Futur Lope : Episode 5 - J'étais Son Garçon, il me partage
Récit érotique écrit par Portdebrest [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 44 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.5 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Portdebrest ont reçu un total de 164 364 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 988 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Futur Lope : Episode 5 - J'étais Son Garçon, il me partage
« Donc on est d’accord, tu m’appartiens ! Alors c’est comme si j’autorisais un ami à retirer le collier de mon chien pour le regarder ». Etrange comparaison, mais avant que j’ai le temps de dire un mot, Prof m’avait écarté les fesses et retiré le Rosebud. Ils ont commenté sa forme et sa couleur puis mon Maître l’a jeté dans ma gamelle avec des morceaux de crêpes. « Tiens, régales toi, et n’hésites pas à nettoyer ton bijou !» Il a ensuite tiré ma queue et mes boules pour les montrer puis écarté mes fesses pour introduire ses doigts dans ma chatte. « Tu vois prof, c’est comme je t’ai dit, je m’en suis bien servi et il apprend vite ». « Veux-tu mon avis ?» ; « Oui, je t’ai invité pour ça ! » ; « Il n’a pas encore compris le rapport Maître – chien, il se rebiffe trop, il doit obéir les yeux fermés, il faut être plus ferme » ; « d’accord, montres-moi ». Ils m’ont enlevé mon tanga, couché sur la table basse, attaché les mains et les genoux aux pieds de celle-ci puis bandé les yeux.
« Tu vois, comme ça, il sait qui est le Maître et il doit apprendre à accepter ce qui est décidé sans savoir ni quoi, ni quand ni même avec qui ». Je suis resté un moment seul, j’entendais seulement des murmures. Mes nerfs étaient à vif, ils disposaient de moi. « Ouvre la bouche » c’était la voix de Maître. Il m’a mis le Rosebud dans la bouche. Comme je ne l’avais pas sucé, il sentait « c’est ton odeur le chien, heureusement tu t’es lavé ce matin ». C’est alors que j’ai senti une claque sur les fesses, puis une seconde et une troisième. Mon Maître me parlait à l’oreille « Tu vois, moi j’essaie d’être gentil mais tu n’es pas vraiment obéissant alors il faut bien que quelqu’un te corrige pour que tu sois meilleur… On va recommencer et tu vas compter les coups jusqu’à 20 en remerciant Prof à chaque fois. Un nouveau coup « quatre » « Non, c’est un, merci Prof » « un, merci prof » ; « deux, merci prof » ; « trois, merci Prof ; » Les coups devenaient plus forts… « dix, merci Prof ».
Le Maître « tu vois, ce n’est pas du plaisir de te punir, Prof a mal à la main ». Moi, mes fesses me brulent et pas de plaisir non plus. « Ouille ! Onze, merci Prof, c’est plus dur » ; « Oui Prof a pris sa ceinture » ; « douze, merci Prof » … « dix-huit, merci Prof ». Qu’arrive-t-il, J’ai déjà reçu plus de 20 fessées, est ce terminé ? Mon Maître me caresse les joues : « Prof ne vas pas abîmer sa ceinture alors on va voir ». Je reste là couché, les fesses en feu, Maître me caresse le dos et m’embrasse. Et VLAN ! un coup d’une violence inouïe, immédiatement suivi d’un autre cingle mon cul. Ce sont deux cris de douleurs qui sortent de ma gorge, je n’arrive pas à dire autre chose. « dix-neuf et vingt », c’est mon Maître qui a parlé : « J’ai compté à ta place sinon il fallait recommencer et maintenant c’est avec une baguette. Tu vois, je veux ton bien, obéis-moi ». Puis il s’adresse à Prof, « Merci pour ta leçon, je crois qu’il la retiendra, je vais lui étaler de la crème apaisante ».
