G R 20 quand tu nous tiens !
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2012 dans la catégorie Plus on est
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G R 20 quand tu nous tiens !
- Anaïs cette année si nous allons en corse nous ferons une partie du g r 20
- Le g r vingt ? c’est quoi ?
- Un chemin de grande randonnée, toi qui aime crapahuter ce serait bien non ?
- Oh oui chouette je veux bien
- Attend, tu es sûre de vouloir le faire ? c’est plutôt hard comme circuit
- Tu me connais mal !
- bon alors nous y allons en juin il y aura moins de monde et il fera moins chaud
C’est comme ça qu’un matin de bonne heure l’aventure a commencé …..
- Que dois-je mettre comme tenue ?
- Pas de grande toilette ! le principal c’est d’avoir de bonnes chaussures pour le reste tu peux être a poil ça ne risque rein ! et surtout n’oublie pas que c’est toi qui porte TON sac à dos !
Je ne croyais pas si bien dire, elle m’a prit au mot, la voilà en pataugas et un short mini surement sans rien dessous tellement son petit cul et sa raie sont bien dessinés, pour le haut c’est pareil, un top qui ne cache pas son nombril mais qui moule ses nichons a la perfection ! Bof il va faire chaud et puis nous ne ferons que croiser des gens qui aiment la nature, je ne dis donc rien sur sa tenue je lui fais même des compliments
Enfin nous prenons la route
- Mais ce soir nous dormons où, à la belle étoile ??
- Dans un gite ne t’en fait pas tu seras en sécurité il y en a tous les sept kilomètres
- Hooouuuu c’est vrais que ce n’est pas du gâteau ! c’est plein de roches !
- Je t’avais prévenue, marche et tait toi !
Je profite pleinement du paysage, celui de la montagne et celui du petit cul qui se dandine devant moi ! Par moment j’ai envie de lui dire stop il faut que je te baise ! Après trois heures de marche elle commence à souffler fort, nous arrivons à un torrent
- Chéri si nous nous arrêtions un moment regarde si c’est beau ici et puis j’ai mal aux pieds
- Ok nous faisons une halte pose ton sac mais la reprise sera plus dure
Anaïs va s’accouder sur un rocher, elle tortille exprès son p’tit cul tendu en arrière ça me fait bander, sournoisement je m’approche et passe ma main entre ses cuisses, elle sursaute et finalement écarte les pieds pour se laisser toucher le minou par-dessus le short, la vulve gonflée est brulante et moite , j’insinue deux doigts entre le tissu et la chair, le trou est là … la chatte naturellement mouillée par l’effort est facile a pénétrer, je colle mon short gonflé par l’érection sur son cul elle tend encore plus ses fesses vers moi ,je la saisie une main sur les hanches et l’autre sur un sein puis je mime le coït
- Muuuuuummmmm salaud tu m’allume et tu va me laisser dans cet état ?
- Surement pas je vais te baiser sur ce rocher !
- Et si quelqu’un arrive ?
- Nous entendrons si quelqu’un monte ne t’en fait pas, je vais juste baisser ton short et sortir ma queue …..aaaahhh elle ne veut pas sortir je bande comme un cerf ! voilà ! tu la sens sur ton cul ?
- RRRRRRR enfonce la moi chéri
- Ecarte les cuisses je n’ai pas assez d’espace !
- Tu me fais rire je suis entravée dans mon short !
- Ôte-le carrément alors
- Tu va voir qu’on va nous surprendre !
- Tans pis j’ai trop envie, vient sur ce coté nous serons un peu plus cachés
Anaïs s’exécute elle en a autant envie que moi, Ah quel pied quand ma queue glisse lentement dans son vagin comme tapissé de soie j’y enfonce ma queue jusqu’aux couilles et reste un moment bloqué à savourer cet instant magique, sa vulve se contracte sur ma verge, je réponds en contractant mes sphincters qui font relever et durcir ma queue , c’est elle qui commence a bouger d’avant en arrière sur mon nœud est prêt a exploser tellement je suis excité par la situation soudain j’entend des voix , merde , trop tard deux hommes passent sur le chemin a vingt mètres de nous, un barbu la cinquantaine et un autre d’a peut prés notre âge , ils passent leur chemin en nous ignorant mais je suis sûr qu’ils ont tout vu , mon érection est tombée aussi vite qu’elle était venue
- Partons ils nous ont surement vus
Dépitée Anaïs râle
- Ooooh tu exagère je me doutais que tu me laisserais sur ma faim
- Aller repartons si nous voulons arriver au refuge avant la nuit
- AIIIEEEE ! AIE ! chéri je ne peux plus poser le pied a terre
- Baaahh !
