Gaëlle et Régis – 7 Les vacances d’Isabelle et Régis
Récit érotique écrit par Madame Gaëlle et Soumis Régis (2) [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-12-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Gaëlle et Régis – 7 Les vacances d’Isabelle et Régis
Nous sommes très heureux de constater que le site a repris son activité.
Nous vous livrons la suite des aventures de « Gaëlle et Régis », soit « Gaëlle et régis – 7 Les vacances d’Isabelle et Régis ».
Les 6 premières histoires sont sous : Madame Gaëlle et Soumis Régis
Régis écrit :
La propriété de Le Val a été préparée pour nos vacances. Les courses ont été faites par l’agence pour une semaine. Le pain frais sera livré chaque matin.
Le 15/07/2020 à 08H00, Isabelle se présente afin de m’emmener. Mes valises sont dans le hall.
- Non. Tu n’as besoin de rien. A poil ! Tout de suite !
Gaëlle, visiblement au courant sourit. Je vais me dévêtir et revient ne portant plus que ma cage de chasteté.
Gaëlle en remet ostensiblement les deux clés ainsi que mes papiers d’identité, mon permis de conduire, mes cartes bancaires à Isabelle.
- Pour ses cartes, tu as reçu le code sur ton GSM.
- Oui. Mais je ne pense pas que nous en aurons besoin. Voici les clés de chez nous. Ne ménage pas Christophe. A dimanche 26.
En fait d’une semaine, Isabelle va disposer de moi pendant douze jours.
Isabelle me passe une cape noire et m’ordonne de prendre place au centre du siège arrière dans sa voiture.
Le voyage se passe bien. Lors des arrêts sur les aires de repos, je suis un peu regardé comme un extraterrestre en raison de mon accoutrement. Nous arrivons à 20H00. Isabelle me fait sortir de la voiture et devant le préposé de l’agence, m’enlève ma cape. L’homme feint de ne s’apercevoir de rien.
Isabelle m’ordonne de monter ses bagages et donne ses instructions pour le rangement dans les meubles. Pendant que je m’affaire, elle prépare un repas nourrissant mais léger. Je l’entends pendre une douche et quand vers 22H00, j’ai terminé ce qu’elle m’a demandé, elle me retire ma cage de chasteté et m’envoie à la douche. Vers 22H30, je me présente à poil, lavé, rasé et parfumé.
- Prends ces deux comprimés.
- Qu’est-ce ?
- Tu n’as pas à le savoir.
J’obéis et je remarque qu’Isabelle prend un comprimé qui me semble identique.
- Couchons-nous !
Une fois sous la couette, Isabelle me masse délicatement les couilles me mettant ainsi immédiatement en érection. Elle me masturbe lentement et j’en profite.
Le réveille sonne. 07H00. Nous sommes en pleine forme. Un des médicaments était un somnifère léger l’autre … Ah oui. Viagra ou apparenté car érection incontrôlable que j’essaye de dissimuler. Isabelle remonte sa main le long de ma cuisse, me saisit les couilles remonte sur ma queue.
- En forme. Tu vas avoir bon.
Elle me prodigue une somptueuse fellation et quand je la préviens de ma prochaine éjaculation :
- Si je te suce, c’est pour que tu éjacules dans ma bouche, benêt !
Je me laisse aller et Isabelle pompe mes jets et me caresse le gland de sa douce langue. Elle revient vers moi et me fait signe d’ouvrir la bouche. Elle y déverse mon copieux éjaculat et :
- Fait tourner dans ta bouche. Goûte bien. Avale.
Après m’être exécuté, elle me pousse du pied hors du lit.
- Fais ta toilette du matin et prépare le petit déjeuné.
Je m’active et pendant que le café coule le l’entends dans la salle d’eau.
Elle descend vêtue d’une magnifique robe courte. Elle ne porte manifestement pas de soutien-gorge. Lorsqu’elle se penche dans le frigidaire, je ne constate pas de trace d’élastique sur sa croupe incendiaire. Donc, pas de culotte non plus. Pour ma part je suis à poil et la tenue d’Isabelle me met à nouveau en érection.
- Bien ! Merci pour ton compliment me dit-elle.
Nous prenons notre petit déjeuné après quoi elle m’ordonne :
- Débarrasse et viens me retrouver à la piscine.
Elle empoigne le sac qu’elle avait préparé et s’en va.
20 minutes plus tard, je la rejoins. Elle est nue. Elle a posé un drap de plage sur son fauteuil de piscine et est allongée.
- Viens ici. Je vais te passer de la crème solaire.
Evidemment, la voir ainsi et le contact de ses mains me mettent en érection. Elle feint de l’ignorer et m’enduit abondamment la queue et les couilles de crème solaire et me masse délicatement pour la faire pénétrer. Hormis dans les cheveux, j’ai de la crème partout.
Les jardiniers ont vraiment bien travaillé. Ils ont créé un dégradé allant du soleil complet à l’ombre complète.
- Passe-moi de la crème.
Je m’exécute. J’ai la queue qui est dressée à me toucher le ventre et qui pulse au rythme de mon cœur.
- Viens ici !
Isabelle me fait m’agenouiller dos contre un des poteaux soutenant le parasol végétal et me menotte les mains et chevilles derrière celui-ci. Elle me place ensuite un ring gag qu’elle serre très fortement. Dans l’impossibilité d’avaler ma salive, je bave abondamment. C’est une situation très humiliante que j’apprécie particulièrement.
Elle regagne son fauteuil, sort son portable de son sac et passe un coup de fil avant de se plonger dans la lecture d’un roman de plage.
Quelque minute plus tard, un type qui tient plus du dieu grec que de l’humain fait son apparition. Ils papotent et flirtent ouvertement. Elle lui ordonne de retirer son maillot, seul vêtement qu’il portait.
- Prend-moi en missionnaire !
Il n’en demandait pas plus. Rien que du classique. Cependant, deux corps enduits de crème solaire ont tendance à glisser l’un sur l’autre. C’est assez … amusant. Je m’imagine facilement à la place du gars et mon érection qui s’était estompée un moment reprend de plus belle. Après une vingtaine de minutes, Isabelle gémit un orgasme. Il continue des mouvements légers pour la laisser en profiter et hésite.
- Puis-je éjaculer, Madame ?
- Tu dois éjaculer.
Il reprend quelques mouvements et se vide avec délice dans sa chatte que j’imagine chaude et trempée.
- Retire-toi et fais-toi nettoyer la queue par Régis qui est attaché là-bas.
Le type, qui ne m’avait pas encore remarqué, vient vers moi et sans un mot, sans un regard, enfonce son sexe encore en érection au plus profond de ma gorge.
- Appliques-toi salope. Et qu’il ne reste rien !
Je le suce et avale son sperme et les sécrétions vaginales d’Isabelle. Il retire plusieurs fois son sexe afin de l’examiner et, non content du résultat, le replace dans ma bouche afin que je continue mon office. Enfin satisfait, il prend du recul et constate mon érection.
- C’est normal qu’elle bande comme cela ?
- Attend, je vais arranger cela.
Isabelle cherche dans son sac et viens vers moi avec deux pinces à écraser les testicules. Je sais ce qu’elle va faire et suis complètement sous sa domination. J’essaie de supplier et un son bizarre sort de ma bouche. Elle ajuste sa prise sur mes testicules et commence à serrer doucement, de plus en plus fort et me fixant droit dans les yeux. La douleur est telle que je me sens spectateur, hors de mon corps qui hurle des sons inconnus. Elle me relâche enfin et, avec le gars, ils regardent mon érection s’estomper.
