Gang bang en guise de rupture - histoire érotique

Depuis le coup de l’invité surprise rien n’est plus pareil. Nous essayons bien de recoller les morceaux mais c'est compliqué. Nous avons fait quelques fois l'amour mais ce n’était pas top voire s'est fini en engueulade. Nous faisons chambre à part et nous essayons de prendre un peu de distance sans se quitter. D’ailleurs ce soir nous faisons soirée à part. Nina sort en boîte de nuit avec des copines. Moi j'ai invité une dizaine de potes à la maison pour voir un match à la télé. Nous buvons l’apéro en regardant le match. Nous sommes un peu éméchés à la fin du match. Certains rentrent chez eux. D’autres traînent en se resservant. Nous ne sommes plus que six. Marco propose de faire un poker. Pourquoi pas. Je sors les cartes et les jetons. Nous jouons en continuant de picoler. Je ne suis pas de super humeur mais cette petite soirée fait du bien.

Au bout d’un moment j’entends la clé dans la porte. Je regarde l’heure. Oh hu il est déjà 3h30. Je n’ai pas vu le temps passé. Nina arrive dans le salon et nous regarde. Elle voit à nos têtes que la soirée a été plutôt arrosé. Nina porte sa robe rouge qui finit en triangle sur le devant. Le derrière s’arrête un peu au-dessus des genoux mais le devant monte bien plus haut. Je trouve ça un peu court pour sortir sans moi. Elle se met debout à côté de moi. Machinalement je pose tendrement ma main sur l’arrière de ses genoux. Cela fait longtemps que je n’ai plus de gestes doux pour elle. Elle me regarde et me sourit. Nous discutons et je ne sais pas pourquoi, l’alcool peut être, je remonte ma main sur sa cuisse. J’arrive au bas de ses fesses et découvre une peau dénudée. Attends, elle est sortie sans culotte ! Je continue de monter et me recentre pour trouver le contact d’un tissu. Ouf c’est qu’elle a mis un string. C’est osé vu sa robe et que je n’étais pas là mais c’est déjà mieux que ce que j’ai cru. Je remonte jusqu’au haut du pli de ses fesses pour toucher le triangle que j’aime tant. Tous les gars regardent bouche bée le haut des cuisses de Nina. Nous regardons aussi et découvrons qu’avec la forme de la robe le tissu est remonté laissant apparaître le haut des cuisses de Nina mais aussi le bas de son string. Nina retire ma main et m’engueule en disant que je n’ai qu’à l’exhiber devant mes potes. Je baisse la tête comme un enfant qui a fait une connerie.

Marco tente un coup pour détendre l’atmosphère en disant que ça ne le dérangerait pas. Nina me regarde et j’ai le regard benêt du gars bourré. Elle attend que je réplique mais vu que je ne dis rien, elle dit que vu que ça n’a pas l’air de me gêner, tenez les gars. Elle attrape alors le bas de sa robe et l’enlève. Je suis estomaqué. A la fois par ce qu’elle vient de faire, mais aussi car elle ne porte pas de soutien-gorge. Elle est sortie en boîte en robe courte, string et sans soutien-gorge. Je ne trouve pas que c’est approprié pour une femme mariée.

Nina tourne sur elle-même pour que les gars puissent la mater sous toutes les coutures. Je reste complètement interloqué. Puis Marco se lève, s’approche de Nina, attrape ses fesses des deux mains et l’embrasse. D’abord surprise Nina reste bras ballants puis les met autour de son cou en lui rendant son baiser. Il décolle ses lèvres des siennes et commence à caresser ses seins. Jeff se lève aussi, se place derrière Nina et caresse son dos et ses fesses. En un rien de temps Nina se retrouve avec 10 mains et 5 langues sur elle. Elles parcourent toute son anatomie : ses fesses, ses cuisses, ses seins et même son vagin. C’est ça qu’on appelle des potes ? Moi je suis mi bourré mi dépité. Mais je n’arrive pas à dire ou faire quelque chose. Puis ils soulèvent Nina, deux par les bras, deux par les cuisses, alors que le cinquième s’agenouille pour lui lécher le vagin. Nina semble aux anges dans cette position inconfortable.

Ils reposent Nina et Marco, toujours lui, déboutonne son jean et le descend, libérant son sexe en érection. Nina s’accroupit et le prend dans sa bouche. Bientôt ce sont 5 verges dressées qui entourent Nina. Elle en attrape deux dans ses mains puis changent régulièrement que ce soit dans sa bouche ou entre ses mains. Elle me regarde avec un regard provocateur alors qu’elle enfourne un nouveau sexe dans sa bouche. A ce moment-là je comprends que tout est fini entre nous. Malgré ça, je n’arrive pas à bouger mon cul de mon siège. Nina est relevée et penchée en avant. Elle attrape de nouveau une verge alors qu’une autre s’introduit en elle par derrière. Elle se fait pilonner et caresser en même temps. Puis un autre prend la place du premier. Elle ne leur demande même pas de mettre un préservatif. C’est du grand n'importe quoi. Puis Nina est déplacée sur le canapé et invitée à chevaucher un pénis. Elle s’empale dessus. Elle rebondit allègrement alors que ses seins et ses fesses sont tripotés dans tous les sens. De nouveau des sexes lui sont offerts à sa bouche et ses mains. Un seul se retrouve sans rien. Celui-ci se met derrière. Il ne va quand même pas la sodomiser ! Il lui lèche l’anus et insère un doigt. Nina se laisse faire. Il enchaîne donc avec son pénis. Ça y est Nina s’occupe de 5 sexes en même temps. Et cela à l’air de la rendre heureuse.

