Gégé, le fermier monté comme un taureau !
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Gégé, le fermier monté comme un taureau !
Je viens de passer l'après midi avec un amant, c'était bien, mais sans plus !
Je suis allongé nu, à ses cotés, un peu frustré analement, il a joui trop vite !
Le seul point positif, c'est la dose de foutre énorme, que je devine dans mon cul !
Après un coup de téléphone, il me demande de l'attendre chez lui, pendant qu'il va voir sa fille, à quelques kilomètres.
Comme je suis un peu déçu de notre rencontre, je décide de partir avant son retour, je ferai du stop ! Et je ne compte pas le revoir !
Je marche en levant mon pouce, les voitures ne s'arrêtent pas ! Puis longtemps après, je reconnais la voiture de Gégé qui vient dans la mauvais sens.
Il fait demi tour, et s'arrête à mon niveau:
"Ca fait plaisir de voir ! Tu va où, ma p'tite salope ?".
"A Toulon ! Chez moi !".
"Tu veux pas plutôt venir chez moi, je te baise et je te ramène demain ?".
"Euh !... Gégé, tu vas me tuer encore !".
"Allez ! T'aimes ça, non ?".
"C'est vrai ! Bon ! c'est d'accord !".
Je m'excite dans la voiture en pensant que je vais enfin bien jouir, mieux qu'avec l'homme que j'ai laissé en plan.
Même si je sais aussi, que je vais avoir du mal à m'en remettre analement.
"Par contre, je vais appeler quelqu'un ! Je sais que t'aime baiser à plusieurs ! Donc il y aura pas de souci ?".
"Euh ! D'accord ! Mais je le connais ?".
"Non, en fait, c'est mon frère ! il a la même bite que moi ! tu vas bien t'éclater !".
"Non ! Je vais me faire éclater, plutôt ! Putain, deux comme toi ! Je sais pas si je vais assurer !".
Il ricane, et me demande de lui pomper la queue sur le reste de la route.
Chez lui, il appelle son frère pendant que je dévore sa queue, accroupi devant lui.
"Frédo ! Arrives ! J'ai la visite du jeune, dont je t'ai causé l'autre jour ! Dis à ta femme que j'ai besoin de toi pour la soirée ! Tu vas pas le regretter !".
Lorsqu'il nous rejoint, j'ai l'impression de voir double, c'est le sosie de son frère !
Gégé m'a laissé tranquille pour l'attendre, mais devant son frère, il m'attrape la bouche pour m'embrasser.
Fredo s'approche et attire ma main vers sa verge.
Gégé n'a pas menti, c'est la même grosse verge ! et il m'entraine vers son bas ventre pour que je lui offre ma première fellation.
"Alors, je t'avais pas menti ! C'est une belle salope ! Non ?".
"Arhhhhh ! Ouais, Gégé ! Il suce bien pour commencer ! Ca t'ennuie, si je l'encule déjà ?".
"Pas du tout ! Vas y Frérot !".
Je comprend que j'ai deux Gégé pour le prix d'un ! L'homme me déshabille et me place en travers du vieux canapé.
Gégé m'enduit l'anus de gel, Fredo se badigeonne avec le reste.
Il s'étonne de me transpercer, plus aisément qu'il le craignait.
"Putain ! C'est une vraie chatte ! Ca rentre comme dans du beurre ! Elle te plait ma bite salope ?".
"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Oui, elle est aussi bonne que celle de ton frère ! "Arghhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! ...".
Puis, après quelques aller retours qui me font crier de plaisir anal, il demande:
"Tu l'as enculé avant que j'arrive ?".
"Non, pourquoi ?".
"Ben, il a le cul plein de foutre déjà ! Regardes ma bite !".
"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Oui, c'est parce que je viens de baiser avec un autre homme de P...".
"Putain, de salope ! Je suis sur que c'est François qui l'a enculé ! C'est ça ?".
"Arghhhhhhh ! Je sais pas si c'est le même, mais oui, il s'appelle François !".
"Et t'en as pas eu assez ?".
"Arghhhhhhh ! Non, il me baise pas aussi bien que vous ! Arghhhhhhh !".
Gégé me traite de sale petite pute, tout en se déshabillant.
Fredo lui laisse la place et se dévêt lui aussi.
Gégé me défonce plus vulgairement, je crie comme une salope.
"Voila ! Il faut pas te gêner avec lui, il aime ça ! T'entend comme il couine bien !".