- Voilà. Il ne bandera plus aujourd’hui.
Alors que la douleur est encore atroce et que j’en pleure toujours, je profite déjà de leur domination. Je sais que le mal provoqué par un coup sur un testicules disparait rapidement alors que celui procuré par un pincement ou une compression peut durer longtemps. Pour de nombreuses heures, je serai incapable de bander.
Les tourtereaux se recouchent dans le fauteuil et s’emmêlent dans des caresses incompréhensibles pendant plus d’une heure.
- J’ai soif !
- Moi aussi.
Isabelle vient me détacher et m’envoi chercher deux apéros. Je porte toujours le ring gag et bave encore. Je suis aussi assoiffé mais je sais l’inutilité d’une quelconque demande. Quand j’ai fini de les servir, d’un claquement de doigt Isabelle m’indique la place où je dois m’agenouiller en position de soumis.
Je constate que la situation évolue. Pendant leurs rires et gémissements, Elle a allongé le dieu et a enfermé son sexe dans une cage de chasteté de belle taille où il est malgré tout bien serré. Elle le menotte mains derrière le dos et lui attache les chevilles par un jeu de cordes. Elle tire sur celles-ci et il se trouve le cul bien ouvert offert à celle qu’il ignorait être dominatrice. Elle revêt son strapon. Je la trouve magnifique et envie son actuelle victime. Elle lui présente son bel organe afin qu’il l’enduise de sa salive.
- Va-t’en ! Je ne suis pas un suceur de queue !
- Tu crois ne pas en être. D’ici demain tu verras que tu te trompes.
Je sais ce qu’elle va faire. Elle positionne la pointe de son strapon sur son anus et joue avec pour lui faire sentir qu’elle est bien positionnée.
- Arrête ! Tu ne vas pas faire ça !
Je me régale. Isabelle s’enfonce un peu histoire de bien lui faire sentir qu’il ne peut lui échapper, se retire un peu et d’un geste lent mais ininterrompu lui fait entrer son strapon sur toute sa longueur. Le gars me regarde d’un air suppliant. Je lui manifeste une indifférence parfaite. Isabelle le besogne une dizaine de minutes avant d’exprimer son orgasme comme un homme grognerait son éjaculation. Elle se retire, retire son strapon et le présente devant le type.
- Ouvre la bouche ! Suce-moi cela jusqu’à ce qu’il soit impeccable !
Il ne discute plus et s’applique à sa tâche comme demandé. Isabelle le détache et d’un claquement de doigts lui indique sa place à mes côtés. Elle me retire mon ring gag.
- Allez nous préparer un déjeuner !
Nous nous rendons dans la maison où nous vaquons silencieusement à nos occupations.
- C’est ta femme ?
- Non. C’est une amie. Ma femme m’a prêté à Isabelle. Et toi.
- Elle m’a choisi sur un site de rencontres. Ça te plait ce qu’elle te fait ?
- Oui. C’est mon choix.
- Elle m’a fait mal.
- Pour te faire comprendre qu’elle te domine. Tu peux accepter ou partir.
- Je … Je vais accepter.
- Vous avez dix minutes pour vous doucher.
Nous filons.
- Quel est ton prénom ?
- Marc. Comment fait-on pour se sécher avec cette cage.
- Comme tu le peux. De toute façon, elle prend les précautions nécessaires. Ne te tracasse pas.
Nous déjeunons et Isabelle retourne à la piscine. Nous débarrassons et lavons la vaisselle avant de la rejoindre. Elle est au téléphone avec Gaëlle à qui elle raconte, par le menu, ses activités du matin. Je souffre toujours des testicules et suis bien incapable de bander. Isabelle entreprend d’installer Marc pour l’admirer comme elle dit. Elle commence par lui attacher les mains dans le dos. Il se laisse faire. Il se soumet. Elle lui replie ensuite une jambe et attache la cheville de celle-ci à sa cuisse. D’un treuil, elle fait descendre une corde terminée par un étrier dans lequel elle place le pied libre. Une seconde corde solidaire de la première et munie d’un nœud de pendu est ensuite passée autour de son cou. Il panique.
- Mais, tu es folle !
- Tu vas souffrir et mourir de peur mais je n’ai jamais tué personne.
Elle lui enlève sa cage de chasteté et le soulève à une hauteur précise. Quand il ne pourra plus se tenir sur l’étrier, il se pendra lui-même et ne pourra toucher le sol que de la pointe du pied. C’est encore plus flippant que de ne pas pouvoir le toucher.
Marc est pendu. Il supplie Isabelle. Et, dans sa peur, il présente déjà une certaine érection. Comme il est costaud, il tient et environs une demi-heure.
Il est pendu gargouille et cherche le sol pour prendre appuis. Il est maintenant en complète érection. Je regarde la montre d’Isabelle. Il met quatre longues minutes avant de renoncer. Isabelle le descend et dégage la corde de son cou. Il respire d’abord faiblement avant de pomper de profondes goulées d’air. Elle le laisse dix minutes au sol avant de m’ordonner de le relever.
Isabelle lui fixe ensuite un gag Ball à double fixation. Elle me menotte ensuite les mains derrière le dos et me fixe sur la même boule au moyen de la seconde fixation.
- Qu’ils sont mignons ces deux beaux mâles qui se roulent des pelles !
Ainsi attachés, nos lèvres se touchent. Comme elle a choisi une boule percée de trous, nos salives se mélangent. Marc est pris d’une érection incontrôlable. Sa queue se plante entre ma cuisse droite ma queue et mes couilles. Il est tellement gêné qu’il en a les larmes aux yeux. Elle nous ordonne de nous allonger sur le lit de plage et nous attache au niveau des cuisses, des genoux et des chevilles.
- Oh ! Ils sont collés comme des amoureux !
Isabelle reprend sa lecture regardant régulièrement par-dessus son livre afin d’admirer son œuvre. Marc ne débande pas et fini par ne plus pouvoir retenir son éjaculation que je sens couler le long de ma fesse et de ma cuisse. Isabelle se marre. Elle récupère le sperme et en enduit nos lèvres et la boule ce qui nous le fait immédiatement arriver dans nos bouches. Elle se lèche ensuite goulûment les doigts.
- Hmm ! Bien frais. Pas trop salé.
Nous restons ainsi attachés jusqu’aux environs de 18H00 quand, repue du soleil léger filtré par la végétation, Isabelle se décide à nous envoyer préparer le dîner pendant qu’elle prend une douche. Un repas léger mais nourrissant. Nous débarrassons et lançons le lave-vaisselle. Isabelle m’envoi à la douche et m’attache ensuite en croix sur le lit. J’entends ensuite Marc prendre une douche. Pendant ce temps, elle entreprend de me lubrifier copieusement le rectum et l’anus ce qui ne me surprend pas vu la manière dont elle m’a attaché. Marc arrive et elle commence à le branler lentement afin de lui procurer une très belle érection.
- Sodomise-le ?
- Mais, je ne veux pas l’enculer …
- Enculer, c’est sans plaisir. Sodomiser, c’est avec plaisir. Obéis !
Marc pose sa queue sur mon anus, hésite, introduit son gland, se retire, recommence et fini par me prendre enfonçant complètement son sexe en moi. Je sens ma queue s’allonger sur le drap. Je suis rapidement en érection malgré la douleur encore présente dans mes testicules. Marc commence ses va et vient sous les ordres d’Isabelle qui se régale de notre totale soumission.
