Future Lope; Episode 4 : J'étais Lope je deviens Son Garçon
Récit érotique écrit par Portdebrest [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Future Lope; Episode 4 : J'étais Lope je deviens Son Garçon
Le samedi, j’ai pris un déjeuner copieux et me suis douché et rincé. Même le trou de balle ! j’ai hésité avant de choisir mes habits pour finalement décider que je serais sans doute nu. Je suis donc allé à la pharmacie acheter de crème dépilatoire. Après une seconde douche, j’ai rasé au plus près ma bite et mes couilles puis les ai tartinées de crème ainsi que mes fesses et le sillon de mon cul. J’ai bien rincé le tout. J’étais encore plus nu que nu. Arrivé chez lui à l’heure précise la porte était ouverte, je suis entré et conformément aux consignes, je me suis déshabillé et pris ce qu’il y avait sur la chaise. Un collier de chien que j’ai attaché autour de mon cou, un Rosebud que j’ai enfilé dans ma chatte, un faux diamant restait apparent –ça me semblait un joli cadeau- et un slip en dentelle. En le mettant je me suis aperçu qu’il était ouvert à l’arrière comme un Jockstrap mais en forme de cœur et qu’une fente devant était retenue par un lacet fin.
Je suis allé dans la cuisine. J’ai entendu du bruit derrière moi « Ne te retournes pas, mon garçon ». Mon Maître voulait vérifier. Cette fois la vaisselle qui m’attendait était moins abondante et j’ai donc nettoyé l’évier et le plan de travail. C’est à ce moment que la sonnette a retentit. Je me suis figé ! Aucun mouvement dans l’appartement. Un nouveau coup de sonnette plus long cette fois et j’entends mon Maître : « qu’attends-tu pour aller ouvrir ? » Mais… Maître… « Je te dis d’aller ouvrir » Mais je suis… « Non tu n’es pas à poil et puis fais ce que je commande ! » ; « Oui Maître, si vous voulez Maître ». Je suis allé dans le couloir, mes vêtements avaient été retirés. J’ai finalement ouvert tout en restant caché derrière la porte. Un homme mur me regardait. Il a poussé la porte en grand pour que je sorte de derrière. « Je suis Prof et toi tu es le nouveau garçon ». Il restait dans le pas de la porte. J’étais rouge de honte. Des passants pourraient me voir.
Mon Maître est enfin arrivé. « Bonjour Prof ; Toi, referme la porte, retournes à la cuisine et prépares nous un goûter ». Je m’étais déjà retrouvé nu devant plusieurs personnes mais dans des lieux choisis, club semi-obscurs ou saunas gays. Jamais en situation d’être exposé devant la rue. Enfin j’ai pu retourner dans la cuisine. J’ai rassemblé, jus d’orange, crêpes, un cake et du thé. J’ai préparé tout ça sur un plateau pour trois… ou pour deux plutôt, je resterais ici. J’ai attendu que Maître vienne… « Hé, Garçon, tu nous l’amène ce goûter ! » c’est ce que je craignais, il va falloir que je me montre dans cette tenue. J’ai pris le plateau et me suis rendu dans la salle. « Merci, pose ça sur la table basse ». « Oui, Maître » J’ai dû me retourner et montrer mes fesses mises en valeur par le tanga en forme de cœur. J’allais repartir et… « Dis-moi, tu n’as rien pris pour toi, va chercher ta gamelle !» Toute honte bue, j’y suis allé sachant qu’ils m’observaient sous toutes les coutures.
