peuvent avoir
les femmes.
Une nouvelle visite chez ma gynécologue pour apprendre comment fonctionne le corps d’une femme est
nécessaire.
La doctoresse m’accueille avec un grand sourire et est ravi de savoir que mon mari trouve son
compte.
C’est la seule visite où je n’ai pas à me mettre sur la cochonnerie de table. A la place, la
doctoresse me parle pendant toute l’heure de la visite.
A la fin, je dois l’appeler par son prénom, Catherine, et elle m’a raconté son parcours qui lui a
permis de trouver les réponses aux plaisirs féminins et aux divers moyens de les déclencher. Je suis
très intéressée mais Catherine préfère garder les révélation pour une prochaine visite.
J’ai hâte d’être à la prochaine rencontre et les quinze jours sont longs.
Un nouveau rendez-vous et j’attend beaucoup de celui-ci.
Catherine me choque, dès le début de l’entretien, en me parlant de masturbation. Ce mot est interdit
pour une femme car il représente la dépravation et le péché. Catherine rit de ma réaction et part
dans une grande étude philosophique sur le plaisir et la situation de la femme sous le joug
masculin. Cette rencontre me perturbe et cherche à tuer tous les préceptes religieux inculqués
durant mon enfance.
Après cette rencontre, j’ai envi de changer de gynéco, ou de ne plus prendre rendez-vous. Mais
comment annoncer les raisons à mon mari sans que cela déborde dans une violence et une Intifadah
déraisonnées. Je reprend rendez-vous pour la quinzaine suivante.
Les jours passent et les mots de Catherine raisonnent au fond de ma tête. Le jour du rendez-vous
arrive et j’ai peur de la suite car cette femme ressemble plus à une révolutionnaire féministe qu’à
une simple doctoresse.
L’accueil de Catherine est toujours aussi cordial et, après quelques questions sur mon problème
initial, elle me demande de prendre place sur la table.
Je ferme les yeux pour faire abstraction de ma situation. Catherine me demande si j’arrive à trouver
du plaisir pendant les rapports. Ma réponse négative la chagrine et elle me demande s’il m’arrive de
me masturber pour m’aider à me découvrir. Un simple soupir lui donne la réponse.
Elle part alors dans une explication de mon anatomie et glisse en moi un ou deux doigts pour ce que
je crois être un test habituel. Rapidement, Catherine appui sur des points très sensibles et j’ai
l’impression que tout mon ventre réagi en me donnant comme des décharges électriques. J’ai envie
qu’elle s’arrête mais j’ai aussi envie qu’elle continue tellement les sensations sont bonnes.
Catherine me félicite et arrête son touché vaginal pour me dire que la masturbation sert à atteindre
ce genre de zone pour déclencher le plaisir.
C’est alors que je me rend compte que mon sexe est tout changé avec des ondes qui me remontent le
long du dos.
Catherine me laisse m’habiller et m’explique que je peux en faire autant sans l’aide de personne
pour trouver le plaisir.
Je sort de mon rendez-vous toute retournée et la journée est difficile à vivre.
Par deux fois, mon mari me fait l’amour et je reste très frustrée de ne pas ressentir les mêmes
sensations qu’avec Catherine.
Un nouveau rendez-vous avec Catherine et j’ose lui demander ce qu’elle m’a fait lors de la dernière
visite.
Elle m’explique les points de plaisir situés dans le vagin et, devant mon ignorance, ma montre un
livres avec des schémas techniques. Je reste interdite devant autant de complexité dans le corps
féminin. Catherine rigole de mon ignorance et me demande de retirer ma culotte. Je commence à me
lever pour retirer ma jupe et ma culotte pour aller vers la table d’examen.
Catherine m’arrête et me demande de juste retirer ma culotte et de resté assise sur la chaise. Elle
glisse alors une couche sous mes fesses entre ma jupe et ma peau.
Catherine se place alors à genoux devant moi et glisse sa main sous ma jupe.