- Régis ! Tu te laisses aller et éjacules !
Marc passe un bras puis l’autre sous ma poitrine et sous les ordres d’Isabelle me mord fortement l’épaule. Il se déchaîne et je soupire de plaisir avant d’éjaculer copieusement dans un long gémissement de plaisir.
- Bien ! Voilà ! On y arrive.
Marc me pilonne toujours et c’est un véritable post-orgasme-torture que me fait crier mais immobilisé par mes liens et par son étreinte, je ne peux que subir. Il se vide en moi et je sens sa semence chaude au fond de mon corps. Il profite de son orgasme et complète son plaisir par de petits mouvements ponctués d’éjaculations.
Isabelle lui ordonne de se retirer et me détache. Je dois ensuite nettoyer la queue de Marc. Marc doit lui nettoyer le drap de mon sperme pendant qu’Isabelle me nettoie la queue. Marc est ensuite contraint de me nettoyer l’annus d’où s’écoule lentement son sperme.
- Bien ! Quand vous aurrez repris des forces, vous vous occuperez de moi.
Pour Marc, c’était visiblement une première expérience. Quant à moi, j’avais trouvé cette seconde fois beaucoup plus intime que la première. Être pris par un homme sous les ordres, la domination d’une femme était très excitant. Je m’imaginais déjà sodomisant Marc. Je savais que je pouvais compter sur Isabelle pour provoquer la chose. Je me demandais seulement si Marc y prendrait le même plaisir que moi. Mais, avant cela, j’étais impatient de voir ce qu’elle allait nous demander cette nuit.
Il est environ 02H00 et je me réveille la queue en l’air. Je me rends aux toilettes et passe par la salle d’eau afin de me rafraichir surtout la queue et le cul. Je prends mon temps, me brosse les dents, me rafraichis les aisselles, passe du déo. Je retourne à la chambre et croise Marc, la queue en l’air aussi.
- Je vais me rafraîchir.
Je me recouche et passe la main entre les cuisses d’Isabelle qui est de trois quart sur le ventre. Je remontre vers sa chatte qui est légèrement moullée. Je goûte ses secrétions sur ma main. Très appétissante. Elle rouspète et se tourne. Marc revient et fait pareil.
- Alors les mecs. Prêts pour un second round ? A genoux sur le lit !
Elle nous branle lentement afin d’obtenir nos érections. Je sais qu’elle choisit la queue qu’elle voudra dans sa chatte. Normalement, elle choisira Marc dont le sexe est un peu plus grand et plus long que le mien, rétréci par le port régulier de ma cage de chasteté imposé par Gaëlle.
- Marc. Allonge-toi sur le dos !
Marc s’exécute et elle englouti son sexe dans sa chatte bien baveuse. Je m’attendais à ce qu’elle me demande de lui prendre le cul mais …
- A genoux à côté du lit ! Tu nous regardes.
Je jette un œil au réveil. 02H20. Isabelle chevauche Marc pendant une vingtaine de minutes avant un orgasme confortable qu’elle savoure longuement tout en lui interdisant l’éjaculation. Elle se retire ensuite de son sexe bien attirant.
- Régis ! Tu le suces et le finis !
Je m’installe entre les cuisses de Marc et le prodigue une confortable fellation jusqu’à ce qu’il décharge abondamment dans ma bouche. Je le pompe et avale son sperme afin de libérer un sexe parfaitement clean.
- Parfait ! Maintenant, tu me prends en levrette !
Je m’exécute et profite de sa chatte tellement moullée que des coulées de sécrétions vaginales descendent sur ma cuisse droite. Je prends mon temps et profite d’elle mais elle jouit trop vite à mon goût. Je la berce dans son plaisir et voudrais la remplir de ma semence mais la connaissant, je sais qu’il ne faut pas éjaculer sans permission.
- Marc ! Idem !
Il hésite un peu et s’installe comme moi avant lui. Je déguste mon plaisir par la contemplation d’Isabelle. Je commets l’erreur de faire durer trop longtemps.
- Suffit ! Debout contre le mur.
Je suis immédiatement attaché bras et jambes en croix. Elle ouvre un tiroir et en sort une boîte à sondes urétrales. En choisi une de bon calibre, y met quelques gouttes de gel et me l’introduit dans le sexe, butte sur le sphincter séminale. Une légère pression et mon sperme s’écoule sans plaisir au travers de la sonde. Elle retire celle-ci et mon érection s’estompe.
- Marc, tu lèche le sperme sur le sol !
Marc s’exécute.
- Voilà ce qui se passe quand on profite trop !
J’étais puni. Elle m’avait pris mon sperme sans me donner de plaisir.
Gaëlle écrit :
Un mot sur la pendaison. Ne faites jamais cela. La suspension par le cou peut provoquer des dommages irréversibles à la moelle épinière et rendre la victime tétraplégique. La pression sur les carotides peut, en diminuant le débit sanguin, provoquer des caillots pouvant entraîner un accident vasculaire cérébral avec toutes les conséquences de celui-ci. Un cas particulier est la compression sur ces artères de capteurs de pression (les « glomi ») qui entraîne un ralentissement extrême et immédiat du cœur jusqu'à la syncope et l'arrêt cardiaque. C'est ce phénomène qui entraîne les accidents liés au « jeu du foulard ».
Il faut aussi savoir que l’érection du pendu est due à une lésion sévère de la moelle épinière. Elle ne se produit pas en dehors de cette circonstance. Il faut arrêter de croire en cette légende. Dans le jeu décrit plus haut, l’érection intervient dans un contexte de panique provoquant une excitation intense.
Vous pouvez provoquer cette panique par des jeux de « Breath control » encore appelés « erotic asphixiation » bien moins dangereux en utilisant des cagoules spéciales ou simplement en enveloppant la tête du partenaire dans du cellophane. Il serait quand même prudent de disposer d’un ballon insufflateur et d’un défibrillateur en cas d’absence de reprise de la respiration spontanée ou d’arrêt du cœur.
Enfin, les MST et IST existent. Les rapports sexuels avec de nouveaux partenaires doivent être précédés des tests ad hoc.
Dans notre histoire, nous avons manqué de prudence. Ne nous imitez pas !
Régis écrit :
- Allez les hommes ! A la douche et préparez le petit déjeuné !
Il est 06H00 du matin et elle pète de feu. Le temps de de prendre une douche, de nous raser, de nous parfumer et de préparer le petit-déjeuner, il est 07H00 et Isabelle arrive toujours aussi appétissante. Je la radiographie et bien sûr, elle ne porte ni soutien-gorge ni culotte.
- Ici ! Mise en place de vos cages. En deux minutes nous sommes en cage. Marc en « Little Flower large » et moi en « Little Flower small ». Elle glisse un petit carton découpé qui empêche la peau d’être coincée entre l’anneau et les pointes du tube ce qui évite toute douleur. Elle enduit également le scrotum et la base de la queue d’huile pour bébé ce qui rend le port très confortable (à renouveler toutes les 12 heures).
- Aujourd’hui, vous allez en baver.
Une fois ainsi équipés, nous prenons notre petit-déjeuner et faisons la vaisselle pendant qu’Isabelle se rend à la piscine.
Nous la rejoignons à la piscine où elle est en conversation avec un gars tout droit sorti d’un film M.I.B. Elle nous fait signe de rester à distance et nous ne pouvons entendre ce qu’ils se disent. Nous sommes impliqués vu qu’elle nous désigne et que l’ours avec qui elle converse nous lance un regard appuyé.