- Je ne plaisante pas ça me fait un mal atroce
Il faut se rendre a l’évidence elle s’est surement tordu le pied, obligé de pendre mon sac a dos a mon cou et de la charger sur mon dos , miracle après deux cent mètres hors de la piste j’aperçois une cabane en bois peut être y trouverons nous une solution quitte a y passer la nuit dans notre sac de couchage
La porte est ouverte, deux hommes en slip surgissent de derrière la cabane un peut surpris en nous voyant, surpris je le suis aussi, c’est les hommes qui sont passés tout a l’heure prés de nous
- Buongiorno signora e signore
- Bonjour messieurs
- MA vous êtes français ! madame est blessée ? elle ne peut plus poser le pied à terre
- Ha, vous êtes bien tombés je me présente, Aldo, ostéopathe italien et mon neveu Fernando qui va bientôt ouvrir son cabinet de kinésie, je voue en prie entrer, asseyez madame sur la table ôtez sa chaussure, je vais voir cela, excusez notre tenue nous venons de prendre une douche, il y en a une juste derrière, si vous voulez en profiter l’eau vient directement du torrent
Je dépose Anaïs sur le bord d’une table rudimentaire faite maison mais très costaude, en délaçant la chaussure je me demande si ces gars là ont vus ma femme le cul a l’air …elle grimace quand je tire dessus, ce n’est donc pas du cinéma
- Otez les deux que je compare les chevilles…ha oui celle-ci est un peu enflée
- Le temps que vous examiniez le pied de ma femme je vais prendre une douche, tu iras après chérie
Je prends avec moi un sou vêtement propre pour toute rechange après tout ils sont restés en slip et il fait très chaud, j’ouvre une vanne et me glisse sous le filet d’eau fraiche qui coule sans beaucoup de pression, soudain entend Anaïs pousser un cri strident puis rire aux éclats, un rire qui se transforme en plainte …. Je me sèche rapidement et retourne a la cabane pour voir ma femme allongée sur le ventre sur la table se laissant masser le haut dont le top a tété relevé par le jeune masseur et les mains d’Aldo qui pétrissent ses cuisses
- Alors ? c’est grave ?
- Non, vous voyez ça va mieux juste un nerf de déplacé, mais elle est nouée a outrance, c’est pour cela que nous massons les endroits contracturés, demain elle bondira de rochers en rochers comme une biche !
- Ha … merci
Je me demande si l’entre cuisses et le coté apparent des seins sur le coté font partie des endroits contracturés …. Le plus jeune n’est pas très loquace mais il agit autant que son oncle, Il me semble que leurs slips sont devenus étroit, tout comme le mien d’ailleurs ….Elle ronronne comme une chatte en chaleur, les jambes ouvertes laissent deviner la forme de la vulve sous la finesse du short humide, surement dût a la sueur ….je dois mettre un terme a ce pelotage
- Ça va mieux chérie ?
- Ah, tu es là … oui ça va beaucoup mieux je vais aller prendre une douche …merci messieurs c’était très agréable
Avant de partir elle vient murmurer à mon oreille
- Chéri je n’ai qu’une jupette pour tout rechange
Je bégaie, un ‘ ça ira ‘ que dire de plus le mal est fait !
- Vous allez casser la croute avec nous et passer la nuit ici votre femme doit se reposer, regarder ce n’est pas le confort mais a la guerre comme a la guerre !