Frédo vient me combler la gorge, pour me la baiser vulgairement.
Il me déforme le visage avec sa queue énorme, j'adore ce moment de baise extrême.
Je connais mes premiers orgasmes puissants, enfin ! Bien plus forts qu'avec François !
Puis Frédo prend la suite et m'encule en bout de canapé, pendant que Gégé se glisse sous mon visage avec sa queue énorme.
Je hurle mon plaisir avec la gorge déformée par Gégé.
Je me sens délicieusement humilié par leurs insultes à mon égard, leur domination est totale, analement et verbalement.
Ma jouissance est aussi puissante que leur défonce de mon corps, je prend un pied énorme avec eux.
Au bout d'une heure épuisante de plaisir, j'éjacule de tout mon corps, avec l'énorme sexe de Fredo dans l'anus, qui est sous moi, allongé au sol, alors que Gégé me défonce la gorge, encore.
Puis, Gégé me pose sur le canapé en travers, se glisse entre mes cuisses écartées et me burine sans discontinuer.
"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Putain, vous me tuez ! vous êtes deux machines tous les deux ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! ...".
"Arrêtes de te plaindre ! T'adore ça !".
Je râle encore sans cesse, ils se remplacent sans discontinuer dans ma chatte anale, se masturbant à chaque sortie, pour maintenir leur montée d'éjaculation.
Au bout de presque deux heures, c'est Fredo qui craque en premier, il s'enfonce en moi, et me rempli les intestins sans retenue.
Gégé se branle comme un forcené, il attend patiemment son tour.
"Arghhhhhhh ! Quel Pied ! J'adore son p'tit cul ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh !... Oh quelle chatte !".
J'avoue qu'à ce moment précis, je n'ai plus beaucoup de force pour réagir, je me laisse inséminer, heureux qu'il m'offre ce plaisir, enfin.
Il se retire lentement, Gégé l'écarte avec empressement et me plante d'un coup pour se déchainer en moi, comme Fredo, juste avant lui.
Il me procure mes derniers orgasmes, puis, quasi identiquement à son frère, il se déverse dans ma chatte, sans s'arrêter.
Je joui en léchant la bite de son frère, encore dans ma gorge.
Gégé rejoint Fredo dans ma bouche, je leur fais une déclaration d'amour buccale, interminable.
Pendant ce temps mon anus rejette leurs spermes sans discontinuer, sur le sol, devant le canapé.
"Alors salope ! T'as aimé nos deux bites ? C'était bon ?".
"Orhhhh ! Il faudrait être difficile pour dire non ! J'en peux plus ! Je sens plus mon cul !".
"Tant mieux ! Nous, on adore baiser des chattes comme la tienne ! On s'est régalé aussi !".
"Ouais ! Merci frérot ! Bon ! Je retourne chez moi ! Putain, je me suis éclaté ! Merci jeune ! Comment tu t'appelles déjà ?".
"Pascal !".
"Merci Pascal ! Si tu repasses dans le coin, je veux bien recommencer ! Tu penses à moi, Gégé !".
"D'ac ! P'tit frère !".
Je m'assoupi un peu, mon anus me gêne énormément, il est pris de nombreux spasmes et douleurs, faisant sortir encore leurs spermes, du fond de mon cul.
Gégé me laisse un moment, je ne remarque pas qu'il prépare un petit repas.
Je sors de ma fatigue passagère, lorsqu'il vient m'essuyer l'anus.
"Tu viens manger, ma p'tite salope !".
"Oui, merci, t'adore m'appeler comme ça ! je vois !".
"Oui, ça te choque ?".
"Non, ça va ! Continues ! J'en suis une, j'assume !".
"Tant mieux ! C'est pour ça que je t'adore ! Mais, on se voit pas assez souvent !".
"Ben, c'est vrai qu'à part au Sex-shop ! On se voit pas beaucoup ! Et puis, je suis en couple avec une fille ! C'est pas simple pour moi !".
"Je sais ! Bon, on mange et je te remets ça !".
"Oh putain ! je vais encore prendre cher ! J'ai encore mal au cul !".
Après sa première jouissance, je peux vous dire que la seconde a mis du temps à venir !
Je me suis fait labourer comme jamais ! J'en pleurai de plaisir !
Mon coccyx en était douloureux ! Je suis certain que lui même en avait mal au gland !
Il a terminé en gorge profonde, allongé sur moi, en me pilonnant le visage.