La journée passera dans un farnienté où nous devinons son impatience. Deux repas légers vers 12H00 et 20H00. Elle nous retire nos cages et :
- Allez vous doucher, vous raser et vous parfumer. Habillez-vous pour une sortie.
Vers 22H00 elle nous embarque dans la voiture, roule quelques minutes avant de s’arrêter devant une boîte qui a la réputation d’être fréquentée par les gays mais qui s’avérera plutôt libertine. Isabelle se dirige vers la salle. Quant à nous, un mec au physique de lutteur nous intime de le suivre. Nous sommes emmenés vers le sous-sol et enfermés dans deux cachots séparés. Une porte mobile en fer épais descend et m’enferme dans un noir absolu. Le souffle léger et frais de la ventilation est le seul bruit que j’entendrai pendant un temps que je ne pourrais évaluer. Puis des pas lourds et des rires gras déchirent ma nuit et une porte, opposée à celle par laquelle je fus introduit dans ma prison s’ouvre. Quatre molosses se présentent et deux d’entre eux me saisissent par les bras et m’entraînent dans une pièce d’un blanc immaculé. Au milieu de celle-ci, un fauteuil gynécologique et quelques armoires, blanches elles aussi sont les seuls meubles garnissant le lieu.
En quelques mouvements, les quatre sbires me mettent nu et me placent sur la chaise. L’un d’eux s’approche avec un instillateur et me l’enfonce dans l’annus avant d’y déverser son contenu de gel lubrifiant. Puis, je suis abandonné dans ma position humiliante et n’ose pas bouger. Les gars discutent et attendent visiblement un appel qui finit par arriver.
Je suis emmené vers ce qui semble être une scène de spectacle et je me sens comme un écolier qui n’a pas appris le texte de la pièce qu’il doit jouer. Je constate la présence de nombreuses machines dignes d’un théâtre. Un Monsieur Loyal présente un « Jésus » qui n’est pas celui que l’on croit connaître et parle de crucifiement. Au moment où je comprends que je suis celui-là, le rideau se lève sous les applaudissements de la salle et quand j’envisage de m’enfuir quatre « Soldats romains » font leur entrée. Je ne peux m’empêcher de trouver leur uniforme cocasse, découpé afin d’offrir une vue complète sur le sexe et leur scrotum. Sans être en érection, ils présentent une queue de belle longueur et épaisseur accompagnée de belles paires de couilles. J’avoue que j’aurais apprécié être pris par ces quatre-là.
Monsieur Loyal me présente comme ayant eu des relations coupables avec des femmes et devant être châtié. La salle réagit de bonne humeur. Deux soldats m’attachent solidement au patibulaire de la croix. Pendant leur ouvrage une sensation bizarre m’envahi et je ne peux réprimer une érection que la foule applaudit. Il y avait quelque chose dans le gel. Une fois fixé, deux cordelettes sont fixées sur mes testicules. Je crains le pire. La croix s’élève et je suis exposé à la vue de tous. Je vois Isabelle installée à une table près de la scène. L’accompagnement musical et lumineux ajoute au tragicomique ambiant. Par moment, le son diminue et la lumière me désigne pendant que les soldats tirent sur les ficelles pour me faire hurler d’une douleur non feinte. Celle-ci, selon Monsieur Loyal, devait me faire débander mais le gel avec lequel ils m’ont noyé le cul m’en empêche. Soudain, un mécanisme fait se dérober le socle sur lequel s’appuyaient mes pieds. Je suis pendu par les poignets et comprends mieux le soin avec lequel j’ai été attaché. Je gesticule pour tenter de trouver un nouvel appui sur le montant. La croix descend et en un instant, mes chevilles sont menottées par une chaîne passant derrière le montant. La croix remonte et très rapidement j’éprouve de grandes difficultés à respirer. Dans le lointain, j’entends commenter mes difficiles et dernières inspirations.
Par après, j’ai vu le film de la scène où je suis gardé en croix jusqu’à l’arrêt respiratoire avant que le rideau ne tombe et que je sois ranimé et emmené dans un cachot.
Isabelle est venue m’y récupérer bien plus tard et Marc avait définitivement disparu. Une fois rentrés, une douche pour éliminer les traces de gel et nous nous sommes couchés.
Il ne fallu pas cinq minutes pour que la présence d’Isabelle me procure une érection. Elle me chevaucha jusqu’à son plaisir.
- Voilà ! Et interdiction d’éjaculer ! D’ailleurs, suis-moi.
Elle m’adosse à une crois de Saint-André et m’y attache. Sur un meuble, elle allume une bougie et entreprend de m’infliger de sévères brûlures au scrotum. Je hurle de douleur mais rien n’y fait.
- Je veux que tu aies de grosses ampoules sur les couilles et que la douleur t’empêche de bander pendant plusieurs jours !
Elle poursuit son œuvre jusqu’à sa satisfaction et que mon sexe soit flasque.
Le lendemain, après le déjeuné elle décide d’une excursion en voiture.
Vêtu de ma seule cape, nous partons à travers la forêt pour nous arrêter sur une aire de pique-nique en retrait de la route.
Isabelle fait passer une corde au travers des jantes de la voiture et m’attache les chevilles très écartées, face à la voiture. Elle m’attache ensuite les poignets avec une autre corde qu’elle passe derrière les rétros et tend afin que je sois à plat ventre sur le capot.
Elle rend dans la malle arrière et revient ayant fixé son gode-ceinture, se place derrière moi et sans un mot mais surtout sans lubrifiant me pénètre profondément. N’étant pas bâillonné, je hurle de douleur.
- Crie plus fort ! C’est ça que je veux !
Elle continue à me ramoner et quand je n’ai plus la force de crier, je pleure doucement, mes larmes coulant sur le capot. Elle finit par jouir et se retire brutalement pour encore me faire mal.
Une voiture de gendarmes se présente à notre hauteur.
- Vous n’avez pas d’autres endroits pour vous amuser ?
La conversation devient lointaine et je perds conscience.
Je me réveille en clinique. Une doctoresse passe m’expliqué que mes brûlures sont sévères et nécessitent des soins.
J’ai la visite d’un juge d’instruction. J’apprends qu’Isabelle est inculpée pour coups et blessures. Nous sommes tous deux poursuivi pour attentat à la pudeur mais le magistrat m’explique que le rapport de gendarmerie fait état de la discrétion du lieu qui est dérobé à la vue des passants. Le Procureur de la République devrait classer l’affaire sans suite.
Espérons car avec une condamnation pour ce motif, adieu la carrière d’enseignant.
Gaëlle écrit :
Le Procureur de la République a classé sans suite le dossier attentat à la pudeur. En revanche, il n’a pas voulu abandonner les poursuites contre Isabelle pour coups et blessures malgré l’absence de plainte de Régis et la demande de celui-ci de ne pas poursuivre. Condamnée à trois mois de prison avec sursis, elle a pu continuer à enseigner mais a quitté la ville pour faire carrière ailleurs.
Après ces exagérations, nous avons repris une vie plus classique pendant un an. Donc pour cette période, rien à raconter.
Puis, j’ai eu envie de soumettre à nouveau Régis et cette envie à rencontré la sienne d’être soumis. Il m’a offert le plus beau cadeau qui soit. Nous vous conterons cela prochainement.
Dites-nous ce que vous avez pensé de cette aventure.