Effectivement dans la même pièce deux lits, plutôt deux rectangle de planches ont été disposés en angles, un matelas douteux les recouvrent, mais je suis tellement crevé que ça me semble luxueux
- Vous êtes très sympas, nous allons partager nos victuailles
- Ha ! vous aimer le chianti ? cette cabane de chasse appartient a un ami corse il me laisse une clé, j’y suis déjà venus ils pratiquent une drôle de chasse ici, le gibier a deux pattes n’est pas farouche ! je sais ou il planque ses bouteilles, et c’est du bon c’est moi qui le ravitaille !
Après deux bouteilles de vin italien vidées Anaïs tien la forme ! Nous ne somme pas privés de voir son petit cul nu sous la jupe qui vole au moindre mouvement et comme elle est très excitée, voire très amoureuse ça vole souvent !! J’avoue que ça m’excite qu’elle montre ses formes harmonieuses à nos hôtes qui n’hésitent plus a frôler ses seins aux tétons tendus sous le top et la partie la plus charnue de son corps sans qu’elle ne proteste , j’ai essayé de lui lancer une réflexion pour la modérer mais elle m’a dit que je l’avais ratée sur le chemin et que le massage l’avait trop excitée , elle leurs confient que dans l’après midi deux hommes lui ont fait rater une bonne partie de jambes en l’air en passant au mauvais moment
- AH ! ah !ah ah c’est nous, nous somment passés a ce moment là ! la vue était plutôt agréable !
- C’était vous ? ho mince j’aurais mieux fait de la boucler !
- Nous n’avons pas osé nous arrêter, nous avons simplement ralentit le pas !!!
- Oh j’ai honte !
- Avec un trésor comme celui que vous possédez ce serait monstrueux de ne pas en faire profiter d’honnêtes citoyens !
- Quels enjôleurs ces italiens !!
- Anaïs si nous allions dormir ? demain nous repartons de bonne heure en direction de la voiture le g r 20 ça suffit pour toi !
- Il à raison nous y allons nous aussi
- Oh déjà ? alors tu va me faire un câlin sous la couette ? !
- Nous ne somment pas seuls chérie
- Oh vous savez rien ne nous dérangeras nous allons fermer les yeux de suite
Un quart d’heure plus tard la lumière est éteinte, leurs têtes ne sont distantes des notre que d’une cinquantaine de centimètres, Anaïs pose un bras et une jambe sur moi elle murmure des mots doux a mon oreille
- Amour, fait moi un câlin touche, je mouille
- Surement pas ici, laisse-moi et dors
- Tu sais que l’italien barbu en pince pour moi ? en douce il m’a mis un doigt, il n’est pas mal finalement, j’aime bien sa barbe ça doit chatouiller !!
Excédé je me tourne vers les planches
- Bonne nuit chérie
- Aaaahhh bonne nuit rabat joie !
Je crois que trente secondes plus tard je dormais, quelle heure était il quand des bruits m’ont réveillés ? enfin des bruits, plutôt des soupirs, des respirations saccadées des murmures étouffés, je touche a coté de moi Anaïs a disparut …. Le temps de m’habituer a la lumière blanche de la pleine lune qui envahit la cabane je découvre un amas enchevêtré sur la table, appuyé sur mes coudes je finis par reconnaitre ma femme entièrement nue allongée sur le dos, Aldo a son visage barbu enfouit entre ses cuisses tandis que Fernando se fait sucer la queue a cheval sur elle
Autant abattus qu’excité j’enlève mon slip et viens prés d’eux, mon arrivée ne les dérangent aucunement, elle pose une main sur le crane de l’italien pour plaquer sa bouche a sa fente, Aldo lèche consciencieusement Anaïs la bouche ancrée sur sa moule, le bassin de ma femme ondule en tous sens, pour qu’elle agisse comme ça il doit être expert en la matière, son autre main manipule la peau du membre de Fernando agenouillé prés d’elle qui lui tète un sein , soudain Anaïs prend conscience de ma présence
- Chéri c’est toi ! je vais t’expliquer, tout a l’heure dans mon sommeil j’ai sentis comme une main sur mon sein, ça m’a réveillée j’ai cru que c’était toi qui voulais enfin me baiser mais tu ronflais je me suis levée pour boire quelqu’un est venus derrière moi et m’a enlacée, là encore j’ai pensé a toi mais j’ai senti la barbe d’Aldo dans mon cou, il m’a mis une main entre les jambes ça suffit a raviver mon désir , alors je l’ai laissé faire et voila , c’est ta faute après tout, il fallait me satisfaire hier soir
- Laisse-toi baiser chérie, fait plaisir à nos hôtes tu en crève d’envie
- J’ai déjà jouis deux fois sa barbe picote mes petites lèvres ça me fait du bien ! et sa langue est une vraie centrifugeuse sur mon clitoris et en plus il a deux doigts dans mon cul je suis ouverte de partout
- Alors dans ce cas tu sais comment ça va finir ….