Je me suis étouffé en avalant son foutre, à cause de son énorme gland collé contre ma glotte.
Il m'a ramené le lendemain matin, après une autre défonce anale sur la route, encore ! J'étais sur les rotules ! Sans parler des douleurs au bas ventre qui ont suivi.
Je sais, vous vous dites que je suis maso ! Mais comme beaucoup d'homo passif, j'ai besoin de ça !
Et on ne ressent ce phénomène, qu'avec les hommes au sexe surdimensionné, ils vous causent des dommages dans le bas du corps.
Surement, une forme d'hématomes intérieurs, mais on s'en remet assez facilement, surtout avec un comprimé de Paracétamol ou Ibuprofène.
Il m'a laissé son numéro pour organiser une autre soirée avec son frère.
J'ai attendu d'avoir un gros besoin, avant de l'appeler.
Cette fois, Frédo est resté toute la soirée, jusqu'à 2 heures du matin ! J'avais rejoint Gégé au véhicule, vers 14 heures ! J'étais vidé de toute substance corporelle, sperme, jus anal et urine claire, encore une fois.
C'est un plaisir puissant, mais je ne pourrai pas faire ça tous les jours !
Pour notre dernière fois, c'est lui qui est venu chez moi.
Sur sa demande, je devais l'attendre nu, à quatre pattes, avec l'anus déjà ouvert et lubrifié.
J'ai utilisé mon gode et du gel pour ça !
Lorsqu'il a sonné, j'ai repris ma place en me baisant de nouveau, avant qu'il arrive.
Il est entré, a vu le gode sur mon coté, a baissé son jean et m'a pénétré d'un coup sec, en me faisant crier.
"C'est bien ma p'tite salope ! Tu t'es bien préparée !".
J'ai encore éjaculé tout mon foutre sans me toucher, puis vidé ma vessie sur le sol et mon lit.
Il a choisi de m'arroser le cul de son foutre chaud et gluant, puis il est venu devant mon visage.
Je l'ai sucé longuement, jusqu'à ce qu'il m'abreuve encore.
J'avais froid au cul, à cause de son jus qui dégoulinait sur mes draps, mon anus me faisait encore mal, mais j'ai trouvé ça, tellement pervers et délicieux !
Puis, malgré de nouveaux appels sans réponses, on ne s'est plus retrouvé !
Je suis allongé nu, à ses cotés, un peu frustré analement, il a joui trop vite !
Le seul point positif, c'est la dose de foutre énorme, que je devine dans mon cul !
Après un coup de téléphone, il me demande de l'attendre chez lui, pendant qu'il va voir sa fille, à quelques kilomètres.
Comme je suis un peu déçu de notre rencontre, je décide de partir avant son retour, je ferai du stop ! Et je ne compte pas le revoir !
Je marche en levant mon pouce, les voitures ne s'arrêtent pas ! Puis longtemps après, je reconnais la voiture de Gégé qui vient dans la mauvais sens.
Il fait demi tour, et s'arrête à mon niveau:
"Ca fait plaisir de voir ! Tu va où, ma p'tite salope ?".
"A Toulon ! Chez moi !".
"Tu veux pas plutôt venir chez moi, je te baise et je te ramène demain ?".
"Euh !... Gégé, tu vas me tuer encore !".
"Allez ! T'aimes ça, non ?".
"C'est vrai ! Bon ! c'est d'accord !".
Je m'excite dans la voiture en pensant que je vais enfin bien jouir, mieux qu'avec l'homme que j'ai laissé en plan.
Même si je sais aussi, que je vais avoir du mal à m'en remettre analement.
"Par contre, je vais appeler quelqu'un ! Je sais que t'aime baiser à plusieurs ! Donc il y aura pas de souci ?".
"Euh ! D'accord ! Mais je le connais ?".
"Non, en fait, c'est mon frère ! il a la même bite que moi ! tu vas bien t'éclater !".
"Non ! Je vais me faire éclater, plutôt ! Putain, deux comme toi ! Je sais pas si je vais assurer !".
Il ricane, et me demande de lui pomper la queue sur le reste de la route.
Chez lui, il appelle son frère pendant que je dévore sa queue, accroupi devant lui.
"Frédo ! Arrives ! J'ai la visite du jeune, dont je t'ai causé l'autre jour ! Dis à ta femme que j'ai besoin de toi pour la soirée ! Tu vas pas le regretter !".
Lorsqu'il nous rejoint, j'ai l'impression de voir double, c'est le sosie de son frère !