Je sens sa main sur ma cuisse et elle m’explique que tout est dans le désir.
Elle me demande d’écarter les cuisses et j’obtempère.
Catherine pose sa main sur mes poils et je sens son pouce appuyer sur le haut de mon sexe.
Catherine m’explique que le clitoris est le déclencheur de plaisir. Elle appuie doucement sur cet
endroit et je ressens clairement mon ventre bouger et devenir comme bouillant.
Je ne peux m’empêcher de fermer les yeux et d’apprécier cette caresse sur moi. Catherine me demande
si je vais bien. Je ne peux que lui répondre par un soupir tellement les ondes m’envahissent.
Catherine me prend la main et la place sur mon sexe. Je la laisse faire et je me retrouve avec mes
doigts sur mon sexe à écraser doucement le clitoris.
Catherine en profite pour glisser en moi ses doigts et dans un élan inattendu, tout mon corps est
emporté dans une série de spasmes qui me fait perdre presque conscience.
Comme dans un rêve éveillé, je sors d’un monde cotonneux avec encore des milliers de fourmillements
partout dans le corps.
Ma vue est brouillée et je vois Catherine souriante qui me demande si je vais bien.
Je bafouille avec un mal fou à retrouver mes esprits. Je lui demande ce qui c’est passé et elle me
répond que je viens d’avoir un orgasme, qui est le paroxysme du plaisir.
Il me faut bien quinze minute pour pouvoir sortir du cabinet de Catherine dans un état à peu près
correct.
A moitié morte de honte et contente d’avoir atteint le plaisir, je me retrouve chez moi, seule.
Je suis contente même si ça met en l’air une grande partie de mon éducation. Mon mari entre du
travail et la vie continue comme si rien n’avait changé. Au fond de moi, j’ai un énorme secret et je
ne peux en parler à personne. C’est frustrant !
L’amour avec mon mari se déroule avec le même rituel et je commence à comprendre pourquoi je n’ai
aucun plaisir avec lui. Il est égoïste et ne s’attarde pas à me donner des caresses. Seul son
plaisir compte et, aussitôt fait, il me laisse pour dormir.
Dans la semaine, je me retrouve seule à la maison. Je ferme le verrou et je vais au fond de
l’appartement, là ou personne ne peut m’entendre si je me met à crier.
Je ferme les yeux pour oublier le côté dépravé de mes actes et je glisse ma main dans ma culotte. Je
dépasse rapidement ma toison pour atteindre mon clito. Quelques pressions plus tard, mon corps
répond à mes caresses et je fini avec mes doigts s’agitant dans mon fourreau humide, le corps envahi
d’ondes bienfaisantes.
A trois reprises, j’ai le plaisir de vivre mes premières masturbations et j’ai hâte d’en parler avec
Catherine.
Mon rendez-vous arrive et je suis impatiente.
Catherine m’accueille, toujours aussi souriante.
Sans qu’elle me pose la moindre question, je lui raconte que je me masturbe avec plaisir grâce à
elle. Elle me félicite et me demande si ça va mieux avec mon mari. La réponse négative semble
l’embêter car c’était le problème d’origine.
La séance se déroule avec Catherine qui sort de son tiroir deux embouts, dont un en forme de sexe
masculin.
Il faut trois séances pour que Catherine réussisse à me faire jouir avec les gods. L’envahissement
de ces objets en moi, accompagné des petites vibrations, me gêne, puis, avec toute la patience de
Catherine, j’arrive à dépasser le côté mécanique pour libérer mon corps. J’adore Catherine qui, pour
moi, représente un exemple de femme. Catherine ne me dit jamais de quoi sera constituer la prochaine
séance et je suis toujours surprise. J’ai entièrement confiance en elle mais elle arrive quand même
à me choquer.