- C’est vrai ? je peux tout ?
- Tu peux faire la totale mais demain n’oublie pas il faut marcher !
- Demain je vais courir ! ALDO baise- moi
L’homme se retire d’entre les cuisses de ma femme la barbe et le nez maculés de mouille surpris de me voir debout
- Ha ! vous voulez sans doute prendre votre femme ?
- Absolument pas, honneur a ceux qui lui ont fait du bien depuis cet après midi, baisez là Aldo et vous aussi Fernando
- Merci elle est adorable ! Alors dans ce cas il n’y a qu’une solution, Anaïs levez vous je vais prendre votre place je vais être un bon, matelas pour vous ! la suite vous la connaissez ….
- Chéri ma première double ! et toi que va tu faire ?
- Moi ? je te veux poissée de leur foutre je te baiserais après eux et devant eux
La table est rustique mais elle pourrait supporter un bœuf, Aldo s’installe au beau milieu et invite Anaïs a venir le chevaucher, sa queue est belle, raide juste comme elle les aime, elle s’ouvre avec deux doigts et descend lentement la bouche ouverte par le plaisir vers ce pic qui va la faire a nouveau jouir , une fois calée sur le ventre de l’italien elle pose ses deux main sur son torse et commence un rodéo fantastique , Fernando la queue a la main attend le feu vert pour se mêler a eux ,je suis obligé d’intervenir car dans l’euphorie de la baise ils l’ont complètement oublié le pauvre !
- Anaïs ? tu n’oublie pas quelqu’un ?
- Non il fallait que je me chauffe un peu avant, vient Fernando mon petit cul t’attend …….
Il saute a pieds joints sur la table présente sa verge a la croupe de ma femme qui ne bouge plus et attend les yeux fermés l’estocade finale sel Aldo entretien son érection en bougeant lentement dans le vagin lubrifié, Fernando crache sur son gland et pointe son arme sur l’œillet qui doit palpiter d’appréhension Anaïs lève la tête et ouvre grand la bouche quand la queue pénètre son antre secret, elle pousse une longue plainte qui se transforme très vite en gémissement de plaisir
- OOOOOOHHHH chéri je suis empalée des deux cotés c’est formidable je suis pleine de queues, ça bouge dans tous les sens…….. OUUUUUUUIIIIIIIIII
- Jouis salope fait toi défoncer l’anus et la chatte, allez y les gars ne la ménagez pas
- Elle est bonne ta femme nous avons la queue serrée comme dans un étau,
- Faite lui péter le con ! je la veux dégoulinante de sperme
- Elle va avoir sa dose croyez moi !
Les seins d’Anaïs bondissent en tout sens, des bruits mouillés se font entendre, sa mouille doit suinter de ses lèvres déformées, je bande comme jamais, j’évite de me toucher sinon je vais décharger sur le plancher
Un grognement qui monte de plus en plus indique que l’un des deux va décharger, c’est Fernando qui attire vers lui le cul de ma femme pour lâcher sa sauce dans son fondement
- Tu me lâche mon neveu ?
- Aaaahhh tonton c’est trop bon
- Je sais d’ailleurs je viens moi aussiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! MADONE ! Je jouiiiiis bordel!!!!
Anaïs s’effondre sur son amant terrassée elle aussi par l’orgasme, les deux hommes laissent leurs queues qui perdent leur érection glisser des cavités laissant s’échapper par les deux trous restés béants la précieuse liqueur, ma femme se relève titubante et tombe dans mes bras
- Chéri je suis morte ! j’ai sommeil !
- Ça c’est la meilleure ! et que fait tu de ça ?