Maintenant, ils discutent de tout et de rien, comme si je n’étais pas là, attaché, fouetté, aveuglé, humilié. Le baume sur mon cul me fait du bien, mon Maître en étale aussi dans ma raie et sur mon œillet. Je suis toujours attaché. Le Prof s’adresse à mon Maître : « comme je te l’ai dit, j’ai un Rdv ce soir et je passerais peut-être demain, mais est ce que je peux avoir ma récompense maintenant » ; « Bien sûr, comme convenu ». Car en plus le Prof se fait payer pour ses services ou plutôt ses sévices. Tout d’un coup quelqu’un m’écartes les fesses et je sens un gland qui pousse sur ma rondelle. Sans attendre la bite pénètre mon rectum et commence des vas et vient de plus en plus profonds, de plus en plus fougueux et en peu de temps, j’entends le prof pousser un râle de plaisir, c’est donc moi la récompense que le Maître a donné à Prof. « C’est un bon petit cul, il pourrait dire merci ! »
« Tu vois, comme ça, il sait qui est le Maître et il doit apprendre à accepter ce qui est décidé sans savoir ni quoi, ni quand ni même avec qui ». Je suis resté un moment seul, j’entendais seulement des murmures. Mes nerfs étaient à vif, ils disposaient de moi. « Ouvre la bouche » c’était la voix de Maître. Il m’a mis le Rosebud dans la bouche. Comme je ne l’avais pas sucé, il sentait « c’est ton odeur le chien, heureusement tu t’es lavé ce matin ». C’est alors que j’ai senti une claque sur les fesses, puis une seconde et une troisième. Mon Maître me parlait à l’oreille « Tu vois, moi j’essaie d’être gentil mais tu n’es pas vraiment obéissant alors il faut bien que quelqu’un te corrige pour que tu sois meilleur… On va recommencer et tu vas compter les coups jusqu’à 20 en remerciant Prof à chaque fois. Un nouveau coup « quatre » « Non, c’est un, merci Prof » « un, merci prof » ; « deux, merci prof » ; « trois, merci Prof ; » Les coups devenaient plus forts… « dix, merci Prof ».
Le Maître « tu vois, ce n’est pas du plaisir de te punir, Prof a mal à la main ». Moi, mes fesses me brulent et pas de plaisir non plus. « Ouille ! Onze, merci Prof, c’est plus dur » ; « Oui Prof a pris sa ceinture » ; « douze, merci Prof » … « dix-huit, merci Prof ». Qu’arrive-t-il, J’ai déjà reçu plus de 20 fessées, est ce terminé ? Mon Maître me caresse les joues : « Prof ne vas pas abîmer sa ceinture alors on va voir ». Je reste là couché, les fesses en feu, Maître me caresse le dos et m’embrasse. Et VLAN ! un coup d’une violence inouïe, immédiatement suivi d’un autre cingle mon cul. Ce sont deux cris de douleurs qui sortent de ma gorge, je n’arrive pas à dire autre chose. « dix-neuf et vingt », c’est mon Maître qui a parlé : « J’ai compté à ta place sinon il fallait recommencer et maintenant c’est avec une baguette. Tu vois, je veux ton bien, obéis-moi ». Puis il s’adresse à Prof, « Merci pour ta leçon, je crois qu’il la retiendra, je vais lui étaler de la crème apaisante ».
Maintenant, ils discutent de tout et de rien, comme si je n’étais pas là, attaché, fouetté, aveuglé, humilié. Le baume sur mon cul me fait du bien, mon Maître en étale aussi dans ma raie et sur mon œillet. Je suis toujours attaché. Le Prof s’adresse à mon Maître : « comme je te l’ai dit, j’ai un Rdv ce soir et je passerais peut-être demain, mais est ce que je peux avoir ma récompense maintenant » ; « Bien sûr, comme convenu ». Car en plus le Prof se fait payer pour ses services ou plutôt ses sévices. Tout d’un coup quelqu’un m’écartes les fesses et je sens un gland qui pousse sur ma rondelle. Sans attendre la bite pénètre mon rectum et commence des vas et vient de plus en plus profonds, de plus en plus fougueux et en peu de temps, j’entends le prof pousser un râle de plaisir, c’est donc moi la récompense que le Maître a donné à Prof. « C’est un bon petit cul, il pourrait dire merci ! »
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Portdebrest
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...