Les gars continuent sans se soucier de moi et échangent souvent de position. Tous passeront au moins un peu dans sa bouche, son vagin, son anus et entre ses mains. Un véritable gang bang. Certains attrapent même leurs téléphones pour prendre des photos et des vidéos. Un premier vient à jouir sur son visage et ses cheveux. Puis Nina est couchée sur le canapé. Ses cuisses sont écartées en grand et elle se fait de nouveau pénétrer. Un sexe qu’elle a dans les mains éjacule sur ses seins. Puis celui qu’elle a dans la bouche gicle une première fois en elle. Elle le sort de sa bouche et les autres spasmes se déversent sur son visage. Le quatrième ne tarde pas à sortir de son vagin pour jouir sur son ventre. Le dernier qui n’a pas encore joui retourne Nina et la met en levrette. Il la prend en donnant tout ce qu’il a et finit par se déverser sur ses fesses et son string.

Nina se relève. Elle a du sperme partout sur elle. Mais elle arbore un sourire radieux. Elle me dit qu’elle va à la douche et alors qu’elle marche, du sperme tombe par terre. Je suis outré. Une fois partie, je regarde mes soi-disant potes avec un regard noir. Ils comprennent qu’ils ne doivent traîner. Ils partent et je reste scotché sur ma chaise. Je finis par monter me coucher mais n’arrive pas à dormir. J’ai les images de la soirée en boucle dans ma tête. Et surtout le sourire de Nina. Elle semblait heureuse comme jamais je crois que je l’ai vu heureuse en vingt ans.

Le lendemain Nina descend comme si de rien n’était. Je deviens fou. Je veux voir ce qu’elle me dit. Mais elle fait sa vie sans rien dire. Je finis par lui dire :
- Tu ne crois pas qu’il faudrait que nous parlions
- De quoi ?
- De quoi ! De ce qu’il s’est passé hier
- Hier j’ai juste réalisé mon plus grand fantasme
- Comme ça avec mes potes et devant moi
- C’est arrivé comme ça
- Et si c’était ton plus grand fantasme tu ne crois pas que nous aurions pu en parler ?
- Tu n’aurais jamais voulu de toute façon
- Qu’est-ce que t’en sais. Tu ne peux pas savoir à quel point je me sens sali. Avec mes potes…
- Tes potes tes potes. Ils ne sont pas faits prier. Et devant toi.
- Tu as raison. Mais nous aurions pu en parler, mettre ça sous forme de jeux. Je pense que toutes les aventures que nous avons eu prouvent que nous sommes capables bien plus loin que ce que nous pensions
- Mais je ne veux plus jouer. Je veux vivre. Tu vois hier je me suis fait draguer par plusieurs mecs. Je n’ai rien fait par respect pour toi mais je n’avais qu’une envie. C’était de les suivre dans une voiture et qu’il me saute.
- Je suis brisé. Et notre relation aussi
- Qu’est-ce que tu veux dire ?
- Je veux dire que je crois que tu as fini par décider de la fin de notre histoire
- Hein ?
- Tu veux vivre libre et bien belle vie à toi
- Et Alexandre ? Et la maison ?
- C’est maintenant que tu penses à ça. Il fallait y penser avant de te faire baiser comme ça.
- Mais… me dit elle les larmes aux yeux
- Il n’y a pas de mais. Tu as brisé vingt ans de vie commune en une soirée. Par respect pour notre histoire tu peux rester une ou deux semaines le temps de trouver un logement
- Comment je vais faire ? Et Alexandre ?
- Tu restes la mère d’Alexandre et je respecterai toujours ça. Mais pour le reste je ne te reconnais plus…
- C’est toi qui as voulu que j’écoute mon corps, mes envies
- Oui mais toujours ensemble. Tu vois nous avons eu pas mal d’expériences. J’ai eu la chance de coucher avec plusieurs femmes. Mais toujours en accord avec toi. Jamais je n’ai fantasmé sur une autre sans toi
- Eh bien nous sommes différents. Moi je veux pouvoir coucher avec qui je veux sans te demander la permission
- C’est bien ce que je te dis, nos routes se séparent…
- Pas comme ça. Pas avec toi qui me déteste
- Je ne te déteste pas. Je me rends compte que nous ne partageons plus les mêmes valeurs et ça ce n’est pas possible pour moi
- Alors je crois que tout est dit. Je serais parti le plus tôt possible

Dix jours après elle trouva son logement et partit. Je me retrouve seul, brisé avec mon fils…

Nous avons maintenant divorcé. Je ne peux plus la voir. Nous échangeons seulement par texto et uniquement pour s’ajuster sur l’éducation d’Alexandre dont nous partageons la garde. Autant je garde des souvenirs merveilleux de nos vingt ans passés ensemble, autant je ne reconnais plus la femme dont je suis tombé amoureux et avec qui j’ai grandi. Je l’ai aidé à se sentir femme et assumer ses rêves mais jamais je n’aurais pensé que cela nous mènerait là. J’ai tout de même conservé toutes les photos et vidéos prises au fil des années. Mais ça elle ne le sait pas car nous avions supprimé les fichiers de l’ordinateur… mais j’avais une copie. J’ai même récupéré celles qui avaient été prises lors de cette fameuse soirée. Le plus dur commence maintenant. Reconstruire sa vie sur un champ de ruines…