- Ha tu bande c’est vrai …
- Aller ouste au lit que je t’en mette moi aussi une troussée
- Le g r vingt ? c’est quoi ?
- Un chemin de grande randonnée, toi qui aime crapahuter ce serait bien non ?
- Oh oui chouette je veux bien
- Attend, tu es sûre de vouloir le faire ? c’est plutôt hard comme circuit
- Tu me connais mal !
- bon alors nous y allons en juin il y aura moins de monde et il fera moins chaud
C’est comme ça qu’un matin de bonne heure l’aventure a commencé …..
- Que dois-je mettre comme tenue ?
- Pas de grande toilette ! le principal c’est d’avoir de bonnes chaussures pour le reste tu peux être a poil ça ne risque rein ! et surtout n’oublie pas que c’est toi qui porte TON sac à dos !
Je ne croyais pas si bien dire, elle m’a prit au mot, la voilà en pataugas et un short mini surement sans rien dessous tellement son petit cul et sa raie sont bien dessinés, pour le haut c’est pareil, un top qui ne cache pas son nombril mais qui moule ses nichons a la perfection ! Bof il va faire chaud et puis nous ne ferons que croiser des gens qui aiment la nature, je ne dis donc rien sur sa tenue je lui fais même des compliments
Enfin nous prenons la route
- Mais ce soir nous dormons où, à la belle étoile ??
- Dans un gite ne t’en fait pas tu seras en sécurité il y en a tous les sept kilomètres
- Hooouuuu c’est vrais que ce n’est pas du gâteau ! c’est plein de roches !
- Je t’avais prévenue, marche et tait toi !
Je profite pleinement du paysage, celui de la montagne et celui du petit cul qui se dandine devant moi ! Par moment j’ai envie de lui dire stop il faut que je te baise ! Après trois heures de marche elle commence à souffler fort, nous arrivons à un torrent
- Chéri si nous nous arrêtions un moment regarde si c’est beau ici et puis j’ai mal aux pieds
- Ok nous faisons une halte pose ton sac mais la reprise sera plus dure
Anaïs va s’accouder sur un rocher, elle tortille exprès son p’tit cul tendu en arrière ça me fait bander, sournoisement je m’approche et passe ma main entre ses cuisses, elle sursaute et finalement écarte les pieds pour se laisser toucher le minou par-dessus le short, la vulve gonflée est brulante et moite , j’insinue deux doigts entre le tissu et la chair, le trou est là … la chatte naturellement mouillée par l’effort est facile a pénétrer, je colle mon short gonflé par l’érection sur son cul elle tend encore plus ses fesses vers moi ,je la saisie une main sur les hanches et l’autre sur un sein puis je mime le coït
- Muuuuuummmmm salaud tu m’allume et tu va me laisser dans cet état ?
- Surement pas je vais te baiser sur ce rocher !
- Et si quelqu’un arrive ?
- Nous entendrons si quelqu’un monte ne t’en fait pas, je vais juste baisser ton short et sortir ma queue …..aaaahhh elle ne veut pas sortir je bande comme un cerf ! voilà ! tu la sens sur ton cul ?
- RRRRRRR enfonce la moi chéri
- Ecarte les cuisses je n’ai pas assez d’espace !
- Tu me fais rire je suis entravée dans mon short !
- Ôte-le carrément alors
- Tu va voir qu’on va nous surprendre !
- Tans pis j’ai trop envie, vient sur ce coté nous serons un peu plus cachés
Anaïs s’exécute elle en a autant envie que moi, Ah quel pied quand ma queue glisse lentement dans son vagin comme tapissé de soie j’y enfonce ma queue jusqu’aux couilles et reste un moment bloqué à savourer cet instant magique, sa vulve se contracte sur ma verge, je réponds en contractant mes sphincters qui font relever et durcir ma queue , c’est elle qui commence a bouger d’avant en arrière sur mon nœud est prêt a exploser tellement je suis excité par la situation soudain j’entend des voix , merde , trop tard deux hommes passent sur le chemin a vingt mètres de nous, un barbu la cinquantaine et un autre d’a peut prés notre âge , ils passent leur chemin en nous ignorant mais je suis sûr qu’ils ont tout vu , mon érection est tombée aussi vite qu’elle était venue
- Partons ils nous ont surement vus
Dépitée Anaïs râle
- Ooooh tu exagère je me doutais que tu me laisserais sur ma faim
- Aller repartons si nous voulons arriver au refuge avant la nuit
- AIIIEEEE ! AIE ! chéri je ne peux plus poser le pied a terre
- Baaahh !