Nous vous livrons la suite des aventures de « Gaëlle et Régis », soit « Gaëlle et régis – 7 Les vacances d’Isabelle et Régis ».
Les 6 premières histoires sont sous : Madame Gaëlle et Soumis Régis
Régis écrit :
La propriété de Le Val a été préparée pour nos vacances. Les courses ont été faites par l’agence pour une semaine. Le pain frais sera livré chaque matin.
Le 15/07/2020 à 08H00, Isabelle se présente afin de m’emmener. Mes valises sont dans le hall.
- Non. Tu n’as besoin de rien. A poil ! Tout de suite !
Gaëlle, visiblement au courant sourit. Je vais me dévêtir et revient ne portant plus que ma cage de chasteté.
Gaëlle en remet ostensiblement les deux clés ainsi que mes papiers d’identité, mon permis de conduire, mes cartes bancaires à Isabelle.
- Pour ses cartes, tu as reçu le code sur ton GSM.
- Oui. Mais je ne pense pas que nous en aurons besoin. Voici les clés de chez nous. Ne ménage pas Christophe. A dimanche 26.
En fait d’une semaine, Isabelle va disposer de moi pendant douze jours.
Isabelle me passe une cape noire et m’ordonne de prendre place au centre du siège arrière dans sa voiture.
Le voyage se passe bien. Lors des arrêts sur les aires de repos, je suis un peu regardé comme un extraterrestre en raison de mon accoutrement. Nous arrivons à 20H00. Isabelle me fait sortir de la voiture et devant le préposé de l’agence, m’enlève ma cape. L’homme feint de ne s’apercevoir de rien.
Isabelle m’ordonne de monter ses bagages et donne ses instructions pour le rangement dans les meubles. Pendant que je m’affaire, elle prépare un repas nourrissant mais léger. Je l’entends pendre une douche et quand vers 22H00, j’ai terminé ce qu’elle m’a demandé, elle me retire ma cage de chasteté et m’envoie à la douche. Vers 22H30, je me présente à poil, lavé, rasé et parfumé.
- Prends ces deux comprimés.
- Qu’est-ce ?
- Tu n’as pas à le savoir.
J’obéis et je remarque qu’Isabelle prend un comprimé qui me semble identique.
- Couchons-nous !
Une fois sous la couette, Isabelle me masse délicatement les couilles me mettant ainsi immédiatement en érection. Elle me masturbe lentement et j’en profite.
Le réveille sonne. 07H00. Nous sommes en pleine forme. Un des médicaments était un somnifère léger l’autre … Ah oui. Viagra ou apparenté car érection incontrôlable que j’essaye de dissimuler. Isabelle remonte sa main le long de ma cuisse, me saisit les couilles remonte sur ma queue.
- En forme. Tu vas avoir bon.
Elle me prodigue une somptueuse fellation et quand je la préviens de ma prochaine éjaculation :
- Si je te suce, c’est pour que tu éjacules dans ma bouche, benêt !
Je me laisse aller et Isabelle pompe mes jets et me caresse le gland de sa douce langue. Elle revient vers moi et me fait signe d’ouvrir la bouche. Elle y déverse mon copieux éjaculat et :
- Fait tourner dans ta bouche. Goûte bien. Avale.
Après m’être exécuté, elle me pousse du pied hors du lit.
- Fais ta toilette du matin et prépare le petit déjeuné.
Je m’active et pendant que le café coule le l’entends dans la salle d’eau.
Elle descend vêtue d’une magnifique robe courte. Elle ne porte manifestement pas de soutien-gorge. Lorsqu’elle se penche dans le frigidaire, je ne constate pas de trace d’élastique sur sa croupe incendiaire. Donc, pas de culotte non plus. Pour ma part je suis à poil et la tenue d’Isabelle me met à nouveau en érection.
- Bien ! Merci pour ton compliment me dit-elle.
Nous prenons notre petit déjeuné après quoi elle m’ordonne :
- Débarrasse et viens me retrouver à la piscine.
Elle empoigne le sac qu’elle avait préparé et s’en va.
20 minutes plus tard, je la rejoins. Elle est nue. Elle a posé un drap de plage sur son fauteuil de piscine et est allongée.
- Viens ici. Je vais te passer de la crème solaire.
Evidemment, la voir ainsi et le contact de ses mains me mettent en érection. Elle feint de l’ignorer et m’enduit abondamment la queue et les couilles de crème solaire et me masse délicatement pour la faire pénétrer. Hormis dans les cheveux, j’ai de la crème partout.
Les jardiniers ont vraiment bien travaillé. Ils ont créé un dégradé allant du soleil complet à l’ombre complète.
- Passe-moi de la crème.
Je m’exécute. J’ai la queue qui est dressée à me toucher le ventre et qui pulse au rythme de mon cœur.
- Viens ici !
Isabelle me fait m’agenouiller dos contre un des poteaux soutenant le parasol végétal et me menotte les mains et chevilles derrière celui-ci. Elle me place ensuite un ring gag qu’elle serre très fortement. Dans l’impossibilité d’avaler ma salive, je bave abondamment. C’est une situation très humiliante que j’apprécie particulièrement.
Elle regagne son fauteuil, sort son portable de son sac et passe un coup de fil avant de se plonger dans la lecture d’un roman de plage.
Quelque minute plus tard, un type qui tient plus du dieu grec que de l’humain fait son apparition. Ils papotent et flirtent ouvertement. Elle lui ordonne de retirer son maillot, seul vêtement qu’il portait.
- Prend-moi en missionnaire !
Il n’en demandait pas plus. Rien que du classique. Cependant, deux corps enduits de crème solaire ont tendance à glisser l’un sur l’autre. C’est assez … amusant. Je m’imagine facilement à la place du gars et mon érection qui s’était estompée un moment reprend de plus belle. Après une vingtaine de minutes, Isabelle gémit un orgasme. Il continue des mouvements légers pour la laisser en profiter et hésite.
- Puis-je éjaculer, Madame ?
- Tu dois éjaculer.
Il reprend quelques mouvements et se vide avec délice dans sa chatte que j’imagine chaude et trempée.
- Retire-toi et fais-toi nettoyer la queue par Régis qui est attaché là-bas.
Le type, qui ne m’avait pas encore remarqué, vient vers moi et sans un mot, sans un regard, enfonce son sexe encore en érection au plus profond de ma gorge.
- Appliques-toi salope. Et qu’il ne reste rien !
Je le suce et avale son sperme et les sécrétions vaginales d’Isabelle. Il retire plusieurs fois son sexe afin de l’examiner et, non content du résultat, le replace dans ma bouche afin que je continue mon office. Enfin satisfait, il prend du recul et constate mon érection.
- C’est normal qu’elle bande comme cela ?
- Attend, je vais arranger cela.
Isabelle cherche dans son sac et viens vers moi avec deux pinces à écraser les testicules. Je sais ce qu’elle va faire et suis complètement sous sa domination. J’essaie de supplier et un son bizarre sort de ma bouche. Elle ajuste sa prise sur mes testicules et commence à serrer doucement, de plus en plus fort et me fixant droit dans les yeux. La douleur est telle que je me sens spectateur, hors de mon corps qui hurle des sons inconnus. Elle me relâche enfin et, avec le gars, ils regardent mon érection s’estomper.
- Voilà. Il ne bandera plus aujourd’hui.
Alors que la douleur est encore atroce et que j’en pleure toujours, je profite déjà de leur domination. Je sais que le mal provoqué par un coup sur un testicules disparait rapidement alors que celui procuré par un pincement ou une compression peut durer longtemps. Pour de nombreuses heures, je serai incapable de bander.