Lors d’une séance, elle me demande de me mettre sur la serviette qu’elle pose à terre, comme à
chaque fois. Elle me demande de retirer ma culotte et ma jupe puis de prendre les deux gods. Au
moment où je m’apprête à me caresser sous le regard expert de ma coach, Catherine baisse son jean et
retire sa culotte pour me montrer son sexe. C’est la première fois qu’une femme se déshabille devant
moi et je reste cois. Catherine se place alors devant moi avec les jambes écartées. Elle me demande
de glisser en elle le god pour lui donner du plaisir.
Avec beaucoup d’appréhension, je commence à toucher les poils de Catherine. Je suis un peu dégoûtée
mais je fais l’effort de passer outre. Catherine attrape à son tour le god restant et elle ma
caresse le sexe. Ses caresses me donnent le rythme et je prend même un réel plaisir à jouer avec son
sexe que je regarde s’ouvrir pour accueillir le god. Elle arrive à me donner des conseils tout en
recevant le god en elle. Les caresses échangées sont extrêmement bonnes et Catherine déclenche les
vibrations, ce qui m’envoi un flot d’ondes de plaisir. Catherine ondule du bassin pour forcer le
rythme en elle. J’ai l’impression que son sexe veut avaler entièrement le god et j’arrive, malgré
les sensations en moi, à la regarder jouir doucement. Dans le moment le plus fort de son orgasme,
elle me dit qu’elle m’adore et qu’elle est ma chose. Je n’arrive pas à atteindre l’orgasme tellement
je suis concentrée sur les actions avec Catherine.
D’un coup, Catherine, retire le god en moi et me prend la main pour me sortir d’elle. débarrassée
des objets en nous, elle m’attrape les hanches et m’attire contre elle. Nos sexes se touchent et,
sans y réfléchir, je fais comme Catherine et je plaque mon sexe contre le siens en m’agitant pour le
frotter. L’humidité de nos sexes fait une suite de bruits de sucions et, après le moment magique où
nous somme collées l’une contre l’autre, nous partons dans un fou rire incontrôlable. Avant même que
je ne réagisse, Catherine dépose sur ma bouche un baiser. Etonnée, je préfère me lever et m’habiller
rapidement. Je laisse le chèque de la consultation et, sans un mot, je pars.
Choquée par le baiser de Catherine, je ne retourne pas la voir pour le prochain rendez-vous, ni pour
le suivant. Je me demande si tout ce qu’elle m’a apprit est très correct. Maintenant, je me sens
presque vide si je ne me masturbe pas au moins une fois par semaine. Je deviens même experte pour le
faire dans n’importe quel endroit. Je joue à faire mouiller ma culotte rien qu’en regardant le stylo
qui trône sur mon bureau. L’imaginer en moi me donne des idées cochonnes et ça m’excite. Maintenant,
j’ai toujours deux culottes dans mon sac à main pour les cas de grande pression. Avec mon mari,
j’arrive à trouver du plaisir et, après quelques discussions sérieuses sur mon évolution, il a
accepté le fait que j’éprouve aussi du plaisir pendant l’acte. J’ai l’impression que mes réactions
au lit lui donne l’occasion de s’occuper de moi avec moins d’égoïsme et notre couple se rapproche un
peu.
Je retourne voir Catherine après plus d’un mois de coupure. Elle m’accueille avec un sourire que je
sens crispé et inquiet. Sûre de moi, je ferme à clef la porte capitonnée qui la sépare de l’entrée.
J’ai bien réfléchi et j’ai accepté finalement les sentiments que je crois partager avec Catherine.
Elle se lève de son bureau et je m’avance vers elle pour la prendre dans mes bras et l’embrasser sur
la bouche.
Notre baiser est long et doux.
Régulièrement, nous nous retrouvons et nous nous donnons du plaisir. J’ai un équilibre sexuel entre
mon mari et ma maîtresse. Je rigole bien quand je vois les femmes de ma famille, réduite à
l’esclavagisme dans un monde qui les oblige à être servante. J’ai du mal à garder en moi les
réflexions qui ne demandent qu’à sortir pour dire à tout le monde que ce sont des pauvres d’esprit.