- Je ne plaisante pas ça me fait un mal atroce
Il faut se rendre a l’évidence elle s’est surement tordu le pied, obligé de pendre mon sac a dos a mon cou et de la charger sur mon dos , miracle après deux cent mètres hors de la piste j’aperçois une cabane en bois peut être y trouverons nous une solution quitte a y passer la nuit dans notre sac de couchage
La porte est ouverte, deux hommes en slip surgissent de derrière la cabane un peut surpris en nous voyant, surpris je le suis aussi, c’est les hommes qui sont passés tout a l’heure prés de nous
- Buongiorno signora e signore
- Bonjour messieurs
- MA vous êtes français ! madame est blessée ? elle ne peut plus poser le pied à terre
- Ha, vous êtes bien tombés je me présente, Aldo, ostéopathe italien et mon neveu Fernando qui va bientôt ouvrir son cabinet de kinésie, je voue en prie entrer, asseyez madame sur la table ôtez sa chaussure, je vais voir cela, excusez notre tenue nous venons de prendre une douche, il y en a une juste derrière, si vous voulez en profiter l’eau vient directement du torrent
Je dépose Anaïs sur le bord d’une table rudimentaire faite maison mais très costaude, en délaçant la chaussure je me demande si ces gars là ont vus ma femme le cul a l’air …elle grimace quand je tire dessus, ce n’est donc pas du cinéma
- Otez les deux que je compare les chevilles…ha oui celle-ci est un peu enflée
- Le temps que vous examiniez le pied de ma femme je vais prendre une douche, tu iras après chérie
Je prends avec moi un sou vêtement propre pour toute rechange après tout ils sont restés en slip et il fait très chaud, j’ouvre une vanne et me glisse sous le filet d’eau fraiche qui coule sans beaucoup de pression, soudain entend Anaïs pousser un cri strident puis rire aux éclats, un rire qui se transforme en plainte …. Je me sèche rapidement et retourne a la cabane pour voir ma femme allongée sur le ventre sur la table se laissant masser le haut dont le top a tété relevé par le jeune masseur et les mains d’Aldo qui pétrissent ses cuisses
- Alors ? c’est grave ?
- Non, vous voyez ça va mieux juste un nerf de déplacé, mais elle est nouée a outrance, c’est pour cela que nous massons les endroits contracturés, demain elle bondira de rochers en rochers comme une biche !
- Ha … merci
Je me demande si l’entre cuisses et le coté apparent des seins sur le coté font partie des endroits contracturés …. Le plus jeune n’est pas très loquace mais il agit autant que son oncle, Il me semble que leurs slips sont devenus étroit, tout comme le mien d’ailleurs ….Elle ronronne comme une chatte en chaleur, les jambes ouvertes laissent deviner la forme de la vulve sous la finesse du short humide, surement dût a la sueur ….je dois mettre un terme a ce pelotage
- Ça va mieux chérie ?
- Ah, tu es là … oui ça va beaucoup mieux je vais aller prendre une douche …merci messieurs c’était très agréable
Avant de partir elle vient murmurer à mon oreille
- Chéri je n’ai qu’une jupette pour tout rechange
Je bégaie, un ‘ ça ira ‘ que dire de plus le mal est fait !
- Vous allez casser la croute avec nous et passer la nuit ici votre femme doit se reposer, regarder ce n’est pas le confort mais a la guerre comme a la guerre !
Effectivement dans la même pièce deux lits, plutôt deux rectangle de planches ont été disposés en angles, un matelas douteux les recouvrent, mais je suis tellement crevé que ça me semble luxueux
- Vous êtes très sympas, nous allons partager nos victuailles
- Ha ! vous aimer le chianti ? cette cabane de chasse appartient a un ami corse il me laisse une clé, j’y suis déjà venus ils pratiquent une drôle de chasse ici, le gibier a deux pattes n’est pas farouche ! je sais ou il planque ses bouteilles, et c’est du bon c’est moi qui le ravitaille !