Les tourtereaux se recouchent dans le fauteuil et s’emmêlent dans des caresses incompréhensibles pendant plus d’une heure.
- J’ai soif !
- Moi aussi.
Isabelle vient me détacher et m’envoi chercher deux apéros. Je porte toujours le ring gag et bave encore. Je suis aussi assoiffé mais je sais l’inutilité d’une quelconque demande. Quand j’ai fini de les servir, d’un claquement de doigt Isabelle m’indique la place où je dois m’agenouiller en position de soumis.
Je constate que la situation évolue. Pendant leurs rires et gémissements, Elle a allongé le dieu et a enfermé son sexe dans une cage de chasteté de belle taille où il est malgré tout bien serré. Elle le menotte mains derrière le dos et lui attache les chevilles par un jeu de cordes. Elle tire sur celles-ci et il se trouve le cul bien ouvert offert à celle qu’il ignorait être dominatrice. Elle revêt son strapon. Je la trouve magnifique et envie son actuelle victime. Elle lui présente son bel organe afin qu’il l’enduise de sa salive.
- Va-t’en ! Je ne suis pas un suceur de queue !
- Tu crois ne pas en être. D’ici demain tu verras que tu te trompes.
Je sais ce qu’elle va faire. Elle positionne la pointe de son strapon sur son anus et joue avec pour lui faire sentir qu’elle est bien positionnée.
- Arrête ! Tu ne vas pas faire ça !
Je me régale. Isabelle s’enfonce un peu histoire de bien lui faire sentir qu’il ne peut lui échapper, se retire un peu et d’un geste lent mais ininterrompu lui fait entrer son strapon sur toute sa longueur. Le gars me regarde d’un air suppliant. Je lui manifeste une indifférence parfaite. Isabelle le besogne une dizaine de minutes avant d’exprimer son orgasme comme un homme grognerait son éjaculation. Elle se retire, retire son strapon et le présente devant le type.
- Ouvre la bouche ! Suce-moi cela jusqu’à ce qu’il soit impeccable !
Il ne discute plus et s’applique à sa tâche comme demandé. Isabelle le détache et d’un claquement de doigts lui indique sa place à mes côtés. Elle me retire mon ring gag.
- Allez nous préparer un déjeuner !
Nous nous rendons dans la maison où nous vaquons silencieusement à nos occupations.
- C’est ta femme ?
- Non. C’est une amie. Ma femme m’a prêté à Isabelle. Et toi.
- Elle m’a choisi sur un site de rencontres. Ça te plait ce qu’elle te fait ?
- Oui. C’est mon choix.
- Elle m’a fait mal.
- Pour te faire comprendre qu’elle te domine. Tu peux accepter ou partir.
- Je … Je vais accepter.
- Vous avez dix minutes pour vous doucher.
Nous filons.
- Quel est ton prénom ?
- Marc. Comment fait-on pour se sécher avec cette cage.
- Comme tu le peux. De toute façon, elle prend les précautions nécessaires. Ne te tracasse pas.
Nous déjeunons et Isabelle retourne à la piscine. Nous débarrassons et lavons la vaisselle avant de la rejoindre. Elle est au téléphone avec Gaëlle à qui elle raconte, par le menu, ses activités du matin. Je souffre toujours des testicules et suis bien incapable de bander. Isabelle entreprend d’installer Marc pour l’admirer comme elle dit. Elle commence par lui attacher les mains dans le dos. Il se laisse faire. Il se soumet. Elle lui replie ensuite une jambe et attache la cheville de celle-ci à sa cuisse. D’un treuil, elle fait descendre une corde terminée par un étrier dans lequel elle place le pied libre. Une seconde corde solidaire de la première et munie d’un nœud de pendu est ensuite passée autour de son cou. Il panique.
- Mais, tu es folle !
- Tu vas souffrir et mourir de peur mais je n’ai jamais tué personne.
Elle lui enlève sa cage de chasteté et le soulève à une hauteur précise. Quand il ne pourra plus se tenir sur l’étrier, il se pendra lui-même et ne pourra toucher le sol que de la pointe du pied. C’est encore plus flippant que de ne pas pouvoir le toucher.
Marc est pendu. Il supplie Isabelle. Et, dans sa peur, il présente déjà une certaine érection. Comme il est costaud, il tient et environs une demi-heure.
Il est pendu gargouille et cherche le sol pour prendre appuis. Il est maintenant en complète érection. Je regarde la montre d’Isabelle. Il met quatre longues minutes avant de renoncer. Isabelle le descend et dégage la corde de son cou. Il respire d’abord faiblement avant de pomper de profondes goulées d’air. Elle le laisse dix minutes au sol avant de m’ordonner de le relever.
Isabelle lui fixe ensuite un gag Ball à double fixation. Elle me menotte ensuite les mains derrière le dos et me fixe sur la même boule au moyen de la seconde fixation.
- Qu’ils sont mignons ces deux beaux mâles qui se roulent des pelles !
Ainsi attachés, nos lèvres se touchent. Comme elle a choisi une boule percée de trous, nos salives se mélangent. Marc est pris d’une érection incontrôlable. Sa queue se plante entre ma cuisse droite ma queue et mes couilles. Il est tellement gêné qu’il en a les larmes aux yeux. Elle nous ordonne de nous allonger sur le lit de plage et nous attache au niveau des cuisses, des genoux et des chevilles.
- Oh ! Ils sont collés comme des amoureux !
Isabelle reprend sa lecture regardant régulièrement par-dessus son livre afin d’admirer son œuvre. Marc ne débande pas et fini par ne plus pouvoir retenir son éjaculation que je sens couler le long de ma fesse et de ma cuisse. Isabelle se marre. Elle récupère le sperme et en enduit nos lèvres et la boule ce qui nous le fait immédiatement arriver dans nos bouches. Elle se lèche ensuite goulûment les doigts.
- Hmm ! Bien frais. Pas trop salé.
Nous restons ainsi attachés jusqu’aux environs de 18H00 quand, repue du soleil léger filtré par la végétation, Isabelle se décide à nous envoyer préparer le dîner pendant qu’elle prend une douche. Un repas léger mais nourrissant. Nous débarrassons et lançons le lave-vaisselle. Isabelle m’envoi à la douche et m’attache ensuite en croix sur le lit. J’entends ensuite Marc prendre une douche. Pendant ce temps, elle entreprend de me lubrifier copieusement le rectum et l’anus ce qui ne me surprend pas vu la manière dont elle m’a attaché. Marc arrive et elle commence à le branler lentement afin de lui procurer une très belle érection.
- Sodomise-le ?
- Mais, je ne veux pas l’enculer …
- Enculer, c’est sans plaisir. Sodomiser, c’est avec plaisir. Obéis !
Marc pose sa queue sur mon anus, hésite, introduit son gland, se retire, recommence et fini par me prendre enfonçant complètement son sexe en moi. Je sens ma queue s’allonger sur le drap. Je suis rapidement en érection malgré la douleur encore présente dans mes testicules. Marc commence ses va et vient sous les ordres d’Isabelle qui se régale de notre totale soumission.
- Régis ! Tu te laisses aller et éjacules !
Marc passe un bras puis l’autre sous ma poitrine et sous les ordres d’Isabelle me mord fortement l’épaule. Il se déchaîne et je soupire de plaisir avant d’éjaculer copieusement dans un long gémissement de plaisir.
- Bien ! Voilà ! On y arrive.