Loin d’être suicidaire, je garde pour moi le fol espoir de pouvoir quitter ce monde pour rejoindre
celui de Catherine et vivre avec elle. Le divorce étant hors de question, j’attend que la vie
m’apporte la réponse.
garçons, ont le droit de parole et, avec ma sœur, nous sommes vouées au silence. On m’a mariée à
Saïd, un garçon gentil, qui me permet de vivre un peu plus à la mode occidentale.
J’ai réussi à avoir un métier dans une agence de tourisme où je parle les trois langues apprises
durant mes études et, de temps en temps, l’arabe pour gérer les locations dans le nord de l’Afrique.
Ma sexualité est quasiment inexistante hormis le devoir conjugal que j’honore suivant les désirs de
mon mari.
Suite à mon emménagement dans une proche banlieue de Lyon, j’ai changé de gynécologue avec l’accord
de mon mari. Le premier rendez-vous, avec mon mari, lui a permis de voir la doctoresse et de valider
ce choix.
Pendant les rapports, je n’éprouve aucun plaisir, mon corps reste sec et j’ai même des douleurs. Mon
mari m’a mise en demeure de trouver la solution sinon, il irait se plaindre à mes parents pour
réclamer des dommages pour cette femme froide et sans saveur qu’on lui avait donné.
Depuis, j’ai un rendez-vous avec ma gynécologue tous les quinze jours pour trouver les solutions.
A la troisième visite, la doctoresse m’a affirmée que j’étais normale et que c’était à l’homme de
trouver le chemin du plaisir pour sa femme. Cet aveu me fait plaisir mais je ne peux pas dire à mon
mari que la faute lui revient. C’est comme signer mon arrêt de mort.
J’ai supplié la doctoresse de m’aider et elle me donna une crème pour lubrifier mon intimité.
Il y a une amélioration car mon mari glisse en moi sans me faire mal et je peux vivre mieux avec la
satisfaction de rendre mon mari heureux. Malgré tout, je veux trouver ce plaisir que peuvent avoir
les femmes.
Une nouvelle visite chez ma gynécologue pour apprendre comment fonctionne le corps d’une femme est
nécessaire.
La doctoresse m’accueille avec un grand sourire et est ravi de savoir que mon mari trouve son
compte.
C’est la seule visite où je n’ai pas à me mettre sur la cochonnerie de table. A la place, la
doctoresse me parle pendant toute l’heure de la visite.
A la fin, je dois l’appeler par son prénom, Catherine, et elle m’a raconté son parcours qui lui a
permis de trouver les réponses aux plaisirs féminins et aux divers moyens de les déclencher. Je suis
très intéressée mais Catherine préfère garder les révélation pour une prochaine visite.
J’ai hâte d’être à la prochaine rencontre et les quinze jours sont longs.
Un nouveau rendez-vous et j’attend beaucoup de celui-ci.
Catherine me choque, dès le début de l’entretien, en me parlant de masturbation. Ce mot est interdit
pour une femme car il représente la dépravation et le péché. Catherine rit de ma réaction et part
dans une grande étude philosophique sur le plaisir et la situation de la femme sous le joug
masculin. Cette rencontre me perturbe et cherche à tuer tous les préceptes religieux inculqués
durant mon enfance.
Après cette rencontre, j’ai envi de changer de gynéco, ou de ne plus prendre rendez-vous. Mais
comment annoncer les raisons à mon mari sans que cela déborde dans une violence et une Intifadah
déraisonnées. Je reprend rendez-vous pour la quinzaine suivante.
Les jours passent et les mots de Catherine raisonnent au fond de ma tête. Le jour du rendez-vous
arrive et j’ai peur de la suite car cette femme ressemble plus à une révolutionnaire féministe qu’à
une simple doctoresse.