Gégé m'a laissé tranquille pour l'attendre, mais devant son frère, il m'attrape la bouche pour m'embrasser.
Fredo s'approche et attire ma main vers sa verge.
Gégé n'a pas menti, c'est la même grosse verge ! et il m'entraine vers son bas ventre pour que je lui offre ma première fellation.
"Alors, je t'avais pas menti ! C'est une belle salope ! Non ?".
"Arhhhhh ! Ouais, Gégé ! Il suce bien pour commencer ! Ca t'ennuie, si je l'encule déjà ?".
"Pas du tout ! Vas y Frérot !".
Je comprend que j'ai deux Gégé pour le prix d'un ! L'homme me déshabille et me place en travers du vieux canapé.
Gégé m'enduit l'anus de gel, Fredo se badigeonne avec le reste.
Il s'étonne de me transpercer, plus aisément qu'il le craignait.
"Putain ! C'est une vraie chatte ! Ca rentre comme dans du beurre ! Elle te plait ma bite salope ?".
"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Oui, elle est aussi bonne que celle de ton frère ! "Arghhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! ...".
Puis, après quelques aller retours qui me font crier de plaisir anal, il demande:
"Tu l'as enculé avant que j'arrive ?".
"Non, pourquoi ?".
"Ben, il a le cul plein de foutre déjà ! Regardes ma bite !".
"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Oui, c'est parce que je viens de baiser avec un autre homme de P...".
"Putain, de salope ! Je suis sur que c'est François qui l'a enculé ! C'est ça ?".
"Arghhhhhhh ! Je sais pas si c'est le même, mais oui, il s'appelle François !".
"Et t'en as pas eu assez ?".
"Arghhhhhhh ! Non, il me baise pas aussi bien que vous ! Arghhhhhhh !".
Gégé me traite de sale petite pute, tout en se déshabillant.
Fredo lui laisse la place et se dévêt lui aussi.
Gégé me défonce plus vulgairement, je crie comme une salope.
"Voila ! Il faut pas te gêner avec lui, il aime ça ! T'entend comme il couine bien !".
Frédo vient me combler la gorge, pour me la baiser vulgairement.
Il me déforme le visage avec sa queue énorme, j'adore ce moment de baise extrême.
Je connais mes premiers orgasmes puissants, enfin ! Bien plus forts qu'avec François !
Puis Frédo prend la suite et m'encule en bout de canapé, pendant que Gégé se glisse sous mon visage avec sa queue énorme.
Je hurle mon plaisir avec la gorge déformée par Gégé.
Je me sens délicieusement humilié par leurs insultes à mon égard, leur domination est totale, analement et verbalement.
Ma jouissance est aussi puissante que leur défonce de mon corps, je prend un pied énorme avec eux.
Au bout d'une heure épuisante de plaisir, j'éjacule de tout mon corps, avec l'énorme sexe de Fredo dans l'anus, qui est sous moi, allongé au sol, alors que Gégé me défonce la gorge, encore.
Puis, Gégé me pose sur le canapé en travers, se glisse entre mes cuisses écartées et me burine sans discontinuer.
"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Putain, vous me tuez ! vous êtes deux machines tous les deux ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! ...".
"Arrêtes de te plaindre ! T'adore ça !".
Je râle encore sans cesse, ils se remplacent sans discontinuer dans ma chatte anale, se masturbant à chaque sortie, pour maintenir leur montée d'éjaculation.
Au bout de presque deux heures, c'est Fredo qui craque en premier, il s'enfonce en moi, et me rempli les intestins sans retenue.
Gégé se branle comme un forcené, il attend patiemment son tour.
"Arghhhhhhh ! Quel Pied ! J'adore son p'tit cul ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh !... Oh quelle chatte !".
J'avoue qu'à ce moment précis, je n'ai plus beaucoup de force pour réagir, je me laisse inséminer, heureux qu'il m'offre ce plaisir, enfin.
Il se retire lentement, Gégé l'écarte avec empressement et me plante d'un coup pour se déchainer en moi, comme Fredo, juste avant lui.
Il me procure mes derniers orgasmes, puis, quasi identiquement à son frère, il se déverse dans ma chatte, sans s'arrêter.
Je joui en léchant la bite de son frère, encore dans ma gorge.
Gégé rejoint Fredo dans ma bouche, je leur fais une déclaration d'amour buccale, interminable.
Pendant ce temps mon anus rejette leurs spermes sans discontinuer, sur le sol, devant le canapé.