Après deux bouteilles de vin italien vidées Anaïs tien la forme ! Nous ne somme pas privés de voir son petit cul nu sous la jupe qui vole au moindre mouvement et comme elle est très excitée, voire très amoureuse ça vole souvent !! J’avoue que ça m’excite qu’elle montre ses formes harmonieuses à nos hôtes qui n’hésitent plus a frôler ses seins aux tétons tendus sous le top et la partie la plus charnue de son corps sans qu’elle ne proteste , j’ai essayé de lui lancer une réflexion pour la modérer mais elle m’a dit que je l’avais ratée sur le chemin et que le massage l’avait trop excitée , elle leurs confient que dans l’après midi deux hommes lui ont fait rater une bonne partie de jambes en l’air en passant au mauvais moment
- AH ! ah !ah ah c’est nous, nous somment passés a ce moment là ! la vue était plutôt agréable !
- C’était vous ? ho mince j’aurais mieux fait de la boucler !
- Nous n’avons pas osé nous arrêter, nous avons simplement ralentit le pas !!!
- Oh j’ai honte !
- Avec un trésor comme celui que vous possédez ce serait monstrueux de ne pas en faire profiter d’honnêtes citoyens !
- Quels enjôleurs ces italiens !!
- Anaïs si nous allions dormir ? demain nous repartons de bonne heure en direction de la voiture le g r 20 ça suffit pour toi !
- Il à raison nous y allons nous aussi
- Oh déjà ? alors tu va me faire un câlin sous la couette ? !
- Nous ne somment pas seuls chérie
- Oh vous savez rien ne nous dérangeras nous allons fermer les yeux de suite
Un quart d’heure plus tard la lumière est éteinte, leurs têtes ne sont distantes des notre que d’une cinquantaine de centimètres, Anaïs pose un bras et une jambe sur moi elle murmure des mots doux a mon oreille
- Amour, fait moi un câlin touche, je mouille
- Surement pas ici, laisse-moi et dors
- Tu sais que l’italien barbu en pince pour moi ? en douce il m’a mis un doigt, il n’est pas mal finalement, j’aime bien sa barbe ça doit chatouiller !!
Excédé je me tourne vers les planches
- Bonne nuit chérie
- Aaaahhh bonne nuit rabat joie !
Je crois que trente secondes plus tard je dormais, quelle heure était il quand des bruits m’ont réveillés ? enfin des bruits, plutôt des soupirs, des respirations saccadées des murmures étouffés, je touche a coté de moi Anaïs a disparut …. Le temps de m’habituer a la lumière blanche de la pleine lune qui envahit la cabane je découvre un amas enchevêtré sur la table, appuyé sur mes coudes je finis par reconnaitre ma femme entièrement nue allongée sur le dos, Aldo a son visage barbu enfouit entre ses cuisses tandis que Fernando se fait sucer la queue a cheval sur elle
Autant abattus qu’excité j’enlève mon slip et viens prés d’eux, mon arrivée ne les dérangent aucunement, elle pose une main sur le crane de l’italien pour plaquer sa bouche a sa fente, Aldo lèche consciencieusement Anaïs la bouche ancrée sur sa moule, le bassin de ma femme ondule en tous sens, pour qu’elle agisse comme ça il doit être expert en la matière, son autre main manipule la peau du membre de Fernando agenouillé prés d’elle qui lui tète un sein , soudain Anaïs prend conscience de ma présence
- Chéri c’est toi ! je vais t’expliquer, tout a l’heure dans mon sommeil j’ai sentis comme une main sur mon sein, ça m’a réveillée j’ai cru que c’était toi qui voulais enfin me baiser mais tu ronflais je me suis levée pour boire quelqu’un est venus derrière moi et m’a enlacée, là encore j’ai pensé a toi mais j’ai senti la barbe d’Aldo dans mon cou, il m’a mis une main entre les jambes ça suffit a raviver mon désir , alors je l’ai laissé faire et voila , c’est ta faute après tout, il fallait me satisfaire hier soir
- Laisse-toi baiser chérie, fait plaisir à nos hôtes tu en crève d’envie
- J’ai déjà jouis deux fois sa barbe picote mes petites lèvres ça me fait du bien ! et sa langue est une vraie centrifugeuse sur mon clitoris et en plus il a deux doigts dans mon cul je suis ouverte de partout
- Alors dans ce cas tu sais comment ça va finir ….