« Pose ta gamelle par terre entre nos fauteuils » Maître y a mis des miettes du cake qu’il mangeait : « Le collier te vas bien, montre que tu peux être un bon garçon, baisse la tête et lape ce que je te donne ». J’ai obéi… Ils ont continué leur conversation et j’ai compris que le Prof avait formé le « chiot » précédent de mon Maître et ils me comparaient à lui. Plus âgé mais peut-être plus obéissant que l’autre, plus petite bite mais cul souple, bouche suceuse mais pas encore gorge profonde, et pas Bareback. Le Prof félicitait mon Maître pour sa façon de me former tout en disant que j’avais encore tendance à me cacher, puis il lui a parlé du Rosebud. « Je peux le voir de plus près ? » « Oui Prof, n’hésites pas, retires lui du cul » Je me suis cabré, déjà me montrer comme un chien, le cul à l’air m’était pénible mais un inconnu allait me toucher le trou du cul sans mon accord et j’ai dit NON. « Comment ça, tu es venu en étant d’accord d’être à moi ». « Oui mais pas à lui… Maître ».
Je suis allé dans la cuisine. J’ai entendu du bruit derrière moi « Ne te retournes pas, mon garçon ». Mon Maître voulait vérifier. Cette fois la vaisselle qui m’attendait était moins abondante et j’ai donc nettoyé l’évier et le plan de travail. C’est à ce moment que la sonnette a retentit. Je me suis figé ! Aucun mouvement dans l’appartement. Un nouveau coup de sonnette plus long cette fois et j’entends mon Maître : « qu’attends-tu pour aller ouvrir ? » Mais… Maître… « Je te dis d’aller ouvrir » Mais je suis… « Non tu n’es pas à poil et puis fais ce que je commande ! » ; « Oui Maître, si vous voulez Maître ». Je suis allé dans le couloir, mes vêtements avaient été retirés. J’ai finalement ouvert tout en restant caché derrière la porte. Un homme mur me regardait. Il a poussé la porte en grand pour que je sorte de derrière. « Je suis Prof et toi tu es le nouveau garçon ». Il restait dans le pas de la porte. J’étais rouge de honte. Des passants pourraient me voir.
Mon Maître est enfin arrivé. « Bonjour Prof ; Toi, referme la porte, retournes à la cuisine et prépares nous un goûter ». Je m’étais déjà retrouvé nu devant plusieurs personnes mais dans des lieux choisis, club semi-obscurs ou saunas gays. Jamais en situation d’être exposé devant la rue. Enfin j’ai pu retourner dans la cuisine. J’ai rassemblé, jus d’orange, crêpes, un cake et du thé. J’ai préparé tout ça sur un plateau pour trois… ou pour deux plutôt, je resterais ici. J’ai attendu que Maître vienne… « Hé, Garçon, tu nous l’amène ce goûter ! » c’est ce que je craignais, il va falloir que je me montre dans cette tenue. J’ai pris le plateau et me suis rendu dans la salle. « Merci, pose ça sur la table basse ». « Oui, Maître » J’ai dû me retourner et montrer mes fesses mises en valeur par le tanga en forme de cœur. J’allais repartir et… « Dis-moi, tu n’as rien pris pour toi, va chercher ta gamelle !» Toute honte bue, j’y suis allé sachant qu’ils m’observaient sous toutes les coutures.
« Pose ta gamelle par terre entre nos fauteuils » Maître y a mis des miettes du cake qu’il mangeait : « Le collier te vas bien, montre que tu peux être un bon garçon, baisse la tête et lape ce que je te donne ». J’ai obéi… Ils ont continué leur conversation et j’ai compris que le Prof avait formé le « chiot » précédent de mon Maître et ils me comparaient à lui. Plus âgé mais peut-être plus obéissant que l’autre, plus petite bite mais cul souple, bouche suceuse mais pas encore gorge profonde, et pas Bareback. Le Prof félicitait mon Maître pour sa façon de me former tout en disant que j’avais encore tendance à me cacher, puis il lui a parlé du Rosebud. « Je peux le voir de plus près ? » « Oui Prof, n’hésites pas, retires lui du cul » Je me suis cabré, déjà me montrer comme un chien, le cul à l’air m’était pénible mais un inconnu allait me toucher le trou du cul sans mon accord et j’ai dit NON. « Comment ça, tu es venu en étant d’accord d’être à moi ». « Oui mais pas à lui… Maître ».
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