L’accueil de Catherine est toujours aussi cordial et, après quelques questions sur mon problème
initial, elle me demande de prendre place sur la table.
Je ferme les yeux pour faire abstraction de ma situation. Catherine me demande si j’arrive à trouver
du plaisir pendant les rapports. Ma réponse négative la chagrine et elle me demande s’il m’arrive de
me masturber pour m’aider à me découvrir. Un simple soupir lui donne la réponse.
Elle part alors dans une explication de mon anatomie et glisse en moi un ou deux doigts pour ce que
je crois être un test habituel. Rapidement, Catherine appui sur des points très sensibles et j’ai
l’impression que tout mon ventre réagi en me donnant comme des décharges électriques. J’ai envie
qu’elle s’arrête mais j’ai aussi envie qu’elle continue tellement les sensations sont bonnes.
Catherine me félicite et arrête son touché vaginal pour me dire que la masturbation sert à atteindre
ce genre de zone pour déclencher le plaisir.
C’est alors que je me rend compte que mon sexe est tout changé avec des ondes qui me remontent le
long du dos.
Catherine me laisse m’habiller et m’explique que je peux en faire autant sans l’aide de personne
pour trouver le plaisir.
Je sort de mon rendez-vous toute retournée et la journée est difficile à vivre.
Par deux fois, mon mari me fait l’amour et je reste très frustrée de ne pas ressentir les mêmes
sensations qu’avec Catherine.
Un nouveau rendez-vous avec Catherine et j’ose lui demander ce qu’elle m’a fait lors de la dernière
visite.
Elle m’explique les points de plaisir situés dans le vagin et, devant mon ignorance, ma montre un
livres avec des schémas techniques. Je reste interdite devant autant de complexité dans le corps
féminin. Catherine rigole de mon ignorance et me demande de retirer ma culotte. Je commence à me
lever pour retirer ma jupe et ma culotte pour aller vers la table d’examen.
Catherine m’arrête et me demande de juste retirer ma culotte et de resté assise sur la chaise. Elle
glisse alors une couche sous mes fesses entre ma jupe et ma peau.
Catherine se place alors à genoux devant moi et glisse sa main sous ma jupe.
Je sens sa main sur ma cuisse et elle m’explique que tout est dans le désir.
Elle me demande d’écarter les cuisses et j’obtempère.
Catherine pose sa main sur mes poils et je sens son pouce appuyer sur le haut de mon sexe.
Catherine m’explique que le clitoris est le déclencheur de plaisir. Elle appuie doucement sur cet
endroit et je ressens clairement mon ventre bouger et devenir comme bouillant.
Je ne peux m’empêcher de fermer les yeux et d’apprécier cette caresse sur moi. Catherine me demande
si je vais bien. Je ne peux que lui répondre par un soupir tellement les ondes m’envahissent.
Catherine me prend la main et la place sur mon sexe. Je la laisse faire et je me retrouve avec mes
doigts sur mon sexe à écraser doucement le clitoris.
Catherine en profite pour glisser en moi ses doigts et dans un élan inattendu, tout mon corps est
emporté dans une série de spasmes qui me fait perdre presque conscience.
Comme dans un rêve éveillé, je sors d’un monde cotonneux avec encore des milliers de fourmillements
partout dans le corps.
Ma vue est brouillée et je vois Catherine souriante qui me demande si je vais bien.
Je bafouille avec un mal fou à retrouver mes esprits. Je lui demande ce qui c’est passé et elle me
répond que je viens d’avoir un orgasme, qui est le paroxysme du plaisir.
Il me faut bien quinze minute pour pouvoir sortir du cabinet de Catherine dans un état à peu près
correct.
A moitié morte de honte et contente d’avoir atteint le plaisir, je me retrouve chez moi, seule.
Je suis contente même si ça met en l’air une grande partie de mon éducation. Mon mari entre du
travail et la vie continue comme si rien n’avait changé. Au fond de moi, j’ai un énorme secret et je
ne peux en parler à personne. C’est frustrant !