Marc me pilonne toujours et c’est un véritable post-orgasme-torture que me fait crier mais immobilisé par mes liens et par son étreinte, je ne peux que subir. Il se vide en moi et je sens sa semence chaude au fond de mon corps. Il profite de son orgasme et complète son plaisir par de petits mouvements ponctués d’éjaculations.
Isabelle lui ordonne de se retirer et me détache. Je dois ensuite nettoyer la queue de Marc. Marc doit lui nettoyer le drap de mon sperme pendant qu’Isabelle me nettoie la queue. Marc est ensuite contraint de me nettoyer l’annus d’où s’écoule lentement son sperme.
- Bien ! Quand vous aurrez repris des forces, vous vous occuperez de moi.
Pour Marc, c’était visiblement une première expérience. Quant à moi, j’avais trouvé cette seconde fois beaucoup plus intime que la première. Être pris par un homme sous les ordres, la domination d’une femme était très excitant. Je m’imaginais déjà sodomisant Marc. Je savais que je pouvais compter sur Isabelle pour provoquer la chose. Je me demandais seulement si Marc y prendrait le même plaisir que moi. Mais, avant cela, j’étais impatient de voir ce qu’elle allait nous demander cette nuit.
Il est environ 02H00 et je me réveille la queue en l’air. Je me rends aux toilettes et passe par la salle d’eau afin de me rafraichir surtout la queue et le cul. Je prends mon temps, me brosse les dents, me rafraichis les aisselles, passe du déo. Je retourne à la chambre et croise Marc, la queue en l’air aussi.
- Je vais me rafraîchir.
Je me recouche et passe la main entre les cuisses d’Isabelle qui est de trois quart sur le ventre. Je remontre vers sa chatte qui est légèrement moullée. Je goûte ses secrétions sur ma main. Très appétissante. Elle rouspète et se tourne. Marc revient et fait pareil.
- Alors les mecs. Prêts pour un second round ? A genoux sur le lit !
Elle nous branle lentement afin d’obtenir nos érections. Je sais qu’elle choisit la queue qu’elle voudra dans sa chatte. Normalement, elle choisira Marc dont le sexe est un peu plus grand et plus long que le mien, rétréci par le port régulier de ma cage de chasteté imposé par Gaëlle.
- Marc. Allonge-toi sur le dos !
Marc s’exécute et elle englouti son sexe dans sa chatte bien baveuse. Je m’attendais à ce qu’elle me demande de lui prendre le cul mais …
- A genoux à côté du lit ! Tu nous regardes.
Je jette un œil au réveil. 02H20. Isabelle chevauche Marc pendant une vingtaine de minutes avant un orgasme confortable qu’elle savoure longuement tout en lui interdisant l’éjaculation. Elle se retire ensuite de son sexe bien attirant.
- Régis ! Tu le suces et le finis !
Je m’installe entre les cuisses de Marc et le prodigue une confortable fellation jusqu’à ce qu’il décharge abondamment dans ma bouche. Je le pompe et avale son sperme afin de libérer un sexe parfaitement clean.
- Parfait ! Maintenant, tu me prends en levrette !
Je m’exécute et profite de sa chatte tellement moullée que des coulées de sécrétions vaginales descendent sur ma cuisse droite. Je prends mon temps et profite d’elle mais elle jouit trop vite à mon goût. Je la berce dans son plaisir et voudrais la remplir de ma semence mais la connaissant, je sais qu’il ne faut pas éjaculer sans permission.
- Marc ! Idem !
Il hésite un peu et s’installe comme moi avant lui. Je déguste mon plaisir par la contemplation d’Isabelle. Je commets l’erreur de faire durer trop longtemps.
- Suffit ! Debout contre le mur.
Je suis immédiatement attaché bras et jambes en croix. Elle ouvre un tiroir et en sort une boîte à sondes urétrales. En choisi une de bon calibre, y met quelques gouttes de gel et me l’introduit dans le sexe, butte sur le sphincter séminale. Une légère pression et mon sperme s’écoule sans plaisir au travers de la sonde. Elle retire celle-ci et mon érection s’estompe.
- Marc, tu lèche le sperme sur le sol !
Marc s’exécute.
- Voilà ce qui se passe quand on profite trop !
J’étais puni. Elle m’avait pris mon sperme sans me donner de plaisir.
Gaëlle écrit :
Un mot sur la pendaison. Ne faites jamais cela. La suspension par le cou peut provoquer des dommages irréversibles à la moelle épinière et rendre la victime tétraplégique. La pression sur les carotides peut, en diminuant le débit sanguin, provoquer des caillots pouvant entraîner un accident vasculaire cérébral avec toutes les conséquences de celui-ci. Un cas particulier est la compression sur ces artères de capteurs de pression (les « glomi ») qui entraîne un ralentissement extrême et immédiat du cœur jusqu'à la syncope et l'arrêt cardiaque. C'est ce phénomène qui entraîne les accidents liés au « jeu du foulard ».
Il faut aussi savoir que l’érection du pendu est due à une lésion sévère de la moelle épinière. Elle ne se produit pas en dehors de cette circonstance. Il faut arrêter de croire en cette légende. Dans le jeu décrit plus haut, l’érection intervient dans un contexte de panique provoquant une excitation intense.
Vous pouvez provoquer cette panique par des jeux de « Breath control » encore appelés « erotic asphixiation » bien moins dangereux en utilisant des cagoules spéciales ou simplement en enveloppant la tête du partenaire dans du cellophane. Il serait quand même prudent de disposer d’un ballon insufflateur et d’un défibrillateur en cas d’absence de reprise de la respiration spontanée ou d’arrêt du cœur.
Enfin, les MST et IST existent. Les rapports sexuels avec de nouveaux partenaires doivent être précédés des tests ad hoc.
Dans notre histoire, nous avons manqué de prudence. Ne nous imitez pas !
Régis écrit :
- Allez les hommes ! A la douche et préparez le petit déjeuné !
Il est 06H00 du matin et elle pète de feu. Le temps de de prendre une douche, de nous raser, de nous parfumer et de préparer le petit-déjeuner, il est 07H00 et Isabelle arrive toujours aussi appétissante. Je la radiographie et bien sûr, elle ne porte ni soutien-gorge ni culotte.
- Ici ! Mise en place de vos cages. En deux minutes nous sommes en cage. Marc en « Little Flower large » et moi en « Little Flower small ». Elle glisse un petit carton découpé qui empêche la peau d’être coincée entre l’anneau et les pointes du tube ce qui évite toute douleur. Elle enduit également le scrotum et la base de la queue d’huile pour bébé ce qui rend le port très confortable (à renouveler toutes les 12 heures).
- Aujourd’hui, vous allez en baver.
Une fois ainsi équipés, nous prenons notre petit-déjeuner et faisons la vaisselle pendant qu’Isabelle se rend à la piscine.
Nous la rejoignons à la piscine où elle est en conversation avec un gars tout droit sorti d’un film M.I.B. Elle nous fait signe de rester à distance et nous ne pouvons entendre ce qu’ils se disent. Nous sommes impliqués vu qu’elle nous désigne et que l’ours avec qui elle converse nous lance un regard appuyé.
La journée passera dans un farnienté où nous devinons son impatience. Deux repas légers vers 12H00 et 20H00. Elle nous retire nos cages et :
- Allez vous doucher, vous raser et vous parfumer. Habillez-vous pour une sortie.