"Alors salope ! T'as aimé nos deux bites ? C'était bon ?".
"Orhhhh ! Il faudrait être difficile pour dire non ! J'en peux plus ! Je sens plus mon cul !".
"Tant mieux ! Nous, on adore baiser des chattes comme la tienne ! On s'est régalé aussi !".
"Ouais ! Merci frérot ! Bon ! Je retourne chez moi ! Putain, je me suis éclaté ! Merci jeune ! Comment tu t'appelles déjà ?".
"Pascal !".
"Merci Pascal ! Si tu repasses dans le coin, je veux bien recommencer ! Tu penses à moi, Gégé !".
"D'ac ! P'tit frère !".
Je m'assoupi un peu, mon anus me gêne énormément, il est pris de nombreux spasmes et douleurs, faisant sortir encore leurs spermes, du fond de mon cul.
Gégé me laisse un moment, je ne remarque pas qu'il prépare un petit repas.
Je sors de ma fatigue passagère, lorsqu'il vient m'essuyer l'anus.
"Tu viens manger, ma p'tite salope !".
"Oui, merci, t'adore m'appeler comme ça ! je vois !".
"Oui, ça te choque ?".
"Non, ça va ! Continues ! J'en suis une, j'assume !".
"Tant mieux ! C'est pour ça que je t'adore ! Mais, on se voit pas assez souvent !".
"Ben, c'est vrai qu'à part au Sex-shop ! On se voit pas beaucoup ! Et puis, je suis en couple avec une fille ! C'est pas simple pour moi !".
"Je sais ! Bon, on mange et je te remets ça !".
"Oh putain ! je vais encore prendre cher ! J'ai encore mal au cul !".
Après sa première jouissance, je peux vous dire que la seconde a mis du temps à venir !
Je me suis fait labourer comme jamais ! J'en pleurai de plaisir !
Mon coccyx en était douloureux ! Je suis certain que lui même en avait mal au gland !
Il a terminé en gorge profonde, allongé sur moi, en me pilonnant le visage.
Je me suis étouffé en avalant son foutre, à cause de son énorme gland collé contre ma glotte.
Il m'a ramené le lendemain matin, après une autre défonce anale sur la route, encore ! J'étais sur les rotules ! Sans parler des douleurs au bas ventre qui ont suivi.
Je sais, vous vous dites que je suis maso ! Mais comme beaucoup d'homo passif, j'ai besoin de ça !
Et on ne ressent ce phénomène, qu'avec les hommes au sexe surdimensionné, ils vous causent des dommages dans le bas du corps.
Surement, une forme d'hématomes intérieurs, mais on s'en remet assez facilement, surtout avec un comprimé de Paracétamol ou Ibuprofène.
Il m'a laissé son numéro pour organiser une autre soirée avec son frère.
J'ai attendu d'avoir un gros besoin, avant de l'appeler.
Cette fois, Frédo est resté toute la soirée, jusqu'à 2 heures du matin ! J'avais rejoint Gégé au véhicule, vers 14 heures ! J'étais vidé de toute substance corporelle, sperme, jus anal et urine claire, encore une fois.
C'est un plaisir puissant, mais je ne pourrai pas faire ça tous les jours !
Pour notre dernière fois, c'est lui qui est venu chez moi.
Sur sa demande, je devais l'attendre nu, à quatre pattes, avec l'anus déjà ouvert et lubrifié.
J'ai utilisé mon gode et du gel pour ça !
Lorsqu'il a sonné, j'ai repris ma place en me baisant de nouveau, avant qu'il arrive.
Il est entré, a vu le gode sur mon coté, a baissé son jean et m'a pénétré d'un coup sec, en me faisant crier.
"C'est bien ma p'tite salope ! Tu t'es bien préparée !".
J'ai encore éjaculé tout mon foutre sans me toucher, puis vidé ma vessie sur le sol et mon lit.
Il a choisi de m'arroser le cul de son foutre chaud et gluant, puis il est venu devant mon visage.
Je l'ai sucé longuement, jusqu'à ce qu'il m'abreuve encore.
J'avais froid au cul, à cause de son jus qui dégoulinait sur mes draps, mon anus me faisait encore mal, mais j'ai trouvé ça, tellement pervers et délicieux !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aimerai être à sa place en prendre plein mon cul toujours en manque afamer de sperme chaud et être bien féconder.
Superbe histoire, j’aimerais tellement vivre la même chose