L’amour avec mon mari se déroule avec le même rituel et je commence à comprendre pourquoi je n’ai
aucun plaisir avec lui. Il est égoïste et ne s’attarde pas à me donner des caresses. Seul son
plaisir compte et, aussitôt fait, il me laisse pour dormir.
Dans la semaine, je me retrouve seule à la maison. Je ferme le verrou et je vais au fond de
l’appartement, là ou personne ne peut m’entendre si je me met à crier.
Je ferme les yeux pour oublier le côté dépravé de mes actes et je glisse ma main dans ma culotte. Je
dépasse rapidement ma toison pour atteindre mon clito. Quelques pressions plus tard, mon corps
répond à mes caresses et je fini avec mes doigts s’agitant dans mon fourreau humide, le corps envahi
d’ondes bienfaisantes.
A trois reprises, j’ai le plaisir de vivre mes premières masturbations et j’ai hâte d’en parler avec
Catherine.
Mon rendez-vous arrive et je suis impatiente.
Catherine m’accueille, toujours aussi souriante.
Sans qu’elle me pose la moindre question, je lui raconte que je me masturbe avec plaisir grâce à
elle. Elle me félicite et me demande si ça va mieux avec mon mari. La réponse négative semble
l’embêter car c’était le problème d’origine.
La séance se déroule avec Catherine qui sort de son tiroir deux embouts, dont un en forme de sexe
masculin.
Il faut trois séances pour que Catherine réussisse à me faire jouir avec les gods. L’envahissement
de ces objets en moi, accompagné des petites vibrations, me gêne, puis, avec toute la patience de
Catherine, j’arrive à dépasser le côté mécanique pour libérer mon corps. J’adore Catherine qui, pour
moi, représente un exemple de femme. Catherine ne me dit jamais de quoi sera constituer la prochaine
séance et je suis toujours surprise. J’ai entièrement confiance en elle mais elle arrive quand même
à me choquer.
Lors d’une séance, elle me demande de me mettre sur la serviette qu’elle pose à terre, comme à
chaque fois. Elle me demande de retirer ma culotte et ma jupe puis de prendre les deux gods. Au
moment où je m’apprête à me caresser sous le regard expert de ma coach, Catherine baisse son jean et
retire sa culotte pour me montrer son sexe. C’est la première fois qu’une femme se déshabille devant
moi et je reste cois. Catherine se place alors devant moi avec les jambes écartées. Elle me demande
de glisser en elle le god pour lui donner du plaisir.
Avec beaucoup d’appréhension, je commence à toucher les poils de Catherine. Je suis un peu dégoûtée
mais je fais l’effort de passer outre. Catherine attrape à son tour le god restant et elle ma
caresse le sexe. Ses caresses me donnent le rythme et je prend même un réel plaisir à jouer avec son
sexe que je regarde s’ouvrir pour accueillir le god. Elle arrive à me donner des conseils tout en
recevant le god en elle. Les caresses échangées sont extrêmement bonnes et Catherine déclenche les
vibrations, ce qui m’envoi un flot d’ondes de plaisir. Catherine ondule du bassin pour forcer le
rythme en elle. J’ai l’impression que son sexe veut avaler entièrement le god et j’arrive, malgré
les sensations en moi, à la regarder jouir doucement. Dans le moment le plus fort de son orgasme,
elle me dit qu’elle m’adore et qu’elle est ma chose. Je n’arrive pas à atteindre l’orgasme tellement
je suis concentrée sur les actions avec Catherine.