Vers 22H00 elle nous embarque dans la voiture, roule quelques minutes avant de s’arrêter devant une boîte qui a la réputation d’être fréquentée par les gays mais qui s’avérera plutôt libertine. Isabelle se dirige vers la salle. Quant à nous, un mec au physique de lutteur nous intime de le suivre. Nous sommes emmenés vers le sous-sol et enfermés dans deux cachots séparés. Une porte mobile en fer épais descend et m’enferme dans un noir absolu. Le souffle léger et frais de la ventilation est le seul bruit que j’entendrai pendant un temps que je ne pourrais évaluer. Puis des pas lourds et des rires gras déchirent ma nuit et une porte, opposée à celle par laquelle je fus introduit dans ma prison s’ouvre. Quatre molosses se présentent et deux d’entre eux me saisissent par les bras et m’entraînent dans une pièce d’un blanc immaculé. Au milieu de celle-ci, un fauteuil gynécologique et quelques armoires, blanches elles aussi sont les seuls meubles garnissant le lieu.
En quelques mouvements, les quatre sbires me mettent nu et me placent sur la chaise. L’un d’eux s’approche avec un instillateur et me l’enfonce dans l’annus avant d’y déverser son contenu de gel lubrifiant. Puis, je suis abandonné dans ma position humiliante et n’ose pas bouger. Les gars discutent et attendent visiblement un appel qui finit par arriver.
Je suis emmené vers ce qui semble être une scène de spectacle et je me sens comme un écolier qui n’a pas appris le texte de la pièce qu’il doit jouer. Je constate la présence de nombreuses machines dignes d’un théâtre. Un Monsieur Loyal présente un « Jésus » qui n’est pas celui que l’on croit connaître et parle de crucifiement. Au moment où je comprends que je suis celui-là, le rideau se lève sous les applaudissements de la salle et quand j’envisage de m’enfuir quatre « Soldats romains » font leur entrée. Je ne peux m’empêcher de trouver leur uniforme cocasse, découpé afin d’offrir une vue complète sur le sexe et leur scrotum. Sans être en érection, ils présentent une queue de belle longueur et épaisseur accompagnée de belles paires de couilles. J’avoue que j’aurais apprécié être pris par ces quatre-là.
Monsieur Loyal me présente comme ayant eu des relations coupables avec des femmes et devant être châtié. La salle réagit de bonne humeur. Deux soldats m’attachent solidement au patibulaire de la croix. Pendant leur ouvrage une sensation bizarre m’envahi et je ne peux réprimer une érection que la foule applaudit. Il y avait quelque chose dans le gel. Une fois fixé, deux cordelettes sont fixées sur mes testicules. Je crains le pire. La croix s’élève et je suis exposé à la vue de tous. Je vois Isabelle installée à une table près de la scène. L’accompagnement musical et lumineux ajoute au tragicomique ambiant. Par moment, le son diminue et la lumière me désigne pendant que les soldats tirent sur les ficelles pour me faire hurler d’une douleur non feinte. Celle-ci, selon Monsieur Loyal, devait me faire débander mais le gel avec lequel ils m’ont noyé le cul m’en empêche. Soudain, un mécanisme fait se dérober le socle sur lequel s’appuyaient mes pieds. Je suis pendu par les poignets et comprends mieux le soin avec lequel j’ai été attaché. Je gesticule pour tenter de trouver un nouvel appui sur le montant. La croix descend et en un instant, mes chevilles sont menottées par une chaîne passant derrière le montant. La croix remonte et très rapidement j’éprouve de grandes difficultés à respirer. Dans le lointain, j’entends commenter mes difficiles et dernières inspirations.
Par après, j’ai vu le film de la scène où je suis gardé en croix jusqu’à l’arrêt respiratoire avant que le rideau ne tombe et que je sois ranimé et emmené dans un cachot.
Isabelle est venue m’y récupérer bien plus tard et Marc avait définitivement disparu. Une fois rentrés, une douche pour éliminer les traces de gel et nous nous sommes couchés.
Il ne fallu pas cinq minutes pour que la présence d’Isabelle me procure une érection. Elle me chevaucha jusqu’à son plaisir.
- Voilà ! Et interdiction d’éjaculer ! D’ailleurs, suis-moi.
Elle m’adosse à une crois de Saint-André et m’y attache. Sur un meuble, elle allume une bougie et entreprend de m’infliger de sévères brûlures au scrotum. Je hurle de douleur mais rien n’y fait.
- Je veux que tu aies de grosses ampoules sur les couilles et que la douleur t’empêche de bander pendant plusieurs jours !
Elle poursuit son œuvre jusqu’à sa satisfaction et que mon sexe soit flasque.
Le lendemain, après le déjeuné elle décide d’une excursion en voiture.
Vêtu de ma seule cape, nous partons à travers la forêt pour nous arrêter sur une aire de pique-nique en retrait de la route.
Isabelle fait passer une corde au travers des jantes de la voiture et m’attache les chevilles très écartées, face à la voiture. Elle m’attache ensuite les poignets avec une autre corde qu’elle passe derrière les rétros et tend afin que je sois à plat ventre sur le capot.
Elle rend dans la malle arrière et revient ayant fixé son gode-ceinture, se place derrière moi et sans un mot mais surtout sans lubrifiant me pénètre profondément. N’étant pas bâillonné, je hurle de douleur.
- Crie plus fort ! C’est ça que je veux !
Elle continue à me ramoner et quand je n’ai plus la force de crier, je pleure doucement, mes larmes coulant sur le capot. Elle finit par jouir et se retire brutalement pour encore me faire mal.
Une voiture de gendarmes se présente à notre hauteur.
- Vous n’avez pas d’autres endroits pour vous amuser ?
La conversation devient lointaine et je perds conscience.
Je me réveille en clinique. Une doctoresse passe m’expliqué que mes brûlures sont sévères et nécessitent des soins.
J’ai la visite d’un juge d’instruction. J’apprends qu’Isabelle est inculpée pour coups et blessures. Nous sommes tous deux poursuivi pour attentat à la pudeur mais le magistrat m’explique que le rapport de gendarmerie fait état de la discrétion du lieu qui est dérobé à la vue des passants. Le Procureur de la République devrait classer l’affaire sans suite.
Espérons car avec une condamnation pour ce motif, adieu la carrière d’enseignant.
Gaëlle écrit :
Le Procureur de la République a classé sans suite le dossier attentat à la pudeur. En revanche, il n’a pas voulu abandonner les poursuites contre Isabelle pour coups et blessures malgré l’absence de plainte de Régis et la demande de celui-ci de ne pas poursuivre. Condamnée à trois mois de prison avec sursis, elle a pu continuer à enseigner mais a quitté la ville pour faire carrière ailleurs.
Après ces exagérations, nous avons repris une vie plus classique pendant un an. Donc pour cette période, rien à raconter.
Puis, j’ai eu envie de soumettre à nouveau Régis et cette envie à rencontré la sienne d’être soumis. Il m’a offert le plus beau cadeau qui soit. Nous vous conterons cela prochainement.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Alors la suite !!!
Alors et la suite ???
Ouille, c’est violent et dangereux… le SM pourquoi pas mais si le/la dominant(e) est responsable et bienveillant.
Ici on voit surtout du sadisme malsain et souvent dangereux de la part d’Isabelle.
Heureusement que Gaëlle veille…mais un peu tard dans cette histoire…
Ici on voit surtout du sadisme malsain et souvent dangereux de la part d’Isabelle.
Heureusement que Gaëlle veille…mais un peu tard dans cette histoire…