- C’est vrai ? je peux tout ?
- Tu peux faire la totale mais demain n’oublie pas il faut marcher !
- Demain je vais courir ! ALDO baise- moi
L’homme se retire d’entre les cuisses de ma femme la barbe et le nez maculés de mouille surpris de me voir debout
- Ha ! vous voulez sans doute prendre votre femme ?
- Absolument pas, honneur a ceux qui lui ont fait du bien depuis cet après midi, baisez là Aldo et vous aussi Fernando
- Merci elle est adorable ! Alors dans ce cas il n’y a qu’une solution, Anaïs levez vous je vais prendre votre place je vais être un bon, matelas pour vous ! la suite vous la connaissez ….
- Chéri ma première double ! et toi que va tu faire ?
- Moi ? je te veux poissée de leur foutre je te baiserais après eux et devant eux
La table est rustique mais elle pourrait supporter un bœuf, Aldo s’installe au beau milieu et invite Anaïs a venir le chevaucher, sa queue est belle, raide juste comme elle les aime, elle s’ouvre avec deux doigts et descend lentement la bouche ouverte par le plaisir vers ce pic qui va la faire a nouveau jouir , une fois calée sur le ventre de l’italien elle pose ses deux main sur son torse et commence un rodéo fantastique , Fernando la queue a la main attend le feu vert pour se mêler a eux ,je suis obligé d’intervenir car dans l’euphorie de la baise ils l’ont complètement oublié le pauvre !
- Anaïs ? tu n’oublie pas quelqu’un ?
- Non il fallait que je me chauffe un peu avant, vient Fernando mon petit cul t’attend …….
Il saute a pieds joints sur la table présente sa verge a la croupe de ma femme qui ne bouge plus et attend les yeux fermés l’estocade finale sel Aldo entretien son érection en bougeant lentement dans le vagin lubrifié, Fernando crache sur son gland et pointe son arme sur l’œillet qui doit palpiter d’appréhension Anaïs lève la tête et ouvre grand la bouche quand la queue pénètre son antre secret, elle pousse une longue plainte qui se transforme très vite en gémissement de plaisir
- OOOOOOHHHH chéri je suis empalée des deux cotés c’est formidable je suis pleine de queues, ça bouge dans tous les sens…….. OUUUUUUUIIIIIIIIII
- Jouis salope fait toi défoncer l’anus et la chatte, allez y les gars ne la ménagez pas
- Elle est bonne ta femme nous avons la queue serrée comme dans un étau,
- Faite lui péter le con ! je la veux dégoulinante de sperme
- Elle va avoir sa dose croyez moi !
Les seins d’Anaïs bondissent en tout sens, des bruits mouillés se font entendre, sa mouille doit suinter de ses lèvres déformées, je bande comme jamais, j’évite de me toucher sinon je vais décharger sur le plancher
Un grognement qui monte de plus en plus indique que l’un des deux va décharger, c’est Fernando qui attire vers lui le cul de ma femme pour lâcher sa sauce dans son fondement
- Tu me lâche mon neveu ?
- Aaaahhh tonton c’est trop bon
- Je sais d’ailleurs je viens moi aussiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! MADONE ! Je jouiiiiis bordel!!!!
Anaïs s’effondre sur son amant terrassée elle aussi par l’orgasme, les deux hommes laissent leurs queues qui perdent leur érection glisser des cavités laissant s’échapper par les deux trous restés béants la précieuse liqueur, ma femme se relève titubante et tombe dans mes bras
- Chéri je suis morte ! j’ai sommeil !
- Ça c’est la meilleure ! et que fait tu de ça ?
- Ha tu bande c’est vrai …
- Aller ouste au lit que je t’en mette moi aussi une troussée
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