D’un coup, Catherine, retire le god en moi et me prend la main pour me sortir d’elle. débarrassée
des objets en nous, elle m’attrape les hanches et m’attire contre elle. Nos sexes se touchent et,
sans y réfléchir, je fais comme Catherine et je plaque mon sexe contre le siens en m’agitant pour le
frotter. L’humidité de nos sexes fait une suite de bruits de sucions et, après le moment magique où
nous somme collées l’une contre l’autre, nous partons dans un fou rire incontrôlable. Avant même que
je ne réagisse, Catherine dépose sur ma bouche un baiser. Etonnée, je préfère me lever et m’habiller
rapidement. Je laisse le chèque de la consultation et, sans un mot, je pars.
Choquée par le baiser de Catherine, je ne retourne pas la voir pour le prochain rendez-vous, ni pour
le suivant. Je me demande si tout ce qu’elle m’a apprit est très correct. Maintenant, je me sens
presque vide si je ne me masturbe pas au moins une fois par semaine. Je deviens même experte pour le
faire dans n’importe quel endroit. Je joue à faire mouiller ma culotte rien qu’en regardant le stylo
qui trône sur mon bureau. L’imaginer en moi me donne des idées cochonnes et ça m’excite. Maintenant,
j’ai toujours deux culottes dans mon sac à main pour les cas de grande pression. Avec mon mari,
j’arrive à trouver du plaisir et, après quelques discussions sérieuses sur mon évolution, il a
accepté le fait que j’éprouve aussi du plaisir pendant l’acte. J’ai l’impression que mes réactions
au lit lui donne l’occasion de s’occuper de moi avec moins d’égoïsme et notre couple se rapproche un
peu.
Je retourne voir Catherine après plus d’un mois de coupure. Elle m’accueille avec un sourire que je
sens crispé et inquiet. Sûre de moi, je ferme à clef la porte capitonnée qui la sépare de l’entrée.
J’ai bien réfléchi et j’ai accepté finalement les sentiments que je crois partager avec Catherine.
Elle se lève de son bureau et je m’avance vers elle pour la prendre dans mes bras et l’embrasser sur
la bouche.
Notre baiser est long et doux.
Régulièrement, nous nous retrouvons et nous nous donnons du plaisir. J’ai un équilibre sexuel entre
mon mari et ma maîtresse. Je rigole bien quand je vois les femmes de ma famille, réduite à
l’esclavagisme dans un monde qui les oblige à être servante. J’ai du mal à garder en moi les
réflexions qui ne demandent qu’à sortir pour dire à tout le monde que ce sont des pauvres d’esprit.
Loin d’être suicidaire, je garde pour moi le fol espoir de pouvoir quitter ce monde pour rejoindre
celui de Catherine et vivre avec elle. Le divorce étant hors de question, j’attend que la vie
m’apporte la réponse.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Chere Madame,
Apre avoir lu votre histoire, j'ai ete stupifie par la reation de votre mari. J'espere que vous auriez le courage de faire son "education sexuelle" et le plus important SENSUELLE. C'est lui qui va en profiter. Rien de plus spectaculaire que de voir le corps d'une femme durant L'orgasme.
Apre avoir lu votre histoire, j'ai ete stupifie par la reation de votre mari. J'espere que vous auriez le courage de faire son "education sexuelle" et le plus important SENSUELLE. C'est lui qui va en profiter. Rien de plus spectaculaire que de voir le corps d'une femme durant L'orgasme.
DOMMAGE QUE VOTRE MARI VOUS NÉGLIGE... A CA PLACE JE CHASSERAI TOUTE IDÉE DE FRIGIDITÉ
EN VOUS.
Momo
EN VOUS.
Momo
j ai adirer ce recit qui m a un peu rapeller mes debuts avec ma comcubine ,qui est
devenue maintenant ma femme qui ne voulait que certaines pratiques durant nos ebats car
elles trouvait que faire l amour autrement était contre nature (mais elle a beaucoup
changé)
devenue maintenant ma femme qui ne voulait que certaines pratiques durant nos ebats car
elles trouvait que faire l amour autrement était contre nature (mais elle a beaucoup
changé)
Faut toujours garder l'espoir. Courage.